Ajol-File-Journals 110 Articles 266105 65df79a60a399
Ajol-File-Journals 110 Articles 266105 65df79a60a399
Ajol-File-Journals 110 Articles 266105 65df79a60a399
23565
Guero CI1*, Grema M2, Abdou MMM3, Adamou KI4 and M Issa5
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25145
ABSTRACT
Key words : Production systems, herd size, sedentary breeders, lactating female
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25146
RESUME
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25147
INTRODUCTION
Deux grands groupes de bovins sont exploités au Niger : le Zébus ou Bos indicus,
qui comprennent l'Azawak (65%), le Bororo (18%), le Djelli (7%), et le Goudali
(3%), et les Taurins ou Bos taurus, qui comprennent la race Kouri (4%) et les
métisses (2%). Les bovins représentent 29,15% du cheptel nigérien [7]. L'élevage
bovin joue un rôle considérable dans l'économie des populations des zones
urbaines, ainsi que celles des zones rurales, en raison de son utilisation dans
plusieurs activités de rente (vente d'animaux vivants, vente de lait, de fromage, et
cetera.) [7]. Comme la plupart des bovins du Niger, le zébu Djelli a longtemps été
considéré par ses éleveurs comme une ressource génétique animale très
attractive en raison de son aptitude à l'engraissement, de son rendement carcasse
qui peut atteindre 48 à 50% et de sa valeur marchande [8]. Cependant, le
développement de son élevage reste un défi à cause des préjugés sur sa
productivité dans un environnement nutritionnel défavorable. La situation est telle
que la réduction et la dégradation des zones de pâturage dues à l'extension des
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25148
terres cultivées affectent la productivité du bétail [4]. Les particularités de ses
systèmes de productions n'ont pas été suffisamment développées. Il existe peu de
données sur la gestion des troupeaux (connaissance des effectifs de femelles
reproductrices, de géniteurs et de femelles allaitantes par système de production)
selon les acteurs qui s’intéressent à son élevage. Il existe très peu de données
aussi sur la nature de son alimentation et son suivi sanitaire. Ce travail s’est donc
focalisé sur la gestion des effectifs des troupeaux du bovin Djelli, le mode
d’élevage pratiqué, la conduite de l’alimentation à l’auge, la pratique de la
complémentation et la gestion des maladies par ses éleveurs pour analyser la
diversité de ses systèmes de production et pour appréhender son environnement
d’élevage.
Les hypothèses de l’étude sont: (1) Un type de système de production est le plus
convenable à la prospérité de l’élevage du bovin de race Djelli. (2) La réussite de
l’élevage du bovin Djelli est tributaire de la maitrise des éléments indispensables à
son environnement d’élevage.
Les résultats peuvent être utilisés par un large public notamment les chercheurs,
les techniciens agricoles et les services d’appui conseil aux producteurs.
MATERIEL ET METHODE
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25149
femmes) soit 15,9% de la population nigérienne [7]. La région de Tillabéri est
subdivisée en treize (13) départements, quarante-cinq (45) communes et la
collectivité régionale. Le pouvoir traditionnel est exercé au niveau supérieur,
cantonal par 31 chefs de canton, 9 groupements et 1 946 chefs de village
administratifs et tribus [7].
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25150
éleveurs de chaque localité. Les données issues des enquêtes ont permis
d’effectuer une classification des systèmes de productions pour aboutir à une
typologie. Les questions ont porté sur l’ethnie socioculturelle de l’éleveur, son
activité principale, son mode d'élevage qu’il pratique, sa pratique d'alimentation, la
maladie la plus redoutée et la plus prévenue dans son élevage). Les questions ont
aussi porté sur la gestion des troupeaux (Maitrise des effectifs Djelli, la durée de
complémentation et l’apport journalier de concentré de son par kilogramme et par
tête). Le système de Nomenclature binomiale (genre en majuscule suivi d’espèce
en minuscule) a été suivi pour nommer les espèces végétales en ce qui concerne
les pratiques alimentaires du bovin Djelli.
Analyse statistique
Les données de l’enquête ont été saisies au logiciel Excel. Puis elles ont été
analysées par étapes:
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25151
-Une analyse descriptive de la gestion des troupeaux (maitrise des effectifs, la
durée de complémentation et l’apport journalier de concentré de son par
kilogramme et par tête). Le test de Shapiro-Wilk a été utilisé pour tester la
normalité des variables quantitatives. La normalité étant vérifiée, ces variables ont
été soumises à une analyse de variance (ANOVA) au seuil de 5% aussi par le
logiciel SPSS version 2021. Le test de comparaison multiple de tukey a été utilisé
pour comparer les moyennes.
