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Le courant électrique.

C’est un déplacement de grains de


matière dans un sens donné.

D’où vient-il ?

Du plus profond de la matière, il


s’agit d’électrons qui se déplacent
d’une manière forcée.
Rappels :

Les électrons sont un des constituants d’un atome, lui même étant le
plus petit grain de matière tiré d’un corps pur et possédant
encore toutes les caractéristiques de ce corps pur.

Matériau donnée = assemblage de corps pur(s)


Qui a t’il, dans un atome ?
« x » électrons qui
sont le constituant Le nombre de ces
exclusif de éléments va caractériser
l’électricité tous les corps purs :
Hydrogène, fer, oxygène,
Noyau, etc.
constitué de
protons et de
neutrons.
Certaines conditions :
– Magnétique
– Thermique.
– Électrostatique.
– Chimique.
– Mécanique.
Peuvent obliger les électrons à se déplacer.

S’il y a déplacement des électrons, d’un point de départ « A » vers un


point d’arrivée « B »

Il y aura courant électrique !


Le déplacement électronique s’effectue par bond, d’un atome
vers un autre.

Un électron libre va prendre la place d’un électron tournant autour d’un noyau d’un atome.
Un électron va être expulsé et devenir à son tour « libre ».
Pour le déplacement, l’analogie la plus connue
est celle des bouliers chinois

Remarques :

Les corps qui possèdent et laissent les électrons les plus libres,
sont des matériaux qui conduisent le mieux l’électricité.

Ils sont qualifiés comme étant des conducteurs.

A l’inverse,
les corps seront qualifiés comme des isolants.
Les électrons sont invisibles à nos sens et de ce fait
dangereux !
Chacun des électrons amène de l’énergie !

Plus le nombre d’électrons se déplaçant est élevé, plus il sera


possible de faire travailler ce courant électrique.

Le travail se caractérisera par une conversion d’énergie,


dont les effets seront :

• Mécanique.
• Magnétique
• Calorifique
• Chimique.
• Électrique.
Il sera nécessaire de choisir le matériel
« pour que cela tienne le coup »
Selon l’utilisation désirée, un des effets sera
favorisé,

mais dans tous les cas :

il y aura des effets calorifiques et


magnétiques.

Ces effets, non désirés entreront dans le cadre


des pertes !

Voyons un exemple, le moteur.


Le moteur électrique.
Moteur :
Énergie Convertisseur Énergie
électrique d’énergie électrique Mécanique
en énergie
mécanique.

Énergie
thermique. = Pertes
Énergie
magnétique
Principe de la circulation de l’électricité et
grandeurs électriques utilisées.
Pour tous les types de courants rencontrés,
la circulation s’effectuera d’un point
« A » vers un point « B »

Chacun des points est nommé « pôle »

Un des pôles présente une polarité, conventionnellement


estimée, la plus élevée.

L’autre, une polarité, conventionnellement estimée, la moins


élevée.

Il existe deux types de courant, classés en trois


catégories :
•L’alternatif monophasé et triphasé.
•Le courant continu.
Remarque :
On utilise une convention, car au début de l ‘électricité, les
physiciens se sont trompés sur le sens réel du courant
continu.

Si l’on utilise le courant alternatif, le courant n’arrête pas


de modifier sa valeur et son sens.

Une convention est donc utilisée, pratiquement, cela est


faux, mais cela simplifie les choses et…

Tout le monde applique le principe !


Tout le monde applique le
principe !
En courant alternatif monophasé :

Le courant sort de la phase vers le neutre.

En courant alternatif triphasé :


Le courant sort d’une phase vers une autre.

