DS - 6 - 599 - 2023 2024 - 86 17 24 28 114 31 26 115 34 27 35 36 37 25
DS - 6 - 599 - 2023 2024 - 86 17 24 28 114 31 26 115 34 27 35 36 37 25
DS - 6 - 599 - 2023 2024 - 86 17 24 28 114 31 26 115 34 27 35 36 37 25
Pour venir en aide aux enfants souffrants de malnutrition dans les pays du désert du Sahel,
une ONG décide de préparer une farine enrichie spécialement pour corriger l’état de santé
de ses enfants. Pour les aider à réussir leur préparation et expliquer l’importance d’une
alimentation équilibrée dans la santé des enfants on met à ta disposition les documents
suivants.
Document 1a : Composition de l’alimentation de quelques enfants malades des pays du
désert du Sahel.
Pour réussir leur mission, les spécialistes de l’ONG ont enquêté auprès de quelques familles
sur la composition journalière de l’alimentation des enfants malades. Les résultats furent
identiques dans les familles et présentés dans le tableau n°1 suivant.
Page 1 sur 2
Composition journalière de l’alimentation
Lipides (g) Protides (g) Glucides (g) Vitamines (g)
Enfants malades 25 00 30 A, B et C
Enfants bien portant 25 45 30 A, B, C et D
L’absence d’une substance nutritive dans l’alimentation est à l’origine d’une maladie
nutritionnelle. Ainsi, l’absence de l’iode est à l’origine du Goitre, l’absence de protide
est à l’origine Kwashiorkor et l’absence de vitamine D est à l’origine du Rachitisme.
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SECONDAIRE, TECHNIQUE ET DE LA : BP 04 Pobè
FORMATION PROFESSIONNELLE CEG1 IKPINLE : (229) 97 76 97 85
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Courriel : ceg1ikpinleqg
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SECONDAIRE, TECHNIQUE ET DE LA FORMATION
PROFESSIONNELLE DU PLATEAU EPREUVE : SVT
1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : 5ème DUREE : 1h30min COEF : 1
Compétences à évaluer : CD1 ; CT1 ; CT2 ; CT8
Critères d’appréciation des copies :
Critères minimaux (18 pts)
- Pertinence de la production au double plan de la démarche et du contenu.
- Cohérence interne de la production.
Critères de perfectionnement (02 points à partir de 12/18 pour critères minimaux)
- Présentation matérielle de la production.
- Originalité de la production
Depuis quelques années, un paysan ne comprend plus ce qui explique la baisse de son rendement. Lui
qui récoltait plus de 10 sacs de soja par hectare, difficilement arrive à en trouver 5 aujourd’hui.
Dépassé par la situation, il fait appel à un ingénieur agricole, qui lui dit après analyse des échantillons
du sol: «LE SOL N’A PLUS CETTE FORCE D’IL Y A 10 ANS, VOUS ALLEZ DEVOIR
L’ACCOMPAGNER AVEC DES ENGRAIS». Ne comprenant pas les propos de l’ingénieur, ce
paysan se réfère à toi. Pour t’aider à lui fournir les explications nécessaires on te fournit la
documentation suivante:
Document 1: Mise en évidence des éléments nutritifs chez une plante verte
Expériences 1 On dispose de deux pots A et B contenant chacun du terreau et dans lesquels on
introduit des jeunes plantes de soja. On arrose régulièrement les plantes du pot B tandis que celle du
pot A ne sont pas arrosées. On obtient les résultats suivants (voir figure).
Page 1 sur 2
Expériences 2
Deux jeunes plantes de maïs, de même âge sont plantées dans deux pots C et D contenant
chacun du sable lavé (sable sans sels minéraux). L’une est arrosée par de l’eau distillée (D) et l’autre
par de l’eau enrichie d’engrais (sels minéraux) (C). On obtient les résultats ci- dessous.
