Seminaire
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0.INTRODUCTION
0.I.Etat de la question
1. IDRI Radia ZAROUR Lylia, qui avait traité sur la thématique suivante « La
communication digitale et son impact sur la fidélisation de la clientèle, cas de
Algérie Télécom».
1
KABEMBA TUBELANGANE, B.A., Méthode et nouveau code scientifique, édition BEHD, Kananga-Kinshasa, 2014,
p.17
[2]
informations nécessaire sur les offres et services d’Algérie Télécom et de les tenir au
courant de l’actualité de l’entreprise pour les inciter à rester client à long terme.
Le choix d'un tel sujet repose sur le fait que toute entreprise de télécommunication a
besoin de temps en temps d'organiser son marketing aux moyens des médias et cela
peut avoir un impact sur sa performance .
[3]
Ainsi dit, notre choix a été dicté par la curiosité de savoir quel est l'impact du marketing
digital utilisée par la société Orange RDC sur sa performance commerciale .
Ce sujet n'est pas un fait aléatoire, mais un choix judicieux fondé sur l'observation de la
politique de communication pour atteindre un public cible dans le monde actuellement
compétitif et en perpétuel changement technologique.
Tout en étant cible de vecteur publicité en Marketing, les entreprises vas jusqu'à faire
appel à l'internet notamment les réseaux sociaux, pour faire passer des publicités dans
l'objectif de capturer tout internaute à adhérer aux propositions de l'entreprise.
Ce sujet formulé, cadre aussi avec notre formation par laquelle nous sommes appelés
après les études, partant de notre connaissance en termes d'expertise, d'orienter des
activités marketing pour la communication d'un produit dans un marché profitable même
si la concurrence est trop vive.
Ce travail sera utile dans le monde scientifique dans la mesure où il constitue tant, soit
peu, un apport à l'éducation scientifique en ce qui concerne la compréhension de la
marketing digital ainsi que l'action de l'impact de cette ce marketing en termes
d'accroissement de la performance d'une entreprise.
Notre souci majeur au choix de ce thème s'avère être double, d'une part théorique et
d'autre part pratique.
O.3. Problématique
Le digital sous toutes ses formes (publicité en ligne, emailing, retargeting, SEM,
réseaux sociaux, social selling, content syndication, e-commerce, …) a transformé
l’approche marketing et commerciale des entreprises En effet, tous les secteurs sont
impactés par l'irruption d'Interne. Cette révolution possède deux caractéristiques
majeures : tout d'abord la vitesse celle avec laquelle Internet a été adopté par la
population mondiale, celle encore plus grande avec laquelle les réseaux sociaux sont
devenus le premier usage des internautes, celle avec laquelle les smartphones sont en
train de devenir le premier moyen d'accès aux données web, celle avec laquelle, enfin,
de nouveaux usages et de nouveaux comportements émergent. L’évolution du web 2.0
et l’émergence des médias sociaux ont contribué à la création des communautés
virtuelles.
[5]
Les entreprises ont alors profité de l’existence de ses ces dernières pour
améliorer leur communication en ligne et favoriser surtout la mise en œuvre de ses e-
réputations. Aujourd’hui, le digital ne concerne pas seulement la communication des
entreprises, mais aussi le marketing, les ventes, la distribution, le CRM (gestion de la
relation client), les services, voire l'innovation. Cette révolution est en cours et chaque
entreprise doit, stratégiquement et culturellement, s'efforcer d'être en avance sur ses
concurrents ou, à tout le moire, de ne pas prendre de retard Dans le même temps,
comme le « digital » est un univers en évolution permanente qui conduit les entreprises
à proposer des innovations, observer les résultats et, éventuellement, repartir dans de
nouvelles directions.
La difficulté pour les entreprises vient de ce que les usages et les technologies
évoluant rapidement, elles sont obligées d'intégrer des compétences de plus en plus
pointues... D'un point de vue opérationnel, les entreprises doivent s’investir dans le
marketing digital. Pour mieux comprendre c’est quoi la digitalisation, nous visons
répondre à la question suivante : « Quel est l’impact de l’intégration du digital sur la
performance de l’entreprise ? »
Pour mieux cerner notre thème, nous avons construit notre réflexion sur les sous
questions suivantes :
- La mise en place d’une stratégie digitale au sein de de ORANGE a-t-elle une influence
sur sa performance commerciale ?
IV. Hypothèses
Une hypothèse est une proposition de réponse à la question de départ que l'on s'est
probablement posée. Elle tend à formuler une relation entre des faits significatifs et
[6]
permet d'interpréter les faits observés afin de donner une signification qui va constituer
un élément de théorie.2
O.5.OBJECTIFS DU TRAVAIL
Le thème choisi est pour nous très intéressant vu l’avancement des technologies
d’information et de communication et le développement des supports numériques et la
grande importance de la digitalisation de la relation client dans un contexte
concurrentiel, où la présence virtuelle pour toute entreprise est devenue une obligation ;
Un thème d’actualité
. Pour mieux mener notre travail de recherche ; nous avons organisé notre travail sur
trois chapitres et deux sections chacun :
Dans le premier chapitre nous l’avons consacré pour donner un aperçu sur le marketing
digital ainsi que le processus de son implémentation dans l’entreprise.
Dans le second chapitre nous nous intéressons à l’apport du marketing digital sur la
performance commerciale de l’entreprise et sa contribution dans cette dernière.
2
KILONDO NGUYA, Méthodes des recherches en sciences sociales, notes de cours Économie G2,UNILU, inédit, 2009-
2010, p.11
[7]
Méthodologie de la recherche
Pour accomplir notre travail, nous avons adopté une approche de collecte d’informations
descriptive et analytique. Tout d’abord une recherche documentaire via différents
ouvrages, mémoires et autres documents ainsi les sites internet dans le but de
constituer une partie dédiée aux concepts théoriques nécessaires à la compréhension
du sujet. Nous avons pu faire des lectures théoriques en accédant aux documentaires
de la bibliothèque de la faculté des sciences économiques, et gestion de l’UNIKIN ce qui
nous a permis de mettre en lumière les pratiques du digital au sein de l’entreprise ainsi
de que de cerner les enjeux du marketing digital et leurs apports sur sa performance
commerciale. D’une autre part, une enquête de terrain a été menée dans les différents
lieux de ventes des produits ORANGE dans la ville de KINSHASA
[8]
Le marketing digital est devenu aujourd’hui une pratique populaire, bien ancrée
dans notre quotidien. Dans un monde toujours plus connecté, la concurrence des
entreprises numériques bouleverse les modèles d’affaires, et les dirigeants n’ont guère
le choix : l’heure est à la transformation digitale.
Cette transition n’est pas nouvelle. Elle recouvre une réalité nécessaire, surtout
pour les entreprises dites «traditionnelles», qui ne sont pas nées dans la culture digitale.
Bâties sur un modèle ancien, elles doivent engager et réussir leur transformation pour
rester compétitives. Ainsi que tout individu possède son propre réseau social qu’il soit
connecté à l’internet ou non.
Les réseaux sociaux ont toujours existé, l’internet n’a fait qu’amplifier le
phénomène et perfectionner les pratiques liées à ces derniers. Les réseaux sociaux
s’adaptent à toutes les thématiques possibles ; recherche d’emploi ou de
développement de business, rencontre entre individus, échange d’information autour
d’un centre d’intérêt commun, partage de contenus multimédia ou de la musique, etc. Le
marketing digital ne vise pas à révolutionner le marketing dans son essence ou sa
finalité.
