05 Indice2de LDP Prof
05 Indice2de LDP Prof
05 Indice2de LDP Prof
3 Exercices, TP et algorithmes
Les exercices sont regroupés par thèmes et permettent de traiter toutes les capacités du
programme. Une rubrique est notamment réservée aux calculs dans les solides afin
d’entretenir les compétences des élèves en géométrie dans l’espace.
Enfin, on étudie un problème d’optimisation dans le TP1 et un problème de construction dans
le TP2.
̂ ) = AC =
2. sin(ABC
3
= 0,6
BC 5
AB 4
̂ )=
cos(ABC = = 0,8
BC 5
BA BC AC 5 6
4 = = donc BD = 7 × ≈ 5,8 et AC = × 6 = 7,2
BD BE ED 6 5
5a;b;d
7 a. Vrai.
b. Faux. Les côtés ne sont pas forcément parallèles et de même longueur.
c. Vrai. Les côtés opposés sont de même longueur car c’est un parallélogramme et 4 angles
droits.
8 1. O est le centre du carré donc l’intersection des diagonales et [OA] est le rayon du cercle.
OA = OB = OC = OD.
2. OAM est isocèle en O.
10
11 a ; d
C Activités
Activité 1 Opérations géométriques de Descartes
Le fichier texte de cette activité est disponible dans le manuel numérique enseignant ou sur le
site enseignant indice.editions-bordas.fr afin de la compléter et/ou la modifier à votre guise.
1. Par le théorème de Thalès.
2. a. On prend pour unité AB = 1
BD BE BE
et = donc BD = BC
BA BC
et BD × BC = BE.
BD BE
b. De même AB = 1 et BA = BC
BE
donc BD = BC.
3. a. AB = 1 unité ; AC = A unités ;
AD = 3 unités donc AE = 6 unités
b. AB = 1 unité ; AC = 3 unités ;
2
AE = 2 unités donc AD = unités.
3
(MH + MI + MK) × 𝑎
b. 𝐴ABC = 2
DC
b. Si le quotient se lit sur l’appareil et qu’on peut mesurer AG, alors on peut calculer HG
DE
grâce à l’égalité donnée, il n’y a plus d’inconnues.
D Exercices
Pour démarrer
1 a. 26
b. 17
2 a. 23
b. 144
3 a. 1,5
12
b.
35
c. 3,5
4 a. 10
21
b. 25 = 0,84
9
c. 5 = 1,8
6
5 a. 5 = 1,2
5
b. 11
5
c. 11
6 0 ; 1 ; 4 ; 9 ; 16 ; 25 ; 36 ; 49 ; 64 ; 81 ; 100 ; 121.
7 9 ; 12 ; 15 ; 18 ; 21 ; 24 ; 27 ; 30.
8 a. 𝐴 = (𝑥 + 3)2
b. 𝐵 = 15𝑥(1 − 𝑥)
9 a. 𝐴 = 𝑥 3 + 9𝑥 2 + 11𝑥 − 21
b. 𝐵 = −3𝑥 2 + 24𝑥 − 45
10 {0}
11 a. {−1}
1
b. {2 ; 4}
−1
12 a. ] 4 ; +∞[
b. [−1 ; +∞[
̂ + BAC
13 La somme des angles d’un triangle est égale à 180° donc ABC ̂ + ACB
̂ = 180° d’où
̂ = 180° − ABC
ACB ̂ − BAC ̂ = 180° − 42° − 39° = 99°.
14 Deux triangles qui ont leurs côtés deux à deux égaux sont semblables car les triangles sont
alors égaux, le rapport d’agrandissement est de 1.
15 Pour toute mesure 𝛼 d’un angle aigu, sin2 (𝛼) + cos2 (𝛼) = 1 donc
sin2 (53°) + cos2 (53°) = 1.
16 Il n’existe pas de triangle dont les côtés mesurent 4 cm, 7 cm et 12 cm car l’inégalité
triangulaire n’est pas respectée puisque 4 cm + 7 cm < 12 cm.
18 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Le triangle ABC est rectangle en A, donc d’après le théorème de Pythagore :
BC² = AB² + AC².
Comme AB = 48 et AC = 55, on obtient BC² = 48² + 55² soit BC² = 5329 et BC = 5329 soit
BC = 73.
20 1. Dans un triangle isocèle, la médiane issue du sommet principal est aussi la médiatrice du
côté opposé donc le pied de cette hauteur est le milieu du côté opposé au sommet principal.
Le point H est donc le milieu de [BC] puisque ABC est isocèle en A.
2. Comme H est le pied de la hauteur issue de A dans le triangle ABC, le triangle ABH est
rectangle en H.
