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    Méthodes Somme Algébrique

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    Méthode pour faire des sommes algébrique

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    Méthode 1 : somme algébrique de nombres relatifs

    Rappels :
     L’addition est une opération dite « associative » et « commutative ».
    Cela signifie que l’on peut changer l’ordre des termes sans modifier le résultat.
     Il est plus facile d’additionner des nombres relatifs de même signe.

     La somme de deux nombres opposés est toujours égale à zéro !

    Règle : Pour additionner plusieurs nombres relatifs,


     Je regroupe les termes positifs entre eux et je les additionne.
     Je fais de même avec les nombres négatifs.
     Je calcule ensuite la somme du nombre positif obtenu à l’étape  et du nombre
    négatif obtenu à l’étape 

    Exemple : Calculer la somme suivante :


    S = (− 9) + (+ 7) + (− 3) + (− 7) + (− 3) + (+ 5) + (+ 8)
    Je change l’ordre des termes de façon à regrouper les termes de
    même signe :

    S = (− 9) + (− 3) + (− 7) + (− 3) + (+ 7) + (+ 5) + (+ 8)
    S= (− 22) + (+ 20)
    S = (− 2)

    Astuce : Dans le calcul S, je remarque qu’il y a deux termes opposés.


    En les additionnant, j’obtiens zéro. Je peux donc les « barrer » dans le calcul.

    S = (− 9) + (+ 7) + (− 3) + (− 7) + (− 3) + (+ 5) + (+ 8)
    S= (− 9) + (− 3) + (− 3) + (+ 5) + (+ 8)
    S= (− 15) + (+ 13)
    S = (− 2)
    Méthode 2 : somme algébrique de nombres relatifs

    Rappels :
     Soustraire un nombre relatif revient à additionner son opposé.
     L’addition est une opération dite « associative » et « commutative ».
    Cela signifie que l’on peut changer l’ordre des termes sans modifier le résultat.

    Règle :
    Pour calculer une succession d’addition et de soustractions de nombres relatifs,
     Je transforme toutes les soustractions en additions en appliquant la règle
    rappelée ci-dessus dans le cadre bleu.
     Je regroupe les termes de même signe entre eux.
     Je calcule la somme des nombres positifs puis la somme des nombres négatifs.
    Enfin, je donne le résultat final.

    Exemple : Calculer la somme algébrique suivante :


    S = (− 9) − (+ 7) − (− 3) + (− 7) + (+ 6) − (+ 5) + (+ 8)
    Je transforme toutes les soustractions en additions :

    S = (− 9) − (+ 7) − (− 3) + (− 7) + (+ 6) − (+ 5) + (+ 8)

    S = (− 9) + (− 7) + (+ 3) + (− 7) + (+ 6) + (− 5) + (+ 8)
    Je change l’ordre des termes de façon à regrouper les termes de même signe :

    S = (− 9) + (− 7) + (− 7) + (− 5) + (+ 3) + (+ 6) + (+ 8)
    S= (− 28) + (+ 17)
    S = (− 11)
    Méthode 3 : Écriture simplifiée et calculs

    Règle :
    L’addition et la soustraction des nombres relatifs en écriture simplifiée suivent les
    mêmes règles que les calculs avec parenthèses.

    Exemples : L’addition a été masquée dans chacun des calculs suivants.


     Pourquoi 3−5=−2?

    3 est un nombre positif et − 5 est un nombre négatif.


    Cela revient à additionner + 3 et − 5.
    Ainsi, 3 − 5 = (+ 3) + (− 5) = − 2.

     Pourquoi − 3 − 5 = − 8 ?
    − 3 est un nombre négatif et − 5 est un nombre négatif.
    Cela revient à additionner − 3 et − 5.
    Ainsi, − 3 − 5 = (− 3) + (− 5) = − 8.

     Pourquoi −3+5=+2?
    − 3 est un nombre négatif et + 5 est un nombre positif.
    Cela revient à additionner − 3 et + 5.
    Ainsi, − 3 − 5 = (− 3) + (+ 5) = + 2.
    Somme algébrique : Calculer S = − 9 + 7 − 3 − 7 − 3 + 5 + 8
    Dans cette somme, toutes les additions ont été masquées.
    Il ne reste que des nombres relatifs avec leurs signes.
    On repère les nombres de même signe et on les regroupe.

    S=−9 +7 −3 −7 −3 +5 +8
    S=+7 +5 +8 −9 −3 −7 −3

    S= + 20 − 22
    S = − 2.

    Dans ce calcul, on pouvait également remarquer la présence de deux nombres


    relatifs opposés : + 7 et − 7.
    Leur somme est égale à zéro : + 7 − 7 = 0

    Ainsi, les termes + 7 et − 7 pouvaient être « barrés ».

    S=−9 +7 −3 −7 −3 +5 +8
    S=−9 −3 −3 +5 +8
    S= − 15 + 13

    S = − 2.

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