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CHAPITRE I : ORGANISATION DU SYSTEME DE


SANTE EN RDC
I.1 HISTORIQUE ET CADRE RÉGLEMENTAIRE DU SYSTÈME DE
SANTE

I.1.1. HISTORIQUE DU SYSTEME DE SANT EN RDC


Les nombreux défis auxquels font face aux systèmes de santé des Etats à faible revenu
appellent à un questionnement sur le rôle effectivement joué par les différentes instances du
système sanitaire Face à la nécessité d’accélérer l’atteinte des objectifs du mille- n’aire pour
le développement (Mjb et al., 2011). Le système de santé en RDC a connu tout Au long de
son histoire, un aperçu général féra normalement l’objet dans les lignes qui suivent.

A l’époque coloniale, la RDC fut une colonie belge connue sous le nom de Congo belge, le
système de santé étaient basé uniquement sur le besoin des colonies belge avec peu
d’attention accordé au soin de la population congolaise, les services des santés étaient limité
et seul les zones de santé urbaines qui avaient axé aux infrastructures médical, Depuis son
indépendance en 1960, la situation sanitaire de ce pays a connu des variations qui ne semblent
pas, dans l’en- semble, avoir donné une «santé pour tous» (Wembonyama et al., 2007).

Après 1960, l’état congolais a entrepris des réformes visant l’amélioration des services des
santés sur toute l’étendue du territoire national afin d’optimiser un certain niveau de sécurité
de santé à l’égard de la population congolaise c’est ainsi que naissent d’autres structures
sanitaires : hôpitaux, centre de santé et des dispensaires qui ont été construits dans tous les
coins du pays dans l’objectif d’améliorer les performances des systèmes de santé (Mjb et al.,
2011).

En 1990, la RDC connu une crise économique qui a eu un impact significatif sur le système
de santé, les infrastructures médicales ont été négligé voir même la rémunération des
personnels des santé qui ont été réduit, aussi la guerre et certains conflit armées dans d’autres
régions du pays ont entraîné la destruction des infrastructures médicales, la fuite des
nombreux personnels de santé, A peine sortie d’une crise socio-politique grave et d’un
contexte de guerre qui aura duré un lustre (cinq ans NDLR), la RDC devra à l’aube de la
2

3eRépublique inscrire la santé parmi les priorités à recouvrer pour espérer remettre le pays sur
le rail du développement socio-économique (Wembonyama et al., 2007).

De nos jours, la naissance des mutuels de sante ont permis de modifier l’accès au soin de
sante pour tous sur toute l’étendue de la République ainsi que la mise en place des structures
sanitaires d’accompagnement de proximité dans chaque province (Nationale & Judiciaire,
2003). Programme national des mutuelles de santé fût initié en mai 2010 en collaboration
avec des partenaires techniques financière qui c’est sont progressivement installer dans des
provinces tél que : Kinshasa, Congo Centrale, Equateur, Nord Kivu, Gima et Butembo.

I.1.2. CADRE RÉGLEMENTAIRES DU SYSTEME DE SANT EN RDC

Chaque pays au moins défini son système de santé au regard des réalités politico-
administrative,

exécuté par différentes institutions en se basant sur les ressources du secteur public, c’est le
cas notamment de La République Démocratique du Congo qui avaient souscrit à la
déclaration universelle en garantissant les droits à la santé en vue de permettre à la population
d’accédée aux soins de santé (Nationale & Judiciaire, 2003). Comme prévu dans le décret-loi
constitutionnelle du 18 février 2006 qui s’étend sur la question de la protection et de la
promotion de la santé, garantie le droit à la santé pour tous.