3. Comme le triangle ABH est rectangle en H, on a d’après le théorème de Pythagore :
AB² = AH² + BH² donc AH² = AB² – BH²
H est le milieu de [BC] et BC = 8 donc BH = 4.
On obtient donc AH 2 = 52 − 42 = 25 − 16 = 9 d’où AH = 3.
21 1. AIC rectangle en I donc d’après le théorème de Pythagore : AB²= AI² + IB² donc
AI² = AB² – IB² = 2² – 1² = 4 – 1= 3 d’où AI = √3.
2. La hauteur issue de B dans le triangle ABC est aussi la médiatrice de [AC] car ABC est
équilatéral donc H est le milieu de [AC] et on a BH = AI = √3.
22 Les triangles rectangles isocèles ont leurs trois angles qui font respectivement 90°, 45° et
45°.
23 Dans le triangle ABC, I est le milieu de [AB] et J est le milieu de [AC] donc d’après la
propriété de la droite des milieux , BC= 2×IJ donc BC = 6 cm.
AB AC BC
24 1. AIJ et ABC sont semblables donc = = .
AI AJ IJ
Par la réciproque du théorème de Thalès, (IJ) est parallèle à (BC).
2. La médiatrice est perpendiculaire à [BC] et (IJ) et (BC) sont parallèles, donc la médiatrice
est perpendiculaire à (IJ).
26 36π cm2
29 1. Oui, cette proposition est vrai car [AC] et [BD] sont alors les diagonales d’un losange
donc (AC) et (BD) sont perpendiculaires.
2. « Si (AC) et (BD) sont perpendiculaires alors le quadrilatère ABCD est un losange ». C’est
faux, ABCD peut-être un « cerf-volant ».
30 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. ABCD est un carré donc AB = AD, donc A appartient à la médiatrice de [BD].
CB = CD donc C appartient à la médiatrice de [BD]. La droite (AC) est donc la médiatrice de
[BD].
2. BDE est un triangle équilatéral donc EB = ED, donc E appartient à la médiatrice de [BD]
qui est (AC). Les points A, C et E sont donc alignés.
31 1. C et D sont deux points du cercle C ’ et O appartient à (CD) donc [CD] est un diamètre
du cercle ce qui prouve que O est le milieu de [CD].
2. A et B sont deux points du cercle C et O appartient à (AB) donc [AB] est un diamètre du
cercle ce qui prouve que O est le milieu de [AB].
Les diagonales du quadrilatère ACBD sont perpendiculaire et se coupent en leur milieu donc
ACBD est un losange.
𝐃𝐂×𝐃𝐇 𝟒×𝟑
32 1. L’aire du triangle CDH est égale à = donc cette aire est égale à 6 cm2
𝟐 𝟐
(AB+DC)×DH (10+4)×3
2. L’aire du trapèze ABCD est égale à = = 21 donc cette aire est égale à
2 2
2
21 cm .
34 A′ B′ = 2 × AB
35
1. L’image de A par la symétrie de centre O est B car O est le milieu de [AB]. De même
l’image de E par cette symétrie est le point F.
2. Les diagonales [AB] et [EF] du quadrilatère AEBF ont le même milieu donc AEBF est un
parallélogramme. On en déduit que [AE] et [BF] sont parallèle et de même longueur.
36 1. Comme A appartient à (AC), A est son propre symétrique par rapport à (AC).
2. A, I et B sont alignés et la symétrie axiale conserve l’alignement des points.
37 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Comme A’ est le symétrique de A par rapport à I, le point I est le milieu de [AA’]. Comme de
plus I est le milieu de [BC], on en déduit que les diagonales [AA’] et [BC] du quadrilatère
ABA’C ont le même milieu I, donc ABA’C est un parallélogramme. Comme le triangle ABC
est isocèle en A, AB=AC et le parallélogramme ABA’C a deux côtés consécutifs de même
longueur : ABA’C est donc un losange.
38 1. A′ B′ = 5 × AB
2. On a A′ B′ = 5 × AB, A′ C′ = 5 × AC, C′B′ = 5 × CB et ABC est équilatéral, donc
A’B’C’ est équilatéral.
39 8 cm3
40 63π cm3
41 1. 300π cm3
2. 12 cm × 10π cm
1
42 3 × 2302 × 147 = 2 592 100 donc le volume de la pyramide est 2 592 100 m3.
4 6 243,584
44 Le volume du ballon est 3 𝜋 × 11,63 = π soit environ 6 538,3 cm3 .
3
2,52 × π × 15
45 = 31,25π cm3 ≈ 98,17cm3
3
Pour s’entraîner
46 Le triangle OAH1 est rectangle en H1 donc d’après le théorème de Pythagore, on a :
OA2 = OH12 + AH12 donc OH12 = AH12 − OA2 .