Tu es invité(e) à aider le cultivateur à comprendre les propos de l’ingénieur agricole. Pour cela, tu
suivras les consignes suivantes:
Tire une conclusion de chaque expérience du document 1
Relève ensuite du document 2:
- les autres besoins d’une plante verte;
- les organes d’absorption de la sève brute;
- les organes de conduction de la sève brute.
Montre enfin que l’ingénieur a raison de demander au paysan l’utilisation de l’engrais pour
augmenter la récolte du soja.
Critère de perfectionnement : 02 points
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1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : 4ème DUREE : 2h COEF : 2
Compétences à évaluer : CD1 ; CT1 ; CT2 ; CT8
Critères d’appréciation des copies :
Critères minimaux (18 pts)
- Pertinence de la production au double plan de la démarche et du contenu.
- Cohérence interne de la production.
Critères de perfectionnement (02 points à partir de 12/18 pour critères minimaux)
- Présentation matérielle de la production.
- Originalité de la production
Partie I : Restitution organisée des connaissances (06 points)
Dans une même zone climatique, on note parfois une variation de la végétation d’un paysage
à l’autre. Montre en quoi la végétation des paysages argileux diffère de la végétation des
paysages granitiques.
Partie II : Résolution de problèmes à partir de documents fournis (12points)
ISSABA est un village de la commune de Pobè. A chaque période de sécheresse, la
principale voie du village présente des fissures ce qui rend difficile la circulation des biens
et des populations. Pour régler ce problème, les sages du village proposent de faire quelques
sacrifices aux mânes des ancêtres, mais le maire pense que ce problème est plutôt lié à la
roche du sous-sol du village. Un élève, fils de ISSABA, rassuré de ses acquis en classe de
4ème sur la relation qui existe entre les roches du sous-sol et le paysage, a mobilisé les
documents suivants pour expliquer la position du Maire.
Document 1 : Caractéristiques des paysages
Paysage de la région A : Au Bénin, ils sont situés au bord de la mère ou soit à l’intérieur
des terres. Ce sont des paysages arides et pauvres en végétation. Le relief est peu élevé mais
caractérisé par les cordons sableux. Ces types de paysages se rencontrent surtout dans les
localités de Sèmè-Kpodji, de Cotonou et de Grand-popo.
Paysage de la région B : On rencontre ces paysages dans les bas-fonds. Les argiles
forment rarement des affleurements. Le relief mou est doté d’une végétation souvent
abondante. En saison pluvieuse, l’argile se gonfle et devient imperméable, le sol devient ainsi
boueux. Pendant la sécheresse, la présence d’argile est signalée par de nombreuses fentes de
retrait. Ces types de paysage se rencontrent dans les dépressions de la Lama.
Document 2 : Mise en évidence des propriétés du sable et l’argile.
Page 1 sur 2
Document 3 : Région d’ISSABA en saison pluvieuse et sèche.
Figure A : ISSABA en saison pluvieuse montrant Figure B : ISSABA en saison sèche montrant
la présence d’eau en surface des fentes de retrait (fissures)
L’argile imbibée d’eau forme une pâte malléable : c’est une roche plastique.
Lorsque cette eau s’évapore, l’argile se fendille et il se forme des fentes de retrait.
Tâche : Tu es invité(e) à prendre appui sur ces documents pour expliquer aux sages de
ISSABA l’origine des fissures observées en période de sécheresse. Pour cela :
- Relève les informations tirées des documents 1 et 2 pour compléter le tableau suivant :
Quelques éléments caractéristiques
Type de relief Roche du paysage Perméabilité de la roche
Paysage de la
région A
Paysage de la
région B
- Compare la région d’ISSABA en saison pluvieuse et en saison sèche puis dégage
l’origine des fissures en saison sèche (document 3) ;
Utilise l’ensemble des informations collectées pour expliquer l’apparition des fissures (fente
de retrait) sur la principale voie d’ISSABA et dis celui qui a raison entre le Maire et la
population d’ISSABA.
