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Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

Chapitre 5 Problèmes de géométrie

A Notre point de vue


1 Les choix faits pour traiter le programme dans ce chapitre
Ce chapitre consacré à la géométrie comporte deux notions de cours, d’une part la définition
du projeté orthogonal d’un point sur une droite ainsi que sa caractérisation en terme de
distance, d’autre part la démonstration de la formule cos²() + sin²() = 1 lorsque  est la
mesure d’un angle aigu d’un triangle rectangle.
Les capacités permettent de revoir de nombreuses notions de géométrie plane et de géométrie
dans l’espace rencontrées au collège.

2 Les objectifs des activités


Quatre activités sont proposées.
Dans l’activité 1, on propose un texte historique du mathématicien Descartes qui permet
d’étudier la construction géométrique du résultat de la multiplication ou de la division de deux
nombres. L’élève pourra réinvestir ses connaissances sur le théorème de Thalès.
L’activité 2 permet de découvrir puis de démontrer le théorème de Vincenzo Viviani. Dans
cette activité le professeur pourra utiliser le fichier de géométrie dynamique disponible dans le
manuel numérique enseignant.
Dans l’activité 3, l’élève découvrira une utilisation pratique des mathématiques au Moyen-
Âge. L’utilisation de la trigonométrie dans le triangle rectangle permet d’expliquer le principe
du « quarré » géométrique.
L’étude de problèmes d’optimisation constituant une capacité du programme, l’activité 4
permet d’étudier pas à pas un de ces problèmes.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 201


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3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices sont regroupés par thèmes et permettent de traiter toutes les capacités du
programme. Une rubrique est notamment réservée aux calculs dans les solides afin
d’entretenir les compétences des élèves en géométrie dans l’espace.
Enfin, on étudie un problème d’optimisation dans le TP1 et un problème de construction dans
le TP2.

B Se tester pour un bon départ


1 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire à la question b
« Si ABC et EFG sont des triangles… » (et non pas ABC et EDF).
a. Vrai. La hauteur issue de A et la médiatrice de [BC] sont orthogonales à [BC].
b. Vrai. ABC et EFG ont leurs angles de même mesure deux à deux.

2 1. BC2 = 42 + 32 = 25 donc BC = √25 = 5

̂ ) = AC =
2. sin(ABC
3
= 0,6
BC 5

AB 4
̂ )=
cos(ABC = = 0,8
BC 5

̂ = 180° − 30° − 75° = 75°


3 JIK

BA BC AC 5 6
4 = = donc BD = 7 × ≈ 5,8 et AC = × 6 = 7,2
BD BE ED 6 5

5a;b;d

6 Périmètre = 24 cm ; Aire = 36 cm2 (2 triangles de 10 cm2 et un carré de 16 cm2).

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 202


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7 a. Vrai.
b. Faux. Les côtés ne sont pas forcément parallèles et de même longueur.
c. Vrai. Les côtés opposés sont de même longueur car c’est un parallélogramme et 4 angles
droits.

8 1. O est le centre du carré donc l’intersection des diagonales et [OA] est le rayon du cercle.
OA = OB = OC = OD.
2. OAM est isocèle en O.

9 a. Faux. Il aurait fallu que la rotation soit de 120°.


b. Faux. La rotation ne change pas la nature du triangle.
̂ = 60°, CB = CA et A est à droite de [CB].
c. Vrai car BCA

10

11 a ; d

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 203


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C Activités
Activité 1 Opérations géométriques de Descartes
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
1. Par le théorème de Thalès.
2. a. On prend pour unité AB = 1
BD BE BE
et = donc BD = BC
BA BC
et BD × BC = BE.
BD BE
b. De même AB = 1 et BA = BC
BE
donc BD = BC.

3. a. AB = 1 unité ; AC = A unités ;
AD = 3 unités donc AE = 6 unités
b. AB = 1 unité ; AC = 3 unités ;
2
AE = 2 unités donc AD = unités.
3

Activité 2 Le théorème de Vincenzo Viviani


Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.

1. (Dessin à faire sur une feuille).


On peut conjecturer que la somme MH + MK + MI
fait environ 9,96 cm, quelle que soit la position du
point M.
2.a. On observe que la variable S est une constante
égale à 9,96.
b. Oui ces observations confirment la conjecture.
c. On peut dire que pour un triangle équilatéral
donné, la somme S est constante.
𝑎×ℎ
3. a. 𝐴ABC = 2

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 204


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(MH + MI + MK) × 𝑎
b. 𝐴ABC = 2

c. On obtient que ℎ = MH + MI + MK, donc la somme des projetés orthogonaux de M est


bien une constante, qui vaut la hauteur du triangle équilatéral.

Activité 3 Le « quarré » géométrique


Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
1. Les droites (DA) et (HG) sont parallèles par construction. La droite (AH) coupe (DA) en A
̂ et AHG
et (HG) en H donc les angles alternes-internes DAH ̂ sont de même mesure.
AG DE
̂) =
2. a. tan(AHG ̂) =
= tan(DAE .
HG DA
Or, ABCD est un carré donc DA = DC.
DC
On en conclut que HG = AG × .
DE

DC
b. Si le quotient se lit sur l’appareil et qu’on peut mesurer AG, alors on peut calculer HG
DE
grâce à l’égalité donnée, il n’y a plus d’inconnues.

Activité 4 Un raid nature


Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
1. La distance QP est une constante, donc il faut que DP + QA
soit minimale.
2. Voir figure.
3. QA = QA’ car A’ est le symétrique de A par rapport à ()
donc () est la médiatrice de [AA’].
4. PQA’B est un parallélogramme donc QA’ = PB et on sait
que QA = QA’, donc PB = QA.
5. On a dit qu’il faut que DP + QA soit minimale, donc il faut
que les points D, P et B soient alignés.
Pour cela, on pose un point R sur () et T tel que RT = 200 unités. On trace le
parallélogramme RTA’B comme précédemment. On trace la droite (DB) et P est alors
l’intersection entre (DB) et (). On place Q tel que PQ = 200 unités.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 205


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D Exercices
Pour démarrer
1 a. 26
b. 17

2 a. 23
b. 144

3 a. 1,5
12
b.
35

c. 3,5

4 a. 10
21
b. 25 = 0,84
9
c. 5 = 1,8

6
5 a. 5 = 1,2
5
b. 11
5
c. 11

6 0 ; 1 ; 4 ; 9 ; 16 ; 25 ; 36 ; 49 ; 64 ; 81 ; 100 ; 121.

7 9 ; 12 ; 15 ; 18 ; 21 ; 24 ; 27 ; 30.

8 a. 𝐴 = (𝑥 + 3)2
b. 𝐵 = 15𝑥(1 − 𝑥)

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 206


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9 a. 𝐴 = 𝑥 3 + 9𝑥 2 + 11𝑥 − 21
b. 𝐵 = −3𝑥 2 + 24𝑥 − 45

10 {0}

11 a. {−1}
1
b. {2 ; 4}

−1
12 a. ] 4 ; +∞[

b. [−1 ; +∞[

̂ + BAC
13 La somme des angles d’un triangle est égale à 180° donc ABC ̂ + ACB
̂ = 180° d’où
̂ = 180° − ABC
ACB ̂ − BAC ̂ = 180° − 42° − 39° = 99°.

14 Deux triangles qui ont leurs côtés deux à deux égaux sont semblables car les triangles sont
alors égaux, le rapport d’agrandissement est de 1.

15 Pour toute mesure 𝛼 d’un angle aigu, sin2 (𝛼) + cos2 (𝛼) = 1 donc
sin2 (53°) + cos2 (53°) = 1.

16 Il n’existe pas de triangle dont les côtés mesurent 4 cm, 7 cm et 12 cm car l’inégalité
triangulaire n’est pas respectée puisque 4 cm + 7 cm < 12 cm.