Loi n° 18/035 du 13 décembre 2018 instaure un système pyramidal à trois niveaux : le ni‐
veau central, le niveau intermédiaire ou provincial, le niveau périphérique ou opérationnel
(SITA, 2020).

d’où le système de santé publique congolais Reflète le partage des connaissances entre ces
différents niveaux pyramida Plusieurs autres articles reviennent sur la règlementation et le
fonctionnement du système de santé en RDC, notamment l’article 13 sur les infrastructures,
l’article 14 sur la règlementation d’ouverture et de fonctionnement, l’article 18 sur le droit aux
soins de santé avec toute dignité dans la mesure du possible ; l’article 19 sur le droit aux
soins du soulagement avec confort.
3

PYRAMIDE SANITAIRE DE MINISTRE DE LA SANTÉ


4

I.1.3 SYSTÈME D’APPROVISIONNEMENT DE MÉDICAMENTS EN RDC

Le système d’approvisionnement des médicaments essentiels en RDC, également connu sous


le nom de ( SNAME) est un ensemble d’activités et processus visant à garantir la
disponibilité des médicaments essentiels et la distribution permanente des fournitures
médicales afin de sauvegarder les services de santé sur toute l’étendue du territoire national
(Soins, n.d.). Ce système est coordonné par le programme national d’approvisionnement en
médicaments essentiels (PNAM) qui met en œuvre la politique pharmaceutique nationale
(PPN) dans l’idéal de veiller sur la disponibilité des produits et fournitures nécessaires au bon
endroit et au bon moment pour répondre au besoin de la population en matière de santé(Soins,
n.d.).
5

3e Direction de la pharmacie,
médicaments et plantes médicinales

Secrétariat et bureau chargé de


l’administration

DIVISION 2 DIVISION 3 DIVISION 4 DIVISION 5 DIVISION 6


DIVISION 1
Pharmacie Substances stupéfiantes, Produits vétérinaires, Assurances et contrôle de Promotion des plantes
Gestion des médicaments
psychotropes et dangereuses phytopharmaceutiques, qualité de médicaments médicinales
cosmétiques et
diététiques
BUREAU 1 BUREAU 1 BUREAU 1 BUREAU 1 BUREAU 1 BUREAU 1
Production locale de Inspection et contrôle de Substances stupéfiantes, Produits vétérinaires et Assurance de qualité et Classification des
médicament des l’exercice de la psychotropes et dangereuses phytopharmaceutiques laboratoire de contrôle plantes médicinales
médicaments pharmacie

BUREAU 2 BUREAU 2 BUREAU 2 BUREAU 2 BUREAU 2


BUREAU 2
Législation, Désinfectants, Produits cosmétiques et Analyse des Pharmacopée
Enregistrèrent,
statistique et archives radioéléments et autres diététiques médicaments traditionnelle
certification et AMM
toxiques

BUREAU 3 BUREAU 3

Pharmacopée et Coordination et
BUREAU 3 formulaire nationale évaluation de la
Approvisionnement recherche
et promotion des
BUREAU 4
médicaments
essentiels génériques Pharmaco vigilance
6

Le SNAME utilise un système d’information inter pyramidal (de niveau central)Au


périphérique) afin d’acheminer les médicaments et autres annexes médicales distribué de
façon hiérarchisé, la mise en place des centres des distributions régionales (CDR) octroyant
des bon Lot des produits et certains fournitures en quantité suffisante aux hôpitaux généraux
des références ( HGR) et aux bureaux centraux chaque zone de santé (BCZS) (Soins, n.d.).

Le BCZS approvisionnent à leurs tours les Hôpitaux Généraux de Référence (HGR) et les
centres santé ( CS), qui afin dispensent les médicaments aux patients, excepté d’autre
structures sanitaires de niveau central : centre hospitalier universitaire, centre hospitalier
spécialisés, qui n’est sont pas inclus dans le SNAME, ce dernier s’approvisionnent dans des
secteurs privé La tendance (Kahindo et al., 2011)

En termes d’activités, les HGR possèdent un paquet maximum d’activité : la chirurgie


majeure et d’autres départements spécialise, Alors que les centres de Santé ont un paquet
minimum ou complémentaire activités : chirurgie mineure, observation de patient pendant 3
jours.
7

CHAPITRE II : PRISE EN CHARGE DU CANCER EN


ONCOLOGIE
Le mot cancer dérive du latin << crabe, chancre, cancer>> une maladie provoquée par les
développements anarchiques des cellules qui deviennent anormal et prolifèrent des façons
excessive, ils finissent par fois par former Une masse qu’on appelle tumeurs maligne (Tartour
et al., 2011).

