L'Étranger L'Étranger: Excipit Excipit

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Document rédigé par Marine Everard Document rédigé par Marine Everard
Maitre en lettres modernes
(Université Lille III)

L’Étranger
Excipit L’Étranger
Albert Camus
Excipit
Albert Camus

lePetitLittéraire.fr
lePetitLittéraire.fr
TEXTE ÉTUDIÉ 7
Excipit

MISE EN CONTEXTE 8
Camus et l’absurde
Situation de l’extrait étudié

COMMENTAIRE 10
La métamorphose du personnage
Révolte et catharsis
L’acceptation de soi et du monde

POUR ALLER PLUS LOIN 17


Albert Camus
Écrivain, dramaturge,
essayiste et philosophe français

• Né en 1913 à Mondovi (Algérie)


• Décédé en 1960 à Villeblevin
• Quelques-­unes de ses œuvres :
ʟʟ L’Étranger (1942), roman
ʟʟ Le Mythe de Sisyphe (1943), essai
ʟʟ La Peste (1947), roman

Français né en Algérie, prix Nobel de littérature, Albert


Camus (1913‑1960) est l’un des écrivains majeurs du
xxe siècle. Intellectuel profondément engagé, philosophe,
journaliste, dramaturge et romancier, il a marqué son temps
par sa réflexion sur l’absurde, qui a trouvé chez lui une
expression nuancée, sensible et humaine.

Largement admiré, parfois critiqué, Camus a trouvé un écho


considérable dans le monde entier avec ses romans La Peste
(1947) et, surtout, L’Étranger (1942). Il est mort prématuré-
ment en 1960 des suites d’un accident de voiture.

-5-
L’Étranger
Un roman atypique TEXTE ÉTUDIÉ
dans le paysage littéraire

• Genre : roman absurde


EXCIPIT
• Édition de référence : L’Étranger, Paris, Gallimard, coll.
« Folio », 1957, 191 p.
De « Alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui
• 1re édition : 1942
a crevé en moi. Je me suis mis à crier à plein gosier et je l’ai
• Thématiques : absurde, sensualisme, soleil, révolte,
insulté et je lui ai dit de ne pas prier. Je l’avais pris par le
injustice
collet de sa soutane. Je déversais sur lui tout le fond de mon
cœur […] » jusqu’à la fin.
L’Étranger est l’œuvre la plus célèbre d’Albert Camus. Il s’agit
de son premier roman, publié en 1942. Pendant littéraire de
sa réflexion sur l’absurde, ce roman est une introspection
à la première personne de Meursault, un jeune homme
détaché des conventions sociales et morales, « étranger »
au monde qui l’entoure. Condamné à mort pour le meurtre
d’un Arabe et stigmatisé pour n’avoir pas pleuré à l’enter-
rement de sa mère, Meursault est l’incarnation de l’homme
perdu dans un monde absurde.

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travers l’histoire (de la pensée autant que des évènements),
MISE EN CONTEXTE Albert Camus énonce le célèbre « Je me révolte donc nous
sommes ». La révolte est une valeur positive, elle fait état
de l’orgueil de l’homme, elle lui permet de dépasser sa
CAMUS ET L’ABSURDE condition et d’écrire l’histoire collective.

L’Étranger (1942), Le Mythe de Sisyphe (1943) et Caligula SITUATION DE L’EXTRAIT ÉTUDIÉ


(1945) sont considérés comme les œuvres constitutives
du « cycle de l’absurde » de Camus. On peut résumer très Il s’agit de la dernière scène du roman. Après que Meursault
succinctement la contribution fondamentale de l’auteur à a été jugé pour le meurtre de l’Arabe et condamné à mort,
la philosophie de l’absurde. il reçoit dans sa cellule la visite d’un aumônier. Celui-­ci
espère recueillir sa confession et l’ouvrir à Dieu. Meursault,
Dans Le Mythe de Sisyphe, Camus affirme que « l’absurde dénué de toute spiritualité et fondamentalement incroyant,
naît de cette confrontation entre l’appel humain et le silence s’emporte violemment contre lui.
déraisonnable du monde » (Camus A., Le Mythe de Sisyphe,
Paris, Gallimard, coll. « Folio essais », 1994). Autrement dit,
la quête de sens et de cohérence inhérente à l’esprit humain
se heurte au silence de l’univers, à l’absence de réponse.
Le sentiment d’absurde nait alors de la perte des illusions,
de la conscience du caractère inexplicable des choses et de
la soudaine étrangeté de son quotidien.