Bien que le terme fût créé en 1962, le concept du marketing voit véritablement le
jour en 1950. Dans une société américaine où la consommation est au centre de la
stratégie industrielle, ce procédé révolutionnaire va bouleverser les fondements de la
relation entre vendeurs et acheteurs. Cependant il faudra attendre plus de 40 ans, en
1992 pour assister à la naissance du phénomène marketing digital. Avec la naissance
de Google, MSN ou encore Yahoo, on assiste à une véritable transformation digitale dès
le début des années 2000.
Le web est sans doute une technologie majeure du 21ème siècle qui a
bouleversé notre vie quotidienne. L’évolution de sa nature, sa structure et son utilisation
a également profondément modifié les pratiques commerciales et sociales. Cette
évolution se résume en quatre phases principales. A. WEB 1.0 Il désigne ce qui était le
web du 1995-2003 Encore appelé web traditionnel, est avant tout un web statique,
centré sur la distribution d’informations. Il se caractérise par des sites orientés produits,
qui sollicitent peu l’intervention des utilisateurs. Le coût des programmes et logiciels
propriétaires est énorme.2 Web 1.0 est une analogie parfaite avec la télévision du
moment où on a un diffuseur vers un utilisateur, avec une faible interactivité. B. Web 2.0
GRUYER Vincent définit le web 2.0 comme : « On appelle Web 2.0 ou Web participatif
ou web collaboratif, un système d’information visible partout dans le monde et dans
lequel n'importe quel internaute peut être actif. Consommateur (consommateur + acteur)
et utilisateur (utilisateur+acteur) sont des termes utilisés en marketing pour définir les
utilisateurs ».4
C. WEB 3.0
4
LIBAERT. T, WESTPHALEN. M. Op.cit. p. 209.
[11]
Les outils utilisés pour le développer sont les réseaux sociaux, les blogs, le
commerce électronique, les supports numériques, les jeux vidéo et les displays
(affichage publicitaire dynamique).7
De nos jours, les marques courent après les données appelées « Big Data »
grâce au développement du marché des objets connectés et des pratiques de
géolocalisation. Le web d’aujourd’hui tient compte du contexte, des besoins de chaque
utilisateur en tenant compte de ses centres d’intérêt, de sa localisation, etc.
5
FAIVET. V, GUEDJ.A, Op.cit., p.165.
6
François SCHEID, Renaud VAILLANT, Grégoire DEMONTAIGU « Le marketing digital, Développer sa
stratégie à l’ère numérique », Groupe Eyrolles, 2012, p 32.
7
3 https://marketingdigitalsdp1.wordpress.com/2017/09/25/evolution-marketing-digital-annees-2000-
nos-jours/, consulté le 07-11-2024, à 11 :12.
[12]
Laurent Florès adopte à peu près la même définition et voit en marketing digital
est : «La promotion de marques et produits auprès des consommateurs, grâce à
l’utilisation de l’ensemble des médias et points de contacts digitaux ». Le marketing
digital peut est défini par Grégory Bressolles comme : « Le processus de planification et
de mise en œuvre de l’élaboration, de la tarification, de la communication, de la
distribution d’une idée, d’un produit ou d’un service permettant de créer des échanges,
effectués en tout ou en partie à l’aide des technologies digitales, en cohérence avec des
objectifs individuels et organisationnels ».9
D’après les définitions que nous venons de cité, nous pouvons conclure que le
marketing digital est une méthode qui utilise plusieurs outils digitaux interactifs entre
eux. Leur but est de faire connaître l’ensemble des produits et services d’une entreprise.
Pour valoriser la démarche, chaque contact avec les clients est individualisé. Cette
technique met en œuvre tous les outils de communication digitaux comme le
smartphone, la tablette ou l’ordinateur.
Les propriétés des médias digitaux et d’internet font que le marketing digital
présente des spécificités et diffère sensiblement du marketing classique. En effet, les
médias digitaux autorisent de nouvelles formes d’interactivité et d’échanges
d’informations, une plus grande possibilité de personnalisation des produits, services et
même de la relation avec le client.
Bien plus que tout autre canal de diffusion d’information, le canal numérique offre
des possibilités de mesure multiples. C’est une opportunité car chaque action menée
10
1 SCHEID .F, VAILLANT. R, DE MONTAIGU. G, « Le marketing digital, Développer sa stratégie à l’ère
numérique », Eyrolles, Paris, 2012, P 18
[14]
pourra être mesurée. Sur Internet, la mesure est bien plus efficace. En achetant une
publicité sous forme de bannière sur un magazine en ligne, il est possible de savoir
Immédiatement combien de fois la bannière a été affichée, combien de personnes : ont
cliqué sur la bannière ; ont immédiatement fait un achat sur le site ; ont acheté dans les
trente jours suivant la visualisation de la publicité, etc. Et tout cela pour un coût réduit.
Donc, comme nous venons de le voir, les propriétés des médias digitaux tels qu’Internet
font que le marketing digital présente des spécificités et diffère sensiblement du
marketing classique. En effet, les médias digitaux autorisent de nouvelles formes
d’interactivité et d’échanges d’informations, une plus grande possibilité de
personnalisation des produits ou services et/ou de la relation avec le client grâce à l’«
intelligence » des technologies digitales.
En générale, le but du marketing digital est d'augmenter les visites sur le site, de
transformer ces visites en actes d'achat et de fidéliser le client en établissant une
relation régulière avec lui. Aujourd’hui, il est devenu l’atout majeur qui permet à chaque
entreprise d’améliorer leurs performances.11
https://www.journaldunet.fr/business/dictionnaire-du-marketing/1198319-marketing-digital-qu-
11
est-ce-que-lemarketing-a-l-ere-du-num
[15]
méthodes digitales de marketing, et ce, par la portée illimitée qu’elles vous confèrent.
Aussi, dans certains cas, cette nouvelle façon de procéder peut s’avérer moins
couteuse que certaines opérations de marketing au prix faramineux. Les principaux
objectifs du marketing digital sont :
L’un des principaux objectifs du marketing digital est de générer des leads sur
site de l’entreprise. Grâce à diverses techniques SEO, elle peut le rendre plus attractif et
bien positionné sur les moteurs de recherche. Le référencement web est indispensable
pour augmenter le trafic vers le site de l’entreprise, un bon référencement permet de se
positionner dans les premiers résultats des moteurs de recherche.
1.4.3.Fidéliser la clientèle
- Les informations obtenues sur les consommateurs vous aident à adapter l’offre et à
proposer un produit ou service personnalisé qui correspond à leurs besoins ;
- Le marketing digital favorise la fidélisation et la satisfaction des clients par une relation
durable et de qualité ;
- Il permet aussi de faire des économies de coût et de budget : s’offrir un site web coûte
moins cher qu’installer une boutique physique ;
définition, son histoire et ses objectifs. Ensuite, nous allons mettre la lumière sur les
leviers et les outils de la communication digitale. En fin, nous allons voir les outils pour
bonne communication digitale.
13
http://www.communication-web.net/2014/02/03/quest-ce-que-la-communication-digitale/ consulté le
22/12/2020, à 20 :34.
[18]
L’objectif nouveau des entreprises est donc de cibler leurs consommateurs non plus
seulement sur le web mais à travers l’ensemble des médias Digitaux».14
Suite à ces définitions, nous pouvons dire que communication digitale connu
aussi sous le nom de la communication numérique est une communication médias, elle
met le client au coeur des préoccupations de l’entreprise, grâce à une stratégie et à des
actions de communication menées sur des supports numériques : web, les médias
sociaux et les terminaux mobiles. Ses outils permettent de disposer d’une vue complète
de ses clients, de connaître ses usages pour finir par créer de la valeur pour lui et pour
l’entreprise à la fois.