Les cellules cancéreuses ont tendance à envahir les tissus voisins et migrent ainsi par les
vaisseaux sanguins et les vaisseaux lymphatiques pour aller former une autre tumeur
(métastases) (Leclerc et al., 2011).

Le cancer sont de différent types selon la localisation et l’organe touché, et la terminologie


médicale est plus spécifiques : tumeur maligne, néoplasie, néoplasme, poly mitose,
carcinome,

L’oncologie ( ou cancérologie) est une branche médicale qui s’occupe de l’étudie cancer, son
diagnostic et son traitement, ainsi que les recherches expérimentales sur le cancer (Amsaguine
et al., 2015).

II.2 CLINIQUE ET SYMPTOMATOLOGIE DU CANCER


En clinique, la symptomatologie de cancer varie d’une personne à une autres selon l’organe
touché, certains symptômes peuvent être des signes précurseurs des Cancers, mais pour la
plupart de cas des personnes présentant ces signes des cancers ont une très fortes probabilité
d’être guérie si ce dernier est détecté précocement Parmi les signes précurseurs du cancer, il y
a : (1) l’hématurie, (2) des nouvelles douleurs qui ne disparaissent pas, (3) des ganglions
lymphatiques plus gros que la normale ( boules dure sous le bras ou au niveau du cour).

 Fièvre récurrente : dû à la migration de tumeur


 Perte de poids inexplicable : qui est du à la destruction cellulaires
 Changement de taille ou de couleur d’un grain de beauté

II. 3 ÉTIOLOGIE DU CANCER

Étant une pathologie qui a des origines variées, l’étiologie commence Principalement par
l’observation de la population affectée ainsi en examinant leur mode de vie et leurs habitudes
s’ils sont exposés à des substances dangereuses, mais aussi leurs caractéristiques génétiques,
8

leurs antécédents familiaux, et leur historique de santé, tous ces éléments sont ensuite
comparés à celle de la population qui n’est pas affecté par le cancer (Terrain, 2018).

 A partir de là, on peut identifier quelques facteurs qui sont corrélés à la survenue du
cancer comme bien entendu. Notamment : l’usage du tabagisme, l’usage d’alcool,
l’exposition aux rayons UV et la manipulation des certains éléments cancérigène au
laboratoire.

II.4. DIAGNOSTIC DU CANCER


Le diagnostic du cancer nécessite la réalisation des plusieurs examens : clinique, biologique,
et d’imageries, l’ensemble de ces derniers permet de proposer au patient la stratégie la
stratégie thérapeutique la plus adaptée à son cas (Decramer et al., 2002).

II.4.1. EXAMEN CLINIQUE


Une étape très importante pour le patient ou l’examinant (médecin) mesure le pouls, la
température et la respiration, cet examen permet d’évaluer l’ETA du patient afin notamment
de définir les possibilités thérapeutiques.

II.4.2. EXAMENS BIOLOGIQUES


Au cours de ces examens un bilan sanguin et urinaire est évalué, permettant de mesurer des
paramètres relatifs à l’état général de la santé du patient en dosant éventuels marqueurs
tumoraux pouvant être utile au diagnostic (Decramer et al., 2002).

Ainsi les marqueurs sont des molécules formées en petite quantité par des cellules normales et
qui se trouve produites en excès par les cellules tumorales, ainsi pour certaines variétés des
cancers les dosages urinaire et sanguin est réalisé sous certain marqueur pouvant être évalué
et leurs concentration élevée est généralement dépendante Au nombre des cellules
cancéreuses (1.Examens-Biologie-Cellulaire-S1 (2).Pdf, n.d.).

