Rapport de Stage
Rapport de Stage
Rapport de Stage
Rapport de
stage
Domaine : le mil
Stagiaires Maitre de
stage :
Aminata Bané Adji
M. Kanfany
Aminata Mbaye
Cheikh Ibrahima Badiane
Sommaire
Remerciements
Introduction
I/Bambey
1-Localisation de Bambey
2-Pluviométrie
3-Climat
II/-Aspect Economique et social de Bambey
1-Fonctions urbaines et activités économiques de Bambey
2-Equipements et infrastructures
a-Les équipements
b- Les infrastructures
II/Le CNRA
1-Sol de cette partie de Bambey
2-Historique du CNRA
3-Missions et objectifs du CNRA
4-Zone d’intervention du CNR
5-Description et itinéraire technique du mil
6-Les activités faites et les connaissances assimilées au sein du CNRA
Conclusion
Remerciements
Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparait opportun de commencer ce rapport par des remerciements, à ceux qui
nous ont encadrés tout au long de ce stage, et même ceux qui ont eu la gentillesse d’avoir été disponible durant cette période pour nous faciliter
l’acquisition des connaissances sur le terrain.
Nous sommes très reconnaissants envers Dr. Kanfany, M. Diao, Mme Mbengue, M. Serigne Thiam Sy, qui nous ont accompagnés et appris
beaucoup de choses
Enfin nous remercions l’ensemble des autres stagiaires qui nous ont intégrés et ont été à notre disposition.
Introduction
Le mil est une culture à température chaude cultivée annuellement comme une culture pluviale dans les régions tropicales arides et semi-arides
d'Afrique et le sous-continent indien où aucune autre culture ne peut survivre en raison de sols pauvres et de pluies erratiques et incertaines.
La production de semences de qualité est importante car pouvant faire toute la différence entre une excellente récolte et un mauvais rendement
des cultures. D’où le travail majestueux du CNRA dans la ville de Bambey avec la production de semences certifiées pour plusieurs cultures
après des temps de recherche et d’essais pour obtenir les meilleures semences de qualité. Pour la culture des semences de mil qui constitue notre
domaine au cours de ce stage, les principaux caractères qui permettent de discriminer les cultivars traditionnels sont la date de floraison, la
hauteur des plantes, le diamètre des tiges, la longueur du premier épi et la production d'épis et de grains. Selon ces critères, les mils du Niger se
rapprochent de ceux du Nigeria et du Sénégal. Cependant, sa croissance et sa productivité du mil sont entravées par l’incidence des maladies
fongiques telle que le mildiou du mil [Sclerospora graminicola (Sacc)], des insectes comme la chenille mineuse de l’épi [Heliocheilus
albipunctella (De Joannis)], des foreurs de tiges [Coniesta ignefusalis (Hampson)], des adventices et des oiseaux.
Durant ce stage l’objectif principale était de s’intégrer aux activités du service comme le semis, le démariage, le remplissage des caractères
discriminant les cultivars sur les différents cahiers des différents essais et le repérage des plantes attaquées par le mildiou.
I/Bambey
Localisation
L’étude a été menée pendant l’hivernage 2021 sur le site expérimental du centre national de recherche agronomique (ISRA/CNRA) de Bambey,
qui est la station principale de la zone Nord du Bassin arachidier. Elle se situe dans la région de Diourbel, département de Bambey, commune de
Ngomgom avec comme coordonnées géographiques 14°42’ latitude Nord et
16°28’longitude Ouest, à une altitude de 17 m au-dessus de la mer, distant de 100 km de la capitale du Sénégal et
couvrant une superficie de 650 ha.
2-Le climat
Le climat de la région du site expérimental est de type Soudano-sahélien. Durant la campagne agricole 2019/2020, les mois pluvieux sont
caractérisés par des températures journalières 16 Moyennes maximales oscillant entre 32,33 et 37,09 °C alors que celles minimales ont
varié entre 23,86 et 25,61 °C
3-La pluviométrie
Le département de Bambey se situe entre les isohyètes 300 et 600 mm, la distribution des pluies est généralement inégale et irrégulièrement
repartie avec une courte saison des pluies environ trois mois (mi-juin a mi-octobre) et une longue saison sèche. L’hivernage 2020 a démarré le 12
juin avec une pluie de 14 mm, Le cumul pluviométrique entre juin et octobre est de 657,7 mm ; le pic se situe à la première décade du mois de
septembre avec 171,1 mm Le mois de septembre était le plus pluvieux. Et le nombre de jours de pluie utile (Pluie>=5mm) est de 27 jours.
