TRAVAIL A FAIRE :

RESUME DU DOCUMENT 1

Membres : Enseignant :
KONATE ZANGA M. OUATTARA
KOUASSI Roxane
OUANGRE Fatoumata
YAO Sephora
YEO Nalougo
YEO Yaraba

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 SOMMAIRE

1. NUMEROTATION ET SEQUENTIALISATION

2. RECHERCHE DES TITRES

3. SELECTION DES IDEES ESSENTIELLES

4. REFORMULATION

5. REDACTION

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 1. NUMEROTATION ET SEQUENTIALISATION
1 Aux Etats-Unis, plus de 10% des décès sont attribués à la sédentarité. Sur le plan de la santé,
2l’inactivité physique est considérée comme un facteur de risque. L’activité physique est donc un
3facteur majeur pour augmenter l’espérance et la qualité de vie. Mais quels sont les bénéfices d’une
4pratique sportive sur la santé ? Tout d’abord, l’exercice permet un meilleur métabolisme des lipides
5et est donc inversement proportionnel aux risques de maladies cardiovasculaires. Deuxièmement, la
6tolérance au glucose est augmentée chez le sportif, ce qui permet de réduire les risques de diabètes
7types II. De plus, la pratique sportive est inversement proportionnelle à la prise pondérale, ce qui
8diminue les risques d’obésité. Ainsi, les individus sportifs ont moins de facteurs de risques pour les
9maladies chroniques. L’activité permet également d’augmenter la formation de l’os. Le gain de la
10masse osseuse pendant l’enfance et l’adolescence, ainsi que le maintien d’une activité physique
11tout au long de la vie, sont le meilleur moyen d’éviter l’ostéoporose et les risques de fractures de la
12post ménopause. [Enfin], le sport permet d’augmenter l’espérance de vie chez les individus. Des
13études menées chez d’anciens sportives du nord de l’Europe ont montré que l’espérance de vie
14était augmentée de 6 ans en moyenne chez les sportifs pratiquant les sports d’endurance, de 4 ans
15pour les sports collectifs type football et de 2 ans pour les sports de type musculation. […] Les
16médecins du sport, tout en promouvant la nécessité de faire de l’activité physique à l’adolescence,
17émettent toutefois une [réserve] importante. Ils préconisent une activité multidisciplinaire pendant
18l’adolescence, ce qui permettrait à l’enfant de développer sa coordination, de poursuivre sa
19croissance plus harmonieusement, sans grand risque d’asymétrie, contrairement à ce qui pourrait
20se passer s’il pratiquait une activité sportive unique. On retarde ainsi au maximum les effets
21néfastes dus à la pratique répétée d’une même activité (asymétrie, tendinites, fractures de
22fatigue…). L’activité sportive n’a pas seulement des effets biologiques physiques, elle a aussi des
23résultats positifs sur la santé mentale et la cognition. L’exercice permet de stabiliser les émotions et
24l’humeur, on parle alors de « psychostabilisant ». De plus, en augmentant l’estime de soi par le
25relargage d’endorphines, le sport apparaît comme un des meilleurs antidépresseurs. Une étude a
26démontré que l’activité physique chez les adolescents augmentait leurs résultats scolaires. L’étude
27a comparé les résultats chez un groupe d’étudiants à qui on a enlevé 5 heures de cours pour les
28remplacer par du sport et un groupe d’étudiants qui ont gardé ces 5 heures de cours. Les résultats
29étaient nettement plus élevés dans le premier groupe. De plus, la pratique de l’activité physique
30pourrait améliorer les performances cognitives des personnes âgées et retarder, voire diminuer, le
31risque de survenue de pathologies démentielles. La pratique d’exercice à [dès lors] un effet
32bénéfique indirect sur la santé ; il permet aussi de prévenir la prise de mauvaises habitudes. En
33effet, l’activité physique s’accompagne souvent d’une diminution ou absence de consommation de
34tabac, d’une alimentation plus équilibrée et d’une réduction du poids. Ainsi, la pratique régulière
35d’une activité physique a des effets bénéfiques tant pour la santé physique que pour la santé
36mentale et contribue à éviter les habitudes considérées comme facteurs de risques pour des
37maladies chroniques, l’espérance de vie étant ainsi augmentée. La qualité optimale d’entraînement
38se situe entre 1 et 2 heures par jour. Audelà, les inconvénients, en particulier la fréquence des

