28 dhELMOUDEN 2
28 dhELMOUDEN 2
28 dhELMOUDEN 2
NOM DE L’ELEVE :
…………………………………………………………………………………………………
ACQUERIR
CAPTEUR- AMPLIFICATEUR-COMPARATEUR-CNA-CAN
CONVERTISSEUR U/F ET F/U- FILTRE
A. ELMOUDEN
Lycée technique Mohammedia ATC CONDITIONNNEMENTDE L’INFORMATION 2STE
AMPLIFICATEURS
1-Amplificateur opérationnel
11. Présentation
Un amplificateur opérationnel « AOP » est un circuit linéaire intégré. C’est un composant constitué
principalement de transistors et d’éléments électroniques de base (diodes, résistances,…).Son symbole est
celui de la figure 1a.
Figure 1
Ce régime s’établit lorsque l’entrée non inverseuse V+ est reliée à la sortie Vs(réaction positive) ou tout
simplement quand l’AOP fonctionne en boucle ouverte(comparateur). En considérant l’AOP parfait, les
relations à tenir en compte sont I+=I-=0, Vs=+Vsat si V+>V- et Vs=-Vsat si V+<V-.
On a : V+=Ve et V-=Vs. AOP parfait => V+=V- => Vs=Ve => Av=1. Le montage suiveur présente un cas particulier
d’amplification qui est égale à l’unité. Un tel montage sert pour l’adaptation d’impédances.
AOP parfait=> V+=V-=0 => R.Ie=-Vs => Vs=-R.Ie => Vs=k.Ie avec k=-R présente le coefficient de conversion. La
Le courant de sortie Is est d’une part indépendant de la charge RL, et d’autre part il est image de la tension
d’entrée Ve.
AOP parfait => V+=V-=0 => (Ve.R2)+(Vs.R1)=0 => Vs= ………………….. => Av = ……….
Figure 6 :
tension, on a V+=Ve1.R2/(R1+R2).
Vs=[1+(R/R0)].[[(Ve1/R1)+(Ve2/R2)+…+(Ven/Rn)]/[(1/R1)+(1/R2)+…+(1/Rn)]]
Figure 7
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….……
4. Autres montages :
4.1 Montage integrateur :
Vs = -R.C. dVe/dt En pratique le montage tend à osciller en haute fréquence, pour y remédier on place
Elément Signal de
Grandeur Signal Module
Corps mesure
physique Réaction de de sortie électronique
à mesurer d'épreuve électrique de
transduction transmissible
conditionnemen t
Alimentation
Boîtier
Selon la nature du signal de sortie du capteur on peut classer ce dernier en deux grandes catégories :
- Analogique : La sortie est généralement électrique sous forme de tension ou de courant
La grandeur du signal peut prendre une infinité de valeurs dans un intervalle donné
L’information peut alors être : ...................... on mesure le niveau (tension ou intensité)
.……………….. : on mesure la période ou la fréquence
Remarque : On distingue les capteurs TOR avec ou sans .....................physique vis-à-vis de l’objet à détecter.
Information en
Sortie du capteur
(Codée sur
4 bits)
0001 0011
Exemple de signal en sortie d’un capteur numérique dont le nombre binaire ( Codé
sur 4 bits ) est caractéristique de la grandeur physique à capter
• Capteurs actifs
Certains capteurs transforment l’énergie propre de la mesurande en énergie électrique ce sont les capteurs actifs :
Grandeur
Mesurande Effet utilisé
de sortie
Température Thermoélectricité ...........
Pyroélectricité Charge
............................. Photo émission Courant
Effet photovoltaïque Tension
Force
Pression ................................
Charge
Accélération
Induction
Vitesse ..............
électromagnétique
Position (aimant) Effet .................. Tension
• Capteurs passifs
Il s’agit d’impédances (très souvent des résistances) dont l’un des paramètres déterminants est sensible au
mesurande (CTN , CTP,LDR, jauge de déformation...)
Domaine de mesure pour lequel les indications du capteur ne doivent pas être entachées d’une erreur supérieure à
l’erreur maximale tolérée. On appelle les valeurs limites du domaine, « portée minimale » et « portée maximale ».
2) Sensibilité
C’est le rapport de la variation du signal Signal de sortie
de sortie à la variation correspondante
de la grandeur à mesurer.
C'est à dire à la pente de la courbe de
sensibilité = tg
réponse du capteur pour une valeur
donnée
S=ds/dm Grandeur à mesurer
ds : variation de sortie (signal)
dm :variation del'entrée (mesurande)
3) Précision
C’est l’aptitude du capteur à donner des indications proches de la valeur vraie de la grandeur mesurée.
4) Fidélité
La fidélité est la qualité d'un capteur à fournir des indications identiques pour une même valeur de la grandeur à mesurer.
5) Rapidité
C’est l’aptitude du capteur à suivre dans le temps les variations de la grandeur à mesurer. Il faut donc tenir compte du temps
de réponse, de la bande passante et la fréquence de coupure du capteur.
6) Stabilité
La stabilité qualifie la capacité d'un capteur à conserver ses performances pendant une longue durée (problème de dérive du
zéro par exemple).
Remarque :
Un certain nombre de paramètres d’environnement peuvent modifier les caractéristiques d’un capteur et parasitent larelation
s=f(m) :
- la température ambiante
- le champ magnétique
- l’humidité
- la tension d’alimentation
Il est impératif que ces grandeurs interviennent le moins possible sur le capteur.
R /Rmax = l/L
Curseur
Dans le cas des capteurs angulaires La rotation de l’axe du potentiomètre est liée à la variation de la résistance comprise entre le curseur
et l'une de butées par rapport à sa résistance totale : on obtient alors un signal électrique (tension) proportionnel à la position de l'axe
Vs = ........................
potentiomètre rotatif
Le déplacement va de ¾ de tour à plusieurs tours ; un potentiomètre multi tours utilise une piste hélicoïdale la tension de sortie est dans
ce cas proportionnelle au nombre de tours.
Un capteur à effet Hall est constitué d'une plaquette de semi-conducteur traversée par un courant. Cette plaquette, lorsque soumise à un
champ magnétique permanent placé perpendiculairement, génère à ses extrémités perpendiculaires, une différence de tension.
TIL 170
La tension mesurée entre ses bornes dépend du matériau de l’intensité du
courant et du champ donc de la position de l’aimant : VH = k . B . I
k dépend du matériau utilisé.
La mise en application du capteur nécessite un générateur de courant.
Montage d’utilisation :
Ce type de capteur peut être utilisé pour détecter un seuil de champ magnétique
l’information délivrée est donc binaire TOR. Le TIL 170, en est un exemple typique : ce
codé : une règle ou disque gradué de manière à obtenir des zones transparentes et d’autres opaques ;un émetteur de
lumière (diode électroluminescente) éclaire l’élément codé en mouvement ;un récepteur de lumière (photodiode)
transforme chaque éclairement ( pénétration du flux à travers la fente ) en une .......................... Mesurer un
déplacement revient donc à......................... les impulsions.
