Logique Floue - Wikipédia
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type de logique
La logique floue (fuzzy logic, en anglais) est une logique polyvalente où les valeurs de vérité des variables —
au lieu d'être vrai ou faux — sont des réels entre 0 et 1. En ce sens, elle étend la logique booléenne
classique avec des valeurs de vérité partielles , c'est-à-dire situées entre les valeurs booléennes vrai et
faux1. Elle consiste à tenir compte de divers facteurs numériques pour aboutir à une conclusion qu'on
souhaite raisonnable.
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de
qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à
sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Introduction
Par ses aspects numériques, la logique floue s'oppose aux logiques modales. [réf. souhaitée]
Formalisée par Lotfi Zadeh en 1965, outil de l'intelligence artificielle, elle est utilisée dans des domaines
aussi variés que :
Elle est formalisée par une théorie mathématique des ensembles flous de Lotfi Zadeh qui présente une
extension de la théorie des ensembles classiques aux ensembles définis de façon imprécise.
Partant d'un concept de fonction d'appartenance à valeur dans [0, 1], Lotfi Zadeh :
La logique floue présente l'intérêt d'être aisée à implémenter, sans prétendre à la rigueur d'une logique
probabiliste (qui elle aussi admet des valeurs de vérité sur l'intervalle [0,1]), bien que cette dernière seule
soit stricto sensu cohérente (voir Théorème de Cox-Jaynes). Par exemple la courbe Ev(p) peut être
remplacée par trois segments de droite sans perte excessive de précision pour beaucoup d'applications
considérées ci-dessus. [réf. nécessaire]
Principe
Cette section adopte un point de vue régional ou culturel particulier et doit être internationalisée (novembre
2021).
Assouplissant [Comment ?] l'algèbre de Boole, la logique floue remplace la valeur de vérité d'une proposition à
choisir dans {vrai, faux} par un degré de vérité, à choisir par exemple dans [0, 1]. En logique floue, il y a donc
des degrés dans la satisfaction d'une condition.
Un exemple simple et ancien est la docimologie, c'est-à-dire l'évaluation des élèves d'une classe : dans
chaque discipline8, celui-ci est évalué par une note entre 0 (mauvais) et 20 (exceptionnel) et on estime,
assez arbitrairement, le niveau de l'élève pour telle ou telle orientation par une pondération de ces notes
avec divers coefficients selon l'orientation considérée.
Propriétés
Prenons l'exemple de la vitesse d'un véhicule sur une route où la vitesse normale est de 90 km/h. La vitesse
est considérée élevée au-dessus de 100 km/h et réglementaire en dessous de 80 km/h. On souhaite
caractériser la vitesse du véhicule en répondant par exemple à la question « La vitesse est-elle élevée ? ».
En logique floue, on autorise différents degrés d'énoncés de réponse à la question « La vitesse est-elle
élevée ? » (voir fig. 2) :
La vitesse est réglementaire en dessous de 80 km/h. On peut donc dire qu'en dessous de 80 km/h, la
vitesse est élevée avec un taux de confiance de 0 %.
La vitesse est élevée au-dessus de 100 km/h. La vitesse est non
réglementaire avec un taux de confiance de 100 % au-dessus de
100 km/h.
De même, on peut définir une fonction correspondant à la question « La vitesse est-elle peu élevée ? » de la
manière suivante (voir fig. 3) :
La vitesse est peu élevée en dessous de 80 km/h. Elle est donc peu élevée à 100 %.
La vitesse est considérée comme pas du tout peu élevée au-dessus
de 100 km/h. Elle est donc peu élevée à 0 %.
On peut aussi définir une fonction correspondant à la question « La vitesse est-elle moyenne ? » (voir fig.
4) :
La vitesse est moyenne à 90 km/h. À cette allure, la vitesse est moyenne à 100 %.
La vitesse n'est pas du tout moyenne en dessous de 80 km/h et au-
dessus de 100 km/h. Hors de cet intervalle, la vitesse est moyenne à
0 %.
