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Génoise

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Arts de bâtir: D4 – Couverture de tuiles rondes

Pays : Espace Méditerranéen

PRÉSENTATION

Emprise Géographique

Définition

Couverture de tuiles rondes

- Toiture à pente courante de 25% à 35%


couverte de deux couches de tuiles
(courant et couvert), reposant parfois sur
un mortier.
- Les tuiles d’argile cuite, de forme
tronconique, cylindrique ou galbée ont une
longueur courante de 30cm à 50cm, et
une largeur moyenne de 15cm en queue
(petit galbe) à 25cm en tête (grand galbe).
- L’extrados du galbe des tuiles de courant
est disposé en bas pour permettre
l’écoulement des eaux pluviales, l’extrados
des tuiles de couvert est disposé au
dessus, pour assurer un recouvrement
étanche.
- La couverture repose généralement sur
une charpente de bois, et quelquefois sur
une ou plusieurs voûtes croisées ou en
berceau.
- Cette technique ancienne est toujours en
usage, sauf en Tunisie ; les tuiles
artisanales ont été remplacées par des
tuiles rondes industrielles, les supports et
les techniques de pose ont changé dans la
plupart des cas

Milieu

Dans l’espace MEDA, les couvertures en pente de tuiles rondes sont généralement présentes en milieu urbain et rural, en bord de mer, en plaine
ou en montagne, sauf en Egypte, au Maroc et en Tunisie où celles-ci ne se trouvent principalement qu’en ville. Ce type de couverture est courant,
sauf en Egypte où sa présence se limite aux villes du bord de mer, et en Tunisie où sa présence ne concerne que les villes côtières ou de plaine.

Illustrations

Vues générales : Vues de détail :

Ce projet est financé par le programme MEDA de l'Union Européenne. Les opinions exprimées dans le présent document ne reflètent pas nécessairement la position de l'Union Européenne ou de ses Etats membres 1/6
D4 Espace Méditerranéen – Couverture de tuiles rondes

PRINCIPE CONSTRUCTIF

Matériaux Illustrations

Nature et Disponibilité (sous quelle forme)


La couverture est constituée d’un assemblage de tuiles rondes fabriquées à partir d’argile,
parfois mélangée à du sable, de la paille ou des éléments organiques. Les gisements d’argile,
extrêmement nombreux, sont situés à proximité des lieux où la tuile ronde est employée.
Après malaxage de l’argile, pressage, moulage ou façonnage et séchage, les tuiles sont
cuites à une température de 800°C à 1200°C. La teinte des tuiles dépend de la teneur en
oxydes de l’argile, et de la température de cuisson, qui était autrefois irrégulière (aspect
flammé des vieilles tuiles).

Modules, Dimensions, Epaisseurs, Dosages


Les tuiles rondes, de forme tronconique, cylindrique ou galbée (moulées, pressées ou
façonnées), ont une longueur variant de 18cm à 60cm et une largeur variant de 10cm en
queue (petit galbe) à 25cm en tête (grand galbe) ; leurs dimensions les plus courantes se
situent entre 30cm et 50cm de long, et de 15cm (petit galbe) à 25cm (grand galbe). La
hauteur de la tuile se situe entre 5cm et 10cm environ. L’épaisseur varie de 7mm à 25mm, les
tuiles les plus récentes étant généralement plus minces. L’épaisseur totale des tuiles et de
leur support formant la couverture varie de 6cm à 40cm, l’épaisseur la plus courante se
situant entre 10cm et 20cm. Leur poids unitaire se situe entre 1,5kg et 3kg, soit un poids de
35kg à 65kg au m2.

Type de pose

Type de pose
Les tuiles rondes sont posées selon deux couches inversées : les tuiles de courant ou d’égout
(extrados en bas) sont posées avec têtes (grand galbe) rapprochées en partie supérieure, et
queues (petit galbe) espacées en partie inférieure. Les tuiles de courant sont recouvertes au
tiers ou au quart supérieur (pureau sur deux tiers ou trois quarts de la longueur) par les tuiles
de couvert (extrados en haut), avec têtes (grand galbe) rapprochées en partie inférieure, et
queues (petit galbe) espacées en partie supérieure.

Ossature associée
La couverture de tuiles rondes repose généralement sur une charpente de bois empilée ou
parfois assemblée, ou quelquefois sur une ou plusieurs voûtes croisées ou en berceau.

Evacuation des eaux

Pente adaptée (%)


La pente varie de 15% à 76% ; la pente courante se situe entre 25% et 35%. La prise au vent
est moindre quand la pente est faible ; en faible pente, l’écoulement moins rapide des eaux
peut provoquer des infiltrations.