- Créer du trafic : attirer sur le site un trafic qualifié en fonction de l’objectif fixé
(vente, inscription, remplissage d’un formulaire…) ;
14
OUALID Habib : « Les outils de la communication digitale- 10 clés pour maitriser le web marketing »,
Eyrolles, Paris, 2013, p.19
15
GREGORY. B, PINSSON. C, « marketing digital», 2ème Ed, Dunod, Paris, 2016, p. 79.
[19]
Les médias payants désignent l’espace publicitaire acheté par la marque sur les
médias digitaux, ils représentent un bon moyen de promouvoir le contenu afin de
générer des médias gagnés, ainsi que de diriger un trafic vers les propriétés de médias
possédées. Les paids medias online peuvent être :
- Affiliation et comparateurs ;
16
MARRONE. R , GALLIC. C, « Le grand livre du marketing digital ».Dunod, Paris, 2018, P 135.
[20]
- Mobile applications.
Les leviers gratuits ou organiques sont rarement suffisants pour obtenir des
résultats rapides et en volumes suffisants.
2.2.1. Le display
17
POMMERAY.D, le plan marketing-communication digital, Dunod, Paris, 2016, P.74
[21]
Coût par clic (CPC) : A chaque fois qu’un internaute appuie sur une publicité
en ligne, il sera automatiquement dirigé vers le site de l’annonceur. Ce dernier devra
rémunérer le site qui l’accueille à chaque clic ;
Coût pour mille (CPM) : l’annonce est facturée selon le nombre de vus, à
chaque 1000 vus, l’annonceur devra rémunérer le site hôte ;
Coût par lead (CPL) : l’annonceur rémunère l’éditeur par action spécifique
faite par l’internaute tel que l’inscription sur le site, le remplissage d’un formulaire…etc.
Coût par visionnage (CPV) : d’une vidéo est le modèle publicitaire principal
de la plupart des plateformes vidéo comme YouTube.
18
http://www.pubdigitale.fr/outilsressources-du-display/fiche-pratique-display/, consulté le23/12/2020, à 22 :15.
[22]
Le site web est le point de départ et le cœur du système. Quel que soit le
domaine d’activité de l’entreprise concernée, il est également un outil de marketing
direct très pointu.
Les objectifs d’un site web L’entreprise développe des sites pour :20
19
POMMERAY (D), « Le plan marketing-communication digital : préparer, déployer et piloter son plan web
marketing », Dunod, 2016. p 136.
20
RECHENMAN (J.J), « l’audit du site web, d’Organisation », Paris, 2001, P.p.26.27
[23]
- La mode : une présence sur le web ne se justifie qu’en réponse à des objectifs
précis et d’être sur la toile ;
2.2.3. Le référencement
Afin d’accroitre leur visibilité sur la toile, les entreprises ont recours à ce que l’on
appelle : « le référencement ». Le référencement ou« SEM » (SearchEngine Marketing
en anglais), c’est le fait d’être plus ou moins visible sur les différents moteurs de
recherche (Google, Yahoo, Bing…) et le fait d’adopter un positionnement judicieux, à
l’aide de motsclés, afin que la visibilité sur ces moteurs soit pertinente. Le SEM désigne
l’ensemble des techniques de webmarketing visant à accroître le trafic provenant des
moteurs de recherche d’un site Internet. On distingue deux types de référencements : le
référencement naturel et le référencement payant :21
- Le second est géré comme des espaces publicitaires soumis à des enchères.
Les places en haut de la liste sont offertes à ceux qui paient le plus. On parle alors de
liens sponsorisés ou liens commerciaux.
Durant ces premières années, on associait internet au terme web 1.0, c'est-à-dire
que les connexions étaient relativement lentes et les problèmes de connexion n’étaient
pas rares, les pages et le contenu publiés par les sociétés étaient relativement
statiques. Les logiciels étaient compliqués et l’internaute était un simple récepteur
d’informations car il n’était pas en mesure de publier du contenu.
Cependant la notion élargie englobe également toutes les actions menées pour
attirer du trafic et influer sur le nombre de visiteurs. Deux méthodes existent pour y
parvenir :
2.2.4. L’Affiliation
Cette technique permet aux affileurs de mettre en avant une offre spécifique et
aux éditeurs de sites internet, les affiliés, d’être payés moyennant l’affichage de
publicité. La plate-forme d’affiliation quant à elle intervient en tant qu’intermédiaire entre
les affiliés et les annonceurs. Elle joue le rôle de prestataire technique, de gestionnaire
de la relation affilié/affileurs et de tiers de confiance. 24
2 L’affiliation donc est un contrat entre un site marchand et des sites partenaires
affiliés à son programme : concrètement, cela signifie qu’un site partenaire héberge des
contenus affiliés (bannières, liens, catalogues produits) qui redirigeront le visiteur vers le
site marchand. Cette méthode marketing permet d’augmenter l’acquisition de trafic.
La clé d’une bonne campagne digitale est souvent multicanal. En effet, elle doit
suivre les comportements des consommateurs. C’est l’attractivité des campagnes de
l’affilieur qui vont permettre de générer des visites (clic), remplir des formulaires
(création de lead) et réaliser un achat (commission). L’efficacité d’une campagne
d’affiliation dépend de la capacité à capter des tops affiliés (sites renommés). Pour un
affilieur l’enjeu sera de rendre une campagne attractive pour trouver preneur auprès des
affiliés, et de trouver des affiliés capables de générer des leads.
24
1http://www.digitalkeys.fr
25
Maria Mercanti-Guérin, Michèle Vincent, Publicité , « digitale », Dunod, 2016, p 2
[26]
comportements des individus et oblige à une révision des politiques marketings.1 Parmi
les principales techniques du marketing mobile, on peut citer :
L’email mobile connait une très forte croissance grâce à l’arrivée des terminaux
mobiles. En effet plus de 38% des e-mails dans le monde sont lus sur des smartphones
ce qui modifie profondément le mode de consommation du média internet. Il est donc
essentiel pour l’efficacité des campagnes e-mailings sur mobile d’être lisibles sur ces
nouvelles plateformes en adaptant le contenu au format responsive.26
2.2.5.3.Display mobile
code est l’acronyme de Quick Response Code ou code barre 2D. Le QR code
est un tag lisible par les téléphones portables qui peut donner lieu à de nombreux
usages marketing et publicitaires. Le QR code peut être notamment utilisé sur des
contenus presse, des affiches ou un packaging. La lecture d’un QR code à partir d’un
téléphone portable permet d’accéder directement à un page web ou un autre contenu
normalement optimisé pour l’accès mobile. Son utilisation permet de donner accès à
26
François SCHEID, Renaud VAILLANT, Grégoire DEMONTAIGU, Op.cit., p 12.
27
2 www.pubdigitale.fr
[27]
2.2.5.5.Réalité augmentée
2.2.5.8.Cloud
C’est l’activité d’écoute (d’une entreprise ou d’une marque le plus souvent) des
internautes présents sur les médias sociaux (sites de micro-blogging, forums, réseaux
sociaux numériques…). Elle permet de cerner la situation actuelle, de quantifier et
comprendre les discussions qui ont lieu par milliers sur la toile. Ceci offre la possibilité
de mieux comprendre les mécanismes d’influence et d’identifier par exemple des
tendances de consommation. L’écoute est l’étape première du social listening mais
l’essentiel de l’activité consiste à extraire l’information utile de la masse de bruits inutiles
puis d’exploiter ces éléments au profit de la communication de la marque et de la
construction de stratégie digitale de l’entreprise.
