Titre 2

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Titre 2 – La société internationale

Chapitre 1 – L’État, les organisations internationales et les personnes privées

Section 1 – L’État

Il a 3 éléments constitutifs :
- Un territoire
- Une population
- Un gouvernement
- Et la capacité d’entre en relation avec ces terre ( ?)
La souveraineté est le pouvoir suprême de l’état qui n’a pas d’égale, d’état dans l’ordre
interne ni de supérieur dans l’ordre international. L’état est le seul sujet à avoir la
souveraineté.
Chartre des nations unies, 26 juin 1945, article 2 paragraphe 1.

Affaire de l’ile Palmas (Pays- Bas / États unis) sentence, 4 avril 1928, RSA, Tome II ;p. 838
Il y a : - une présomptions régularité actes étatiques
- Absence de toute subordinations organiques des états,
- Autonomie constitutionnel des états
- Interprétation stricte des limitations de l’indépendance des états.
-
La souveraineté n’est pas un pouvoir inconditionné et illimité, elle se heurte au souverain
concurrent de l’état. Le fait de contracter un engagement conventionnel est un des attributs de
la souveraineté de l’état.

Cette idée de domaine réservé dans lequel le droit international ne peut pas s’immiscer.
Aujourd’hui cette idée c’est restreint

Section 2 – Les organisations internationales

Une association d’état constituer par traités. L’expression « organisation international »,


s’entend de toute organisation instituée par un traité ou un autre instrument régi par le droit
international et dotée d’une personnalité juridique international propre. Outre des états, une
organisation internationale peut comprendre parmi ses membres des entités autres que des
états comme :

- Conclure des traités


- Engager leur responsabilité concerner par le les règles de droit international général

Section 3 – Les personnes privées

Elles ne sont pas un sujet de droit international mais son reste en débat

Chapitre 2 – Caractères généraux de la société internationale contemporaine

Section 1 – Une société close et décentralisée


Close parce qu’il y a des états sur toute la planète, les états se généralise.
La société internationale est décentralisée car il n’y pas d’autorité supérieur qui peut
contraindre les états à respecter les obligation (il y a un auto- contrôle des états)

Il y a un mouvement de coopération renforcer, mais ce mouvement a ces limites, (ONU :


organisation de coopération), L’ UE essaye d’aller plus loin , on peut voir que l’époque
contemporaine n’est pas celle du dépérissement de l’état .
En revanche, le fait que la société soit décentralisée sa mène à la persistance de conflit car
malgré la prohibition l’usage de la force est quotidien

Section 2 – Une société conflictuelle et délibérante

Dans ce contexte de société décentralisé, sa amène à une nécessité d’une coopération et de


négociation permanent, l’intensification des réseaux international, amène à une
universalisions de la coopération multiplication des forums.

Chapitre 3 – Droit et réalités sociales dans l’ordre international


Section 1 – Doctrines du droit international

Il irrigue les débats sur la portée de certaines règles.


École du droit natures (XV – XVI) : cette école présuppose l’existence d’une communauté
internationale, l’état est subordonné à cet communauté. Ce droit évolue et édicter par dieu.
Plus récemment avec l’apparition du système de l’état moderne, on a l’apparition du
positivisme (la doctrine actuelle qui se divise en plusieurs branches) on peut en distinguer 3 :

- Objectivisme sociologique (la subordination des états, créer des règles


internationales, il sont poussé par les contraintes sociale et souvent
- Positivisme volontariste (1 er courant, et le plus majoritaire) il n’existe d’autre
fondement qu’a l’autorité de la règle de droit de l’état
- Normativisme (Kelsen) le droit est qu’un complexe hiérarchisé des normes dont
procède les compétences de l’état qui reste subordonné

Section 2 – Rapports du droit et de la politique

Dans l’ordre international, le droit et la politique sont extrêmement t lié d’un part , la politique
est déterminée par le droit ( elle constitue un cadre politique ) mais le droit peut être un enjeux
de la politique international ( notion : politique juridique extérieur) mener par l’état non pas
conformément au droit international

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