Solaire Photovoltaïque - Quel Impact Sur L'environnement
Solaire Photovoltaïque - Quel Impact Sur L'environnement
Solaire Photovoltaïque - Quel Impact Sur L'environnement
L’ENVIRONNEMENT ?
GAZBOUR Nouha Autres renouvelables 16 Mai 2023
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Le solaire, énergie renouvelable par excellence, nécessite la construction et l’utilisation d’équipements pour pouvoir être collecté, et utilisé par l’Homme. Ceci engendre
des impacts sur l’environnement, parfois complexes à quantifier.
L’énergie photovoltaïque est désormais considérée par tous comme un pilier de la lutte contre le dérèglement climatique et plus généralement contre la dégradation de
notre environnement.
Mais, bien-sûr, aucune activité humaine n’est dénuée de son lot d’impacts négatifs sur l’environnement et à cet égard, l’énergie photovoltaïque ne déroge pas à la règle.
Il y a donc lieu de s’interroger sur ce qui, dans les phases de fabrication, d’installation ou d’opération, peut avoir un impact négatif et sur les moyens de les réduire.
Un des points souvent soulevé dans les médias est que la fabrication des modules est gourmande en énergie et en matériaux rares. Est relevé souvent aussi le fait que
la fabrication des modules est essentiellement faite dans des pays où l’électricité est fortement « carbonée ».
Pour répondre correctement à ces questions et peser les véritables enjeux environnementaux de cette énergie, il ne faut pas se contenter comme beaucoup de lancer
quelques chiffres piochés au hasard et donc approximatifs.
Ceci est d’autant plus vrai que, comme nous l’avons vu dans les autres articles consacrés à cette énergie, la technologie des modules a très fortement évolué dans le
temps et elle continue à le faire (Lire : Solaire Photovoltaïque, les technologies et leurs trajectoires et Énergie Solaire Photovoltaïque, baisse conjointe du coût et de
l’impact environnemental). Il est donc essentiel d’apprécier le contenu environnemental de façon dynamique.
Un autre point important est que les modules ne sont pas du tout neutres. L’impact de l’installation, à savoir les supports les travaux et la logistique, des autres
composants d’un système photovoltaïque (câblage, onduleurs) et des phases de fonctionnement et de fin de vie sont très souvent oubliés ou négligés.
L’objectif de cet article est donc double : pratiquer une analyse de l’impact en utilisant une analyse reconnue et rigoureuse, à savoir l’Analyse du Cycle de Vie (ACV) et
prendre en compte l’ensemble du système.
L’ACV est en effet connue comme la méthode normée la plus pertinente pour évaluer les impacts environnementaux d’un système ou d’un produit tout au long de son
cycle de vie.
1. En quoi consiste L’Analyse du Cycle de Vie (ACV) ?
L’ACV est une méthodologie, c’est-à-dire un « ensemble des règles appliquées », d’évaluation normalisée qui permet d’évaluer l’impact environnemental d’un produit ou
d’un système tout au long de son cycle de vie[1]. Le cycle de vie d’un produit passe par plusieurs étapes : extraction de la matière première, fabrication, distribution,
usage et fin de vie.
Le processus de réalisation de l’ACV tel que proposé par la norme ISO 14040-14044 s’effectue en quatre étapes (Figure 1) :
(1) Définition des objectifs et du champ de l’étude : Cette étape est importante en particulier pour ce qui nous concerne ici. Il faut bien définir les frontières du système
et l’unité fonctionnelle considérées. Les frontières du système représentent les étapes du cycle de vie prises en compte. L’unité fonctionnelle, quant à elle, représente
l’unité à laquelle sera exprimé les résultats environnementaux. Elle permet une comparaison objective de produits équivalents sur une base de référence. Cette étape
est primordiale pour justifier les résultats et elle permet de comprendre la variabilité souvent observée entre les études.
(2) Analyse de l’inventaire : il s’agit de quantifier les flux de matière et d’énergie entrants et sortants, dans un inventaire et un travail de comptabilité analytique des
flux.
(3) Évaluation des impacts environnementaux : l’étape d’évaluation des impacts a pour but de traduire les consommations et les rejets recensés lors de l’inventaire en
impacts environnementaux. Il existe à ce jour trois grandes familles d’impacts : l’impact sur l’écosystème (bilan carbone, déplétion de la couche d’ozone…), l’impact sur
la santé humaine (écotoxicité des eaux douces, toxicité humaine à effets cancérigènes…), l’impact sur l’épuisement des ressources et sur les eaux. Cette analyse
multicritère de l’ACV vise à éviter les transferts de pollution entre les différents types d’impacts. Afin d’évaluer le véritable impact du produit ou d’un système, il est
nécessaire d’analyser l’ensemble des critères environnementaux.