Il n'est pas obligatoire que la transition soit linéaire. Des transitions hyperboliques (comme une sigmoïde ou
une tangente hyperbolique), exponentielle, gaussienne (dans le cas d'un état moyen) ou de toute autre
nature sont utilisables (voir fig. 5).
fig. 5
Relations
Le degré de vérité d'une relation floue entre deux ou t-objets est le degré d'appartenance de la paire ou du t-
uple à l'ensemble flou associé à la relation.
Soit la relation est1 (est-un/est-une). Pour dire que toute chaise est un meuble et que 30 % des meubles
sont des chaises, on accordera un degré de vérité de 1 à est1(chaise, meuble) et un degré 0,3 à est1(meuble,
chaise).
La connaissance topographique qu'un agent possède d'un monde clos pourra s'appuyer sur l'attribution de
degrés de vérité à une relation du style x est_plus_près_de y que_de z, construite et/ou affinée par
apprentissage.
De façon générale, les relations floues permettront de coder des connaissances graduées, empiriques ou
typiques, acquises directement ou par des heuristiques, des inductions...
Combinaison d'énoncés
Dans le cas d'une combinaison d'énoncés (pour exemple : « Si le ciel est bleu et si j'ai le temps »), trois cas
se présentent :
Les énoncés sont liés par un « ET » : dans ce cas, on peut assigner à cette conjonction le degré de vérité
le plus faible. En fait, il suffit de choisir un opérateur tel que où est appelée
une t-norme. est la plus optimiste des t-normes.
Les entrées sont liées par un « OU » : dans ce cas, on peut assigner à cette adjonction le degré de vérité
le plus élevé. En fait, il suffit de choisir un opérateur tel que où est appelée
une t-conorme. est la plus pessimiste des t-conormes.
Un ou plusieurs énoncés peuvent être niés. Dans ce cas, pour garder un maximum de propriétés logiques
on associe à la négation le complément du degré de vérité de l'énoncé.
Premier système
il devient possible de représenter toutes les opérations logiques de base en logique floue :
[10]
OU OR A OU B
ET A ET B
NON NON A
[réf. nécessaire]
OU Exclusif OUEX A OUEX B
NI NON-OU A NI B
ON NON-ET A ON B
Deuxième système
Par ailleurs, la dimension numérique des variables de la logique floue permet d'utiliser d'autres opérations :
Le produit : A × B pour ET (ce qui fait perdre l'idempotence : A ET A devient alors une interprétation de
très A);
La composition : A + B - A × B pour OU (la simple addition dépasserait les bornes de l'intervalle [0 1] dans
certains cas)11.
Autres systèmes
Pour combattre certains problèmes d'inférence, on peut vouloir un opérateur ET plus dur, associant à
l'opération A ET B, le degré .
Dans un tel cas, OU et NON doivent être choisis de façon à conserver ou non certaines propriétés, par
exemple pour sécuriser les raisonnements.
On trouvera dans la Théorie des Possibilités (op. cit.) les relations entre axiomes logiques souhaités et
équations fonctionnelles que doivent respecter les opérateurs correspondants.
On peut même changer l'espace de vérité, en préférant par exemple [-1 +1] pour certaines propriétés
bipolaires.
Opérateurs flous
Les opérateurs flous peuvent être définis de diverses manières, dès lors qu'ils dotent, selon Goguen,
l'espace de vérité choisi d'une structure de treillis, souhaitable pour le ET et le OU, treillis de préférence
complémenté pour un NON involutif.
Les familles paramétriques d'opérateurs flous permettront à un même moteur d'inférence d'incarner des
logiques plus ou moins strictes. Une même application pourra ainsi faire appel à des implémentations
différentes judicieusement choisies selon le contexte.
L'exemple ci-dessous montre à travers 3 modes de résolution l'influence du choix des opérateurs, au-delà
d'une approche naïve d'un problème.
