2022 C Ch2 Socialisation Correction 2e

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2022 C Socialisation Correction 2e

Chapitre 2 sociologie correction: Comment devenons nous des acteurs sociaux?

1) Savoir que la socialisation est un processus.

Document 2 p 82:

Question 4) Famille, école, groupes de pairs, médias...

Question 5) Règles dans la famille: politesse: dire bonjour, merci..., respect: ne pas insulter, laisser la place à
une personne âgée dans les transports en commun, participation à la vie collective: préparer et débarrasser la table, ne
pas vider le frigo ou manger tout le chocolat sans demander la permission...
Règles à l'école: lever la main pour prendre la parole, ne pas se moquer des autres, faire ses exercices
en distanciel... ;)

Question 6) Exemples: Amitié, amour, fidélité, honnêteté, liberté, égalité, fraternité, argent, travail...
Les valeurs sont des choses ou des manières d'être considérées comme estimables ou désirables, c'est à dire
des vertus qui sont bien vues par la société.
L'amitié est bien vue par beaucoup de gens , la liberté aussi, le travail est peut être une valeur en perte de
vitesse, l'argent par contre est peut être une valeur encore très à la mode... car beaucoup de gens veulent beaucoup
d'argent, y compris sans travailler! ;)
Les valeurs ne sont donc pas concrètes, mais plutôt des idéaux.

Document 3 p 83:

Question 7) Se tenir tranquille, se protéger du froid, manger de tout, se laver, respecter l'hygiène, être propre,
respecter les objets, les horaires, les autres...

Question 8) Car c'est une socialisation faite par la contrainte: l'enfant n'a pas le choix.

Question 9) Sanctions négatives, punitions: privé de bonbons, de dessert, de console, de Smartphone, de sortie,
etc.

Document 4 p 83:

Question 10) Car il permet de se mettre à la place des autres et de tenir compte de leurs réactions.

Question 11) Oui, et sans contrainte puisque l'apprentissage se fait de façon agréable, sans en avoir l'air.
En essayant d'être simple, d'après les sociologues interactionnistes comme GH. Mead (Américain, 19e-20e
Siècle) ou E. Goffman (Canadien de naissance, 20e siècle), nous jouons tous des rôles dans la société qui
correspondent à notre identité: le rôle du père, de la fille, du prof, de l'élève, du rugbyman ou de la docteure en médecine,
etc. Ces rôles sont sans cesse remis en jeu devant les autres en interaction (comme des acteurs jouant une pièce de
théâtre) et l'identité de l'individu est ainsi confirmée ou remise en question par les autres en fonction des normes et
valeurs de chacun et du groupe, ce qui construit une société en perpétuelle évolution.
Du coup, lorsque nous jouons notre rôle, nous intériorisons des normes et des valeurs qui correspondent à notre
identité (en particulier en fonction de la réaction des autres en face à face), et les enfants qui imitent les adultes (en
jouant) intériorisent aussi les rôles sociaux (la petite fille en imitant la mère de famille, par exemple, mais ça marche aussi
si elle imite le père: elle apprend ainsi les rôles sociaux masculins et féminins, etc.).

Question 12) Jouer au gendarme et au voleur, jouer au rugby, au football, jouer à papa et maman, jouer son rôle
professionnel en fonction de son travail...

2) Être capable d’illustrer la pluralité des instances de socialisation et connaître le rôle spécifique de la
famille, de l’école, des médias et du groupe des pairs dans le processus de socialisation des enfants et des
jeunes.

Document 4 p 85 famille

Question 8) En France, en 2017, 23% des personnes interrogées affirment qu'elles sont de "gauche", tout
comme leurs parents, d'après l'ENEF et le Cevipof.
En 2017, en France, sur 100 personnes interrogées, 29 affirment qu'elles ne sont "ni de gauche, ni de
droite", tout comme leurs parents, d'après l'ENEF et le Cevipof.

Question 9) Les préférences politiques des parents influencent beaucoup les opinions politiques des enfants car
ils sont 71% (19+23+29) à avoir les mêmes opinions qu'eux.
Seuls 15% (5+10) des enfants ne suivent clairement pas les orientations politiques de leurs parents, ce
qui montre que la socialisation primaire influence beaucoup le mode de pensée des enfants.
Document 4 p 87 pairs + école

Question 8) A partir de 10/11 ans, les jeunes fréquentent de plus en plus leurs amis et autres personnes de leur
âge, au détriment de leur famille, ce qui transforme significativement l'influence socialisatrice (qui se déplace de plus en
plus hors de la maison).