17 On a AB2 = 412 = 1 681 et CA2 + BC2 = 402 + 92 = 1 681.


Donc on a AB2 = CA2 + BC² et on en déduit d’après la réciproque du théorème de Pythagore
que ABC est rectangle en A.

18 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Le triangle ABC est rectangle en A, donc d’après le théorème de Pythagore :
BC² = AB² + AC².
Comme AB = 48 et AC = 55, on obtient BC² = 48² + 55² soit BC² = 5329 et BC = 5329 soit
BC = 73.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 207


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19 1. On a BC2 = 372 = 1 369 et AC2 + AB2 = 352 + 122 = 1 369 .


Donc AC2 + AB2 = BC² et on déduit que le triangle ABC est rectangle en A d’après la
réciproque du théorème de Pythagore.
𝐴𝐶 35 𝐴𝐵 12
̂) = =
2. Dans le triangle ABC rectangle en A : sin(B ̂) =
et cos(B =
𝐵𝐶 37 𝐵𝐶 37

20 1. Dans un triangle isocèle, la médiane issue du sommet principal est aussi la médiatrice du
côté opposé donc le pied de cette hauteur est le milieu du côté opposé au sommet principal.
Le point H est donc le milieu de [BC] puisque ABC est isocèle en A.
2. Comme H est le pied de la hauteur issue de A dans le triangle ABC, le triangle ABH est
rectangle en H.
3. Comme le triangle ABH est rectangle en H, on a d’après le théorème de Pythagore :
AB² = AH² + BH² donc AH² = AB² – BH²
H est le milieu de [BC] et BC = 8 donc BH = 4.
On obtient donc AH 2 = 52 − 42 = 25 − 16 = 9 d’où AH = 3.

21 1. AIC rectangle en I donc d’après le théorème de Pythagore : AB²= AI² + IB² donc
AI² = AB² – IB² = 2² – 1² = 4 – 1= 3 d’où AI = √3.
2. La hauteur issue de B dans le triangle ABC est aussi la médiatrice de [AC] car ABC est
équilatéral donc H est le milieu de [AC] et on a BH = AI = √3.

22 Les triangles rectangles isocèles ont leurs trois angles qui font respectivement 90°, 45° et
45°.

23 Dans le triangle ABC, I est le milieu de [AB] et J est le milieu de [AC] donc d’après la
propriété de la droite des milieux , BC= 2×IJ donc BC = 6 cm.

AB AC BC
24 1. AIJ et ABC sont semblables donc = = .
AI AJ IJ
Par la réciproque du théorème de Thalès, (IJ) est parallèle à (BC).
2. La médiatrice est perpendiculaire à [BC] et (IJ) et (BC) sont parallèles, donc la médiatrice
est perpendiculaire à (IJ).

25 Le périmètre est égal à 4×3 cm soit 12 cm.

26 36π cm2

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 208


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̂ mesure 90° car les diagonales d’un losange sont perpendiculaires.


27 L’angle AOB

28 1. Comme ABC est équilatéral, AC = BC = AB.


Comme ABD est équilatéral, AD = DB = AB.
On en déduit que AC = BC = AD = DB donc ACBD est un losange.
2. Les diagonales sont perpendiculaires car ACBD est un losange.
3. (AB) et (CD) sont perpendiculaires et (AB) et (DE) sont parallèles, donc (CD) est
perpendiculaire à (DE) donc CDE est rectangle en D.

29 1. Oui, cette proposition est vrai car [AC] et [BD] sont alors les diagonales d’un losange
donc (AC) et (BD) sont perpendiculaires.
2. « Si (AC) et (BD) sont perpendiculaires alors le quadrilatère ABCD est un losange ». C’est
faux, ABCD peut-être un « cerf-volant ».

30 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. ABCD est un carré donc AB = AD, donc A appartient à la médiatrice de [BD].
CB = CD donc C appartient à la médiatrice de [BD]. La droite (AC) est donc la médiatrice de
[BD].
2. BDE est un triangle équilatéral donc EB = ED, donc E appartient à la médiatrice de [BD]
qui est (AC). Les points A, C et E sont donc alignés.

31 1. C et D sont deux points du cercle C ’ et O appartient à (CD) donc [CD] est un diamètre
du cercle ce qui prouve que O est le milieu de [CD].
2. A et B sont deux points du cercle C et O appartient à (AB) donc [AB] est un diamètre du
cercle ce qui prouve que O est le milieu de [AB].
Les diagonales du quadrilatère ACBD sont perpendiculaire et se coupent en leur milieu donc
ACBD est un losange.

𝐃𝐂×𝐃𝐇 𝟒×𝟑
32 1. L’aire du triangle CDH est égale à = donc cette aire est égale à 6 cm2
𝟐 𝟐
(AB+DC)×DH (10+4)×3
2. L’aire du trapèze ABCD est égale à = = 21 donc cette aire est égale à
2 2
2
21 cm .

33 1. Le symétrique de A par rapport à O est C car O est le milieu de [AC].


2. Le symétrique de D par rapport à la droite (AC) est le point B car (AC) est la médiatrice de
[DB].

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 209


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34 A′ B′ = 2 × AB

35

1. L’image de A par la symétrie de centre O est B car O est le milieu de [AB]. De même
l’image de E par cette symétrie est le point F.
2. Les diagonales [AB] et [EF] du quadrilatère AEBF ont le même milieu donc AEBF est un
parallélogramme. On en déduit que [AE] et [BF] sont parallèle et de même longueur.

36 1. Comme A appartient à (AC), A est son propre symétrique par rapport à (AC).
2. A, I et B sont alignés et la symétrie axiale conserve l’alignement des points.

37 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Comme A’ est le symétrique de A par rapport à I, le point I est le milieu de [AA’]. Comme de
plus I est le milieu de [BC], on en déduit que les diagonales [AA’] et [BC] du quadrilatère
ABA’C ont le même milieu I, donc ABA’C est un parallélogramme. Comme le triangle ABC
est isocèle en A, AB=AC et le parallélogramme ABA’C a deux côtés consécutifs de même
longueur : ABA’C est donc un losange.

38 1. A′ B′ = 5 × AB
2. On a A′ B′ = 5 × AB, A′ C′ = 5 × AC, C′B′ = 5 × CB et ABC est équilatéral, donc
A’B’C’ est équilatéral.

39 8 cm3

40 63π cm3

41 1. 300π cm3
2. 12 cm × 10π cm

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 210


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1
42 3 × 2302 × 147 = 2 592 100 donc le volume de la pyramide est 2 592 100 m3.

43 1. 13 × 2,5 × 3 = 97,5 . Le volume de la remorque est 97,5 m3 .


2. La face du dessous n’est pas recouverte.
13 × 2,5 + 2 × 13 × 3 + 2 × 2,5 × 3 = 125,5
La surface de la bâche est donc 125,5 m2 .

4 6 243,584
44 Le volume du ballon est 3 𝜋 × 11,63 = π soit environ 6 538,3 cm3 .
3

2,52 × π × 15
45 = 31,25π cm3 ≈ 98,17cm3
3

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 211


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Pour s’entraîner
46 Le triangle OAH1 est rectangle en H1 donc d’après le théorème de Pythagore, on a :
OA2 = OH12 + AH12 donc OH12 = AH12 − OA2 .
Le triangle OAH2 est rectangle en H2 donc d’après le théorème de Pythagore, on a :
OA2 = OH22 + AH22 donc OH22 = AH22 − OA2 .
Comme AH1 = AH2 on déduit que OH12 = AH12 − OA2 = AH22 − OA2 = OH22 . Par
conséquent OH1 = OH2 .
Les triangles OAH1 et OAH2 sont donc égaux car ils ont trois côtés respectivement de même
̂1 = AOH
longueur, on a donc également AOH ̂2 .