Collecte et évacuation des eaux


Les eaux de pluie sont de plus en plus souvent collectées par des gouttières, notamment en
ville, ou des chéneaux. Celles-ci sont généralement écartées des façades par un avant-toit en
surplomb (toiture en saillie).

Principe constructif:
Matériaux et type de pose – coupes et détails

Ce projet est financé par le programme MEDA de l'Union Européenne. Les opinions exprimées dans le présent document ne reflètent pas nécessairement la position de l'Union Européenne ou de ses Etats membres 2/6
D4 Espace Méditerranéen – Couverture de tuiles rondes

PRINCIPE CONSTRUCTIF (Suite)

Evacuation des eaux (Suite) Illustrations

Traitement des points singuliers (rives, égouts, noue, faîtage…)


A l’exception des avant-toits et des cheminées, la plupart des points singuliers sont traités par
des tuiles rondes coupées ou disposées de façon spécifique, pour répondre aux problèmes
d’étanchéité et d’arrachement au vent pouvant apparaître en différents endroits (rives, faîtage,
égout).

Faîtage (et arêtiers)


Rangée horizontale de tuiles (de taille identique ou de plus grand moule) scellée au mortier
de chaux étanche, avec sens de recouvrement opposé aux vents dominants.

Rives latérales
Bordures maçonnées couvertes de deux rangées latérales de tuiles de couvert, d’une rangée
latérale de tuiles de courant formant gouttière, d’une rangée latérale de tuiles de couvert sur
lit de briques ou de carreaux de terre cuite (mallons), ou sur génoise rampante ; quand la rive
n’est pas perpendiculaire au faîtage (pan de toiture trapézoïdal), les tuiles sont coupées une à
une pour finir le rang de pente sur la ligne de rive.

Avant-toits
A – Débord de toiture en chevrons (extrémité parfois taillée en corbeau) sous voliges de bois.

B – Génoise (XVIII°s – XIX°s) constituée de un à quatre rangs (selon hauteur de la façade à


protéger) de têtes (grand galbe) de tuiles rondes (creuses ou le plus souvent garnies) posées
(le plus souvent en quinconce) en couvert (plus rarement en courant), quelquefois intercalées
de carreaux de terre cuite : la génoise, qui offre une continuité entre la maçonnerie du mur et
la couverture, assure une meilleure protection contre le vent et la pluie que les débords de
voliges sur chevrons ; sur quelques belles demeures, la génoise amorce un retour ou se
prolonge en retour de façade, formant fronton triangulaire.

C – Corniche pleine réalisée en pierre de taille ou à partir d’une forme de maçonnerie enduite,
ou constituée de carreaux ou de briques de profil rectangulaire, semi-circulaire ou en quart-
de-rond, permettant une variété infinie de moulures.

D – Corniche creuse formée par un coffrage en lattis de bois enduit de plâtre.

Noues
Un mortier de chaux assure l’étanchéité des noues, dont les tuiles sont coupées pour épouser
la forme des pans de toiture ; les noues sont peu fréquentes dans l’architecture
méditerranéenne.

Cheminées
Souches réalisées en tuiles rondes ou en maçonnerie de briques ou de moellons enduits
hourdés au mortier. Les souches sont parfois couvertes d’un conduit de terre cuite, ou de
carreaux de terre cuite ou de tuiles inclinées reposant l’un sur l’autre.

Principe constructif :
Traitement des points singuliers – faïtage et
arêtiers, rives latérales, corniche

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D4 Espace Méditerranéen – Couverture de tuiles rondes

PRINCIPE CONSTRUCTIF (suite)

Outils Illustrations

Des moules sont souvent utilisés pour la fabrication artisanale des tuiles. Parfois, la
préparation du support de couverture nécessite l’utilisation d’outils spécifiques.

Métiers

Métier, Nombre de personnes nécessaires


Selon les cas, la couverture de tuiles rondes est mise en œuvre par un maçon, un charpentier
ou un couvreur. Deux à trois personnes sont généralement requises, à l’exception de
l’Espagne où une seule personne peut exécuter cet ouvrage, et du Maroc, où quatre
personnes sont nécessaires au minimum.

Performances

Étanchéité, Protection aux intempéries


La résistance des couvertures de tuiles rondes est généralement assez bonne, face à la pluie,
à la neige et au vent. Une tuile imparfaitement cuite peut se fêler, et subir des infiltrations
d’eau. Les vieilles tuiles, parfois poreuses, sont gélives ; la terre cuite est peu résistante aux
chocs (chutes de branches…) : souvent fêlées après quelques décennies, ces tuiles
n’assurent plus l’étanchéité de la toiture. Posées à sec ou parfois descellées avec le temps,
les tuiles peuvent être soulevées par vent violent ; dans les régions les plus exposées, les
tuiles sont maintenues par des pierres posées principalement en périphérie de toiture (rives,
faîtage, égout). La résistance à l’arrachement dépend de la finition de la pose et de la qualité
du mortier de scellement.