28
Frédéric CAVAZZA, Consultant en social media et e-commerce
29
news.social-dynamite.com/, consulté le 02/01/2021, à 22 :30.
[29]
Les réseaux sociaux ont véritablement émergé dans les années 2000 avec
l’avènement de l’ADSL. Il existe un grand nombre de réseaux sociaux, la plupart se
distinguant par leurs spécificités. Et parmi eux bien évidemment, on retrouve les deux
leaders des réseaux sociaux, que sont « Facebook » et « Twitter ». La particularité de
ces réseaux sociaux est la structure sous forme de « profil ». Pour être présent sur cet
espace, l’internaute doit créer son profil afin d’être identifiable auprès de sa
communauté. L’ensemble des activités de son « réseau » est centralisé sur une seule et
même page, ce qui permet aux utilisateurs de suivre très simplement l’ensemble des
flux d’informations publié.
30
1Frédéric CAVAZZA, Consultant en social media et e-commerce
31
2http://celine-redaction-web.com/le-marketing-de-conversation-strategie-parlante/
32
PONCIER. A, « les réseaux sociaux d’entreprise : 101 questions » Diateino, Paris 2011. P.24 * Facebook,
créé en 2004, compte en 2012 plus de 500 millions d’utilisateurs dans le monde , cet outil digital a atteint
le chiffre de 200 millions d’utilisateurs en mois d’un an.
[30]
Les efforts déployés pour mettre en avant un site web dans les résultats de
recherche naturels peuvent mettre du temps pour être visibles. Dès lors, on pourrait
utiliser la publicité en ligne pour promouvoir un site web donné. La convergence des
possibilités de ciblage et des techniques d’analyse de comportement des internautes
ont orienté la publicité digitale vers des objectifs plus opérationnels comme le trafic sur
site et la vente. Bien évidemment, la publicité en ligne ne sert pas qu’à communiquer
autour des sites web mais est utilisée pour mettre en avant tout service ou produit d’une
[31]
La promotion sur internet devra être une prolongation des activités de promotion
offline et ce à travers une stratégie marketing intégrée. Les activités de promotion sur
internet bénéficient de la traçabilité qu’assure cette technologie et donc d’un degré de
mesure plus poussé que celles dites traditionnelles. La communication sur internet
permet également plus de liberté puisqu’elle s’affranchit des formats traditionnels (spot
de trente seconde, insertion presse) pour des formats plus créatifs tels que les
miniséries ou encore les bandes dessinées.
Dans cette partie, nous allons présenter les étapes par lesquelles passe
l’élaboration d’une stratégie digitale réussie. Ces étapes reviennent dans la majorité des
ouvrages.
Une stratégie digitale réussie passe en effet par une planification minutieuse, la
création des idées qui supportent la plateforme, le design et mise en place de la
plateforme, l’engagement de la cible ainsi que l’évaluation et l’optimisation de la
plateforme. Notons que ces étapes relèvent plus d’une démarche itérative que d’un
33
https://charge-de-com.fr/linfluence-dun-crm-marketing-digital/, consulté le 11/12/2020, à 13 :20.
[32]
cheminement linéaire puisque les constats soulevés à chaque phase peuvent induire
des changements dans tout le processus.
2.4.1.1. La planification
34
Vaillant, Renaud,de Montaigu, Grégoire, « Le marketing digital : Développer sa stratégie à
l'èrenumérique, Paris: Eyrolles », 2012, P35.
[33]
Ces dernières années, les entreprises ont renforcé leur socle technologique afin
de tirer leur épingle du jeu dans un monde de plus en plus concurrentiel. Les stratégies
marketing des entreprises se tournent vers :
Clients : les clients sont de plus en plus exigeants envers les produits,
services, l'expérience et les valeurs des entreprises avec lesquelles ils interagissent ;
Sécurité : les marques doivent faire face à une menace plus élevée de
piratage/fuites de données et autres risques associés ;
35
BENOIT Heilbrun (2003) : « modalité et enjeux de la relation consommateur-marque », revue française
de gestion, 2003/4-no 145-p 131-144. P 133.
36
Mortimer , Dan et al (2010) . « Planning and managing a digital strategy» .Royaume-Uni : RedAnt . p8
[34]
En mettant en place une stratégie digitale et en étant présent sur différents outils
digitaux, on peut distinguer différents objectifs. Les objectifs de performance et d’image
de marque, qui sont intimement liés et doivent trouver un certain équilibre sur le web. La
présence de la marque sur les outils de communication traditionnels comme la télé et
l’affichage répond aux objectifs de notoriété et d’image. 37
37
Mémoire Stratégie Digitale Comte Jonathan Promotion 2012
[35]
Conclusion
comprendre ses objectifs pour choisir ensuite les moyens les plus efficaces. Les
stratégies émises par les entreprises en matière de communication dépendent
évidemment de la nature des produits que commercialise l'entreprise (on ne
communique pas de la même manière sur de la lessive que sur une voiture par
exemple), mais aussi au niveau des cibles auprès desquelles l'entreprise souhaite
communiquer et des objectifs à atteindre.
Cette transformation passe entre autres par l’adoption d’outils de CRM (Customer
Relationship Management) qui intègrent une dimension sociale forte à travers des
modules d’analyse des réseaux sociaux et amorcent ainsi une connexion des données
internes à l’entreprise et de données externes sur les clients La digitalisation peut être
utilisée dans le processus et les systèmes de production, l’achat et la vente des biens et
services, la communication avec les clients et autres partenaires. Comme nous allons le
voir dans ce chapitre, l’Internet transforme radicalement les modalités de production, de
livraison, de vente et d’achat de biens et services. Il met en relation, par la connectivité
numérique, un nombre croissant de personnes et d’entreprises
Les technologies digitales ont un impact sur chaque entreprise et chaque secteur
d’activité. Cependant, l’externalisation des opérations et des services métiers continue
dans bien des cas à emprunter la voie analogique. Le transfert des processus existants
auprès d’un partenaire n’implique pas en effet une transformation des processus ni des
moyens. Dans ce contexte, les technologies de pointe peuvent aujourd’hui apporter un
avantage concurrentiel.
Le concept de performance renvoie à l'idée d’accomplir une action .Il s’agit avant tout
d'entreprendre et de terminer cette action, sans qu'aucun a priori ne soit explicité sur la
nature ou le niveau du résultat à obtenir. Dans le langage courant, la performance est
précisément le fait d'obtenir un résultat, ce qui sous-entend bien entendu que ce résultat
doit être « bon ». L'efficacité concerne le rapport entre le résultat obtenu et l'objectif à
atteindre. Ce concept suppose donc d'une part qu'un objectif ait été préalablement
défini, et d'autre part que le résultat obtenu ait été mesuré (ou du moins estimé). 38
- Elle est efficace lorsqu'elle atteint les objectifs qu'elle s'est fixés ;
- Elle est efficiente lorsqu'elle minimise les moyens mis en œuvre pour atteindre les
objectifs qu'elle s'est fixé.
Toute performance est déterminée par la motivation, mais également par beaucoup
d’autres paramètres.39
40
Claude Alazard, Sabine Sépari. DCG11 « Contrôle de gestion ». Édition : Dunod. Page : 145
[40]
41
conquis ce leadership global. La performance à long terme est donc associée à la
capacité à remettre en cause des avantages acquis pour éviter l'échec d'un bon
concept, à la définition d'un système de volonté visant le long terme et à la capacité de
l'entreprise à trouver des sources de valeur créatrices de marge.