Exemple d'utilisation
Cet exemple montre comment combiner des opérateurs flous de divers types à travers le problème
« confirmer l'appartenance d'une personne à un groupe » :
Énoncé
Une personne sera plus ou moins membre (à un niveau fzMembre, compris entre 0 et 1, inclusivement)
d'un groupe, disons les flower lovers, soit si, pour n'importe quelle raison, elle en fait déjà plus ou moins
partie (à un niveau fzDejaMembre),
soit si elle a une assez bonne connaissance des orchidées (fzConnaitOrchidees)
et que la connaissance des orchidées
est un critère assez déterminant (fzOrchideesAmis) d'appartenance au groupe des flower lovers.
Solution 1
hyperbolique)
Implémentation
Implémentation
Une solution qui n'utiliserait que les opérateurs représentables par des paraboloïdes hyperboliques serait :
hyperbolique) hyperbolique)
Implémentation
Les trois méthodes exposées ci-dessus convergent lorsque les valeurs d'entrée sont booléennes :
pour fzDejaMembre=0 (faux), fzConnaitOrchidees=0 (faux) et
fzOrchideesAmis=1 (vrai), on trouve 0 (faux)
pour fzDejaMembre=0 (faux), fzConnaitOrchidees=1 (vrai) et
fzOrchideesAmis=1 (vrai), on trouve 1 (vrai)
pour fzDejaMembre=1 (vrai), fzConnaitOrchidees=1 (vrai) et
fzOrchideesAmis=1 (vrai), on retrouve 1 (vrai)
pour fzDejaMembre=1 (vrai), fzConnaitOrchidees=0 (faux) et
fzOrchideesAmis=1 (vrai), on conserve 1 (vrai)
Opérateur implique
Définition
Pour l'exemple à l'orchidée ci-dessus, une situation normale est que la connaissance des orchidées
implique l'appartenance au groupe. C’est-à-dire, plus précisément, qu'on ne peut pas connaître les
orchidées et, simultanément, ne pas être membre du groupe des amis des fleurs.
De même qu'on a vu ci-dessus plusieurs manières d'implémenter les opérateurs OR et AND, il y a aussi
plusieurs manières d'implémenter la notion d'implication.
Implémentation
dans un cas extrême mais normal, avec fzConnaitOrchidees=0.8 et fzMembre=0.995, les valeurs
trouvées seront respectivement :
1 (true)
0.995 (Zadeh)
0.996 (Hyperbolic Paraboloid)
dans un cas considéré comme normal, avec fzConnaitOrchidees=0.8 et fzMembre=0.72, les valeurs
trouvées seront respectivement :
dans un autre cas qui reste normal, la personne pouvant aussi être membre des amis des fleurs à cause
de son amour des tulipes, avec fzConnaitOrchidees=0.66 et fzMembre=0.72, les valeurs trouvées seront
respectivement :
dans un cas assez douteux, avec fzConnaitOrchidees=0.5 et fzMembre=0.5, les valeurs trouvées seront
respectivement :
1 (true)
0.5 (Zadeh)
0.75 (Hyperbolic Paraboloid)
dans un cas anormal, avec fzConnaitOrchidees=0.8 et fzMembre=0.3, les valeurs trouvées seront
respectivement :
0 (false)
0.3 (Zadeh)
0.44 (Hyperbolic Paraboloid)
dans un cas anormal et extrême, avec fzConnaitOrchidees=0.8 et fzMembre=0.005, les valeurs trouvées
seront respectivement :
0 (false)
0.2 (Zadeh)
0.204 (Hyperbolic Paraboloid)
Utilisation pratique
Une application informatique qui viserait à proposer à un opérateur humain de traiter les cas anormaux en
commençant par les plus suspects utiliserait les valeurs indiquées ci-dessus en gras et obtenues par la
méthode identifiée Hyperbolic Paraboloid, particulièrement discriminante.
Il n'est pas sûr que cette application intéresse les amis des fleurs. Par contre, l'intérêt pour un service de
médecine préventive (ou même pour un fleuriste) est compréhensible. Lorsque le nombre d'examens des
cas suspects doit être plafonné (par exemple pour des raisons de temps, de coût, de dangerosité, etc), un
pré-classement intelligent fondé sinon sur une théorie incontestée, du moins sur une technologie
opérationnelle, peut s'avérer utile.
