UE 1.

03 Cours du 23/11/22 – Mme DEGEZ

Elaborer : mettre en mvt une pensée sur quelque chose de factuelle

Rend vulnérable la personne par ce qu’elle traverse

PSYCHOLOGIE DE LA SANTE : Introduction à la psychologie :

Qu’est ce que la psychologie étudie ?

- Les comportements
- Les cognitions
- Les émotions

= thérapie brève

Pathos
Psychologie = Science qui étudie les comportements et les faits psychiques (émotions, cognitions =
pensées, comportements)

Stimulus engage quelque chose au niveau des cognitions (=pensées). Les cognitions engagent des
émotions, des comportements (peut aussi être l’évitement). Ces comportements ont des
conséquences et confirme les cognitions. = CERCLE VICIEUX

Stimulus cognition

Émotions
Hypnose
Conséquences

Comportement

Psychanalyse TECC : thérapie émotionnelle, cognitive, comportementale

Exemple du vaginisme (voir ci-dessus)  être en pleine cce être connecté à son corps, ce qu’elle peut
réajusté sur la situation pour prendre en contrôle la situation (ce moment d’intimité)
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La thérapie brève ne dure pas (5 à 15 séances) c’est une méthode d’intervention suivant la
formation initiale du psychologue et de son courant théorique ; le symptôme qui amène le patient a
consulté équivaut à un problème a éliminer ; (je me concentre sur le présent « l’ici et maintenant »
et si je m’oriente vers le passé c’est uniquement pour connaître l’origine du symptôme, le contexte
et son évolution, et si on est dans le futur, on amène le patient à se projeter dans un « après » dans
le positif, sans le symptôme) ; le patient est perçu comme acteur grâce à la réalisation d’exercices et
les échanges sont très interactifs. Elle a évolué en 3 vagues successives :

- La psychologie comportementale (année 30 : WATSON, PAVLOV)  étude du

comportement (comportementalisme), le stimulus conduit à une réponse et entre les deux
nous avons la « boîte noire » (=les cognitions), on étudie uniquement ce qui est observable
cad le comportement ; l’outil qu’on utilise c’est l’exposition (changer le comportement et le
changer par un autre comportement)
- La psychologie cognitive (=cognitivisme) (année 70/80)  dans les années 70-80, les deux
premières vagues s’associent et ça donnent les TECC (= Thérapies émotionnelles, cognitives
et comportementales)  processus comportementaux / analyse fonctionnelle  « je
travaille sur les émotions, les cognitions et les comportementales » = ORGANISATION DE LA
MEMOIRE
- La psychologie des émotions ( année 2000)  elle permet de diminuer la charge
émotionnelle de certains patients, grâce à l’hypnose et de rendre l’inconscient du patient
plus dominant grâce à des images, des comptes, etc, ça sert aussi à connecter le patient à ses
ressources inconscientes (elle devient un procédé thérapeutique grâce à Milton Erickson) et
la pleine conscience (fait d’être dans l’ici et maintenant et éviter d’être dans l’anticipation
anxieuse de la vie future – Christophe André) sert à resituer le patient dans l’ici et
maintenant. Lorsque l’on a les 3 vagues ont parle de psychologies intégratives ou thérapies
brèves

Il y a un stimulus qui va s’imposer un sujet (ex : la sirène tous les 1 er mercredis du mois) qui
engendre une commission qui dit au sujet, ayant connu la guerre, qu’il va mourir, il a été
conditionné pendant la guerre, donc quand il entend cette sirène c’est la panique, suivit d’une
émotion la peur et donc son comportement va changer et il va prendre la fuite  cercle vicieux

 Permettre à personne de retrouver un certain pouvoir sur sa pensée (pour ne plus que la
pensée – l’envahisse)

- Les processus inconscients (Freud, la psychanalyse qui regroupe des sous-courants)

On a l’habitude d’opposer les thérapies brèves et la psychanalyse (née en 1896)

La psychanalyse c’est une thérapie longue, la cure dure entre 5 et 15 ans, le symptôme n’est pas du
tout perçu comme un problème a éliminé, c’est au contraire un langage à décodé, on se tourne vers
le passé et surtout vers l’enfance parce qu’on va identifier que le psychisme s’établie dans les 5 – 6
premières années de la vie (c’est notre structure de personnalité). Le patient est beaucoup moins
acteur, il est passif, il doit associer librement une idée après l’autre, le psy écoute et analyse les
processus inconscients de pensées de son patient (=association libre des pensées du patient), il y a
donc peu d’interaction. Les deux caractéristiques sont : pourquoi le patient réagit comme ça ?
pourquoi il a ses symptômes ? Analyse d’introspection

 S’intéresse au conscient et à l’inconscient

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Peut demander un autre rdv sans pression chez elle.

