RSE

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Définition du développement durable

Le développement durable a été définie en 1987 dans le


rapport Brundtland. Ainsi est considéré durable un
“développement qui répond aux besoins du présent sans
compromettre la capacité des générations futures à répondre
aux leurs”

Le concept de développement durable est caractérisé par


trois piliers : économique, social, et environnemental. Ces
trois piliers sont intrinsèquement lié. En effet, pour qu’un
mode de développement soit considéré comme durable, il
doit allier ces trois piliers. Si un mode de développement est
écologique et social il ne sera considéré que comme vivable,
s'il est écologique et économique il sera considéré comme
viable uniquement. Enfin, si un mode de développement est
social et économique il sera juste équitable. Un mode de
développement durable devrait donc être socialement
équitable, économiquement viable et écologiquement
vivable. Autrement dit, est caractériser de développement
durable toutes les pratiques ayant des impacts positifs tant
au niveau de l'environnement que de l'éthique.

Les Nations Unies ont établi 17 objectifs du Développement


Durable. L’objectif est de donner un guide de conduite afin de
converger vers un avenir meilleur mais aussi, et avant tout,
durable. Ces objectifs du développement durable ont été
établis de sorte à répondre à l'ensemble des défis mondiaux
auxquels nous sommes confrontés.
Les 17 objectifs du développement durable sont:

1. Éradication de la pauvreté ;
2. Lutte contre la faim ;
3. Accès à la santé ;
4. Accès à une éducation de qualité ;
5. Égalité entre les sexes ;
6. Accès à l'eau salubre et à l'assainissement ;
7. Recours aux énergies renouvelables ;
8. Accès à des emplois décents ;
9. Bâtir une infrastructure résiliente, promouvoir une
industrialisation durable qui profite à tous et encourager
l’innovation ;
10. Réduction des inégalités ;
11. Villes et communautés durables ;
12. Consommation et production responsables ;
13. Lutte contre le changement climatique ;
14. Vie aquatique ;
15. Vie terrestre ;
16. Justice et paix ;
17. Partenariats pour la réalisation des objectifs.

Définition de la RSE
La Responsabilité Sociale (et Sociétale) des entreprises (RSE) a
été définie par la commission européenne comme
l’intégration volontaire par les entreprises des
préoccupations et enjeux sociales et environnementales à
leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties
prenantes.
A noter que la norme ISO 26 000, norme de référence
internationale en matière de RSE propose également une
définition de cette notion, ainsi que des lignes directrices afin
de mettre en place des approches plus durable, responsable,
socialement éthique et en faveur de l'environnement.

Autrement dit, faire de la RSE revient à intégrer les


problématiques environnementales, sociales et sociétales
dans la politique et stratégie de l’entreprise. Ainsi, par la mise
en œuvre de pratiques répondant aux enjeux de la
responsabilité sociale et sociétale des entreprises, les
entreprises adoptent une attitude et des pratiques à la fois
plus éthique, responsable et durable.

A noter que l’on parle également de RSO, c’est-à-dire


Responsabilité Sociale des Organisations. Le choix de parler
d’organisation et non pas d’entreprise renvoie à la volonté
d'élargir la RSE au-delà des entreprises.

La mise en place de pratiques en faveur de la Responsabilité


sociale et sociétale des entreprises est une démarche qui va
au-delà de la loi et des normes en France. C'est donc une
démarche volontaire et un engagement des entreprises dans
une politiques RSE où les attentes sont nombreuses mais les
avantages aussi. En effet, même si faire de la RSE nécessite la
mise ne place d'un plan d'action ainsi que la consultation et
prise en compte des parties prenantes, la RSE peut apporter
de nombreux avantages et bénéfices (notamment en termes
de performance) aux entreprises et organisations qui
souhaitent appliquer les principes du développement durable
dans leurs pratiques et management.

Quelle est la différence entre RSE et développement durable?