Isolation Thermique
Bien que l’argile cuite soit un bon isolant thermique, la performance thermique de la
couverture de tuiles rondes dépend en grande partie de la qualité de son support. La pose
des tuiles à sec permet une bonne ventilation de la toiture.

Pathologie de vieillissement

Liée au matériau et aux conditions climatiques :


Le poids des tuiles entraîne un vieillissement de la charpente provoquant parfois son
fléchissement ou sa rupture, une déformation de la toiture et l’infiltration des eaux. La
résistance mécanique des tuiles est conditionnée par la qualité de leur fabrication (matière
première et cuisson). La texture rugueuse des tuiles facilite leur érosion éolienne, et provoque
la fixation de ichens
l et d’éléments organiques divers, qui peuvent empêcher le bon
écoulement des eaux. Le calcaire contenu dans l’argile produit des efflorescences
blanchâtres sur les tuiles, par phénomène de carbonatation. Souvent fêlées après quelques
décennies (faible résistance aux chocs, gélivité), les tuiles anciennes n’assurent pas toujours
l’étanchéité de la toiture.

Liée à la technique :
Une trop faible pente ou un recouvrement de tuiles insuffisant peuvent provoquer des
infiltrations par remontée des eaux. La pose à sec ou la faible résistance du mortier de
scellement facilite l’arrachement des tuiles au vent. Pour y remédier, dans les régions les plus
exposées, des pierres sont parfois posées sur la toiture, notamment en partie inférieure et le
long des rives. La désagrégation des joints et du mortier de pose, ou l’accumulation de
poussière de terre déposée par le vent, favorise la pousse d’une végétation parasite, qui peut
provoquer une brisure des tuiles, puis des infiltrations d’eau.

Principe constructif :
Traitement des points singuliers - Cheminées

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D4 Espace Méditerranéen – Couverture de tuiles rondes

PRINCIPE CONSTRUCTIF (suite)

DESCRIPTION DE MISE EN OEUVRE

Conditions de réalisation :

La réalisation des travaux doit se faire par temps sec, pour éviter les infiltrations d’eau de pluie ; aucune protection particulière n’est nécessaire.

Travaux préparatoires :

Le support et le débord de toiture (avant-toit, corniche, génoise…), ainsi que le dispositif de collecte des eaux (gouttières et chéneaux), sont mis
en œuvre préalablement à la couverture. Avant leur pose, l’état de chaque tuile doit être vérifié : la tuile est fêlée si elle ne rend pas un son clair ;
une tuile doit supporter le poids d’un homme sans se casser.

La mise en œuvre :

La pose s’opère depuis l’égout jusqu’au faîtage, chaque versant après l’autre. Une première rangée de tuiles (de courant), alignée au cordeau,
est scellée au mortier maigre dans la maçonnerie du mur gouttereau (dans le cas d’un débord en corniche ou en génoise), sur des voliges de bois
(dans le cas d’un débord de voliges sur chevrons), ou calées sur des liteaux. Les têtes (grand galbe) sont rapprochées en partie supérieure, les
queues (petit galbe) sont espacées en partie inférieure.

Le recouvrement des tuiles s’effectue au tiers ou au quart supérieur (pureau sur deux tiers ou trois quarts de la longueur) , par scellement au
mortier en rangées de pente successives. Le recouvrement par scellement au mortier de la couche de courant s’effectue par des rangées de
tuiles de couvert : les têtes (grand galbe) sont rapprochées en partie inférieure, les queues (petit galbe) sont espacées en partie supérieure. Dans
le cas d’une pose au mortier, les tuiles peuvent être calées latéralement par des cailloux ou des débris de tuiles.

Les raccords entre tuiles de courant et tuiles de couvert peuvent être décalés par la pose, à l’égout, d’une rangée de tuiles raccourcies d’un tiers.
Dans le cas d’un pan de toiture trapézoïdal ou irrégulier, les tuiles sont coupées en rive pour épouser la forme du toit, les rangées de pente
parallèles étant le plus souvent perpendiculaires au faîtage. Quand les versants de la toiture sont couverts, des tuiles faîtières sont scellées au
mortier étanche sur toutes les arêtes.

Les détails importants :

Le mortier de pose des tuiles doit être relativement maigre pour éviter sa dilatation et être compatible avec la terre cuite, tout en étant
suffisamment résistant pour ne pas se désagréger avec le temps.

La coupe des tuiles au niveau des souches de cheminée ou des lanterneaux doit être relativement précise, pour éviter des joints de mortier trop
larges.

