EE - Eclairage Moteurs Compensation
EE - Eclairage Moteurs Compensation
EE - Eclairage Moteurs Compensation
6.2.1 Problématique
L'éclairage est une des cibles des programmes d'efficacité compte tenu de sa part dans les
bilans et factures énergétique. Cela se justifie par les diverses fonctions que peut occuper
l'éclairage :
L'éclairage efficace doit s'inscrire dans un cadre plus large de maîtrise d'énergie dans les
bâtiments au regard de ses interrelations directes avec les besoins de conditionnement d'air.
quantitédelumièreémise
= lm/W
puissanceélectriquerequisepourproduirela lumière
Durée de vie
Durée de vie individuelle d’une lampe : Intervalle de temps pendant lequel une
lampe fonctionne jusqu'à défaillance
Durée de vie médiane nominale : Intervalle de temps déclaré par le fabricant ou par
le vendeur responsable au bout duquel 50% des lampes d’un échantillon important
de lampes atteignent la fin de leur durée de vie individuelle
1/
Remarque : Le terme « défaillance » varie d’un fabricant à l’autre
• Ne fonctionne plus ?
• Pas assez de lumière ? Qualité de la lumière ?
• Intérêt économique ?
Durée de vie individuelle utile d’une lampe : Intervalle de temps pendant lequel une
lampe produit un flux lumineux supérieur à 80% de sa valeur nominale, sans
papillotement et dans des conditions réelles d’installation
Durée de vie utile : Intervalle de temps moyen au bout duquel une lampe doit être
remplacée parce qu’elle a atteint la fin de sa durée de vie individuelle utile ou parce
qu’il devient plus économique de la remplacer par une neuve
Température
Source : Intec
6.2.4 Technologies
Source : Intec
2/
Tableau comparatif
INDICATIONS
TECHNOLOGIES AVANTAGES INCONVENIENTS Prix d’achat Puissance Durée de vie
(FCFA) (W) (Heures)
Prix d’achat Très faible durée de vie
Rendu des couleurs Très faible efficacité
Lampe à incandescence (LI)
Allumage instantané lumineuse : 10 lm/W
Très peu polluante Forte dissipation de
NB : Lampe de référence dont les qualités 250 40 et 60 1 000
chaleur
lumineuses sont appréciées et servent de
Attire les insectes
référence.
(rayonnement infrarouge)
3/
INDICATIONS
TECHNOLOGIES AVANTAGES INCONVENIENTS Prix d’achat Puissance Durée de vie
(FCFA) (W) (Heures)
Efficacité lumineuse : 40‐ Qualité très variable en
Lampes fluocompactes (LFC) 60 lm/W fonction du fournisseur
Rendu des couleurs Durée de vie utile limitée
Compatibilité avec culots Prix d’achat relativement
des LI élevé 750 6 000
Durée de vie par rapport Temps d’allumage à 5 à 20 à
aux LI 1 à 3 mg de mercure 2 250 8 000
Rayonnement
électromagnétique
Rayonnement UV
4/
ENERGIE & SOCIETE
6.3.1 Problématique
La force motrice requise pour opérer les ventilateurs, pompes, refroidisseurs, compresseurs
et autres appareils que l’on retrouve en grand nombre dans les édifices et industries, est
essentiellement fournie par des moteurs électriques. Ces moteurs, qui transforment
l’énergie électrique en énergie mécanique, peuvent représenter jusqu’à 60% de l’énergie
électrique consommée dans les industries et 30% dans les édifices à bureaux et hôtels.
Dans de nombreuses applications, les besoins de force mécanique varient selon les besoins
de la charge raccordée (ventilateur, pompe, etc.). Un moteur électrique s’adapte bien à ces
variations mais au prix d’une baisse marquée de son efficacité et donc d’une augmentation
de la dépense d’énergie.