Dans la pratique on rencontre souvent les codeurs .................................... dans la mesure ou une rotation peut être à l’origine
une translation ; cependant en fonction des applications et des suggestions du cahier des charges on distingue deux
types de ces codeurs : codeur incrémental et codeur absolu
transparents, « n » s'appelant
............................ ou nombre de
.............................
La piste intérieure: (voie Z) comporte une seule fenêtre transparente. Celle-ci ne délivre donc qu'un seul signal par
tour. Ce signal Z appelé «top zéro» dure 90° et est synchrone des signaux A et B.
Ce «top zéro» détermine une position de référence et permet la réinitialisation à chaque tour.
Le disque de ce type de codeur est divisé en « N » pistes. Chaque piste comporte une alternance de secteurs
réfléchissants et absorbants. Comme pour le codeur incrémental, un émetteur-récepteur par piste fournit les informations. Le
nombre de pistes fixe le nombre de positions discrètes pouvant être définies: 1 piste = 2 positions, 2 pistes = 4 positions, 3
pistes = 8 positions... N pistes = positions.
La première piste en partant du centre du disque est composée d'une moitié opaque et d'une moitié transparente,
la lecture de cette piste permet de déterminer dans quel demi-tour du disque on se situe. C’est la piste MSB «Most Significant
Bit » = bit de poids le plus fort. La piste suivante, en allant vers l'extérieur, est divisée en quatre quarts alternativement
opaques et transparents. La lecture de cette piste, combinée avec la lecture de la piste précédente, permet de déterminer
dans quel quart de tour du disque on se situe.
La piste suivante permet de déterminer dans quel huitième de tour on se situe etc.
La dernière piste, la plus extérieure, est la piste « Least Significant Bit » = bit de poids le plus faible. C'est elle
qui donne la précision finale du codeur appelée résolution.
• le codeur a une résolution de 2N points par tour.
• La lecture simultanée de toutes les pistes
(informations binaires) nous donne un code binaire
qui représente la position du disque du codeur dans le
tour.
• Le code binaire délivré par le codeur comporte
autant de bits qu'il y a de pistes sur le disque soit
N bits.
• Le câblage du codeur mobilisera donc N entrées du
système de traitement.
Le code binaire délivré par un codeur rotatif absolu peut être soit du binaire naturel, soit du binaire réfléchi
(code GRAY).
Le code binaire naturel a l’avantage de pouvoir être directement utilisé par l'unité de traitement. Il présente
cependant l'inconvénient d'avoir plusieurs bits qui changent d'état entre deux positions. Ces changements d'états ne
pouvant rigoureusement pas être simultanés ils peuvent générer des erreurs si une lecture est effectuée à ce moment
là par l'unité de traitement.
Codeur absolu 4
pistes selon le
code GRAY
Codeur absolu 4
pistes naturel, soit
16 points (24):
Le code binaire réfléchi GRAY ne présente pas cet inconvénient car un seul bit à la fois change d'état. Mais
l’unité de traitement devra opérer un transcodage binaire réfléchi / binaire naturel avant toute utilisation.
a) Mouvement circulaire
Nombre de points = 360 *1/Ps * R
avec : Ps = précision souhaitée en degré, R = rapport
de réduction entre l’engrenage du mouvement entraînant le
codeur et le dernier engrenage entraînant le mobile
b) Mouvement de translation
Nombre de points = 1/Ps * R * P
Avec : Ps = précision souhaitée en mm, R =
rapport de réduction entre l’engrenage du
mouvement entraînant le codeur et le dernier
engrenage entraînant le mobile, et P = rapport
de conversion du mouvement de rotation en
mouvement de translation.
4.2 Calcul de la résolution :
Exemple de calcul avec un mouvement de translation :
On cherche une précision d’un centième,
mouvement sans réducteur R = 1, avec une vis à
bille de pas 20 mm
(donc P = 20), et de longueur 1m.
Nombre de points …………………………………………………..
Il faut donc...........................points par tour
Principe :
La résistance ohmique du fil conducteur est donné par la relation
suivante : R = ......................
ρ : résistivité du métal en / m,
l : longueur du fil en m,
s : section du fils en m².
Si on tire sur ce fil, il va s'allonger (l augmente) et sa section va
se réduire, sa résistance va donc augmenter (l/s augmente).
L’effort est évalué par la
déformation du matériau ; à sa surface L'épaisseur du fil est d'environ 5µm, la plaque isolante de l'ordre
est collé un conducteur isolé de longueur l
du double.
de résistance R.
La piste décrit un certain nombre d’allers retours dans la direction
de l’effort à mesurer.
Souvent, les jauges de contrainte sont montées dans une structure en pont de résistances (voir exercice)
10 000
V-1 Thermistance CTN :
C’est une résistance à coefficient de 1 000
B/T
e A et B sont donnés par le 0,10
constructeur. 0,010
-40 00 40 80 120 160 200 240
V-5 Thermocouples :
Soit un circuit fermé constitué de deux conducteurs A et B dont les jonctions sont à des températures Tc et Tf ; ce
circuit constitue un couple thermoélectrique qui est le siège d’une f.e.m dite de seebeck.
Métal A Soudure
Vcf = Vc – Vf
Soudure froide Tf
Vcf = (Tc-Tf) chaude Tc
Vc V
: coefficient de Seebeck f
Vcf
Métal B Métal B
on appelle soudure chaude la jonction de mesure
à la température Tc et soudure froide à la température Tf celle ajoutée pour pouvoir prélever
la tension sans perturber la mesure car les métaux sont de même nature à l’endroit de prise de l’information.
Pour faciliter la lecture de Tc on garde la soudure froide à une température constante (exemple : mélange eau+glace
Tf= 0°C) la tension de mesure est alors égale à : ..................
Pour les thermocouples industriels on dispose de tables de référence qui fournissent la tension en fonction d’une
température l’autre dite de référence est fixée à 0°C :
T(°C) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
+0 0 50 101 151 202 253 303 354 405 456
+10 507 558 609 660 711 762 814 865 916 968
+20 1019 1071 1122 1174 1226 1277 1329 1381 1433 1485
Exemple : on cherche la F.E.M fournie par un thermocouple pour le couple de température ( 3°C,25°C)
La F.E.M est égale à (1277µV – 151µV) soit 1126µV.
Le tableau suivant donne les caractéristiques simplifiées des thermocouples les plus courants :
50,000
15,000
40,000
fem (mV)
30,000
fem (mV)
10,000
20,000
10,000
5,000
0,000
0,000 -10,000
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
1000
1100
1200
1300
1400
1500
1600
1700
-70
130
230
330
430
530
630
730
830
930
30
-270
-170
1030
1130
1230
1330
Température (°C) Température (°C)
VI - CAPTEURS DE LUMIERE :
1. Photorésistance LDR
Pour certains matériaux, la
résistivité ρ dépend du flux
lumineux incident sur le
matériau : C’est l’effet
photorésistif. La LDR (Light
Dependent Resistor) est un
résistor qui possède une résistance qui varie en fonction de l’intensité lumineuse reçue : Elle est très élevée dans
l’obscurité (de 1 à 100 MΩ), puis elle diminue pour atteindre quelques centaines d’Ohms sous un éclairement intense
(103 lux par ex).