La psychanalyse est découverte par Freud, lorsqu’il perd son père, il cherche à s’auto analyser en
interprétant ses rêves. Il explique que la psychanalyse consiste en l’observation de ses patients
(atteints de névroses et/ou d’hystérie).

Il existe deux postulats de la théorie de la psychanalyse :

- La théorie de la sexualité infantile (TD)

- La théorie du refoulement de l’inconscient

Pour être psychanalyste il faut avoir suivit une cure de psychanalyse pour soi-même.

WATSON – années 30

SKINNER = conditionnement opérant ou conditionnement de type 2

PAVLOV = conditionnement répondant ou conditionnement de type 1

L’étymologie :

- Psyché = âme (ce qui donne vie au corps) – esprit – le psychisme avec es cognitions, les
émotions, etc
- Logos = discours écrit – parole – raison – étude
- Le comportement humain le corps (soma) + le psychisme (psyché = dimension immatérielle)
- Lien avec a mythologie grecque par son étymologie = Psyché (jeune immortelle courtisée par
Eros le Dieu de l’amour)
- La psychologie (littéralement = étude du psychisme) s’intéresse au fonctionnement humain
- Science de l’âme (Psycho Logos) ou « science des faits psychiques » harmonisant cette
contradiction entre le corps et l’esprit
- Clinicien au chevet du vulnérable (sujet doit se reconnaitre comme vulnérable) 
comprendre ce qui arrive au patient  y déposer aussi à cote son savoirs, s’intéresse à la
singularité de la rencontre
- Autruicide = ne pas prendre en considération l’autre Autrucide

 Psychologie clinique
 Psychologie sociale : Influence du grp sur sujet
 Psychologie scolaire/du développement :
 Neuropsychologue : auprès des cérébraux lésés dans centre d’éveil, dans EHPAD, SSR 
maladies chroniques qui ont besoin d’un temps d’accompagnement, qui ont des démences

Le conflit psychique :

Conflit  tension interne  décharge  symptôme = langage de l’inconscient

Il existe le trouble primaire qui existe depuis toujours ou le trouble secondaire qui est apparu depuis
un certain moment
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- Retour du refoulé : le refoulement cède, et quand il est dépassé par la censure il est moins
compliqué, il est aussi permis par des éléments qui créent des électrochocs
- Le psychanalyste va faire au patient un nouveau récit de l’histoire, si ça reste un
traumatisme, le patient ne réussira jamais à vivre avec et va continuer à souffrir. Il faut que le
patient reconnaisse ce qui s’est passé. L’élaboration du traumatisme va faire disparaître
naturellement le symptôme

Définition de la psychologie :

 Sciences humaines
 La psychologie se définit en fonction des sociétés et du regard posé sur le fonctionnement
humain
 C’est une science qui étudie les comportements et les faits psychiques sous jacents selon
une théorie particulière, avec une méthode particulière

 « La psychologie est la science de la vie mentale : ses phénomènes et ses conditions… Ces
phénomènes sont les sentiments, les désirs, les cognitions (connaissances), raisonnements,
décisions, etc. » (W. JAMES, 1890)

 « La psychologie est l’étude scientifique du comportement de l’espèce vivante en contact avec le

monde externe. » (K. KOFFKA, 1925)

 « La psychologie est l’analyse scientifique des processus mentaux de l’être humain et les
structures mnésiques en vue de comprendre le comportement humain. » (R. MAYER, 1981)

Histoire de la psychologie :

La théorie des humeurs (regarder documents)

Place que prend la douleur selon les cultures

La santé  équilibre au sein des humeurs (humeur= liquides organiques)

1. Corps humain semblable au cosmos en lien avec l’univers et les saisons.

Hippocrate : théorie des 4 éléments (feu, air, eau, terre)