(4) Interprétation : l’interprétation a pour objectif d’analyser les résultats et d’expliquer les limites de l’inventaire et/ou de l’évaluation des impacts, afin de fournir des
recommandations de manière la plus transparente possible.
Rappelons que l’énergie photovoltaïque (PV) regroupe un certain nombre de technologies qui peuvent être réparties en trois grandes familles : les technologies silicium
cristallin (c-Si) (94 % du marché), les technologies couches minces (5 % du marché) et les nouveaux concepts comme le PV organique et les cellules pérovskites qui
sont en cours d’intégration dans le marché [2]. Même si la pénétration de ces technologies hors silicium reste très faible, il est important de les prendre en compte
pour juger si elles sont capables d’apporter un plus par rapport à la technologie majoritaire.
Le cycle de vie du système PV traduit l’ensemble des étapes que traverse le produit tout au long de sa durée de vie. Comme le montre la figure2, le cycle de vie des
systèmes PV les plus courants à base de Silicium cristallin (c-Si) est composé de :
La phase de fabrication qui commence depuis l’extraction de la matière première jusqu’à la production des modules PV.
La phase d’installation assurant la mise en fonctionnement des modules PV.
La phase d’usage, quand les modules PV produisent de l’électricité.
La phase de fin de vie quand les modules sont désinstallés, collectés et recyclés.
Figure 2: Cycle de vie d’un système PV à silicium cristallin[3] [4]
Pour une même technologie (c-Si), il existe plusieurs procédés de fabrication et, par conséquent, plusieurs types des modules PV cristallins[4] présentés par la figure
3 (Lire : Solaire Photovoltaïque, les technologies et leurs trajectoires). La diversification des technologies est susceptible d’augmenter d’autant plus que les fabricants
des modules PV ne cessent d’augmenter leurs dépenses dans la R&D pour maintenir leurs positionnements dans le marché.
L’innovation technologique, visant à améliorer les performances et à diminuer les coûts, est devenue aujourd’hui la clé de la survie des industriels du PV. D’un point de vue
environnemental, il est pertinent de noter que cette diversification et cette amélioration technologique constante induit un large potentiel de réduction des impacts
environnementaux.
Les technologies nouvelles utilisent de moins en moins de matières et offrent un meilleur rendement, ce qui induit une diminution de l’impact environnemental de
l’énergie produite. Le rendement typiquement de l’ordre de 14% en 2005, dépasse désormais les 20%. (Lire : Énergie Solaire Photovoltaïque, baisse conjointe du coût et
de l’impact environnemental)
Ceci implique en particulier une augmentation de la puissance-crête des modules qui est passé de 200Wc jusqu’à parfois 800Wc pendant ce laps de temps. Les
architectures électriques des centrales et les onduleurs se sont aussi améliorées et ont trouvé leur part dans l’amélioration du rendement global des systèmes.
Les modes d’installation (fixation au sol ou en toiture) ont, quant à eux, relativement peu évolué.
L’empreinte environnementale des systèmes PV dépend de nombreux paramètres comme les choix technologiques, les lieux d’installation, le mix énergétique spécifique
concerné [6][5]. La variabilité du choix de ces paramètres dans certaines études peut justifier aujourd’hui les différences observées dans la littérature. Cela peut rendre
la prise de décision difficile en termes de véritable impact environnemental des systèmes PV. Analysons d’abord l’impact des principaux paramètres sur le profil
environnemental.
Pour bien comprendre et analyser cette évolution, nous avons choisi d’isoler dans le tableau 1 quatre générations successives de technologie correspondant à
différentes périodes (GEN 1 à 4) :
Une réduction significative sur l’ensemble des critères environnementaux a été observée par rapport aux modules GEN1 (figure 4). Selon les critères, elle varie de 20% à
50% et de 40% à 95% pour les modules GEN2 et GEN4 respectivement. Cette réduction est due principalement aux améliorations dans la chaine de valeur en termes de
rendement matière (diminution des pertes au sciage, épaisseur wafer pour le silicium, diminution de la largeur des pistes pour l’argent) et d’optimisation des procédés
de fabrication.