L’hivernage a pris fin le 6 octobre avec une pluie de 8,5 mm
II/Aspect Economique et social de Bambey
2)Equipements et infrastructures
a) Les équipements :
- Les équipements Equipements administratifs et publiques : la présence de ces équipements est surtout liée au statut de commune de chef-lieu de
département que représente la ville de Bambey. Ces services constitués pour la plupart des services déconcentrés de l’Etat présentent une certaine
disparité dans leur répartition spatiale.
-Equipements sanitaires : L’examen de la répartition des équipements médico-sociaux du district de Bambey donne pour la commune : un poste
de santé, un dispensaire et un centre de santé qui sont les principales structures d’accueil des malades. A côté du centre de santé d’autres
structures sanitaires comme le poste de santé de la croix rouge et le dispensaire Saint Martin, dont les locaux sont dans un état correct, viennent
rehausser le niveau de desserte en équipements sanitaires de la commune.
-Equipements scolaires :
• Enseignement préscolaire : La ville de Bambey ne compte qu’une seule école préscolaire qui ne peut pas à elle seule répondre aux
besoins de la commune, même si depuis 1998 il y a eu la création d’une garderie d’enfants au foyer de la femme du quartier Léona Nord.
• Enseignement Primaire : L’enseignement primaire dans la commune de Bambey compte six écoles publiques et une école privée avec
un effectif total de 4032 élèves (rentrée 2000/2001). Cet effectif de 4032 est réparti en 70 classes, ce qui donne pour la commune une
moyenne de 58 élèves par classe. Avec 58 élèves par classe, Bambey a un ratio qui est supérieur à la norme de 45 élèves / classe, ce qui
constitue un déficit de 22 classes au niveau communal.
• Enseignement moyen secondaire : La commune de Bambey compte trois (03) collèges d’enseignement moyen dont un privé et un
lycée. Avec un effectif de 1814 élèves, l’enseignement moyen public et privé confondus à Bambey, donne un effectif moyen par classe
qui est égal à 68 élèves et qui est de loin supérieur aux normes qui se situent à une moyenne de 45 élèves par classe. Ce qui donne un
déficit de 14 classes au niveau communal au regard de la norme.
• Le lycée : Accueillant des élèves provenant essentiellement de la région de Diourbel, le lycée de Bambey a un effectif de 674 élèves
pour 17 salles de classes soit un effectif moyen par classe de 40 élèves, ce qui est un très bon ratio au regard de la norme de 45 élèves par
classe.
• L’enseignement de l’arabe : L’Enseignement de l’arabe est représenté à Bambey par une annexe l’Institut Alhazar de Ndame qui
compte un effectif de 200 élèves dont 150 garçons et 50 filles réparti en 6 classes. Elle est également présente dans toutes les écoles
élémentaires publiques de la commune.
• L’enseignement supérieur : La commune abrite l’Ecole Nationale des Cadres Ruraux (ENCR) qui est un institut de formation
d’ingénieurs des travaux de l’agriculture, de l’élevage et des eaux et forêts. Avec la création dans ses environs d’un Centre Universitaire
Régional (CUR) devant polariser les régions de Thiès, Kaolack, Fatick, Louga et Diourbel, ce complexe ENCR et CUR va constituer
avec 3500 étudiants, un véritable pôle de recherche et de développement pour la commune de Bambey.
