Livre Du Professeur - Odyssee 2de Ed 2014

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COLLECTION ODYSSÉE

MATHÉMATIQUES 2de

Livre du professeur
Édition 2014
Programme 2009

Sous la direction de
Éric SIGWARD
IA-IPR de mathématiques de l’académie de Strasbourg

Auteurs
François BRISOUX
Professeur de mathématiques détaché au lycée René Descartes de Rabat, Maroc

Christian BRUCKER
IA-IPR de mathématiques de l’académie de Limoges

Yvan MONKA
Professeur de mathématiques au lycée Robert Schuman de Haguenau

Éric SIGWARD
Suivi éditorial : Nicole Rêve
Maquette : Nicolas Balbo
Mise en page : Catherine Vielcanet
Infographies : Nathalie Guéveneux-Nourry, Dominique Guéveneux (Domino)

© HATIER, Paris, 2014


ISBN 978-2-218-97998-9

Sous réserve des exceptions légales, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite, par quelque procédé que ce soit,
sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par le Code de la Propriété
intellectuelle. Le CFC est le seul habilité à délivrer des autorisations de reproduction par reprographie, sous réserve en cas d’utilisation
aux fins de vente, de location, de publicité ou de promotion de l’accord de l’auteur ou des ayants droit.
SOMMAIRE

Introduction ................................................................................................................................. 5

Corrigés des activités, TP et exercices .................................................................. 9

P A RTIE A Fonctions ............................................................................................................... 11


chapitre 1. Généralités sur les fonctions .......................................................................... 13

chapitre 2. Équations et inéquations ................................................................................ 27

chapitre 3. Fonctions de référence .................................................................................... 45

chapitre 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques ................. 67

P A RTIE B Géométrie ............................................................................................................. 87


chapitre 5. Vecteurs et repères ........................................................................................... 89
chapitre 6. Équations de droites et systèmes .............................................................. 105

chapitre 7. Trigonométrie .................................................................................................... 117

chapitre 8. Géométrie dans l’espace .............................................................................. 129

P A RTIE C Statistiques et probabilités .................................................................... 145


chapitre 9. Statistiques et échantillonnage .................................................................. 147
chapitre 10. Probabilités ...................................................................................................... 165

3
INTRODUCTION

5
Le manuel reprend les trois parties du programme de la classe de seconde : les fonctions, la
géométrie et les statistiques et probabilités. Dans chacune de ces parties, il s’agit de former
les élèves à la démarche scientifique afin de les rendre capables de conduire un raisonne-
ment. Le programme de seconde peut être abordé selon plusieurs angles, mais il ne faudrait
surtout pas le concevoir comme une succession de chapitres cloisonnés. Il conviendra donc
de concevoir, dès le début de l’année, une progression alternant les différentes notions à
traiter, de telle sorte que les concepts abordés soient repris tout au long de l’année. Vous
retrouverez d’ailleurs dans le manuel notre volonté de varier au maximum les situations
problèmes au sein de chaque chapitre, afin de réinvestir les différents thèmes, ainsi que les
notions du collège comme le calcul algébrique et la géométrie plane.

Chaque chapitre de ce manuel propose des travaux pratiques que nous avons choisis les plus
diversifiés possibles.

Dans chacun de ces problèmes, les élèves auront l’occasion de chercher, d’appliquer des
techniques, d’effectuer des essais, de conjecturer avec des outils numériques, puis d’éla-
borer des démonstrations.

L’utilisation des outils numériques est tout à fait adaptée à l’acquisition de nombreuses
notions du programme de seconde. Il s’agit d’exploiter toutes les possibilités offertes afin
d’enrichir l’apprentissage et les méthodes d’investigation. L’outil informatique permet en
effet d’obtenir rapidement une représentation concrète du problème étudié. Des modifi-
cations des configurations en jeu peuvent mettre en évidence les propriétés à démontrer et
toute l’attention peut alors se porter sur la démonstration elle-même.

Il importe que la diversité de ces activités se retrouve aussi dans la nature des travaux
proposés aux élèves : des travaux dirigés en groupe, des travaux en autonomie, des activités
en salle informatique ou des devoirs personnels réalisés à la maison. Des commentaires
dans ce sens aideront les professeurs dans leur choix.

Nous avons essayé de proposer, au sein de chaque chapitre, des problèmes de difficultés
progressives, en particulier dans le domaine de l’algorithmique. À l’issue du collège, les
élèves ont déjà acquis une certaine expérience avec le tableur et un logiciel de géométrie
dynamique. L’algorithmique, et plus particulièrement la programmation dans un certain
langage, est quant à elle une activité nouvelle pour eux et qui ne doit pas faire l’objet d’un
cours à proprement parler. Les activités proposées sur ce thème peuvent néanmoins être
données à tout moment de l’année, quelle que soit la progression choisie par le professeur
pour aborder les principaux éléments de l’algorithmique.

Nous n’avons privilégié aucune syntaxe particulière, ce qui vous permet d’utiliser ce guide
avec ses fichiers quel que soit le matériel et les logiciels utilisés dans votre établissement.
La plupart des travaux pratiques peuvent cependant être réalisés assez simplement à l’aide
d’une calculatrice, ce qui permet une très large utilisation de ce guide.

7
Vous trouverez dans ce livre du professeur des commentaires, des éléments de correc-
tion, ainsi que des indications sur la mise en œuvre des travaux pratiques avec les élèves.
Un nombre important de ces activités peuvent être réalisées avec l’outil informatique.
En complément, vous trouverez des fichiers dans le manuel interactif enrichi, sous de
nombreuses versions :
s %XCEL ET /PEN/FFICE POUR LES FICHIERS TABLEURS 
s #ASIO ET 4EXAS POUR LES TRAC£S ET LA PROGRAMMATION Í LAIDE DE LA CALCULATRICE 
s 'EO'EBRA #ABRI 4) .SPIRE POUR LES EXERCICES DE G£OM£TRIE PLANE 
s #ABRI$ ET 'EOSPACE POUR LES EXERCICES DE G£OM£TRIE DANS LESPACE 
s !LGO"OX 0YTHON 3CILAB ET 8CAS POUR LES PROGRAMMES QUI ILLUSTRENT LES ALGORITHMES 

s 8CAS ET 4) .SPIRE POUR LE CALCUL FORMEL

Ces fichiers vous permettront d’une part de visualiser les résultats demandés, de tester les
algorithmes ou les figures dynamiques, mais également d’illustrer vos explications lors de
synthèses collectives avec les élèves. Certains de ces fichiers sont à la disposition des élèves
dans le manuel interactif enrichi et sur le site compagnon, intégralement ou partiellement
complétés, plus particulièrement lorsque le problème consiste soit à modifier, compléter ou
corriger un algorithme, soit à réaliser des conjectures sur une configuration géométrique
relativement complexe, ou bien encore à effectuer des simulations sur une feuille de calcul
d’un tableur. Ils serviront ainsi de base de travail pour une activité en autonomie ou pour un
devoir à réaliser à la maison.

Nous espérons que ce livre répondra à vos attentes et qu’il vous apportera des pistes intéres-
santes pour une présentation efficace du programme de seconde.

Les auteurs.

8
CORRIGÉS
DES ACTIVITÉS,
TP ET EXERCICES

9
PARTIE A FONCTIONS

11
1. Généralités sur les fonctions
Objectifs et pré-requis
Ce chapitre rappelle les principales notions sur les fonctions étudiées en classe de 3e puis introduit la
notion de variation d’une fonction. L’objectif est d’utiliser les variations, dont la définition formelle
se met progressivement en place, pour résoudre des problèmes se ramenant à des équations ou
IN£QUATIONS ,ES ACTIVIT£S ET 40 DE CE CHAPITRE PROPOSENT DIFF£RENTES SITUATIONS OÂ L£LÞVE AURA Í
CONSTRUIRE UNE REPR£SENTATION GRAPHIQUE PUIS Í Y EFFECTUER DES LECTURES /N Y TROUVERA £GALEMENT
l’occasion de proposer des démarches algorithmiques et en particulier la démarche de dichotomie.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Fonctions v 4RADUIRE LE LIEN ENTRE DEUX QUANTIT£S PAR UNE FORMULE
Image, antécédent, courbe Pour une fonction définie par une courbe, un tableau de
représentative. données ou une formule :
v identifier la variable et, éventuellement, l’ensemble de
D£FINITION 
v D£TERMINER LIMAGE DUN NOMBRE 
v rechercher des antécédents d’un nombre.
Étude qualitative de fonctions v Décrire, avec un vocabulaire adapté ou un tableau de varia-
Fonction croissante, fonction tions, le comportement d’une fonction définie par une courbe.
D£CROISSANTE  MAXIMUM v Dessiner une représentation graphique compatible avec
minimum d’une fonction sur un tableau de variations.
un intervalle. Lorsque le sens de variation est donné, par une phrase ou
un tableau de variations :
v COMPARER LES IMAGES DE DEUX NOMBRES DUN INTERVALLE 
v déterminer tous les nombres dont l’image est supérieure
(ou inférieure) à une image donnée.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 9 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Évolution du climat

1  'T #

2  'T #

3 1,25 °C entre 2050 et 2100, 0,5 °C entre 2100 et 2150.

4  'T # ° PARTIR DE  LES £MISSIONS DE #/2 devraient commencer à décroître.

5 )L NEST PAS VRAI QUUNE DIMINUTION DES £MISSIONS DE #/2 entraîne une stabilisation immédiate de la
variation de la température moyenne mondiale.
Les graphiques montrent un décalage de plus de 50 ans.

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 13


2 Distance d’arrêt d’un véhicule

1 a. 30 km en 1 h correspond à 30 000 m en 3 600 s, soit environ 8,3 m en 1 s.
V
b. R
"
3,6
c. Il s’agit d’une fonction linéaire.

d. et 2 a.
Centre ville Agglomération Route Voie rapide Autoroute
Vitesse initiale, V (en
30 50 90 110 130
km/h)
Distance de réaction,
8,3 13,9 25 30,6 36,1
DR (en m)
Distance de freinage,
5,8 16,1 52,3 78,1 109
DF (en m)
Distance d’arrêt, DA
14,1 30 77,3 108,7 145,1
(en m)


2 b. Schéma ci-contre.
140
DA
c. Cette fonction n’est pas affine car
les points ne sont pas alignés. 130
120

3 a. Le gendarme peut estimer la vitesse
110
du véhicule à un peu plus de 100 km/h.
b. /N DEVRAIT ROULER Í MOINS DE 100
65 km/h. 90
c. Par temps normal, la distance de 80
freinage à 130 km/h est égale à 109 m. 70
Par de temps de pluie, la distance de 60
freinage à 110 km/h est égale à :
50
78,1 × 1,4 ≈ 109,3 m.
40
Il faut donc réduire sa vitesse pour
30
retrouver une distance de freinage
équivalente. 20
10
V
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Représenter graphiquement une fonction à la calculatrice
Exercice 1

1 Non corrigé.

2 a. 1 ⩽ x ⩽ 2. Pour placer un curseur sur la courbe et se repérer, utiliser le mode « trace » (touche
trace SUR 4) 3()&4 F1 sur Casio).

b.
x 1 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8
f(x) –1 – 0,95 – 0,9238 – 0,9125 – 0,9111 – 0,9167 – 0,9273 – 0,9417 – 0,959

c. Il semble que 1,3 ⩽ x ⩽ 1,4.

14 s 1. Généralités sur les fonctions



3 a. Figure ci-contre.
b. Pour donner des résultats à 0,1 près, utiliser un zoom ou la fonc-
tion intersection de la calculatrice.
/N TROUVE DEUX POINTS DINTERSECTION  !n      ET "     
c. Une valeur approchée de la solution positive de l’équation
f (x) = g(x) est 0,4.

Exercice 2
f correspond à la courbe b., g à la courbe c. et h à la courbe a.

Exercice 3


1 Figure ci-contre.

2 f semble décroissante sur ]– 3  n ; CONSTANTE SUR ;n   =
ET CROISSANTE SUR =  3;
x4  x2

3
100
" 0 équivaut à x4 – x2 = 0, soit x2(x2 – 1) = 0 ou encore

x2(x – 1) (x    3OIT x2 = 0 ou x – 1 = 0 ou x   
,ENSEMBLE DES SOLUTIONS EST [n     ]
Si f £TAIT CONSTANTE ET TRAC£E SUR ;n   = COMME f(0) = 0, alors f(x   SUR ;n   = ET L£QUATION f (x) = 0
aurait une infinité de solutions.


4 Figure ci-contre.
f n’est pas constante.


5 !VEC UNE FENãTRE ;n     = EN ABSCISSES ET ;n     =
en ordonnées, on obtient la courbe ci-contre.

TP 2 Lire un algorithme dans différents langages


1

1 a. Si x = 3, l’algorithme retourne 3 
3
.

b. Algorithme complété :

Entrée : Le réel positif x.


1
Traitement : Affecter à y le nombre x  .
x
5x  2
Affecter à z le nombre .
x
Sortie : Afficher y et z.

1 13
Si x = 3, le nouvel algorithme retourne 3  et .
3 3
1 13 13

2 a. Pour x = 3, on compare 3 
3
et
3
. M est le plus grand des deux, c’est-à-dire
3
.

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 15


b. L’étape de traitement est un test conditionnel qui affecte à M une valeur en fonction du résultat
du test y < z.
Les autres modifications concernent la sortie : y et z ne sont plus affichés mais M l’est.
c. Lorsque f(x) = g(x), le test y < z RETOURNE &!58 DONC IL FAUT SUIVRE LINSTRUCTION DU i SINON w CEST
à-dire affecter à M la valeur de y, soit f(x). L’algorithme fonctionne correctement car il affiche bien la
plus grande des deux valeurs puisqu’elles sont égales.

TP 3 Aire maximale

1 Non corrigé.

2 ,AIRE MAXIMALE DU TRIANGLE $%# SEMBLE ãTRE  ATTEINTE QUAND # EST AU MILIEU DE ;!"=

3 La courbe parcourue par le point M est celle de la fonction « aire de CED » en fonction de la longueur AC.

4 ,AIRE DU TRAPÞZE !"%$ SEMBLE CONSTANTE ET £GALE Í 

5 a. /N A !#  !$  x ET "#  "%   nx.
AD  "E x 6x
g(x) " w A" " w 6 " 18 .
2 2
2
x (6  x)2
b. Aire de ACD =  AIRE DE #"%  .
2 2
2 2
x (6 ( x) x 36 12x + x 2
2
f ( x ) = g(
g(x )− − = 18 − = − x 2 + 6x .
2 2 2
d. Puisque f (x)  9 " (x  3)2 est négatif ou nul, alors f (x) ⩽ 9 pour tout x ∈ ;  =
/R f(3) = 9, donc 9 est le maximum de la fonction f , atteint pour x = 3, c’est-à-dire lorsque C est au
MILIEU DE ;!"=

TP 4 Résoudre des inéquations



1 Pour A = 100, on obtient le tableau :
x 0 1 2 3 4 5 6 7
y 0 9 20 33 48 65 84 105


2 a. x devient x   UNE ADDITION 
y devient x(x   UNE ADDITION ET UNE MULTIPLICATION
Il y a donc trois opérations dans une étape de calcul.
b. /N PEUT AFFICHER UNE TABLE DE VALEURS AVEC LA CALCULATRICE ,A FONCTION EST CROISSANTE f (30) = 1 140
et f (31) = 1 209. Le plus petit entier tel que f (x) > 1 200 est x = 31.
c. Pour x = 31, il y a 31 boucles avec 3 calculs par boucle, donc 93 calculs en tout.