Certaines pratiques de base ainsi que les développements technologiques récents offrent
des solutions efficaces pour la transformation de l’énergie et sa modulation en fonction des
besoins réels de la charge raccordée. La mise en œuvre de ces pratiques et de ces nouvelles
technologies permet de valoriser le potentiel d’économie d’énergie disponible dans la
demande de force motrice des édifices et industries.
a) Technologies existantes
Le rôle d’un moteur électrique est de transformer l’énergie électrique en énergie mécanique
utilisée par les appareils des édifices et industries tels que ventilateurs, pompes,
refroidisseurs, compresseurs, etc., pour des utilisations diverses (réfrigération, traitement de
l’air, ascenseurs, procédés industriels, etc.). Chaque moteur offre des caractéristiques
d’opération et de rendement différentes, spécifiées par le constructeur. Plusieurs types de
moteurs électriques sont disponibles.
Les moteurs à induction à cage d’écureuil monophasés et triphasés (AC) sont les
moteurs électriques les plus utilisés aujourd’hui. Le moteur polyphasé est privilégié
pour son efficacité, sa faible dimension, sa simplicité de construction et sa fiabilité.
Les moteurs synchrones (AC) sont essentiellement réservés aux fortes charges et aux
applications à vitesse parfaitement constante.
Les moteurs à courant continu (DC) sont souvent réservés aux applications où la
vitesse doit être contrôlée avec précision.
5/
ENERGIE & SOCIETE
MOTEURS
ELECTRIQUES
Moteurs AC Moteurs DC
(à courant alternatif) (à courant continu)
6/
b) Principe général de fonctionnement
c) Efficacité
L’efficacité d’un moteur est le rapport entre la puissance mécanique fournie par le moteur et
la puissance électrique absorbée pour le faire fonctionner.
Les pertes dans le moteur sont représentées par la différence entre la puissance absorbée et
la puissance fournie.
Les moteurs efficaces sont des moteurs à induction dont les composantes ont été
sélectionnées pour diminuer les pertes internes (choix de l’acier, tôles minces du noyau,
conducteurs plus gros dans le stator, paliers plus petits et de meilleure qualité, circulation
d’air améliorée, etc.). Les entraînements à vitesse variable permettent, quant à eux, une
meilleure adaptation du moteur à la charge demandée.
Un moteur atteint son efficacité maximale lorsqu’il opère à sa capacité nominale. L'efficacité
est particulièrement réduite si le moteur opère à faible charge, et la consommation
d’énergie résultante est alors plus élevée que requise.
La puissance réactive (kVAr) requise pour créer le champ magnétique tournant est à peu
près constante, quelque soit la charge. Le facteur de puissance résultant à faible charge (kW)
est donc faible, ce qui peut entraîner des pénalités de la part du fournisseur d’électricité.
7/
Courbes d'efficacité et de charge nominale des moteurs
Facteur de puissance
Puissance Puissance
apparente réactive
kVA kVAr
Puissance réelle
kW
Puissance réelle
Facteur de puissance =
Puissance apparente
8/
vitesse de la pompe ou du ventilateur. Par conséquent, une simple réduction de 10% du
débit d’une pompe ou d’un ventilateur réduit de 20% la puissance requise. Une réduction de
50% du débit correspond à une réduction de 75% de la puissance. En contrôlant la vitesse
du moteur, on peut donc effectuer de grandes économies d’énergie en contrôlant avec
précision les procédés.
Un entraînement à vitesse variable est un appareil électronique de puissance qui fait varier
la fréquence de l’énergie électrique fournie à un moteur à courant alternatif. La vitesse du
moteur étant liée à la fréquence de l’énergie électrique fournie, la variation de fréquence se
traduit directement en variation de vitesse du moteur. L’entraînement à vitesse variable
permet donc de contrôler avec précision la puissance fournie à un procédé et remplace les
contrôles mécaniques qui sont normalement utilisés pour dissiper un surplus d’énergie dans
le procédé (soupapes de contrôle sur des circuits hydrauliques, registres de sortie sur un
ventilateur).