47 1. Comme le triangle ABC est rectangle en A, on a avec le théorème de Pythagore :


BC2 = AC2 + AB² donc BC2 = 152 + 82 = 225 + 64 = 289.
Finalement BC = √289 = 17.
̂ = CAB
2. On a CHA ̂ = 90° ; ACĤ = ACB ̂ car H appartient à [CB]. Les deux triangles ABC
et ACH ont donc deux angles respectivement égaux, ces triangles sont donc semblables.
3. Comme ABC et ACH sont semblables avec CHÂ = CAB ̂ et ACH ̂ = ACB ̂ , on a :
AC CH HA 15 CH HA 8×15 120
= CA = soit 17 = = . On en déduit alors que AH = = ≈ 7,1 ;
AB BA 15 8 17 17
15×15 225 225 64
CH = = ≈ 13,2 ; BH = BC − CH = 17 − = ≈ 3,8.
17 17 17 17

48 1. Le triangle ABC est rectangle en A, donc en appliquant le théorème de Pythagore, on


obtient : BC2 = AB2 + AC2 = 92 + 122 = 225 donc BC = √225 = 15.
2. a. Les triangles ABC et CDE sont rectangle respectivement en A et en D donc
̂ = CDE
BAC ̂ = 90°. De plus D appartient au segment [AC] donc ACB̂ = ACD ̂ . Les triangles
ABC et CDE ont donc deux angles respectivement égaux, donc ces triangles sont semblables.
̂ = CDE
b. Comme ABC et CDE sont semblables avec BAC ̂ et ACB
̂ = ACD
̂, on en déduit
ED DC EC ED 4 EC 4×15 4×9
que AB = AC = BC donc = 12 = on obtient alors EC = = 5 et ED = = 3.
9 15 12 12

̂ = FAE
3. a. On a BAC ̂ = 90° ; d’après la question 2. a. ABC
̂ = DEC
̂ or DEC ̂ et AEF
̂ sont
̂ = AEF
deux angles opposés par le sommet donc DEC ̂ , on a alors ABC
̂ = AEF ̂ . Les triangles
ABC et AEF ont deux angles respectivement égaux donc ces triangles sont semblables.
b. Comme ABC et AEF sont semblables avec BAĈ = FAE ̂ et ABC
̂ = AEF ̂ on a :
AE AF EF 7 AF EF
= AC = BC or AE = AC − EC = 7 , AB = 9 , AC = 12 et BC = 15 donc 9 = = 15
AB 12
7×15 35 35 44
EF = = et FD = EF + ED = +3= .
9 3 3 3

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 212


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49 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
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1. Dans un triangle, la somme des angles est égale à 180 °. En utilisant cette propriété dans le
̂ + EAB
triangle AEB, on obtient AEB ̂ + EBA ̂ = 180 soit  +EAB ̂ + EBÂ = 180.
̂ + EBA
On déduit alors que EAB ̂ = 180 – .
̂ + CAB
En utilisant cette même propriété dans le triangle ACB, on obtient ACB ̂ + CBÂ = 180
̂ = 180 – (CAB
soit ACB ̂ + CBÂ ).
Comme BAÊ = EAC ̂ , on a CAB
̂ = 2 EAB
̂.
Comme CBE ̂ = EBÂ , on a CBA
̂ = 2 EBÂ et on en déduit :
̂ = 180 – (CAB
ACB ̂ + CBA ̂ ) = 180 – (2 EAB
̂+ 2 EBA ̂) = 180 – 2(EAB̂ + EBA ̂) et par conséquent
̂ = 180 – 2 (180 – ) = 180 – 360 +2. Finalement ACB
ACB ̂ = 2 – 180.
̂ = 90 ce qui équivaut à
2. Le triangle ABC est rectangle en C si et seulement si ACB
270
2 – 180 = 90 soit à 2 = 270 et à  = donc à  = 135.
2
Le triangle ABC est rectangle en C si et seulement si  = 135°.

̂ = BCA
50 1. On a BAI ̂ . De plus comme I appartient au segment [BC], ABC
̂ = ABI ̂.
Ainsi, les triangles ABI et ABC ont deux angles respectivement égaux, ces triangles sont donc
semblables.
2. Comme ABI et ABC sont semblables avec BAI ̂ = BCA ̂ et ABC
̂ = ABI ̂ , on a :
AB BC AC 3
= = , de plus BC = 3 et I est le milieu de [BC] donc BI = 2 .
BI AB IA

3 9 9 √9 3 3√2
On obtient donc AB2 = BI × BC = × 3 = d’où AB = √ = = =
2 2 2 √2 √2 √2 × √2
3√2
Finalement AB = .
2

51 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « ABC
rectangle en B » et non « rectangle en A ».
1. FEDB est un carré donc (FB) est parallèle à (ED).
A appartient à (FB), donc (AB) est parallèle à (ED).
2. Dans le triangle ABC, E appartient à [AC], D appartient à [BC] et (AB) est parallèle à (ED)
CD ED 7−𝑎 𝑎
donc d’après le théorème de Thalès = donc = donc (7 − 𝑎) × 3 = 7 × 𝑎 d’où
CB BA 7 3
3 𝑎
= 7−𝑎.
7

Remarque : on peut aussi obtenir l’égalité en utilisant après justification que les triangles
ABC et EDC sont semblables.
3. D’après la question 2, on a (7 − 𝑎) × 3 = 7 × 𝑎 soit 21 − 3𝑎 = 7𝑎 d’où 21 = 10𝑎 et par
conséquent 𝑎 = 2,1.
L’aire du carré BDEF est égale à a² donc à 2,1² soit à 4,41.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 213


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BH
̂ comme l’angle BAC
52 1. ABH est rectangle en H, donc AB = sin(BAH) ̂ est aigu, le projeté
̂ = BAC
orthogonal de B sur (AC) appartient à la demi-droite [AC) donc BAH ̂ = 30° . on a
BH 1 1 1
̂ = sin(30°) = d’où BH = AB soit BH = × 8 = 4.
alors AB = sin(BAH) 2 2 2

On a donc BH = 4 cm.
1 1
2. Soit AABC l’aire du triangle ABC. On a AABC = 2 × AC × BH = × 11 × 4 = 22.
2
L’aire du triangle ABC est 22 cm².
3. Soit H’ le projeté orthogonal de C sur la droite (AB). Le point H’ est le pied de la hauteur
CH′ × AB CH′ ×8
issue de C dans le triangle ABC donc AABC = = = 4CH′.
2 2
22
On sait que AABC = 22, donc 4CH ′ = 22 soit CH = ′
= 5,5.
4

Donc CH = 5,5 cm.

53 1. a. Comme la droite (HD) est perpendiculaire à la droite (AB), OHD est rectangle en H.
b. D’après le théorème de Pythagore, on a OD2 = OH 2 + DH² donc DH 2 = OD2 − OH².
1
Le rayon du cercle C est égal à AB soit à 5.
2
Comme [OD] est un rayon du cercle C, on a OD = 5 et on en déduit :
DH 2 = 52 − 32 = 25 − 9 = 16 donc DH = √16 = 4.
c. H est le pied de la hauteur issue de D dans le triangle AOD, donc l’aire A du triangle AOD
1 1
vérifie A = 2 AO × DH donc A = 2 × 5 × 4 = 10.