En courant continu :
Le courant sort du « + » vers le « - ».
L’analogie la plus communément utilisée pour
saisir le principe de circulation ainsi que tous
les éléments rencontrés est celle de l’eau.
Château Point le Pôle le
d’eau « + » élevé « + » élevé

Conduit Conducteur

Protection Protection

Conduit Conducteur

Robinet Interrupteur

Lavabo Récepteur
(ampoule)

Conduit Conducteur

Eau Égout Pôle le « - » Électricité


élevé
L’eau circulera si : L’électricité circulera si :
Le château d’eau est plein et s’il est Le générateur est en état et que ce pôle
situé plus haut que l’égout. est « + » élevé que le pôle « - »
S’il y a de la pression. Si la tension n’est pas nulle.
Si les protections : Si les protections :
Contre les surpressions. Contre les surtensions.
Contre les sur - débits. Contre les sur - intensités.
Contre les fuites. Contre les fuites.
N’ont rien détecté. N’ont rien détecté.
Les conduits sont là pour canaliser Les conducteurs sont là pour
l’eau, s’ils sont adaptés et en état. transporter le courant électrique, s’ils
sont adaptés et en état.
Le(s) robinet(s) laissent passer l’eau. Les interrupteurs, bouton poussoirs…
ferment le circuit et laissent circuler le
courant.
Le lavabo est en état. Le récepteur est en état de fonctionner.
Les conduits d’évacuation sont là. Les conducteurs de retour sont
présents.
L’égout ne déborde pas, ou il n’est Le générateur est en état et que ce pôle
pas situé plus haut que le château est « - » élevé que le pôle « + »
d’eau.
Il y aura débit d’au en m3 / seconde Il y aura une intensité.
Synthèse de base.

La pression imposée à l'eau dans un


conduit, avec un robinet ouvert amène l’eau
au lavabo. Elle repart intégralement à
l’égout.

La tension présente, avec un conducteur en


série avec une résistance faible, entraîne la
circulation d’une intensité, qui traverse le
récepteur. L’intensité qui arrive au récepteur
est la même que celle qui en repart.
Termes usuels électriques.
Tension
Ou Ce qui pousse le courant Caractérisée par U.
Différence de potentiels électrique
Ou S’exprime en Volts
Voltage.
Intensité Le résultat de la poussée
Ou de la tension. Caractérisée par I
Courant
Ou = charges électriques S’exprime en Ampères
Ampérage amenées par seconde.
Ce qui transporte ou Caractérisée par R
Conducteur laisse passer une
intensité.
S’exprime en ohms ()
Caractérisée par R

Précise la difficulté de Si R = 0, c’est un


Résistance passage, qu’éprouve le conducteur.
courant à traverser un Si R tend vers l’infini,
circuit. c’est un isolant.

Entre les deux, on parle


de résistance.
Termes usuels électriques, suite.
Caractérisée par la
puissance P fournie,
( en Watts.)
Ce sont tous les éléments
Générateur électriques qui Caractérisée par U
produisent de
fournie
l’électricité

Caractérisée par I
débitée.

Caractérisée par la
puissance P consommée
(en Watts.)
Ce sont tous les éléments
Récepteur électriques qui utilisent Caractérisée par U
de l’électricité. d’alimentation.

Caractérisée par I
absorbée.
Quelques règles et principes.

Formules ou termes
Description Unités.
utilisés

C’est ce qui permet de réaliser un travail,


W = énergie sans contrainte de temps. Joules ou Wattheure.
(C’est généralement payant)

Puissance. C’est le travail possible à faire ou En Watts.


P=W/t effectué dans un temps donné (= Joules / secondes ou Wattheure / heure)

C’est la puissance absorbé ou fournie


P=U.I Volt Ampére et Watts
électriquement.

C’est la puissance dissipée en chaleur.


P = R . I² Watts.
(Effet Joules )

Relation qui lie la tension aux bornes Ω (ohms)


U=R.I
d’une résistance et la résistance. Ω tel que Volts = ohms . Ampère

Donne la valeur de la résistance d’un


conducteur en fonction de sa nature, de
R=ρ.L/s Ω (ohms)
sa longueur en mètre et de sa section
(en m² ou mm² )
Quelques règles et principes, la suite.
Flux magnétique, caractérise un magnétisme
émis ou reçu.