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PROFESSIONNELLE DU PLATEAU EPREUVE : SVT
1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : 3ème DUREE : 2h COEF : 2
Une élève de la classe de 5ème a assuré, pendant six (06) mois, la garde malade de son oncle
hospitalisé pour cause du diabète sucré, une maladie qui se manifeste par la présence permanente du
glucose dans l’urine par la suite d'une glycémie élevée. Quelques heures avant la mort de l'oncle, le
médecin traitant a échangé avec son collègue sur les dysfonctionnements du foie et du pancréas,
responsables de cette maladie. Cette élève qui a suivi la conversation ne comprenait rien de ce qui se
disait entre les deux médecins. Pour l’aider à comprendre l’origine de cette maladie, on te propose
les documents ci-dessous :
Le tableau suivant présente le résultat du dosage de la glycémie dans la veine porte et dans la
veine sus- hépatique chez un animal suite à un repas riche en glucides ou suite à un jeûne de
courte durée.
Page 1 sur 2
Lieu de prélèvement Veine porte Veine sus
Conditions hépatique hépatique
Individu à jeun 0,7g/L 1g/L
1heure après le repas 2,5g/L 1g/L
Page 1 sur 3
Document 2 : Quelques faits expérimentaux
On a sélectionné sur une plante de manioc trois catégories de cellules.
Les cellules chlorophilliennes (cellules A) identifiées au niveau des feuilles, les cellules du
vaisseau de phloème (cellule B) identifiées au niveau des limbes et de la tige puis les cellules
de réserve (cellules C) identifiées au niveau des racines des plantes.
On réalise les expériences suivantes dans les mêmes conditions.
Expérience 1
Lorsqu’on détruit les cellules A, les feuilles sont pâles, chétives, dépourvues d’amidon et les
tubercules de manioc sont de petites tailles et moins nombreux.
Expérience 2
Quand on détruit les cellules B, les feuille sont bien vertes, riches en amidon mais les
tubercules sont de petites tailles et moins nombreux.
Expérience 3
Lorsqu’on détruit les cellules C, les feuilles sont bien vertes, riche en amidon mais on obtient
aucun tubercule.
Tâche : Tu es invité(e) à expliquer aux cultivateurs pourquoi les plants de manioc privés
d’une partie des feuilles ont eu des tubercules peu développées (faible production) à la
récolte. Pour cela :
- Compare le résultat obtenu avec le plant témoin (ayant des feuilles) à celui du plant privé
de la moitié de ses feuilles puis tire une conclusion ;
- Tire une conclusion de l’analyse de chacune des expériences du document 2 ;
Explique enfin la raison pour laquelle la production de manioc est faible dans les plantations
où les feuilles ont servi en partie à la consommation.
SITUATION PROBLEME 2
L’un de tes camarades qui n’a pas suivi le cours sur la coopération des organites dans
l’accomplissement d’une fonction vitale (synthèse de la caséine ; protéine du lait maternel)
se rapproche de toi pour mieux comprendre. On te propose les documents suivant pour
l’aider.
Document 1 : Résultats d’expériences réalisées avec la leucine
La lactation, sécrétion et écoulement du lait chez la femme est due à l’activité des cellules des
glandes mammaires.
Le lait contient des protéines dont les plus abondantes sont les caséines.
Par ailleurs, on a cultivé, pendant plusieurs heures, des tissus de glandes mammaires en leur
conservant un aspect morphologique et un fonctionnement normaux. On laisse cette culture
pendent 3 minutes dans un milieu contenant un acide aminé radioactif, la leucine tritiée, puis
on la remet dans un milieu non radioactif. Des fragments de tissus sont prélevés 3, 15, 25, 45
et 60 minutes après le début du marquage. La radioactivité est décelée au niveau des différentes
structures cellulaires.
Page 2 sur 3
Le graphe suivant traduit l’évolution de la radioactivité décelée au niveau des différentes
structures cellulaires.
Page 1 sur 2
Document 2 : Quelques faits expérimentaux
On a sélectionné sur une plante de manioc trois catégories de cellules.
Les cellules chlorophilliennes (cellules A) identifiées au niveau des feuilles, les cellules du
vaisseau de phloème (cellule B) identifiées au niveau des limbes et de la tige puis les cellules
de réserve (cellules C) identifiées au niveau des racines des plantes.