Le triangle OAH2 est rectangle en H2 donc d’après le théorème de Pythagore, on a :
OA2 = OH22 + AH22 donc OH22 = AH22 − OA2 .
Comme AH1 = AH2 on déduit que OH12 = AH12 − OA2 = AH22 − OA2 = OH22 . Par
conséquent OH1 = OH2 .
Les triangles OAH1 et OAH2 sont donc égaux car ils ont trois côtés respectivement de même
̂1 = AOH
longueur, on a donc également AOH ̂2 .
̂ = FAE
3. a. On a BAC ̂ = 90° ; d’après la question 2. a. ABC
̂ = DEC
̂ or DEC ̂ et AEF
̂ sont
̂ = AEF
deux angles opposés par le sommet donc DEC ̂ , on a alors ABC
̂ = AEF ̂ . Les triangles
ABC et AEF ont deux angles respectivement égaux donc ces triangles sont semblables.
b. Comme ABC et AEF sont semblables avec BAĈ = FAE ̂ et ABC
̂ = AEF ̂ on a :
AE AF EF 7 AF EF
= AC = BC or AE = AC − EC = 7 , AB = 9 , AC = 12 et BC = 15 donc 9 = = 15
AB 12
7×15 35 35 44
EF = = et FD = EF + ED = +3= .
9 3 3 3
49 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Dans un triangle, la somme des angles est égale à 180 °. En utilisant cette propriété dans le
̂ + EAB
triangle AEB, on obtient AEB ̂ + EBA ̂ = 180 soit +EAB ̂ + EBÂ = 180.
̂ + EBA
On déduit alors que EAB ̂ = 180 – .
̂ + CAB
En utilisant cette même propriété dans le triangle ACB, on obtient ACB ̂ + CBÂ = 180
̂ = 180 – (CAB
soit ACB ̂ + CBÂ ).
Comme BAÊ = EAC ̂ , on a CAB
̂ = 2 EAB
̂.
Comme CBE ̂ = EBÂ , on a CBA
̂ = 2 EBÂ et on en déduit :
̂ = 180 – (CAB
ACB ̂ + CBA ̂ ) = 180 – (2 EAB
̂+ 2 EBA ̂) = 180 – 2(EAB̂ + EBA ̂) et par conséquent
̂ = 180 – 2 (180 – ) = 180 – 360 +2. Finalement ACB
ACB ̂ = 2 – 180.
̂ = 90 ce qui équivaut à
2. Le triangle ABC est rectangle en C si et seulement si ACB
270
2 – 180 = 90 soit à 2 = 270 et à = donc à = 135.
2
Le triangle ABC est rectangle en C si et seulement si = 135°.
̂ = BCA
50 1. On a BAI ̂ . De plus comme I appartient au segment [BC], ABC
̂ = ABI ̂.
Ainsi, les triangles ABI et ABC ont deux angles respectivement égaux, ces triangles sont donc
semblables.
2. Comme ABI et ABC sont semblables avec BAI ̂ = BCA ̂ et ABC
̂ = ABI ̂ , on a :
AB BC AC 3
= = , de plus BC = 3 et I est le milieu de [BC] donc BI = 2 .
BI AB IA
3 9 9 √9 3 3√2
On obtient donc AB2 = BI × BC = × 3 = d’où AB = √ = = =
2 2 2 √2 √2 √2 × √2
3√2
Finalement AB = .
2
51 Errata : l’erreur suivante peut se trouver dans certains ouvrages, il faut lire « ABC
rectangle en B » et non « rectangle en A ».
1. FEDB est un carré donc (FB) est parallèle à (ED).
A appartient à (FB), donc (AB) est parallèle à (ED).
2. Dans le triangle ABC, E appartient à [AC], D appartient à [BC] et (AB) est parallèle à (ED)
CD ED 7−𝑎 𝑎
donc d’après le théorème de Thalès = donc = donc (7 − 𝑎) × 3 = 7 × 𝑎 d’où
CB BA 7 3
3 𝑎
= 7−𝑎.
7
Remarque : on peut aussi obtenir l’égalité en utilisant après justification que les triangles
ABC et EDC sont semblables.
3. D’après la question 2, on a (7 − 𝑎) × 3 = 7 × 𝑎 soit 21 − 3𝑎 = 7𝑎 d’où 21 = 10𝑎 et par
conséquent 𝑎 = 2,1.
L’aire du carré BDEF est égale à a² donc à 2,1² soit à 4,41.