6.3.3 Evaluation
Pour connaître les caractéristiques requises lors du remplacement d’un moteur, il est
important de connaître la charge actuelle du moteur en place. La puissance peut être
mesurée directement (avec un wattmètre) ou indirectement par la mesure de la tension, de
l’intensité du courant et du facteur de puissance.
Tension (V)
Ps (kW)
P (kW) Intensité (A)
FP
9/
La puissance de sortie du moteur (la puissance réellement utilisée par la charge raccordée)
se déduit alors facilement :
Comme l’efficacité d’un moteur à induction régulier est plus faible à charge réduite qu’à
charge nominale, il faut utiliser un facteur correctif, selon le rapport de charge du moteur.
Cette correction n’est pas requise pour un moteur efficace. La puissance requise par le
procédé sera alors :
Rapport de
Puissance nominale du moteur (kW)
charge
(kW/kW
25 50 100 150 250 500 1 000 1 500
nominal)
0.10 0.728 0.812 0.864 0.899 0.923 0.940 0.953 0.963
0.15 0.757 0.836 0.884 0.915 0.936 0.951 0.962 0.970
0.20 0.782 0.856 0.900 0.928 0.947 0.960 0.969 0.976
0.25 0.794 0.866 0.908 0.934 0.952 0.964 0.973 0.979
0.30 0.808 0.878 0.917 0.942 0.958 0.969 0.977 0.982
0.35 0.826 0.891 0.928 0.950 0.964 0.974 0.98! 0.985
0.40 0.841 0.903 0.937 0.957 0.970 0.978 0.984 0.988
0.45 0.849 0.909 0.941 0.960 0.973 0.980 0.986 0.990
0.50 0.970 0.976 0.981 0.984 0.986 0.989 0.991 0.992
0.55 0.976 0.981 0.985 0.987 0.989 0.991 0.993 0.994
0.60 0.980 0.985 0.988 0.990 0.991 0.993 0.995 0.995
0.65 0.984 0.988 0.990 0.992 0.993 0.995 0.996 1.000
0.70 0.987 0.990 0.992 0.993 0.995 0.996 1.000 1.000
0.75 0.989 0.992 0.994 0.995 0.996 1.000 1.000 1.000
0.80 0.99! 0.993 0.995 0.996 1.000 1.000 1.000 1.000
0.85 0.992 0.994 0.996 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000
0.90 0.993 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1,000
0.95 0.995 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000
1.00 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000 1.000
10/
b) Calcul des économies ‐ Moteur efficace
‐ Économie de puissance
PECO
PREQ
PREQ
Eff 2 Eff1
x PREQ
Eff1 Eff 2 Eff 2 x Eff1
On accordera un facteur de coïncidence (Fc) avec la pointe d’appel de puissance pour tenir
compte de tous ces éléments.
‐ Économie d’énergie
Les calculs d’économies réalisables par l’utilisation d’un entraînement à vitesse variable sont
simples mais demandent une bonne connaissance du procédé visé et des profils d’utilisation
actuelle et projetée, c’est à dire le nombre d’heures d’opération et les différents degrés de
charge du moteur à contrôler.
‐ Économie de puissance
‐ Économie d’énergie
Le calcul des économies est effectué à partir des profils d’utilisation du système à contrôler.
Les économies découlent directement de la réduction de la puissance utilisée pendant
certaines périodes.
Les moteurs électriques sont des éléments de construction robuste, à longue vie utile (il est
courant de trouver des moteurs de vingt ans et plus lors de visites techniques) et dont le
coût de remplacement est élevé. Les propriétaires et opérateurs de bâtiments sont donc
souvent réticents à remplacer un moteur qui fonctionne encore bien, par un nouveau
moteur, plus moderne et plus efficace. Dans ce contexte, le remplacement du moteur en fin
de vie est une opportunité à envisager.