II.4.3. IMAGERIE MÉDICAL


Un ensemble des techniques permettant d’obtenir des images des parties internes du corps,
elles permettent aux médecins des vérifiée la présence d’une tumeur, sa taille, sa forme, son
activité métabolique, et sa localisation exacte, ces informations sont utiles pour définir le
Traitement à mettre en œuvre et pour évaluer si la chirurgie peut être proposées
9

II.4.4. RADIOGRAPHIE ET ÉCHOGRAPHIE


La radiographie permet d’obtenir une image à l’aide des rayons X, les organes y apparaissent
noir ou blanc selon la capacité des rayonnements à traverser, d’où la visualisation des certains
organes est rendu possible par l’injection d’un produits dit << contraste>> permettant
d’opacifier l’image, cet examen est réalisé en oncologie pour examiner le thorax, l’abdomen,
et les seins.

Alors que l’échographie est une méthode qui se fonde sur l’usage des ondes sonores
imperceptibles à l’oreille, les ondes sont aussi envoyées à travers la peau en direction de
l’organe, les ultrasons, ont une vitesse constante et son réfléchi par les tissus qu’ils constituent
et reviennent vers la sonde émettrice.

Un traitement informatique traduit les temps émis pour parcourir cette distance en
images afin d’obtenir une représentation indirecte de la région (Kerbrat & Botton,
2022)

II.4.5. BIOPSIE.
Ce dernier est un examen incontournable lors d’un diagnostic de cancer, elle seule permet de
confirmer le diagnostic et de préciser la nature de la lésion cancéreuse. En pratique, elle
consiste à prélever un échantillon des tissus suspect pour l’examination microscopique

L’analyse de tissu est effectuée par un anatomo- pathologiste, elle est parfois complétée par
une caractérisation moléculaire qui vise à rechercher les spécificités des cellules (dont les
marqueurs tumoraux) qui forment la tumeur et à orienter le pronostic pour un traitement
approprié (Millogo et al., 2004).

II. 5. LE TRAITEMENT ET APPROCHE MULTIDISCIPLINAIRE DES


EQUIPES DES PRISES EN CHARGE DU CANCER

Trois (3) approches sont prises en compte dans la prise en charge de cancer : (1)
approche chirurgicale, (2) approche médicamenteuse et (3) radiothérapie.
II.5.1. APPROCHE CHIRURGICALE

Le traitement du Cancer par la chirurgie consiste à retirer la tumeur, on parle d’exerce ou de


résection, elle est utilisée dans environs 80% de cas et reste donc le principal traitement du
10

cancer, la chirurgie à deux avisées d’instinct dans éprise en charge de cancer : (diagnostic et
curative)

Cette approche a une visée curative, lors qu’elle permet de retirer 100% des cellules
tumorales, et à vissée diagnostic lorsqu’une partie de tissu est retiré et analysée pour préciser
la nature de la liaison et facilite le choix d’un traitement curatif complémentaire (Levasseur &
Regnard, 1993). Alors que sa visée palliative poursuit le soulagement de la douleur liée à la
taille de la tumeur pour faciliter le fonctionnement de l’organe atteint.

II.5.2. APPROCHE MEDICANTEUSE


Cette approche est basée sur l’usage des médicaments pouvant être curatif, préventif ou
symptomatique dans la prise en charge de cancer.

1. LA CHIMIOTHERAPIE

La chimiothérapie est basée sur l’usage des médicaments dit < cytotoxiques>>. Il existe
plusieurs classes d’anticancéreux. Notamment :les alkylants ,les antis métabolites, les
intercalant et les antimitotiques (Bonan, 2015).

Un traitement chimiothérapie fait souvent appel à une association des plusieurs médicaments
agissant sur différents processus, et chaque cure consiste à traiter le patient pendant une
longue période puis observer quelques jours de repos durant le quelle les cellules saines
peuvent se régénérer (Decramer et al., 2002).
[2.] L’HORMONOTHERAPIE

La croissance des certains cancer est favorisée par les hormones sexuelles produite par
l’organisme, ainsi certains tumeurs du sein et de l’intestin croissant sous l’action des
œstrogènes (CSA dès la progestérone) ainsi certains cancer de la prostate progressent sous
l’action de la testostérone. Ces hormones sexuelles agissent sur les cellules tumorales en se
fixant à leurs surface au niveau de récepteurs spécifique, les médicaments hormonothérapie
(cas de la SALVACYL pour la testostérone et le tamoxifène « NOLVADEX, TAMOFEN »
pour les œstrogènes) ces derniers bloquent la synthèse es ces hormones en empêchant leur
fixation au récepteur, et ils sont administrés essentiellement par la voie orale Depuis la
tempête (Dodin, 2009).