-Lieux de cultes et cimetières : Les musulmans disposent d’une grande mosquée, d’une ou plusieurs mosquées dans chaque quartier et
de 3 cimetières. La communauté catholique quant à elle dispose d’une chapelle et d’un cimetière, complétés par l’implantation d’une
mission catholique qui comprend des œuvres sociales et religieuses.
b) Les infrastructures :
-Voirie et transport : Le réseau viaire qui irrigue le territoire communal de Bambey est caractérisé par l’existence d’une voirie revêtue
(bitumée) et d’une voirie non revêtue (latéritique). La voirie revêtue, concerne la route nationale 3 et les voies de desserte qui irriguent
essentiellement la partie au nord de la RN3. La voirie non revêtue ou latéritique est constituée des régionales R32 et R61 (Fatick,
Bambey, Meckhé) et de la départementale D306 vers Gawane.
-Alimentation en eau : La production effective en eau potable est estimée à 684 m3 /j pour la commune de Bambey. Cette situation est
très modeste au regard de celle qui prévaut dans les autres zones urbaines de la région. La production d’eau potable à la commune de
Bambey est assurée par deux forages munis de stations de pompage qui refoulent dans un château d’eau d’une capacité de 250m3. Les
deux forages alimentant la commune ont un débit de 50m3 /h l’un et de 12m3 /h l’autre. L’eau potable est acheminée jusqu’aux 1780
branchements que compte la commune, à travers un réseau d’un linéaire estimé à 49km. La répartition spatiale de ce réseau révèle
certaines disparités entre quartiers.
-Electricité : La ville de Bambey est alimentée à partir de la centrale du Cap des Biches et elle appartient au secteur de Diourbel. Le
réseau d’alimentation de la commune de Bambey comprend un réseau moyenne tension (M.T) qui assure le transport de l’énergie
électrique jusqu’aux postes de transformation et un réseau basse tension (B.T) assurant la desserte des abonnés. Avec un nombre
d’abonnés estimé en mai 2000 à 1862 abonnés, la densité du réseau présente certaines disparités d’un quartier à un autre.
-Assainissement et collecte des ordures ménagères : Etant implantée sur une cuvette, la commune de Bambey est confrontée à de
graves problèmes d’évacuation correcte des eaux pluviales. Le réseau d’E.P sommaire est constitué de 4400 ml de caniveaux à ciel
ouvert et de 770 ml de caniveaux fermés. Il est inégalement réparti dans le territoire communal et insuffisamment dimensionné et mal
entretenu. Il est aussi sujet à une utilisation inappropriée car les populations s’en servent pour évacuer les eaux usées et les eaux de
vannes. Les concessions sont dotées d’un système d’assainissement individuel par fosse étanche ou septique. Les ordures ménagères sont
souvent utilisées comme remblais des zones inondables, posant ainsi d’énormes problèmes de salubrité.
-Télécommunication : Avec 500 abonnés environ, la ville de Bambey a un réseau téléphonique peu important. L’essentiel des abonnés
est dans le centre-ville, dans le quartier Wakhaldiam.
C’est dans ce contexte économique et social que l’on retrouve le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) de Bambey centre
ou s’est déroulé notre stage durant un mois entre le mois de septembre et le mois d’octobre.
LE CNRA
1)Historique du CNRA
En 1913, une ferme fut créée à Bambey pour réaliser des études d’adaptabilités pour la culture de l’arachide au Sénégal en vue de développer
cette spéculation dans la région. Cette ferme fut transformée en 1921 en une station expérimentale de l’arachide avec deux chercheurs sur place.
Les résultats préliminaires furent satisfaisants.
Ces résultats obtenus ainsi que la mise en évidence d’autres facteurs indispensables pour augmenter la production de l’arachide ont abouti à
l’extension de la recherche :
- Des travaux sur le mil commencent à partir de 1931
- La multiplication de semences sélectionnées en 1935
Après plusieurs restructurations et mises sous tutelle, le CNRA devient en 1977 l’un des 10 centres de recherche de l’ISRA. Depuis les
recherches au CNRA de Bambey dans les annexes portent sur les céréales (sorgho, mil) et les légumineuses en zone pluviale sèche (arachide,
Niébé) ainsi que sur la gestion des ressources naturelles et les systèmes de production. Elles ont trait à la sélection, la physiologie, les semences,
l’agronomie, la défense des cultures (entomologie, phytopathologie, malherbologie), le stockage, l’étude des systèmes de production, la défense
et la restauration des sols, la fertilisation la microbiologie, la bioclimatologie, le machinisme agricole, la technologie post récolte et l’agro
foresterie. Ce dispositif est complété par les services d’appui qui comprennent la gestion administrative et financière, le laboratoire central
d’analyse des sols, et plantes, les services techniques, le service documentation/ information, le service social et la surveillance générale.