Il est de plus en plus reconnu que l'entreprise n'est pas durablement performante
financièrement si elle n'est pas performante humainement et socialement. Les questions
liées aux compétences, à la capacité d'initiative, à l'autonomie, à l'adhésion des
salariés, à la réalisation des objectifs, voire au projet et donc à la culture de l'entreprise,
constituent des éléments déterminants.
Depuis 1985, de nombreux travaux de recherche ont été réalisés pour mieux
cerner cette notion de l'efficacité ou de performance par les hommes. Ces divers
travaux, mettent en évidence que la compétence, son acquisition, son développement,
sa gestion, s'imposent désormais comme un facteur décisif pour l'obtention de
l'efficacité humaine, quelle qu'en soit la forme. Réfléchissant sur l'obtention de la
performance dans une organisation, S.Michel et M.Ledru considèrent que si les
compétences sont toujours une source de performance, elles ne suffisent pas à elles
seules à en déterminer le niveau.43
41
Hervé Arnaud, Ali Garmilis et VeroniqueVignon , « Le contrôle de gestion en action », 2ème édition, p 89.
42
Alain Burland, George Langlois, Michel Bringer, Carole Bonnier, «DCG11 Contrôle de gestion », édition Foucher ,
p18
43
S.Michel et M.Ledru « Capital-Compétence dans l'entreprise », éditeur : ESF, p6
[41]
Ces indicateurs illustrent les changements ayant un rapport direct avec les
activités du programme (par exemple, le pourcentage de chefs traditionnels de la
communauté considérée ayant suivi la formation sur les normes des droits de la
personne relatives à la violence à l’égard des femmes et des filles dont les
connaissances se sont accrues.).
Les indicateurs d’effets ont trait aux changements qui apparaissent du fait des
interventions du programme dans le moyen ou le long terme (par exemple, le nombre
de décisions du système de justice informelle de la communauté considérée en matière
de violence à l’égard des femmes qui reflètent une approche axée sur les droits de la
personne.).
Source:RevizorLil, op.cit,
p25
1.5.L’évaluation de la performance
44
John Libbey, « les facteurs de la performance de l’entreprise », Edition johnlibbeyEurotext, France, 1995, PP: 22-
23
[44]
affectés par elle. « Comment accroître les performances par un meilleur management »,
pour cela il faut procéder à une évaluation rigoureuse de la performance. Au niveau
mondial, le marché publicitaire digital devrait rester le seul média à enregistrer une
croissance à deux chiffres, estimée à +15,7 % en 2015 (stable) et +14,3 % (vs +13,8 %)
en 2016. La part de marché du digital devrait passer de 24,3 % en 2015 à 26,5 % en
2016. La question se pose de l’avenir des médias traditionnels.
45
Jean-Jacques Lambin, Chantal de Moerloose, « Marketing stratégique et opérationnel, La démarche marketing
dans l’économie numérique », 9e édition, Dunod, 2016, P 2
46
https://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/1175211-ameliorer-la-mesure-de-l-impact-du-
digitaldans-la-performa
[45]
empruntant parfois de nombreux synonymes. Ainsi, dans cette section, nous allons
préciser ce concept et ses différentes facettes puis faire un examen critique de la
littérature relative à l’effet de la digitalisation sur la performance des entreprises. Ce
travail nous permettra alors de construire notre modèle de recherche a priori.
- Améliorer la communication avec les clients : chaque post, like, partage, message
privé utilisé par les internautes est un canal de communication ;
- Réduire les coûts marketing : moins chère qu’une campagne publicitaire, une stratégie
social media bien construite peut s’avérer tout aussi rentable ;
47
E-book « Impact du digital sur les métiers de l'entreprise », www.monentreprisedigitale.com
[46]
2.1.1.1.L’accroissement de l’activité
Les ventes d’une entreprise peuvent êtres favorisés en deux façons : A. Atteindre
de nouveaux clients D’après BELVAVEAU B et NOTEBAERT J.F, 2015 il existe 4
milliards d’internautes dans le monde, le client à la possibilité d’accéder aux sites des
entreprises de n’importe quel endroit pourvu qu’il dispose d’une connexion internet. Les
entreprises peuvent alors recourir au commerce électronique pour atteindre de
nouveaux clients potentiels (autres régions, autres pays) non couverts par les canaux
traditionnels. B. Développer la valeur par client Les outils digitaux ont un avantage sur le
développement de la rentabilité des clients existants, en améliorant : la durée de vie du
client (faire acheter le plus longtemps possible), la fréquence d’achat (faire revenir le
plus régulièrement possible), le panier d’achat (faire dépenser davantage à chaque
achat).
48
Madeleine Besson, « Entreprise du futur. Les enjeux de la transformation numérique », Livre blanc, Institut Mines-
Télécom, 2016, p9.
[47]
sur les consommateurs, comparé au marketing digital qui est facilement quantifiable et
permet de contrôler précisément son rôle auprès des consommateurs.
Grâce à ces médias, les entreprises disposent d’approches innovantes pour fournir de
la valeur aux clients et peuvent également améliorer leurs processus et leurs activités.
Ces médias digitaux modifient également le comportement des consommateurs qui ont
un accès pratique et continu à l’information. Ils contribuent à renforcer le pouvoir de ces
derniers envers les marques, grâce à un accès à de nombreuses informations sur les
produits, les prix, leur disponibilité et la satisfaction des autres consommateurs. 50
Derrière celle-ci se jouent les effets d’accroissement de performance dans l’emploi des
facteurs de production : productivité du travail, productivité du capital, productivité de
l’énergie et des matières premières, mais aussi augmentation des capacités
49
B. BELVAVEAU et J.F.NOTEBAERT, « Crosscanal et Omnicanal : La digitalisation de la
relation client », Ed Dunod, Paris, 2015. P.p 40-43
50
Nwamen, « Impact des technologies de l'information et de la communication sur la
performance commerciale des entreprises », La Revue des Sciences de Gestion, 218 : 2, 2006,
p. 115.
[48]
2.1.2.2. La dématérialisation
51
Gérard GARIBALDI, « L’analyse stratégique, troisième édition », Éditions d'organisation Eyrolles, 2008,
75.
[49]
C’est le cas par exemple dans ce dernier aspect des factures récurrentes telles
que celles de l’électricité ou des abonnements téléphoniques pour lesquelles de plus en
plus d’entreprises offrent aux clients la possibilité de les consulter directement via
internet, leur permettant ainsi d’économiser sur les coûts d’édition, d’envoi, et de gestion
de courriers. La performance renvoie à :52
2.2.1.L’e-réputation
52
Lendrevie, A., R. Fetique, T. Faivre-Duboz, « Le web marketing », Paris : Dunod, 2011, p .57.
53
E Marketing, 2015. « Glossaire – réputation ». {En ligne}
[50]
D’autres auteurs, comme Frédéric Cavazza, estiment qu’il n’est pas pertinent de
parler de e-réputation. En effet, la réputation d’une entreprise ne se limite pas à un outil,
mais s’évalue en prenant en compte l’ensemble des outils participant à l’image projetée
par l’entreprise, l’outil internet n’étant pas suffisant, tout comme il n’y a pas de e-
réputation pour la télévision. La e-réputation est influencée par l’ensemble des supports
utilisés par l’entreprise, car la perception de l’image de l’entreprise en fonction des outils
« on line» par la prise en compte de l’ensemble des outils digitaux existants.