La figure 8a représente un exemple de caractéristique d’une photorésistance donnant sa résistance en fonction de
l’éclairement E.
2. Photodiode PD
C’est une diode à
jonction qui fonctionne
en polarisation inverse.
Son boîtier est
transparent à une de
ses extrémités et
comporte une lentille convergente pour la concentration des rayons lumineux. Ces rayons éclairent la jonction, créant
un courant inverse, appelé courant photoélectrique, qui est proportionnel à l’intensité lumineuse reçue.
La figure 9a représente un exemple de caractéristique d’une photodiode donnant le courant qui la traverse en fonction
du rayonnement.
1. Un générateur à courant continu (génératrice) est couplé mécaniquement à l'arbre du moteur dont nous voulons
connaître la vitesse. Une tension continue, mesurée à la sortie du générateur, est directement proportionnelle à la
vitesse de rotation.
2. Une dynamo (machine synchrone) est couplée à un moteur permet de déduire sa vitesse en mesurant l’amplitude
ou la fréquence de la tension sinusoïdale qui apparaît aux bornes de son rotor (partie tournante)
3. L'arbre tournant entraîne une roue dentelée en matériel ferromagnétique :les dents de la roue influencent la
réluctance d'un capteur magnétique qui réagit aux absences et aux présences successives du métal. Il suffit de
mesurer la fréquence des variations d'inductance pour la traduire en tension proportionnelle.
4. Un détecteur optoélectronique utilise un disque transparent dont la périphérie est recouverte d'un fin réseau de
barres noires opaques. D'un côté du coupleur, on retrouve une diode émettrice, et de l'autre côté, un
photodarlington. Lorsque les barres fines coupent le faisceau, il en résulte un signal de fréquence que nous traduisons
en tension proportionnelle à l'aide d'un convertisseur fréquence - tension.
signal d’entrée au voisinage du seuil de basculement la sortie oscille entre les niveaux haut et bas et cause par la suite une
instabilité dans le système ; les bascules de Schmitt ou comparateurs à deux seuils ou encore triggers empêchent
l’influence du bruit sur la sortie et assurent un basculement raide et franc de la sortie donc un signal bien adapté à
l’unité de traitement.
Bascule de
Schmitt
c) Exemple d’allures de Ve et Vs :
Ve + bruit
Ve évolue dans le temps d’une manière croissante ou décroissante alors que vs présente deux états stables haut et bas VSH et
VSL résultats de comparaison de Ve avec les seuils de basculement VLH et VHL.
Quand Ve croit : si Ve atteint VLH Vs bascule à .............
Quand Ve décroît : si Ve atteint VHL Vs bascule à ...............
VLH étant le seuil de basculement de la sortie de l’état bas à l’état haut lorsque Ve augmente ;
VHL étant le seuil de basculement de la sortie de l’état haut à l’état bas lorsque Ve diminue.
Remarques :
Si VHL ..... VLH on parle de trigger inverseur ;
Si VHL ....... VLH on parle de trigger non inverseur ;
VH étant l’écart entre les seuils VHL et VLH ; c’est la largeur de l’hystérésis ;
Ve
Ve
Vref Vs
VHL VLH
VH = ............................... ;
La largeur d’hystérésis VH quand à elle ne dépend pas de Vref mais du rapport R1/R2.
II – 2 Bascule inverseuse :
Montage :
Caractéristique de transfert :
Ve
Vref R1 VS
R2
Déterminer VLH et VHL en fonction de Vref, Vsat, R1 et R2
Déduire VH
VH = ............................... ;
Si Vref = 0 :
VHL = ................
VLH = ................
Les constructeurs offrent des portes triggerisées dans les deux familles logiques TTL et CMOS :
• Famille CMOS : Le circuit intégré CI 4093 B contient 4 NANDs triggerisées.
• Famille TTL : Le CI 7414 est constitué de 6 inverseurs triggerisés alors que le CI 74132 contient 4 NANDs
triggerisées ; les seuils haut et bas typiques sont : VT- = 1.9V et VT+ = 2.8V
Remarques :
- Le triggers non inverseur est obtenu en ajoutant à sa sortie un inverseur
- Les bascules ou triggers de Schmitt assurent ,en plus de la fonction mise en forme d’autres fonctions telles
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commandés par des signaux analogiques, il est nécessaire de procéder à des conversions de données :
TRAITEMENT NUMERIQUE
La grandeur physique à convertir peut-être de nature quelconque : vitesse, température, force. Le capteur permet de convertir
cette grandeur en un signal analogique (par ex : dynamo tachymétrique pour le captage de la vitesse) Le convertisseur
analogique numérique (CAN) va convertir le signal analogique en une suite de mots numériques qui pourront être compris et
De même, le calculateur pourra générer en entrée du CNA des mots numériques qui seront convertis en un signal analogique
SYMBOLISATION DE CONVERTISSEURS
Le principe général d’un CNA est de commuter sur un réseau de résistances ou de tensions de références et d’en faire la
somme
Déterminer q
Compléter le tableau ci-contre et le graphe ci-dessous
Exemples d’application :
Ex 1 :
Calculer Vs pour N = 1001, N=0110, N=1111 (q = 0.5V)
Ex 2 :
Sachant que Vmax = 20V et le CNA de 8 bits, calculer la tension en sortie, pour N=10010001 puis N=00010110
Ex 3 :
Quelle est la plus grande tension de sortie d’un CNA si ce dernier fournit 1V pour N=00010111 ?
q = Vmax/(2n - 1)
Par définition : Vs = q * N avec N est un nombre (sans dimension) ; Vs : tension (en volt) q : quantum (en volt)
ATTENTION : Ne pas confondre « N » qui est le nombre à convertir et « n » qui est le nombre de bits du
convertisseur !
2. TEMPS DE CONVERSION :
Temps nécessaire pour que la sortie prenne la valeur indiquée par le code d ‘entrée et se stabilise.
3. PRECISION :
Ecart maximal entre la valeur théorique attendue en sortie et la valeur réelle. En général, la précision vaut ½ q.
5. TYPE DE CONVERSION
Il existe deux types de conversion : unipolaire ou bipolaire.
Résolution : ......................................................................
..........................................................................................
1- Simplifier le schéma électrique en remplaçant chaque commutateur ai en série avec la source Vref par une source
de tension que l’on donnera son expression.
2- En utilisant le théorème de Thevenin aux points A, B, C et D vérifier que Vs = -R/RD .VD
(Pour chaque point on débranche le circuit à sa droite et on détermine Vth et Rth)
Conclusion : D’une manière générale pour un CNA R-2R de n bits on écrit : Vs = -Vref/2n. N
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La structure interne indiquée à la figure, montre le bloc de décodage qui reçoit les8 bits à convertir (broches 5 à
12) et contrôle les commutateurs. Les broches 4 et 2 fournissent les courants complémentaires, image de la
conversion. La grandeur de référence, en tension ou en courant, est appliquée au niveau des broches 14 et 15. La
notice complète fournit le mode de câblage et de nombreuses applications.