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39accidents, augmente ; d’où les effets néfastes susceptibles d’être déclenchés par le sport
2. RECHERCHE DES TITRES
« 1 Aux Etats-Unis, plus de 10% des décès sont attribués à la sédentarité. Sur le plan de la santé,
2l’inactivité physique est considérée comme un facteur de risque. L’activité physique est donc un
3facteur majeur pour augmenter l’espérance et la qualité de vie. Mais quels sont les bénéfices d’une

4pratique sportive sur la santé ? » : L’importance de l’activité sportive sur la

santé
« Tout d’abord, l’exercice permet un meilleur métabolisme des lipides et est donc inversement
proportionnel aux risques de maladies cardiovasculaires. Deuxièmement, la tolérance au glucose est
augmentée chez le sportif, ce qui permet de réduire les risques de diabètes types II. De plus, la
pratique sportive est inversement proportionnelle à la prise pondérale, ce qui diminue les risques
d’obésité. Ainsi, les individus sportifs ont moins de facteurs de risques pour les maladies chroniques.
L’activité permet également d’augmenter la formation de l’os. Le gain de la masse osseuse pendant
l’enfance et l’adolescence, ainsi que le maintien d’une activité physique tout au long de la vie, sont le
meilleur moyen d’éviter l’ostéoporose et les risques de fractures de la post ménopause. [Enfin], le
sport permet d’augmenter l’espérance de vie chez les individus. Des études menées chez d’anciens
sportives du nord de l’Europe ont montré que l’espérance de vie était augmentée de 6 ans en
moyenne chez les sportifs pratiquant les sports d’endurance, de 4 ans pour les sports collectifs type
football et de 2 ans pour les sports de type musculation » : Les avantages de l’activité
sportive sur la santé physique
« Les médecins du sport, tout en promouvant la nécessité de faire de l’activité physique à
l’adolescence, émettent toutefois une [réserve] importante. Ils préconisent une activité
multidisciplinaire pendant l’adolescence, ce qui permettrait à l’enfant de développer sa coordination,
de poursuivre sa croissance plus harmonieusement, sans grand risque d’asymétrie, contrairement à
ce qui pourrait se passer s’il pratiquait une activité sportive unique. On retarde ainsi au maximum les
effets néfastes dus à la pratique répétée d’une même activité (asymétrie, tendinites, fractures de
fatigue…). L’activité sportive n’a pas seulement des effets biologiques physiques, elle a aussi des
résultats positifs sur la santé mentale et la cognition. L’exercice permet de stabiliser les émotions et
l’humeur, on parle alors de « psychostabilisant ». De plus, en augmentant l’estime de soi par le
relargage d’endorphines, le sport apparaît comme un des meilleurs antidépresseurs. Une étude a
démontré que l’activité physique chez les adolescents augmentait leurs résultats scolaires. L’étude a
comparé les résultats chez un groupe d’étudiants à qui on a enlevé 5 heures de cours pour les
remplacer par du sport et un groupe d’étudiants qui ont gardé ces 5 heures de cours. Les résultats
étaient nettement plus élevés dans le premier groupe. De plus, la pratique de l’activité physique
pourrait améliorer les performances cognitives des personnes âgées et retarder, voire diminuer, le
risque de survenue de pathologies démentielles. La pratique d’exercice à [dès lors] un effet bénéfique
indirect sur la santé ; il permet aussi de prévenir la prise de mauvaises habitudes. En effet, l’activité
physique s’accompagne souvent d’une diminution ou absence de consommation de tabac, d’une