3 a. Pour A = 1 200, on obtient le tableau :
x 0 10 20 30 40 30 31
y 0 180 560 1 140 1 920 1 140 1 209
b. L’algorithme augmente la variable x de 10 en 10, puis lorsqu’il dépasse la valeur à atteindre, la
variable x diminue d’une dizaine et avance par unité. Il calcule donc beaucoup moins de valeurs de
la variable et d’images.
c. Il réalise 4 boucles (4 × 3 = 12 opérations), un retour en arrière (3 opérations), puis à nouveau une
boucle complète, soit 18 opérations.
d. Le premier algorithme effectue 93 calculs, le second 18 calculs, ce dernier est plus efficace.

16 s 1. Généralités sur les fonctions


TP 5 Construire une table de valeurs

1 a. Pour a = 3, b = 5,2 et p = 0,5, on construit les listes à l’aide de la calculatrice.
L1 3 3,5 4 4,5 5
L2 19 28,25 39 51,25 65
b. Pour a = 0, b = 12 et p = 0,001, il y aura dans chaque liste 12 001 termes.
c. Dans le premier cas, la borne supérieure n’est pas atteinte. Dans le second cas, le nombre de termes
est trop important pour les calculer et les exploiter.


2 N indique le rang du terme dans les listes L1 et L2.

3 a. Dans la question ●1) a, p = 0,22, et dans la question ●
1) b, p = 1,2.
ba
b. p "
10
c.
Entrée : Les réels a et b.
Initialisation : L1 et L2 deux listes vides.
b  a
Affecter à p la valeur .
10
Affecter à x la valeur a.
Traitement : Tant que x ⩽ b,
mettre x dans la liste L1 ;
mettre 3x2 – x – 5
dans la liste L2 ;
affecter à x le nombre x + p.
Sortie : Afficher L1 et L2.


4 ,ALGORITHME MODIFI£ POUR 4) ET #ASIO 

TP 6 Rechercher un minimum

1 a. Les formules à saisir sont :
n DANS "  i " "  w
DANS !  i " w
DANS !  i ! " w
DANS "  i !> !  w
b. L’abscisse du minimum que
LON PEUT CONJECTURER EST  4OUTE
fois, le pas étant grand, on peut
souligner qu’il se trouve proba-
BLEMENT DANS LINTERVALLE ;n  =
c. 3UR LINTERVALLE ;n   = LE
minimum de la table est atteint
deux fois, on peut toutefois
conjecturer qu’il se trouve dans
LINTERVALLE ;n  =

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 17


d. Une valeur approchée du minimum est 1,75 pour l’abscisse – 0,5.
e. Puisque f (x) – 1,75 = (x   2 est positif, alors f (x) ⩾   /R f (– 0,5) = 1,75 donc f atteint son
minimum 1,75 pour x = – 0,5.
1

2 A /N PEUT CONJECTURER QUE LE MINIMUM DE f est 6, atteint pour l’abscisse 0
"
3
.

1 9x 2  1  6x (3x  1)2
b. f (x)  6 " 9x  6" " est positif.
x x x
1 1
/R f(x) = 6 lorsque 3x – 1 = 0, soit x " , donc le minimum de f est 6, atteint pour x " .
3 3
●3 La fonction doit avoir des variations « assez régulières » et n’admettre qu’un seul minimum local sur
l’intervalle étudié.

TP 7 Déterminer le meilleur prix de vente



1 /N SAISIT DANS LA CELLULE
" LA FORMULE  « =(A6/
 > !  w ET
dans la cellule C6, la
FORMULE  i ! & w
avant de les recopier
vers le bas.


2 a. et b. À l’aide du
graphique et du
tableau, on peut lire
que l’entreprise réalise
un bénéfice pour une
production comprise
entre 700 et 2 800 puces.

c. Le bénéfice maximal est réalisé pour 1 700 puces (ou 1 800, à la centaine près).


3 Il faut vendre les puces 1,29 € minimum pour faire un bénéfice pour toute production comprise
entre 1 000 et 1 800 puces.

TP 8 Encadrer la solution d’une équation



1
Amplitude de Centre de Image du Signe de l’image
Borne a Borne b
l’encadrement l’intervalle centre du centre
0 8 8 4 2 positif
0 4 4 2 – 1,33 négatif
2 4 2 3 0,5 positif
2 3 1 2,5 – 0,36 négatif
2,5 3 0,5 2,75 – 7,52 négatif

/N OBTIENT UN ENCADREMENT DE α : 2,5 ⩽ α ⩽ 3.


2 ,E CENTRE DE LINTERVALLE ;a ; b] est le nombre b
2
LAMPLITUDE DE LINTERVALLE ;a ; b] est b – a.

18 s 1. Généralités sur les fonctions



3 Quelques exemples de programmation :
TI 83+ Casio graph 35+

Python Algobox

Xcas Scilab


4 Une valeur approchée de α à 0,000 1 près est 2,701 5.

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 19


Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application 15 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

⎡1 ⎤
1 f(2) = – 1 f (– 2) = 11 16 a. ⎢ ; 1⎥ b. ]–3  3;
⎣2 ⎦
f( 2 ) = 3 – 3 2 f(– 2    2 c. ;  3; d. ;  3;

2 a. f(2) =
1
f(3) = 0 f(4) =
1 17 a. I ∩ *  ;n   = ET ) ∪ *  ;n   =
4 6 b. I ∩ *  ;  ; ET ) ∪ *  =  =
b. L’image de – 2 n’existe pas car le dénominateur
c. I ∩ *  ;  2 ] et I ∪ *  =  3;
ne peut être nul.
d. I ∩ J = ∅ et I ∪ J = ]–3  ;∪;  =
3 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
18 a. I ∩ *  =  = ET ) ∪ *  ;n   ;
4 a. – 1 b. 3 b. I ∩ *  =  ; ET ) ∪ *  ;  =
c. Il n’en existe pas.
c. I ∩ *  ;  2] et I ∪ J = ]– 3  3;
5 a. Faux b. Faux d. I ∩ J = ∅ et I ∪ *  =n   =
c. Faux d. Vrai
19 a. Vrai
e. Faux
b. Faux
6 1. 252 – 10 × 9 = 535 m2 c. Vrai
2. a. 10 < x ⩽ 30 d. Faux
b. f(x) = x2 – 90
20 a. 3UR /x), 1 carreau représente 1 heure.
7 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 3UR /y), 1 carreau représente 25 cm.
b. La mer est haute à 4 h et à 16 h environ.
8 a. 0 ⩽ x ⩽ 1 400
La mer est basse à 10 h et à 22 h 30 environ.
b. 1 400 – x
c. De 8 h à 11 h 30 et de 21 h à 24 h environ.
c. 1,03(1 400 – x)
d. Ils ont pu surfer de 10 h à 16 h, soit pendant
9 f (x) = 2x2 6 heures.

x 21 a. 5 kg, car f (3) = 5.


10 a. g(x) " b. x ⩾ 0
b. 0,5 kg, car f (0) = 0,5.
2
© 32¹ 4 c. Environ 1 an et 6 mois, car f(1,5) = 3.
c. g ª º " d. Entre 2 ans 3 mois et 3 ans, car f (2,25) = 4 et
« 9» 3
f(3) = 5.
x
11 a. h(x) " e. 5 ans, car pour x ⩾ 5, f (x) = f (5).
2x  4
f. Environ 1 an et 6 mois, car son poids adulte est
b. Pour tout x différent de 2.
6 kg et f (1,5) = 3.
c. h(7) = 0,7
22 b. et c.
12 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
23 Tableau 1 : droite d
13 1. Proposition b.
x 0 2 6 20
x 3
2. a. x 8 x b. x 8 x 2  3x  5 f(x) 2 –1 –7 – 28
2
3 x 3 Tableau 2 : droite d’
c. x 8 x  d. x 8
2 x 2x  5
x –2 0 2 6
x 8 5  x2 f(x) –2 –1 0 2
e. x 8 5 f. x 8
2 2
24
⎡ 1⎤
14 a. ⎢ − 1 ; ⎥ b. =   ; x –5 –4 –2 2 3 5 6 7 8
⎣ 3⎦
f(x) –1 1 0 0 –2 –2 1 3 4
c. ;n   2 ; d. =n   3;
e. ]–3  = f. =  3; 25 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

20 s 1. Généralités sur les fonctions


26 a. 4ABLEAU DE VALEURS AU CHOIX DE L£LÞVE 35 1. et 2. x = – 4 ou x = 2
b. Figure ci-contre. y 36 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

37 a. Figure ci-contre.
Cf y
b. – 2 < x < – 1
Cf 2

0 2 x

27 a. Figure ci-contre. y Cf 2
b. Seul le point A appartient x
à Cf . 0 2
2
x
0 2

28 a. x = 1 ou x = 2 ou x = 6
b. x = – 4 ou x = – 1 ou x = 3 ou x = 4
c. ;n   n = ∪ ;  =

29 a. x = – 3 ou x = 0 ou x = 2 ou x = 7
b. x = 6
c. ;  =

30 a. x = – 4 ou x = – 1 ou x = 2 ou x = 4
38 a. Figure y Cf
b.
ci-contre.
x –5 –4 –1 2 4 7 b. f (x) est positif
f(x) 0 – 0 0 – 0 pour x compris
10
environ entre – 2,3 x
31 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. et 6. 0 2
32 a. y Cf

1
x
0 1

39 a. Figure y Cf
ci-contre.
b. x ≈ – 0,75
c. ;n    =
d. La fonction f est
négative sur l’intervalle 2
x
;n   n  = ET POSITIVE SUR 0
b. x ≈ – 2,4 ou x = 0 ou x ≈ 2,4 1
LINTERVALLE ;n    =
c. x = – 6 ou x = 0 ou x = 6

33 a. x = 1 b. ;  =

2
34 1. et 2. a. x =  ou x = 2
3 40 a. %N ABSCISSE   UNIT£ POUR  SEMAINE 
4 en ordonnée : 1 unité pour 200 g.
b. x = 0 ou x =
3 b.  SEMAINE   SEMAINES   G   G

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 21


c. Exercices pour se tester
Âge 0 1 8
52 à 59 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
Poids de l’élève.
3 320
d. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter car le poids d’un
bébé peut descendre jusqu’à : Exercice résolu
3 400 × 0,9 = 3 060 g
ce qui est bien inférieur à 3 320 g.
60 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

41 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

42 a. ;n   = Exercices d’approfondissement
b.
61 a. 2 b. 5
x –7 –3 –2 0 3 6 2
f(x) –4 –1 –2 –1 3 –3 c.
1 1 2"x
x
c. x = 1 ou x = 5
d. Le maximum de f sur 𝒟 EST   62 a. 16
son minimum est – 4. b. 9  84
c. 02/'2!-&/.#
43 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
0ROMPT 8
44 a. ;n   = b. – 6 :Prompt N
c. Il existe une infinité d’antécédents de 2. :1→Y
d. :For(I,1,N)
8 9→Y
x –6 –3 0 3 5 7
:End
4 4
2 2 :Disp Y
f (x)
–2 –1
3
e. x = – 4 ou x = 6
63 1. f (3) = – 1 et f(11) =
5
f. f est positive pour – 4 ⩽ x ⩽ 6, négative pour 2. f (f (3)) = 3 et f (f    /N CONSTATE QUE
– 6 ⩽ x ⩽ – 4 et 6 ⩽ x ⩽ 7. f (f(x)) = x pour ces deux valeurs.
45 a. f n     f(2) = 4 et f(5) = 2. 3. Il s’agit de l’algorithme b.
b. 2 ⩽ x ⩽ 4 4. Démonstration par substitution.
c. – 5 et 6 64 a. ;n   n = ∪ ;  =
d. Le maximum de f est 5. b. Élodie a raison.
46 a. fn   n   f(0) = – 3 et f(1) = 4. 65 a.
b. x = 2
x –5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 5
c. f EST CROISSANTE SUR ;n   n = ET SUR ;  =
f EST D£CROISSANTE SUR ;n   = ET SUR ;  = 312 51 8 3 3 8 51 312
f(x) 0 0
125 32 9 8 8 9 32 125
47 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
/N CONSTATE QUE POUR CES VALEURS f (x) = f (–x).
48 4RAC£ DUNE COURBE AU CHOIX DE L£LÞVE
b. La courbe est symétrique par rapport à l’axe des
49 4RAC£ DUNE COURBE AU CHOIX DE L£LÞVE ordonnées.

50 4RAC£ DUNE COURBE AU CHOIX DE L£LÞVE 66 1. a. Vrai b. Vrai


c. Faux d. Vrai
51 a. Un nombre a au maximum une image par
2. Non
une fonction.
3. x = – 3 ou x = 0 ou x = 3 ou x = 6
b. /UI UN NOMBRE PEUT AVOIR PLUSIEURS ANT£C£
4. La courbe représentative de f est située au-dessus
dents.
de celle de g lorsque x APPARTIENT Í ;n  = ∪ ;  =
Exemple : 1 a deux antécédents par la fonction
carré : – 1 et 1. 67 a. /N NE PEUT PAS R£PONDRE
c. Un cercle n’est pas la représentation graphique b. /N NE PEUT PAS R£PONDRE
d’une fonction : voir a. c. Vrai

22 s 1. Généralités sur les fonctions


d. Faux 74 1. Faux. La représentation graphique n’est pas
e. Vrai une droite.
f. /N NE PEUT PAS R£PONDRE 2. a. 8 000 €
b. 106 000 €
68 Démonstration par disjonction des cas.
3. a.
69 Démonstration à l’aide des définitions. x 0 25 45 75 120 145
70 1. a. Vrai f(x) 0 0,3 3,6 12,3 30,7 42
b. Faux. f (0) = 0 et pourtant 0 n’est pas compris b.
entre 1 et 2. y Cf
50
c. Faux. Il existe des nombres entre 1 et 2 qui ont
une image entre 0 et 1.
40
d. Faux. Il existe un nombre entre 1 et 2 d’image
nulle. 30
2. a. Faux b. Vrai
c. Faux d. Vrai 20

71 ! " 10
C:2 D:3 x
0
72 Figure 1 : d Figure 2 : c 50 100 150
Figure 3 : b Figure 4 : a c. f (10) = – 0,41. Ce résultat ne correspond pas
au montant des impôts à payer. La courbe ne fait
73 'RAPHIQUE 
QUAPPROCHER LA R£ALIT£ /N EN VOIT ICI LES LIMITES
Kilomètre
260 75
240 a.        
220
200 1© 1© 1© 1© 1 ¹ ¹ ¹ ¹
b. f (x) " ª ª ª ª x  10º  10º  10º  10º  10
180 2« 2« 2« 2« 2 » » » »
160
c. L’argent de poche de juin sera supérieur à
140
l’argent de poche de janvier pour x < 20.
120
100 100 76 a.
80
60 x 0,1 0,5 1 2 3 10 100
40 ln(x) –2,30 –0,69 0 0,69 1,10 2,30 4,61
60
20 Minute b. /N OBTIENT  LN    LN  
0 10 30 50 70 90 110 130 150 c.
y
3
Stella a raison en tous points.
2
Son train a parcouru une distance totale de 260 km
en 2 h 30 mn (ou 2,5 h). Sa vitesse moyenne sur ce 1
parcours est de 260/2,5 = 104 km/h.
x
0
De plus, le train a parcouru exactement 100 km à 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
chaque heure. Par exemple, de 0 h 30 à 1 h 30, il a –1
PARCOURU  KM  KM   KM $E  H  Í  H  –2
IL A AUSSI PARCOURU  KM  KM  KM   KM
–3
La représentation graphique est une ligne brisée
INVARIANTE PAR TRANSLATION DE VECTEUR  MIN  /N OBSERVE QUE LA FONCTION LN EST CROISSANTE SUR
100 km) (si on la prolonge). LINTERVALLE =  =
/N PEUT TOUTEFOIS REMARQUER QUE LA VITESSE EST d. /N PEUT FACILEMENT CONJECTURER QUE POUR TOUT R£EL
supérieure à 100 km/h du fait que le train a roulé à x non nul, ln(1/x) = –ln x.
120 km/h durant trois demi-heures, mais à 80 km/h e. /N PEUT FACILEMENT CONJECTURER QUE POUR TOUS
durant deux demi-heures seulement. réels x et y non nuls ln xy = ln x LN y.