Deux solutions s’offrent à l’homme confronté à l’absurde :


la religion ou le suicide. Camus réfute l’une et l’autre et
propose la révolte comme seule façon de vivre l’absurde.
La lucidité et l’acceptation de sa condition donnent à
l’homme une infinie liberté dans le temps présent, liberté
qui, si elle se détache de l’emprise des valeurs morales,
n’en reste pas moins intimement liée à la solidarité et à
la fraternité. En effet, même si, pour Camus, la révolte est
une fin en soi, les révoltés doivent s’opposer aux injustices
et aspirer à l’égalité et à la liberté. Dans L’Homme révolté
(1951), un essai sur l’expression et les formes de la révolte à

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Finalement, le véritable achèvement a lieu en Meursault,
COMMENTAIRE justement parce qu’il se sent si « près de la mort ». La scène
finale rend compte de la métamorphose du personnage,
qui acquiert alors une tout autre dimension. La rencontre
LA MÉTAMORPHOSE DU PERSONNAGE avec l’aumônier, et en particulier son discours religieux,
ont un effet déclencheur sur lui. Au moment où « quelque
La fin de L’Étranger s’articule en deux temps distincts, cor- chose [crève] en lui », le Meursault d’apparence sobre et
respondant à différents états émotionnels du personnage. impassible disparait. Il sort de la torpeur émotionnelle qui
Nous sommes en face d’une construction en diptyque soi- le caractérise tout au long du roman (en effet, dès le début,
gneusement élaborée : le ton est donné : « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-­
être hier, je ne sais pas. » p. 9). En conséquence, le style,
• d’abord, nous assistons à la colère furieuse de Meursault pareillement pauvre, dépouillé (écriture dite « blanche ») et
contre l’aumônier, ce dernier lui ayant dit qu’il allait prier traduisant l’intériorité d’un personnage dénué du moindre
pour lui : « Alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque sentiment, change lui aussi.
chose qui a crevé en moi. » ;
• ensuite, l’aumônier part et Meursault retrouve son calme Dans la première partie du passage étudié, le monologue
et sa solitude : « Lui parti, j’ai retrouvé le calme. » Le pro- du narrateur s’effectue au discours indirect libre. La prose
nom « lui » rejeté en début de phrase met en évidence est vive, percutante et impulsive. Le personnage est dévoré
le divorce radical entre Meursault et la société bienpen- par la colère :
sante qu’incarne la figure de l’aumônier.
• l’omniprésence du « je » confirme que Meursault est sub-
La fin du roman ne marque pas de résolution définitive mergé par les affects, à tel point qu’il ne bride plus son
des évènements. Tous les fils ne se dénouent pas ; certes comportement (« je me suis mis à crier à plein gosier »)
Meursault anticipe son exécution (« il me restait à sou- et qu’il est en proie à la confusion (« bondissements
haiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon mêlés de joie et de colère ») ;
exécution »), mais cette dernière n’est pas certaine, puisqu’il • les constructions emphatiques, les rythmes et les répé-
est dans l’attente d’une réponse à sa demande de grâce. titions témoignent d’une syntaxe élaborée, et donc de
Quoi qu’il en soit, la mort est omniprésente dans le passage, la densification du personnage ;
par le biais des champs lexicaux de l’achèvement et de la • les questions oratoires (« Il avait l’air si certain, n’est-­ce
disparition (« cette mort qui allait venir », « il a disparu », pas ? », « Et après ? », « Comprenait-­il, comprenait-­il
« des vies s’éteignaient », « à la fin d’une vie », « près de la donc ? », etc.) renvoient à l’oralité du passage et lui
mort », « exécution »). confèrent les caractéristiques de la plaidoirie.