Les différences entre RSE et DD
En réalité, il n’y a pas vraiment de différences fondamentales
entre ces deux termes, les principes restent identiques. Le
terme de développement durable s’adresse à toutes les
sphères de la société tandis que le terme RSE (Responsabilité
sociale et sociétale des entreprises) s’adresse exclusivement
aux entreprises ou tous types d’organisations de façon
générale. Une entreprise engagée dans les objectifs du
développement durable “fait de la RSE” et non du
développement durable.

Ainsi, la principale différence entre ces deux notions réside au


niveau de l’échelle à laquelle elles renvoient. Le concept de la
responsabilité sociale et sociétale des entreprises (RSE) a
pour objectif de décliner les objectifs du développement
durable au monde de l’entreprise en tenant compte des
spécificités qui leurs sont propres. Il est facile de comprendre
qu’un particulier ou qu’une entreprise ne prendra pas part de
la même façon la réalisation des ODD (objectifs du
développement durable) tels que définis par les Nations
unies.

Qu’est-ce que la RSE et à qui s’adresse-t-elle ?


La RSE est l'intégration volontaire par les entreprises de
préoccupations sociales et environnementales à leurs
activités commerciales et leurs relations avec les parties
prenantes Commission européenne2001
La Responsabilité Sociale des Entreprises est un concept qui
englobe une multitude de pratiques mises en place par les
entreprises.
En 2001, la commission européenne a associé la RSE aux
pratiques visant à répondre aux enjeux économiques, sociaux
et environnementaux de notre époque.
Dit simplement, une entreprise adoptant une démarche RSE
cherche à être :

1. Économiquement viable
2. A avoir un impact positif sur la société
3. A être plus respectueuse de l'environnement
La RSE fait référence à la responsabilité d’une organisation
vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la
société et sur l’environnement se traduisant par un
comportement éthique et transparent Norme ISO 26000.
En 2010, l'Organisation Internationale de Normalisation (ISO)
a apporté une autre définition de la RSE, soulignant ainsi
l'importance de la transparence et du comportement éthique
dans la conduite des affaires, ainsi que le respect des attentes
des parties prenantes.
La norme ISO 26000 associe le périmètre de la RSE à 7 piliers :

1. La gouvernance de l’organisation
2. Les droits de l’Homme
3. Les relations et conditions de travail
4. L’environnement
5. La loyauté des pratiques
6. La protection des consommateurs
7. Les communautés et le développement local
Mais alors, à qui s'adresse la RSE ? La réponse est simple :
la RSE concerne toutes les entreprises, quelle que soit leur
taille, leur secteur d'activité ou leur implantation
géographique. Que vous soyez une petite entreprise locale ou
une multinationale, que vous soyez basé en Europe ou en
Asie, que vous travailliez dans l'agroalimentaire ou dans le
secteur bancaire, la RSE est une démarche qui peut (et
devrait) vous concerner.

Source : Greenaffair

Remarque
Il est essentiel de noter que la RSE est une démarche
volontaire qui dépasse le simple respect de la législation. Les
entreprises engagées dans la RSE cherchent à aller plus loin
en investissant dans le développement durable de leur
activité.
Pour créer un monde plus durable, améliorer la réputation de
votre entreprise et renforcer votre marque employeur, il est
essentiel d’animer votre démarche RSE afin de susciter
l’adhésion de vos collaborateurs.

Grâce à une solution ludique et personnalisable, Civilisé


accompagne les entreprises qui souhaitent sensibiliser et
mobiliser efficacement leurs salariés dans la thématique RSE
de leur choix.

Les 3 piliers traditionnels de la RSE


Au regard de la définition apportée par la commission
européenne, la RSE s’articule autour de 3 piliers :

 Un pilier économique
 Un pilier social
 Un pilier environnemental

Le pilier économique de la RSE


Les entreprises sont, avant tout, des structures conçues pour
générer un chiffre d'affaires et être économiquement viables.
Cependant, loin d'être un obstacle à la croissance, les efforts
déployés pour créer une entreprise plus responsable et
transparente peuvent stimuler la productivité, réaliser des
économies de gestion et réduire certains risques.