RESULTATS ET DISCUSSION
Dans le Tableau 2, on constate que le ratio (r) femelles allaitantes sur femelles en
âge de reproduction est :
r =0,45 chez les Sédentaires,
r =0,30 chez les semi-transhumants et
r = 0,25 chez les Transhumants.
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25152
Figure 2: Répartition des classes des élevages du bovin de race Djelli du Niger
Analyse factorielle discriminante (AFD) des élevages du bovin Djelli
L'analyse factorielle discriminante (Fig 3) montre que les activités principales de
pêche et de commerce correspondent aux sédentaires, l'agriculture aux semi-
transhumants et l'élevage aux transhumants.
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25153
La relation entre la classification ascendante hiérarchique (CAH) et l’analyse
factorielle discriminante (AFD) des élevages du bovin Djelli met en évidence trois
(3) types de systèmes de productions de bovin de race Djelli en se référant aux
types d’éleveurs qui les composent. Il s’agit de :
Ø Type 1 des éleveurs du bovin Djelli transhumants ;
Ø Type 2 des éleveurs du bovin Djelli sédentaires ;
Ø Type 3 des éleveurs du bovin Djelli semi-transhumants.
Type 1 des éleveurs du bovin Djelli transhumants: Les résultats de cette étude
montrent que les transhumants sont essentiellement de l’ethnie Peulh. Ils ont la
taille de troupeau la plus importante (27 têtes) et complémentent en concentré de
quantité modeste leurs troupeaux (2,5 kg de concentré de son de riz par tête et par
jour) (Tableau 2). Ceci serait dû au fait que les Peulhs sont par nature des
éleveurs transhumants des troupeaux de grande taille. Les observations de cette
étude sont en accord avec celles faites par Papa et al. [9] qui affirment que la
complémentation en sous-produits végétaux est moins importante chez les
éleveurs transhumants [9]. Ces observations ont également été faites par
Coulibaly et al. [10] qui ont constaté que les éleveurs transhumants s'intéressent
peu aux aliments énergétiques en raison de leurs coûts élevés [10]. Selon Dedieu
et al. [11], les éleveurs transhumants privilégient la sécurité de leur système de
production avant la rentabilité. Pour eux, la fonction sociale de l'élevage est plus
importante que sa fonction économique [11]. Ceci pourrait expliquer le faible ratio
de femelle allaitantes sur femelles en âge de reproduction chez les Transhumants
(r = 0,25) contre r =0,30 chez les Semi-transhumants et 0,45 chez les Sédentaires
dans cette étude (Tableau 2).
Type 2 des éleveurs du bovin Djelli sédentaires: Les résultats de cette étude
montrent des effectifs modestes de taille du troupeau (17 têtes) et des effectifs
modestes des femelles du troupeau (11 têtes) chez les sédentaires (Tableau 2).
Ceci serait dû au fait que le troupeau sédentaire a des effectifs facilement
maîtrisables compte tenu des dépenses liées à l'alimentation et aux soins
vétérinaires. Ces observations sont en accord avec celles faites par Alary et al.
[12] qui ont constaté que les éleveurs sédentaires sont capables d'adapter très
rapidement la taille de leurs troupeaux, leurs systèmes d'alimentation, l'orientation
de leur production (engraissement, lait) pour leur subsistance [12]. Selon Dedieu et
al. [11], l'élevage sédentaire est perçu comme une stratégie d'épargne qui n'est
souvent pas le fait des agriculteurs, mais plutôt de commerçants soucieux
d'augmenter leurs revenus [11]. La consommation modeste de concentrés (2,5 kg
de son de riz) malgré le plus grand nombre d'allaitants dans la classe d'éleveurs
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25154
sédentaires de cette étude est due à la compensation en fourniture de fourrages
de bonne qualité nutritionnelle comme le bourgou (Echinochloa stagnina (Retz) P.
Beauv) (Poaceae) aux bovins Djelli des zones riveraines. Ces observations sont
en accord avec celles faites par Sanogo et al. [13] qui ont trouvé que les vaches
dans les systèmes sédentaires avaient une meilleure croissance que celles des
autres systèmes en raison de la qualité de la ration mais aussi de la conservation
de l'énergie dans des conditions extrêmes de pâturage [13]. Ceci pourrait expliquer
le bon rapport entre les femelles allaitantes et les femelles en âge de reproduction
dans les élevages sédentaires de cette étude (r =0,45) (Tableau 2). Ce bon ratio
serait aussi lié à la fourniture de bourgou (Echinochloa stagnina (Retz) P. Beauv)
(Poaceae) (fourrage de zone humide à haute valeur nutritionnelle) comme aliment
de l’auge dans les élevages sédentaires riverains. Ce résultat corrobore celui de
Souadia [14] sur la pratique de l'élevage intensif dans les zones à fort potentiel
d'irrigation lors de son étude dans la région de M'Sila en Algérie [14].