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De même, l’écriture pacifiée de la deuxième partie surprend une rétrospective des principaux évènements et person-
également, mais d’une façon différente, par sa tonalité nages du roman (il convoque les souvenirs de Salamano
mélancolique et son lyrisme. On découvre un Meursault sen- et de son chien, de Raymond et de Céleste, de Marie et
sible aux beautés du monde naturel et à la douceur de la nuit de son désir de mariage ou encore de son procès), que les
tombante. L’exemple le plus explicite est la vision du soir qui souvenirs sont traités sur un même pied d’égalité et rejetés
est « comme une trêve mélancolique ». Contrairement au dans l’oubli sans que Meursault ne manifeste le moindre
soleil qui dérange et aveugle Meursault à plusieurs reprises regret. En fait, il démontre de cette manière l’inconsistance
dans le roman (notamment à l’enterrement de sa mère et des choses humaines et la légèreté de la vie, délivrée du
lorsqu’il tue l’Arabe), c’est le soir qui caractérise le dénoue- dogme religieux.
ment, d’où cette idée de « trêve ». Le soleil l’aveugle, mais le
crépuscule le conduit à la lucidité, comme on le verra par Dès lors, la remémoration est prétexte à la négation de
la suite. Le personnage gagne donc une dimension tragique l’échelle des valeurs morales et sociales :
dans ce monologue révolté et philosophique, qui débouche
sur l’apothéose poétique d’une communion avec la nature. • le chien et l’être humain sont mis à égalité (« Le chien
de Salamano valait autant que sa femme. ») ;
RÉVOLTE ET CATHARSIS • la bonté et la malveillance se retrouvent également
mises sur le même pied. Le critère de valeur morale
La colère de Meursault prend pour cible l’aumônier, mais, disparait (« Qu’importait que Raymond fût mon copain
à travers lui, ce sont la religion, la société et la morale qui autant que Céleste qui valait mieux que lui ? ») ;
sont visées. Il s’agit non seulement d’une révolte contre la • les valeurs sacrées censées être au fondement de la
« vie absurde », mais aussi contre les fausses croyances qui société n’ont pas d’importance : l’amour filial et le res-
prétendent l’expliquer et lui donner un sens. pect de la vie humaine (« Que m’importaient la mort des
hommes, l’amour d’une mère […]. »), la foi (« […] que
En fait, Meursault s’attaque au postulat religieux de la m’importaient son Dieu […]. ») ou encore la fidélité et le
vie éternelle (la vie après la mort). Il affirme que la seule mariage (« Qu’importait que Marie donnât aujourd’hui
vérité, c’est la certitude de la mort et des limites de la vie sa bouche à un nouveau Meursault ? »).
humaine. Cette certitude est absolue ; en témoignent les
redondances et les répétitions anaphoriques qui l’expri- Le « que m’importaient » en anaphore et l’énumération
ment : « J’étais sûr de moi, sûr de tout, plus sûr que lui, aléatoire mettent en évidence l’attitude dédaigneuse de
sûr de ma vie et de cette mort qui allait venir. » Or, si la vie Meursault. L’utilisation de termes généraux et indéfinis
est limitée, s’il n’y a pas d’au-­delà, les actes et les choix d’un (« telle façon »/ « telle autre », « ceci »/ « cela », « telle
individu n’ont plus de conséquences et la notion de péché chose »/ « cette autre ») souligne l’inconséquence des
disparait. On remarque ainsi, lorsque Meursault effectue « vies qu’on choisit » et du rôle qu’on s’octroie. D’ailleurs,