Le pilier économique se traduit par un plan d’actions RSE


visant notamment à :
 Satisfaire et fidéliser les clients,
 Assurer la qualité du service,
 Mettre en place une tarification équitable,
 Soutenir les fournisseurs locaux,
 Payer ses factures dans les délais,
 Faire preuve de transparence auprès des investisseurs.
Remarque
Établir une tarification équitable ne signifie pas
nécessairement que les produits ou services doivent être bon
marché. Il s'agit plutôt de fixer un prix qui reflète la qualité et
la valeur du produit ou service, tout en tenant compte de la
capacité des clients à payer.

Ce positionnement, associé à une bonne communication RSE,


a des conséquences positives non seulement pour
l'entreprise, qui bénéficie d'une bonne image auprès de ses
clients, mais aussi pour les fournisseurs car leur travail et leur
savoir-faire est valorisé.

Ainsi, le pilier économique de la RSE amène les entreprises à


contribuer positivement à l'économie locale tout en restant
viable et rentable. Il invite également à s’engager dans une
démarche de transparence et d'équité, que ce soit envers les
clients, les fournisseurs, les investisseurs ou même la société
en général. Les efforts fournis peuvent aboutir à une
meilleure productivité des équipes, à une meilleure maîtrise
de certains risques et à des économies de gestion.
Le pilier social de la RSE
Le pilier social met l'accent sur le respect des droits de
l'Homme et l'égalité des chances. Il englobe des aspects tels
que la formation, l’inclusion, la diversité, la santé, la sécurité
et le bien-être des salariés.

La Qualité de Vie et des Conditions de Travail (QVCT) ou la


politique QHSE (Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement)
sont souvent mises en œuvre dans le cadre de ce pilier.

Le pilier social de la RSE donne naissance à des initiatives


comme :

 L’adoption et l’organisation du télétravail,


 L’optimisation des espaces de travail,
 La formation continue des salariés,
 La fourniture d’une couverture de santé aux
collaborateurs,
 Une représentation équilibrée entre hommes et
femmes,
 L'inclusion des travailleurs handicapés
etc...

Remarque
En fonction de sa taille, de son secteur d'activité et de sa
culture, chaque entreprise doit définir les mesures qui lui
correspondent le mieux.
En somme, le pilier social de la RSE est une invitation à penser
l'entreprise comme un lieu de vie, de respect et
d'épanouissement pour tous ses membres. Cela renforce la
marque employeur de l’organisation et favorise la fidélisation
des salariés.

Le pilier environnemental de la RSE


Aujourd'hui plus que jamais, les entreprises sont conscientes
de l'impact de leurs activités commerciales sur
l'environnement. Le pilier environnemental de la RSE
encourage les entreprises à intégrer volontairement les
préoccupations environnementales dans leurs activités de
gestion et leur stratégie de développement.

La Plateforme RSE, un groupe de travail français dédié au


pilier environnemental de la RSE, a formulé plusieurs
recommandations clés, parmi lesquelles on trouve :

- l’élaboration d’un état des lieux sur la place occupée par


l’environnement dans les démarches RSE,
- l’importance de l’économie circulaire pour la protection
de l’environnement,
- la prise en compte de l’environnement dans la
gouvernance d’entreprise,
- la responsabilité environnementale, dans ses dimensions
de prévention et de réparation du préjudice écologique
Remarque
Ces recommandations ne sont pas exhaustives, chaque
entreprise doit adapter sa démarche RSE à ses propres
réalités et défis environnementaux.