2. a. AH = AO + OH = 5 + 3 = 8.
b. Le triangle ADH est rectangle en H, donc en utilisant le théorème de Pythagore dans ce
triangle, on a 𝐴𝐷2 = 𝐴𝐻 2 + 𝐻𝐷² donc 𝐴𝐷2 = 82 + 42 = 80
AD = √80.
1
3. a. Soit K le projeté orthogonal de O sur AD. On a A = 2 AD × OK or par définition de la
1 2
distance d on a d = OK d’où A = 2 𝐴𝐷 × 𝑑 et on en déduit l’égalité : 𝑑 = AD × A

2 20 20 5 √5×√5
b. On a donc 𝑑 = × 10 = = 4√5 = = = √5.
√80 √80 √5 √5

54 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Comme les pylônes sont verticaux, le triangle ACD est rectangle en A. En utilisant le
théorème de Pythagore, on obtient CD² = AC² + AD². Comme AC= 76 et AD = 154, on
obtient CD² = 76² + 154² soit CD² = 29492 et CD = 29492 soit CD  172 arrondie à l’unité.
La longueur du hauban [CD] est donc égale à 172 mètres arrondie au mètre près.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 214


Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

2. Dans le triangle rectangle ACD, cos CDA ̂  154 soit cos CDA
̂ = AD donc cos CDA ̂  77 .
CD 172 86
̂  26° arrondi au degré près.
À l’aide de la calculatrice, on obtient CDA
3. Dans le triangle ACD :
F appartient au segment [AD] et E appartient au segment [AC].
AF = AD – FD = 154 – 12 = 142 et AE= AC – EC = 76 – 5 = 71.
AD 154 77 AC 76 AD AC
  et  . Donc  .
AF 142 71 AE 71 AF AE
D’après la contraposée du théorème de Thalès, on déduit que [CD] et [EF] ne sont pas
parallèles.

55 1. Comme la symétrie axiale conserve les longueurs et R appartient à d on en déduit que


AR = A’R donc RAA’ est isocèle en R.
2. Les chemins A-R-V et A’-R-V sont de même longueur. Les points A’ et V étant situés de
part et d’autre de la droite d la droite (A’V) coupe la droite d en un point T. Parmi les chemins
A’-R-V où R est un point de d c’est le chemin A’-T-V qui est le plus court. On a donc montré
que le point R sur d pour que le trajet A-R-V soit de longueur minimale est l’intersection des
droites (A’V) et d.

56 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.


1. On peut conjecturer que la position du point Q telle que le trajet soit minimal est telle que
les droites (BQ) et (MP) soient parallèles.
2. Voir figure.
3. La longueur d’un trajet B-Q-P-M est égal à BQ+QP+PM.
Comme la longueur QP est constante quelle que soit la
position du point Q sur la droite d, le trajet est minimal
lorsque la somme BQ+PM est minimale.
Comme M’est l’image de M par la translation qui transforme
P en Q, le quadrilatère MPQM’ est un parallélogramme donc PM = QM’.
On déduit alors que le trajet est minimal, lorsque la somme BQ+QM’ est minimale ce qui est
le cas lorsque Q appartient au segment [BM’].
On construit donc le point Q1 intersection des droites (BM’) et d puis P1 intersection de d’ et
de sa perpendiculaire passant par Q1. Le trajet B-Q1-P1-M est le trajet le plus court cherché.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 215


Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

57 1. Voir figure.
2. Comme la symétrie axiale conserve les longueurs
AP=A’P et BQ=B’Q.
La somme AP + PQ + QB est donc minimale lorsque la
somme A’P + PQ + QB’ est minimale.
Les points A’ et Q étant de part et d’autre de la droite d1
et les points P et B’ étant de part et d’autre de la droite
d2, la somme A’P + PQ + QB’ est minimale lorsque les points A’, P, Q et B’ sont alignés.
On construit donc le point P1 intersection de (A’B’) et d1 ainsi que le point Q1 intersection de
la droite (A’B’) avec la droite d2.
Les points souhaités sont P1, intersection de (A’B’) et d1, et Q1, intersection de (A’B’) et d2.
Les points P1 et Q1 sont les positions respectives des points P et Q rendant minimale la
somme AP + PQ + QB.

58 La distance d(M) est minimale quand OM + MH est minimale car OM est une constante.
Si on note P l’intersection de  avec sa perpendiculaire passant par O, OM + MH est
minimale si O, M et H sont alignés donc si H et P sont confondus.

59 1. ABED est un rectangle. En effet comme E est le symétrique de A par rapport à I, I est le
milieu de [AE] or I est aussi le milieu de [BC]. Les diagonales du quadrilatère ABED se
coupent donc en leur milieu, ABED est donc un parallélogramme.
Par ailleurs le triangle ABD est rectangle en A donc le parallélogramme ABED a un angle
droit, il s’agit donc d’un rectangle.
2. J est le symétrique de I par rapport à C donc C est le milieu de [IJ]. Comme C est
également le milieu de [AD], les diagonales du quadrilatère AIDJ se coupent en leur milieu,
donc AIDJ est un parallélogramme.
De plus [AE] et [BD] étant les diagonales du rectangle ABED, AE = BD donc :
1 1
𝐴𝐼 = 2 𝐴𝐸 = 𝐵𝐷 = 𝐼𝐷.
2

Le parallélogramme AIDJ a deux côtés consécutifs de même longueur donc il s’agit d’un
losange.

60 1. Comme E est le symétrique de A par rapport à I, I est le milieu de [AE]. Comme I est
également le milieu de [CD], les diagonales du quadrilatère ACED ont le même milieu,
ACED est donc un parallélogramme.
2. ABCD est un parallélogramme alors BC = AD.
De plus ACED est un parallélogramme alors CE = AD. On en déduit AD = BC.
Comme (BC) est parallèle à (AD) et (CE) est parallèle à (AD) alors (BC) et (CE) sont
parallèles et comme elles ont un point commun, ces droites sont confondues ce qui prouve
que les points B, C et E sont alignés.
C appartient à la droite (BE) et est équidistant de B et E donc C est le milieu de [BE].

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 216


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61 1. OAB est rectangle en A donc d’après le théorème de Pythagore, OE² = OA² + AE² et on
en déduit l’égalité : AE² = OE² – OA²
OBE est rectangle en B donc d’après le théorème de Pythagore, OE² = OB² + BE² et on en
déduit l’égalité : BE² = OE² – OB²
De plus, OA = OB, donc BE² = OE² – OB² = OE² – OA² = AE² donc BE = AE.
Le triangle ABE est donc isocèle en E.
On en conclut que ces deux triangles sont égaux et donc que AE = BE.
ABE est donc isocèle en E.
2. OA = OB donc O est équidistant des points A et B : O appartient donc à la médiatrice de
[AB].
AE = BE donc E est équidistant des points A et B : E appartient donc à la médiatrice de [AB].
La médiatrice de [AB] est donc la droite (OE).

62 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique


enseignant.
1. Avec le logiciel, on trouve AD = 3,75 pour que ADEF soit un carré.
2. Dans le triangle ABC, E appartient au segment [BC], D appartient au
segment [AC] et (DE) et (AB) sont parallèles par construction.
CA AB
D’après le théorème de Thales, CD = DE.

Or CD = CA – AD = 10 – AD et si ADEF est un carré, DE = AD d’où


10 6
l’égalité lorsque ADEF est un carré : 10 − AD = AD.
On en déduit alors l’égalité : 10 × AD = 6 × (10 − AD) soit 10 × AD = 60 − 6 × AD.
60
Donc 16 × AD = 60 d’où AD = 16 = 3,75.La conjecture faite à la question 1 est donc
démontrée.
63 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Le triangle ADI est rectangle en D car ABCD est un rectangle et I appartient au segment
[DC].
En utilisant le théorème de Pythagore dans le triangle ADI, on obtient AI² = AD² + DI² soit
AI² = 24² + 7² donc AI² = 625 et AI = 625 soit AI= 25.
2. ABCD est un rectangle donc les droites (AB) et (DC) sont parallèles. De plus, I appartient à
̂ et BAI
(DC), donc les angles alternes-internes DIA ̂ sont égaux. Enfin, J appartient à la demi-
̂ = BAJ
droite [AI) donc DIA ̂.
De plus les triangles ADI et ABJ sont rectangles respectivement en D et en A donc
̂ = ABJ
IDA ̂ = 90°.
Les triangles AID et ABJ ont deux angles respectivement égaux, ces triangles sont donc
semblables.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 217


Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

̂ = ABJ
3. Les triangles AID et ABJ sont semblables tels que IDA ̂ et DIA
̂ =BAJ
̂ par conséquent
AJ AB BJ
= = .
AI DI AD

On obtient donc :
AJ 35 AJ
= soit = 5 donc AJ = 5  25 donc AJ = 125.
25 7 25
35 BJ BJ
= soit 5 = donc BJ = 5  24 donc BJ = 120.
7 24 24
̂ et DOC
64 Les angles AOI ̂ sont opposés par le sommet donc égaux.