BH
̂ comme l’angle BAC
52 1. ABH est rectangle en H, donc AB = sin(BAH) ̂ est aigu, le projeté
̂ = BAC
orthogonal de B sur (AC) appartient à la demi-droite [AC) donc BAH ̂ = 30° . on a
BH 1 1 1
̂ = sin(30°) = d’où BH = AB soit BH = × 8 = 4.
alors AB = sin(BAH) 2 2 2
On a donc BH = 4 cm.
1 1
2. Soit AABC l’aire du triangle ABC. On a AABC = 2 × AC × BH = × 11 × 4 = 22.
2
L’aire du triangle ABC est 22 cm².
3. Soit H’ le projeté orthogonal de C sur la droite (AB). Le point H’ est le pied de la hauteur
CH′ × AB CH′ ×8
issue de C dans le triangle ABC donc AABC = = = 4CH′.
2 2
22
On sait que AABC = 22, donc 4CH ′ = 22 soit CH = ′
= 5,5.
4
′
Donc CH = 5,5 cm.
53 1. a. Comme la droite (HD) est perpendiculaire à la droite (AB), OHD est rectangle en H.
b. D’après le théorème de Pythagore, on a OD2 = OH 2 + DH² donc DH 2 = OD2 − OH².
1
Le rayon du cercle C est égal à AB soit à 5.
2
Comme [OD] est un rayon du cercle C, on a OD = 5 et on en déduit :
DH 2 = 52 − 32 = 25 − 9 = 16 donc DH = √16 = 4.
c. H est le pied de la hauteur issue de D dans le triangle AOD, donc l’aire A du triangle AOD
1 1
vérifie A = 2 AO × DH donc A = 2 × 5 × 4 = 10.
2. a. AH = AO + OH = 5 + 3 = 8.
b. Le triangle ADH est rectangle en H, donc en utilisant le théorème de Pythagore dans ce
triangle, on a 𝐴𝐷2 = 𝐴𝐻 2 + 𝐻𝐷² donc 𝐴𝐷2 = 82 + 42 = 80
AD = √80.
1
3. a. Soit K le projeté orthogonal de O sur AD. On a A = 2 AD × OK or par définition de la
1 2
distance d on a d = OK d’où A = 2 𝐴𝐷 × 𝑑 et on en déduit l’égalité : 𝑑 = AD × A
2 20 20 5 √5×√5
b. On a donc 𝑑 = × 10 = = 4√5 = = = √5.
√80 √80 √5 √5
54 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1. Comme les pylônes sont verticaux, le triangle ACD est rectangle en A. En utilisant le
théorème de Pythagore, on obtient CD² = AC² + AD². Comme AC= 76 et AD = 154, on
obtient CD² = 76² + 154² soit CD² = 29492 et CD = 29492 soit CD 172 arrondie à l’unité.
La longueur du hauban [CD] est donc égale à 172 mètres arrondie au mètre près.
2. Dans le triangle rectangle ACD, cos CDA ̂ 154 soit cos CDA
̂ = AD donc cos CDA ̂ 77 .
CD 172 86
̂ 26° arrondi au degré près.
À l’aide de la calculatrice, on obtient CDA
3. Dans le triangle ACD :
F appartient au segment [AD] et E appartient au segment [AC].
AF = AD – FD = 154 – 12 = 142 et AE= AC – EC = 76 – 5 = 71.
AD 154 77 AC 76 AD AC
et . Donc .
AF 142 71 AE 71 AF AE
D’après la contraposée du théorème de Thalès, on déduit que [CD] et [EF] ne sont pas
parallèles.
57 1. Voir figure.
2. Comme la symétrie axiale conserve les longueurs
AP=A’P et BQ=B’Q.
La somme AP + PQ + QB est donc minimale lorsque la
somme A’P + PQ + QB’ est minimale.
Les points A’ et Q étant de part et d’autre de la droite d1
et les points P et B’ étant de part et d’autre de la droite
d2, la somme A’P + PQ + QB’ est minimale lorsque les points A’, P, Q et B’ sont alignés.
On construit donc le point P1 intersection de (A’B’) et d1 ainsi que le point Q1 intersection de
la droite (A’B’) avec la droite d2.
Les points souhaités sont P1, intersection de (A’B’) et d1, et Q1, intersection de (A’B’) et d2.
Les points P1 et Q1 sont les positions respectives des points P et Q rendant minimale la
somme AP + PQ + QB.
58 La distance d(M) est minimale quand OM + MH est minimale car OM est une constante.
Si on note P l’intersection de avec sa perpendiculaire passant par O, OM + MH est
minimale si O, M et H sont alignés donc si H et P sont confondus.