2.[3.] L’IMMUNO THERAPIE

L’immunothérapie agit sur le système immunitaire d’un patient pour l’aider à lutter contre sa
maladie. Dans le cas du cancer, elle ne s’attaque pas directement à la tumeur, mais stimule les
cellules immunitaires impliquées dans la reconnaissance et la destruction des cellules
11

tumorales, c’est pratique a connu un succès en cancérologie au cours de ces dix dernières
années, grâce à l’explosion des connaissances fondamentales sur l’immunologie du cancer. Ce
dernier à pour but de « réveiller » le système immunitaire « endormi » par la maladie et de
l’éduquer pour qu’il soit en mesure d’éliminer les cellules cancéreuses. Il se fonde sur
l’utilisation de différents outils : anticorps monoclonaux (abatacept,abciximab), immuno-
modulateurs (atezolizumab, avelumab) (Bonan, 2015).
3.[4.] LA RADIOTHÉRAPIE

Cette pratique est utilisée de deux (2) manières : (1) traitement adjuvant et (2) traitement
principal Utilisée comme traitement adjuvant le plus souvent, la radiothérapie est utilisée
comme traitement adjuvant, c’est-à-dire en complément de la chirurgie au cours de laquelle la
tumeur et les autres tissus atteints ont été retirés. Son objectif est de détruire les cellules
cancéreuses qui pourraient subsister et ainsi réduire le risque de récidives locales,

Cependant, la radiothérapie est le traitement principal de certaines tumeurs de stade avancé du


cancer. Dans le cas des tumeurs de stade III qui touchent le vagin et les paramètres, le
traitement recommandé consiste en une radiothérapie externe et une curiethérapie. La
chirurgie et la chimiothérapie sont des options discutées selon les situations. L’objectif du
traitement est de détruire la tumeur et de limiter le risque de récidive (Soins, n.d.).
12

CONSIDERATIONS EXPERIMENTALES
13

CHAPITRE III MATERIELS ET METHODES

III.1 CADRE EXPERIMENTAL

 PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE

Le présent travail se déroulé dans la partie sud-Est de la RDC, province du haut katanga plus
précisément dans la ville de LUBUMBASHI, la province compte 6 territoires : kambove,
kasengue, kipushi, mitwaba, pweto et sakania, trois (3) villes : likasi, kasumbalesa et
Lubumbashi qui est son chef-lieu, elle est borné au nord par la province de tanganyika, à l’Est
par luapula ( province de zambi), à l’Ouest par la province de lualaba et au sud par copperbelt
( Province de wambi).

LEGENDE
14

Superficie : 132 425km2

Densité : 35 habitants/ km2

Langues : officielle : français, national :kiswahili

Population : 4 617 000 habitants.

 LA VILLE DE LUBUMBASHI

HISTORIQUE

Parfois surnommées la capitale du cuivre, fondée en 1910 par le belge, sous le nom
d’ELISABETHVILLE ou ELISABETHSTAD (d’après Elisabeth en Bavière, devenue reine
des belges), La ville est renommée LUBUMBASHI en 1966 et elle est aussi la capitale de
l’éphémère Etat autoproclamé du KATANGA (1960 – 1963) sous l’impulsion de moise
TSHOMBE, elle compte 7 communes.

Elle est le siège de plusieurs grande sociétés congolaises ,ou à capitaux étrangers , dont la
société nationale des chemins de fer du congo, la Gécamines Rwashi Mining et KICC
( Metorex group companies), Anvil Mining sprl (west RDC) société de traitement du Terril de
lubumbashi (STL), Tenke fungurumé Mining, elle occupe la position sud - Est de la RDC qui
est limité par la TANZANIE à L’Est, la ZAMBIE à L’Est et au sud, et L’ANGOLA a
L’Ouest.
15

LEGENDE

SUPERFICIE : 747km2

POPULATION : 1.300.000 habitants.