On réalise les expériences suivantes dans les mêmes conditions.
Expérience 1
Lorsqu’on détruit les cellules A, les feuilles sont pâles, chétives, dépourvues d’amidon et les
tubercules de manioc sont de petites tailles et moins nombreux.
Expérience 2
Quand on détruit les cellules B, les feuille sont bien vertes, riches en amidon mais les
tubercules sont de petites tailles et moins nombreux.
Expérience 3
Lorsqu’on détruit les cellules C, les feuilles sont bien vertes, riche en amidon mais on obtient
aucun tubercule.
Tâche : Tu es invité(e) à expliquer aux cultivateurs pourquoi les plants de manioc privés
d’une partie des feuilles ont eu des tubercules peu développées (faible production) à la
récolte. Pour cela :
- Compare le résultat obtenu avec le plant témoin (ayant des feuilles) à celui du plant privé
de la moitié de ses feuilles puis tire une conclusion ;
- Tire une conclusion de l’analyse de chacune des expériences du document 2 ;
Explique enfin la raison pour laquelle la production de manioc est faible dans les plantations
où les feuilles ont servi en partie à la consommation.
Critère de perfectionnement : 02 points
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FORMATION PROFESSIONNELLE CEG1 IKPINLE : (229) 97 76 97 85
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PROFESSIONNELLE DU PLATEAU EPREUVE : SVT
1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : 2nde A DUREE : 1h30 COEF : 1
Compétences à évaluer : CD1 ; CT1 ; CT2 ; CT8
Critères d’appréciation des copies :
Critères minimaux (18 pts)
- Pertinence de la production au double plan de la démarche et du contenu.
- Cohérence interne de la production.
Critères de perfectionnement (02 points à partir de 12/18 pour critères minimaux)
- Présentation matérielle de la production.
- Originalité de la production
Montre en quoi l’évolution progressive des connaissances scientifiques sur la cellule a été
favorisée par le développement de la technologie.
Partie II : Résolution de problèmes à partir de documents fournis (12points)
Deux apprenants de la classe de seconde ont mené une discussion relative à l’organisation
cellulaire chez les êtres vivants. Ils se rapprochent de toi pour en savoir plus. Pour cela, on te
fournit la documentation suivante.
Document 1 : Organisation d’une cellule animale
Page 1 sur 2
Document 2 : Organisation d’une cellule végétale
Tâche : Tu es invité(e) à montrer que les cellules végétale et animale sont bâties sur un
même plan d’organisation. Pour cela :
- Relève dans un tableau à double entrée les caractères communs et les caractères propres
pour chaque type de cellule ;
- Réalise un schéma simple d’une cellule végétale et d’une cellule animale en montrant
leur organisation simple au microscope optique ;
Explique enfin que les cellules végétales et animales sont bâties sur le même plan
d’organisation.
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1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : 1ère A DUREE : 1h30min COEF : 2
Compétences à évaluer : CD1 ; CT1 ; CT2 ; CT8
Critères d’appréciation des copies :
Critères minimaux (18 pts)
- Pertinence de la production au double plan de la démarche et du contenu.
- Cohérence interne de la production.
Critères de perfectionnement (02 points à partir de 12/18 pour critères minimaux)
- Présentation matérielle de la production.
- Originalité de la production
Figure 1 : Mesure chez l’homme Figure 2 : Consommation d’O2 chez l’homme et la femme
Page 1 sur 3
Document 1 : Allure des courbes hodochrones des ondes P, S et L en fonction de la distance
a l'épicentre (les ondes L sont des ondes de surfaces).
Remarque :
- Les ondes S ne se propagent pas dans les milieux liquides.
- Les variations brusques de vitesse indiquent des discontinuités.
Exploite l’ensemble des documents pour montrer comment les données sismiques ont
permis de déterminer la structure interne du globe terrestre.