Prêter une humeur à un élément
- Bile jaune (le foie)
- Le sang (le cœur)
- La lymphe (le cerveau, les poumons)
- Bile noire (la rate)

3 facteurs responsables de la production des humeurs :

- Saisons
- Heure de la journée
- Age de la personne
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4 tempéraments et l’émotion dominante :

- Bileux (pour qq’un de colérique)
- Sanguin (qq’un de joyeux)
- Phlegmasique (imperturbable)
- Atrabilaire (mélancolique)

2 traitements :
Les saignées (évacuer les humeur excédentaires)
Les purges
Remèdes pour ajouter des vertus compensatrices (potions/aliments)

Mesmer
- Magnétisme (=influence) minéral

- Magnétisme animal dit « mesmérisme » (pouvoir de la suggestion  va influencer le sujet

jusqu’à lever les symptômes (exemple : chez histérique)) = hypnose

Emancipation progressive de la psychologie et surgissement de médecines révolutionnaires au

18ième :

Le magnétisme animal dit « Mesmérisme » :

 1529 : Paracelse, célèbre médecin et alchimiste suisse, livre les premières données
scientifiques (pour son époque) sur le « magnétisme animal »
 Le magnétisme représente un ensemble de phénomènes physiques dans lesquels les objets
exercent des forces attractives ou répulsives sur d’autres matériaux
 Fin du 17ième siècle : nouvelle place de l’Homme dans l’univers
 Influence de la rationalité : astrologie, physique, chimie
 1750 : le père Johann Joseph GASSNER est considéré comme le précurseur de la thérapie
avec son « exorcismus probaticus » (exorcisme = chasser le démon)
 1766 : le docteur Franz Anton MESMER (1734 – 1815), disciple spirituel de Paracelse, inspiré
par sa pratique et ses écrits devient le premier « psychothérapeute des temps modernes
avec le « Magnétisme Animal » inspiré du magnétisme minéral (aimant)
 « Sans la présence du thérapeute, le métal à lui seul n’est rien », dit Mesmer en 1775 :
nécessaire présence animale
 Devant le succès de sa méthode, il organise le traitement collectif du baquet
 Précurseur par la mise en pratique de méthodes d’induction, d’états modifiés, par son
approche fluidique de la relation à l’autre

Hypnose = outil visant à modifier l’état de cce :

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- Première étape = induction = dissocier le patient, dissocier le conscient de l’inconscient,

dissociation entre le corps et l’esprit, on indique au patient quand il est installé que son
esprit va voyager dans l’espace, le corps est là mais l’esprit est ailleurs (on utilise un timbre
de voix particulier)  esprit va travailler en ayant l’impression que cela se déroule de
manière naturelle
- Deuxième étape = transe hypnotique = monde des images, on induit un recul du conscient
et quand c’est fait je parle à son inconscient avec des images, des métaphores, etc, le patient
est en mydriase (pupille dilatée), ses traits sont lissés, il peut déglutir de façon plus
important, sa peau devient plus pâle, etc.  LACHER PRISE (veritable alliance pour que
patient accepte de lâcher prise)
- Troisième étape = réassociation = quand on a terminé les métaphores et tout, on resitue le
patient dans son corps, on s’adresse au conscient (remettre une cce au niveau du corps) on
ne parle plus de façon monocorde, il faut faire revenir le patient)

Pour que le conscient tient une place plus restreinte et que l’inconscient tient une place plus
importante – engager le patient à mobiliser des ressources qu’il ignore lui-même – contourne
résistance du patient (met en sommeil le conscient)
= outil de l’altération de l’état de conscience, état naturel de modification d’hypnose, en
etant d’hypnose des lors qu’on est dissocié
Utiliser hypnose  induire un comportement naturellement présent

Hypnose conversationnelle  change rythme de voix et imaginer tt ce qui pourrait être diffèrent
dans sa vie

- Inventeur du Bacquet = cuve en bois eau magnétisé, corde qui baignait dans l’eau magnétisé
(existence d’un fluide invisible circulant dans le corps)

Tableau BROUILLET - le Napoléon des hystériques

Que des hommes (ceux à qui ont transmet les savoirs de l’époque)
Réintroduit hypnose pour provoquer les crises d’hystérie pour étudier le déroulement des crises
( pour l’étudier que le médecin fait ça) = SUGGETION INDIRECTE (comprennent ce qu’on leur
demande, avait l’attention de personnes elevées)  Charcot
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Réponses aux questions :