Représentation graphique
Opérateurs linguistiques
Soit v(x est chaud) = 0,8. On pourra poser v(x est très chaud) = 0,8² = 0,64 et a contrario v(x est assez
chaud)= rac2(0,8) = 0,89, ce qui facilite le codage des connaissances empiriques.
Commande floue
Une fois la valeur de l'entrée (« La vitesse est-elle élevée ? ») évaluée, une valeur peut être déterminée pour
une fonction de sortie. Considérons la règle « Si la fièvre est forte, alors administrer de l'aspirine ». Une telle
règle est appelée commande floue. Elle est composée de deux parties :
Une entrée : « La fièvre est-elle forte ? ». On considère qu'une fièvre n'est pas forte en dessous de 38 °C, et
qu'elle est forte au-dessus de 40 °C.
Ces deux parties sont liées. On peut les représenter ensemble comme sur la fig. 6.
fig. 6
Il existe plusieurs techniques pour déterminer la valeur de la sortie (dans l'exemple : la quantité d'aspirine à
administrer) :
La droite ayant la même ordonnée que le point de la courbe de départ ayant pour abscisse la valeur de
l'entrée coupe la courbe de sortie. L'abscisse de ce point d'intersection est une valeur de sortie possible
(fig. 7).
fig. 7
La droite ayant la même ordonnée que le point de la courbe de départ ayant pour abscisse la valeur de
l'entrée délimite un trapèze au niveau de la sortie. Le centre de gravité de ce trapèze est également une
valeur de sortie possible (fig. 8).
fig. 8
Il existe une opinion qui dit que [évasif] « La théorie des ensembles flous présente la particularité de n'avoir
aucun théorème à proposer. C'est-à-dire que si elle peut rendre quelques services techniques, elle ne peut pour
autant prétendre à un quelconque statut de science, et encore moins de théorie ». [citation nécessaire]
En fait, la logique floue a été formalisée [réf. souhaitée] et un théorème (élémentaire, cependant) montre que
dans le cas particulier où les propositions traitées ne sont pas floues, la logique floue se réduit à la logique
classique.
Dans son ouvrage Décisions rationnelles dans l'incertain, Myron Tribus rappelle que le théorème de Cox-
Jaynes montre d'une part que l'on peut représenter un état de connaissance incertaine par une probabilité,
et d'autre part que tout moyen utilisé pour prendre des décisions sera soit isomorphe à la théorie des
probabilités, soit incohérent. Les connaissances floues ne sont pas à proprement parler des connaissances
incertaines : on peut par exemple savoir avec précision qu'un homme mesure 1,74 m. Néanmoins, ce qui est
flou est de savoir s'il sera considéré comme « grand » ou « petit ».
A contrario, dire : « l'âge de cette personne est voisin de 30 ans » représente une estimation floue de l'âge
effectif de la personne, qui est pour sa part très précis. L'imprécision concerne l'estimation elle-même et
non l'âge réel.
On pourrait dire aussi : « l'âge de cette personne est entre 27 et 33 ans, avec une probabilité de 0.8 ». Là
encore, la probabilité mesure un état de connaissance de l'observateur et non une caractéristique de ce qui
est observé.
Jim Bezdek distingue pour sa part probabilité et imprécision : « On se trouve dans un désert, après des
jours d'errance… Presque mort de soif, on trouve alors deux bouteilles remplies d'un liquide. Sur la bouteille
A, une étiquette annonce « Potable avec un degré de 0,9 », et sur la bouteille B, l'étiquette dit « potable avec
une probabilité de 0,9 ». Laquelle de ces deux bouteilles doit-on choisir ? ». Si l'on traduit les indications des
étiquettes, on en retire qu'en buvant la bouteille A, on pourra s'en tirer avec comme seuls risques, quelques
problèmes intestinaux non mortels… Par contre, en buvant la bouteille B, il y a une probabilité non
négligeable (10 % de chance) que le liquide puisse être très nocif (acide…) et absolument pas buvable.
Une théorie des possibilités a été introduite (aussi par Lotfi Zadeh en 1978) afin de permettre la prise en
compte combinée à la fois de l'imprécision et de l'incertitude dans des connaissances.