K1 dépend de la forme donnée au(x)


Ф = K1 .I . s Weber.
conducteur(s) support de l’intensité.

S = surface embrassée par le magnétisme


produit.

Force électromagnétique produite, si on


constate un flux magnétique produit au
F = K2 . Ф . I voisinage d’une circulation de courant. Newton
La force est maximum, lorsque le courant doit
être placé perpendiculairement.

Tension produite par un groupe de


conducteurs placés prés d’une source
magnétique variable dans le temps.
E=N.d/dt Volts
N est le nombre de tours de fils.

La tension est maximum, lorsque le courant


doit être placé perpendiculairement.
Standards de tension.
Le courant continu.

Il est surtout utilisé à l’intérieur des


appareillages électroniques.
I
Il est fourni par des piles, des
batteries, des dynamos, des
alimentations redressées.
U
U et I ne varie pas dans le temps et
le courant circule toujours dans la
même direction.

Remarques :
•Il est dangereux à partir de 36V.
•Le pôle « - » est relié aux masses
métalliques.
Courant alternatif triphasé et monophasé :

Il est produit grâce à trois générateurs alternatifs placés à


l’intérieur d’un même alternateur.
En monophasé, seule une phase est utilisée avec le Neutre.
(Cas des habitations)

Chaque générateur fournit un courant qui varie Phase 1


sans arrêt et qui pratique 50 allez retour dans les
récepteur (on dit 50Hz)

Chaque tension produite est décalée par rapport à Neutre


ses congénères.

Par convention et pour tout raisonnement, on dit Phase 2


que :

•Le courant va d’une phase vers le Neutre. Phase 3


•Ou d’une phase vers une autre phase.

Liaison au sol
Ce qui se passe, à la sortie d’une prise,
entre une Phase et un Neutre.
+u

-u
Le courant sort, grâce à une tension qui n’arrête pas d’évoluer entre deux
valeurs maximums de signes contraires. L’intensité suit le mouvement.
La mesure de U ou de I avec un multimètre, donne des valeurs dites «
efficaces »

Les valeurs mesurées, égales la valeur crête fois 0.7


Remarques sur l’alternatif monophasé et
triphasé.

Le contact d’une phase seule et le sol est dangereux,


car EDF a relié le fil Neutre au sol !

Le courant alternatif est dangereux à partie de 24 V.

U entre phase (par calcul) = U entre Phase et Neutre


fois 1.732
(Exemples : 220v / 380 V ou 380V 660V)
Retour vers les principes de circulation
du courant.
La tension « pousse » le courant.

La résistance caractérise la difficulté


de circulation.

L’intensité est le résultat constaté, de


la poussée en fonction de la
résistance.

Trois combinaisons de cas se présentent :


Une tension est donnée, la résistance est forte,
dans ce cas l’intensité est faible.

Il y aura :

– Peu de travail fourni.

– Peu de chaleur créée, donc peu de pertes par


effet Joules.

– Peu de magnétisme généré, donc peu de


forces électromagnétiques.

C’est le meilleur des cas !


Une tension est donnée, la résistance est faible,
dans ce cas l’intensité est forte.
Il y aura :

– Beaucoup de travail fourni.

– Risque de créer de la chaleur, donc des pertes par effet


Joules.

– Risque de générer du magnétisme, donc des forces


électromagnétiques.

Il faudra que les constituants soient en


mesure de supporter, la chaleur et les forces
électromagnétiques.
La résistance est donnée, la tension est forte, dans
ce cas l’intensité est forte dans le récepteur.
Il y aura :
− Beaucoup de travail fourni.

− Risque de créer de la chaleur, donc des pertes par


effet Joules.

− Risque de générer du magnétisme, donc des


forces électromagnétiques.

− Risque de claquage des isolants.