59 1. ABED est un rectangle. En effet comme E est le symétrique de A par rapport à I, I est le
milieu de [AE] or I est aussi le milieu de [BC]. Les diagonales du quadrilatère ABED se
coupent donc en leur milieu, ABED est donc un parallélogramme.
Par ailleurs le triangle ABD est rectangle en A donc le parallélogramme ABED a un angle
droit, il s’agit donc d’un rectangle.
2. J est le symétrique de I par rapport à C donc C est le milieu de [IJ]. Comme C est
également le milieu de [AD], les diagonales du quadrilatère AIDJ se coupent en leur milieu,
donc AIDJ est un parallélogramme.
De plus [AE] et [BD] étant les diagonales du rectangle ABED, AE = BD donc :
1 1
𝐴𝐼 = 2 𝐴𝐸 = 𝐵𝐷 = 𝐼𝐷.
2
Le parallélogramme AIDJ a deux côtés consécutifs de même longueur donc il s’agit d’un
losange.
60 1. Comme E est le symétrique de A par rapport à I, I est le milieu de [AE]. Comme I est
également le milieu de [CD], les diagonales du quadrilatère ACED ont le même milieu,
ACED est donc un parallélogramme.
2. ABCD est un parallélogramme alors BC = AD.
De plus ACED est un parallélogramme alors CE = AD. On en déduit AD = BC.
Comme (BC) est parallèle à (AD) et (CE) est parallèle à (AD) alors (BC) et (CE) sont
parallèles et comme elles ont un point commun, ces droites sont confondues ce qui prouve
que les points B, C et E sont alignés.
C appartient à la droite (BE) et est équidistant de B et E donc C est le milieu de [BE].
61 1. OAB est rectangle en A donc d’après le théorème de Pythagore, OE² = OA² + AE² et on
en déduit l’égalité : AE² = OE² – OA²
OBE est rectangle en B donc d’après le théorème de Pythagore, OE² = OB² + BE² et on en
déduit l’égalité : BE² = OE² – OB²
De plus, OA = OB, donc BE² = OE² – OB² = OE² – OA² = AE² donc BE = AE.
Le triangle ABE est donc isocèle en E.
On en conclut que ces deux triangles sont égaux et donc que AE = BE.
ABE est donc isocèle en E.
2. OA = OB donc O est équidistant des points A et B : O appartient donc à la médiatrice de
[AB].
AE = BE donc E est équidistant des points A et B : E appartient donc à la médiatrice de [AB].
La médiatrice de [AB] est donc la droite (OE).
̂ = ABJ
3. Les triangles AID et ABJ sont semblables tels que IDA ̂ et DIA
̂ =BAJ
̂ par conséquent
AJ AB BJ
= = .
AI DI AD
On obtient donc :
AJ 35 AJ
= soit = 5 donc AJ = 5 25 donc AJ = 125.
25 7 25
35 BJ BJ
= soit 5 = donc BJ = 5 24 donc BJ = 120.
7 24 24
̂ et DOC
64 Les angles AOI ̂ sont opposés par le sommet donc égaux.
̂ et OAI
Les droites (BC) et (AB) étant parallèles, les angles alternes-internes DCO ̂ sont égaux.
OD OC DC OD OC 6
Les triangles AOI et DOC sont donc semblables et = OA = soit = OA = 3 = 2.
OI AI OI
Calcul de JA : JA = AD – DJ = AD – 72.
Pour calculer AD c’est-à-dire BC, on doit déterminer la longueur BF. Dans le triangle
EBF rectangle B, on a d’après le théorème de Pythagore : EF² = EB² + BF² soit BF² = EF²
– EB² donc BF² = 52² – 48² = 400 et on en déduit BF= 20.
Par conséquent, AD = BC= 20 + 52 + 48 = 120 , puis JA = 120 – 72 = 48.
La longueur de la piste cyclable est donc, en mètres, égale à :
240 + 52 + 52 + 24𝜋 + 211+ √6025 + 48 soit environ 756 mètres arrondi à l’unité.
69 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
Comme A’, B’ et C’ sont les images respectives de A, B et C par une homothétie de rapport k,
A’B’ = |k|AB, A’C’ = |k|AC et B’C’ = |k|BC. Les triangles A’B’C’ et ABC sont donc
semblables, donc leurs angles sont respectivement égaux. En particulier B̂ ̂ .
′ A′ C ′ = BAC
Comme ABC est un triangle rectangle en A, on en déduit que B̂ ′ A C = 90° . Donc A’B’C’
′ ′
72 1. Vrai.
Soit s(AC) la symétrie par rapport à la droite (AC)
et s(AB) la symétrie A appartient à la droite (AB).