Dans le cadre d’une démarche d’efficacité énergétique, il est donc important d’identifier les
moyens les moins coûteux de valoriser le potentiel d’économie d’énergie, et d’évaluer
correctement les situations qui peuvent justifier le remplacement d’un moteur existant par
un moteur efficace, l’ajout d’un entraînement à vitesse variable ou la combinaison des deux
mesures.
L’énergie la plus facile à économiser est celle qui n’est pas consommée. La première étape
dans la démarche d’efficacité énergétique est donc d’identifier les charges qui peuvent être
réduites et celles qui peuvent être arrêtées.
Les systèmes de ventilation sont un bon exemple de ces deux approches. La conversion d’un
système à volume d’air fixe en système à volume d’air variable (VAV) rend possible la
modulation de la charge de ventilation pour la faire coïncider avec les besoins réels. Il en
résulte une réduction de la charge pour la majorité des heures d’opération. En contrepartie,
si les besoins de ventilation sont relativement constants durant les heures d’occupation et
qu’ils sont inexistants en inoccupation, il est aussi possible d’arrêter les systèmes lorsque le
bâtiment est inoccupé. Il en résulte alors une réduction des heures effectives d’opération
des moteurs.
b) Protection du moteur
Des dispositifs de protection adéquats doivent être installés pour protéger les moteurs des
surintensités et surcharges. Un dispositif de coupure doit aussi être installé pour permettre
l’ouverture des conducteurs d’alimentation du moteur à des fins d’entretien.
12/
Des protections additionnelles sont aussi disponibles pour protéger le moteur des chutes de
tension et des défaillances de phases sur le circuit d’alimentation.
Les moteurs électriques requièrent peu d’entretien. La fréquence des opérations d’entretien
dépend des conditions d’opération du moteur :
Des vérifications simples permettent cependant d’identifier les problèmes avant qu’un bris
ne survienne. Ainsi, l’apparition de vibrations ou un échauffement anormal du moteur sont
des signes précurseurs à identifier. Le manufacturier du moteur peut aussi recommander les
fréquences d’entretien et de lubrification applicables.
d) Dimensionnement
Un moteur surdimensionné est peu efficace (l’efficacité est maximale pour une utilisation de
75 à 100% de la charge). Il est donc essentiel de vérifier que le moteur est adapté à la charge
réelle et actuelle entraînée, d’autant plus que les besoins d’un immeuble ou d’une usine
évoluent dans le temps et que les moteurs ont souvent été surdimensionnés par rapport aux
besoins, notamment en matière de circulation d’air. Cette vérification se traduit par
l’évaluation des besoins réels de charge lors de l’étude préliminaire au remplacement d’un
moteur. La maximisation de l’investissement dans un moteur efficace dépend du choix d’un
moteur dont la capacité sera la plus proche possible de la charge.
En cas de bris d’un moteur ou de modifications d’un procédé, il est opportun de considérer
l’installation d’un moteur efficace. Une évaluation détaillée du type de charge entraînée
(profil de charge dans le temps) et des besoins réels de puissance par un spécialiste du
procédé entraîné (pompage, ventilation, etc.) est indispensable. Les moteurs installés à
l’origine sont en effet souvent surdimensionnés ; de plus, si le procédé a évolué, il est
possible que la puissance requise ait diminué. Si l’analyse du profil de charge dans le temps
démontre de fortes variations, l’installation d’un entraînement à vitesse variable pourrait
être justifiée.
Les autres avantages des moteurs efficaces sont leur plus longue durée de vie, leurs moins
grandes pertes de chaleur (économies d’énergie sur le plan de la climatisation) et leur niveau
sonore moindre que les moteurs conventionnels.
13/
ETUDE DE CAS
Enoncé
On dispose d'un moteur de 50 kW avec une efficacité moyenne de 85 %. Le moteur entraîne
une pompe centrifuge. La puissance mesurée au niveau du moteur est de 15 kW. Quelle est
la puissance requise pour entraîner la pompe ?