− Risque d’accumulation de charges par effet


« condensateur ».
Il faudra que les constituants soient en mesure :
De supporter les tensions avec des isolations conséquentes.
La chaleur et les forces électromagnétiques.
De minimiser le risque d’accumulation de charges.
A puissance égale, si tous les constituants d’une
installation sont correctement choisis. Le choix du
niveau des tensions sera fonction du niveau de pertes
par effet Joules désiré :

1) Tensions faibles :

L’intensité est favorisée, donc la résistance doit être


relativement faible.

C’est le cas de tous les récepteurs produisant de la chaleur :


Ampoule halogène, four…

Il faudra que les constituants soient en


mesure de supporter, la chaleur et les forces
électromagnétiques.
A puissance égale, si tous les constituants d’une installation sont
correctement choisis. Le choix du niveau des tensions sera
fonction du niveau de pertes par effet Joules désiré :

2) Tensions fortes :

La tension est favorisée, donc l’intensité doit être


relativement faible.

C’est le cas de tous les éléments produisant de l’énergie en


grande quantité et autre que la chaleur : moteur,
alternateur….

Il faudra que les constituants soient en mesure :

− De supporter les tensions avec des isolations


conséquentes.

− De minimiser le risque d’accumulation de charges.


Quelques définitions.
Sections des conducteurs :
Il s’agit de la surface d’un conducteur
sectionné. Plus la section est grande, plus la
résistance du fil est faible et il chauffe moins.

Les limites de choix sont :


– L’encombrement autorisés pour les conducteurs.
– Le prix.
– Les conseils préconisés par les constructeurs ou les
normes en vigueur.
Densité (de courant).
Elle est choisie en fonction de la température ambiante
d’utilisation de l’élément électrique utilisé.

Elle est liée à la notion de section d’un conducteur ; c’est


le rapport entre l’intensité qui passe dans un conducteur
et la section de celui-ci.
Le coefficient choisi devra être plus fort si la
température ambiante est importante.

Elle résulte d’un constat de qualité :


Tel élément électrique, présente le meilleur rendement, si pour
tant
d’Ampères traversés, il y a telle section.
Exemple :
Pour le bâtiment, outre les normes existantes, on accepte une densité de
6A/mm².
Pour les transformateurs des densités de 1A à 6A/mm², sont conseillées.
Résistivité :
C’est un coefficient qui caractérise la résistance
qu’aura un matériau donné si celui ci est traversé par
du courant électrique.

Plus ce coefficient est faible, plus la résistance sera faible


(cf. tableau page 8)

Ce coefficient augmente avec la température. Il se


mesure en ohms-mètres (m)
Résistivité :
C’est un coefficient qui caractérise la résistance
qu’aura un matériau donné si celui ci est traversé
par du courant électrique.

Plus ce coefficient est faible, plus la résistance sera


faible (cf. tableau page 8)

Ce coefficient augmente avec la température. Il se


mesure en ohms-mètres (m)
Résistivité superficielle ou de surface d’un
isolant :
Elle permet de connaître la résistance entre 2 points
de part et d'autre d'une surface isolante.
Elle est indépendante de la surface mesurée.

Plus cette valeur est forte, meilleure sera l’isolation.

Ce coefficient diminue avec l’humidité. Il se


mesure en ohms/carré. Cette valeur est comprise
entre 10e3 Ohms/carré et 10e12 Ohms/carré.
Résistivité transversale ou de volume d’un
isolant :

Elle permet de connaître la résistance entre 2


extrémités d’un volume isolant.
Le principe est analogue à celui de la
résistivité d’un conducteur.

Plus cette valeur est forte, meilleure sera


l’isolation.

Ce coefficient diminue avec l’humidité. Il


se mesure en ohms/cm.
Conductivité :

C’est exactement la notion inverse de la


résistivité.

Plus ce coefficient est faible, plus la


résistance sera forte.

Ce coefficient diminue avec la température.


