Bréviaire de Philippe Le Bon
Bréviaire de Philippe Le Bon
Bréviaire de Philippe Le Bon
BRUXELLES
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LE BRÉVIAIRE DE PHILIPPE LE BON
renferment les deux volumes (i). Inutile d’y revenir, c est avant tout un
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intérêt artistique que poursuivra cette reproduction des miniatures
viaire de Philippe le Bon, et nous n’avons pas à nous occuper ici du point
de vue littéraire et liturgique.
peut avoir
qui exécuté son importance pour la détermination précise de l’atelier où
fut le manuscrit.
(1) J. Van den Gheyn, Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque royale de Belgique, t. I. p. 326-328.
(2) Il s’agit de Philippe- Auguste.
(3) C’est-à-dire Louis VIII.
(4) Blanche de Castille, mère de S. Louis.
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Louis VIII. Cet exemplaire avait peut-être été fait par les soins de S. Louis
pour assurer à ses parents et à son frère, le comte d’Artois, une part privi¬
légiée dans les prières du clergé de la Sainte-Chapelle (i).
Cette hypothèse se corrobore du fait que l’inventaire de la librairie
de Philippe le Hardi, en 1404, signale un bréviaire en deux volumes (2),
qui pourrait bien avoir été une des transcriptions dont parle M. Léopold
Delisle, copie qui postérieurement aurait servi de modèle immédiat pour
confectionner le livre d’offices destiné à l’usage de Philippe le Bon.
Il n’y a aucun doute que les deux volumes de la Bibliothèque royale
de Belgique dont nous nous occupons, ont fait partie de la chapelle de ce
prince. En effet, f. 3o8 du tome premier, une des miniatures paginales figure
l’apôtre S. André protecteur de la maison de Bourgogne, apparaissant au
duc, qui est agenouillé sur un prie-Dieu recouvert d’un tapis à ses armes.
Dans le second tome, deux autres images attestent la même provenance,
f. 258, Philippe le Bon et sa femme sont représentés en adoration devant
l’arche et f. 3o8, S. André avec Philippe le Bon ; dans le tome II, f. 108,
une nouvelle peinture de David prosterné devant l’arche et f. 485, les saints
dans la gloire.
Le premier, comme nous l’avons dit, fait grand état des notes nécro¬
logiques mentionnées dans le calendrier, notes qui toutes désignent un
milieu français et parisien. Il insiste aussi sur certaine analogie des peintures
(1) L’Histoire du bon roi Alexandre. Extrait de l’Art ancien et moderne, Paris, igo3, p. 18-19 du
tirage à part.
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dit que « les miniatures de Vrelant sont marquées d’un style accentué,
résultant surtout du caractère du dessin qui permet de les reconnaître
entre toutes, sans hésitation, une fois que l’on s’est familiarisé, par l’examen,
avec quelques unes d’entre elles (1) ».
Il y a peut-être certaine difficulté chronologique qui s’oppose à ce
qu’on admette l’avis de M. le Comte Durrieu. A notre sens, le bréviaire
de Philippe le Bon date de 1430 à 1440. Or Guillaume Vrelant n’apparaît,
dans l’histoire de la miniature, que vers 1454 et il mourut en 1481 ou
1482 (1). Son œuvre principale, les peintures du tome II des Chromques
du Hainaut , date de 1467. Cet écart de vingt-cinq ans n’est guère favorable
à la thèse de M. le Comte Durrieu.
LV, LVI, LVII, LVIII, LIX et LXI occupent à peu près le tiers d’une
colonne, tandis que celles des planches XIII, XIV, XV, XVI, XVII, XVIII,
XIX, XXXVIII, XXXIX, XL, XLI, XLII, XLIII, XLIV sont moindres
encore et enserrées dans une lettrine.
(1) James Weale, Documents inédits sur les enlumineurs de Bruges dans Le Beffroi, t. IV,
Enfin neuf planches nos II, V, VI, VII, XXII, XXXIV, XXXVI,
XLVI et XLVII reproduisent des spécimens de capitales ornées de rinceaux
et d’enluminures marginales.
I. — Grandes miniatures.
tandis qu’un groupe d'anges, rappelant ceux de Gérard David, font retentir
les airs de chants harmonieux.