Solution
Puissance fournie (non corrigée) = 15 x 0,85 = 12,75 kW
Rapport de charge = 12,75 / 50 = 0,255
Facteur de correction = 0,915
Puissance fournie (corrigée) = 15 x 0,85 x 0,915 = 11,7 kW
Pour des raisons d'efficacité on désire remplacer le moteur par un moteur efficace de 15 kW
dont l'efficacité est de 94 %. Quelle est l'économie de puissance réalisée ?
Eff1 = 0,85 x 0,915 = 0,78
Eff2 = 0,94
PREQ = 11,7 kW
PECO = (0,94 – 0,78) / (0,78 x 0,94) x 11,7 = 2,6 kW
La pompe est utilisée pour circuler l’eau de chauffage et est en opération 24 heures par jour,
8 mois par année. La puissance facturée est la puissance réelle mesurée. Le coût mensuel du
kW est de 10 500 Fcfa.
Fc = 100 %, 8 mois par année
Fc = 0 %, 4 mois par année
L'économie financière puissance est : 2,6 kW x (8 x 100%+4 x 0%) x 10500 = 218 400
Fcfa/an
L'économie d'énergie est : EECO = 2,6 kW x 8 mois x 30 jrs/mois x 24 heures/jr = 9 984
kWh
Avec un coût de l’énergie de 125 Fcfa/kWh, l’économie monétaire est de :
Economie financière énergie = 9 984 kWh x 75 Fcfa/kWh = 748 800 Fcfa/an
L’économie totale, puissance et énergie s’élève à :
Économie financière Totale = (Économie financière Puissance) + (Économie financière
Energie) = 218 400 + 748 800 = 967 200 Fcfa/an
Conclusion
Le choix de remplacer un moteur régulier par un moteur efficace dépend de différents
facteurs, dont la période de récupération maximale acceptée par le propriétaire.
L’augmentation de la fiabilité du système et de sa durée de vie et la diminution des coûts
d’entretien sont d’autres paramètres à prendre en compte et qui contribuent à rentabiliser
le surcoût d’achat d’un moteur efficace. Si les économies générées par le remplacement
d’un moteur ne permettent pas de justifier son remplacement immédiat en respectant les
paramètres financiers du propriétaire, il est toutefois recommandé d’installer un moteur
efficace lors du grillage du moteur actuel.
14/
6.4. LA COMPENSATION DE L’ENERGIE REACTIVE
6.4.1. Principe de la compensation
Les audits énergétiques dans le tertiaire et dans les unités industrielles ont généralement fait ressortir des
économies substantielles par une analyse efficiente des factures d’électricité. Une telle analyse permet de
constater que les économies évoquées résultent essentiellement de l’optimisation de deux paramètres :
le facteur de puissance qui est une caractéristique du récepteur électrique ;
la puissance souscrite qui est une caractéristique du contrat d’abonnement (contrat de fourniture
d’électricité).
Les utilisateurs reçoivent l’énergie électrique sous forme d’un courant alternatif. L’énergie consommée est
composée de deux parties :
une partie active transformée en chaleur ou en mouvement ;
une partie réactive transformée par les actionneurs électriques pour créer leurs propres champs
électromagnétiques.
La compensation d’une installation électrique consiste à installer une source d'énergie réactive qui permet
d'améliorer de facteur de puissance de l'installation.
15/
les condensateurs de valeurs fixes ou condensateurs fixes,
les équipements à régulation automatique ou batteries automatiques qui permettent d'ajuster en
permanence la compensation aux besoins de l'installation.
6.4.3. Modes de compensation
Globale Partielle Individuelle
Convient lorsque la charge est Convient lorsque l'installation est Convient lorsque la puissance
stable et continue. étendue et comporte des ateliers de certains récepteurs est très
dont les régimes de charge sont importante par rapport à la
différents. puissance totale, elle offre le
plus d'avantages.
4. Matériels
Source : http://sitelec.org/cours/abati/compens.htm
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