2.2.2. La notoriété
question de conforter cette image de marque sur internet. Dans cet univers de média et
d’abondance, l’image de l’entreprise est un capital immatériel unique qui a une valeur
très forte, parfois bien plus importante que le capital matériel. La marque représente
plus de 60% de la valeur d’une entreprise de biens à la consommation, et plus de 80%
dans les industries du luxe, d’où l’importance de gérer son image. Une image de
marque négative aura des répercussions sur l’ensemble des parties prenantes de
l’entreprise. Comment préserver et améliorer la réputation que l’on avait acquise avant
l’avènement du web social ?
L’internaute est considéré ces dernières année, non pas comme un simple
récepteur des actions marketing, mais comme un contributeur et ce, à tous les niveaux
de la démarche marketing. L’internaute consommateur ne doit plus être estimé comme
le simple récepteur du processus marketing, il doit au contraire faire partie de ce
processus.
Le marketeur doit donc être capable de mettre en place les outils permettant de
favoriser cette interaction. La gestion de la relation client peut être définie comme « une
stratégie pour gérer les interactions avec les clients actuels et potentiels. Elle s’appuie
souvent sur la technologie. Cette technique peut être abordée de trois principaux angles
57
: la perspective marketing à l’espaces dédiés et gérés par l’entreprise.
56
Grégory Bressolles, Op.cit., p 9.
57
Idem.
[53]
qui ont interagi avec la marque sont satisfaites. Grâce aux données clients qu’elle
permet d’accumuler, la GRC peut être utilisée en amont pour pouvoir sélectionner le
meilleur levier à utiliser pour chaque cible visée. Cette technique a même évolué pour
englober la gestion de la relation de tous les partenaires de l’entreprise.
- Compréhension du client,
[54]
- Segmentation analytique,
Le client étant maintenant autonome pour faire son choix, son attention se
reporte logiquement sur la qualité de la relation entretenue avec l’entreprise. C’est dans
ce domaine que le commercial tient désormais son premier rôle. Il doit devenir un
véritable chef d’orchestre de la relation client et s’assurer que :
- La relation est cohérente dans ses dimensions on life et on line. L’expérience client
doit rester harmonieuse quel que soit le canal utilisé ;
- La relation est fluide et s’effectue en temps réel. Le commercial doit faire preuve
d’ubiquité (multiples canaux et supports) et d’immédiateté (grande réactivité), et
s’assurer que les différents canaux communiquent correctement entre eux pour partager
l’information client en continu.
Pour Domegan (1996) et Nelson (1999) les TIC permettent d'améliorer la qualité
de la relation entre l'entreprise et le client. Dans la même lignée, Colgate (1998) affirme
que les TIC permettent aussi de renforcer et de consolider cette relation, ce qui améliore
le niveau d'engagement du client (Morgan et Hunt, 1994), tout particulièrement dans les
secteurs à dominance informationnels corrune le secteur bancaire (Bettis et Hitt, 1995).
Pour Lang et Co1gate (2003) l'apport des TIC se manifeste aussi au niveau du
caractère lucide et précis de l'information fournie favorisant ainsi une meilleure
communication et limitant l'asymétrie d'informations entre l'entreprise et ses clients.
Sachant que le fait de réduire l'écart d'information entre les deux parties permettent de
bâtir un climat de confiance (Morgan et Hunt, 1994).
En définitive, les TIC permettent la création de valeur aussi bien pour l'entreprise
que pour le client et elle joue aussi un rôle capital comme source d’avantage
[56]
58
Les cookies sont une forme de mini logiciel installé automatiquement par les sites ou services Internet.
Ils mémorisent les préférences des sites visités et les paniers d’achat. Leur exploitation reste limitée car en
tant que fichier texte ils ne peuvent être exécutés
[57]
combiner les critères qualitatifs et les critères quantitatifs pour mieux mesurer la
performance des entreprises. La stratégie doit se construire par étapes successives, et
cela peut effectivement prendre du temps avant de pouvoir en mesurer les effets. Les
indicateurs de mesures sont :59
Afin de savoir précisément à quoi est due l’augmentation constatée de trafic, il est
nécessaire d’analyser les canaux d’acquisition et de regarder quel canal a été le plus
performant, durant quel(s) jour(s), pour déterminer l'événement, l’action, le partenariat
ou le post qui a canaux d’acquisition, afin de déterminer quel canal a été le plus efficace
et a rapporté le plus de visiteurs.
Une fois le trafic total calculé, il est important de savoir si les visiteurs ont cliqué sur les
call-to-actions, s’ils ont cherché à télécharger les livres blancs proposés, ou, mieux
encore, s’ils ont contacté l’entreprise. Les métriques que l’on surveillait alors étaient le
taux de clics sur nos call-to-action et le taux de visite de nos landing pages pour
connaître la contribution de chaque contenu travaillé à nos objectifs de conversion.
Pour mesurer l’enchantement des utilisateurs, il est bon de suivre le taux d’ouverture et
de clics des newsletters envoyées aux clients signés. Cela permet de savoir s’ils
s’intéressent à l’activité de l’entreprise et ne sont pas lassés ou contrariés. Sur les
réseaux sociaux, le taux d’engagement des clients est également une bonne indication
de leur attachement à votre marque. Le nombre de tweets ou de retweets, de likes, de
commentaires, etc. effectués par les clients seront donc à suivre. Youmna Ovazza
quand à lui estime que les deux principaux problèmes liés au pilotage stratégique sont
dus à la multitude de données disponibles ainsi qu’à la difficulté de les agréger entre
elles de façon cohérente. L’auteur estime qu’il est obligatoire de hiérarchiser ces
indicateurs en distinguant les 2 différents types de données : les indicateurs d’objectifs
finaux et ceux intermédiaires.
59
Laurent FLORES , Op.cit., p25.
[58]
Les indicateurs d’objectifs finaux Correspondent aux objectifs ultimes, tels que les
objectifs de ventes, marge, profit, équilibre financier, rentabilité etc… Pour les services
communication et marketing d’une entreprise, ce seront la notoriété globale, l’image de
l’entreprise, la conversion des prospects en clients etc… Ce ne sont pas des indicateurs
en lien direct avec la présence de la marque sur internet.
Sont ceux qui permettent à l’entreprise d’avoir un état des lieux des actions en
cours et de savoir si elle est sur le bon chemin. Ils permettent d’établir des seuils
d’alertes, des niveaux à atteindre à différentes étapes. Au contraire des indicateurs
d’objectifs finaux qui sont stratégiques, les indicateurs intermédiaires sont d’ordre
tactique. Il est indispensable de prendre en compte ces deux types d’indicateurs pour
ajuster au mieux ces actions Une fois que l’entreprise aura défini ses objectifs, et qu’elle
les aura attribués à chaque média d’un point de vue stratégique, elle sera en mesure de
les décliner d’un point de vue tactique.
Etre présent sur Internet, c'est avoir un site Web, être présent sur les réseaux
sociaux, avoir des profils professionnels, répondre aux messages, communiquer et se
rendre disponible pour les consommateurs internautes. L'entreprise doit avoir une page
professionnelle sur Facebook, en effet celui-ci est le réseau social le plus utilisé, il
représente un véritable interêt en terme de visibilité pour l'entreprise, notamment pour
l'entrée en contact avec les particuliers (BtoC).
La présence sur les différents réseaux sociaux permet d'obtenir une interactivité
conséquente avec les clients, avec les prospects, avec les fournisseurs, qui peuvent
donner des avis, laisser des commentaires sur l'entreprise, les produits, les services ou
la marque. Ils peuvent aussi partager les publications qu'ils aiment et donc faire gagner
l'entreprise en visibilité très rapidement et surtout constamment.