Plusieurs actions permettent aux entreprises d’avancer vers


un modèle économique plus respectueux de
l'environnement. Voici quelques exemples :

- La réalisation d’un bilan GES afin de réduire les


émissions de gaz à effet de serre,
- La sensibilisation des salariés au recyclage en entreprise,
- L'utilisation optimale des énergies renouvelables ou
naturelles,
- La limitation de la consommation de papier par la
dématérialisation des documents,
- Une meilleure gestion des déchets de l’entreprise,
- La mise en place d'un plan de mobilité durable pour
limiter l'impact environnemental du transport des
collaborateurs,

Remarque
La norme ISO 14001 est une certification dédiée au système
de gestion environnemental des organisations engagées.
L’adoption d’une politique écoresponsable peut participer au
développement économique d’une organisation. En effet, le
développement durable peut aboutir à une réduction des
coûts, à un gain de productivité, à l’amélioration de l’image
de marque et à l’acquisition d’un avantage concurrentiel.
Quels sont les 7 piliers de la RSE, au sens de l’ISO 26000 ?
La norme ISO 26000, publiée en 2010, offre un cadre précis
pour aider les entreprises à traduire les principes de
responsabilité sociétale en actions concrètes. Cette norme,
qui n'est pas une réglementation mais plutôt un guide, a été
élaborée après cinq années de négociations impliquant de
nombreux acteurs à travers le monde, dont des représentants
des gouvernements, des ONG, de l'industrie, des groupes de
consommateurs et du monde du travail. Elle représente donc
un consensus international.

Cette norme aborde 7 questions centrales, souvent associés à


7 piliers RSE :

1. La gouvernance de l'organisation
2. Les droits de l'Homme
3. Les relations et conditions de travail
4. L'environnement
5. La loyauté des pratiques
6. La protection des consommateurs
7. Les communautés et le développement local

1. La gouvernance de l’organisation
La gouvernance est le système par lequel une organisation
prend des décisions et les applique pour atteindre ses
objectifs
ISO 26000
La gouvernance d'entreprise englobe l'ensemble des
processus, réglementations, lois et institutions qui encadrent
la manière dont l'entreprise est dirigée, administrée et
contrôlée.

Remarque
Cela peut comprendre des mécanismes formels, basés sur
des processus et des structures définis, et des mécanismes
informels, qui émergent en fonction des valeurs et de la
culture de l'organisation.
La gouvernance responsable implique pour l'entreprise
d'intégrer la RSE dans sa stratégie globale et à tous les
niveaux de l’organisation. Pour être en conformité avec la
norme ISO 26000, la gouvernance doit également être
transparente.
Voici quelques exemples de bonnes pratiques en matière de
gouvernance :

La publication des résultats financiers et d'exploitation,


La mise en œuvre d'une démarche RSE portée par la Direction
Générale ou la Présidence,
Un code de conduite pour les collaborateurs,
La mise en place d'un dispositif d'alerte en cas d’abus des
dirigeants,
L’adoption d’une charte d'achats responsables.

2. Les droits de l’Homme


Au sein des entreprises engagées, le respect des droits de
l'Homme se traduit par une approche centrée sur les
individus et fondée sur la Déclaration universelle des droits
de l'homme de 1948. La norme ISO 26000 accorde à cette
dimension prend une place centrale en RSE.

La prise en compte des droits de l'Homme dans la RSE


s'articule autour de trois grands domaines :

Le respect de l'individu, sa dignité et ses droits


fondamentaux,
La lutte contre la discrimination et la promotion de l'égalité
des chances,
La protection des données personnelles et confidentielles des
parties prenantes
Il est important de noter que le respect des droits de
l'Homme ne se limite pas à l'entreprise elle-même. Il s'étend
à l'ensemble de sa chaîne de valeur, incluant ses fournisseurs,
ses partenaires et même ses clients.

Remarque
Le non-respect des droits de l'Homme peut exposer les
entreprises à des poursuites judiciaires. C'est pourquoi elles
sont de plus en plus nombreuses à faire preuve d’une
vigilance constante afin de prévenir les situations qui
pourraient mettre ces droits en danger.