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 23


f. ln(1/22 026) = –9,999 et ln(1/22 027) = –10,003. 5
3. t0 = CEST LINSTANT OÂ LA PIERRE TOUCHE LE SOL
Comme la fonction ln est croissante, on en déduit 7
que le plus grand entier cherché est 22 027. 4. y
g. Un algorithme en python peut être :
6
5
4
3
2
1 CH x
Problèmes
0 1 2
77 Partie A
5. a.
1. !PPLIQUER LE TH£ORÞME DE 0YTHAGORE DANS !"# ET
!"- 15
t 0 1
2. a. 0 ⩽ x ⩽ 4 7
b. /N A #-2 = (x  2 = x2 x  6,4
3. /N A !"2 x2   x2 x  H (t)
1,5 0
4. Même démarche dans EMD.
Partie B b. Le caillou atteint 6,4 m après 1 s.
6. H(t) = 1,5 pour t = 2 s.
1. f (x) " x  4  x
2. Le maximum de f est environ 2,8, atteint pour 80 1. a. L " 41  3 ~ 9,4
x = 2. f(2) = 2 2 .
b. L " 34  4 ~ 9,8
300 c. L " 22,25  15,25 ~ 8,6
78 a. !" 
x
2. a. 0 ⩽ x ⩽ 5
300
b. 4 < x < = 75 2
4
⎛ 300 ⎞
b. L(x) " 
5  x  16  x 2  9
c. A(x) = MN × QM = ⎜
⎝ x
− 4 (x

4) 3. Le minimum est atteint pour x ≈ 2,14 et vaut
L(2,14) ≈ 8,6.
d.
y 15
180 4. Le minimum de L est 4 pour x = .
7
160 81 a. A(x) = 60 – x2 – (6 – x)(10 – x) pour 0 ⩽ x ⩽ 6
140 b. Développer les expressions du a. et du b.
120 c. L’aire de MNPQ est maximale pour x = 4 et
A(4) = 32.
100
80 82 1. Il existe deux solutions qui sont en fait les
60 mêmes, en tournant la figure de 90°.
Les dimensions du rectangle sont environ 0,87 et 1,8.
40
CA 2. En notant x LE C¯T£ ;!"= DU RECTANGLE ON OBTIENT
20 LA LONGUEUR /) Í LAIDE DU TH£ORÞME DE 0YTHAGORE
x
APPLIQU£ AU TRIANGLE /)" FIGURE CI DESSOUS 
0 20 40 60

e. x0 ≈ 17,3
x 4 x0 75

A (x)

f. x0 " 10 3

79 1. H(0) = 1,5
2. Développer l’expression de droite.

24 s 1. Généralités sur les fonctions


/N PEUT DONC EXPRIMER LAIRE DU RECTANGLE f (x) en b. g(x) = (x  x = x2 x = f (x)
fonction de x  /)2  /"2 n )"2
85 a. MH = 5
2 2
© x¹ © x¹
DOÂ /)  1ª º et f (x) " x w 2 1  ª º . b. AM = x 2  25
« 2» « 2»
2
/R LAIRE DU DISQUE DE RAYON  VAUT π. Donc on résout "-  
8  x  25
␲ 2
graphiquement l’équation f (x) " ~ 1,57 .
2 c. P(x) " 8  x 2  25  
8  x  25
/N PEUT SAPPUYER SUR LOUTIL INTERSECTION DE LA CALCU d. x doit être compris entre – 2,3 environ et 10,3
latrice. environ.
e. Ce sont les triangles réalisés en prenant x = – 2,3
ou x = 10,3 environ.
f. La longueur minimale de corde est d’environ
20,8 pour x   $ANS CE CAS !"- EST ISOCÞLE EN -

86 a. p représente le pas. L’algorithme va effec-


tuer un test 100 fois.
b. n = 100.
c. n = 0.
d. f n’est pas monotone.
e. Indira a raison.

87 Partie A
1. 0 < x < 5
2. a. f (x) " x 2
Les dimensions du rectangle sont environ 0,873 et
2
1,799. b. g(x) " 5  x  25
83 %N UTILISANT LE TH£ORÞME DE 4HALÞS DANS LE 3. Les courbes se coupent en x ≈ 3,7 avec EF ≈ 5,2.
x
triangle CHA, on obtient : PM " . Partie B
3
a. Sur I, f et g sont positives et f (x) = g(x) est équiva-
x3
Le volume de boisson est : ␲. lent à f (x)2 = g(x)2, soit 50 – 10x x2 = 2x2.
27
Le volume du verre est 8π. b. Développer les deux expressions.
Cela conduit à l’équation : x3 = 108. c. x " 5 3  5 ~ 3,66
/N TROUVE  x ≈ 4,76.
et EF " f (5 3  5) " 5 2 3  1 ~ 5,18 . 
84 Partie C
1. 1. )L SUFFIT DE TRACER LA DROITE "& FAISANT UN ANGLE
de 30° avec la diagonale du carré, puis de compléter
par symétrie.
p " 15s
2. a. C"F
5
b. "& 
cos 15°
2

2. f (x) "

2x  1  1
" x2  x
1
c. cos 15° =
4 2 3 1 
3. a.
88 1. Paul commence à courir après 4 s et il se
trouve à 10 m de Paulette.
2. a. 8 secondes.
b. Il continue à courir à la même vitesse que le train
et dans la direction opposée de façon à rester à la
hauteur de Paulette.
3. 18 secondes.

1. '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS s 25


89 Traduction de l’énoncé 91 0AR HYPOTHÞSE /-  
Croissez et multipliez /N APPELLE x LA DISTANCE /0 LA SURFACE DE LA MAISON
Dans le cadre d’une recherche sur la reproduc-
tion des micro-organismes, Aurélie s’intéresse à 
est A(x) " 20  225  x 2 20  x .
trois types de bactéries désignés par les lettres A, Cette aire est minimale pour x ≈ 6,46 ou x ≈ 13,5.
" ET #
À l’instant initial, elle a le même nombre de
92
bactéries de chacune des trois espèces. cm2
Mais ensuite :
800
– le nombre de bactéries A doublera toutes les
 HEURES 
700
n LE NOMBRE DE BACT£RIES " TRIPLERA TOUTES LES
 HEURES 
600
– le nombre de bactéries C sera multiplié par 5
toutes les 5 heures.
500
Quelle est l’espèce dont la population se déve-
loppera le plus vite ? le moins vite ? Expliquer.
400

Deux populations sont clairement comparables pour


300
des multiples communs de leurs « périodes » (voir
tableau ci-dessous).
200
Heures 6 10 12 24 30
A 8 32 64 4 096 32 768 100
B 9 81 6 561 59 049
C 25 15 625
0 1 2 3,15 4 5 6 7
Après 24 heures, le classement est déjà bien établi : il cm
faudrait attendre 25 heures pour que C = 3 125.
Après 30 heures, on a 15 625 < 32 768 < 59 049. Sur le graphique 1, on trouve que l’aire est minimale
,E CLASSEMENT EST ALORS #  !  " pour un rayon voisin de 3,15 cm.
/N REPORTE CETTE VALEUR SUR LAUTRE GRAPHIQUE POUR
90 a. La courbe verte correspond au cycliste qui lire la hauteur correspondante du cylindre, soit
PART EN PREMIER DE '£RARDMER ,A COURBE ROUGE environ 8 cm.
correspond à l’automobiliste qui part de Munster.
cm
b. La vitesse de l’automobiliste est de 60 km/h en
montée et 120 km/h en descente. 16
La vitesse du cycliste est de 15 km/h dans la montée
et de 60 km/h dans la descente. 14
c. Ils se rencontrent à 8 h 25 du côté de Munster.
d. ,E COL SE TROUVE Í  KM DE '£RARDMER 12
e. Il s’agit du cycliste :
MONT£E  MIN  10
DESCENTE  MIN 
PAUSE  MIN  8
descente (5 min).
f. 6
Distance de
20 Gérardmer,
d (en km)
15 4

10
2
5
t (en min)
0 5 10 15 0 1 2 3,15 4 5 6 7
cm

26 s 1. Généralités sur les fonctions


2. Équations et inéquations
Objectifs et pré-requis
Dans ce chapitre, on rappelle les méthodes de résolutions d’équations et d’inéquations qui se
ramènent à des expressions du premier degré. L’objectif du programme est de combiner pour un
MãME PROBLÞME LES R£SOLUTIONS GRAPHIQUES ET ALG£BRIQUES /N POURRA DONC PROPOSER SIMULTAN£-
ment aux élèves des exercices de ce chapitre ainsi que certains du chapitre 1.
Un deuxième objectif travaillé dans ce chapitre consiste à entraîner les élèves à poser des problèmes
en équation.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :

Contenus Capacités attendues


Équations
Résolution graphique et v Mettre un problème en équation.
algébrique d’équations. v Résoudre une équation se ramenant au premier degré.
v Encadrer une racine d’une équation grâce à un algorithme de
dichotomie.

Inéquations
Résolution graphique et v Modéliser un problème par une inéquation.
algébrique d’inéquations. v Résoudre graphiquement des inéquations de la forme :
f (x) < k  f (x) < g(x).
v Résoudre une inéquation à partir de l’étude du signe d’une
expression produit ou quotient de facteurs du premier degré.
v Résoudre algébriquement les inéquations nécessaires à
la résolution d’un problème.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 9 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Notion d’équation et d’inéquation

1
x –2 –1 1 3 7
5x – 7 –17 –12 –2 8 28
– 5x – 17 –7 –12 –23 –32 –52
x2 – 3x 10 4 –2 0 28


2 a. – 1 est solution.
b. 1 et 7 sont solution.
c. –1, 1, 3 et 7 sont solution.
d. 1, 3 et 7 sont solution.

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 27
2 Reconnaître la forme d’une expression algébrique

1 a. somme
b. différence
c. produit
d. produit
e. quotient
f. différence
g. produit
h. différence
i. différence


2 A:2
"
C:1
D:5
E:4
F:7
'

3 Traduire une situation par une équation


a. x EST LE PRIX DUNE DINDE    x = 54,5.
b. x est le nombre : 2x = x2.
c. x est le premier entier : x x   
d. L est la longueur et l la largeur du rectangle : L × (l  L×l 
e. x est mon âge : x x   
2
f. x est l’héritage du cadet : x x = 1 500.
3
g. x est l’argent de poche reçu il y a 6 mois : 25x = 32.

4 Signe de ax + b par lecture graphique


Partie A

1
y
d est une droite.
d
4

2
J
2 x
O I 4 6

–2

–4

2 Le point d’intersection de d et de l’axe des abscisses est A( )


5
● 2
 .


3 a. L’ordonnée de M est positive.

28 s 2. Équations et inéquations
b. L’ordonnée de N est négative.
c.

x –3 xA 3
Signe de
– 0
2x – 5

5
d. L’expression 2x – 5 est négative pour tout x inférieur à .
2
5
L’expression 2x – 5 est positive pour tout x supérieur à .
2

Partie B

4
x –3 3
3
Signe de
0 –
g(x)

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Décomposition d’une expression

1 Ci-contre le tableau complété.
/N A SAISI EN ! LA FORMULE i !   w


2 a. Les fonctions B et D font corres-
pondre aux nombres de la colonne A les
nombres de la colonne E.
b. /N V£RIFIE LA R£PONSE DANS LA COLONNE
F de la feuille en saisissant dans F1 la
FORMULE i  !  nw

TP 2 Programmes de calcul et équations



1 a.
Choisir un nombre
Multiplier par 2
Enlever 5
Mettre au carré
Ajouter 3

b. x  2 x  2 x  5  ( 2 x  5 )  ( 2 x  5)2 + 3  f ( x )
2

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 29
c.

x 2x 2x – 5 (2x – 5)2 (2x – 5)2 + 3


– 10 – 20 – 25 625 628
–9 – 18 – 23 529 532
–8 – 16 – 21 441 444
–7 – 14 – 19 361 364
–6 – 12 – 17 289 292
–5 – 10 – 15 225 228
–4 –8 – 13 169 172
–3 –6 – 11 121 124
–2 –4 –9 81 84
–1 –2 –7 49 52
0 0 –5 25 28
1 2 –3 9 12
2 4 –1 1 4
3 6 1 1 4
4 8 3 9 12
5 10 5 25 28
6 12 7 49 52
7 14 9 81 84
8 16 11 121 124
9 18 13 169 172
10 20 15 225 228
d. Une solution est 5.


2

x x–4 (x – 4)2 (x – 4)2 + 5 ( x – 4 )2 +5

– 10 – 14 196 201 14,1774468788


–9 – 13 169 174 13,1909059583
–8 – 12 144 149 12,2065556157
–7 – 11 121 126 11,2249721603
–6 – 10 100 105 10,246950766
–5 –9 81 86 9,2736184955
–4 –8 64 69 8,3066238629
–3 –7 49 54 7,3484692283
–2 –6 36 41 6,4031242374
–1 –5 25 30 5,4772255751
0 –4 16 21 4,582575695
1 –3 9 14 3,7416573868
2 –2 4 9 3
3 –1 1 6 2,4494897428

30 s 2. Équations et inéquations
4 0 0 5 2,2360679775
5 1 1 6 2,4494897428
6 2 4 9 3
7 3 9 14 3,7416573868
8 4 16 21 4,582575695
9 5 25 30 5,4772255751
10 6 36 41 6,4031242374
Des solutions sont 2 et 6.

TP 3 Recherche triangles rectangles !


1 et ●
● 2) Les élèves conjecturent deux solutions qui sont symétriques l’une de l’autre.


3 a. DP2 " x 2  36 et CP2 " x 2  30x  261
b. /N DOIT R£SOUDRE DP2  CP2 " 225 qui équivaut à x2 – 15x   
c. /N D£VELOPPE x – 3)(x – 12). Résoudre (x  3)(x  12) " 0 conduit à AP = 3 ou AP = 12.

TP 4 Déterminer le signe de ax + b
3

1 Dans ce cas, – 2x  EST POSITIF POUR x <
2
et négatif pour x >
2
.
b

2 x0 = 
a

3 4ABLEAU   a < 0.
4ABLEAU   a > 0.