Aujourd'hui la plupart des entreprises sont présents sur les réseaux sociaux, que
ce soit des petites entreprises ou les grandes firmes en passant par les auto-
entrepreneurs. Le point fort des réseaux sociaux, c'est la rapidité des échanges, un
internaute découvre et aime un produit ou un service, il va s'y intéresser, aimer la page
face book et avec un partage ou un « j'aime » il informe son intérêt en temps réel à
l'ensemble de sa communauté d'amis.
Le potentiel de ces réseaux sociaux est donc très important pour les entreprises
qui veulent augmenter leur visibilité et attirer de nouveaux clients.60
http://www.communication-web.net/category/entreprise-digitale/strategie-digitale/
60
cosulté le
15/01/2021 à 13 :17
[60]
différents sites évoluent et proposent de plus en plus de fonctionnalité. Par exemple, les
sondages, les boutons d'action sont apparus (acheter, recommander, panier.. ).
Dans un contexte de stratégie digitale le site «carte de visite » n'a aucun intérêt,
et n'offrira pas de valeur ajoutée à l'entreprise moindre coût et avec un retour
extrêmement intéressant. Les différents réseaux contiennent les informations de
l'entreprise et renvoie sur un site officiel, cela permettant d'augmenter le nombre de
visite sur la page officielle.
Le site Internet de l'entreprise est sa vitrine, sa carte de visite, il se doit de répondre aux
attentes des internautes. C'est à dire qu'il doit être attractif, simple mais surtout il doit
contenir les informations que les consommateurs recherchent. L'internaute doit
comprendre et s'approprier le site. Pour la conception d'un site il est préférable de faire
appel à des prestataires professionnels en la matière. Le but d'un site c'est de se
démarquer et de susciter la curiosité des consommateurs, car c'est le visuel du site qui
va capter l'attention, c'est le site qui véhicule instantanément Dans un second temps on
retrouve les sites vitrines, comme le nom l'indique, ce genre de sites représentent et
exposent l'entreprise. Les sites vitrines possèdent plusieurs pages et de nombreuses
rubrique, des pages d'informations (coordonnées, horaires, localisation... ), des pages
sur les produits ou bien sur les services proposés, permettant aux clients ou prospects
de visualiser ce que propose l'entreprise sans se déplacer, des pages d'actualités et de
nouveautés
- Accroître les ventes sur tous les canaux : dans le cadJe d'un phénomène « ROPO
(Research Online, Purchase Offline), le web peut être d'une grande aide pour faciliter la
vente sur d'autres canaux. Ceci en proposant des fonctionnalités et des contenus
permettant aux internautes de mieux connaître l'offre de l'entreprise, voire d'effectuer
des pré-réservations précédant des achats définitifs en magasin. La stratégie digitale
est une réelle opportunité pour l'entreprise pour communiquer avec ces clients. Grâce
aux outils numériques le client est connecté en permanence avec ces marques,
entreprises et produits. C'est une véritable relation client à entretenir, c'est un avantage
considérable pour la fidélisation et l'acquisition de nouveaux clients.
Du Big Data au One to One Le one to one c'est l'ensemble des actions marketing
adressés à un individu, ce sont des offres adaptées aux clients et personnalisées
suivant sa personnalité et ses motivations.
Le Big Data c'est ce mot qui veut un peu tout dire sans forcément rien dire, on le
comprend en théorie mais il est difficile d'en comprendre la pratique. C'est en fait la
collecte de données invisibles. En réalité, les consommateurs parcourent chaque jour
des dizaines de sites et parallèlement le Big Data récupère et va analyser les données
collectées depuis la navigation des internautes. Les données recueillis peuvent parfois
être sans grand intérêt c'est pourquoi le Big Data va collecter des données depuis les
réseaux communautaires tel que Facebook, Twitter mais aussi depuis les navigateurs
comme Google, Yahoo ...Cela va permettre d'obtenir un ciblage plus précis et une
meilleure segmentation grâce à une personnalisation plus pertinente. Aujourd'hui la
Relation Client doit s'adapter au numérique car l'entreprise doit pouvoir agir vite car tout
est rapide. Le Big Data est récent mais la collecte de données elle l'est moins,
[63]
aujourd'hui le Big Data permet de connaître de façon très détaillée les clients,
permettant la satisfaction des consommateurs grâce à une approche cognitive de la
relation client.
Si on appelle ce marketing One to One, c'est parce que le Big Data est devenu si
précis qu'il est possible de proposer un produit ou à un service différent pour chaque
individu, cela s'appelle la micro-segmentation. Les diverses disciplines du marketing
digital visent essentiellement à développer la relation client. Le but de cette manœuvre
étant d’optimiser la notoriété
2.6.2.Enjeux humains
Que ce soit dans l’usine ou dans l’entreprise du futur, les activités humaines
seront de plus en plus dépendantes de dispositifs numériques. Dans ce contexte, les
61
MADELEINE BESSON, « entreprise du futur, les enjeux de la transformation numérique », livre blanc, institut
Mines télécom, p14.
[64]
questions humaines doivent être reconsidérées. Une question clé pour l’entreprise du
futur sera celle des compétences de ces collaborateurs. Comme le note le rôle de
l’homme dans le triangle homme/machine/produit est appelé à se modifier
profondément. Les compétences sont modifiées, le sens du métier évolue.
L’utilisation des TIC relève en ce sens d’une rationalité instrumentale qui vise à intégrer
une organisation dans des environnements concurrentiels de plus en plus complexes.
Parmi les défis auxquels devront faire face les entreprises numériques de
demain, les enjeux environnementaux représentent des contraintes mais aussi des
opportunités. Les contraintes environnementales sont liées aux impacts
environnementaux négatifs des technologies numériques tout au long de leur cycle de
vie et à leurs effets rebond.
Conclusion
En effet, dans le monde actuel, les entreprises sont exposées à une concurrence
de plus en plus rude et permanente. Dans ce contexte, elles sont amenées à
rationaliser, à optimiser et à automatiser leurs processus en s’appuyant sur les TIC. Ceci
leur permettrait de gagner en différentiel de productivité et de rentabilité, et de défendre
leur position acquise au sein de la concurrence
62
Madeleine Besson, Op.cit. p.p 15-16.
[66]
Chapitre III : Les moyens digitaux et leur effet sur la force de vente de
l’entreprise ORANGE
Comme nous l’avons suivi dans les chapitres précédents, le marketing digital
permet de capter l'attention des consommateurs, de les fidéliser et d'améliorer l'image
de l'entreprise. Posséder un site Web, ou être présent sur les réseaux sociaux n'est pas
suffisant, grâce à ces nouvelles technologies la communication avec les clients est
facilite et des outils numériques existent aussi, les outils de présentation et de
communication sont essentiels pour captiver les prospects, certain outils permettent de
faire rêver le consommateur, d'autre permettent de communiquer facilement avec lui et
de lui donner l'impression d'être unique.
I.2.1. HISTORIQUE
qualité au niveau national. Orange a d'ailleurs déployé le premier réseau 3G+ du pays
dans les villes principales. Ce réseau est opérationnel dès aujourd'hui à Kinshasa,
Matadi, Goma, Bukavu, Mbuji-Mayi, Kalemie, Lubumbashi.63
Afin d'assurer une qualité de service technique et commercial en ligne avec les
standards du groupe, Orange RDC a mis en oeuvre un vaste programme de formation
de 18000 heures. Pour être à la hauteur de ces ambitions, il a également recruté des
salariés supplémentaires portant ses effectifs à plus de 600 personnes. Il peut aussi
compter sur plus de 30000 personnes à travers ses partenaires distributeurs. En fin,
l'opérateur fait appel aux compétences locales pour occuper la majorité des formations
managériales.