DENSITE : 1.820 habitants / km2

LANGUES PARLES : français : (officielle) et kiswahili (national )

NB Trois (3) zones de santé ont fait l’objet d’enquêtes respectivement dans leurs structures
sanitaires :

1. LA ZONE DE SANTE DE KAMPEMBA

Situé sur l’avenue de bricotier N° 8. Quartier bel air dans la commune de KAMPEMBA, elle
est bornée :

Au nord par la chaussée de kasenga (ZS TSHAMILEMBA et KOWE)

A l’Est par l’avenue de la vallée (ZS de la RWASHI)

Au sud par le village MULONGO, la rivière KAFUBU (ZS de KAFUBU)

A l’ouest par le chemin de fer (ZS KAMALONDO).


16

LEGENDE

Superficie : 150km2

Population : 3575 habitants

Nombres des air de santé : 22

Nombres des structures sanitaires : 227

2. LA ZONE DE SANTE DE KOWE

Elle est située dans HGR Camp préfabriqué, quartier bel air dans la commune de
KAMPEMBA, elle est bornée :

Au nord par la ZS TSHAMILEMBA

A l’Est par la ZS de la RWASHI

A l’Ouest par le chemin de fer

Au sud par la rivière KAFUBU

LEGENDE

Superficie : 23.587km2

Population : 520709 habitants.


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Nombres des airs de santé : 5

Nombres des structures sanitaires :

3. LA ZONE DE SANTE DE VANGU

Situé dans le camp militaire de vangu dans la commune de kamalondo elle est bornée :

Au sud par la commune annexe

A l’Est par la route kipushi

Au nord par la route LIKASI

A l’Ouest par la ZS de tshamilemba


18

LEGENDE

Superficie : km2

Population : habitants.

Nombres des airs de santé : 3

Nombres des structures sanitaires :

III. 2. MATERIELS

Pour la réalisation de ce présent travail, nous avons fait usage : des questionnaires guide
préétablis qui ont permis d’obtenir les informations auprès des personnels de santé interrogées
(dans les structures sanitaires), le portable de poche pour prélever les coordonnées GPS et le
stylo pour remplir les fiches pendant l’enquête.

III. 3 METHODES

Au cours de ce présent travail deux (2) méthodes ont été utilisé :

 L’OBSERVATION

Ce dernier consistait à regarder avec attention les personnes atteintes de cette maladie
(cancer) et les structures qu’il poursuivait pour être prise en charge.

 L’ENQUETE SUR TERRAIN

A l’aide d’un questionnaire préétablis, ce dernier nous a permis d’arriver sur terrain dans des
structures sanitaires afin de se renseigné sur les services organisés pour le suivis des malades
atteinte de cancer.
19

CHAP IV RESULTATS ET DISCUSSION

IV. 1 RESULTATS

Tableau N°1 : Répartition des zones de santé enquêté

Zone de santé Effectif Pourcentage

Kampemba 92 92%

Vangu 5 5%

Kowe 3 3%

Total 100 100%

Ce présent travail a fait l’objet d’enquête sur terrain respectivement dans 3 zones de santé (ZS
de Kampemba, Kowe et Vangu) pour un échantillon de 100 structures sanitaires, et a ce qui
suivent : 92 structures ont fait l’objet d’enquêté dans la zone de santé de Kampemba (ou
92%), 3 structures enquêtés dans la zone de santé de Kowe (ou 3%) et 5structures dans la
zone de santé de Vangu (ou 5%) .