Page 2 sur 3
SITUATION-PROBLEME 2
Les dorsales océaniques sont des régions du globe caractérisées par un accroissement de la
lithosphère mais les observations révèlent que le volume de la terre demeure inchangé. Dans le
but de comprendre ce phénomène, les documents suivants sont mis à ta disposition.
Document 1 : Âge des plus anciens sédiments du fond océanique en fonction de leur
localisation.
Numéro des forages Distance à l’axe de la dorsale Ages des sédiments (en millions d’années)
1 620 33
2 500 26
3 240 12
4 375 20
5 750 40
6 1000 52
7 1250 68
8 1550 79
Document 2 : Localisation des forages
Des forages ont été réalisés dans les sédiments de l’océan Atlantique.
Exploite les informations tirées de ces documents pour expliquer la conservation du volume de
la terre malgré l’accroissement de la lithosphère au niveau des dorsales. Pour cela :
- Construits le graphique de l’âge des sédiments en fonction de l’éloignement par rapport à l’axe
de la dorsale. (1cm 10M.A ; 1cm 100km) ;
- Interprète le graphique et calcule en cm/an, la vitesse d’expansion océanique (tenir compte des
données du forage 7 pour le calcul) ; document 2
- Précise le devenir de la croûte océanique après l’accrétion ;
- Utilise l’ensemble des informations collectées pour élaborer une explication à la conservation
du volume de la terre malgré l’accroissement de lithosphère au niveau des dorsales océaniques.
Critère de perfectionnement : 02 points
Page 3 sur 3
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1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : 1ère C DUREE : 2h COEF : 2
Compétences à évaluer : CD1 ; CT1 ; CT2 ; CT8
Critères d’appréciation des copies :
Critères minimaux (18 pts)
- Pertinence de la production au double plan de la démarche et du contenu.
- Cohérence interne de la production.
Critères de perfectionnement (02 points à partir de 12/18 pour critères minimaux)
- Présentation matérielle de la production.
- Originalité de la production
Les dorsales océaniques sont des régions du globe caractérisées par un accroissement de la
lithosphère mais les observations révèlent que le volume de la terre demeure inchangé. Dans le
but de comprendre ce phénomène, les documents suivants sont mis à ta disposition.
Document 1 : Âge des plus anciens sédiments du fond océanique en fonction de leur
localisation.
Numéro des forages Distance à l’axe de la dorsale Ages des sédiments (en millions d’années)
1 620 33
2 500 26
3 240 12
4 375 20
5 750 40
6 1000 52
7 1250 68
8 1550 79
Document 2 : Localisation des forages
Des forages ont été réalisés dans les sédiments de l’océan Atlantique.
Page 1 sur 2
Document 3 : De l’accrétion océanique à la subduction.
Exploite les informations tirées de ces documents pour expliquer la conservation du volume de
la terre malgré l’accroissement de la lithosphère au niveau des dorsales. Pour cela :
- Construits le graphique de l’âge des sédiments en fonction de l’éloignement par rapport à l’axe
de la dorsale. (1cm 10M.A ; 1cm 100km) ;
- Interprète le graphique et calcule en cm/an, la vitesse d’expansion océanique (tenir compte des
données du forage 7 pour le calcul) ; document 2
- Précise le devenir de la croûte océanique après l’accrétion ;
- Utilise l’ensemble des informations collectées pour élaborer une explication à la conservation
du volume de la terre malgré l’accroissement de lithosphère au niveau des dorsales océaniques.
NB : Ta production sera appréciée selon les critères minimaux de cohérence interne et de pertinence.
La bonne présentation matérielle et l’originalité de ta production seront également prises en compte.
Quantité d’ADN Cellule initiale Cellule après Cellule après 2e Cellule après 3e
d’une cellule 1ère division division division
ayant subi des Génération 0 Génération 1 Génération 2 Génération 3
divisions (en
7,1 7,1 7,1 7,1
picogramme)
Page 1 sur 2
Document 3 : Mécanisme de réplication de l’ADN pendant l’interphase
La réplication de l’ADN s’effectue selon un mode semi-conservatif, fondé sur la
complémentarité des bases azotées. Les nouveaux nucléotides se fixent sur chacun d’eux
selon la complémentarité A – T et C – G. On aboutit à deux molécules d’ADN absolument
identiques. Chaque nouvelle molécule d’ADN contient donc un ancien brin et nouveau brin.