4 a. « ax b est négatif puis positif. »
b. « ax b est positif puis négatif. »


5

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 31

6

TP 5 Résoudre des équations du second degré



1

Entrer les réels a et b


Si ab < 0 alors
l’équation n’a pas de solution réelle
Sinon
b b
l’équation possède deux solutions  et
a a
Fin si


2 a.  5 et 5 .
b. L’équation n’a pas de solution réelle.
c.  2 et 2 .


3 a. Le programme affiche un message d’erreur.
b.

32 s 2. Équations et inéquations
TP 6 Résoudre une équation avec un logiciel

1 a. /N D£VELOPPE LES TERMES DE
l’équation (E).
b. Voir ci-contre.
c. x ≈ – 1,60 ou x ≈ – 0,46
ou x ≈ 2,06


2 a. x ≈ – 2,562 ou x = 1 ou x ≈ 1,562
b. x ≈ 0,697 ou x ≈ 4,303


3 Si a < – 2, l’équation n’a aucune
solution.
Si a = – 2, l’équation a une solution.
Si a > – 2, l’équation a deux
solutions.


4 Si – 6 < b < 2, l’équation n’a aucune
solution.
Si b = – 6 ou b = 2, l’équation a une
solution.
Si b > 2 ou b < – 6, l’équation a deux solutions.

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 33
TP 7 Résoudre un problème à répétition

1 À chaque écluse, le marchand laisse 1 % de son chargement et 5 sacs de farine, il lui en reste donc
a × 0,99 – 5. L’égalité « a=a*0,99-5 » signale la nouvelle affectation de a.


2 i représente le nombre d’écluses restant à franchir.

3
1re écluse 2e écluse 3e écluse 4e écluse 5e écluse
a 10 000 9 895 9 791,05 9 688,14 9 586,26
i 63 62 61 60 59


4 Chaque boucle comporte une multiplication et deux soustractions, soit au total 63 multiplications
et 126 soustractions.


5 a. nbsacs(7 000) ≈ 3 481,8 n’est pas suffisant, mais nbsacs(10 000) ≈ 5 074,5 dépasse la moitié, donc
la valeur recherchée se situe entre 7 000 et 10 000.
b. La valeur minimale est 7 590.
Il est déconseillé de programmer sur calculatrice, le nombre de boucles étant trop élevé (63 × 591).
Quelques exemples de programmation :
!VEC !LGO"OX %N 0YTHON !VEC 3CILAB

34 s 2. Équations et inéquations
Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application 14 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

15 A = (6x – 9)2
1 Sommes : C, D et F. B = (7x  2
0RODUITS  ! " % ' ET ( C = (9x – 7)2
2 a. x xy b. (x – 3)2 D = (7x – 6)(7x 
x 2
x E = (3x – 9)2
c. d.  (3  3x) F = (9 – 3x  x)
3y 2 y
16 A = (x  x – 15)
1
3 a. (x  2 b. B = 30x(x 
(x  1)2 C = 4(7x – 4)(x 
1 D = 6(1 – x)
c.  2x 2
(x  1)2 E = 42(x  x – 5)

4 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 17 A = (3x – 10)(3x  B = (5x – 6)(5x 
C = (– 2x  x – 1) D = (8x – 10)(8x – 8)
5 A = 3x2 x  E = (– 2x – 3)(8x – 5) F = x(– 4x – 4)
B = 17x2 – x 
C = 2x2 – 10x – 6 18 A = (2x – 14)(2x) B = (3x – 3)(–x 
D = 8x2 x – 8 C = (7x – 2)(– 15x – 23) D = (3x – 17)(7x 

6 A = x2 – 10x 19 b, c et e.
B = – 6x2 – 3x 20 – 9 et 5
C = 28x2 – 29x – 35
D = – 20x2 – 150x – 70 21 – 2 et 2

7 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 22 b, d et e.

8 A = 9x  23 a.
11
b.
16
B = 6x2 x  12 9
C = – 31x2 x – 25 49 3
c.  d.
D = 48 – 48x 12 2

9 A = 5x2 x  3
24 a. b. 2
B = 42x2 x 19
C = – 9x2 – 28x – 3 20 21
c.  d.
D = 63x2 x  3 4
E = 14x2 x 
F = – 21x – 168
25 a. x = 10 et x = – 9
5
10 Dans chaque cas, on développe l’expression b. x = et x = 5
2
de droite, puis on la réduit. 3 1
c. x = et x =
11 A = x2 – 12x  8 8
B = x2 – 49 5 1
d. x = – et x =
C = 36x2 x  2 6
D = 9x2 x  4 9
e. x = et x = –
E = 81x2 – 180x  3 7
F = 9x2 – 64 7
f. x = 2 et x =
4
12 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
26 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
13 A = – 6(2x  x 
B = (3x  x  27 a. 2(3x  x – 1)
C = 4(4x 
b. x = – et x = 1
D = 8(x – 6) 3

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 35
1 5 5 37
28 a. b.  ou
2 3 3
x –3 –5 –2 3
5 3 3
c. d.  ou
2 5 5
3x + 6 – – 0 +
3 3
e. f. 
2 4 –x–5 0 – –
29 a. – 6 ou 6 b. 2 2 ou 2 2 (3x + 6)
– 0 0 –
× (–5x – 1)
c. Aucune solution d.  82 ou 82
38 a.
e. – 13 ou – 7 f. 4 ou 12
x –3 2 3 3
30 a.  59 ou 59 b. – 4 ou 12
9 4 4 f(x) – 0 – 0
c.  d.  ou
5 3 3
b.
3 17
e. 1 f. ou
10 4 4
x –3  0 3
1 3
g. ou 5 h. x = 5
5
g(x) – 0 0 –
31 a. x = 7 et x = – 7
b. x = 6 et x =  6 c.
c. L’équation n’a pas de solution.
1
d. x = 7 et x = – 7 x –3  2 3
3
e. x = – 3 et x = 1
f. x et x = 2 – 2 h(x) – 0 0 –
32 a. x = 11 et x = – 11 d.
b. x = 11 et x =  11
c. L’équation n’a pas de solution. x –3 3 4 3
d. x = 5 et x = – 5 2
e. x = – 12 et x = 2 i(x) 0 – 0 0 –
f. x = 3 et x = 5

33 a. x = 1 b. x = 4 39 a. 3  ;  =
2 1 b. 3  =  ;
c. x = d. x =
5 7 c. S = ] 3 ;  2][1 ; + 3[
d. 3  =n   ;
34 a. x = – 1
4 
b. x = 2 et x = 6 e. S = ] 3 ;  7[   ; + 3 
3 
c. x = 2 et x = 6
 1 
3 f. S =   ; 4 
d. x = 1 et x =  2 
2
35 40 a.

x –3 2 3
x –3 –2 3
–2x + 4 0 – 2 4
– x– 0 –
3 3
36 b.
5
x –3  3 x –3 2 3
3
2 4
3x + 5 – 0 x– – 0
3 3

36 s 2. Équations et inéquations
41 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.  13 
f. S =  3 ;  ]5 ; + 3[
 5 
42 a.
46 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
5
–3 3
]– 3  3 ] ]– 3  8 ]
x 8 5
9 47 a. b.

]– 3  8 ] ] 6  3[
f(x) – 0 1 17
c. d.
b.
48 S = ] 3 ; 5[  ]7 ; + 3[
3
x –3 3  1 
2 49 a. S = ] 3 ;  2]   ; + 3 
 2 
g(x) 0 – b. S = ] 3 ;  3][7 ; + 3[
 5
c. c. S =  5 ; 
 3
2 4 
x –3 3 d. S = ] 3 ;  5]  ; + 3 
3 3 
e. S = ] 3 ;  9[  ]1 ; + 3[
h(x) 0 –
f. S = ] 3 ; 3[ [7 ; + 3[
d. 3

50 a. S =  3 ;  [4 ; + 3[
 2
x –3 1 3
b. 3  =  ;
i(x) 0 – 3 
c. S = ] 3 ;  2[   ; + 3 
2 
43 a.  3
d. S =  3 ;    ]2 ; + 3[
 2
x –3 –3 5 3

g(x) – 0 –
Exercices pour se tester
b.
51 à 59 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
1 de l’élève.
x –3 –4 –1 3
2

h(x) – 0 0 –
Exercice résolu
44 a. 3  =n   =
60 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
b. S = ] 3 ;  4[  ]6 ; + 3[
c. 3  ;  ;
 9
d. S = 1 ;  Exercices d’approfondissement
 2
e. S = ] 3 ;  4[  ]9 ; + 3[ 61 A est l’inverse de la somme de x et de 3.
B est la somme du triple du carré de x et du double
 1 
f. S =   ; 7  du carré de y.
 6 
C est le cube de la somme de l’inverse de la diffé-
45 a. S = ] 3 ; 5[ [14 ; + 3[
rence de x et de 1 et de 2.
b. 3  ;  ;
D est la différence du produit de x par y et du
5  quotient de x par y.
c. S =  ; 2 
4 
d. 3  =  ; 62 1. /N RETROUVE LE NOMBRE DE D£PART
 1  1 
e. S =  3 ;   ]1 ; + 3[ 2. 3 x x2 + x  3 x3 = x
 2  3 

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 37
63 1. 10 → 30 → 130 → 260 100
C = 81x2 x
2. a. – 5 → – 15 → 10 → 20 9
2 22 44 67 72
b. →2→ → D = 3 x 2  x
3 9 9 5 5
c. 5 → 3 5 → 5  3 5 → 10  6 5 71 A " 6x  4x 
2 2
3. Pour que le résultat obtenu soit 0, on peut choisir 3
les nombres – 3 ou 0. B " 7,2x 2  22,2x  6
49 2 56 16
64 a. 2 × ((x n  x    ¾ x = 4x C"
25
x 
15
x
9
b. Les deux périmètres valent 4x.
13 35
c. %N EFFET %&  &'  '!  !% 72 A =  x2 + x +
6 3
4 w x 4 w (4  x) 26 14
65 a. 𝒜(x) =  " 2x  8  2x " 8 B = 2 x 2  x
2 2 3 9
b. 𝒜(x EST LA MOITI£ DE LAIRE DU CARR£ !"#$ QUEL 28
C = 15 x 2  19 x +
que soit x. 3
55 2 163 399
66 A " x  2 xy
x y D= 
16
x 
8
x
16
"72 4 "3
B " 2x  2xy
x  2y  4xy
x " 2(x  y)  6xy
x
73 a. ab  3

" a  b a 2  2ab  b 2 
" 2 w 7  6 w 4 " 10 " a  2a b  ab  a b  2ab 2  b 3
3 2 2 2

2
C " x  2xy
x  y  (x  2xy2 2
x  y ) " 4xy
x 2 " a 3  3a 2 b  3ab 2  b 3
" 4 w 4 " 16 b. ab
3
 
" a  b a 2  2ab  b 2 
67 a. Pour x ≠ – 3 : " a  2a b  ab  a b  2ab 2  b 3
3 2 2 2

1 4x  12 1 4x  11 " a 3  3a 2 b  3ab 2  b 3
4 "  "
x 3 x 3 x 3 x 3
74 A = – 8(5x – 1)(x 
1 6  3x 1 5  3x
b. Pour x ≠ 2 : 3  "  " B = x(6 – 6x)
2x 2x 2x 2x
C = – 5(x – 3)(x 
68 a. Pour x ≠ – 1 et x ≠ 0 : D = 6(3x – 1)(x 
1 1 x 1 x 1
 "  " 75 A = 4(x  x – 18)
x x  1 x(x  1) x(x  1) x(x  1)
B = – 10(5x  x – 6)
b. Pour x ⩾ 0 et x ≠ 1 : C = – 2(7x – 2)(17x 
1 1 x 1 x 1
 "  76 1. A = 2x2 – 17x 
x 1 x 1 ( x  1)( x  1) ( x  1)( x  1)
2. A = (2x – 5)(x – 6)
2
" 3. a. Pour x = 0, A = 2 × 02 n  ¾    
(x  1)
c. Pour x > 0 : b. Pour x = 6, A = (2 × 6 – 5)(6 – 6) = 0
1 x +1 x c. Pour x = 2 , A = 2( 2)2  17 2  30 " 34  17 2
=
x +1 + x ( x +1 x )( x 1 x)
77 1. A = 40x2 x – 3
x +1 − x
= 2. A = (5x – 1)(8x 
x +1 − x
3
= x +1 − x 3. a. Pour x =  ,
8
x 1 x 1
69 a. A "  © 3¹ © 3¹ © 3¹
(x  1)(x  1) (x  1)(x  1) A = (5 ª  º  1)(7 ª  º  3) " (5 ª  º  1)(3  3) " 0
« 8» « 8» « 8»
x  1  (x  1) 2 2
" " 1 © 1¹ 1 21
x2 1 x2 1 b. Pour x = , A = 40 ª º  7 w  3 "
2 « 2» 2 2
2 2
b. A " " "1
3 1
2 3 1 c. Pour x = 3 , A = 40( 3)2  7 3  3 " 117  7 3
70 A = 0,25x2 – 6x  3
14 4 78 a. x = b. x = – 18
B = 4 x2  x+ 7
3 3

38 s 2. Équations et inéquations
5 9
c. x = d. x = 89
17 11
En nommant x la longueur AM et en choisissant
e. x = 3 f. x = 6 !"   ON PEUT EXPRIMER LES AIRES 𝒜1 et 𝒜2 des
SECTEURS !-. ET !"# 
27 4 36 Ux 2 U
79 a. b. c.  𝒜1 =
4
et 𝒜2 =
4
.
26 15 23
1 Ux 2 1 U
80
1
a. 
ou 3 Si 𝒜1 = 𝒜2, alors " w ,
4 2 4 2 4
3 1 1
b.  ou ce qui équivaut à x 2 " ,
5 2 2
2 3 1 1 2
c. ou DOÂ x " " " car x est une longueur donc
3 2 2 2 2
x est positif.
1 1
81 a. b.
2 2
90
c. – 1 d. 3
e. – 5 ou 1 f. – 7 ou 6 2
x –3 –3 3
3
82 a. – 1 ou 1 b. 1
c. 3 d. – 7 f(x) = 3x + 9 – 0
19 11
83 a.  b. 6x – 4 – – 0
2 8
1 f x
x)
c. d.  6 ou 6 0 –
5 6x – 4
1
84 a. b. – 4
5
91 4ABLEAUX DE SIGNES AU CHOIX DE L£LÞVE
c. Aucune solution d. – 1
Exemples de fonction :
85 1. A(x) = 5x2 x 
a. f (x) = (x – 4)(x 
2. A(x   x)(x 
3  x
3 53 b. g(x) "
3. a. – 10 ou  b.  ou 0 2x  1
5 5
4x  5
3 7 c. h(x) "
c.  ou 3x  4
5 4
86 1. A(x) = – 2x2 x – 1 92 a.
2. A(x) = (1 – x)(2x – 1)
1 3
x –3 –2 2 3
3. a. ou 1 b. 0 ou c. 0
2 2
f(x) 0 – 0
4. A(0) = – 1 et A( 3) " 3 3  7
b.
87 1. A(x) = – 3x2 – 2x 
2. A(x) = (x   n x) x 0 16 3
7
3. a. – 3 ou b.  7 ou 7
3 g(x) –4 – 0
© 1¹ 2 3
4. A(0) = 21 et A ª º " 20 
« 3» 3 93 a., b. et d.
88 a. x = – 3 94 – 5, – 1 et 6
5
b. x = –
]– 3  5 ] ]  5  3[
3 8 3
95 a. b.
7
c. x = –
8
]  5  3[ ]  35  3[
2 18
d. L’équation n’a pas de solution réelle. c. d.