Nature des structures enquêtées :

Dans notre étude nous avons enquêté :

Structures privé = 92

Structures publique : 8

Total = 100 structures


20

Tableau N° 2 : Répartition de nombre total des personnels en classe statistique

Intervalle de classe Effectif Pourcentage

[8-18 [ 88 88%

[18-33[ 8 8%

[33-48[ 2 2%

[48-63[ 1 1%

[63-78[ 0 0%

[78-33[ 0 0%

[93-108[ 1 1%

Total 100 100%

Sept (7) classes d’intervalle de 5 ont été repartie pour les structures ayant l’intervalle de
même nombre total des personnels : 88 structures ce sont retrouvés dans la fourchette de[ 3-
18[ ( classe 1), huit (8) structures ce sont retrouvés dans la fourchette de [18-33[ (classe 2),
deux structures ce sont retrouvées dans la fourchette de 33-48 ( classe 3), une (1) structures
s’est retrouvé dans la fourchette de[ 48-[( classe 4), zéro (0) structure dans la fourchette de 63-
78 (classe 5) et [78-93[ ( classe 6), afin une structure s’est retrouvé dans la fourchette de[ 93-
108[( classe 7).
21

Tableau N°3 : Répartition de nombre total des médecins spécialistes en classe statistique

Intervalle de classe Effectif Pourcentage

[0-1[ 78 78%

[1-2[ 15 15%

[2-3[ 5 5%

[3-4[ 1 1%

[4-5[ 1 1%

[5-6[ 0 0%

[6-7[ 0 0%

Total 100 100%

Dans un échantillon de 100 fiches enquêté dans 3 zones de santé, les données récoltées pour
les médecins spécialistes ont donné les résultats suivant : 78 structures n’ont aucun médecin
spécialiste, 15 structures (dans la ZS Kampemba) contiennent au moins 1 médecin spécialiste
par chacune, 5 structures contiennent 2 médecins spécialistes par chacune ( dans la ZS de
Kampemba) Une (1) structure qui contient 3 médecins spécialistes ( ZS Kampemba) et une
autre structure en contienne aussi 4 ( dans la zone de santé de vangu), partant de l’intervalle
de [5-6[ et [ 6-7[ aucune structure ne contient le nombre des médecins spécialistes variant de
cette intervalle.
22

Tableau N° 4 : Répartition de nombre total des médecins généralistes en classe statistique

Intervalle de classe Effectif Pourcentage

[0-4[ 85 85%

[4-7[ 9 9%

[7-10[ 7 1%

[10-13[ 1 1%

[13-16[ 1 1%

[16-19[ 1 1%

[19-22[ 1 1%

Total 105 100%

Les données récoltées pour les nombre de médecins généralistes dans chaque structure ont
été regroupé en 7 classe (d’intervalle de 3) ont donné les résultats suivant : 85 structures
compotent des médecins généralistes variant de [0-4[ (classe 1), 9structures comptent des
médecins généralistes variant de[ 4-7[ (classe 2), 7structures comptent des médecins
généralistes variant de[ 7-10[ (classe 3), Une structure compte des médecins généralistes
variant de [10-13[ (classe 4), Une structure compte des médecins généralistes variant de[13-
16[ (classe 5), Une structure compte des médecins généralistes variant de [16-19[ (classe 6),
Une structure compte des médecins généralistes variant de [19-22[ (classe 7).
23

Tableau N° 5 : Répartition de nombre total d’infirmier selon le classe statistique

Intervalle de classe Effectif Pourcentage

[1-9[ 91 90%

[9-17[ 6 5%

[17-25[ 2 1%

[25-33[ 0 0%

[33-41[ 1 1%

[41-49[ 0 0%

[49-57[ 1 1%

Total 101 100

Les données récoltés pour le nombre total d’infirmier se trouvent dans des structures ont
donné l’effectif 101 infirmier sur 100 structures enquêtés dans 3 zones de santé différente, et
leurs répartition selon les classe ont donné les résultats suivant ;

91 structures contiennent le nombre d’infirmier variant de [1-9[ ( classe 1), 6 structures


contiennent le nombre d’infirmier variant de[9-17[ ( classe 2), 2 structures contiennent le
nombre d’infirmier variant de [17-25[ ( classe 3), aucune ou ( 0) structure ne contient le
nombre d’infirmier variant de[ 25-33[ ( classe 4), une structure (1) contient le nombre
d’infirmier variant de[ 33-41[ (classe 5), aucune structure ne contient le nombre d’infirmier
variant de 41-49 ( classe 6) une structure contient le nombre d’infirmier variant de[ 49-57[

Nombre des pharmaciens :


24

92 structures enquêté n’est contiennent aucun pharmacien, et 8 structures en contiennent un


pharmacien par chacune (tous dans la ZS de Kampemba).