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alimentation plus équilibrée et d’une réduction du poids. Ainsi, la pratique régulière d’une activité
physique a des effets bénéfiques tant pour la santé physique que pour la santé mentale et contribue
à éviter les habitudes considérées comme facteurs de risques pour des maladies chroniques,
l’espérance de vie étant ainsi augmentée » : les bienfaits généraux de l’activité sportive
sur la santé cognitive et mentale

« La qualité optimale d’entraînement se situe entre 1 et 2 heures par jour. Au-delà, les inconvénients,
en particulier la fréquence des accidents, augmente ; d’où les effets néfastes susceptibles d’être
déclenchés par le sport » : Risques liés à la pratique du sport

3. SELECTION DES IDEES ESSENTIELLES

Sur le plan de la santé, l’inactivité physique est considérée comme un facteur de risque. L’activité
physique est donc un facteur majeur pour augmenter l’espérance et la qualité de vie

L’exercice permet un meilleur métabolisme des lipides et est donc inversement proportionnel aux
risques de maladies cardiovasculaires

La tolérance au glucose est augmentée chez le sportif, ce qui permet de réduire les risques de
diabètes types II

La pratique sportive est inversement proportionnelle à la prise pondérale, ce qui diminue les
risques d’obésité

L’activité permet également d’augmenter la formation de l’os

Le sport permet d’augmenter l’espérance de vie chez les individus

Les médecins du sport préconisent une activité multidisciplinaire pendant l’adolescence afin de
développer la coordination, et poursuivre la croissance
L’activité sportive a aussi des résultats positifs sur la santé mentale et la cognition

Permet de stabiliser les émotions et l’humeur

Le sport apparaît comme un des meilleurs antidépresseurs

Chez les adolescents augmentait leurs résultats scolaires

Diminuer, le risque de survenue de pathologies démentielles

Permet aussi de prévenir la prise de mauvaises habitudes

4. REFORMULATION

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 - Le sport est un moyen d’amélioration de la longévité et du confort de vie alors que sa
non-action engendre plusieurs inconvénients sur la santé.
- L’activité physique permet au corps une meilleure gestion des graisses, réduis son
exposition aux maladies cardiaques et aux risques de diabète.
- Le sport régule la glycémie limitant les dangers diabétiques
- Il permet également au sportif d’éviter les risques d’obésité.
- Le sport stimule la croissance des os
- Le sport favorise la longévité
- Les spécialistes sportifs conseillent la diversification des activités sportives au cours de
l’adolescence afin de favoriser un développement équilibré du corps
- L’activité sportive favorise également des bienfaits sur l’équilibre mental
- Permet le contrôle de soi
- Permet de bien gérer le stress
- Rend les adolescents performants à l’école
- Renforce la capacité mentale des personnes du troisième âge
- Contribue à la pratique de bonnes conduites
- La pratique excessive du sport de plus de 2 heures par jour occasionne des accidents
et des dangers

5. REDACTION
L’inactivité sportive engendre plusieurs inconvénients sur la santé alors
que sa pratique est un moyen d’amélioration de la longévité et du
confort de vie. D’abord le sport permet au corps une meilleure gestion
des graisses en réduisant son exposition aux maladies cardiaques.
Ensuite, il se présente comme un régulateur de la glycémie qui limite
les dangers diabétiques. Aussi, il permet au sportif d’éviter les risques
d’obésité et de stimuler la croissance des os. Notons que les
spécialistes sportifs conseillent la diversification des activités sportives
au cours de l’adolescence afin de favoriser un développement équilibré
du corps. En plus de favoriser des bienfaits sur l’équilibre mental en
permettant le contrôle de soi et la gestion du stress, l’activité sportive

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rend également les adolescents plus productifs à l’école. Aussi, il
renforce la capacité mentale des personnes du troisième âge et
contribue à la pratique de bonnes conduites. Enfin la pratique
excessive du sport de plus de 2 heures par jour occasionne des
accidents et des dangers sur la santé.

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