La logique floue n'est pas la seule à parler d'incertitude
La logique modale a été introduite par Aristote, puis continuée par Leibniz et des chercheurs
contemporains pour prendre en compte des affaiblissements ou des renforcements d'affirmations présents
dans les langues naturelles, en s'intéressant par exemple aux rapports du vrai, du faux, du nécessaire et du
possible.
La théorie de la complexité algorithmique (ou complexité de Kolmogorov) est aussi une méthode plus ou
moins rigoureuse pour envisager la difficulté de donner la description précise d'une chose (X peut
apparaître plus complexe que Y pour une machine A et moins complexe que Y pour une machine B, par
exemple un calculateur quantique. Il s'agit donc d'une complexité relative à une machine de référence
donnée.
Enfin, les probabilités bayésiennes utilisées en avenir incertain utilisent des approches voisines de celles de
la logique floue, mais cette fois-ci sans aucun arbitraire : les distributions de probabilité a priori doivent y
être celle d'entropie maximale…
Notes et références
1. Novák, V., Perfilieva, I. et Močkoř, J., Mathematical principles of fuzzy logic, Dordrecht, Kluwer
Academic, 1999, 320 p. (ISBN 978-0-7923-8595-0, lire en ligne (https://books.google.com/books?id=pJeu6Ue65S4C&
printsec=frontcover) [archive])
2. Kadri, M., Azouaoui, O., Kezerli, R., & Hariz, A. H. (2007). al, "Comportement d’évitement d’obstacles
basé sur les réseaux de neurones et la logique floue pour un robot mobile autonome”. In 4th
International Conference on Computer Integrated Manufacturing, CIP (p. 03-04)
3. Vratislav Jerabek, Contrôle flou des procédés avec application à la commande des feux de circulation,
Université de Sherbrooke, 1994 (ISBN 978-0-315-98719-7, lire en ligne (https://savoirs.usherbrooke.ca/handle/1114
3/18041) [archive])
4. Baridam, Barilee. (2018). An Intelligent Air Traffic Control System using Fuzzy Logic Model.
5. Catherine Freissinet, « Estimation des imprécisions dans la modélisation du devenir des produits
phytosanitaires dans les sols : une méthode fondée sur la logique floue », La Houille Blanche, vol. 84,
no 8,1er décembre 1998, p. 14–16 (ISSN 0018-6368 (https://portal.issn.org/resource/issn/0018-6368) et 1958-
5551 (https://portal.issn.org/resource/issn/1958-5551) ,
6. (en) A. Messaoud, M. Messaoud et Faïçal Sellami, « Classification des arythmies cardiaques par
logique floue à partir de signaux ECG », undefined,2005 (lire en ligne (https://www.semanticscholar.org/paper/C
lassification-des-arythmies-cardiaques-par-logique-Messaoud-Messaoud/71723810302f058db06ef9c218d1fa63eaf9b27
7. Cédric Lesage, « Évaluation du risque d'audit : proposition d'un modèle linguistique fondé sur la
logique floue », Comptabilité - Contrôle - Audit, vol. 5, no 2,1999, p. 107 (ISSN 1262-2788 (https://portal.issn.o
rg/resource/issn/1262-2788) , DOI 10.3917/cca.052.0107 (https://dx.doi.org/10.3917/cca.052.0107) , lire en ligne (http
8. En France.
10. écriture allégée : en toute rigueur, on devrait distinguer l'énoncé A et son degré de vérité v(A), et écrire
v(A OU B) = max(v(A), v(B))
11. dans un style proche de George Boole (1854), ou de Vallée qui appelle cette composition produel dans
son Analyse Binaire ; parfois vu aussi comme probabiliste
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Voir aussi
Bibliographie
Godjevac J., Idées nettes sur la logique floue, PPUR : Lausanne, collection informatique, 1999, 128p.,
(ISBN 2-88074-378-8).
Prade H., Dubois D. & al., Théorie des possibilités : Applications à la représentation des connaissances en
informatique, coll. (Méthode + programmes), Masson : Paris, 1985.
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Ebrahim Mamdani