Les tuiles faîtières doivent être recouvertes selon un sens opposé aux vents dominants.

Moyens de Vérification:

On peut vérifier l’étanchéité de la couverture en arrosant cette dernière, afin de détecter d’éventuelles infiltrations d’eau.

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D4 Espace Méditerranéen – Couverture de tuiles rondes

USAGE, EVOLUTION ET TRANSFORMATION

Usage

Types de bâtiments
La couverture de tuiles rondes se trouve sur tous types de bâtiments à travers l’espace MEDA.

Période d’apparition de la technique / Période d’emploi de la technique – Usage contemporain ou disparu


La couverture de tuiles rondes est héritée de l’Antiquité romaine où des tuiles de forme analogue (imbrex et tegula) sont apparues. Les tuiles
rondes dans leur forme actuelle sont apparues au Moyen Age en Algérie, en Espagne, en France, au Maroc et en Turquie ; elles sont apparues à
la Renaissance en Grèce et au Portugal, et au XVII°siècle en Tunisie. Enfin, leur utilisation plus tardive ne remonte qu’à la fin du XIX°siècle à
Chypre, et au début du XX°siècle en Egypte. Cette technique est toujours en usage, sauf en Tunisie.

Raisons de la disparition ou de la modification de la technique


A partir du milieu du XIX°siècle, les tuiles rondes ont souvent été remplacées par les tuiles plates mécaniques (originaires de Marseille), moins
coûteuses et plus faciles à poser, sur lattis de bois. Après la Seconde Guerre mondiale, des tuiles galbées à emboîtement, en terre cuite ou en
béton, relativement peu coûteuses, sont apparues sur le marché. Malgré son surcoût, la fabrication de tuiles rondes s’est poursuivie sous forme
industrielle, pour satisfaire le marché de la restauration et de la construction neuve, sauf en Algérie et en Tunisie, où les savoir-faire traditionnels
ont disparu. Le retour du goût pour la tradition a conduit à la récupération des tuiles anciennes patinées pour la restauration ou la construction
neuve. Pour pallier le manque de tuiles anciennes de récupération, des tuiles rondes artificiellement vieillies par engobage d’oxydes et de
pigments, plus coûteuses, sont apparues sur le marché européen.
La pose des tuiles au mortier de terre ou de chaux est souvent remplacée par une pose au mortier de ciment ou une fixation à la colle. Les
supports traditionnels de couverture, constitués de charpentes de bois quelquefois revêtues de mortier, sont parfois remplacés par des dalles de
béton. Parfois, les tuiles sont fixées sur des plaques ondulées, posées rapidement, qui garantissent l’étanchéité de la couverture, et quelquefois,
son isolation.

Evolution / Transformation

Les matériaux
A partir du milieu du XIX°siècle, les tuiles rondes ont souvent été remplacées par les tuiles plates mécaniques (originaires de Marseille), moins
coûteuses et plus faciles à poser, sur lattis de bois. Après la Seconde Guerre mondiale, des tuiles galbées à emboîtement, en terre cuite ou en
béton, relativement peu coûteuses, sont apparues sur le marché. Malgré son surcoût, la fabrication de tuiles rondes s’est poursuivie sous forme
industrielle, pour satisfaire le marché de la restauration et de la construction neuve, sauf en Algérie et en Tunisie, où les savoir-faire traditionnels
ont disparu. Le retour du goût pour la tradition a conduit à la récupération des tuiles anciennes patinées pour la restauration ou la construction
neuve. Pour pallier le manque de tuiles anciennes de récupération, des tuiles rondes artificiellement vieillies par engobage d’oxydes et de
pigments, plus coûteuses, sont apparues sur le marché européen.

Les aspects techniques


La pose des tuiles au mortier de terre ou de chaux est souvent remplacée par une pose au mortier de ciment ou une fixation à la colle. Les
supports traditionnels de couverture, constitués de charpentes de bois quelquefois revêtues de mortier, sont parfois remplacés par des dalles de
béton. Parfois, les tuiles sont fixées sur des plaques ondulées, posées rapidement, qui garantissent l’étanchéité de la couverture, et quelquefois,
son isolation.

Evaluation des matériaux et des techniques de remplacement


La pose de tuiles rondes industrielles est généralement satisfaisante en restauration, sous réserve que leur teinte et leur aspect soient en
harmonie avec les couvertures traditionnelles. L’utilisation de plaques ondulées de fibrociment est généralement satisfaisante en restauration,
sous réserve qu’une ventilation suffisante des combles soit assurée. A l’exception du mortier au ciment, les nouvelles techniques de pose
(fixation à la colle ou par crampons…) est considérée comme satisfaisante.

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