Question 9) Jeux, jeux vidéo, musique, séries TV, cinéma, sports, sorties...

Question 10) Car parfois les pairs proposent des normes et valeurs différentes ce celles de la famille ou de
l'école (transgression des normes familiales par les pairs (boire de l'alcool par exemple), transgression des normes
scolaires par les pairs (par exemple perturber un cours en insultant le prof...).

Document 2 p 88 pairs + médias

Génération X: nés entre 1960 et 1980 (fort esprit de compétition et faible communication); Génération Y: nés
entre 1980 et 1995 (forte autonomie et fort égocentrisme); Génération Z: nés après 1995 (forte ouverture d'esprit et peu
de patience).

Question 3) Le shopping en groupe participe à l'intégration sociale dans un monde où l'apparence et les
marques jouent un grand rôle.

Question 4) Les groupes de pairs: les ami(e)s influencent beaucoup les choix vestimentaires et les marques
préférées.

Document 3 p 89

Question 5) En France, en 2018, sur 100 personnes âgées de 15 à 34 ans, 71 s'informent tous les jours ou
presque sur les réseaux sociaux numériques alors qu'ils ne sont que 29% à le faire dans la presse quotidienne papier ou
en ligne (soit une différence de 42 points (71-29)), d'après le ministère de la culture.

Question 6) Réseaux sociaux (71%) opposés aux chaines de TV internationales (7%), soit une différence de 64
points (71-7) et, globalement, Internet (79%) contre la presse papier/en ligne (32%) soit une différence de 47 points (79-
32).

Question 7) Oui, car présents directement sur les réseaux sociaux numériques et diffusent ainsi un très grand
nombre d'informations (même si ce n'est pas leur "métier").

Document 4 p 89

Question 8) Oui, les séries sont importantes dans la socialisation des jeunes car 60% déclarent qu'elles ont un
impact sur leur façon de penser et 38% que les séries les ont fait changer d'opinion sur un sujet, par exemple.

Question 9) Tourisme: 39%, opinion: 38%, langage: 23%, choix de vie: 13%.

3) Savoir illustrer le caractère différencié des processus de socialisation en fonction du milieu social, du
genre.

Doc 4 p 91 milieu social

Question 7) Notre ambition scolaire et professionnelle est souvent dépendante de notre milieu social. En effet, la
réussite scolaire et professionnelle peut aboutir à changer de catégorie sociale, c’est-à-dire à franchir la barrière séparant
deux groupes (le monde ouvrier et la bourgeoisie par exemple), dont l’un se trouve en position de domination par rapport
à l’autre. Un conflit de loyauté peut donc survenir, pouvant inciter l’enfant à réduire ses ambitions scolaires et
professionnelles.
Ceci dit, des enfants de milieux défavorisés peuvent être poussés par leurs parents à travailler dur à
l'école afin de changer de position sociale et de vivre une meilleure vie qu'eux (avec bien plus de motivation que des
enfants de catégories aisées, qui se disent qu'ils n'ont pas besoin de l'école pour vivre confortablement...).

Doc 3 p 93 genre

Question 5) 86 - 78 = 8 points

Question 6) Paramédical et social = 84,6% de filles (et 69,7% en lettres et sciences humaines).
Formations d'ingénieurs = 73,1% de garçons (et 71% en sciences et STAPS).

Question 7) D’après ce document, les filles ne sont pas majoritaires dans les spécialités scientifiques en raison :
- des stéréotypes sociaux, qui poussent les garçons vers les filières scientifiques et les filles vers les filières littéraires ;
- du manque de confiance en elles et de l’autocensure dans leurs ambitions, qui incitent les filles à poursuivre des études
non scientifiques débouchant plus fréquemment sur des métiers dont la position est moins élevée dans la hiérarchie
sociale.

Question 8) Les stéréotypes filles/garçons entraînent des inégalités entre les femmes et les hommes, car ils ont
un impact sur le choix des études et des professions envisagées. Les professions choisies par les filles sont
fréquemment situées plus bas dans la hiérarchie sociale que celles choisies par les garçons.

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