1.Titre Une leçon clinique à la Salpetrière
Peintre : André Brouillet – 1887
2. XIX siècle 1887
3. Jean Martin Charcot, neurologue français du XIXème siècle
4. Les leçons du mardi - représentation médicale publique
5. Patiente : Marie Ange Wittmann
6. Savants, psychologues, neurologues
7. patiente Marie Ange Wittmann, atteinte d’hystérie
8. attitude professorale avec index pointé, assisté d’un médecin (Babinski) et deux infirmières
9 . Tableau avec le modèle de l’hystérie, modèle devant son nez, extériorisé une souffrance
psychique
Se saisir des symptômes sous son nez pour exprimer un mal-être
10. La supposée irrationalité des femmes, femmes avt gouvernées par leur utérus

Les études de l’hystérie par les « pères » de la psychologie clinique :

Charcot :

- Neurologue éminemment réputé pour ses leçons à la Salpêtrière et « âme » de la médecine

moderne de 1873 à 1893
- Chaire de clinique des maladies du système nerveux
- Etudes de l’hystérie (léthargie, catalepsie et somnambulisme), hypnose et suggestion
- Rencontre décisive avec Freud : « Charcot qui est l’un des plus grands médecins qui soient et
dont la raison confine au génie est tout simplement en train de démolir mes conceptions et
mes desseins. La graine produira-t-elle son fruit, je l’ignore ; mais que personne n’a jamais eu
autant d’influence sur moi, de cela je suis sûr. »
- 19 -ème siècle  maladie « à la mode » : hystérie
- Hystérie associée à pb nerveux au niveau utérus

Quiconque qui répond à l’hypnose est un signe de maladie

L’hypnose est une histoire de suggestion – Bernheim répond cela

Vidéo Roudinesco
Freud raconte sa rencontre avec Charcot (attirée par fille Charcot alors qu’elle ne lui plait pas, attirée
par elle pck attirée par le père = sous le charme de Charcot, fasciné par Charcot)
Fille de Charcot = figure d’un maitre
Traite hystérique par suggestion
Va reconnaitre que Charcot lui-même reconnait les causes sexuelles
Théorie du trauma  théorie de fantasme
Causes sexuelles peuvent pas être abordé
Creuse question du sub conscient  Freud se rend compte que c’est plus la peine de les endormir
pck elles parlent elles-mêmes
Hypnose tout autour du regard  va exercer influence profonde en lui
Divan fauteuil  plus le regard  parler librement  parole au cœur est plus le regard (Les yeux,
c’était le spectaculaire)
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La naissance de la psychanalyse :

 1885 : Sigmund Freud, âgé de 29 ans, en stage à la Salpêtrière pendant quatre mois
 Evolution de la neuropathologie vers la psychopathologie
 Réalité du phénomène hypnotique et de son importance pour la compréhension des
processus psychiques. Il achèvera sa formation en hypnose à Nancy avec Bernheim, en 1889
 Un axe Vienne Paris se constitue avec Freud s’installant comme « médecin des nerfs » :
« Charcot qui est l’un des plus grands médecins qui soient et dont la raison confine au génie
est tout simplement en train de démolir mes conceptions et mes desseins. »
 En 1887, Freud repart à Vienne et utilise l’hypnose
 Développe le concept de l’inconscient et conceptualise la psychanalyse
 Délaisse l’hypnose, qui ne permettait pas de dénouer les conflits psychiques refoulés et
ouvre une autre voie thérapeutique : face à soi-même dans les profondeurs de l’inconscient
 Devant le succès de la psychanalyse, l’hypnose s’incline ou presque

Sigmund Freud (1856 – 1939) :

 En 1900, les principaux éléments de la psychanalyse sont fixés :