(1) Sur la signification symbolique de l’arbre de Jessé, voir E. Male. L'Art religieux de la fin
du moyen âge en France, p. 226-27.
que les artistes s’efforcèrent de reproduire les attitudes des mystères mis
en scène (i). Jésus est représenté au moment où il sort du tombeau, la jambe
droite hors du sépulcre. Trois soldats sont endormis, un ange est assis sur
la pierre renversée du tombeau.
agenouillé dans une chapelle devant un autel qui supporte l’arche d’alliance,
à laquelle on a donné la forme des reliquaires gothiques. La miniature du
tome premier montre un vénérable vieillard, il est nu tête, il porte les cheveux
et la barbe longs, la harpe est déposée à ses côtés ; au contraire, dans la
plus petites dans une grande lettrine ; ce sont David tuant l’ours et le lion
et lançant la fronde contre le géant Goliath.
(1) Voir une reproduction de cette planche dans le Mouvement scientifique en Belgique, t. II.
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les traits ressemblent beaucoup à ceux de Jessé et de David, dans les planches
précédentes, tient entre ses deux mains étendues l’image du Crucifix ; sur
une des branches de la croix se trouve la colombe, figure du Saint-Esprit.
Deux anges sont en adoration (i). Les emblèmes des évangélistes sont ceux
celle de la grande miniature qui vient d’être décrite ; la seconde fois, Dieu
le Père et Dieu le Fils sont représentés assis, la colombe plane entre les
deux. Cette seconde figure de la Trinité est aussi fréquemment en usage.
8. La dernière des miniatures de grande dimension (pl. LX) qui
illustre le texte de l’office de la fête de la Toussaint, présente un groupe
heureusement ordonné de vingt huit saints. On reconnaît au centre un pape
IL — Petites miniatures.
(i) Au sujet de cette manière symbolique de figurer le mystère de la Trinité, cf. J. N. Paquot,
De historia ss. imaginum et picturarum autore Joanne Molano, 1771, p. 480 ; P. F. X. De Ram, Les quatorze
livres sur V histoire de la ville de Louvain du docteur ... Jean Molanus, t. I, p. lv; M. Didron, Iconographie
David qui, d’un geste de la main porté vers les yeux, indique qu’ils sont
éclairés.
ronne sur la tête, appuyé sur sa harpe ; dans l’autre, il est agenouillé tête
découverte. Le roi-prophète se trouve de part et d’autre dans un riant
paysage.
Le psaume Dixi, custodiam nias meas fait le sujet des planches XIV
et XXXIX. La traduction de l’idée est très différente dans les deux cas ;
d’abord, planche XIV, elle est rendue sous la forme d’un voyageur faisant
route. La planche XXXIX montre David se promenant sous les regards du
Père éternel. On le voit, cette dernière représentation est plus banale.
Les premiers mots du psaume Dixit insipiens in corde suo ont inspiré
le miniaturiste pour les planches XV et XL. Toutes deux représentent un
fou attitré dans son costume traditionnel. Dans la première miniature, il
est seul ; une banderole exhibe les mots : Stultorum infinitus est numerus ;
à l’autre page, le bon fol exécute ses cabrioles devant le roi David, qui a
l’air de le prendre en pitié. Les fous portent des costumes différents. C’est
une utile indication pour varier l’accoutrement du personnage qui fait ordi¬
nairement partie des cortèges populaires.
Sur les planches XVI et XLI, on voit David plongé dans l’eau. Les
attitudes sont variées. Dans le premier tableau, il est debout dans l’onde qui
vient jusqu’à la poitrine ; dans le second, il fait la planche. Sur les rives,
de gracieux paysages. Du haut du ciel, Dieu le Père contemple le spectacle ;
David l’adore les mains jointes. Ces miniatures symbolisent le texte : Salvurn
nie fac, Deus, quoniam intraverunt aquae usque ad animant meam.