Caractéristiques principales : Temps de conversion : 100 ns Interfaçage direct en TTL et
CMOS
Tension en sortie jusqu’à 20 V Alimentation de ±4,5V à ±18V
Sorties complémentaires en Basse consommation : 33 mW à
courant ±5V
Conversions unipolaires ou Erreur en pleine échelle : ±1
bipolaires LSB
Montage de base ( référence positive)
B1 B2 B3 B4 B5 B6 B7 B8 IO/ EO/
Full Scale
Half Scale
Half Scale-LSB
Zero Scale
ZeroScale +LSB
Caractéristique de transfert :
2-1 / RESOLUTION : Elle est donnée par la valeur du quantum « q ». La résolution est la plus petite variation en
On a : q = Vref/(2n )
Attention : n est le nombre de bits du convertisseur (à ne pas confondre avec N qui est le résultat de la conversion)
2-3 / PRECISION : C'est l'écart entre la valeur réelle d'entrée et la valeur discrétisée, En générale elle vaut +-1/2 q .
2-4 /Types de conversion : - Unipolaire : la grandeur en entrée (tension ou courant) est toujours du même signe
au moyen du comparateur
Vref
Si Ve <Vc alors la sortie passe à 1 ; l’unité de
Vref/4.. ck START
Si Ve > Vc alors la sortie passe à 0 indiquant à l’unité de contrôle d’ajouter le poids juste inférieur et fournit alors le nombre
image de Vref/2+Vref/4 = 3Vref/4 puis le processus de comparaison se poursuit selon la méthode de dichotomie jusqu’à ce
que : Ve – Vc < q (quantum du CNA ; qui est aussi celui du CAN) ; chaque phase de comparaison se produit pendant une
période d’horloge ck ; à la fin l’unité de contrôle active la sortie EOC (End Of Conversion) qui valide à son tour le registre pour
stocker le nombre final ; la conversion se produit en n périodes d’horloge ; n étant le nombre de bits du CAN.
Exemple1 : Exemple2 :
q = 0.5V; n = 3
Ve= 1.4V ; N = .... Ve= 3.3V ; N = ....
Vref = ………
(Vref/4) tc =……………
Caractéristiques :
- Large plage d'utilisation en fréquence : de 1Hz à 100Khz ;
f=Vin.R2/(2.09*R6*R5*C5)
- Faible consommation : typiquement 15mW sous 5V ;
- Capable de fonctionner avec une seule alimentation de 5V ;
- Impulsion de sortie compatible avec tout type de logique
- Linéarité de la conversion garantie à au moins 0,01% de la pleine échelle.
- En outre, la sortie à collecteur ouvert est :
*capable de commander trois charges TTL ;
* capable de supporter un niveau haut de tension allant jusqu'à 40 v
* protégée en cas de court circuit.
1. Nombres complexes :
11. Définition
Un nombre complexe est représenté dans le plan complexe conformément à la figure 1a.
La figure 1b illustre un exemple de représentation de quelques nombres complexes remarquables.
(1+2)
Z1Z2=(Z1Z2) .
1-2)
Z1/Z2=(Z1/Z2)( .
* 1
Z1 =(Z1)- .
+1
-Z1=(Z1) .
n n n1
(Z1) =[(Z1) ] avec n Є ZZ.
/6 -/3
Exemple : Soient Z1=2 et Z2=2 deux nombres complexes.
Soit un système S représenté par la figure 2. La fonction de transfert T(j) du système est définie
par le rapport T(j)= Grandeur de sortie/Grandeur d'entrée
Exemple : T(j)= Vs/Ve , T(j)= Is/Ie ,etc.
Figure 2
La représentation graphique d’une fonction de transfert est obtenue par le diagramme de Bode.
Le diagramme de Bode est constitué par deux courbes en fonction de la pulsation ou de la fréquence f :
Celle du gain G en décibels(dB) : G=20.Log[T(j)].
Celle de l'argument en degré ou en radian : =Arg[T(j)].
3. Filtrage
31. Définitions
Un filtre est un circuit qui ne transmet qu'une bande de fréquences et élimine les autres non souhaitées.
Un filtre est dit passif s'il est constitué par des éléments RLC.
Un filtre est dit actif s'il est constitué par des éléments RLC et fait appel à des étages amplificateurs.
32. Caractéristiques d’un filtre
Remarque : On pose G0=20Log T0 et on suppose que T0 > 0. Si T0 < 0 subit une
translation de .
La forme canonique de la fonction de transfert d'un filtre passe-haut du 1er ordre est :
Le diagramme de Bode d’une telle fonction de transfert est celui de la figure 5a.
Remarque :On pose G0=20Log T0 et on suppose que T0 > 0. Si T0 < 0 subit une translation de .
T(j)=T0/[1+jQ[(/0)-(0/)]].
Q est appelé facteur de qualité du filtre défini par la bande passante ∆=0/Q(plus Q est grand, plus la
Pour ce filtre, on démontre que les fréquences de coupure haute et basse sont respectivement
Bp=fch-fcb=f0/Q.
Le diagramme de Bode d’une telle fonction de transfert est celui de la figure 6a.
Remarque : On pose G0=20LogT0 et on suppose que T0 > 0. Si T0 < 0 subit une translation de .
TRAITER
GRAFCET – PLD – MICRO CONTROLEUR
A. ELMOUDEN
Lycée technique Mohammedia ATC : TRAIRTEMENT DE L’INFORMATION 2STE
GRAFCET
1. Introduction
Le GRAFCET (GRAphe Fonctionnel de Commande des Etapes et Transitions) est un outil de
représentation graphique de tout système automatisé.
C'est un langage clair qui permet de décrire sans ambiguïté le fonctionnement séquentiel du
système. Il accompagne le système pendant toute sa durée de vie, et principalement lors de son
exploitation.
2. Eléments graphiques de base
Considérons le Grafcet de la figure 1.
21. Etape
Une étape représente une situation ayant un comportement stable : pendant une étape les organes
de commande et les capteurs ne changent pas d’état.
L’étape se représente par un carré qui porte un numéro d’ordre. Elle est soit active soit inactive. On
peut associer à chaque étape i une variable Xi image de son activité.
Exemple : Etape 2 active X2 = 1, Etape 2 inactive X2 = 0.
22. Transition
Une transition indique une possibilité d'évolution d’activité entre deux ou plusieurs étapes. Cette
évolution s'accomplit par le franchissement de la transition.
23. Liaisons orientées
Les liaisons orientées relient les étapes aux transitions et les transitions aux étapes. Le sens général
d’évolution est du haut vers le bas. Dans le cas contraire, des flèches doivent être employées.
24. Réceptivité
Une réceptivité associée à une transition se traduit par une ou plusieurs conditions logiques.
25. Action
Une action indique, dans un rectangle, comment agir sur la variable de sortie. Elle n’est effective que
lorsque l’étape associée est active.