̂ et OAI
Les droites (BC) et (AB) étant parallèles, les angles alternes-internes DCO ̂ sont égaux.
OD OC DC OD OC 6
Les triangles AOI et DOC sont donc semblables et = OA = soit = OA = 3 = 2.
OI AI OI

Le rapport d’agrandissement de ODC par rapport à AIO est donc égale à 2.


Soit H le pied de la hauteur issue de O dans le triangle DOC et K le pied de la hauteur issue
de O dans le triangle AOI. On a OH = 2 × OK.
De plus OH + OK = 6.
𝑥 = 2𝑦 𝑥 = 2𝑦
Soit x = OH et y = OK. On résout le système { qui équivaut à { donc à
𝑥+𝑦 =6 2𝑦 + 𝑦 = 6
𝑥 = 2𝑦 𝑥 = 2𝑦 𝑥=4
{ soit à { et finalement à { .
3𝑦 = 6 𝑦=2 𝑦=2
1 1
L’aire du triangle ODC est donc égale à 2 × DC × OH = × 6 × 4 = 12.
2
1 1
L’aire du triangle ODC est donc égale à 2 × AI × OK = × 3 × 2 = 3.
2

L’aire de la partie orange est donc égale à 12 + 3 soit 15.


65 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il manque l’indication
de la longueur du segment [AC] qui mesure 312 mètres.
 Calcul de AE : AE = AB – EB = 288 – 48 = 240.
 Calcul de EF : dans le triangle ABC rectangle en B, les droites (EF) et (AC) sont
parallèles, les points B, E, A d’une part, B, F, C de l’autre sont alignés donc d’après le
BE EF 48 EF 48×312
théorème de Thalès : BA = AC soit 288 = 312, d’où EF = 288
= 52.
EF = 52 mètres.

 Calcul de l’arc 𝐺𝐻 : il s’agit d’un quart de cercle de rayon 48. La longueur de cet arc est
2𝜋 × 48
donc égale à 4 = 24𝜋.
 Calcul de HI : HI = CD – DI – HC = 288 – 29 – 48 = 211.
 Calcul de IJ : le triangle IDJ est rectangle en D.
D’après le théorème de Pythagore on a IJ²= DI² + DJ² soit IJ² = 29² + 72² soit IJ²= 6025.
On a alors 𝐼𝐽 = √6025.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 218


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 Calcul de JA : JA = AD – DJ = AD – 72.
Pour calculer AD c’est-à-dire BC, on doit déterminer la longueur BF. Dans le triangle
EBF rectangle B, on a d’après le théorème de Pythagore : EF² = EB² + BF² soit BF² = EF²
– EB² donc BF² = 52² – 48² = 400 et on en déduit BF= 20.
Par conséquent, AD = BC= 20 + 52 + 48 = 120 , puis JA = 120 – 72 = 48.
La longueur de la piste cyclable est donc, en mètres, égale à :

240 + 52 + 52 + 24𝜋 + 211+ √6025 + 48 soit environ 756 mètres arrondi à l’unité.

66 1. Comme O est le milieu des diagonales [AC] et [BD] du parallélogramme ABCD, le


point C est l’image de A par la symétrie de centre O et D est l’image de B par cette même
symétrie. Par conséquent l’image de la droite (AB) par la symétrie de centre O est la droite
(CD).
2. Comme la droite (OE) passe par O, l’image de (OE) par la symétrie de centre O est la
droite (OE) elle-même.
E est le point d’intersection de la droite (AB) avec la droite (OE), l’image de E par la symétrie
de centre O est donc l’intersection des droites images c’est-à-dire (CD) et (OE). L’image du
point E par la symétrie de centre O est donc le point F, ce qui prouve que O est le milieu de
[EF].

67 1. Comme ABCD est un parallélogramme de centre O, O est le milieu de [DB] donc


l’image de B par la symétrie s est le point D.
2. On sait que D est le symétrique de B par s, donc l’image de la droite (BH) par s est la
parallèle à (BH) passant par D, c’est-à-dire (DK) puisque (DK) et (BH) sont parallèle entre
elles puisqu’étant toutes les deux perpendiculaires à (AC).
3. L’image par s de la droite (AC) est la droite (AC) est la droite (AC) puisque cette droite
passe O centre de la symétrie s.
L’image du point H intersection de (BH) et de (AC) est donc le point d’intersection de (DK)
et (AC) c’est-à-dire le point K.
Finalement s(B) = D et s(H) = K or s conserve les longueurs donc BH = DK.

̂ = 60°. De plus pour aller de C à


68 1. Le triangle ACE est équilatéral donc AE = AC et 𝐶𝐴𝐸
E en tournant autour du point A on fait un angle de 60° dans le sens anti-horaire. Donc
l’image du point C par la rotation de centre A et d’angle 60° dans le sens anti-horaire est le
point E.
2. La rotation de centre A et d’angle 60° dans le sens anti-horaire transforme D en B et C en E
donc l’image de [DC] est [BE].
Or, la rotation conserve les longueurs. Donc BE = CD.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 219


Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

69 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Comme A’, B’ et C’ sont les images respectives de A, B et C par une homothétie de rapport k,
A’B’ = |k|AB, A’C’ = |k|AC et B’C’ = |k|BC. Les triangles A’B’C’ et ABC sont donc
semblables, donc leurs angles sont respectivement égaux. En particulier B̂ ̂ .
′ A′ C ′ = BAC

Comme ABC est un triangle rectangle en A, on en déduit que B̂ ′ A C = 90° . Donc A’B’C’
′ ′

est rectangle en A’.


70 1. Comme ABDH est un parallélogramme, l’image du point B par la translation t est le
point D.
2. Comme ACEH est un parallélogramme, l’image du point C par la translation qui
transforme A en H c’est-à-dire t, est le point E.
Ainsi t(B)=D et t(C)= E donc BCED est un parallélogramme.
(AH) est perpendiculaire à (BC), (BC) et (DE) sont parallèles ainsi que (AH) et (BD) donc
(BD) et (DE) sont perpendiculaires.
On en déduit que la parallélogramme BCDE est un rectangle.
71 La proposition est vraie. En effet I est le milieu de [BC] et de [AA’] donc les diagonales du
quadrilatère ABA’C se coupent en leur milieu : ABA’C est un parallélogramme. Si ABC est
rectangle en A le parallélogramme ABA’C a un angle droit donc il s’agit d’un rectangle.
La proposition réciproque est « Si ABA’C est un rectangle alors ABC est rectangle en A ».
̂ = 90° donc ABC est
Cette réciproque est vraie car si ABA’C est un rectangle alors BAC
rectangle en A.

72 1. Vrai.
Soit s(AC) la symétrie par rapport à la droite (AC)
et s(AB) la symétrie A appartient à la droite (AB).

On a s(AC) (K) = S et comme A appartient à (AC),


s(AC) (A) = A. La symétrie axiale conservant les
longueurs on a alors AK = AS.
On a s(AB) (K) = T et comme A appartient à (AB), s(AB) (A) = A.

La symétrie axiale conservant les longueurs, on a alors AK = AT.


On en déduit que AS = AT.
̂ =̂
2. Vrai. Comme s(AC) (K) = S , on a SAC ̂ = BAT
CAK . Comme s(AB) (K) = T , on a KAB ̂

̂ = SAC
SAT ̂ +̂ ̂ + BAT
CAK + KAB ̂ = 2CAK̂ + 2KAB
̂ = 2(CAK
̂ + KAB
̂ ) = 2CAB
̂
̂ = 90°.
Comme ABC est rectangle en A, CAB
̂ = 2 × 90° = 180°, ce qui prouve que S, A et T sont alignés.
On en déduit que SAT

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 220


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73 1. BE = AB car E est le symétrique de A par rapport à B.