La réduction du bilan carbone est due principalement à la réduction de la consommation de l’énergie pour la purification du silicium et la croissance de cristaux avec
l’amélioration des procédés associés à ses étapes. A noter aussi que la diminution de la quantité de Silicium utilisé déjà cité contribue aussi mécaniquement à la baisse
des émissions Carbone.
Une des étapes très gourmande en énergie est celle qui permet le cracking des chlorosilanes dans le procédé usuel de purification (procédé dit Siemens).
Les fours de cracking ont énormément progressé et la consommation énergétique par tonne de silicium a été réduite de plus de moitié depuis les années 2000.
Par ailleurs une réduction de 50% dans la déplétion des ressources est due principalement à la réduction de la quantité d’argent dans la cellule PV d’aujourd’hui.
L’usage des sols a été aussi notablement réduit grâce à l’augmentation des rendements des modules. On a pu réduire le nombre des modules à installer pour une taille
d’un système défini et réduire par là-même aussi la consommation de matière lors de l’installation (câbles, structure…).
On constate (figure 4) l’impact considérable qu’a eu le progrès technologique sur tous les aspects environnementaux (Bilan Carbone, toxicité, qualité des eaux, usage
des eaux, ressources minérales etc…).
Le progrès technologique offre donc un large potentiel de la réduction de l’impact environnemental des modules PV. Ainsi, s’orienter vers des modules à très haut
rendement « PREMIUM » permet d’améliorer notablement le profil environnemental des modules PV.
Pour donner une idée de l’impact du lieu d’installation, nous avons choisi 4 lieux d’installation dans différentes régions et bien différenciées en Europe. Les données
d’irradiation ont été tirées du système d’information PVGIS[6][7] (Photovoltaic Geographical Information System) du Centre Commun de Recherche (JRC). Les valeurs
d’irradiation de ces trois régions sont données en tableau 2.
Pour cette comparaison, nous avons choisi un seul type de module, ceux de dernière génération (GEN4).
On voit sur la figure 5 la valeur de 3 paramètres : l’empreinte carbone par kWh produit, le temps du retour énergétique (EPBT : Energy PayBack Time) et le retour sur
investissement énergétique global au bout de la période d’utilisation (EROI : Energy Return On Investment) pour les 4 lieux choisis et les 4 valeurs d’irradiation moyenne.
Nous avons pris en compte l’ensemble du système y compris la phase d’installation y compris la structure métallique, les câbles électriques et l’onduleur pour une durée
de vie de 30 ans. Est donnée aussi dans la figure la distribution d’irradiation pour les différents pays d’Europe, afin d’apprécier plus concrètement à quoi correspondent
les valeurs choisies.
Figure 5 : Impact du lieu d’installation et de l’irradiation annuelle sur 3 paramètres : l’émission Carbone par kWh
produit, le temps de retour énergétique EPBT et le retour sur investissement énergétique au bout de la période
d’utilisation (EROI) [7]
Les résultats montrent une baisse de bilan carbone de plus de 50% pour un même système PV installé au Sud de l’Europe par rapport au nord de l’Europe. Au nord de
l’Europe, le système PV rembourse l’énergie qu’il en a fallu pour le fabriquer au bout de 1,26 ans. Cette valeur est inférieure à 1 an si le système est installé au sud de
l’Europe. En ce qui concerne le retour sur investissement énergétique, les systèmes PV installés au nord de l’Europe génèrent 20 fois plus d’énergie au cours de leur vie
qu’il en a fallu pour les fabriquer et les installer. Cette valeur est multipliée par deux si les modules sont installés au sud de l’Europe. Si, bien sûr, le lieu d’installation est
un paramètre clé du point de vue de l’impact environnemental des systèmes PV, il n’en demeure pas moins que l’installation de systèmes dans les régions peu
ensoleillées est désormais tout à fait vertueuse.
Il est particulièrement intéressant de noter que le temps de retour énergétique est passé sous la barre de l’année pour ces nouvelles technologies et pour les endroits
les plus ensoleillés et reste très faible (aux alentours d’une année et demie) pour ceux les moins ensoleillés.
Pour évaluer cet impact du lien de fabrication et donc du mix électrique, quatre scenarii ont été définis (Tableau 3). Ces scénarii sont en alignement avec le marché du PV
aujourd’hui. Ici encore, nous avons choisi les modules de dernière génération GEN4 pour cette comparaison.