̂ = SAC
SAT ̂ +̂ ̂ + BAT
CAK + KAB ̂ = 2CAK̂ + 2KAB
̂ = 2(CAK
̂ + KAB
̂ ) = 2CAB
̂
̂ = 90°.
Comme ABC est rectangle en A, CAB
̂ = 2 × 90° = 180°, ce qui prouve que S, A et T sont alignés.
On en déduit que SAT
̂ = 180° − BDE
EBD ̂ − BED
̂ = 180° − 2a
̂ + EBD
Comme ABD ̂ = 180° − EBD
̂ = 180° on a ABD ̂ = 180° − (180° − 2a) = 2 a.
̂ = 180° − 2 × ABC
ABC est isocèle en C donc ACB ̂ = 180° − 2 × 𝑎 = EBD
̂.
̂ et EBD
̂ = ABC
3. Les triangles ABC et BDE sont tels que 𝐵𝐷𝐸 ̂ donc ces triangles ont
̂ = ACB
AB AC 4 6
deux angles respectivement égaux : ils sont semblables et = soit DE = . On en
DE EB 4
4×4 8
déduit que ED = = 3.
6
78 Le corrigé détaillé de cet exercice est disponible dans le manuel numérique enseignant, le
manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
1
Le cône constituant une partie du jouet a pour volume V1 = 3²7 cm3 soit
3
V1 = 21 cm3.
1 4
La demi-sphère constituant l’autre partie du jouet a pour volume V2 = 33 cm3 soit
2 3
V2 = 18 cm3.
Or 21 + 18 = 39 donc le volume du jouet est 39 cm3.
79 1. Dans une symétrie axiale (respectivement une symétrie centrale), le symétrique d’un
segment est un segment de même longueur.
2. a. On va utiliser la propriété énoncée ci-dessus
b. A’ est le symétrique de A par rapport à I et C est le symétrique de B par rapport à I.
Comme la symétrie centrale conserve les longueurs, on a AB = A’C
E est le symétrique de A’ par rapport à la droite (BC) et comme C appartient à (BC), il est son
propre symétrique par rapport à (BC).
Comme la symétrie axiale conserve les longueurs, on a A’C = EC.
Finalement AB= EC.
80 1. Soit V1 le volume du cône. Le cône a pour hauteur AS = 1,6 m et le rayon de la base est
1
AB = 1,3 donc 𝑉1 = 3 𝜋 × 1,3² × 1,6.
Soit V2 le volume du cylindre. Le cylindre a pour hauteur AD = 2,4 m et pour rayon AB = 1,3
donc 𝑉2 = 𝜋 × 1,3² × 2,4.
Le volume du silo est donc 𝑉 = 𝑉1 + 𝑉2 ≈ 15,57 m3 à 0,01 m3 près.
2. Dans le triangle NHC : H, M et N d’une part et H, B et C d’autre part sont alignés dans le
même ordre.
HN 2
HN = SN – SH = 3,3 – 1,3 = 2 et HM = SM – SH = 2,1 – 1,3 = 0,8 donc HM = = 2,5
0,8
HC 4
HC = SD = SA + AD = 1,6 + 2,4 = 4 et HB = SA = 1,6 donc = = 2,5.
HB 1,6
On déduit d’après la réciproque du théorème de Thalès, que (MB) et (NC) sont parallèles.
81 1. Comme D est le symétrique de A par rapport à O, O est le milieu de [AD]. Les
diagonales [AD] et [BC] du quadrilatère ABDC se coupent en leur milieu donc ABDC est un
parallélogramme. Comme de plus ABC est rectangle en A, le parallélogramme ABDC a un
angle droit donc il s’agit d’un rectangle.
2. Comme E est le symétrique de O par rapport à I, I est le milieu de [OE]. Les diagonales
[AC] et [OE] de AOCE se coupent en leur milieu donc AOCE est un parallélogramme.
Dans le triangle ABC, I est le milieu de [AC] et O est le milieu de [BC] donc A, I et C d’une
part et B, O et C d’autre part sont alignés dans le même ordre.
IC 1 OC
De plus AC = 2 = BC donc d’après la réciproque du théorème de Thales, (IO) est parallèle à
(AB).
Comme (AB) est perpendiculaire à (AC), on en déduit que (IO) est perpendiculaire à (AC).
Les diagonales du parallélogramme AOCE sont perpendiculaires donc AOCE est un losange.
3. Soit s la symétrie d’axe (OI). Comme E appartient à (OI), s(E) = E.
(OI) est la perpendiculaire à (AC) passant par le milieu I de [AC] donc (OI) est la médiatrice
de [AC] donc s(A) = C.