Le mil est une céréale de la famille des poacées, tribu des panicées. Également appelé mil perlé, petit mil, mil à chandelle (Pennisetum glaucum
(L), R. B2), il existe sous plusieurs formes dont la plus cultivée est le mil pénicillaire. Le terme « mil » regroupe un ensemble de graminées
alimentaires qui ont pour caractéristiques communes la petitesse de leurs graines. Ces céréales sont surtout cultivées sur les terres marginales
dans les régions sèches des zones tempérées, subtropicales et tropicales. Grâce à des recherches scientifiques effectuées à base des données ADN,
cette localisation est faite aux alentours du Niger et du Mali. Depuis longtemps, le mil a été exporté vers les autres continents, principalement en
Asie. Le premier pays producteur est actuellement l’Inde, le Nigeria et le Mali. Son itinéraire technique se procède comme suit :
Le Choix du terrain : les sols les mieux adaptés à la culture du mil sont des sols légers et sablonneux. Le mil craint les sols lourds.
Le Choix variétal : les variétés de mil proposées pour la région en fonction de la pluviométrie annuelle de la zone comprise 500-900mm.Ce sont
: SOSAT-C-88(90 jours), IKMP-3(115-120 jours), IKMP-5 (110 jours).
La Fertilisation organique : épandre 5 tonnes /ha de fumure organique (compost) avant la préparation du sol.
La Préparation du terrain : réaliser un labour léger de 10-15 cm de profondeur. Le mil est très peu exigeant en matière de travail de sol.
Le Semis :
- Mode de semis : semer 4 à 5 graines par poquet. - Ecartement : 80 cm x 40 cm.
- Dose de semis : 3kg/ha. - Profondeur de semis : 2-3 cm de profondeur.
- Période de semis : fin juin-début juillet après une pluie de 20mm au moins.
Les Entretiens culturaux :
- Sarclage : débarrasser les jeunes plants des mauvaises herbes dès envahissement du champ.
- Démariage : procéder au démariage au cours du sarclage à 3 ou 2 plants par poquet selon que la variété talle beaucoup
- Buttage : apporter la terre arable autour des plants pour couvrir les racines pour éviter la verse et retenir l’eau dans le champ à la montaison.
La Récolte : procéder à la récolte du mil lorsque la maturité physiologique est atteinte. Pour cette opération, suivre rigoureusement le cycle de la
variété.
6-Les activités faites et les connaissances assimilées au sein du CNRA
Les principales activités au cours de ce séjours ont été effectués sur le terrain. Ces nombreuses activités que nous avons eu à faire sur le terrain et
avec lesquels nous avons assimilés beaucoup de connaissances consistaient à semer, démarier, autoféconder, noter la date de floraison, prendre la
hauteur des plantes, le diamètre des tiges, la longueur du premier épi la détection de maladies tels que le mildiou, le charbon, les strigas , les
mineuses, étude d’homogénéité et de compacité et enfin le travail préliminaire pour le teste zinc et fer c’est-à-dire la coupe, le séchage,
l’égrainage des épis et mettre les graine dans des sachets. Cependant toutes ces activités sont liées et chacune vient après l’autre de manière
successive jusqu’à la récolte.
Commençons alors par le semis qui constitue l’opération primaire et qui s’effectue en plusieurs étapes. On a d’abord la délimitation du terrain qui
se fait à l’aide d’une corde et de poquets en bois, ensuite on a l’utilisation des ……. Pour délimiter les ponts à semer, puis on utilise l’Hilaire
pour faire des Creus superficiels et enfin mettre les graines et bien refermer le trou.
Ensuite, au début des levées après deux semaines, on passe au démariage qui consiste à enlever les excès de levée et ne laisser que 3 plantes sur
le sol pour éviter les phénomènes de compétition et ainsi avoir une bonne croissance des plantes.