Tableau N° 6 : Répartition de nombre total des laborantins en classe statistique

Intervalle de classe Effectif de structure

0-5 97

5-9 3

Total 100

97 structures contiennent le nombre de laborantin variant de [0-5[ (classe 1), et 3 autres


structures contiennent le nombre de laborantin variant de [5-9[ (classe 2).

Tableau N° 7 : Répartition de nombre total des femmes ménagères en classe statistique

Intervalle de classe Effectif Pourcentage

[0-3[ 88 88%

[3-6[ 9 9%

[6-9[ 2 2%

[9-12[ 0 0%

[12-15[ 0 0%

[15-18[ 0 0%

[18-21[ 1 1%

Total 100 100%


25

88 structures contiennent le nombre des femmes ménagères variant de[0-3[ (classe1), 9


structures contiennent le nombre des femmes ménagères variant de[3-6[ ( classe 2), 2
structures contiennent les nombre des femmes ménagères variant de[ 6-9[ (classe3), aucune
structure n’est contient le nombre des femmes ménagères variant de[9-12[ ( classe 4), [12-
15[ (classe 5), et [15-18[( classe 6), une structure seulement contient le nombre des femmes
ménagères variant de [18-21[ ( classe 6).

Les services organisés en gynécologie :

 cpn
 cpon
 cps
 planning
 consultation
 maternité et accouchement

Les services organisés en néonatalogie

 aspiration
 réanimation
 kiné respiratoire
 prise en charge ou suivis de nouveau-né

Les services organisés en pédiatrie

 cpn
 aspiration
 vaccination
 consultation
 kiné respiratoire
 suivis de la croissance
 hospitalisation ou observation

Les services organisés en médecine interne

 Consultation
26

 Hospitalisation
 Et pansement

Les services organisés en anatomopathologie

 Laboratoire

Les services organisés en chirurgie:

 Petite chirurgie
 Chirurgie majeure

Les services organisés en pharmacie:

 Livraison
 Réquisition
 Gestion

Les services organisés en imagerie :

 Echographie
 Radiographie
 Scanner

Les services organisés au laboratoire :

 Sérologie
 Biochimie
 Virologie
 Parasitologie
 Hématologie
 Parasitologie
 microbiologie

Tableau N° 8 : Le diagnostic de cancer :

Zone de santé Nombre de structure

Kampemba 2

Kowe 0
27

Vangu 1

Total 3

Dans un échantillon de 100 structures reparti dans 3 zones de santé différente, les données
récoltés pour ceux qui diagnostic le cancer ont données le résultat suivant : deux structures
seulement diagnostic le cancer dans la zone de santé de Kampemba, une (1) structure
seulement en diagnostic dans la zone de santé de d vangu et aucune structure diagnostic le
cancer dans la zone de santé de kowe, disons qu’au total 3 structures seulement diagnostic le
cancer dans ce trois (3) zone de santé.

Tableau N° : 9 quels sont les services impliqué dans la prise en charge de cancer
(Traitement de cancer)

Nombre de structure Service impliqués

La radiothérapie

3 L’hormonothérapie

La chirurgie

Comme vu précédemment dans le tableau 8, les trois structures qui diagnostiquent le cancer
ont comme services de prise en charge ; la radiothérapie, l’hormonothérapie et la chirurgie.

Tableau N°10 : les types de cancer prise en charge

Nombre de structure Type de cancer prise en charge

 cancer de sein
 cancer du col utérin
3

Dans un échantillon de 100 structures enquêté dans 3 zones de santé différentes, trois (3)
structures prennent en charge le types ce type de cancer comme cité dans le tableau N°10 si
haut.
28

NB une seule structure qui compte un personnel dédié uniquement au diagnostic de cancer, et
99 structures n’ont aucun personnel dédié pour le diagnostic de cancer.

Remarque : la majorité des structures réfère leurs cas de cancer au clinique universitaire.

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