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 39
104 a. ]– 3  n ; ∪ =  ;
] – 3  5 ] ∪ [ 5  3[
8 9
96 a.
b. ]– 3  n ; ∪ =  =

b. ]– 3   [ ∪ ]  3[
5 9
9 10

c. ]n   [
1
2 Problèmes
d. ]– 3  n ; ∪ ]  3[
8
105 1. Le programme de calcul donne .
7 2x  3
3
2. /N R£SOUT L£QUATION "5 ,
97 a. [  ] b. [ 
5 4 ]
5 1 1
2x  3
3
la solution est – 1,2.
c. ]– 3   ] ∪ [  3[ d. ]   [
9 3 9
4 5 2
106
e. ]    [ f. ]
7 [
59 5 4 10 a. Pour le nombre 5 :

32 4 3 5 → 8 → 16 → 21 → 7 → 5
b. /N REVIENT AU NOMBRE DE D£PART
98 a. ]– 3  [ ∪ =  3;
4
7 c. Avec un nombre x :
x → x  → 2x  → 3x  → x  → x
b. ]– 3 
31 [ ] 7
 3[
3 2

107 /N NOMME x le gain du 2e gagnant.
c. ]    [
2 1 x  x x – 200 = 1 250
3 2 soit x = 350.
Le premier gagnant reçoit 750 €, le deuxième 350 €
d. ]– 3   ] ∪ [    ]
5 4
2 3 et le troisième 150 €.

e. ]
15 4 [
1 5
 108 /N NOMME x la masse d’un sac de sucre.
 x   x
f. ]– 3  [ ∪ ]
3 3[
5 4 5 DOÂ x = 0.

7 Un sac de sucre a une masse de 0,5 kg.
99 1. A(x) = – 7x2 – 11x  109 Il s’agit de dessiner un triangle de côtés de
2. A(x) = (x   n x) longueurs 7 cm, 8 cm et 9 cm.

110 Si x est la note d’Amandine :


[ [
3
3. a. ]– 3  n  = ∪  3
7 3(x   x – 10

] [
11 x = 16.
b.  
7 Amandine a eu 16 à son contrôle de mathématiques.
100 1. A(x) = – 15x2 x – 5 111 1. L’aire de la croix est égale à 5x x – x2. Cette
2. A(x) = 5(1 – x)(3x – 1) aire doit être la moitié de l’aire totale du drapeau qui

] [
1 vaut 20.
3. a. – 3  ∪ =  3;
3 2. x ≈ 1,3 ou x ≈ 7,7. La première valeur approchée
b. 4OUT NOMBRE R£EL convient comme solution au problème.
101 1. a. 16 – x2 = (4 – x  x) 112 Soit x la longueur des côtés du carré.
b. 16 – x2 – (4 – x)(8 – 3x)= (4 – x)(4x – 4) 100x
2. ;  = x2 = DOÂ x = 50.
2

[ [ ] [
9 3 1
102 a. ]– 3  n = ∪  3 b.    Le côté commun des champs est long de 50 m.
2 4 2
113 Appliquer le théorème de Pythagore.
]– 3   2 ] ∪ =n  
23
103 a. 3; Si x est la longueur de l’hypoténuse, alors
x2   x – 2)2.
] [ ∪ ] 19  3[
2 14
b. – 3  Soit x = 7,25. L’hypoténuse mesure 7,25 cm.
3
␲x 2
] [ ] [ 114 
5 1 x vérifie l’équation 2 " 2x x  9 , soit :
c. –3   ∪   3 2
8 2
18
[ 2  3[
3 x" ≈ 15,8 cm.
d. ]– 1  ; ∪ ␲2

40 s 2. Équations et inéquations
115 Traduction de l’énoncé b. Les antécédents de 0 par f sont : – 4 et 3.
Problème existentiel Les antécédents de 0 par g sont : – 1 et 3.
1
c. Les solutions de f (x) = g(x) sont : ou 3.
2
d. L’inéquation f (x  ⩽ g(x  EST V£RIFI£E POUR
x ⩽ 0.
f (x)
L’inéquation # 0 est vérifiée pour x < – 4 ou
g(x)
x > – 1.

119 1. y

35

Pour quelles valeurs de x peut-on construire ce 30


triangle ? Justifier. Cf
25
3I LE TRIANGLE EXISTE ALORS   x  x) > (12 – x)
ET  x  n x   x). Les solutions de cette 20
double inégalité sont tous les réels de l’intervalle
=    ; 15
,IN£GALIT£  x  n x   x) est toujours
vraie. 10
Réciproquement, pour tout réel de l’intervalle
=    ; LES TROIS NOMBRES  x  x) et 5
(12 – x) sont positifs, ce qui assure l’existence du x
triangle. O 1 2 3
Les solutions sont tous les réels de l’intervalle
=    ;

116 /N NOTE x le total des ventes en euros. 2. a. La courbe est au-dessus de l’axe des abscisses,
/N CHERCHE LES SOLUTIONS DE LIN£QUATION  il n’y a pas de solution.
b. Développer et réduire (2x – 3)2 
2 5
800  x ! 350  x 3. Sinon l’équation f (x) = 0 aurait au moins une
100 100
solution.
soit x > 15 000.
4. Expressions de fonctions au choix de l’élève.
,E CONTRAT i /FFENSIVE w APPORTE UNE R£MUN£RATION
supérieure pour un montant de ventes supérieur à 120 1. La recette mensuelle est R(x) = 20x.
15 000 €. 2. B(x) = R(x) – C(x)
3. Le nombre minimum de ceintures à vendre est la
117 1. Le rayon de la planète x doit vérifier
plus petite valeur entière de x pour laquelle B(x) > 0.
l’équation :
L’artisan doit vendre au moins 51 ceintures pour
6 2 ␲x 20␲x 2 réaliser un bénéfice.
␲x 3 "  .
3 3 3
x ≈ 6,4 milliers de kilomètres. 121 Florie a chatté x heures.
,A PLANÞTE CHERCH£E EST LA 4ERRE Fleur a chatté x    x heures.
$OÂ x = 24 h.
118 1. f(x) = (x – 3)(x   x2 x – 12
g(x) = (x – 3)(x   x2 – 2x – 3 122 /N POSE x la longueur des côtés de la ville
2. a. f (3) = 0 carrée.
f( 2 ) = 2  10 %N APPLIQUANT LE TH£ORÞME DE 4HALÞS
x
f( 3  3 ) = 7 3  3
20 2
on obtient l’équation : = .
g(3) = 0 x + 34 1775
g( 2 ) = 2 2  1 /N TROUVE 
g( 3  3 ) = 4 3  3 x = 250 pas.

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 41
127
"N w 6  M"  " "N w M" SOIT -"   CM
2

128 Soit x LE RAYON DU CERCLE DE DIAMÞTRE ;!-= 

2 ␲x  ␲ 4  x
2
  " 16␲
2

DOÂ x = 2 cm.

129
1.
123 1. a. 1 0002 – 9992       n 
= 1 999 w 1 = 1 999
1 0012 – 1 0002        n  
= 2 001 × 1 = 2 001
1 0022 – 1 0012        n  
= 2 003 × 1 = 2 003
b. La différence de deux carrés d’entiers consécu-
tifs vaut la somme de ces deux entiers.
2. Pour tout n ∈ ℕ :
(n  2 – n2 = n2 n  n n2 = 2n 
4OUT NOMBRE IMPAIR PEUT S£CRIRE SOUS LA FORME
2n  SOIT SOUS LA FORME n  2 – n2 4OUT NOMBRE 2. /N POSE PAR EXEMPLE x = CM.
impair est donc une différence de deux carrés %N APPLIQUANT LE TH£ORÞME DE 4HALÞS DANS LES
consécutifs. triangles PCM et PDA, on obtient l’équation :
3. 199 = 2 ×   DONC AVEC n = 99 on peut écrire CP x
" .
199 sous la forme 1002 – 992. CP  6 6
124 x2 x  2 – (x  2 – (x  2=4 Soit CP "
6x
.
6x
125 Soit n le côté du 3e carré. Les 5 carrés initiaux
ont donc pour aires respectives : Le problème se ramène à résoudre l’inéquation
(n – 2)2, (n – 1)2, n2, (n  2 et (n  2. 6x
!3 .
En égalant les aires des deux grands carrés, on 6x
obtient successivement : /N TROUVE  x < 2.
(n – 2)2 n – l)2 n2 = (n L 2 n  2 130 1. a. F(x) est positif pour tout x de l’intervalle
n2 – 4n  n2 – 2n  n2 = n2 n L n2 n  ;  = COMME SOMME DE NOMBRES POSITIFS
n2 – 12n = 0 V(x) = x(140 – 0,7x)
puis n(n n    /R n > 0, donc n = 12 /R 
Le côté du 3e carré est donc 12. 0 ⩽ x ⩽ 100
0 ⩽ 0,7x ⩽ 70
126 Le calcul des longueurs des segments obliques – 70 ⩽ – 0,7x ⩽ 0
à l’aide de Pythagore permet d’exprimer les
140 – 70 ⩽ 140 – 0,7x ⩽ 140
longueurs totales de chacun des laçages :
70 ⩽ 140 – 0,7x ⩽ 140
B " 7a  7 1  a 2  49  a 2 Donc V(x) est positif pour tout x de l’intervalle
;  = COMME PRODUIT DE NOMBRES POSITIFS
C " 7a  2  6 4  a 2 b. L’inéquation ne possède pas de solution dans
D " 7a  7  7 " 7a  14 LINTERVALLE ;  =
a2 étant positif, on a les inégalités : 2. a. /N EN D£DUIT QUE LE PRIx de vente est toujours
supérieur au prix de fabrication.
1  a 2 # 1  49  a 2 # 7 et 4  a 2 # 2 . b. Dans cette situation, quel que soit le nombre
(Chacune d’elles exprime que dans un triangle d’armoires produites, le prix de vente est toujours
rectangle, l’hypoténuse est plus longue qu’un côté supérieur au prix de fabrication.
de l’angle droit.) 3. b. /N TROUVE  
/N EN D£DUIT ALORS AIS£MENT QUE B > D et C > D. C’est c. L’algorithme affiche le bénéfice réalisé par l’en-
donc Dounia qui a les lacets les plus courts. treprise.

42 s 2. Équations et inéquations
d. /N TROUVE UN B£N£FICE MAXIMUM DE   POUR 1 1
132 1. a. x = b. x = et x = – 2
50 armoires fabriquées. 7 7
1 1
c. x = d. x =
7 7
5  5 1
2. a. x ⩾  b. S =   ; 
2  2 7
 5 1  5 1
c. S =   ;  d. S =   ; 
 2 7  2 7

133 En simplifiant par x – x, on effectue sans le dire


une division par x – x = 0. Ce qui est impossible.

134 1. Aucun résultat n’est exact.


131 a. x2
2. a. =0
x3

2x + 6
b. =8
x3

x +1
c. 艌0
b. Non, car on ne peut pas construire un triangle x3
dont les côtés mesurent 4, 2 et 1.
c. x   x  x soit x > 2. 2 x + 2
d. <0
d. Cette condition est suffisante. x3

2. ›QUATIONS ET IN£QUATIONS s 43
3. Fonctions de référence
Objectifs et pré-requis
L’objectif de ce chapitre est d’étudier les fonctions dites de référence : les fonctions affines, la
fonction carré et la fonction inverse. Les activités et problèmes proposés montrent quelques
SITUATIONS DUTILISATION DE CES FONCTIONS /N £TUDIERA £GALEMENT QUELQUES PROPRI£T£S G£OM£TRIQUES
des coniques dans des situations particulières.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Fonctions de référence
Fonctions linéaires v Donner le sens de variation d’une fonction affine.
et fonctions affines. v Donner le tableau de signes de ax b pour des valeurs
numériques données de a et b.
Variations de la fonction carré, v Connaître les variations des fonctions carré et inverse.
de la fonction inverse. v Représenter graphiquement les fonctions carré et inverse.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 10 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Droite représentative d’une fonction affine

1 Non corrigé.

2 a. f (0) = – 1, donc l’ordonnée à l’origine de d est – 1.
b. f (0) = a w  b=b


3 a. g(x  n g(x) = (2(x  n  n x – 1) = 2, donc le coefficient directeur de d est 2.
b. f (x  n f(x) = (a(x  b) – (ax b) = a

2 Pourcentage et augmentation

1
Augmentation de 1,5 % 126,4081 288,3818 450,34535 161,96355
Il y a eu augmentation de 1,5 % de tous les montants.


2 f (124,54) ≈    DE MãME POUR LES AUTRES VALEURS

3
01/01/2012 128,30 292,71 457,10 164,39

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 45
Corrigés des Travaux pratiques
TP 1 Recherche d’un ensemble de points

1 Le lieu des points obtenu pour la conjecture est
représenté ci-contre.


2 a. H est le projeté orthogonal de M sur la droite 𝒟,
MH est donc bien égale à la distance du point M à
cette droite.
b. - EST SUR LA M£DIATRICE DE ;&(= DONC -&  -(
c. Lorsque H décrit 𝒟, on construit bien ainsi
l’ensemble ℰ cherché.

TP 2 Ordre et puissances
Partie A
y

1 Voir figure ci-contre.
1

2 La résolution graphique des inéquations permet de
3x
R£INVESTIR LE CHAPITRE i '£N£RALIT£S SUR LES FONCTIONS w ,ES
x
positions relatives des courbes les unes par rapport aux x2
autres permettent de conjecturer les inégalités sur l’inter-
VALLE ;  = x3


3 a. /N A x ⩽ 1 donc x – 1 ⩽ 0.
/R x ⩾ 0, donc x(x – 1) ⩽  DOÂ x2 ⩽ x.
b. Comme x ⩾ 0,

( x) ( )( )
2
x 1 0 −1 0B x 1 x + 1 艋 0 Comme
0
( x + 1) 0 , on a : ( x − 1) 0.
0 1 x


c. x3 ⩽ x2 se démontre comme 3 a. et permet de conclure à partir de ce qui précède.

Partie B
y

1 Voir figure ci-contre. 10 x3

2 Les positions relatives des courbes les unes par rapport x2
aux autres permettent de conjecturer les inégalités sur
LINTERVALLE ;  3; x

3 Les démonstrations sont similaires à celles de la partie A,
en partant de l’inégalité x ⩾ 1.

3x

0
0 10 x

46 s 3. Fonctions de référence
TP 3 Représentation graphique de la fonction racine carrée

1 a. et b. Voir ci-contre.
c. et d. La symétrie recherchée n’apparaît sans doute pas immédia-
TEMENT AUX £LÞVES -AIS LE TRAC£ DU POINT !   SUR Cf et du point
!   SUR Cg devrait les aider.


2 Le tracé point par point de la courbe Cg permet, s’il est fait soigneuse-
ment, d’obtenir le tracé de Cf par symétrie par rapport à la première
bissectrice.