AB = BD car D est le symétrique de A par rapport à (BC) et B appartient à (BC). On en
déduit que BE = BD donc le triangle BED est isocèle en B.
̂ = BED
On a alors BDE ̂ = a.

̂ = 180° − BDE
EBD ̂ − BED
̂ = 180° − 2a
̂ + EBD
Comme ABD ̂ = 180° − EBD
̂ = 180° on a ABD ̂ = 180° − (180° − 2a) = 2 a.

2. ABD est un triangle isocèle en B car AB = BD.


Comme D est le symétrique de A par rapport à (BC), la droite (BC) est perpendiculaire à
(AD) donc (CB) est la hauteur issue de B dans le triangle ABD donc également la bissectrice
̂
̂ . Donc ABC
de l’angle ABD ̂ = ABD = a.
2

̂ = 180° − 2 × ABC
ABC est isocèle en C donc ACB ̂ = 180° − 2 × 𝑎 = EBD
̂.
̂ et EBD
̂ = ABC
3. Les triangles ABC et BDE sont tels que 𝐵𝐷𝐸 ̂ donc ces triangles ont
̂ = ACB
AB AC 4 6
deux angles respectivement égaux : ils sont semblables et = soit DE = . On en
DE EB 4
4×4 8
déduit que ED = = 3.
6

74 1. Le triangle HEF est rectangle en E donc d’après le théorème de Pythagore, on a :


HF²= HE² + EF² donc HF² = 6² + 6² = 72 donc HF = √72 = 6√2.
HF = 6√2 cm.
2. AFH est équilatéral car HF = FA = AH puisque les segments [HF], [FA] et [AH] sont les
diagonales de carrés de côté 6 cm.
3. a. I est le milieu de [HF] donc (AI) est la médiane issue de A du triangle AHF. AHF étant
équilatéral, (AI) est aussi la hauteur issue de A de ce triangle donc (AI) est perpendiculaire à
(HF) donc AIF est rectangle en I.
b. On applique le théorème de Pythagore dans le triangle AIF rectangle en I :
1
AF² = AI² + IF² or AF² = 72 et IF = 2 𝐻𝐹 = 3√2 donc 72 = AI² + 18.
On obtient alors 𝐴𝐼 2 = 72 − 18 = 54 donc AI = √54 = √9 × 6 = 3√6.
AI = 3√6 cm.
1 1
4. Soit A l’aire du triangle AFH. A = 2 × 𝐴𝐼 × 𝐻𝐹 = 2 × 3√6 × 6√2 donc
A = 18√3 . L’aire du triangle AFH est 18√3 cm².
75 1. Dans le triangle BKC, J appartient au segment [BC], H appartient au segment [BK] et
BK KC 5 2,9
(JH) est parallèle à (CK) donc d’après le théorème de Thalès : BH = soit BH = d’où
HJ 1,8
5×1,8 9 90
𝐵𝐻 = = 2,9 = 29 .
2,9
90 55
On a alors KH = BK − BH = 5 − 29 = 29 ≈ 1,9 m à 0,1 mètre près.

2. La surface habitable est un rectangle de longueur 8 mètres et de largeur le double de la


55 880
longueur KH dont son aire est égale à 8 × 2 × 29 = soit environ 30,3 m² à 0,1 m² près.
29

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 221


Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

76 1. Soit I le projeté orthogonal de A sur (DC) et J le projeté orthogonal de B sur (DC).


ABJI est un rectangle donc IJ = AB= 40 cm.
Puisque ABCD est un trapèze isocèle, on a DI = JC.
Donc DC = DI + IJ + JC = 2DI + 40 et on déduit l’égalité : 2DI + 40 = 100 donc 2DI = 60 et
finalement DI = 30.
Le triangle DIA est rectangle en A donc d’après le théorème de Pythagore, AD² = DI² + IA²
soit 50² = 30² + h² d’où h² = 50² – 30² = 1600 et on obtient h = 40 cm.
𝐷𝐶+𝐴𝐵 100+40
2. L’ai du trapèze ABCD est égale à : × ℎ soit × 40 = 2 800 (en m²).
2 2

Le volume du prisme est égal à 2800 × 120 = 336 000


Le volume d’eau maximal que peut contenir l’abreuvoir est donc 336 000 cm3 soit 336 litres.
77 Le rayon du cylindre est 3,5 m et sa hauteur est 2,5 m donc son volume V1 est :
𝑉1 = π × 3,52 × 2,5 = 30,625π.
Le rayon de la base du cône est 3,5 et la hauteur du cône est égale à 2 donc la volume V2 du
1 49
cône est : 𝑉2 = 3 × π × 3,52 × 2 = 6 𝜋.
49
𝑉1 + 𝑉2 = 30,625π + 𝜋 ≈ 121,9
6
Le volume V de la yourte est environ 121,9 m3 à 0,1 m3 près.

78 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1
Le cône constituant une partie du jouet a pour volume V1 =  3²7 cm3 soit
3
V1 = 21 cm3.
1 4
La demi-sphère constituant l’autre partie du jouet a pour volume V2 =  33 cm3 soit
2 3
V2 = 18 cm3.
Or 21 + 18 = 39 donc le volume du jouet est 39 cm3.

79 1. Dans une symétrie axiale (respectivement une symétrie centrale), le symétrique d’un
segment est un segment de même longueur.
2. a. On va utiliser la propriété énoncée ci-dessus
b. A’ est le symétrique de A par rapport à I et C est le symétrique de B par rapport à I.
Comme la symétrie centrale conserve les longueurs, on a AB = A’C
E est le symétrique de A’ par rapport à la droite (BC) et comme C appartient à (BC), il est son
propre symétrique par rapport à (BC).
Comme la symétrie axiale conserve les longueurs, on a A’C = EC.
Finalement AB= EC.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 222


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80 1. Soit V1 le volume du cône. Le cône a pour hauteur AS = 1,6 m et le rayon de la base est
1
AB = 1,3 donc 𝑉1 = 3 𝜋 × 1,3² × 1,6.
Soit V2 le volume du cylindre. Le cylindre a pour hauteur AD = 2,4 m et pour rayon AB = 1,3
donc 𝑉2 = 𝜋 × 1,3² × 2,4.
Le volume du silo est donc 𝑉 = 𝑉1 + 𝑉2 ≈ 15,57 m3 à 0,01 m3 près.
2. Dans le triangle NHC : H, M et N d’une part et H, B et C d’autre part sont alignés dans le
même ordre.
HN 2
HN = SN – SH = 3,3 – 1,3 = 2 et HM = SM – SH = 2,1 – 1,3 = 0,8 donc HM = = 2,5
0,8