Après une bonne croissance et de forte levées, on passe à l’autofécondation. Cette dernière consiste à couvrir les plantes génotypées c’est-à-dire
qui ont été choisis et marquées avant que les fleurs femelles (stigmates) ne soient fécondées par les males et ainsi les autoféconder.
Génotypées : C’est lorsque les feuilles prélevées sont analysées au Laboratoire afin d’observer les caractères génétiques de la variété
choisi.
On peut alors après l’autofécondation noter la date floraison qui vise à voir s’il y’a l’apparition des fleurs femelles à 50% dans les parcelles.
Par la suite viens la prise de la hauteur des plantes et de la longueur des épis qui ne se fait qu’à la phase de maturité. La hauteur se mesure de la
terre à la fin de l’épis la plus longue du poquet avec une règle en bois graduée et la hauteur se mesure de la base à la fin de l’épis avec un ….
Nous avons ensuite pu détecter certaines maladies qui ont attaquées les plantes. Parmi ces derniers on note le mildiou. C’est une maladie qui se
distingue à travers des attaques sur certains plantes et peut même limiter la sortie des épis. Elle est causée par un champignon appelé
peronospora graminicola. Elle se manifeste par une décoloration des feuilles (coloration blanchâtre sur la partie externe de la feuille), la
déformation de l’épis, l’apparition de la clorose.
Les différentes apparitions du mildiou
Le charbon qui est une maladie cryptogamique causée par des champignons multicellulaires. Elle détourne le système de reproduction des
plantes, formant les galles qui noircissent et éclatent, libérant des téliospores fongiques qui peuvent infecter d’autres plantes à proximité.
Puis on a pu voir les mineuses qui sont des moissonneuses qui pénètrent les épis et consomment les graines. Après les avoir détectés, pour
chaque Pa on compte le nombre d’épis attaquées pour ensuite les noter.
Après vient les principes d’homogénéité, de compacité.
Cette rubrique d’homogénéité des parcelles consiste à observer les plantes d’une part et voir si les épis se ressemblent, ensuite voir s’ils ont la
même longueur et ensuite donner un score.
Pour le score on a :
*Homogènes=1
*Intermédiaires=2
*hétérogènes=3
Quant à la compacité elle s’effectue comme suit : on touche d’abord l’épis pour voir si elle est compacte ou pas et ensuite on lui attribue une note
par rapport à cela.
Pour les notes on a :
Très compact = 7
+/- compact = 5
Pas compact = 3
En ceux qui concerne le travail préliminaire pour le teste zinc et fer, les taches se poursuivent comme suit :
Tout d’abord on commence par couper un épi pour chaque parcelle qui va servir de l’échantillon puis les mettre dans des enveloppes et les
amener au niveau des serres pour les sécher. Après le séchage, on procède à l’égrainage qui se fait manuellement. Après cela, les graines sont
mises dans des sachets et sont pesées par ce qu’ils doivent atteindre les 20g.
Toutefois, après que toutes ces notes sont mises au niveau des différents cahiers de chaque parcelle, on passe à la saisie pour mettre les notes
dans la base de données.
Enfin on a terminé en beauté avec la journée porte ouverte où le centre a accueilli les producteurs pour connaitre leurs préférences par rapport
aux différentes variétés produites et ainsi pouvoir mieux les servir.
Conclusion
Ce séjour très instructif a permis de mettre en pratique plusieurs connaissances acquise en théorie. Dans un cadre professionnel bien structuré le
stage a pu être effectué dans de très bonnes conditions. En plus d’être stimulant intellectuellement, les travaux réalisés sont très importants pour
un programme de sélection. La calibration d’un environnement idéal pour un plus grand nombre de levées permettra également d’apporter des
solutions sur certains problèmes rencontrés en sélection notamment la gestion des individus de génération filiale.
SOURCES :
https://pdudakar.sec.gouv.sn/IMG/pdf/rapport_de_pre_sentation_et_re_glement_d_urbanisme_du_pdu_bamb.pdf
Rapport de stage Soumare CNRA par Boubacar Soumaré
Mémoire version final par Mansour sy