Comme ABDC est un rectangle de centre O, OB = OD.
La droite (OI) est perpendiculaire à (BD) et passe par le point O équidistant de B et D donc
(OI) est la médiatrice de [BD] donc s(B) = D.
On en conclut que (OI) est un axe de symétrie de ABDCE.
Calcul de AC : Le triangle ABC est rectangle en A donc d’après le théorème de Pythagore,
BC² = AB² + AC² donc AC² = BC² – AB² = 8² – 4² = 48 et on a AC = √48 .
L’aire du rectangle ABDC est égale à AC × AB = 4√48.
1
D’autre part EI = IO car I est le milieu de [EO], et 𝐼𝑂 = 𝐴𝐵 = 2 d’où IE = 2.
2
1
L’aire du triangle ACE est donc égale à 2 AC × EI = √48
L’aire du polygone ABDCE est donc égale à 5√48 soit environ 34,6 à 0,1 près.
On remarque que √96 = √4 × 24 = √4 × √24 = 2√24 donc BC= 2BJ ce qui prouve que le
point J est le milieu de [BC].
2. Dans le triangle ABC, I est le milieu de [AC] et J est le milieu de [BC] donc C, I et A d’une
part et C, J et B d’autre part sont alignés dans le même ordre.
IC 1 CJ
De plus AC = 2 = CB donc d’après la réciproque du théorème de Thales, les droites (IJ) et
(AB) sont parallèles.
Faire le point
Les corrigés détaillés de ces exercices sont disponibles dans le manuel numérique enseignant,
le manuel numérique élève et le site élève lycee.editions-bordas.fr.
̂ et BCM
1 a. (DC) et (AB) sont parallèles donc les angles alternes-internes DCM ̂ sont égaux.
̂ = 90° – DCM
b. Soit I l’intersection de (BP) et (CM). BCM ̂ = 90° – = MBI
̂ .car MBI est
̂ = ABP
rectangle en I. Finalement BCM ̂ .
̂ = MBC
2 a. PAB ̂ et ABP ̂ = BCM
̂ : les triangles MCB et ABP ont deux angles respectivement
égaux donc ils sont semblables. Le rapport de proportionnalité est 1 car AB = BC.
̂ = MBC
b. Les triangles MCB et ABP sont égaux avec PAB ̂ et ABP
̂ = BCM
̂ donc MB = AP.
4 Faux
5 Faux
6 Vrai
7 Vrai
8 Faux
9D
10 B-C
11 A
12 C
13 a. V = 560.
b. 8 149.
c. AG = 213.
4 000π
14 V = .
3
15 V = 60.
83 1. A = 30 cm²
2. BC = 13 cm
60
3. AH = cm.
13
84 1. AH = 15
2. L’aire de ABH est 60.
120
3. HK =
17
85 1. L’image de A par s est C donc l’image par s de la droite (AH) est la parallèle à (AH)
passant par C soit (CK). L’image par s de H est l’intersection de (OH) et (CK) donc le point
K.
2. O est le milieu des deux diagonales de AKCH, donc AKCH est un parallélogramme.
86 H est le milieu de [AA’] et de [BB’], donc ABA’B’ est un parallélogramme. De plus, les
diagonales (BB) et (AA’) sont perpendiculaires car H est le projeté orthogonal de B sur (AA’)
donc ABA’B’ est un losange.
1 1
87 1. OI = BD et OJ = BD, donc OI = OJ.
4 4
2. O est le milieu de [IJ] et de [AC] donc AICJ est un parallélogramme, donc AJ = IC.
89 1. [AA’] et [BC] sont sécantes en leur milieu donc ABA’C est un parallélogramme.
̂ = 90°. ABA’C est donc un rectangle.
̂ = 90° et (BA’) est parallèle à (AC) donc ABA′
BAC
2. Le centre du cercle circonscrit à ABC est I car BI = AI = IC (ABA’C est un rectangle).
Parcours 4
1. Les hauteurs du triangle sont concourantes.
2. a. ADBC et ABCF sont des parallélogrammes donc DA = BC = AF.
Alors, A est le milieu de [DF].
De plus, ℎ1 est perpendiculaire à (DF) car (BC) et (DF) sont parallèles et ℎ1 est
perpendiculaire à (BC).
Donc ℎ1 est la médiatrice de [DF].
b. De la même manière, ℎ2 est la médiatrice de [DE] et ℎ3 est la médiatrice de [EF].
Les médiatrices sont concourantes donc ℎ1 , ℎ2 et ℎ3 sont concourantes.