HC 4
HC = SD = SA + AD = 1,6 + 2,4 = 4 et HB = SA = 1,6 donc = = 2,5.
HB 1,6
On déduit d’après la réciproque du théorème de Thalès, que (MB) et (NC) sont parallèles.
81 1. Comme D est le symétrique de A par rapport à O, O est le milieu de [AD]. Les
diagonales [AD] et [BC] du quadrilatère ABDC se coupent en leur milieu donc ABDC est un
parallélogramme. Comme de plus ABC est rectangle en A, le parallélogramme ABDC a un
angle droit donc il s’agit d’un rectangle.
2. Comme E est le symétrique de O par rapport à I, I est le milieu de [OE]. Les diagonales
[AC] et [OE] de AOCE se coupent en leur milieu donc AOCE est un parallélogramme.
Dans le triangle ABC, I est le milieu de [AC] et O est le milieu de [BC] donc A, I et C d’une
part et B, O et C d’autre part sont alignés dans le même ordre.
IC 1 OC
De plus AC = 2 = BC donc d’après la réciproque du théorème de Thales, (IO) est parallèle à
(AB).
Comme (AB) est perpendiculaire à (AC), on en déduit que (IO) est perpendiculaire à (AC).
Les diagonales du parallélogramme AOCE sont perpendiculaires donc AOCE est un losange.
3. Soit s la symétrie d’axe (OI). Comme E appartient à (OI), s(E) = E.
(OI) est la perpendiculaire à (AC) passant par le milieu I de [AC] donc (OI) est la médiatrice
de [AC] donc s(A) = C.
Comme ABDC est un rectangle de centre O, OB = OD.
La droite (OI) est perpendiculaire à (BD) et passe par le point O équidistant de B et D donc
(OI) est la médiatrice de [BD] donc s(B) = D.
On en conclut que (OI) est un axe de symétrie de ABDCE.
Calcul de AC : Le triangle ABC est rectangle en A donc d’après le théorème de Pythagore,
BC² = AB² + AC² donc AC² = BC² – AB² = 8² – 4² = 48 et on a AC = √48 .
L’aire du rectangle ABDC est égale à AC × AB = 4√48.
1
D’autre part EI = IO car I est le milieu de [EO], et 𝐼𝑂 = 𝐴𝐵 = 2 d’où IE = 2.
2
1
L’aire du triangle ACE est donc égale à 2 AC × EI = √48

L’aire du polygone ABDCE est donc égale à 5√48 soit environ 34,6 à 0,1 près.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 223


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82 1. Le triangle ABJ est rectangle en B donc d’après le théorème de Pythagore,


AJ² = AB² + BJ² donc BJ² = AJ² – AB² = 7² – 5² = 24.
Le triangle ABC est rectangle en B donc d’après le théorème de Pythagore,
AC² = AB² + BC² donc BC² = AC² – AB² = 11² – 5² = 96.

On remarque que √96 = √4 × 24 = √4 × √24 = 2√24 donc BC= 2BJ ce qui prouve que le
point J est le milieu de [BC].
2. Dans le triangle ABC, I est le milieu de [AC] et J est le milieu de [BC] donc C, I et A d’une
part et C, J et B d’autre part sont alignés dans le même ordre.
IC 1 CJ
De plus AC = 2 = CB donc d’après la réciproque du théorème de Thales, les droites (IJ) et
(AB) sont parallèles.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 224


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Faire le point
Les corrigés détaillés de ces exercices sont disponibles dans le manuel numérique enseignant,
le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
̂ et BCM
1 a. (DC) et (AB) sont parallèles donc les angles alternes-internes DCM ̂ sont égaux.

̂ = 90° – DCM
b. Soit I l’intersection de (BP) et (CM). BCM ̂ = 90° – = MBI
̂ .car MBI est
̂ = ABP
rectangle en I. Finalement BCM ̂ .

̂ = MBC
2 a. PAB ̂ et ABP ̂ = BCM
̂ : les triangles MCB et ABP ont deux angles respectivement
égaux donc ils sont semblables. Le rapport de proportionnalité est 1 car AB = BC.
̂ = MBC
b. Les triangles MCB et ABP sont égaux avec PAB ̂ et ABP
̂ = BCM
̂ donc MB = AP.

3 a. L’image de [AB] par R est [DA], l’image de M par R est P.


̂ = 90° car R
b. P est l’image de M par R donc OM = OP car R conserve les longueurs et MOP
est une rotation d’angle 90°. POM est rectangle isocèle en O.

4 Faux
5 Faux
6 Vrai
7 Vrai
8 Faux
9D
10 B-C
11 A
12 C
13 a. V = 560.

b. 8 149.
c. AG = 213.

4 000π
14 V = .
3

15 V = 60.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 225


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Parcours différenciés : revoir les points essentiels


Les corrigés détaillés de ces exercices sont disponibles dans le manuel numérique enseignant,
le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.

83 1. A = 30 cm²
2. BC = 13 cm
60
3. AH = cm.
13

84 1. AH = 15
2. L’aire de ABH est 60.
120
3. HK =
17

85 1. L’image de A par s est C donc l’image par s de la droite (AH) est la parallèle à (AH)
passant par C soit (CK). L’image par s de H est l’intersection de (OH) et (CK) donc le point
K.
2. O est le milieu des deux diagonales de AKCH, donc AKCH est un parallélogramme.

86 H est le milieu de [AA’] et de [BB’], donc ABA’B’ est un parallélogramme. De plus, les
diagonales (BB) et (AA’) sont perpendiculaires car H est le projeté orthogonal de B sur (AA’)
donc ABA’B’ est un losange.

1 1
87 1. OI = BD et OJ = BD, donc OI = OJ.
4 4

2. O est le milieu de [IJ] et de [AC] donc AICJ est un parallélogramme, donc AJ = IC.

88 1. L’image de I est B, l’image de J est C.


2. O est le milieu de [IJ] donc son image est le milieu de [BC], soit H.
3. a. H est l’image de O par l’homothétie de centre A et de rapport 2, donc O est le milieu de
[AH]. O est aussi le milieu de [IJ], donc AIHJ est un parallélogramme.
̂ = 90° donc AIHJ est un carré.
b. AIHJ est un parallélogramme, AI = AJ et IAJ

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 226


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Parcours différenciés : approfondissement


Parcours 3
1. Les médiatrices sont concourantes.
2. La médiatrice de [BC] et de [AB] sont sécantes en O. En effet, si elles n’étaient pas
sécantes elles seraient parallèles et cela voudrait dire que (AB) et (BJ) sont parallèles, ce qui
est absurde car ABC est un triangle non plat.
OBC et ABO sont isocèles en O car la médiatrice de [BC] et de [AB] passent par O.
Alors, CO = OB = OA.
On en déduit que AOC est isocèle en O et donc la médiatrice de [AC] passe par le point O et
donc les trois médiatrices sont concourantes.

89 1. [AA’] et [BC] sont sécantes en leur milieu donc ABA’C est un parallélogramme.
̂ = 90°. ABA’C est donc un rectangle.
̂ = 90° et (BA’) est parallèle à (AC) donc ABA′
BAC
2. Le centre du cercle circonscrit à ABC est I car BI = AI = IC (ABA’C est un rectangle).

90 1. IM = IB car M est un point du cercle, donc IMB est isocèle en I.


Alors, la médiatrice de [MB] passe par I.
BM BA
2. Soit J le milieu de [MB]. = 2 et = 2.
BJ BI
D’après la réciproque du théorème de Thalès, (AM) et (IJ) sont parallèles.
Or, (MB) est perpendiculaire à (JI) donc AMB est rectangle en M.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 227


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Parcours 4
1. Les hauteurs du triangle sont concourantes.
2. a. ADBC et ABCF sont des parallélogrammes donc DA = BC = AF.
Alors, A est le milieu de [DF].
De plus, ℎ1 est perpendiculaire à (DF) car (BC) et (DF) sont parallèles et ℎ1 est
perpendiculaire à (BC).
Donc ℎ1 est la médiatrice de [DF].
b. De la même manière, ℎ2 est la médiatrice de [DE] et ℎ3 est la médiatrice de [EF].
Les médiatrices sont concourantes donc ℎ1 , ℎ2 et ℎ3 sont concourantes.

91 1. K est le milieu de [HC] et I est le milieu de [HA’] donc, par le théorème des milieux,
(IK) est parallèles à (A’C).
(AA’) est perpendiculaire à (BC) car ABC est isocèle et A’ est le milieu de [BC].
On en conclut que (KI) est perpendiculaire à (AA’).
2. I est l’orthocentre de AKA’ car c’est l’intersection de la hauteur issue de K et de la hauteur
issue de A’.
3. Dans BHC, grâce au théorème des milieux, on sait que (BH) et (A’K) sont parallèles.
De plus (AI) est perpendiculaire à (A’K) car (AI) est la hauteur issue de A dans AKA’.
Donc (AI) et (BH) sont perpendiculaires.