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25155
(Poaceae), 16% pour le Bourgou (Echinochloa stagnina (Retz) P. Beauv)
(Poaceae), 8% pour les gousses de gao (Faidherbia albida(Del) A. Chev)
(Fabaceae), 6% pour les fanes de niébé (Vigna unguiculata L, Walp) (Fabaceae),
et 6,7% pour les tiges de sorgho Sorghum bicolor (L.) Moench (Poaceae). Ce qui
démontre que la paille de riz (Oryza sativa L.) (Poaceae) est la plus utilisée dans
les localités riveraines qui sont Yelwani, Hondobon et Say et de la localité insulaire
de Sinder. Dans ces localités, les populations cultivent surtout du riz (Oryza sativa
L.) (Poaceae) irrigué dont les résidus sont utilisés pour nourrir le bétail. Le bourgou
(Echinochloa stagnina (Retz) P. Beauv) (Poaceae), une graminée fourragère à
haute teneur énergétique est également apportée aux bétails de ces villages. Par
contre, les tiges de mil (Pennisetum glaucum (L.) R. Br) (Poaceae) sont très
répandues, surtout dans les localités non annexées au fleuve, comme Koulbaga et
Tassikoirey, où la culture du mil (Pennisetum glaucum (L.) R. Br) (Poaceae) est
très développée par les agro-pasteurs. Les tiges de mil (Pennisetum glaucum (L.)
R. Br) (Poaceae) prédominent à Tassikoirey jusqu'à 88 % (Tableau 4). Ces
résultats obtenus sont en accord avec ceux de Lawal et al. [4] dans une étude
menée dans la zone périurbaine de Niamey où une forte proportion de stock de
paille de graminée (Poaceae) (75,35%) a été obtenue [4]. Ces résultats sont
également en accord à ceux de Diogo et al. [17] et Dahouda et al. [18] sur la forte
distribution des résidus agricoles aux animaux pendant la saison sèche [17, 18].
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25156
(P<0,001) (Tableau 5). On constate que 8% des éleveurs du bovin Djelli n'ont
jamais vermifugé, 4% ont vermifugé cinq fois par an, 16% ont vermifugé deux fois
par an, 32% ont vermifugé trois fois par an et 40% ont vermifugé quatre fois par
an. Ceci démontre que les maladies redoutées sont par ordre de nuisance: la
pasteurellose, puis la dermatose suivie du charbon symptomatique dans les
élevages du bovin de race Djelli.
Ainsi les effectifs des allaitantes de Say et Yelwani sont similaires (respectivement
5,4±2,6 b et 6,0±2,8 b) (localités riveraines). Ces effectifs sont très
significativement différents (P<0,001) des effectifs d'allaitantes de Koulbaga et
Tassikoirey (localités non riveraines) (respectivement 2,9±1,2a et 2,8±1,2a) qui
sont également similaires. Ceci serait dû au fait que les méthodes d'élevage
diffèrent selon les localités au niveau de l'environnement d'élevage (alimentation et
suivi sanitaire). Ce résultat est en désaccord avec celui de Kora [21] dans une
étude menée à N'Dali et Tchaourou au Bénin où selon lui, la rentabilité de la
reproduction n’est pas influencée par le système de production [21].
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25157
CONCLUSION, AND RECOMMENDATIONS FOR DEVELOPMENT
REMERCIEMENTS
Les auteurs remercient le Centre d’Excellence Régionale sur les Productions
Pastorales (CERPP) pour avoir facilité le financement de cette étude. Ils
remercient également tous les éleveurs des localités de Hodobon, Koulbaga, Say,
Sinder, Tasikoirey, et Yelwani pour leur disponibilité et leur franche collaboration
durant la conduite de cette étude.
Conflit d’intérêt
Les auteurs déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêt.
Déclaration de disponibilité
Les données de cette étude sont disponibles en fonction des besoins.
