Série2 Alg Lmi1-Lsd1

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Année: 2024 - 2025

Université des Tunis El Manar Section: LMI-LSD


Département de Mathématiques Matière: Algèbre 1

Série 2 :
Base de la logique, ensembles, applications,
relation d’équivalence, relation d’ordre.
Exercice 1
Répondre par vrai ou faux :
1) 136 est un multiple de 17 et 2 divise 167 .
2) 136 est un multiple de 17 ou 2 divise 167 .
3) ∃x ∈ R, (x + 1 = 0 et x + 2 = 0).
4) (∃x ∈ R, x + 1 = 0) et (∃x ∈ R, x + 2 = 0).
5) ∀x ∈ R, (x + 1 6= 0 ou x + 2 6= 0).
6) ∃x ∈ R∗ , ∀y ∈ R∗ , ∀z ∈ R∗ , z − xy = 0.
7) ∀x ∈ R∗ , ∃y ∈ R∗ , ∀z ∈ R∗ , z − xy = 0.
8) ∀x ∈ R∗ , ∀y ∈ R∗ , ∃z ∈ R∗ , z − xy = 0.
9) ∃a ∈ R, ∀ > 0, |a| < .

Exercice 2
Soit n un entier. Énoncer et démontrer la contra-posée de la proposition
suivante :
Si n2 est impair, alors n est impair.
A-t-on démontré la proposition initiale?
Exercice 3
Soit I un intervalle de R non vide et f : I → R une fonction a valeurs réelles
définie sur I. Exprimer les négations des assertions suivantes :
1) ∀x ∈ I, f (x) 6= 0.
2) ∀y ∈ R, ∃x ∈ I, f (x) = y.
3) ∃M ∈ R, ∀x ∈ I, |f (x)| ≤ M .
4) ∀x, y ∈ I, x ≤ y ⇒ f (x) ≤ f (y).
5) ∀x, y ∈ I, f (x) = f (y) ⇒ x = y.

Exercice 4
Soit f : R → R une fonction continue. On considère les assertions suivantes :
P : [∀x ∈ R, f (x) = 0], Q : [∃x ∈ R, f (x) = 0] et R : [∀x ∈ R, f (x) > 0] ou
[∀x ∈ R, f (x) < 0].
Parmi les implications suivantes lesquelles sont exactes :
a) P ⇒ Q, b) Q ⇒ P , c) Q ⇒ R, d) non(R) ⇒ Q, e) non(Q) ⇒ non(P ), f)
non(P ) ⇒ non(R).

Exercice 5
1) Écrire l’ensemble des parties de E = {a, b, c, d}.

2) Décrire P(P({a})) où a désigne un élément.

1
3) Soit A, B, C ∈ P(E). Etablir A\(B ∩ C) = (A\B) ∪ (A\C).

4) Soit A, B ∈ P(E). Montrer que A4B = (A ∪ B)\(A ∩ B).

Exercice 6
Etant donnés A, B deux parties de E. Discuter et resoudre l’équation Eq :
A ∪ X = B d’inconnue X ∈ P(E).
Exercice 7
Soit f : N → Z définie par f (n) = n/2 si n est pair et f (n) = −(n + 1)/2 si n
est impair. Montrer que f est bien définie et bijective.
Exercice 7
Soit f : N → Z définie par f (n) = n/2 si n est pair et f (n) = −(n + 1)/2 si n
est impair. Montrer que f est bien définie et bijective.
Exercice 8
Soit E un ensemble et f : E → E telle que f ◦ f ◦ f = f . Montrer que f est
injective ssi f est surjective.
Exercice 9
Soit p, q ∈ N et n = 0, . . . , p + q. Proposer une démonstration par dénombre-
ment de l’égalité :
n
X
n
Cp+q = Cpk Cqn−k .
k=0

Exercice 10
Soit E un ensemble à n éléments.

1) Soit X une partie à p éléments de E. Combien y a t il de parties Y de


E disjointes de X ?

2) Combien y a t il de couples (X, Y ) formés de parties disjointes de E.?

Exercice 11
On définit sur Z la relation xRy si et seulement si x+y est pair. Montrer qu’on
définit ainsi une relation d’équivalence. Quelles sont les classes d’équivalence
de cette relation?
Exercice 12
On définit la relation R sur N∗ par pRq ⇔ ∃k ∈ N∗ , q = pk . Montrer que R
définit une relation d’ordre sur N∗ . Déterminer les majorants de {2, 3} pour
cet ordre et déduire que cet ordre est partiel sur N∗

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