92 Soit R le point d’intersection de (B’E) et (AA’) et T le point d’intersection de (EA’) et


(B’B).
Dans ERT, (AA’) est la hauteur issue de A, (BB’) est la hauteur issue de T et (EE’) est la
hauteur issue de E, donc les trois droites sont concourantes.

Parcours 5
1. AH = 𝑏 × sin(Ĉ)
CB × AH 1
2. 𝑆 = = × 𝑎 × 𝑏 × sin(Ĉ)
2 2

93 1. 𝑆 = 24
1 2×𝑆
2. 𝑆 = ̂ ) donc 𝑐 =
× 𝑐 × 𝑏 × sin(A ≈ 6,2
2 ̂)
𝑏 × sin(A

𝑆 15
94 𝑆′ = 8

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 228


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1 1 1
95 𝑆 = 2
× 𝑎 × 𝑏 × sin(Ĉ) = 2
× 𝑎 × 𝑐 × sin(𝐵̂) = 2
̂)
× 𝑐 × 𝑏 × sin(A

𝑎𝑏𝑐 𝑎 𝑏 𝑐
Donc = ̂)
= ̂)
= ̂)
.
2𝑆 sin(A sin(B sin(C

sin(36)
96 AB = 250 × sin(53)
sin(53) sin(36)
MA = AB × = 250 ×
sin(76) sin(76)
sin(90) sin(36)
AN = AB × = 250 × .
sin(39) sin(53)×sin(39)
MN = AN − AM.

Parcours 6
1. La somme des angles d’un triangle fait 180°, donc il ne peut pas y avoir deux angles de
plus de 90°.
2. 𝑐 2 = AH 2 + HB2 et HB = (𝑎 − CH) d’où le résultat en développant.
3. AH 2 = 𝑏 2 − CH 2
4. CH = 𝑏 × cos(Ĉ)

5. 𝑐 2 = AH 2 + 𝑎2 − 2𝑎CH + CH 2 = 𝑏 2 + 𝑎2 − 2𝑎𝑏cos(Ĉ)

97 𝑐 = 13

98 𝑐 ≈ 88,9° ; 𝑎 ≈ 45,6° ; 𝑏 ≈ 45,6°

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 229


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Pour aller plus loin


99 1. AHR est rectangle en H, on utilise la trigonométrie.
̂)
2. a. RH = BH × tan(HBR
b. RH = (AH − 1) × tan(35°) , il suffit de remplacer AH par la valeur de la question1.
3. Oui, le commandant doit changer de cap car RH ≈ 1,4 mille.

100 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
1. a. Dans AEB rectangle en E, AB2 = (𝑅 + 𝑟)2 = AE 2 + AB2 = (𝑅 − 𝑟)2 + 𝑎2 .

b. 𝑎 = 2 × √𝑅 × 𝑟
c. À réaliser sur une feuille.

2. a. CI = 2 × √𝑅𝑐 ; DI = 2 × √𝑟𝑐 ; 𝑅 = 9 cm ; 𝑟 = 4cm


Donc, CI2 = 36𝑐 ; DI2 = 16𝑐
CI
b. DI = 1,5
2
CI + DI = 2 × √𝑅 𝑟 = CI + CI donc CI = 7,2 cm.
3

c. 𝑐 = 1,44 cm
d. Voir figure.
101 1. Grâce au théorème de Thalès, MH = 60 m.
Le véhicule ne respecte pas les consignes de sécurité.
MH OH
2. = donc on cherche LK tel que MH < 45. LK < 0,75 cm pour pouvoir respecter les
MK LK
consignes de sécurité.

√3
102 1. a. CI = 𝑎 × cos(30°) = 𝑎 × 2

b. 2 × CI = OC donc I est le milieu de [CO] et est le projeté orthogonal de A sur [CO] donc
ACO est isocèle en A.
̂ font même
̂ et AOM′
2. a. (BA) et (OM’) sont parallèles donc les angles alternes internes CAO
̂ = 180° − 30° − 30° = 120°. La rotation est de 120°.
mesure. AOM′
2π × √3𝑎 2
b. L’arc de cercle parcouru est de longueur = × π𝑎 et BA = 5𝑎 donc l’aire
3 √3
10
balayée est de × π𝑎2 .
√3

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 230


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103 1. Pente ≈ 21,4 %


2. a. Les triangles AB’B et CBT où T est la projection de C sur (BB’) sont semblables donc
520 × 480
BT = et C′ C = B′ B − BT ≈ 419 m.
2480

b. L’altitude est d’environ 2100 + 419 = 2 519 m.


3. a. EC = 1 000 m.
b. En 200 s, c’est-à-dire 3 minutes et 20 secondes.

104 1. 𝑉 = √240 × 120 × 96 cm3 ≈ 1 663 cm3


2. En posant 3 inconnues, on trouve 𝑎 ≈ 13,9 cm ; 𝑏 ≈ 17,3 cm ; 𝑐 ≈ 6,9 cm.

105 En prolongeant (DA) et (BC), on travaille sur des triangles et des rectangles que l’on
complète en faisant apparaître un triangle isocèle CRB où R est le projeté orthogonal de C sur
(AB) et NTB isocèle en T où T est le projeté de N sur (AB).
On obtient : AB = 7 ; AD = 6 ; DC = 1.

106 Tracer (OP) et placer O’ le symétrique de O par rapport à P.


Tracer la parallèle à d passant par O’ et la parallèle à d’ passant par O’.
On voit apparaître un parallélogramme OAO’B, donc on a bien AP = PB.

107 Tracer le triangle ABC.


Tracer un carré E’F’G’H’ où [E’F’] se situe sur (AB), et H’ sur (AC).
Tracer la droite (AG’).
G est l’intersection de (AG’) et de (CB).
Tracer la parallèle à (AB) passant par G, elle coupe (AC) en H.
Tracer le projeté orthogonal de H sur (AB), on le nommera E et le projeté orthogonal de G sur
(AB), on le nommera F. EFGH est un carré qui correspond.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 231


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Travaux pratiques
TP1 Optimisation de l’aire d’un triangle
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Construction et conjecture à l’aide d’un logiciel de
géométrie
1. Voir figure.
2. AB = BE
3. AEF semble être isocèle rectangle en A.

B. Démonstration de la conjecture
̂ = 45° ; CE
1. a. CAB ̂ 1 A = 45°

b. ACE1 est isocèle rectangle en C.


̂ = 45° ; F̂
2. a. CAD 1 CD = 45° (un angle plat fait 180°), donc le triangle est bien isocèle
rectangle.
b. BCE1 et DCF1 sont semblables. On a bien F1 C = E1 C.
c. DC = AB et par égalité des rapports on a donc AB = BE1 .
3. a. Les triangles sont égaux car symétriques par rapport à C.
b. Aire(AEF) = Aire(AE1 F1 ) + Aire(E1 F ′ E)
c. Aire(E1 F ′ E) ≥ 0 donc Aire(AEF) ≥ Aire(AE1 F1 ) .
4. L’aire de AEF est toujours plus grande que l’aire de AE1 F1 sauf si Aire(E1 F ′ E) = 0.
Pour obtenir une aire minimale, il faut donc E1 = E et donc AEF sera bien isocèle rectangle
en A.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 232


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TP2 La quadrature du rectangle selon Euclide


Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Construction
1. 2. 3. 4. Voir figure.
5. Les aires sont égales.

B. Démonstration
1. CD + DF = 𝑎 + 𝑏 = CF = 2 × GC
𝑎−𝑏
2. GD = 2

3. a. GDH est un triangle rectangle en D.


b. HD2 = 𝑎 × 𝑏
4. Donc l’aire du carré HDIJ vaut l’aire du rectangle BCDE.

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 233


Indice 2de – Livre du professeur – Édition mise à jour et complétée – © Bordas juillet 2021

Chapitre 5 • Problèmes de géométrie 234

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