63
Document, Présentation, Orange, Paris, 2013, P.3
[69]
ci concernent les salariés du Groupe grâce a une nouvelle vision des ressources
humaines; les réseaux, avec le déploiement des infrastructures du futur sur lesquelles le
Groupe bâtira sa croissance; les clients, avec l'ambition de leur offrir la meilleure
expérience parmi les opérateurs grâce, notamment, à l'amélioration de la qualité de
service; et l'accélération du développement internation
I.2.2. OBJECTIFS
Orange RDC est une filiale a 1OO% du Groupe France Télécom Orange depuis
le rachat de CCT en Octobre 2011.
I.2.3. LOCALISATION
Orange est une société qui s'occupe de la communication cellulaire, elle est une société
du Groupe Télécom France.
Elle s'occupe de tous les moyens mis en oeuvre par l'entreprise pour écouler ses
produits.
· La comptabilité
Elle est chargée de l'application d'une bonne gestion comptable de toutes les
opérations financières dans la province pour l'enregistrement comptable.
· La trésorerie
a) Le Orange Shop
1) Le secteur de vente: qui s'occupe de la vente des produits Orange entre autre, les
Sim, les cartes prépayées et accessoires téléphoniques.
2) Le secteur du service client: qui a aider et a donner des solutions aux différents
problèmes des clients (déboucher un numéro) faire une Sim blanche, activer la Sim
pour accéder a l'internet etc.
Ce sont les revendeurs en gros qu'on appel les super dealers Orange assiste ses
revendeurs à rendre leur point de vente plus visible. Il existe des distributeurs en
miniature.
C'est un service des cabines publiques qui a pour but de veiller sur toutes les
cabines publiques de la province et sur la formation des clients concernant la
consommation des produits.
Ø Emission d'appel ;
Ø Info test;
Ø Messagerie vocale;
Ø SMS ;
ORGANIGRAMME
Département Marketing
Directeur général
Département de l'administration
Département Technique
[74]
Département de Finances
Caissiers 1 et 2
Assistant Financier
Charge de distribution
Charge de commerce
Charge de la publicité
Chef du personnel
Secrétaire
Le conseil d'administration a adopté, dès 2003, un règlement intérieur qui fixe les
principes directeurs et les modalités de son fonctionnement et de celui de ses comités.
Il est à noter la société Orange sponsorise plusieurs activités sportives, du fait que le sport
parle un langage universel qui ne cesse d'inspirer, d'impliquer et d'enthousiasmer.
Il est l'expression de toute la puissance du potentiel humain et s'inscrit dans l'histoire des
peuples. Il unit les êtres humains autour d'un objectif commun. En tant qu'entreprise attachée aux
communautés d'intérêts et au partage des idées, Orange soutient les activités et les événements
sportifs auxquels vous désirez assister, que vous avez envie de partager, qui vous font discuter et
qui vous concernent aussi bien globalement que tout près de chez vous.
Pour apporter les bénéfices du monde numérique sur tous les territoires, Orange
investi selon quatre axes complémentaires suivants:
64
Document, Orange RDC, Consulté Op Cit, P.10
[76]
Dans les pays émergents, l'enjeu est de mettre en place une couverture permettant au
plus grand nombre de clients potentiels d'accéder aux services disponibles.
Nous somme penché sur une enquête du terrain avec les commerciaux distributeurs
des produits Forever rencontré dans les points de vente sis à Tizi-Ouzou. En effet, pour
réaliser notre travail et répondre à notre objectif d’étude, qui est de déterminer l’impact
de la digitalisation sur la performance commerciale des points de vente de forever, nous
avons opté pour un cas pratique, en l’occurrence par une enquête en utilisant un
questionnaire comme moyen de collecte d’informations
2.2.1.L’échantillonnage
Comme cité ci-dessus, nous avons élaboré un questionnaire sur 40 copies, distribués
sur les différentes catégories que renferme le personnel commercial les points de vente
[77]
de l’entreprise, Et nous n’avons récupérer que 20. Le but général de cette enquête est
évaluer les le niveau d’utilisation des moyens digitaux par ces commerciaux et leur
impact sur le volume des ventes.
Le traitement des résultats s’est fait à l’aide du logiciel de calcul Excel, qui nous
permet des calculs automatisés et ainsi d’établir des tableaux et des graphiques
représentatifs afin d’interpréter les informations collectées
Ouvrages
– Alain Burland, George Langlois, Michel Bringer, Carole Bonnier, «DCG11 Contrôle de
gestion », édition Foucher.
- Mortimer, Dan et al. Planning and managing a digital strategy .Royaume-Uni : RedAnt,
2010 .
- OUALID Habib : Les outils de la communication digitale- 10 clés pour maitriser le web
marketing, Eyrolles, Paris, 2013.
Mémoires
- Mémoire Stratégie Digitale Comte Jonathan Promotion 2012
Revues
1. BENOIT Heilbrun (2003) : « modalité et enjeux de la relation consommateurmarque
», revue française de gestion, 2003/4-no 145.
Webographie
1.https://marketingdigitalsdp1.wordpress.com/2017/09/25/evolution-marketingdigital-
annees-2000-nos-jours/.
2. http://lexicon.ft.com/Term?term=digital-marketing.
3. https://www.journaldunet.fr/business/dictionnaire-du-marketing/1198319- marketing-
digital-qu-est-ce-que-le-marketing-a-l-ere-du-numerique/#.
4.http://www.communication-web.net/2014/02/03/quest-ce-que-la-
communicationdigitale/.
5. http://www.pubdigitale.fr/outilsressources-du-display/fiche-pratique-display/.
6. https://www.yakaferci.com/seo-referencement/
7. http://www.digitalkeys.fr
8. http://www.experian.fr/ressources/glossaire/marketing-mobile.html
9. www.pubdigitale.fr/
10. http://www.definitions-webmarketing.com/
11. news.social-dynamite.com/.
[81]
12. www.definitions-marketing.com/
13. http://celine-redaction-web.com/le-marketing-de-conversation-strategie-parlante/
14. https://charge-de-com.fr/linfluence-dun-crm-marketing-digital/.
15 https://www.endvawnow.org/fr/articles/336-indicateurs.html
16.https://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/1175211-ameliorer-lamesure-
de-l-impact-du-digital-dans-la-performance/
19. http://www.communication-web.net/category/entreprise-digitale/strategie-digitale/
20. https://www.foreverliving.lu/a-propos-de-forever/qui-sommes-nous
21.http://www.e-marketing.fr/Thematique/academie-1078/fiche-outils-10154/
mailing306889.htm
22. http://www.digitalkeys.fr
23. http://www.pubdigitale.fr/outilsressources-du-display/fiche-pratique-display
ANNEXE
Questionnaire
Questions Reponses Codes
Sexe 0. Homme
1. Femme
[82]
Age 0.20ans-25ans o
1.Entre 25ans-30 ans o
2.Entre 30ans-35ans o De 35ans
. Quels sont les moyens digitaux que vous 0.Réseaux sociaux (Facebook,
connaissez ? instagram, snapchat…)
1. E-mailing
2. Référencement naturel,
référencement payant
3. Site web
4.Téléphonie mobil
5.Plateforme vidéos (youtube...)
0.Oui
Faites vous de la publicité dans les 1.Non
magasins pour vendre les produits
ORANGE?
[83]
Comment appréciez-vous la
communication commerciale de 0.Très bonne
ORANGE ? 1.Bonne
2.Assez bonne
3.Mauvaise
4.Très mauvaise