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25158
Tableau 1 : Répartition des éleveurs et les effectifs du bovin Djelli par localité (Niger)
Hondobon 81 25 567
Gothèye Koulbaga 75 25 520
Yelwani 89 25 676
Sinder Sinder 61 25 282
Tassikoirey 72 25 485
Say
Say 84 25 575
Total 462 150 3105
Tableau 2 : Caractéristiques des classes du bovin Djelli par appartenance ethnique (Niger)
Effectif du Effectif des Apport
Effectif des Effectif Djelli Effectif
Classe Troupeau femelles Durée Complémentation journalier de
géniteurs allaitantes Complémentés
Djelli reproductrices son (Kg)
1 (Peuhl) 27 16 3 4 6 4 2,5
2 (Sonrai) 17 11 2 5 4 5 2,5
3 (Sonrai) 18 10 2 3 7 5 5
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25159
Tableau 3: Disposition des objets centraux du bovin Djelli par classe et par système d’élevage (Niger)
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25160
Tableau 4: Variation des pratiques d’alimentation et de complémentation des troupeaux selon les localités (Niger)
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25161
Tableau 5: Variation des pratiques sanitaires selon les localités (Niger)
Variable Modalité (%) Hondobon Koulbaga Say Sinder Tassikarey Yalwani Effectif P-Value
global X²
Maladie vaccinée Dermatose 8,0a 12,0a 4,0a 8,0a - 8,0a 6,7
Pasteurellose 84,0a, b 76,0b 96,0a 88,0a, b 88,0a, b 92,0a, b 87,3 0,422
Chaque lettre en indice indique un sous-ensemble de localités catégories dont les proportions de colonne ne diffèrent pas de manière significative les unes des
autres au seuil de 0,05
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25162
Tableau 6: Moyennes des variables selon les localités (Niger)
Moyenne
Variable Hondobon Koulbaga Say Sinder Tassikoirey Yelwani P-value
genérale
Taille du troupeau (têtes) 22,6±6,9bc 20,8±6,2b 23,0±5,2bc 11,2±2,9a 19,4±4,8b 27,0±7,7c 20,7±7,5 P<0,001
Effectif des femelles(têtes) 12,8 ±4,8a 14,5±5,4a 14,4±3,6a 7,9±1,8b 13,0±3,7a 14,4±6,7a 12,8± 5,1 P<0,001
Effectif des
1,8±1,0ab 2,1±0,7ab 1,8±0,8ab 1,5±0,5a 1,9±0,7ab 2,4±1,2b 1,9± 0,8 P<0,018
geniteurs(têtes)
Effectif des
3,4±2,0a 2,9±1,2a 5,4±2,6b 3,6±1,6a 2,8±1,2a 6,0±2,8b 4,0± 2,3 P<0,001
allaitantes(têtes)
Durée Complementation
6,5±1,7a 6,0±0,6a 6,8±1,0a 4,5±1,2b 6,1±0,5a 7,0±1,5a 6,2± 1,4 P<0,001
(mois)
Effectif
5,3±1,7ab 4,0±1,3a 6,0±1,6b 5,0±1,2ab 4,3±1,2a 6,2±1,8b 5,1±1,6 P<0,001
Complementé(têtes)
Apport de Son
2,6±1,2a 2,2±1,1a 4,0±2,1b 2,2±0,9a 2,7±1,7a 5,4±1,0c 3,2± 1,8 P<0,001
(kg/jour/tête)
Les moyennes sur la même ligne portant au moins deux lettres identiques (a,b ou c) ne sont pas statiquement différentes au seuil de 0,05
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25163
REFERENCES
6. FAO. Revue des filières Élevage/Viande & Lait et des politiques qui les
influencent au Niger". FAO et CEDEAO, 2017.
10. Coulibaly D, Moulin CH, Morin G and C Corniau Évolution des stratégies
d'alimentation des bovins dans le bassin laitier de la ville de Sikasso au
Mali. Revue Élev. Méd. Vét. Pays Trop, 2007; 60(1-4):103-111.
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25164
11. Dedieu B, Joel A, Guillaume D, Gisèle A, Pierre B, Bernard F, Maurice
M, Audrey F and V Jonathan Conception et évaluation de systèmes
d'élevage durables dans les régions chaudes. Hal Open Science, 2020;
113-128.
14. Souadia. Intitulé contrôle sanitaire des élevages bovins laitiers dans la
région de M' Sila (Enquête sur les cas de mammites)". Mémoire de
maîtrise, Université Mohamed Boudiaf - M'Sila, Faculté sciences,
Département sciences Agronomiques, 2022.
18. Dahouda M, Mama Yero Boubacar, Dossa LH, Dotche OI, Ahounou SG,
Kiki P and I Youssao Abdou Karim Stratégies alimentaires et gestion des
ressources alimentaires dans les troupeaux bovins des communes de Nikki,
Kalalé et N ' Dali au nord-est du Bénin". Revue internationale des sciences
appliquées, 2019 ; 2(2): 48-70.
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25165
20. Tobada PG, Houemenou GS, Dotche OI and M Dilanon Caractéristiques
de l'élevage bovin de race lagunaire dans la vallée de l'Ouémé ". Revue
internationale des sciences appliquées, 2018; 1(4): 6-20 .
21. Kora. Insémination par le centre national d'insémination artificielle des
bovins dans les communes de N'dali et Tchaourou ". Rapport de diplôme
de la licence professionnelle Université d'Abomey-Calavi (UAC), École
polytechnique d'Abomey-calavi (EPAC), 2022.
https://doi.org/10.18697/ajfand.126.23465 25166