E3c Spe Sciences Vie Terre Premiere 04016 Sujet Officiel

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ÉPREUVES COMMUNES DE CONTRÔLE CONTINU

CLASSE : Première

E3C : ☐ E3C1 ☒ E3C2 ☐ E3C3

VOIE : ☒ Générale ☐ Technologique ☐ Toutes voies (LV)

ENSEIGNEMENT : Sciences de la vie et de la Terre. Spécialité de première.


DURÉE DE L’ÉPREUVE : 02h00
Axes de programme :
La Terre, la vie et l’organisation du vivant
Enjeux contemporains de la planète

CALCULATRICE AUTORISÉE : ☐Oui ☒ Non

DICTIONNAIRE AUTORISÉ : ☐Oui ☒ Non

☐ Ce sujet contient des parties à rendre par le candidat avec sa copie. De ce fait, il ne peut être
dupliqué et doit être imprimé pour chaque candidat afin d’assurer ensuite sa bonne numérisation.

☐ Ce sujet intègre des éléments en couleur. S’il est choisi par l’équipe pédagogique, il est
nécessaire que chaque élève dispose d’une impression en couleur.

☐ Ce sujet contient des pièces jointes de type audio ou vidéo qu’il faudra télécharger et jouer le jour
de l’épreuve.
Nombre total de pages : 6

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Classe de première

Voie générale

Épreuve de spécialité
non poursuivie en classe de terminale

Sciences de la vie et de la Terre

Épreuve commune de contrôle continu


`

Durée de l’épreuve : 2 heures

Les élèves doivent traiter les deux exercices du sujet.

Les calculatrices ne sont pas autorisées.

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Exercice 1 – Mobilisation des connaissances – 10 points
La Terre, la vie et l’organisation du vivant
Transmission, variation et expression du patrimoine génétique

La réplication de l’ADN

La réplication de l’ADN dans les cellules se fait selon un mode semi-conservatif.

En s’appuyant sur les connaissances et sur des schémas, expliquer comment


les éléments radioactifs (comme la thymine) peuvent permettre de montrer le
mode de réplication semi conservatif de l’ADN.

Vous rédigerez un exposé structuré. Vous pouvez vous appuyer sur des
représentations graphiques judicieusement choisies. On attend des arguments pour
illustrer l’exposé comme des expériences, des observations, des exemples ...

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Exercice 2 – Pratique d’une démarche scientifique – 10 points
Enjeux contemporains de la planète
Écosystèmes et services environnementaux

Les forêts, sources ou puits de carbone ?

Les forêts sont des alliées précieuses dans la lutte contre le changement climatique.
À elles seules en effet, elles stockent à moyen terme plus de la moitié du carbone
des terres émergées (Source GIEC – Groupe d'experts intergouvernemental sur
l'évolution du climat – 2001) et sont donc des puits de carbone.
Au sens large, un puits de carbone est un réservoir - naturel ou artificiel - qui absorbe
du carbone tandis qu'à l'inverse, une source va en produire.
Dans le contexte mondial préoccupant du changement climatique, les chercheurs de
l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) tentent d’identifier les
facteurs qui peuvent augmenter ou diminuer la capacité des arbres à stocker le
dioxyde de carbone (CO2), ce gaz à effet de serre si connu.

En utilisant les informations des documents mises en relation avec les


connaissances, indiquer comment les forêts peuvent être des puits ou/et des
sources de carbone.

Vous organiserez votre réponse selon une démarche de votre choix intégrant des
données des documents et les connaissances complémentaires nécessaires.

Document 1 - Réserves de carbone de différentes forêts

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Document 2 - Évolution des émissions de CO2 dans l’atmosphère provenant de
la déforestation des zones tropicales

Deux processus expliquent les émissions de CO2 dues à la déforestation : la


combustion liée aux feux de forêt et la décomposition de la matière organique.

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Document 3 - Échanges gazeux s'effectuant au niveau des stomates
En journée, les feuilles des arbres réalisent des échanges gazeux grâce à leurs
stomates. Ces échanges sont modélisés ci-dessous.

Le bilan de ce qui se passe le jour correspond à un prélèvement de dioxyde de


carbone, un rejet de dioxygène et une évaporation - donc une sortie d’eau - qui
s’expliquent par une photosynthèse dominante qui masque la respiration cellulaire
pourtant toujours effective et qui sera la seule à se réaliser la nuit.

Document 4 - La forêt de Font-Blanche à la loupe


Composée de pins d’Alep et de chênes verts, la forêt de Font-Blanche dans les
Bouches-du- Rhône, est une forêt où les chercheurs de l’INRA mesurent, entre
autres, les échanges de CO2 et d’eau entre la forêt et l’atmosphère, les flux de sève,
la transpiration des feuilles, ou bien encore la respiration des sols.
Avec le changement climatique, le risque de sècheresse augmente et les mesures
d’impact de la sécheresse exceptionnellement intense de l’été 2015 sur cette forêt
alimentent des modèles prévisionnels.
Le premier effet d'une sècheresse est la fermeture des stomates des feuilles pour
éviter la déshydratation.
Les arbres s'alimentant moins bien sont affaiblis et subissent ensuite, très souvent,
des attaques d’insectes herbivores qui réduisent considérablement leur feuillage. Et
enfin, la sècheresse favorise les incendies de forêt.

D'après https://inra-dam-front-resources-cdn.brainsonic.com/ressources/afile/352582-abfaa-
resourcedossier-de-presse-forets.pdf

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