Il se mesure en (ohms-mètres) -1 ou (m) -1
La résistance d’isolement.

C’est une résistance de très grande valeur, elle


caractérise par exemple la valeur mesurée entre un
châssis de moteur et les bornes d’alimentation.

Plus cette valeur est grande, meilleure est la


protection des personnes contre les électrocutions
et du matériel, contre les risques de fuite de courant et
les courts circuit.

Une chute de cette valeur signale l’apparition


prochaine de gros problèmes.
Parfois on voit une notion de rapport en ohms par
Volts minimum.

Dans les utilisations domestiques, ce rapport est de 5000/


Volts, ce qui signifie qu’a 230v, la résistance d’isolement
minimum devra être de 230 fois 5000 égale 1.15 M

La résistance se mesure en millions d’ohms (M) par


des mesureurs nommés mégomêtre ou testeurs
d’isolement.

Elle a tendance à baisser en présence d’humidité.

Remarque :
Un isolant peut avoir une très forte résistance d’isolement et ne pas supporter
un niveau de tension trop élevé. Dans ce cas, l’isolant va « claquer »
Le lieu où la résistance d’isolement est la plus faible, entraîne tout l’élément
électrique.

La résistance d’isolement sera dans ce cas celle, du


maillon le plus faible de l’ensemble
Tension de claquage, ou rigidité diélectrique.

C’est un coefficient en Volts par mètre ou mieux, en


kiloVolts par mètres, en kiloVolts par centimètres ou
kiloVolts par mètres

Il caractérise la tension maximum que peut supporter un


isolant en fonction de l’épaisseur en mètres, de celui-ci.

Plus cette valeur est grande, meilleure est la protection


des personnes contre les électrocutions et du matériel,
contre les risques de fuite de courant et les courts circuit.
Si la tension imposée est supérieure à la tension de
claquage
Au delà, un trou peut se produire dans l’isolant, il perdra
toutes ses qualités.
Un court-circuit se fera et détruira l’élément électrique.

Le coefficient a tendance à baisser en fonction de la


température, en présence d’humidité, et surtout des
chocs.

Remarque :
Le lieu où la tension de claquage est la plus faible, entraîne tout
l’élément électrique.

La tension de claquage sera dans ce cas celle, du maillon


le plus faible de l’ensemble.
Permittivité diélectrique.

C’est un coefficient qui caractérise la possibilité, pour un


isolant, de favoriser une accumulation de charges
électrostatiques sur des parties conductrices au
voisinage de cet isolant.

Plus cette valeur est grande, meilleure est la


résistance d’isolation.

L’importance des charges accumulées sera


proportionnelle à ce coefficient.

Le coefficient a tendance à baisser en fonction


de la présence d’humidité.
L’accumulation de charges électriques est intéressante,
lors de la construction de condensateurs, qui sont des
accumulateurs de charges électriques.

Par contre :

Les personnes pouvant être en contact avec des


surfaces métalliques peuvent subir une électrocution,
même très longtemps après que l’appareillage soit hors
tension

•C’est le cas du bricoleur qui ouvre un poste de


télévision ou un four à micro-onde.

•Du matériel électronique sensible mis au contact,


peut être détruit.
Facteur de pertes diélectrique, tang() ou tg ().

C’est un coefficient qui caractérise chez un isolant, les


pertes thermiques qu’il va occasionner, s’il est soumis
à un champ électrostatique alternatif.
Les pertes peuvent se calculer, si l’on connaît la valeur de
la capacité électrique crée, par cet isolants au
voisinage de matériaux conducteurs.

Plus cette valeur est faible, plus les pertes sont faibles.

Le coefficient a tendance à augmenter en fonction de la


présence d’humidité.

Remarque :
Plus les tensions dans le voisinage de l’isolant sont élevées, plus
les pertes seront fortes. La fréquence du courant augmente ces
pertes.
(P perdue = C.2.∏.U.tang()

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