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on trouve dans le texte le lexique du théâtre, conforté par termes qui connotent la violence (« crevé », « crier »).
le monologue (« elle avait joué à recommencer », « specta- Il a recours aux insultes (« je l’ai insulté ») et il est
teurs »). La vie est pareille à une comédie et la condamnation physiquement agressif (« je l’avais pris par le collet de
à mort pèse sur « tout le monde ». En effet, Meursault sa soutane ») ;
ironise sur sa condamnation à mort et joue sur le sens de • la confrontation avec l’aumônier le laisse « épuisé ».
l’expression. L’absurde de sa situation vient du fait que tout Il affirme ensuite que « cette grande colère » l’a « purgé
homme est destiné à mourir, dès sa naissance (« les autres du mal ». Il s’agit bien d’une purgation (« purgé du mal »,
aussi, on les condamnerait un jour », l’aumônier « lui aussi, « vidé d’espoir ») et d’une libération, qui lui permettent
on le condamnerait »). Dès lors, on peut voir le procès de de trouver la paix intérieure.
Meursault et la sentence qui s’ensuivit comme une allégorie
de la condition humaine, rappelant Le Procès (1925) de Kafka L’ACCEPTATION DE SOI ET DU MONDE
(écrivain tchèque de langue allemande, 1883‑1924).
Dans la deuxième partie du texte (à partir de « Lui parti,
Pourfendeur des faux-­semblants et des conventions sociales, j’ai retrouvé le calme. »), Meursault est seul dans sa cel-
chantre d’une amoralité scandaleuse, le personnage prend lule et goute la paix du soir. La lucidité et la mélancolie
une dimension tragique. Aux prises avec le destin et la mort ont succédé à la colère, et il entre en communion avec la
(topos tragique), il est incompris par ses semblables. Mais il nature, dont les échos lui parviennent du dehors. Il accède
apparait que la colère et la révolte ont un effet cathartique à une conscience aigüe du monde qui l’entoure et se sent
sur Meursault. partie intégrante de l’univers. Il est envahi par « des bruits
de campagne » et des « odeurs de nuit » ; la proximité de
la mort démultiplie les sensations (image de la marée qui
Bon à savoir entre en lui) et intensifie les moments de vie (il est « prêt à
Selon Aristote (philosophe grec, 384‑322 av. J.-­C.), la catharsis désigne tout revivre »). Dès lors, l’écriture prend un caractère extrê-
la « purgation des passions » chez les spectateurs d’une représenta- mement poétique. L’image de Meursault qui s’éveille
tion théâtrale. Par extension, la catharsis est la libération d’affects
longtemps refoulés ou ignorés. « avec des étoiles sur le visage » en témoigne : c’est comme
s’il fusionnait avec l’univers, comme si les éléments natu-
rels s’imprimaient en lui. L’instant semble vécu sur le mode
Dans le texte, on trouve l’ambivalence colère/libération et intemporel, d’autant que sa révolte lui vient « du fond de
on constate l’effet bénéfique de la colère sur Meursault : son avenir » et qu’il évoque le temps figé d’une « trêve
mélancolique ». La convocation de l’origine est rendue
• la réaction de Meursault est excessive et démesurée : évidente par le retour à la mère, à la fin, et est en relation
l’image du torrent est convoquée pour décrire sa colère avec le début du roman, bouclant ainsi le cheminement
(« je déversais », « bondissements ») ainsi que des absurde de Meursault dans l’existence.

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Ainsi, Meursault s’est détourné du monde des hommes pour
s’ouvrir au monde naturel. Le jeu sur la polysémie du mot
POUR ALLER PLUS LOIN
« monde » instaure une sorte de chiasme à distance dans
le texte : d’abord, il évoque « un monde qui maintenant
[lui] était à jamais indifférent » (la société), puis, plus loin, ÉDITION DE RÉFÉRENCE
il s’ouvre « à la tendre indifférence du monde » (l’univers).
Paradoxalement, c’est le monde naturel qui est fraternel, • Camus A., L’Étranger, Paris, Gallimard, coll. « Folio »,
et non les hommes qui « se disaient [s]es frères ». L’heure 1957.
est à l’acceptation de sa condition et en ce sens l’omnipré-
sence du « je » fait état de la détermination du personnage. SUR LEPETITLITTÉRAIRE.FR
Il se suffit à lui-­même (« j’avais eu raison, j’avais encore
raison, j’avais toujours raison ») et envisage son exécution • Commentaire de l’incipit de L’Étranger
de façon stoïque, car elle correspond à une affirmation de • Commentaire du meurtre de l’Arabe dans L’Étranger
soi et à une justification de son existence. Le personnage • Fiche de lecture sur Caligula d’Albert Camus
acquiert de la sorte une grandeur insoupçonnée qui trouve • Fiche de lecture sur La Chute d’Albert Camus
son apothéose dramatique dans le mot « haine » sur lequel • Fiche de lecture sur La Peste d’Albert Camus
s’achève le roman. • Fiche de lecture sur L’Étranger
• Fiche de lecture sur Le Mythe de Sisyphe d’Albert Camus
L’état final de Meursault illustre le fait que « la seule pensée • Fiche de lecture sur Le Premier Homme d’Albert Camus
qui libère l’esprit est celle qui le laisse seul, certain de ses • Fiche de lecture sur Les Justes d’Albert Camus
limites et de sa fin prochaine. Aucune doctrine ne le sollicite. • Questionnaire de lecture sur L’Étranger
Il attend le mûrissement de l’œuvre et de la vie » (Ibid.).
La lucidité face à la mort le conduit à une forme d’ataraxie
(tranquillité et impassibilité) du sentiment, à la quiétude
absolue de l’esprit. Libre parce que désespéré, vivant parce
que condamné à mort.

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Gaudé Joffo Molière

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