Comme la moitié de la molécule initiale est conservée, le mécanisme de réplication de l’ADN
est dit semi conservatif. L’illustration est la suivante.
Tâche : Exploite les inforations fournies par les documents pour expliquer pourquoi les
plantes obtenues par microbouturage sont identiques. Pour cela :
- Montrer la phase correspondante à chaque cellule A - B - C et D tout en les
décrivant ;
- Montrer comment la quantité d’ADN est conservée dans les cellules en division ;
- Décrire le mécanisme de la conservation de l’information génétique au cours de
l’interphase ;
Expliquer alors pourquoi les plantes obtenues par microbouturage sont identiques.
Critère de perfectionnement : 02 points
Page 2 sur 2
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PROFESSIONNELLE DU PLATEAU EPREUVE : SVT
1ère SERIE DES PRODUCTIONS SCOLAIRES DU 1er SEMESTRE
CLASSES : Tle C DUREE : 02h COEF : 2
NB : Ta production sera appréciée selon les critères minimaux de cohérence interne et de pertinence.
La bonne présentation matérielle et l’originalité de ta production seront également prises en compte.
Il existe deux allèles pour le gène codant pour l’enzyme glycogène synthase : l’allèle « A1 » et l’allèle « A2 ».
Page 1 sur 2
Remarque : Les barres horizontales correspondent aux valeurs moyennes de l’utilisation
du glucose pour chaque génotype.
b. Allèles de la glycogène synthase et phénotypes diabétiques.
Des chercheurs ont mené une étude sur une population pour quantifier les génotypes pour la
glycogène synthase chez les individus diabétiques ou non.
Fréquence chez les individus Fréquence chez les individus
Génotype
non diabétiques diabétiques de type 2
(A1//A1) 92 % 70 %
(A1//A2) ou
8% 30 %
(A2//A2)
DOCUMENT 2 : Relation entre l’IMC et le risque de diabète de type 2.
Indice de masse corporelle (IMC) en Kg/m²
25-30,9 ≥31
˂22 22-24,9
Surpoids Obésité
Risque de
développer un 5% 9% 30% 93%
diabète de type 2
Remarque : L’obésité est liée à des facteurs environnementaux (alimentation mal équilibrée,
activité physique insuffisante…) mais elle peut également être liée à des facteurs génétiques.
DOCUMENT 3 : Variation de l’activité de la glycogène synthase dans les cellules
musculaires ou hépatiques en fonction de la concentration de TNF-α chez différents
individus.
Le TNF-α est sécrété par le tissu adipeux et empêche le passage du substrat du récepteur à l’insuline de la
forme inactive à la forme active. Cela interdit à la cellule de répondre à la présence d’insuline : les cellules
musculaires et hépatiques deviennent donc insulinorésistantes. L’insuline est une hormone hypoglycémiante.
Elle se fixe sur un récepteur membranaire des cellules cibles musculaires ou hépatiques. Cette liaison
hormone-récepteur entraîne une série de réactions, aboutissant à la synthèse de glycogène à partir du glucose
prélevé dans le sang. Dans cette voie métabolique initiée par la fixation de l’insuline à son récepteur, la
glycogène synthase doit être impliquée.
NB : Ta production sera appréciée selon les critères minimaux de cohérence interne et de pertinence.
La bonne présentation matérielle et l’originalité de ta production seront également prises en compte.
Page 1 sur 4
A B C
Génotype de la
plante productrice (S1/S2) (S1/S2) (S1/S2)
du pollen
Génotype de la
plante receveuse du (S1/S2) (S1/S3) (S3/S4)
pollen
Génotype du grain
de pollen (haploïde)
b- En cas d’incompatibilité, le pollen germe mais la croissance du tube pollinique est stoppée.