3. Structures de base
31. Séquence linéaire
Une séquence linéaire ou unique est composée d'un ensemble d'étapes successives où chaque étape
est suivie d'une seule transition et chaque transition n'est validée que par une seule étape.
32. Séquences simultanées : Figure 2a
321. Divergence en ET
Le système se dirige vers L’étape 2 ET l’étape 12 si a est franchie. Quand a est franchie, les étapes 2
ET 12 sont actives X2=X12=X1.a
322. Convergence en ET
La transition d sera validée quand les étapes 3 ET 13 seront actives. Si la réceptivité associée à cette
transition est vraie alors celle-ci est franchie X14=X3.X13.d
33. Sélection de séquences : Figure 2b
331. Divergence en OU
Le système se dirige vers l’étape 2 si (a.b) est vraie OU vers l’étape 12 si (a.b) est vraie.
X2=X1.(a.b) OU X12=X1.(a.b)
332. Convergence en OU
Le système converge vers l’étape 14 si e est vraie OU si f est vraie X14=(X3.e)+(X13.f)
4. Règles d’évolution
41. Règle 1 : Situation initiale
L'initialisation précise l'étape ou les étapes actives au début du fonctionnement. Les étapes
initiales sont activées inconditionnellement en début de cycle.
42. Règles 2 : Franchissement d’une transition
Une transition est soit validée soit non validée, elle est validée lorsque toutes les étapes
immédiatement précédentes sont actives, elle ne peut être franchie que :
- Si elle est validée.
- Et si la réceptivité associée à la transition est vraie.
43. Règles 3 : Evolution des étapes actives
Le franchissement d’une transition provoque simultanément :
L’activation de toutes les étapes immédiatement suivantes.
La désactivation de toutes les étapes immédiatement précédentes.
44. Règle 4 : Evolutions simultanées
Plusieurs transitions simultanément franchissables sont simultanément franchies.
45. Règle 5 : Activation et désactivation simultanée d’une même étape
Si au cours d’une évolution, une même étape se trouve à la fois activée et désactivée, elle
reste active.
7. Actions associées :
71. Action continue : Figure 5a
L'action est exécutée pendant le temps durant lequel l'étape reste active Action A=X1.
72. Action conditionnelle : Figure 5b
Une proposition logique, appelée condition d'assignation, qui peut être vraie ou fausse,
conditionne l’action continue Action A=X1.c
73. Action temporisée ou retardée : Figure 5c
L'action retardée est une action continue dont la condition d'assignation n'est vraie qu'après
une durée t spécifiée depuis l'activation de l’étape associée. L’action A sera exécutée 5s après
l’activation de l’étape 1.
74. Action limitée dans le temps : Figure 5d
L'action limitée dans le temps est une action continue dont la condition d'assignation n'est
vraie que pendant une durée t spécifiée depuis l'activation de l’étape à laquelle elle est
associée.
L’action A sera exécutée 5s depuis l’activation de l’étape 1.
75. Action maintenue ou mémorisée
Pour qu'une action reste maintenue lorsque l'étape qui l'a commandée vient d'être
désactivée, il faut utiliser une action mémorisée. L'effet maintenu est réalisé soit :
Par répétition de l'action ou ordre à toutes les étapes.
8. Macro-étape
Une macro-étape M est la représentation unique d'un ensemble d'étapes et de transitions
nommé "Expansion d'étapes" :
La macro-étape se substitue à une étape du Grafcet.
L'expansion de la macro-étape comporte une étape d'entrée repérée E et
une étape de sortie repérée S.
Tout franchissement de la transition amont de la macro-étape active l'étape
E d'entrée de son Expansion.
L’étape de sortie participe à la validation des transitions en aval de la macro-
étape.
La transition suivant la macro-étape n’est validée que lorsque la dernière
étape de la macro-étape est active.
L’utilisation de la macro-étape dans un Grafcet permet non seulement de
simplifier la représentation mais aussi d’éviter les séquences linéaires trop
longues.
Une macro-étape peut elle-même comporter d’autres macro-étapes.
La figure 6a donne le symbole de la macro-étape alors que la figure 6b
montre un exemple d’une macro-étape représentée avec son expansion :
Le franchissement de la transition (1) active l’étape E2.
La transition (2) ne sera validée que lorsque l’étape S2 sera active.
Le franchissement de la transition (2) désactive l’étape S2
Cette architecture conduit, du point de vue fonctionnel, à partitionner le grafcet global en des grafcet
partiels
Le plus souvent on a besoin d’opter pour une hiérarchisation entre les différentes parties commandes ce
qui mène à attribuer des niveaux d’autorité à certaines parties commande sur d’autres :
La même opération est faite pour les grafcets ; certains de niveau supérieur vont donc exercer une
autorité - qui est traduite en une opération de forçage - sur d’autres grafcets de niveau inférieur :
Usage de Forçage:
Le forçage d’un grafcet est une technique utilisée pour :
modifier la situation (étapes actives) d’un grafcet à partir d’un autre grafcet de niveau supérieur;
les situations difficiles ou impossibles à atteindre directement par évolution.
Opérations de Forçage :
L’ordre de forçage est représenté dans un double rectangle ; on
distingue quatre situations de forçage :
1) Ordre d’initialisation : Les étapes initiales du grafcet partiel forcé
sont activées, toutes les autres sont désactivées.
2) Forçage à la situation vide : Les étapes du grafcet partiel forcé sont
toutes désactivées ; le redémarrage ne pourra être obtenu que par un
autre ordre de forçage.
3) Forçage à une situation donnée : Les étapes du grafcet partiel forcé dont
les repères sont indiqués entre accolades sont activées, toutes les autres sont
désactivées.
4) Forçage à la situation « courante » : Le grafcet partiel forcé garde la
situation
qu’il avait au moment ou l’ordre de forçage est émis. Une étoile entre
parenthèses symbolise la situation forcée.
Règles :
- Les grafcets forcés prennent immédiatement, et prioritairement sur toute évolution du grafcet, la ou
les situations imposées
- Hiérarchie de forçage : si un grafcet force un autre grafcet, la réciproque ne peut être vraie
- A tout instant, un grafcet ne peut être forcé que par un seul autre grafcet.
10. Grafcet synchronisé
Le Grafcet synchronisé est généralement composé de deux Grafcets :
Le premier ; Grafcet de coordination, gère la synchronisation des différentes fonctions du système
automatisé. Chaque fonction est décrite par un Grafcet, sous-programme du premier. Il faut donc une
synchronisation entre le 1er Grafcet et le ou les seconds.
C’est une étape du 1er Grafcet qui permettra de lancer un second Grafcet dédié à une fonction. Une
étape de fin signalera l’exécution complète de ce dernier et permettra de faire évoluer le 1er Grafcet
vers une autre étape.
b) Synchronisation verticale :
Le Grafcet de tâche peut être sollicité par le Grafcet maître, appelé aussi Grafcet de conduite,
en plusieurs reprises.