Viennent ensuite deux planches qui représentent David jouant du
carillon, commentaire du psaume Exidtate Deo... date tympanum... Dans
l’une des deux miniatures (planche XVII), le roi-prophète, assis et armé de
deux marteaux, bat les quatre clochettes d’un carillon suspendues à une
traverse de bois. Même scène, planche XLII, mais ici, David est debout, et
il frappe un carillon de huit clochettes qui pendent à une couronne. Ces
figurant des mystères de la vie du Christ ou divers saints. Planche IV, c’est
l’adoration des Mages, scène classique n’appelant aucune réflexion.
S. Jean dans l’île de Pathmos fait le sujet de la planche IX. L’évan¬
géliste se trouve dans la pose traditionnelle ; il est accompagné de l’aigle
symbolique.
Les amples broderies de sa robe sont à remarquer. Très joli paysage,
soldat lui arrache des mains et frappe cruellement. Un autre soldat a saisi
un innocent qu’il va transpercer.
Le martyre de S. Thomas de Cantorbéry se voit sur la planche XXVII.
sont très variés et la scène donne bien l’idée de la façon dont un cours
était professé au XVe siècle.
La planche XLV représente les douze apôtres ; c’est une réplique de
la planche XX. On distingue au premier plan S. Pierre, S. Paul, S. André
et S. Jean et au fond S. Philippe portant une croix et S. Barthélemi recon¬
naissable à la hache qu’il tient. Sur les nuées du ciel apparaît le Père éternel.
Sur la planche XLVIII se voient Philippe le Bon, la duchesse de
Bourgogne et leur cour à genoux devant le Saint- Sacrement exposé. Les
Le saint est lié sur le gril. Des bourreaux attisent le feu. Un d’eux armé
d’un soufflet ressemble déjà aux diablotins qui dans les tableaux de Breughel
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pour l’histoire de l’art, il est intéressant de constater les débuts et les progrès
de la peinture du paysage.
En costume de guerrier, l’archange S. Michel, planche LVIII, terrasse
et piétine le dragon infernal. Entre ses mains, l’épée flamboie. La scène a
20
de la ville d’Amiens. De son épée, il tranche une partie de son riche manteau
et le donne à un pauvre béquillard. Ici encore, scène très vivante. Comme
dieux de les reproduire toutes. On s’est borné à celles qui sont particulière¬
ment typiques, et les planches II, V, VI, VII, XXII, XXXIV, XXXVI,
XXXVII, XLVI, XLVII sont destinées à remplir ce but.
Malheureusement, les reproductions photographiques ne rendent pas
le brillant de l’or, ni l’éclat du coloris qui rehaussent ces superbes lettrines.
Ces lettres sont de formes très variéés ; tantôt elles couvrent un espace
carré de plusieurs centimètres ; tantôt elles affectent une forme allongée,
vermiculée.
(i) P. Durrieu, Les très riches Heures de Jean de France, duc de Berry. Explication de la pl. LXIV.
manuscrits flamands d’une époque postérieure. C’est la manière des miniatu¬
ristes du Nord de la France qui persiste.
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LI.
LU. Martyre de S. Laurent.
LUI. Mort de la Sainte Vierge.
LIV. S. Louis, évêque de Toulouse.
LV. S. Louis, roi de France.
LVI. Nativité de la Sainte Vierge.
LVII. Philippe le Bon et la. duchesse dé Bourgogne adorant la croix.
LVIII. L’archange S. Michel.
LIX. Décollation de S. Denis.
LX. Groupe de saints.
LXI. S. Martin.
Planche I.
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Planche XXVIII.
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La Sainte Trintté avec les emblèmes des quatre évangélistes (N° 9026, fol. 1)
Planche XXXIV.
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Dieu conduisant David dans les voies droites (N° 9026, fol. i35)
Planche XLII.
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David et le fou (N° 9026, fol. i43v)
Planche XLI.
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Philippe le Bon et la duchesse de Bolrgogne adorant le Saint-Sacrement (N° 9026, fol. 258)
Planche XLIX.
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f,t»f ^ ^ V?*' * 5 i'j T' ^
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Sainte Anne (N° 9026, fol. 333v)
Planche LIT,
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S. Louis, évêque de Toulouse (N° 9026, fol. 373v)
Planche LV.
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Philippe le Bon et la duchesse de Bourgogne adorant la croix (N° 9026, fol. 425)
Planche LVIII.
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Planche LIX.
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