On observe alors des dépôts de callose régulièrement espacés tout au long du tube
pollinique, dont la croissance se termine au tiers supérieur du style. L’extrémité du tube
devient anormale, gonflée, et peut parfois éclater. On considère qu’un bon pollinisateur
produit des grains de pollen dont la grande majorité germe sur la plante réceptrice (plus de
75% de taux de germination).
Les allèles d’incompatibilité des différentes variétés sont suffisamment différents pour que la
quasi-totalité des variétés puissent se féconder entre elles. Voici quelques S-génotypes de
variétés de pommes.
Variété S-Génotype Variété S-Génotype
Idared (S3S7) Delbard Jubilé (S2S22)
Belle de Boskoop (S2S3S5) Cox Orange Pippin (S5S9)
Granny Smith (S3S23) Reine des reinettes (S1S3)
Golden Delicious (S2S3) Bolero (Tuscan) (S5S10)
La date moyenne de floraison est indiquée par un trait noir. On considère que la pollinisation est optimale pendant 5
jours de part et d’autre de cette date (représenté par la barre grisée).
Page 2 sur 4
Exploite les informations fournies par les documents pour expliquer comment se déroule
la fécondation du pommier et quelle variété de pommier assurerait la meilleure
pollinisation de la variété de pommier que veut planter ce couple.
Situation-problème n°2
Le Diabète de type 2 est une maladie métabolique chronique observée chez les personnes
dont l’âge est compris entre 20 – 70 ans et rare fois chez les nouveaux nés, enfants et ou
encore chez les adolescents. L’une des caractéristiques du diabète de type 2 est
l’insulinorésistance, c’est- à-dire une réponse insuffisante des organes cibles de l’insuline
(muscles, foie, tissu adipeux) à l’action de celle-ci. On s’intéresse à l’étude des facteurs
impliqués dans l’apparition du diabète chez une personne. La documentation suivante est
proposée à cet effet.
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE : Voie métabolique de synthèse du glycogène
impliquant l’enzyme glycogène synthase.
Il existe deux allèles pour le gène codant pour l’enzyme glycogène synthase : l’allèle « A1 »
et l’allèle « A2 ».
Remarque : Les barres horizontales correspondent aux valeurs moyennes de l’utilisation du
glucose pour chaque génotype.
b. Allèles de la glycogène synthase et phénotypes diabétiques.
Des chercheurs ont mené une étude sur une population pour quantifier les génotypes pour la
glycogène synthase chez les individus diabétiques ou non.
Fréquence chez les individus Fréquence chez les individus
Génotype
non diabétiques diabétiques de type 2
(A1//A1) 92 % 70 %
(A1//A2) ou
8% 30 %
(A2//A2)
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DOCUMENT 2 : Relation entre l’IMC et le risque de diabète de type 2.
Indice de masse corporelle (IMC) en Kg/m²
25-30,9 ≥31
˂22 22-24,9
Surpoids Obésité
Risque de
développer un 5% 9% 30% 93%
diabète de type 2
Remarque : L’obésité est liée à des facteurs environnementaux (alimentation mal équilibrée,
activité physique insuffisante…) mais elle peut également être liée à des facteurs génétiques.
DOCUMENT 3 : Variation de l’activité de la glycogène synthase dans les cellules
musculaires ou hépatiques en fonction de la concentration de TNF-α chez différents
individus.
Le TNF-α est sécrété par le tissu adipeux et empêche le passage du substrat du récepteur à
l’insuline de la forme inactive à la forme active. Cela interdit à la cellule de répondre à la
présence d’insuline : les cellules musculaires et hépatiques deviennent donc
insulinorésistantes. L’insuline est une hormone hypoglycémiante. Elle se fixe sur un
récepteur membranaire des cellules cibles musculaires ou hépatiques. Cette liaison hormone-
récepteur entraîne une série de réactions, aboutissant à la synthèse de glycogène à partir du
glucose prélevé dans le sang. Dans cette voie métabolique initiée par la fixation de l’insuline
à son récepteur, la glycogène synthase doit être impliquée.
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