Pour différencier ces scenarii, différents lieux d’installation des usines ont été considérés, et ce, tout au long de la chaîne de fabrication : de la production du matériau
silicium (« Polysilicon ») à l’assemblage des modules, en passant par le tirage des lingots, la découpe des « wafers » et la fabrication des cellules. Quatre pays ont été
choisis pour le lieu d’installation de ces usines avec un contenu en carbone de l’électricité, du plus élevé (la Chine) au moins élevé (la Norvège). Chaque scenario
correspond à une véritable réalité : il y a bien des usines existantes et correspondant aux étapes listées pour chaque scenario.
Incontestablement, et comme le montre la figure 6, orienter l’industrie photovoltaïque vers l’Europe en particulier avec des productions en Norvège ou en France permet
de réduire très fortement le bilan carbone, jusqu’à un facteur 2. Il n’en demeure pas moins que, même si les modules sont entièrement fabriqués en Chine, le bilan global
reste tout-à-fait positif par rapport à des productions d’électricité à base de ressources fossiles.
Figure 6 : Émissions de CO2 pour un module rapporté au kWc selon les scenarii de lieux de fabrication (se référer au tableau 3)
L’intérêt de la production en Europe a été évalué à l’échelle système considérant l’électricité produite avec les panneaux de GEN4 pour le scénario 4. Le bilan carbone et
le temps de retour énergétique (EPBT) ont été évalués en fonction de la région d’installation en France, et sont illustrés dans la Figure 7.
Figure 7 : Bilan carbone et EPBT à l’échelle système avec des modules PV GEN 4 fabriqués en Europe (Scénario 4 dans le tableau 3)
Les résultats montrent que s’orienter vers des modules bifaces (GEN4) produits en Europe permet de réduire significativement le bilan carbone par région pour
atteindre une valeur de 15 gCO2éq/kWh et un EPBT de 5 mois au Sud de la France.
Ces résultats montrent et confirment que la relocalisation de la production des modules PV va permettre non seulement une meilleure indépendance énergétique mais
aussi une décarbonationdes systèmes PV rendant ainsi l’énergie photovoltaïque la plus verte par excellence.
L’impact environnemental de cette phase et des composants associés est lourd dans le bilan global, comme on peut le voir sur la figure 8.
Figure 8 : Poids des phases de fabrication et d’installation sur les différents impacts environnementaux
Le poids de cette phase est très majoritaire en ce qui concerne la toxicité et le recours aux ressources minérales. Cela vient en particulier de l’utilisation de métaux
(Acier, Aluminium) pour les structures de support. Il est dommage que, jusqu’à présent, assez peu d’efforts ont été portés pour diminuer l’impact de la phase
d’installation.
Il est important aussi de situer l’énergie photovoltaïque par rapport aux autres modes de fabrication de l’électricité, non seulement en ce qui concerne l’émission des
GES mais aussi en ce qui concerne les autres impacts.
La figure 9 illustre ce positionnement des systèmes PV GEN 1 et GEN 4 par rapport aux autres sources d’énergie renouvelables et non renouvelables. On y voit que le PV
est bien placé sur de nombreux critères.
Comme nous l’avons vu plus haut, les systèmes PV GEN4 ont permis une amélioration significative sur certains impacts de 60% et 30%, respectivement pour la
déplétion des ressources et l’usage des sols.
Sur deux critères, le photovoltaïque reste mal classé : Il s’agit de l’usage des sols et de l’utilisation de ressources minérales.
Bien-sûr les centrales photovoltaïques nécessitent de larges surfaces par rapport aux autres centrales de même production. Ceci dit la production photovoltaïque est
pratiquement la seule à pouvoir être installée sur des surfaces dédiées à d’autres usages (toitures, clôtures, parkings etc…) et on voit ici l’importance de les utiliser
pour minimiser cet impact sur l’utilisation des sols. Dans un pays comme la France, la ressource disponible en termes de surfaces déjà artificialisées est tout-à-fait
suffisante pour les besoins futurs.
Un exemple de piste qui peut être prise pour diminuer l’impact de la phase d’installation, nous avons analysé un système de pose alternatif spécifique au solaire sur
toitures terrasses. La solution développée par la start-up HELIUP propose l’installation de moyens de production d’énergie photovoltaïque avec des modules PV légers
posés par collage directement sur la membrane d’étanchéité[7]. Cette solution permet de s’affranchir des structures de fixations classiques ce qui induit une très
forte réduction de consommation de matériaux.