1. Introduction
La programmation des PLDs nécessite :
Un logiciel de développement permettant de générer un fichier JEDEC à partir des données
rentrées par l’opérateur. Ce fichier étant un ensemble de données binaires indiquant au
programmateur les fusibles à "griller".
Un programmateur permettant de "griller" les fusibles du PLD en fonction des données du fichier
JEDEC. Il est en général associé à un logiciel de pilotage.
Opérateurs Arithmétiques.
Mot 1 @000h
Mot 2
Mot 3
Mot N
n bits
Le fonctionnement du µC 16F84 nécessite une horloge qui rythme l’exécution des instructions du programme. On
distingue trois modes d’horloge :
- Horloge interne à quartz (Figure 3a) : Avec l’oscillateur à quartz, on peut avoir des fréquences allant de 4
MHz jusqu’à 20 MHz selon le type du µC.
Registre de configuration :
Registre STATUS :
Registre STATUS :
Les broches RA0 à RA3 sont des entrées/sorties compatibles TTL alors que la broche RA4 peut être utilisée soit
comme entrée/sortie normale du port A, soit comme entrée horloge externe pour le Timer TMR0. Le choix se fait
à l'aide du bit TOCS du registre OPTION :
T0CS=0 RA4 est une entrée/sortie normale.
T0CS=1 RA4 est une entrée horloge externe pour le timerTMR0.
De plus, RA4 est une sortie à drain ouvert. Donc, il ne faut pas oublier de mettre une résistance externe vers Vdd.
Chaque broche du port A configurée en sortie peut fournir un courant de 20 mA au maximum, mais tout le port A
configuré en sortie ne peut pas débiter un courant total supérieur à 50 mA.
Chaque broche du port A configurée en entrée peut accepter un courant de 25 mA au maximum, mais tout le
port A configuré en entrée ne peut pas accepter un courant total supérieur à 80 mA.
228. Port d’entrées/sorties PORTB
Le port B désigné par PORTB est un port bidirectionnel de 8 bits (RB0 à RB7). La configuration de direction se fait à
l'aide du registre TRISB (identique à celle du PORTA : voir TRISA). Toutes les broches sont compatibles TTL.
Les entrées du port B peuvent être pourvues de résistances de rappel à Vdd. Cette option est validée par le bit
RBPU du registre OPTION :
Registre OPTION :
RBPU=0 les broches configurées en entrées sont connectées à des résistances de rappel à Vdd et les broches
configurées en sorties sont dépourvues automatiquement de ces résistances de rappel.
En entrée, la broche RB0 appelée aussi INT peut déclencher l’interruption externe INT et une quelconque des
broches RB4 à RB7 peut déclencher l'interruption RBI.
Chaque broche du port B configurée en sortie peut fournir un courant de 20 mA au maximum, mais tout le port B
configuré en sortie ne peut pas débiter un courant total supérieur à 100 mA.
Chaque broche du port B configurée en entrée peut accepter un courant de 25 mA au maximum, mais tout le
port B configuré en entrée ne peut pas accepter un courant total supérieur à 150 mA
Remarque : Au Reset du µC, les ports PORTA et PORTB sont configurés en entrée.
2. Directives de MPASM
Les directives de l'assembleur sont des instructions qu'on ajoute dans le programme et qui seront
interprétées par l'assembleur MPASM. Ce ne sont pas des instructions destinées au µC.
21. Directives les plus utilisées
LIST : Permet de définir un certain nombre de paramètres comme le processeur utilisé (p), la base par
défaut pour les nombres (r) ainsi que d'autres paramètres.
Exemple : LIST p=16F84, r=dec.
#INCLUDE : Permet d'insérer un fichier source. Par exemple le fichier p16F84.inc contient la définition
d'un certain nombre de constantes comme les noms des registres ainsi que les noms de certains bits du
µC 16F84.
Exemple : #INCLUDE "p16f84.inc" ou #INCLUDE p16f84.inc .
CONFIG : Permet de définir les 14 fusibles de configuration qui seront copiés dans le registre de
configuration lors de l'implantation du programme dans le µC.
Exemple : CONFIG B'11111111111001' ou CONFIG H'3FF9'.
Remarque :
CONFIG _CP_OFF & _XT_OSC & _PWRTE_OFF & _WDT_OFF
EQU : Permet de définir une constante. Exemple : XX EQU 0x20.
Registre Option :
TOCS=0 TMR0 utilise l’horloge
interne et TOCS=1 TMR0 utilise l’horloge externe (broche RA4).
TOSE=0 front montant et TOSE=1 front descendant.
Remarque
u timer du chien de garde WDT.
Au débordement de TMR0 (FF 00), le drapeau T0IF du registre INTCON est placé à 1. Ceci peut
déclencher l'interruption T0IE si celle-ci est validée (voir plus tard).
Le contenu du timer TMR0 est accessible dans le fichier de registres aussi bien en lecture qu’en écriture.
La figure 1b explique le fonctionnement du registre TMR0.
Exemple : Supposons que le timer TMR0 utilise l’horloge interne à base d’un quartz de 4 MHz, Calculons
alors le temps de débordement du timer correspondant à une prédivision de 2 : En effet, le timer TMR0
est un compteur de 8 bits qui compte 256 périodes d’horloge. Puisque la période d’horloge est
multipliée par 2 alors le temps de débordement du timer est égal à 256*2*1 µs soit 512 µs.
Avec un prédiviseur de 256 on aura un temps de débordement égal à 256*256*1 µs soit 65536 µs. Si ce
temps est insuffisant on pourrait utiliser un compteur supplémentaire.
2. Watchdog Timer WDT
C’est un compteur 8 bits incrémenté en permanence (même si le µC est en mode sleep) par une
horloge RC intégrée indépendante de l'horloge système. Lorsqu’il déborde, (WDT Time Out), deux
situations sont possibles :
Si le µC est en fonctionnement normal, le WDT Time Out provoque un Reset. Ceci permet d’éviter
le blocage du µC en cas de plantage du programme comme par exemple une boucle sans fin, un
Reset répété,…
Si le µC est en mode sleep, le WDT Time Out provoque un Wake-Up, l'exécution du programme
continue normalement là où elle s'est arrêtée avant de rentrer en mode sleep. Cette situation est
souvent exploitée pour réaliser des temporisations.
L'horloge du WDT est ajustée pour que Le Time Out arrive toutes les 18 ms. Il est cependant possible
d'augmenter cette durée en faisant passer le signal Time Out dans un prédiviseur programmable
partagé avec le timer TMR0 (voir tableau de la figure 2a).
L'usage du WDT doit se faire avec précaution pour éviter la réinitialisation inattendue et répétée du
programme. Pour éviter un WDT time Out lors de l'exécution d'un programme, on a deux possibilités :
WDTE
l'instruct CLRWDT
instruction dans un sous programme d’interruption.
La figure 2b explique le fonctionnement du timer WDT.
Exemple : Le temps de débordement du timer WDT est estimé à 18 ms sans utiliser une prédivision.
Cependant on pourrait prolonger ce temps en utilisant le prédiviseur. Avec une prédivision de 128 le
débordement du timer WDT aura lieu tout les 128*18 ms soit 2304 ms.