- La théorie du refoulement dans l’inconscient
- La théorie de la sexualité infantile
 Définition incluant 3 points distincts :
- Mode spécifique d’investigation des pensées inconscientes
- Méthode thérapeutique des névroses
- Discipline dans le domaine de la psychologie et des sciences humaines
 Invention du divan fauteuil : patient allongé sur fauteuil d’où il parle sans qu’il puisse
directement apercevoir l’analyste, assis un peu derrière lui
 Cure psychanalytique basée sur 2 éléments essentiels :
- Méthode des associations libres (laisser venir sans interdit toute pensée prête à être
formulée livrant traces inconscientes sous forme de lapsus, pensées inadéquates, oublis, etc,
matériel faisant l’objet d’une élaboration entre analysé et analyste)
- Analyse du transfert (comprendre la nature de la relation qui lie symboliquement le patient à
son analyste cristallisant souvent une problématique inconsciente)

Définition en but de la psychanalyse :

Dire l’oubi, le temps le déchirement

Cœur de l’étude de FREUD :

Inconscient

La rencontre qui a marqué la pensée freudienne et déterminée la naissance de la psychanalyse :

La rencontre avec Charcot
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Description des 1eres méthodes élaborées par FREUD :

Hypnose
Représenté par le Napoléon des hystériques,
Fait disparaitre paralysie
Refuse de parler des causes génitales (veut faire disparaitre cela)

Les caractéristiques de la cure analytique :

Sens mis sur la névrose hystérique :

Conséquences partagées par bcp de conflits infantiles non résolus

Les concepts psychanalytiques mentionnés dans le documentaire :

Formule du choc sexuel

La psychanalyse :

Psychanalyste :
- Se demande pourquoi ? Ne cherche pas a enlever le symptômes mais à comprendre ce qu’il
veut dire
- Le symptôme (qui amène le patient à consulter) est vu comme un langage à décoder en se
tournant vers son histoire, son enfance
- A la base psychologue ou psychiatre qui ont suivi une psychanalyse (sur 10 - 15ans 2 ou 3 fois
par semaine)
- Divan (patient allongé), fauteuil (thérapeute derrière), association libre et analyse du
transfert
- On peut s’inspirer de différents courants sans être psychanalyste

1ere topique (1900) : inconscient, préconscient, conscient

Mettre photo internet schéma appareil psychique présenté dans psychologie pathologique 1ere
topique

- Inconscient gouverné par le principe de plaisir

 Inconscient est nourrit par le refoulement et on y trouve représentations refoulées, des
pulsions et elles vont tjs exercées une pression sur la censure et cette pression elle conduit a
un phénomène de contre poussée par l’action du refoulement, cette contre poussée se
traduit par un été de tension interne cad un conflit psychique (nœud dans l’inconscient qui
contient la problématique majeure du patient)
Processus primaires typiques de l’inconscient
Stades de la libido que se développe l’inconscient

Toute tension cherche systématiquement la décharge et pour se décharger elle se décharge

par le symptôme, celui-ci n’est rien d’autre qu’un langage de l’inconscient
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= lieu psychique de la 1ere topique régit par le principe de plaisir qui fonctionne en processus
primaire
Pulsions, représentations refoulés (souvenirs…)

C’est le moi qui fait le refoulement (tri pour pas saturer). Tt ce qui est refoulé exerce une pression sur
Décharge  exprime état de tension interne
Censure maintient les éléments dans l’inconscient (rêves = voie royale qui mène à l’inconscient)

- Pré conscient gouverné par le principe de réalité = Différé la décharge, l d’une pression, la
satisfaction d’une pression
Processus secondaires de mentalisation et d’élaboration
Représentation de mots  ensemble des savoirs ou d’autres éléments facilement accessibles au
sujet

- Conscient = ensemble des perceptions (tt ce qui nous arrive depuis l’intérieur, depuis
l’extérieur
Séparé par le monde extérieur par excitation (marque limite entre monde intérieur et extérieur)
(trauma  débordement psychique)
Exemple : Bébé va crier pour décharger une pression

2eme topique (vient compléter la première) :

Insérer photo : préconscient, moi, ça (inconscient car le ça c’est les pulsions)

Ici bcp plus de place à l’inconscient

Ajout des instances de la première topique

On a tous un inconscient.