TP 4 Alignement de points

1 a. Soit f la fonction affine telle que f(x) = ax b ET DONT LA REPR£SENTATION GRAPHIQUE EST !" ET SOIT
g la fonction affine telle que g(x) = a’x b’ et dont la représentation graphique est (AC).
a = a’ par hypothèse.
Comme A appartient aux deux droites, on a yA = axA b et yA = axA b  DONC b = b’.
Les fonctions f et g SONT £GALES ,ES DROITES !" ET !# SONT DONC CONFONDUES ET LES POINTS ! " et C alignés.
b.
Entrer les nombres xA, yA, xB, yB, xC et yC
a prend la valeur (yB – yA)/(xB – xA)
b prend la valeur yA – xA(yB – yA)/(xB – xA)
Si xC = axA + b alors
Afficher « Le point C se trouve sur (AB). »
Sinon
Afficher « Le point C ne se trouve pas sur (AB). »
Fin Si

c. Il faut remplacer c1 = (yA – y")/(x" – xA) par c1 = (y" – yA)/(x" – xA)


2 Entrer les nombres xA, yA, xB, yB, xC et yC
Si xB – xA ≠ 0 et xC – xA ≠ 0 alors
c1 prend la valeur (yB – yA)/(xB – xA)
c2 prend la valeur (yC – yA)/(xC – xA)
Si c1 = c2 alors
Afficher « Les points sont alignés. »
Sinon
Afficher « Les points ne sont pas alignés. »
Fin Si
Fin Si
Si xA = xB et xA ≠ xC alors
Si yA = yB alors
Afficher « Les points sont alignés. »
Sinon
Afficher « Les points ne sont pas alignés. »
Fin Si
Fin si
Si xA = xC et xA ≠ xB alors
Si yA = yC alors
Afficher « Les points sont alignés. »
Sinon
Afficher « Les points ne sont pas alignés. »
Fin Si
Fin Si
Si xA = xC et xA = xC alors
Afficher « Les points ne sont pas alignés. »
Fin Si

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 47
TP 5 Résolution d’une équation

1 Pour a = 25 et a = – 25, l’algorithme affiche « Il y a deux solutions ».


2
Entrer un nombre a
Si a < 0 alors
Afficher « Il n’y a pas solution »
Sinon
Si a = 0 alors
Afficher « Il y a une solution »
Sinon
Afficher « Il y a deux solutions »
Fin Si
Fin Si

TP 6 Longueur d’une courbe



1 a. y
1

𝒞f

0,5

0 0,5 1 x

2 2
1 5 5
b. /)    0  +   0  = =
2  4  16 4


2 a.

y1 y2 a x1 x2

5
Fin boucle 1 0 0,25 ~ 0,56 0,5 1
4

13
Fin boucle 2 0,25 1 ~ 0,90 1 0,5
4

b. Pour n = 10 : a ≈ 1,4782

48 s 3. Fonctions de référence
TP 7 Valeur approchée d’une aire

1              ET   


2 ,ES POINTS / % & ' ET (

3
x prend la valeur 0
1
e prend la valeur 0,25
y1 prend la valeur (x1)2
aire prend la valeur 0
Afficher le couple (x1 ; y1)
Tant que x1 est strictement inférieur à 1
x2 prend la valeur x1 + e
y2 prend la valeur (x2)2
Afficher le couple (x2 ; y2)
aire prend la valeur aire + e*(y1 + y2)/2
x1 prend la valeur x2
y1 prend la valeur y2
Fin tant que
Afficher la valeur aire

Corrigés des exercices et problèmes


Exercices d’application 10 g(x) et k(x).

11 Affine : 𝒞3 et 𝒞4
1 La ville comptera 247 200 habitants. Linéaire : 𝒞4
2 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 12
3 Le prix payé sera 249 w 0,85 w 0,95 ≈ 201,07 €. Coefficient Ordonnée
Droite
4 1,0323 ≈ 1,97 et 1,0324 ≈ 2,03 directeur à l’origine
d1 1 3
5
d2 –3 2
Variation
Prix initial Prix final Coefficient d3 0 4
en %
d4 – 0,5 0
80 56 0,7 – 30 %
24 30 1,25   13 1. a. 2x 
b. La fonction est affine.
45 22,5 0,5 – 50 %
2. a. 2x
19 38 2   b. La fonction est affine.

6 a. f(x) = 1,07x b. f(x) = x + 0,07 14 Aire : x2 non affine


c. f(x) = x – 0,07 d. f(x) = 0,93x Périmètre : 4x affine

7 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 15 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

8 a. 185,07 € 16 a.
b. 8 touches : 1 9 9 × . 9 3 = .
x 0 2
9 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. g(x) 3 2

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 49
b. 20
y
y

4
4
3 𝒞g
2
2
𝒞h
1
x x

–2 0 2 4 6 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
–1
17 1. a. 1 b.    c. !  
–2
2. a. 2 b. "  
3.
y –3 𝒞f

4 21
B y
𝒞g 4
2 𝒞f
A 3

2
–2 0 2 4 6 x
𝒞h
18 1
Fonction f g h i j k

2 –3 –2 –1 0 1 2 3 x
Coefficient 0 10 –2 π
3 3 –1

19
–2
y
5
𝒞h 22
4
y
𝒞g 2
3
𝒞f 𝒞f
1
2 –2
–1 0 1 2 3 4 5 x
1
–1
𝒞h
x
–2
–3 –2 –1 0 1 2 3 4
𝒞g
–1 –3

–4
–2

50 s 3. Fonctions de référence
23 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. y

( 15)  (5) 250


24 Coefficient directeur : = –4
( 2)  ( 3)
/RDONN£E Í LORIGINE   n n  w (– 3) = – 7
200
Donc f (x) = – 4x – 7.
25 1. a. f(x) = –x 
b. 150
y
Cf, 3 100

Cf, 2 50
Cf, 1

0 50 100 150 200 250

Cf, 4

35 En notant p LE 0)" CHERCH£ ON A 


1 x 8500  8000 p  8000
0
= .
1 2013  2010 2020  2010
5000
Donc p = 8 000 ≈   
3
11
2. f(x) = x  3. f(x) = – x  4. f (x) = 3
4 36
26 a. f(x) = 0,5x  
y
b. f(x) = 0,005x   4
c. f(x) = 1000x – 1996
𝒞f
27 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
2
32 53
28 /UI CAR =
0  ( 2) 4  0
0  ( 1) 2  0
29 Non, car  –2 0 2 4 6 x
1  ( 3) 5  1
30 a.
–2
x 0 10 100
f(x) 100 111 300
37
111  100 300  100
b. 
10  0 100  0 y
1
198 200  2 30  2 28
31 Non, car =  =
99 100  1 16  1 15
x
32 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
–2 –1 0 1 2 3
33 (1 – x  x) – (x – 1)2 x2
= 1 – x2 – (x2 – 2x  x2 = 2x
–1
100  30
34 a. ≈ 214,3 minutes
14
≈ 3 heures et 34 minutes –2
7
b. f(x) = x + 100
14

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 51
38 2. a. À partir d’une abscisse x = 3,5 (en milliers de
y litres), on lit l’ordonnée y = 4,2, soit 4 200 litres.
b. Pour une deuxième augmentation, il faut
4
reporter 4,2 sur l’axe des ordonnées et reproduire.
3
43 1.
2 y
8
1

–3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 x 6
–1

4
  x  5 pour x  0

39 h( x ) =  2 x + 4 pour  3  x  0
  x + 4 pour x  0 2

40
y
300 –4 –2 0 2 4 x

250
–2
200
150 2. a. 'RAPHIQUEMENT LABSCISSE DE LINTERSECTION DE
100 la droite avec l’axe x’x est : –x    ž x = 3
3OLUTION  []
50
b. 'RAPHIQUEMENT LES ABSCISSES DES POINTS OÂ LA
droite est en dessous de l’axe x’x correspondent à :
– 200 – 100 0 100 200 300 x –x  ⩽ 0 ž x ⩾ 3
3OLUTIONS  LINTERVALLE ;n   =
41 En passant de l’état solide à l’état liquide, le
100  44 a.
volume baisse de  1 – = 7,4 %. y
 108 
42 8
y
12
6

10 4
B
8 2
A
6
0 2 4 6 8 10 x

4 –2

–4
2

x –6

0 2 4 6 8 10

52 s 3. Fonctions de référence
3 1 b.
b. a = =2
54 y
b = 1 – 2 w 4 = –7 f (x) = 2x – 7 400
c. 375
x 0 1 2 4 5 10 350

f(x) –7 –5 –3 1 3 13 325
300
45           
275
46 a.       n   n  250
b. Non, car – 25 est strictement négatif.
225
47 g et h. 200
48 En développant et simplifiant : 175
f(x) = g(x) = h(x) = x2.
150
49 1. 125
x –3 –2 0 1 2 3 100
f(x) 9 4 0 1 4 9 75
50
2. a. n    APPARTIENT Í LA COURBE CAR f(– 3) = 9.
b. 25

y
– 20 – 10 0 5 10 15 20 25 30 x
10

52 a.

x –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
8
f(x) 8 4,5 2 0,5 0 0,5 2 4,5 8

6
y

4
8

2 6

4
–4 –2 0 2 4x

c. Le nombre 5 a deux antécédents qui ont comme


valeurs approchées – 2,23 et 2,23. 2

50 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

51 a.
–4 –2 0 2 4 x
x – 20 – 15 – 10 – 5 0 5 10 15 20
f(x) 400 225 100 25 0 25 100 225 400
b. – 2 n’a pas d’antécédent par f.

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 53
53 58 a. 3 ⩽ 3,14 ⩽ π ⩽ 3,15 ⩽ 4
donc 9 ⩽ 3,142 ⩽ π2 ⩽ 3,152 ⩽16
y
b. (– 8,9) ⩾ (– 9) ⩾ (– 9,1) donc (– 8,9)2 ⩽ 81 ⩽ (– 9,1)2
3 1 1
c. 0,3 ⩽ ⩽ 0,4 donc 0,09 ⩽ ⩽ 0,16
𝒞f2 3 9
18 19
59 Comme ⩽ 1 ⩽ et f croissante sur
2 19 18
𝒞f1
18 19
;  3; ON A f   ⩽ 1 ⩽ f   .
 19   18 
1 60 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

61 a. Faux.
b. Vrai.
c. Faux.
–2 –1 0 1 2 x
d. Vrai.

–1
62 Le raisonnement est faux, car pour utiliser
croissance et fonction carré, les réels doivent être
de même signe.
𝒞f3
–2 63 a. 9 w 10– 10     
    
b. Non, cela n’est vrai que pour une fonction affine
(ou par contre-exemple).
–3
64
54 y

y
8 𝒞g2 5

7
6 𝒞g1 4

5
4 3

3
2
2
1 𝒞g3
1
–3 –2 –1 0 1 2 3 x
–1
–2 –3 –2 –1 0 1 2 x
–3

 A COMME ANT£C£DENT    A COMME ANT£C£DENTS 


25 2 ET n    A COMME ANT£C£DENTS  ET n    A COMME
55   10  10    3
36 3 antécédents et  3  n  NA PAS DANT£C£DENT
56 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
65 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
57 a. 5,12 > 5,22
66 a. Soit – 2 ⩽ x ⩽ 3.
b. (– 10,4)2 < (– 20,4)2
Premier cas : – 2 ⩽ x ⩽ 0.
c. ( 5 – 1)2 < ( 5  2
Dans ce cas, par décroissance de la fonction carré,
d. 7,32 > (– 7,2) 2
0 ⩽ x2 ⩽ 4.

54 s 3. Fonctions de référence
Deuxième cas : 0 ⩽ x ⩽ 3. 2.
Dans ce cas, par croissance de la fonction carré,
y
0 ⩽ x2 ⩽ 9.
Comme 0 ⩽ x2 ⩽ 4 ou 0 ⩽ x2 ⩽ 9, on peut affirmer
que 0 ⩽ x2 ⩽ 9. 10
b. La réciproque est fausse, car le nombre – 3 vérifie
0 ⩽ x2 ⩽ 9, mais n’appartient pas à l’intervalle
;n   =
8
67 a. Vrai, par croissance de la fonction carré sur
;  3;
b. Faux, car si 9 ⩽ x2 ⩽ 16, x pourrait être égal à – 3,5,
6
qui n’est pas compris entre 3 et 4.
c. Faux, car si – 3 ⩽ x ⩽ 4, x pourrait être égal à 0 et,
dans ce cas, 9 ⩽ x2 ⩽ 16 est faux.

68 1. 4

2
6

–4 –2 0 2 4 x
4

a. 3  ;n   =
b. S = ] – 3  n ]‹; 5  3;
c. 3  =n   ;
2
69 1.

8
–2 0 2 x
7

–2 6

–4
4

–6
2

1
a. 3  [n   ]
b. S = {– 5  5 ]
c. Pas de solution. –3 –2 –1 0 1 2 3x

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 55
2. a. Minimum : 1 Maximum : 9 y
b. Minimum : 1 Maximum : 9
c. Minimum : 0 Maximum : 1
15
70 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
10
1 2
71   
3 3
5
72 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

73 Par simplification d’écriture, f (x) = g(x) =


1
.
–5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 x
x –5
74 𝒞f EN VERT 
𝒞g EN ORANGE  – 10
𝒞h en bleu.
– 15
75 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

76 a. – 20

2. a. Cette courbe admet l’origine comme centre de


x – 1 – 0,5 – 0,3 – 0,2 – 0,1 0,1 0,2 0,3 0,5 1
symétrie.
b. 4RAC£ EN POINTILL£
1 1
f(x) – 1 –2 – – 5 – 10 10 5 2 1
3 3 78
y
b. 4
y 3

2
15
1
10

5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 x
–1

–2
1 – 0,8 – 0,4 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 x
–5 –3

– 10 –4

– 15
 1 1 
– 20
b. Pour x appartenant à  –3 ;  
 3  3 ; + 3 
79
y
77 1. 4
3
x 0,1 0,2 0,3 0,5 0,8 1 2 4 5 2
1
20
f(x) 20 10 4 2,5 2 1 0,5 0,4
3 – 2 – 1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 x
–2
–3
–4
–5

56 s 3. Fonctions de référence
 A COMME ANT£C£DENT    A COMME ANT£C£DENT 88 1.
    NA PAS DANT£C£DENT  n  A COMME ANT£C£ y
DENT n    a comme antécédent 13.
5
13
80 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
4
1 1
81 a. >
15 16
3
1 1
b. #
100 000 100 001
2
1 1
c.  < –
0,1 0,2
1
1 1
d. <
␲ 3,14

82 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. – 0,4 – 0,2 0 0,2 0,4 x

83 Comme – 1,9 ⩾ – 2 ⩾ – 2,1 et que f est décrois- –1


sante sur ]– 3 ; ON A f(– 1,9) ⩽ f (– 2) ⩽ f(– 2,1).