1. Interruption
Une interruption est un événement inattendu qui provoque l’arrêt du programme principal pour aller
exécuter une procédure d'interruption. A la fin de cette procédure, le µC reprend le programme à
l’endroit où il s’était arrêté.
Le µC 16F84 possède 4 sources d'interruption. A chaque interruption sont associés deux bits :
Un bit de validation : permet d'autoriser ou non l'interruption.
Un bit de signalisation ou drapeau (flag) : permet au µC de savoir de quelle interruption il s'agit.
Tous ces bits sont logés dans le registre INTCON à part le drapeau EEIF de l'interruption EEI qui se
trouve dans le registre EECON1.
Registre INTCON
EEIF : ce bit signale le déclenchement d’une interruption de fin d’écriture en EEPROM. EEIF=1
interruption générée.
2. Déroulement d’une interruption
Lorsque l'événement déclencheur d'une interruption intervient, alors son drapeau est positionné à 1. Si
de plus l'interruption correspondante a été validée, elle est alors déclenchée : le µC arrête ce qu'il est
en train de faire et va exécuter la procédure d'interruption qui se trouve à l'adresse 4 en exécutant les
étapes suivantes :
L’adresse contenue dans le PC (Program Counter) est sauvegardée dans la pile, puis remplacée par
la valeur 4 qui correspond à l’adresse de la routine d'interruption.
3. Sources d’interruption
31. Interruption INT : Entrée RB0 du PORTB
Cette interruption est provoquée par un changement d'état sur l'entrée RB0 du PORTB quand elle est
programmée en entrée. Elle est gérée par les bits :
INTE et INTF du registre INTCON.
INTEDG du registre OPTION : ce bit permet de choisir le front du déclenchement de l’interruption.
INTEDG=1 front montant et INTEDG=0 front descendant.
Registre OPTION
ASSERVISSEMENT
1-ETUDE FONCTIONNELLE DES SYSTEMES ASSERVIS
2-ETUDE TEMPORELLE DES SYSTEMES DE 1er ET 2ème ORDRE
A. ELMOUDEN
Lycée technique Mohammedia ATC 2STE
SYSTEMES ASSERVIS
1. Système commandé
Un système est dit commandé si la grandeur de sortie xs(t) est fonction de la grandeur d’entrée xe(t) :
xe(t) s’appelle signal de commande ou consigne susceptible de modifier l’état de la sortie xs(t).
xs(t) s’appelle signal de sortie représentant la grandeur physique qu’on souhaite contrôler, à savoir :
vitesse, position, température, débit, niveau, pression, etc.
Le système commandé peut être scindé en deux blocs :
Le processus physique exemples simples : moteur, vérin, résistance de chauffage, vanne, pompe, etc.
Le bloc de commande ou actionneur : c’est un organe de puissance qui traduit la consigne en un signal
capable de manipuler la grandeur physique de sortie.
Figure 1
Un système commandé, dit aussi système en boucle ouverte, présente un inconvénient majeur
d’être sensible aux perturbations qui affectent la grandeur de sortie.
Par exemple, dans le cas du chauffage d’une pièce, lorsqu’une personne entre dans la pièce,
l’ouverture de la porte provoque en général une diminution de la température ambiante de la pièce.
Pour immuniser un système commandé contre les perturbations, on a adopté la technique d’un
système asservi qui consiste à contrôler automatiquement et en permanence la grandeur de sortie
pour la maintenir égale à la valeur souhaitée (consigne).
2. Structure d’un système asservi
La structure générale d’un système asservi est représentée à la figure 2.
Un système asservi, appelé aussi système bouclé ou en boucle fermée, est constitué de :
Une chaîne d’action ou chaîne directe composée du processus et sa commande (actionneur).
Une chaîne de réaction ou chaîne de retour formée par un capteur qui mesure en permanence la
sortie Xs afin de fournir le signal de retour Xr image de Xs (feed-back). Le capteur doit être fidèle et
insensible aux perturbations.
Remarque:
On classe les systèmes asservis en deux familles :
Système régulé : C’est un système asservi particulier qui doit maintenir constante la sortie
conformément à la consigne constante indépendamment des perturbations Il s’agit d’une régulation.
Exemples : Régulation de température, vitesse, tension, etc.
Système asservi : C’est un système asservi pour lequel la sortie doit poursuivre le plus fidèlement
possible la consigne variable indépendamment des perturbations Il s’agit d’un asservissement.
Exemples : Asservissement de position, fréquence, phase, etc.
Le schéma de la figure 2 peut être mis sous la forme du schéma fonctionnel, dit aussi schéma blocs, de
la figure 3.
Figure 3
3. Fonctions de transfert
31. Fonction de transfert en boucle ouverte
En boucle ouverte le signal Xr n’est pas réinjecté au comparateur, par conséquent ou aura:
Les blocs des deux chaînes seront en cascade. (voir figure 4)
Le signal d’erreur Xε est égale au signal d’entrée ou consigne Xe Xε =Xe.
Figure 4
La fonction de transfert en boucle ouverte (FTBO) est définie par le rapport : T=Xr/Xe= ……………………….
32. Fonction de transfert en boucle fermée : Formule de Black
Considérons le schéma fonctionnel de la figure 3. Cherchons le rapport F=Xs/Xe. On a :
On a E=U-RI=k =U-RI/k Pour faire varier la vitesse de la machine à courant continu à flux constant, on
doit agir sur la tension d’alimentation U.
62. Etude du système non régulé
621. Fonctionnement à vide
Le courant I0 circulant dans l’induit est tellement négligeable qu’on peut le considérer nul. Le moteur,
supposé alimenté sous la tension nominale Un, tourne à une vitesse 0 telle que :Ω0=Un/k=E0/k
622. Fonctionnement en charge
Le moteur, toujours alimenté sous la tension nominale Un, absorbe un courant Ic considérable et
tourne à une vitesse c telle que : Ωc=Ec/k=Un-RIc/k=E0-RIc/k
623. Variation de la vitesse de rotation
La présence de la charge mécanique affecte la vitesse de rotation . Cette influence se traduit par une
variation ∆Ωtelle que :∆Ω = Ω0-Ωc=(E0/k)-(E0-RIc/k)=RIc/k ➔ ∆Ω=RIc/k
63. Etude du système régulé
Le schéma du système régulé est représenté à la figure 7
6322. Comparateur
Ce n’est autre qu’un montage soustracteur à base de l’amplificateur opérationnel (voir figure 8b).
6323. Correcteur
Un système physique est un ensemble d'éléments liés entre eux dans le but de réaliser une tâche donnée. Ce
système peut être de nature électrique, mécanique, pneumatique, hydraulique, électromécanique, etc. Ce
processus soumis aux lois physiques est caractérisé par des grandeurs d’entrée et de sortie ;
L’étude dynamique du système nécessite une modélisation mathématique qui se réduit souvent à des
équations différentielles selon l’ordre auquel le système est porté.
12. Fonction de transfert
Soit un système ayant pour entrée E et une sortie S.