On peut voir une photo d’une installation réalisée selon cette technique sur la figure 10.
Figure 10 : photo des panneaux HELIUP fixés par collage sur la membrane
d’étanchéité [Source : © Heliup] [8]
L’analyse comparée de ce système par rapport à un système classique est montrée en figure 11. On voit l’apport significatif de ce type de montage qui réduit
fortement, voir intégralement, l’utilisation de métaux comme l’acier, le béton ou l’aluminium.
Figure 11 : Gain en consommation des ressources avec le système HELIUP par rapport à un système PV standard –
source : Héliup
6. Messages à retenir
L’empreinte environnementale des systèmes PV dépend de nombreux paramètres et elle est en forte diminution. Ceci est lié aux fortes évolutions technologiques.
Poursuivre les efforts technologiques et les innovations pour réduire les quantités de matière utilisées, améliorer les procédés de fabrication tout en augmentant
les rendements énergétiques. Il reste ici beaucoup de marges ;
Inciter à ce que les fabrications s’orientent vers les pays utilisant une énergie plus propre;
Se préoccuper plus de la phase d’installation en réduisant l’utilisation des sols inappropriés et surtout en diminuant l’utilisation de métaux de fort impact pour les
supports.
On peut néanmoins dire que l’énergie photovoltaïque est d’ores et déjà une énergie verte par excellence et qu’elle le sera plus encore dans l’avenir. Elle est amenée à
terme à se positionner au même niveau que les énergies ayant les plus faiblesbilans carbone.
7. Remerciements
Ces travaux utilisent et valorisent la méthodologie développée par le CEA dans le cadre de l’Institut pour la Transition Energétique (ITE) INES.2S cofinancé par l’Etat
français dans le cadre de France 2030 Programme d’Investissements d’Avenir (ANR-10-IEED-0014-01).
Je suis particulièrement reconnaissante à Jean Pierre Joly pour sa contribution précieuse dans la rédaction de l’article et les informations importantes qu’il m’a
généreusement apporté. Je voudrais remercier également Yannick VESCHETTI d’avoir accepté de valoriser l’innovation portée par sa start-up HELIUP dans cet article.
Bibliographie
[1] ISO 14040, 2006a. « Environmental Management e Life Cycle Assessment e Principles and Framework».
[2] ISE, 2018. « Photovoltaics Report ». Fraunhofer Institute for Solar Energy Systems. Photovoltaic report, Freiburg. 21 February 2023.
[3] ITRPV, 2022. « International Technology Roadmap for Photovoltaic for Photovoltaic»,Results 2017 Inc, 13 edition, April 2022).
[4] N. Gazbouret al., “A path to reduce variability of the environmental footprint results of photovoltaic systems,” Journal of Cleaner Production, vol. 197, pp. 1607–1618,
Oct. 2018, doi: 10.1016/j.jclepro.2018.06.276.
[6] N. Gazbour, “Intégration systémique de l’éco-conception dès la phase de R&D des technologies photovoltaïques,” http://www.theses.fr, Feb. 14, 2019.
http://www.theses.fr/s183189 (accessed Oct. 22, 2019)
[7] Photovoltaic Geographical Information System (PVGIS) du Centre Commun de Recherche (JRC). https://re.jrc.ec.europa.eu/pvg_tools/fr/
[8] De la recherche à l’industrie – Heliup Des panneaux photovoltaïques ultra-légers pour toitures de bâtiments (cea.fr)
[1] ISO 14040, 2006a. « Environmental Management e Life Cycle Assessment e Principles and Framework».
[2]ITRPV, 2022. « International Technology Roadmap for Photovoltaic for Photovoltaic»,Results 2017 Inc, 13 edition, April 2022).
[3]N. Gazbouret al., “A path to reduce variability of the environmental footprint results of photovoltaic systems,” Journal of Cleaner Production, vol. 197, pp. 1607–1618,
Oct. 2018, doi: 10.1016/j.jclepro.2018.06.276.
[5]N. Gazbour, “Intégration systémique de l’éco-conception dès la phase de R&D des technologies photovoltaïques,” http://www.theses.fr, Feb. 14, 2019.
http://www.theses.fr/s183189 (accessed Oct. 22, 2019)
[6]https://re.jrc.ec.europa.eu/pvg_tools/fr/
[7]De la recherche à l’industrie – Heliup Des panneaux photovoltaïques ultra-légers pour toitures de bâtiments (cea.fr)