3. Les relations et conditions de travail


En RSE, le pilier des relations et conditions de travail concerne
la manière dont une entreprise respecte l'intégrité de ses
employés, favorise des relations saines et offre les moyens
nécessaires pour effectuer leur travail. En outre, il implique
également de permettre aux employés de progresser,
favorisant ainsi leur bien-être physique et mental.
Le périmètre de ce pilier est vaste, il couvre notamment :
 Les relations employeur/employé
 La pérennité et la progression des compétences des
employés
 La communication et le dialogue social
 Les conditions de travail et la protection sociale
 La qualité de vie et les conditions de travail (QVCT)
 Une rémunération équitable et transparente

4. L’environnement
À la fois l'un des trois grands piliers du développement
durable et l'une des sept questions centrales de la norme ISO
26000, l’environnement a une place centrale en RSE.
Malheureusement, il n’est pas rare que certains limitent la
RSE à ce seul aspect.

Ayant déjà abordé le pilier environnemental plus haut dans


cet article, inutile de s'attarder davantage sur ce sujet.
En fin de compte, la norme ISO 26000 offre un cadre pour
aider les entreprises à prendre conscience de leur impact sur
l'environnement et à agir de manière responsable.

5. La loyauté des pratiques


La loyauté des pratiques évoque une éthique des transactions
entre deux organisations ou parties prenantes. Elle vise à
prévenir toute forme d'abus de pouvoir à des fins de
bénéfices, de "résultats positifs" comme le précise la norme.
La mise en œuvre de la loyauté des pratiques selon la norme
ISO 26000 se décline en plusieurs domaines d'action
concrets :
Loyauté dans la lutte contre la corruption : actions de
sensibilisation, mise en place de mesures d'alerte et diffusion
de chartes rappelant les interdictions et les risques encourus.
Engagement politique responsable : une entreprise peut
soutenir des politiques publiques d'intérêt général, à
condition de respecter les exigences de transparence, d'éviter
toute interférence dans les décisions politiques et de prévenir
toute activité pouvant générer de la désinformation, des
menaces ou des pressions.
Concurrence loyale : éviter d'obtenir des avantages en
enfreignant les règles. Les États sont appelés à intervenir en
cas de déséquilibres excessifs.
Promotion de la responsabilité sociétale dans la chaîne de
valeur : favoriser les pratiques responsables dans le cadre de
leur politique d'achat.
Respect des droits de propriété : La protection des droits de
propriété, qu'il s'agisse de propriété physique ou
intellectuelle, est cruciale pour garantir la loyauté des
pratiques.

6. La protection des consommateurs


Dans le cadre de la protection des consommateurs, les
entreprises doivent considérer plusieurs aspects :
- Les bonnes pratiques en matière de marketing,
d'informations et de contrats : faire preuve de
transparence et d'équité dans leurs relations avec les
consommateurs.
- La protection de la santé et de la sécurité des
consommateurs : veiller à ce que les produits ou services
de l’entreprise n'entraînent pas de risques pour la santé
ou la sécurité des consommateurs.
- La promotion de la consommation durable : proposer
des produits et services qui respectent l'environnement
et qui répondent aux besoins des consommateurs sans
compromettre les générations futures.
- Le service après-vente, l'assistance et la résolution des
réclamations : offrir un support adéquat aux clients et
traiter leurs réclamations de manière juste et rapide.
- La protection des données et de la vie privée des
consommateurs : respecter la vie privée et le Règlement
Général sur la Protection des Données (RGPD).
L'accès aux services essentiels : ISO 26000 rappelle que les
organisations ont un rôle à jouer dans l'accès équitable aux
services essentiels, notamment pour les populations
vulnérables ou défavorisées.

7. Les communautés et le développement local


La contribution au développement local implique que
l'entreprise agisse en tant qu'acteur responsable au sein de
sa communauté, c’est-à-dire les acteurs qui peuplent le
territoire sur lequel elle est implantée.
L’objectif de ce pilier RSE est d’inciter les entreprises à
contribuer positivement à l'économie locale, à soutenir les
initiatives communautaires et à respecter l'environnement.
Cela peut se traduire par des actions telles que :
- le soutien aux fournisseurs locaux
- l'investissement dans des projets éducatifs, culturels ou
sportifs
- la prise d'initiatives en faveur de l'environnement
- la création d’emploi et le développement de
compétences
- le développement et l’accès à la technologie.

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