1 1 1 1 1 1 –2
84  <  <  < < <
10 12 13 14 11 9
85 C’est effectivement faux si les deux nombres
sont de signes contraires.
–3
– 2 < 1 et – 0,5 < 1

1 1 1 –4
86 a. 艋 艋
3 a 2
1 1 –5
b. 1 艋 艋 
a 6

c. – 100 ⩽
1
a
⩽ – 0,01 a. 3  [ ] b. S = {}1

c. 3  [n  ]

1
d. 104 ⩽ ⩽ 105
a 2.
y
87 a. Faux, car la fonction inverse est décrois-
SANTE SUR =  3 ; 2
1 1 1
$OÂ SI  ⩽ x ⩽ 4, alors ⩾x⩾
3 4 0
– 0,4 0,4 0,8 1,2 1,6 2 x
b. Vrai, car la fonction inverse est décroissante sur
–2
]– 3   ;
–3
c. Vrai, car la fonction inverse est décroissante sur
–4
1
=  3 ; ET QUE LINVERSE DE est x. –5
x
a. 3  ;n    ;
b. 3  =  =
c. S = ]– 3  ;‹=   =

Exercices pour se tester


89 à 98 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
de l’élève.

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 57
Exercice résolu 103
1. Voir fichier.
99 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 2. a. b(x) = x  DONC b est affine.
b. c(x) = x – 1, donc c est affine.
d(x) = (x  2, donc d n’est pas affine
Exercices d’approfondissement e(x) = (x – 1)2, donc e n’est pas affine.
f(x) = (x – 1)2 – (x  2 = 4x, donc f est affine.
100 (AC) : f 1(x) = x 
!"  f 2(x) = –x – 3 104 1.
/"  f 3(x) = 2x

1
101 !"  f 1(x) = 2x –
3
(AD) : f 2(x) = –x – 2

"#  f 3(x) = – x 
2
2. a. Cf admet l’axe des ordonnés comme axe de
102 a.
symétrie, en effet pour tout réel x, –x et x ont la
181 même image par f .
x –1 5 10  b. Résolution graphique.
4
c. Résolution graphique de l’équation x2 = a :
1 7 41 – si a > 0, il y a deux solutions distinctes et oppo-
f (x)   20
3 3 9 S£ES 
– si a   IL Y A UNE SEULE SOLUTION 
4 1
f x) = − x − – si a < 0, il n’y a aucune solution.
9 9

105
2 882 553 %N NOMMANT ! " ET # LES TROIS POINTS DONN£S ON
x 12 137 0 
506 OBTIENT LES COEFFICIENTS DIRECTEURS DES DROITES !"
"# ET !# 
17 288
g(x) – 280 – 10 400 461 900 Coefficient Coefficient Coefficient
25
de (AB) de (BC) de (AC)
2024 17 288 57 47 23
g(x ) = − x+ f
25 25 25 20 10

2333 2333 2333


b. g
1000 1000 1000
y
h 1 000 000 1 000 000 1 000 000
Cg 1 1 1
i
␲ ␲ ␲

Donc f ne peut pas être affine, par contre g, h et i


peuvent être affines.

106 a. Les quotients n de l’accroissement du


⌬j

nombre de visiteurs par le nombre de jours qui
séparent les observations sont tous égaux à 2.
10
Le coefficient de proportionnalité est 2.
Cf x b. Le jour de la création du blog, le « nombre de
0 1 jours » vaut 0.
⌬n
En ajoutant cette donnée, les quotients ne sont

⌬j
plus tous égaux.

58 s 3. Fonctions de référence
107 f(x) = 4x g(x) = x2 109 a.

h(x) = 4x πx   π)x (
i(x) = 1 –
␲ 2
4
x
) Entrer le nombre m
Si m > 50 alors
a. f et h sont linéaires. m prend la valeur m – 10
b. f et h sont affines. Fin Si
108 1. a. 4,50 € Si m > 100 alors
b. 8 € m prend la valeur 0,9 w m
c. 12 € Fin Si
2. a. Afficher m

Entrer un nombre x
b.
Si x ⩽ 25 alors
prix prend la valeur 0,15x + 3
Fin Si
Si x ⩾ 26 et x ⩽ 70 alors
prix prend la valeur 0,10x + 4
Fin Si
Si x ⩾ 71 alors
prix prend la valeur 0,05x + 7
Fin Si
Afficher le nombre prix
c. f     f (60) = 50 et f (120) = 99. La fonction f
b. Avec une calculatrice : n’est pas linéaire car f (40) = 40 et f (60) ≠ 60.
Elle n’est pas affine car les coefficients
f (60)  f (40) f (120)  f (40)
" 0,5 et " 0,7375 sont
60  40 120  40
différents.

110 1. Cet algorithme demande un coût de


production initial C et un nombre de mois N. Il
affiche en sortie, pour tous les mois entre 1 et N, les
coûts de production prévus.
c.
2. a. b.
Nombre 10 26 27 28 70 75 80 C prend la valeur 100
Prix 4,50 6,60 6,70 6,80 11 10,75 11 CF prend la valeur C
i prend la valeur 1
Tant que CF > C/2
3.
CF prend la valeur CF w 0,95
y Afficher le couple (I ; CF)
i prend la valeur i + 1
12
Fin pour
10 Afficher i – 1
m prend la valeur reste de la division
8
euclidienne de i – 1 par 12
6 a prend la valeur quotient de la division
euclidienne de i – 1 par 12
4
Afficher le couple (m, 2000 + a)
2
111 a. Soit p le prix initial.
Le prix final est p × 1,05 × 0,95 = 0,9975 × p ≠ p.
0 20 40 60 80 100 x
Le prix diminue toujours de 0,25 %.
1
b. p × 1,05 × k = p ⇔ k = ≈ 0,952 380 95… Le
1,05
pourcentage de baisse aurait dû être de 4,7619… %.

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 59
112
À faire à la calculatrice ou à l’aide d’un tableur.
a. 515
b. 778,98 (ou 778,92 en arrondissant chaque fois)
c. Elle devra attendre le 1er janvier 2024.

113 a.

Justifier l’égalité PF = PC.


Dessiner point par point une telle parabole
sachant que CD = 14 cm et que F se trouve à 2 cm
b. Non, on a uniquement l’impression que c’est DE LA DROITE !" 
une droite.
$# ET $0 0& ONT MãME LONGUEUR /R $#  $0 0#
114 a.  a)2 = a2 a 
donc PF = PC.
b. (3a – 4)2 = 9a2 – 24a 
c.  a)2 = 4a2 a 

115 a. Vrai.
L’ensemble de définition de la fonction carré est ℝ.
b. Vrai. P
Un nombre strictement négatif , par exemple – 4, n’a
pas d’antécédent.
c. Faux. F
Il existe des nombres réels qui ont deux antécé-
dents, par exemple 9 a deux antécédents qui sont
médiatrice
3 et – 3.
de [CF]
d. Vrai.
Par exemple 9 a deux antécédents qui sont 3 et – 3. C

116 117
Traduction de l’énoncé a. f      f      f     
À la ficelle b. L’expression renvoyée est xn.
L’astronome allemand Johannes Kepler a publié 1er cas : n = i = 0. La première partie du « if » donne
une méthode permettant de tracer une parabole comme sortie 1.
en utilisant une règle, une équerre, une ficelle, 2e cas : n = i ≠ 0 . Le tableau suivant donne les diffé-
une épingle et un crayon. rentes valeurs des variables i et y lors des passages
/N POSE LA RÞGLE LE LONG DUNE DROITE !" ET ON dans le « while ».
plante l’épingle en un point F. La longueur de la
ficelle étant égale au côté CD de l’équerre, on en i n n–1 n–2 1
fixe une extrémité en D et l’autre en F. La pointe
P du crayon maintient la ficelle tendue le long de y 1 × x = x1 1 × x × x = x2 1 × x × x × x = x3 xn
l’équerre le plus loin possible, comme le montre
le dessin ci-dessous.
Si on fait glisser le coté EC de l’équerre sur la 118
DROITE !" LE POINT 0 SE D£PLACE ALORS SUR UNE a. 1er cas :
parabole. n = i = 0. La première partie du « if » donne comme
sortie 0.
2e cas :
n = i ≠ 0. Le tableau suivant donne les différentes
valeurs des variables i et y lors des passages dans le
« while ».

60 s 3. Fonctions de référence
122
i n n–1 n–2 1
1.
y  n = 1n n n = 2n 2n n = 3n n × n = n2

119 a. Faux. 0 n’a pas d’image.


1
b. Vrai. C’est 2 .

1 1
c. Faux. " B a b sur ℝ*.
a b
1
d. Vrai. x ≠ 0 a comme unique antécédent et
x
0 n’a pas d’antécédent.

120 a. Si a = 0, il n’ a pas de solution.


1 1
Si a ≠ 0, alors " ax B x 2 "
x a
1 1
DOÂ SI a > 0, S = {   ] ET SI a < 0, il n’y a pas
a a
de solution.

b. 5NE DROITE PASSANT PAR LORIGINE / COUPE ℋ en 2. Se résout agréablement à l’aide d’un logiciel de
DEUX POINTS SYM£TRIQUES PAR RAPPORT Í / SI SON calcul formel, mais peut se faire sans logiciel.
coefficient directeur est strictement positif . a. Les points d’intersection sont respectivement :
Si son coefficient directeur est négatif ou nul, elle
ne coupe pas ℋ.
(
A n 
1
2 ) "(   12 ), C(  12  ) et D( 12  n ).
121 b. AC =
11 2
~ 7,8 #" 
13 2
~ 9,2
2 2
Le lieu de ces points est l’hyperbole ℋ’ d’équation $ONC !#"$ NEST PAS UN CARR£
4 Remarque
y" .
x !"#$ EST UN RECTANGLE ,ES DIAGONALES SE COUPENT

(
Soit M a 
1
a )
un point de ℋ /N A . 2a 
2
a ( .
) en leur milieu et l’angle en C est droit par le théo-
rème de Pythagore :
2 2
N appartient bien à ℋ’. © 11 2 ¹ © 13 2 ¹

2
ª º ª º " 145 .
Réciproquement, soit N b 
4
b(de ℋ’. ) « 2 » « 2 »

/N A -
b
2

(2
b )
. M appartient bien à ℋ et est

« antécédent » de N. Problèmes
123 Si d est le débit en m3/h, t le temps en heures et
V
V le volume en m3, on a t " .
d
Ici le temps en heures est égal au volume en m3.
1. a. 9π heures b. 9π π = 25π heures
c. 25π π = 50π heures
2. a. Le volume d’un cylindre de hauteur h et de
rayon 3 est 9πh. Donc t = 9πh.
t
b. f (t) = pour 0 ⩽ t ⩽ 9π.
9␲
c. En considérant la deuxième partie de la piscine :
le volume rempli est 16π(h – 1) avec h mesurée
depuis le fond et 1 < h < 2.

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 61
Le temps mis pour cela est donc de 16π(h – 1) 125 1. a. y
HEURES /R CEST AUSSI t – 9π. Donc t – 9π = 16π(h – 1). Cf

t 7
d. f(t) =  pour 9π ⩽ t ⩽ 25π.
16␲ 16
3.
y Cg

1 x
0 1
1
x
0 10 9/ 25/ 50 / Ci

124 Cj

a. Cette fonction n’est pas affine car elle prend les


valeurs :
b. /N ENLÞVE  Í LORDONN£E DU POINT DE Cf .
Montant de l’achat 1 2 3 I
(Cela correspond à une translation vecteur 3 j .)
Points 0 0 1 f et g ont les mêmes variations
b. car f (a) ⩽ f (b) ⇔ f (a) – 3 ⩽ f (b) – 3.
c. /N AJOUTE  Í LORDONN£E DU POINT DE Cg. (Cela
Points 360 690 1 350 I
correspond à une translation vecteur 3 j .)
Bon d’achat 5 10 20 2.
Taux de x –3 0 3
0,4630 % 0,4831 % 0,4938 %
réduction
3 3
h (x)
Points 1 990 3 340 4 990 a
Bon d’achat 30 50 75 3. a. Voir le schéma précédent.
Taux de 3. b.
0,5025 % 0,4990 % 0,5010 %
réduction x –3 0 3
Le taux de réduction maximal est de 0,5025 %. –3
j (x)
c. En répondant d’abord à la question b., on peut –3 –3
estimer que, quel que soit le nombre de points, la
réduction obtenue par les bons d’achats est simi- 126 1. a. 26 ⩽ c ⩽ 28 donc 262 ⩽ c2 ⩽ 282 ,
laire. soit 676 ⩽ aire grand carré ⩽ 784
Le calcul direct : b. 13 ⩽ d ⩽ 15 donc 132 ⩽ d2 ⩽ 152,
1 an : 52 semaines à 90 €, soit 1 560 points qui corres- soit 169 ⩽ aire partie vide ⩽ 225
PONDENT Í    POINTS SOIT UN BON DE  € et c. – 152 ⩽ –d2 ⩽ – 132
UN RESTE DE  POINTS  d. 262 – 152 ⩽ c2 – d2 ⩽ 282 – 132
2 ans : 104 semaines à 90 €, 2. 451 ⩽ aire bijoux ⩽ 615
SOIT         POINTS La masse volumique de l’or est 0,0193 kg/cm3 ou
soit 45 € EN BONS DACHAT ET UN RESTE DE  POINTS  encore 0,000 019 3 kg/mm3.
3 ans : 156 semaines à 90 €, Le prix d’un mm3 d’or est donc de :
SOIT         POINTS SOIT  € 0,000 0193 × 35 000 = 0,4439 €.
en bons d’achat et un reste de 290 points. 451 × 2 × 0,6755 ⩽ prix de l’or du bijou
En demandant ses bons chaque année sur 2 ans, le prix de l’or du bijou ⩽ 615 × 2 × 0,6755.
client obtient 45 € en bons d’achat, en utilisant la Le prix de l’or nécessaire à la fabrication du bijou
deuxième année les points restants de la première, est compris entre 609 € et 831 €.
il lui reste 60 points.
En demandant ses bons chaque année sur 3 ans, 127
le client obtient 65 € en bons d’achat, il lui reste a. ∆(x) = x2 – 2x   x – 1)2 donc ∆(x) est positif ou
10 points. nul sur ℝ.

62 s 3. Fonctions de référence
b. 129
Si l’ordonnée à l’origine est b, alors trois cas se
présentent :
1
1er cas : b > − IL Y A DEUX POINTS DINTERSECTION 
4
1
2e cas : b = − IL Y A UN UNIQUE POINT DINTERSECTION 
4
1
3e cas : b < − , il n’y a aucun point d’intersection.
4
130 1. a. et b. Chaque droite coupe deux fois la
parabole, mais, graphiquement, cela n’apparaît pas
clairement.
Par calcul : la droite d’équation y = 10x coupe la
PARABOLE EN    ET     LA DROITE D£QUA
tion y = 0,05x COUPE LA PARABOLE EN    ET EN
     
2. ⎧ 2 ⎧⎪ y x 2 ⎧⎪ x = 0 ⎧⎪ x a
⎪ y x
⎨ B⎨ B⎨ ou ⎨
⎪⎩ y ax ⎪⎩ x(( )= 0 ⎪⎩ y = 0 ⎪⎩ y a
2

Chaque droite coupe la parabole en deux points


distincts pour a ≠ 0.