Sa fonction de transfert est telle que : T=S/E
13. Réponse indicielle
Un échelon e(t) est une fonction temporelle qui vérifie l’équation suivante :
t≤0 : e(t) = 0 ;
t>0 : e(t) = E0 (constante)
L’évolution de la sortie s(t) suite à l’échelon d’entrée e(t) s’appelle réponse indicielle du système.
2. Système du premier ordre
a. définition :
On appelle système du premier ordre, tout système régit par une équation différentielle linéaire à coefficients
constant du premier ordre:
τ: constante de temps > 0
K: gain statique
b. Etude temporelle : réponse indicielle
e(t) = E0 pour t >0
L'équation différentielle est donc la suivante :
Schéma simplifié :
e=k.
mise en équation :
On a : U = …………………………………………………… :
……………………………………………………………………………………………………
Rappel : couples = Jd/dt (J = moment d'inertie, = vitesse angulaire,).
Bilan :
RJ d
u = k +
k dt
On pose u(t)= E. (échelon unitaire) équation différentielle :
RJ d E
+ =
k2 dt k .
résolution :
La solution de cette équation différentielle est de la forme :
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Représentation temporelle de la réponse à un échelon :
12
exemple : (voir le graphe) u (V)
10 100
2 2
0
0,44
t (s) 0
J = k = 0, 44 0,1 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4 1,6 1,8 2
20 soit J = 220.10 m .kg .
−6 2
et R
finale.
On pose : =
D'où la fonction temporelle :
La réponse est non oscillante, pour un gain statique et une pulsation propre donnée, c'est le régime
apériodique le plus rapide.
3ème cas : z < 1 (régime oscillatoire)
Avec :
uc R
L
e=k.
mise en équation :
et
Donc :
D’où : (2)
L'équation est conforme à celle de la définition 1 s(t) +2m 1 s(t) + s(t) = f (t)
02 0
L’équation (2) peut être mise sous la forme canonique suivante :
Avec
J = 1.10- 8
6
80
60
m2.kg k = 4 40
20
2
0,1V.rad-1.s 0 t (s)
0
-0,5 0,15 0,8 1,45 2,1 2,75 3,4 4,05 4,7 5,35 6
Temps de réponse 5%
Le temps de réponse à 5% tr5% est le temps au tr5%
2
bout duquel la grandeur de sortie s(t) reste o
comprise entre 95% et 105% de sa valeur finale .
1
tr5% dépend de m et de ωo ; il n'existe pas de
relation simple comme dans le cas du 0,44
dépassement.
L'abaque ci-contre permet de trouver une 0,1 m
0,7 2
valeur approchée de tr5% (attention, il faut
0,1
t r5% min = 0,44
1
ω
10
0
multiplier la valeur trouvée en ordonnée par 2π/ωo pour avoir tr5%)
On constate sur le graphe que tr5% est minimal pour m = 0,7
COMMUNIQUER
RESEAUX D’ENTREPRISE – RESEAUX DE TERRAIN
A. ELMOUDEN
Lycée technique Mohammedia ATC : TRANSMISSION DE L’INFORMATION 2STE
RESEAUX D’ENTREPRISE
1. Généralités sur les réseaux informatiques
11. Définition
Un réseau d’ordinateurs est un groupe de machines autonomes interconnectées et situés dans un certain
domaine géographique. Un tel réseau doit disposer :
De ressources à partager sous forme de données ou de machines (fichiers, imprimantes, etc.) ;
D’une voie de transmission des données (câbles électriques, ondes, fibres optiques, etc.) ;
D’un ensemble de règles gouvernant la façon de communiquer à l'intérieur du réseau. On appelle
"Protocoles" cet ensemble de règles.
Description d'un réseau
C’est un groupe de machines et périphériques de communication interconnectés sur une zone géographique
limitée (locale) comme un bâtiment (entreprise, usine, centre de formation, etc.) ;
Le réseau métropolitain (MAN: Metropolitan Area Network) :
C’est un réseau qui utilise des lignes téléphoniques, physiques ou hertziennes, pour relier des réseaux locaux à
MAN :
réseau
métropolitain
l’échelle d’une ville (grandes entreprises, universités, etc.) ;
Le réseau étendu (WAN: Wide Area Network) :
C’est un réseau de réseaux (inter-réseau) à l’échelle d’un pays, voire la planète (très grandes entreprises,
multinationales, etc.). L'Internet est un exemple de réseau WAN.
1 2
2 4
3 8
4 16
5 32
6 64
7 128
C) 256
Type de câble Connectique Dénomination usuelle Longueur maximale Distance entre 2 points
Fibre optique ST X de 2 à 10 KM de 2 à 10 KM
5. Connecteurs
Une carte réseau peut posséder plusieurs types de connecteurs, notamment :
- Un connecteur RJ45 (paire torsadée);
- Un connecteur BNC (câble coaxial).
Pour relier les différents éléments communicants du Bus(EC1, EC2,…, ECn), la norme RS485 utilise une ligne
différentielle ligne A et ligne B en produisant deux signaux complémentaires sur les deux lignes. Cette technique
permet d’immuniser la ligne de transmission contre les parasites ou bruits industriels et d’augmenter la longueur
maximale de la ligne estimée à 1200m.
Le câble de la ligne doit être bouchonné en ses deux extrémités par une résistance de terminaison Rt(120 ). Elle
boucle la ligne sur son impédance caractéristique et minimise le bruit pour une meilleure transmission(figure 1a).
La figure 1b décrit l’équivalence entre les niveaux logiques et les limites de la tension différentielle UAB.
Remarque:
Les circuits logiques à l'origine de la transmission sont compatibles TTL/CMOS, il faut alors des circuits drivers ou
interfaces d'adaptation à la norme RS485, pour convertir une tension compatible TTL/CMOS en une tension
différentielle UAB et inversement. On cite à titre d’exemple le circuit SN75176.
Le nombre maximal des éléments communicants sur le bus est limité à 32.
La vitesse de transmission des informations en Bauds : 4800/9600/19200 baud
d’états électriques par seconde.
Le débit maximal de la ligne atteint 10 Mbits/seconde.
Le débit, exprimé en bits par seconde, est le nombre d’informations transmises chaque seconde sur le réseau.
Le mode de communication sur le bus est le half duplex : Il ne peut y avoir qu'un seul élément qui émet sur le
bus, le reste des éléments reçoit (il est à l’écoute).
24. Protocole Modbus
241. Notion de protocole Modbus
Un protocole est un ensemble de règles de communication et une description des mécanismes permettant la
gestion des paquets d’informations et leur transition du réseau à l’application.
Le protocole Modbus, créé par la société Modicon, est un protocole de dialogue basé sur une structure
hiérarchisée entre une station maître (master) et plusieurs stations esclaves (slaves) comme l’indique la figure
Le protocole Modbus définit donc la structure des messages et leur mode d’échange du maître vers l’esclave.
. Format de la trame
Le protocole Modbus comporte des fonctions principales pour l’échange de données(objets) et des fonctions
Figure 5