91 1. K est le milieu de [HC] et I est le milieu de [HA’] donc, par le théorème des milieux,
(IK) est parallèles à (A’C).
(AA’) est perpendiculaire à (BC) car ABC est isocèle et A’ est le milieu de [BC].
On en conclut que (KI) est perpendiculaire à (AA’).
2. I est l’orthocentre de AKA’ car c’est l’intersection de la hauteur issue de K et de la hauteur
issue de A’.
3. Dans BHC, grâce au théorème des milieux, on sait que (BH) et (A’K) sont parallèles.
De plus (AI) est perpendiculaire à (A’K) car (AI) est la hauteur issue de A dans AKA’.
Donc (AI) et (BH) sont perpendiculaires.
Parcours 5
1. AH = 𝑏 × sin(Ĉ)
CB × AH 1
2. 𝑆 = = × 𝑎 × 𝑏 × sin(Ĉ)
2 2
93 1. 𝑆 = 24
1 2×𝑆
2. 𝑆 = ̂ ) donc 𝑐 =
× 𝑐 × 𝑏 × sin(A ≈ 6,2
2 ̂)
𝑏 × sin(A
𝑆 15
94 𝑆′ = 8
1 1 1
95 𝑆 = 2
× 𝑎 × 𝑏 × sin(Ĉ) = 2
× 𝑎 × 𝑐 × sin(𝐵̂) = 2
̂)
× 𝑐 × 𝑏 × sin(A
𝑎𝑏𝑐 𝑎 𝑏 𝑐
Donc = ̂)
= ̂)
= ̂)
.
2𝑆 sin(A sin(B sin(C
sin(36)
96 AB = 250 × sin(53)
sin(53) sin(36)
MA = AB × = 250 ×
sin(76) sin(76)
sin(90) sin(36)
AN = AB × = 250 × .
sin(39) sin(53)×sin(39)
MN = AN − AM.
Parcours 6
1. La somme des angles d’un triangle fait 180°, donc il ne peut pas y avoir deux angles de
plus de 90°.
2. 𝑐 2 = AH 2 + HB2 et HB = (𝑎 − CH) d’où le résultat en développant.
3. AH 2 = 𝑏 2 − CH 2
4. CH = 𝑏 × cos(Ĉ)
5. 𝑐 2 = AH 2 + 𝑎2 − 2𝑎CH + CH 2 = 𝑏 2 + 𝑎2 − 2𝑎𝑏cos(Ĉ)
97 𝑐 = 13
100 Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
1. a. Dans AEB rectangle en E, AB2 = (𝑅 + 𝑟)2 = AE 2 + AB2 = (𝑅 − 𝑟)2 + 𝑎2 .
b. 𝑎 = 2 × √𝑅 × 𝑟
c. À réaliser sur une feuille.
c. 𝑐 = 1,44 cm
d. Voir figure.
101 1. Grâce au théorème de Thalès, MH = 60 m.
Le véhicule ne respecte pas les consignes de sécurité.
MH OH
2. = donc on cherche LK tel que MH < 45. LK < 0,75 cm pour pouvoir respecter les
MK LK
consignes de sécurité.
√3
102 1. a. CI = 𝑎 × cos(30°) = 𝑎 × 2
b. 2 × CI = OC donc I est le milieu de [CO] et est le projeté orthogonal de A sur [CO] donc
ACO est isocèle en A.
̂ font même
̂ et AOM′
2. a. (BA) et (OM’) sont parallèles donc les angles alternes internes CAO
̂ = 180° − 30° − 30° = 120°. La rotation est de 120°.
mesure. AOM′
2π × √3𝑎 2
b. L’arc de cercle parcouru est de longueur = × π𝑎 et BA = 5𝑎 donc l’aire
3 √3
10
balayée est de × π𝑎2 .
√3
105 En prolongeant (DA) et (BC), on travaille sur des triangles et des rectangles que l’on
complète en faisant apparaître un triangle isocèle CRB où R est le projeté orthogonal de C sur
(AB) et NTB isocèle en T où T est le projeté de N sur (AB).
On obtient : AB = 7 ; AD = 6 ; DC = 1.
Travaux pratiques
TP1 Optimisation de l’aire d’un triangle
Des fichiers logiciels sont disponibles dans le manuel numérique enseignant.
A. Construction et conjecture à l’aide d’un logiciel de
géométrie
1. Voir figure.
2. AB = BE
3. AEF semble être isocèle rectangle en A.
B. Démonstration de la conjecture
̂ = 45° ; CE
1. a. CAB ̂ 1 A = 45°
B. Démonstration
1. CD + DF = 𝑎 + 𝑏 = CF = 2 × GC
𝑎−𝑏
2. GD = 2