- Ça = instance pulsionnelle (le premier qui se met en place)

- Moi = instance fonctionnelle (le deuxième qui se met en place)
Maintenir équilibre dans le mécanisme de l’appareil psychique avec les mécanismes de
défenses
Pôle fonctionnel et organise les mécanismes de défenses
- Surmoi = instance interdictrice (le troisième qui se met en place)

Phénomènes psychiques de la vie quotidienne :

- Rêve : « Le rêve est la voie royale qui mène à l’inconscient » - Freud

Formation sur deux contenus (latent (pas d’accès) et manifeste)
Sous iceberg  manifeste = scénario d’un rêve (Exemple : Au réveil, quand on se souvient
d’un rêve)
Restes diurnes = ce qui s’est passé dans la journée va impacter notre rêves, pulsions, conflits
psychiques
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On ne rêve qu’en sommeil paradoxale pck corps immobile mais esprit très dynamique. En fct
du stade de sommeil au moment où on se réveille mais aussi en fct de ce qu’on vit, on s’en
souvient ou pas.
Rêver tout le temps  ça serait trop brutal, on n’aurait pas de moments de répits
Rôle du rêve : protéger sommeil du rêveur

 Déplacements (mettre d’autres personnages que moi dans mon rêve pour me protéger)

 Condensation (écrasement de deux en un, de deux temporalités (se regarder dans le miroir
et notre visage se transforme en le visage de quelqu’un d’autre)

 Figuration (image le protège)

Rêve d’angoisse = cauchemar

- Lapsus et actes manqués = phénomènes psychiques du quotidien qui révèlent l’inconscient

Lapsus = raté de langage (dire mot au lieu d’un autre), inconscient s’immisce dans le langage
Exemple : dire ma mère au lieu de ma femme, maman au lieu de maitresse
Acte manqué = raté de comportement – notre inconscient n’a pas envie de réaliser une
action
Exemple : on a rdv mais on n’oublie d’y aller, quelqu’un qui a peur de louper son exam,
manque date de rendu du devoir, partiel
- Mécanisme de défense : mécanisme psychique inconscient mis en place par le moi pour
lutter contre l’angoisse qui permet de se protéger « tjrs quand il y a quelque chose de
difficile »
Humour : patient rit pour évoquer des choses horribles (ne pas rigoler à cela pour ne pas
tomber dans le mécanisme de défense)
Intellectualisation
- Plusieurs mécanismes : dénis = refus de la réalité
Exemple : Dénis de grossesse : irreprésentable pour elle
Un même déni qui ne s’est jamais levé – femmes dissociés coupés d’elle-même
Partage  contexte conjuguinale, environnement, engage deuil
Expression d’une grossesse irreprésentable (réalité rejetée d’entrée)

Sexualité infantile :
La sexualité infantile qui exprime une affection  ne veut pas dire un rapport sexuel

 Théorisé par Freud (théorise stades libido (= énergie psychique) vitale dans l’enfance sur
patient adultes névrosés, part adultes névrosés pour décrire le développement normal dans
l’enfance

Plusieurs stades du développement :

Psychomoteur
Affectif
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Voir document sexualité infantile

1) Manifestations dynamiques de la sexualité et énergie vitale du sujet = libido

2) Désirs inconscients du sujet dans le but de satisfaire la pulsion = fantasme

3) Genèse de la sexualité adulte étudiée sous l’angle de « pulsions partielles pré-génitales » qui
est de nature essentiellement auto-érotique = sexualité infantile

4) Force inconsciente d’ordre biologique (faim, soif, besoin sexuel), douée d’une forte charge
énergétique
et orientant le sujet vers un certain objet pour lui donner satisfaction et “réduire” la tension
= pulsion

Stades libidinaux :
Stade Age Zone Mode de Conflit Instance
érogène relation
(source de
plaisir pour
l’enfant)

Stade oral 0-18 Bouche Fusionnelle Sevrage = sortie de la Instance du

moi (succion)  (1+1=1) symbiose ça
s satisfaire Tjrs avec la Enfant qui commence à dire
besoins figure non à tout et n’importe quoi
alimentaire maternelle (son désir à lui n’est pas le
et (premier désir de l’autre)
attachement objet
d’amour)  Enfant a qui n’ont pas appris
une place la frustration, vont mal
tiers supporter la frustration

Stade anal 18 Anus Opposition Contrôle sphinctérien Instance du

moi (première  instance Maitrise des sphincter moi
s–3 expérience du moi qui (plusieurs enjeux :
ans de contrôle va conditionne entrée à l’école)
sur son apparaitre
propre corps) (moi = image
que j’ai de
moi)
Pour
s’affirmer,
on s’oppose.
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Eliminer
bénéfices
secondaires
pour ne pas
avoir une
relation mal-
sainte avec
son enfant
plus tard

