Dossier D'entreprise
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Dossier D'entreprise
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Noms des étudiants :
HMIDICH Salma .
FARAH Oussama.
Sous la
supervision de :
Mr. ESBAI
REDOUANE.
LA DIVERSITE DES
ENTREPRISES SELON
LE SECTEUR
D’ACTIVITE
PLAN :
Introduction ;
Définitions :
Secteur primaire ;
Secteur secondaire ;
Secteur territoire ;
Services marchands ;
Services non marchands ;
Profession libérale, artisanale et commerciale.
Statistiques et chiffres :
La répartition des entreprises selon leurs activités
Le nombre des employées dans chaque secteur
Analyse et réflexion :
L’évolution du marché des entreprises selon chaque
secteur
1/ Introduction
Les notions de secteur d’activité, de branche
professionnelle ou économique, de filière économique,
voire de filière d’excellence ou de pôle de compétitivité
possèdent chacune leur intérêt et leur justification propre
dès qu’il s’agit d’appréhender l’activité économique et ses
spécificités (observation de l’emploi) ou de définir des
cadres contractuels pour la mise en œuvre d’actions
(construction de politiques emploi-formation), l’impulsion
de projets (coopérations territoriales interinstitutionnelles)
ou la négociation (régulation des relations
professionnelles, construction de la qualification).
Parfois difficile à distinguer l’une de l’autre, mais loin
d’être redondante, voire même antagonistes, ces notions
recouvrent chacune des périmètres d’activité et
d’intervention différents mais possèdent toutes en
commun de rassembler, agréger et parfois fédérer les
acteurs économiques et en particulier les entreprises. Elles
constituent alors autant d’entrées utiles pour apprécier
l’activité économique d’un territoire, son dynamisme, sa
capacité à se structurer et à fédérer les acteurs
économiques et donc sa capacité d’innovation et
d’anticipation.
2/ Définitions :
Secteur primaire :
Secteur secondaire :
Composantes :
Aéronautique
Agroalimentaire
Automobile
Astronautique
Bâtiment et travaux publics
Construction ferroviaire
Energétique
Industrie pharmaceutique
Industrie spaciale
….
Secteur tertiaire :
Le secteur tertiaire regroupe toutes les activités économiques q
ui ne font pas partie des deux autres.
Par exemple, l’assurance, l'enseignement, la grande distribution
, les associations, le tourisme font
partie du secteur tertiaire. Il s’agit du secteur qui produit des se
rvices.
Dans les pays développés, c’est de loin le secteur le plus import
ant en nombre d'actifs occupés.
On distingue le secteur tertiaire marchand du secteur tertiaire n
on marchand, ce dernier comprenant la
production de services non échangeables comme la justice, la s
écurité, etc.
Branches :
Banque
Commerce
Finance
Communication
Tourisme
Télécommunication
Transport, logistique
Recherche
Informatique
Conseil
Audit
Banque
Assurance
Services publiques
Services juridiques
Sécurité
Santé
Education
….
Marchandes :
Non marchandes :
Profession libérale :
Peintre en bâtiment
maître-tailleur
Peintre en décors
Esthéticienne
Fleuriste
Métiers autour de la pierre
Ébéniste
Ferronnier d'art
Métiers autour de métal
Profession artisanale :
Profession commerciale
3/ Statistiques et chiffres :
Recrutement et Formation
Recrutement • La moitié des entreprises ont effectué des
recrutements durant la période considérée. Cette proportion est
de 58% dans l’industrie, 53% dans les services, 52% dans la
construction et 44% dans le commerce. Les GE ont recruté à
hauteur de 90% contre 38% chez les TPE.
Environnement
Cette enquête constitue une opportunité de mieux connaître la
position des entreprises vis-à-vis des questions
environnementales qui deviennent de plus en plus importantes
pour le développement des entreprises. Les résultats de
l’enquête font ressortir quelques constats sur l’implication en
matière de protection de l’environnement
Financement
Globalement, une entreprise sur cinq a recouru au
financement externe. Cette proportion s’élève à 46%
pour les GE et 18% chez les TPME.
4/Analyse et réflexion :
Non agricole
Le HCP vient de réviser à la baisse sa prévision de croissance
pour 2019, effectuée en janvier dernier: au lieu de 2,9%, le PIB
ne devrait augmenter que de 2,7% contre 3% en 2018 et 4,2%
en 2017. Pour 2020, en revanche, l’activité, moyennant
certaines hypothèses, devrait s’améliorer, réalisant une
progression de 3,4%.
Selon le Haut Commissaire au Plan, Ahmed Lahlimi, qui
présentait mardi 9 juillet, à Casablanca, le Budget économique
exploratoire 2020, et à l’occasion duquel les prévisions pour
l’exercice 2019 effectuées en début d’année sont corrigées
suivant l’évolution de la conjoncture tant nationale
qu’internationale, la baisse de rythme de la croissance
économique pour l’année en cours tient principalement à deux
facteurs: une croissance négative de la valeur ajoutée agricole
(-2,1%), d’une part, et une contribution négative de la demande
extérieure (-0,3 point), d’autre part.
Cette configuration de la croissance du Maroc confirme, s’il en
était besoin, que l’activité, quoi qu’on ait pu dire, demeure
encore rythmée par le comportement du secteur primaire, en
particulier sa composante agricole, et plus spécifiquement
encore la production céréalière. Il a suffi en effet que la récolte
céréalière pour la campagne 2018/2019, pour des raisons de
pluviométrie, baisse à 61 millions de quintaux, soit -40% par
rapport à la campagne précédente, pour que la croissance
globale soit amputée de 0,3 point. Pourtant, avec 61 millions de
quintaux, la production céréalière n’a rien de mauvaise, elle est
plutôt moyenne. Sans compter que la récolte, en ce qui
concerne les cultures hors céréales, est jugée plutôt bonne.
C’est que, en raison de l’effet de base, la valeur ajoutée
agricole a tout simplement évolué à la baisse, tirant dans le
même mouvement le niveau de progression du PIB global.