Eviter
messages
paradoxaux
mais dans
notre timbre
de voix on
dit l’inverse

« J’ai ou je
Stade 3 à n’ai pas « Exemple : en Séduction (parent sexe Instance du
phallique 5 classe enfant opposé), versus surmoi
ans Sexe de qui se Identification succédant à la
(se reconnait l’enfant, masturbe rivalité (parent même sexe)
sur une organes maîtresse auprès du couple parental
identité sur génitaux peut dire :
le plan (théorie du « Soie Conflit œdipien  pulsions
sexuel = sexe unique attentive aud’amour dirigés vers le
sexe auquel pour Freud) cours… » parent de sexe opposé
j’ai le (petite fille qui veut se
sentiment Concentre Complexe marier avec son papa)
d’appartenir énergie d’œdipe et et pulsions de rivalité vers le
) psychique à de castration parent du même sexe
ce niveau (conflit (maman nous embête pck
(appréhender œdipien) elle empêche l’union avec la
la différence fille)
des sexes et
va découvrir « Je suis où je ne suis pas »
partie de son
corps en
ayant
sensation
agréable
avec
stimulation
 apparition
de la
masturbatio
n infantile
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Stade de 6 à
latence 12 Diminution Socialisation Pas de conflit (sas de Ça, moi,
ans des pulsions avec les décompression surmoi
sexuelles groupes de Répit libidinale Toutes les
(amnésie pairs instances
infantile et Va pouvoir sont
sublimation) occuper une représentée
et place dans le s
sublimation groupe, va
(activités permettre
socialement de s’ouvrir à
valorisées) une
socialisation

Stade 12 à Sexualité Séduction Remaniement corporels et

génital 18 hétéro- versus remaniement psychiques
moi érotique Identificatio (pubertaires)
s Sexe de n (auprès
l’autre des pairs) Puberté (corps) et
(régression Vers un pubertaire (psyché) avec
pulsionnelle) parent de réactualisation du conflit
sexe opposé œdipien et second
et une processus de
rivatilasation séparation/individualisatio
avec parent n (on marque une distance
du même avec les parents)
sexe

Tabous = interdits fondamentaux

- Inceste (interdit, « on ne peut pas se marier avec papa ou maman »)
- Meurtre (petit garçon veut éliminer le père, peur de la castration, peur de perdre son « zizi »
si on l’engueule)
- Dévoration (cannibalisme, mange pour incarner toute puissance qu’il incarne)
 Repose sur le mythe d’œdipe
Tout fantasme de désirs avec un parent vont se refouler. A partir de là, le surmoi existe et on
entre dans quelque chose de beaucoup plus civilisé de l’enfant.

Stade phallique :
Dysphorie de genre = exprime détresse d’une personne transgenre face à un sentiment
d’inéquation entre son genre assigné et son identité de genre
Transgenre = se rapprocher du sexe ressenti
Expression de genre = artifices qui peuvent être utilisé qui sont normés pour préciser au nom des
autres mon appartenance sexuelle
Annuler des artifices (poitrine par exemple)
Transhume = une personne de sexe anatomique femme qui engage un parcours de réassignation
vers le sexe masculin
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Queer = renversement de stigmates – utiliser discrimination verbale pour en faire une

communication communautaire – très politisé indiquer une opposition du caractère purement
binaire

Stade de latente :
Toute la libido en stade phallique sur l’appréhension des sexes, libido va pouvoir être disponible
pour autre chose = sublimation
Sublimation = Transcender libido et l’orienter vers des activités socialement valorisées
Diminution des actes sexuels

Stade oral satisfait un besoin au niveau du g

Sexualité auto-érotique : découverte d’une partie érogène du corps

Stade hétéro-érotique : Passe aussi à travers corps de l’autre

Le jeune entre dans la puberté par la sexualité.

Marqueurs de la limite de l’adolescence :

- Biologique
- Sociaux (fin des études et une autonomie financière)

Adolescente rentre en conflit avec sa mère trouver davantage de secours auprès de son père et
inversement pour l’adolescent
 Nécessité de prise de distance avec les parents pour avoir une meilleure relation avec eux (et
éviter d’avoir une relation qui dépasse la relation « couple »)