131
"#  f (x) – g(x) et AC = f (x), il s’agit donc de déter-
Il existe 48 couples solutions, mais 24 paires de solu-
"C tions et beaucoup d’entre elles sont irréalisables
miner un intervalle sur lequel < 0,01.
AC (comme, par exemple, celle qui donne une largeur de
128 1. a. Voir la figure ci-dessous. la piscine de 10 cm !).
b. Les points d’intersection des deux courbes ont
POUR COORDONN£ES n    ET    
c. )  ;n   =
d. y

Cf
Ch
1 x
0 1
Ci
Cg

2. 5N SEGMENT PASSE PAR LES POINTS n   ET n    


La fonction affine correspondante est donnée
par h(x) = – 10x – 25. De même on trouve i avec
i(x) = 10x 
3. Voir la figure
ci-dessus 1.d.

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 63
132 y 133 a. De façon immédiate, on a bien l’égalité
/&  /+

b. 3I ( EST EN + / EST UN POINT DE ℰ  DANS LES AUTRES


52
CAS LA M£DIATRICE DE ;&(= NEST PAS PARALLÞLE Í 𝒟 et
donc coupera la perpendiculaire à 𝒟 passant par H.

33
c. Les coordonnées des points K, M et H sont
respectivement
1 1
   ), (x  y) et (x   ) dans le repère indiqué.
4 4
10
x L’égalité MH = FM conduit à l’équation
2 2
– 6,1 – 4,5 0 1 7,5 8,5 © 1¹ 2 © 1¹
ª« y  4º» " x  ª« y  4º» , ce qui est équivalent à

4,5 × 7,5 ≈ 33 52 ÷ 8,5 ≈ 6,1 y = x 2.


Démonstration : l’équation d’une droite passant par L’ensemble ℰ est une parabole.
les points (a  a2) et (b  b2) est " (b  a)x  ab .
Donc l’opposé du produit ab est l’ordonnée à l’ori- C’est une occasion pour utiliser un logiciel de calcul
gine de cette droite. formel :

134 135
1. y 1. a.

1
0 1 x

1
2. a. ℋ ne coupe pas l’axe des abscisses car "0
x
n’a pas de solution.
b. !"   
4OUT POINT DE ℋ d’abscisse supérieure à 10 000
est à une distance inférieure à 0,0001 de l’axe des
abscisses.
3. ℋ ne coupe pas l’axe des ordonnées car 0 n’a pas
d’image par ℋ.
4OUT POINT DE ℋ ayant une abscisse x appartenant
Í =n    ; ∪ =   ; EST SITU£ Í UNE DISTANCE
inférieure à 0,0001 de l’axe des ordonnées.

64 s 3. Fonctions de référence
b. Il pourrait y avoir à chaque fois deux points d’in- Donc 20 ⩽ x ⩽ 45.
tersection. 900
b. y "
2. a. f (x) = ax – a  x

( )
1 900
b. Pour x ≠ 0, = ax – a  ⇔ ax2 – ax x – 1 = 0 c. p = 2(x y) = 2 x
x x
et (x – 1)(ax    ⇔ ax2 – ax x – 1 = 0 d. y
( 1
c. ,ES POINTS DINTERSECTION SONT    ET   na .
a ) 130
120 Cg
Pour a > 0, ces points sont situés chacun sur une
branche de l’hyperbole.
d. Pour a < 0, les points sont dans le demi-plan à
abscisses positives. Il y a deux points d’intersection
DISTINCTS SAUF DANS LE CAS PARTICULIER OÂ a  n  ET OÂ
A est l’unique point d’intersection.

136
1. Le côté du carré mesure 900 = 30, le périmètre
vaut p = 120 m.
900
2. L’autre dimension du rectangle est = 45,
20 10
soit p = 130 m. x
3. a. x ⩾ 20 d’après l’énoncé. 0 10
Si y est l’autre dimension du pré, y ⩾ 20 d’après
e. 'RAPHIQUEMENT ON OBTIENT LE MINIMUM ET LE
l’énoncé.
maximum de g SUR ;  =  LA LONGUEUR MINIMALE DE
1 1 900 900
Donc 艋 DOÂ x " 艋 , soit x ⩽ 45. clôture est 120 m, la longueur maximale est 130 m.
y 20 y 20

3. &ONCTIONS DE R£F£RENCE s 65
4. Fonctions du second degré
et fonctions homographiques
Objectifs et pré-requis
L’objectif de ce chapitre est de poursuivre l’étude de problèmes faisant intervenir deux types de
fonctions classiques : les polynômes du second degré et les fonctions homographiques. Pour les
trinômes du second degré, il s’agit d’utiliser dans diverses situations, les variations, les coordonnées
du sommet de la représentation graphique et la propriété de symétrie de cette dernière. La mise
sous forme canonique n’étant pas un objectif du programme, celle-ci sera suggérée ou obtenue à
l’aide d’un logiciel de calcul formel par exemple. Pour les fonctions homographiques, il s’agit essen-
a
tiellement de travailler les variations de la fonction inverse, éventuellement celle de x 8 .
xb
La mise sous forme réduite d’une fonction homographique n’est pas un attendu du programme.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Études de fonctions
Fonctions polynômes de v Connaître les variations des fonctions polynômes de degré 2
degré 2. (monotonie, extremum) et la propriété de symétrie de leurs courbes.
Fonctions homographiques. v Identifier l’ensemble de définition d’une fonction
homographique.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 9 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Let ?

1 a.
x 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18
f(x) 2,5 2,47 2,37 2,22 2,00 1,72 1,37 0,96 0,49 – 0,04
b. f SEMBLE D£CROISSANTE SUR ;  =
c. f(18) = −0,040 16. Cette valeur ne correspond pas à la réalité car cela signifierait que la balle se
retrouve à 4 cm sous terre.


2 a.
x 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18
g(x) 2,5 2,5 2,44 2,31 2,12 1,87 1,56 1,18 0,74 0,24
g SEMBLE DABORD CONSTANTE PUIS D£CROISSANTE SUR ;  =
g(18) = 0,242 08. Cette valeur peut correspondre à la réalité (24 cm au-dessus de la terre).

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 67


b.
y

1
x
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18

c. g(0) = g(2) = 2,5 et g(1) = 2,507 84. g NEST DONC NI CROISSANTE NI D£CROISSANTE SUR ;  =


3 'RAPHIQUEMENT LES SOLUTIONS DE LIN£QUATION g(x) ⩾   SONT LES R£ELS DE LINTERVALLE ;   = 3I
la balle part d'une distance inférieure à 15,20 m du filet, elle le passe sans le frôler. Ceci est fort
probable vu la demi-longueur du terrain qui est de 11,88 m. En fait il faudrait encore ajouter 3,3 cm
à la hauteur à franchir vu le rayon de la balle.
/N MONTRE QUE LA BALLE FR¯LE LE FILET SI ELLE PART Í   M DU FILET

Remarque
Un logiciel de calcul formel indique que l’inéquation −0,007 84x2   x   ⩾    
admet comme solution −13,109 809 874 476 ⩽ x ⩽ 15,109 809 874 477.

2 Autour de l’interdit
y

1 a. Figure ci-contre.
Cette courbe rappelle la courbe de
1
la fonction x 8 .
x

0 1 x


2
x –2 –1 0 1 2 3
f(x) – 0,68 – 1,56 15,00 1,45 0,81 0,58
1 x  15
0 annule le dénominateur de mais pas celui de .
x 10x  1
1

3 a. 10x ⇔x=–
10
.

b.
x – 0,5 – 0,4 – 0,3 – 0,2 0 0,1 0,2
f(x) – 3,63 – 4,87 – 7,35 – 14,80 15,00 7,55 5,07

68 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


y
c. Figure ci-contre.
Les points d’abscisse – 0,2 et 0 ne sont pas reliés car sur la droite
d’équation x = – 0,1 il n’y a pas de point de la courbe.


4 a. f(x) = 0 ⇔ x = – 15. Cette valeur correspond à l’intersection
10
de la courbe avec l’axe des abscisses.
b  15
b. f(x) = b ⇔ x = si b ≠ 0,1. 0 0,1 x
10b  1
L’équation f (x) = 0,1 n’a pas de solution, ce qui apparaît graphi-
quement par le fait que la courbe n’a pas d’intersection avec la
droite d’équation y = 0,1.

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Différentes paraboles
,A DUR£E DE CE 40 PEUT ãTRE COMPRISE ENTRE UNE DEMI HEURE ET UNE HEURE


1


2

TP 2 Recherche de la distance de sécurité


,A DUR£E DE CE 40 EST DENVIRON UNE HEURE LA FIN POUVANT ãTRE TERMIN£E HORS CLASSE
Partie A : Étude graphique


1 Courbes avec v0 constant :

Courbes avec α constant :


2 Les abscisses des points d’intersection des courbes représentatives sont les solutions de l’équation
f(x   ,A SOLUTION NON NULLE EST LABSCISSE DU POINT OÂ LE PROJECTILE TOMBE AU SOL

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 69


Partie B : Étude théorique
x2

1 a. En remplaçant α par 45° on obtient : f1 x ) = −
90
+x.

b. Le projectile touchera le sol au point d’abscisse non nulle, solution de l’équation f 1(x) = 0,
c’est-à-dire au point d’abscisse 90.
c. La fonction f 1 est croissante de 0 à 45 et décroissante de 45 à 90.
x2 3

2 a. En remplaçant α par 30°, on obtient : f 2 x ) = −
135
+x
3
.

b. La solution non nulle de l’équation f 2(x) = 0 est 45 3 .

45 3 45 3
c. f 2 est croissante de 0 à et décroissante de à 45 3 .
2 2

e. Les coordonnés du sommet de la parabole sont


2 (
45 3 45

4
. )
x2

3 a. Lorsque α = 60, f 3 x ) = −
45
+ x 3. La solution non nulle de l’équation f 3(x) = 0 est 45 3 , comme

à la question 2). ●
b. Les coordonnées du sommet de la parabole sont
2 (
45 3 135

4
. )

4 a. La solution non nulle de l’équation f(x) = 0 est 180 sin(α) cos(α).
b.
α 10 20 30 40 50 60 70 80
D = 180 sin(α)
30,78 57,85 77,94 88,63 88,63 77,94 57,85 30,78
× cos(α)
c. La portée est maximale pour un angle α de 45° et est égale à 90 (voir question 1) ). ●

TP 3 Propriété d’une courbe



1

Entrer le nombre a
Entrer le nombre b
Entrer le nombre c
Si a > 0 alors
P1 prend la valeur « décroissante»
P2 prend la valeur « croissante»
Sinon
P1 prend la valeur « croissante»
P2 prend la valeur « décroissante»
Fin si
Afficher « La fonction f est d’abord »
Afficher P1
Afficher « La fonction f est ensuite »
Afficher P2


2 a. Afficher 0 et c.
b
b. Afficher  .
a
b
c. Afficher  .
2a
2
b   b 
d. Afficher a   +b  +c .
 2a   2a 

70 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


TP 4 Recherche d’un maximum et d’un minimum
L’algorithme proposé semble donner le maximum des 10 valeurs f (0,1), f (0,2), …, f (1). À noter qu’il
est intéressant, lors des modifications, de changer la boucle pour que la valeur f(0) soit également
prise en compte.
Deux remarques :
– il ne s’agit pas du maximum de la
FONCTION SUR LINTERVALLE ;  = CAR ON
ne s’intéresse qu’à 10 valeurs. Il est
vrai qu’en prenant un pas plus petit
pour balayer l’intervalle on peut
ESP£RER SE RAPPROCHER DU MAXIMUM 
– cet algorithme comporte une
erreur : l’initialisation. Si la valeur
initiale de a est supérieure au
maximum des 10 valeurs calculées,
l’algorithme ne donnera plus le
maximum des 10 valeurs !
Dans la dernière question, le
maximum des 10 valeurs calculées
dans la boucle est inférieur à la valeur initiale de « a ». Pour rendre l’algorithme opérationnel pour
d’autres fonctions, l’initialisation de « a » aurait dû être faite autrement, par exemple par f (0).

TP 5 Position relative d’une courbe et d’une droite



1 y

5
$

0
– 100 100 x

–5


2 L’algorithme proposé est faux car si l’écart entre la courbe et la droite est inférieur à 0,1, il affirme
que la courbe et la droite sont confondues, ce qui est impossible.


3 L’algorithme est le suivant :

n prend la valeur 0
y prend la valeur 10
Tant que y – 2,5 > 0,05
5n + 50
y prend la valeur
2n + 10
n prend la valeur n + 1
Fin tant que
Afficher n

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 71


(n + 1) + 50 5n + 50 5n + 55 5n + 50 50

4 (f (n  n   n f (n) – 2,5) =
2(n + 1) + 10
 2,5 
2n + 10
+ 2,5 =  =
2n + 12 2n + 10 ( 2n + 12)( 2n + 10 )
.

5x  50

5
2x  10
– 2,5 < 0,05 ⇔ 5x     x  ⇔ 245 < x.

Corrigés des exercices et problèmes


Exercices d’application 8 a. f (0) = 0 = f (4 000).
b. 3      
1 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 9 a.
2 a. Les antécédents de 6 sont 3 et – 3. y
b. L’antécédent de – 3 est 0.

3 a.
x –3 0 1 2 3 Cf
f(x) 1 10 9 6 1 Ch
b.
y 1 2 10
Antécédent(s)
de y   n 2 2  2 2 0
1

4 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 0 1 x


5 a. f   n  
f   n   f  n  
f  n   f(6) = – 12. Cg
b. L’abscisse du sommet Ci
de la parabole 𝒫 est 3
(voir écran ci-contre).

6 a. f (0) = 3 = f (10). b. f (– 4) = f (– 1) = 0
b. f(– 2) = 75 donc f(12) = 75, car la droite parallèle
x –3 – 2,5 3
Í LAXE DES ORDONN£ES PASSANT PAR LE POINT    EST
l'axe de symétrie de la courbe dans un repère ortho-
f(x)
gonal. – 2,25
7 a. " ET $ y g(1) = g(4) = 0
se trouvent sur la 2 x –3 2,5 +3
courbe.
1 2,25
b. Les coordonnées g (x)
du sommet sont 0
   n    –2 1 2 3 x h(0) = h(1) = 2
–1
c. Courbe ci-contre. x –3 0,5 3
–2
–3
h(x)
–4 1,75
–5 i(– 1) = i(0) = – 2
–6 x –3 – 0,5 3
–1,75
i (x)

72 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


10 2 = a × 4 donc a = 0,5.
x –3 0,5 3
11 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. – 3,75
f (x)
12 a. g(x) = ax2 bx c.

#OMME / APPARTIENT Í LA COURBE c = 0.


 25a  5b = 2  a = 0,08
 ⇔ 18 a. (x – 3,5)2
   x2 – 7x   n  
 25a + 5b = 2  b = 0
= x2 – 7x 
donc g(x) = 0,08x2. b. Le minimum de f vaut –10,25 et est atteint pour
b. x = 3,5.
Donc f est décroissante sur ]– 3   = ET CROISSANTE
SUR ;   3;
y

5
13  ab+c = 0  c =1
 
a. f (x) = ax2 bx c.  c = 1 ⇔  a =1
  x
 a+b+c = 4  b=2
donc f(x) = x2 x  0 5 10
b.
y
–5

– 10
2

19 a. –(x – 4)2   nx2 – 8x    nx2 x – 15.


–2 0 2 x b. Le maximum de f vaut 1 et est atteint pour x = 4.
Donc f est croissante sur ]– 3  = ET D£CROISSANTE SUR
;  3;

14 Intersection unique, c’est donc le sommet y


( 50 ) + ( 2)
d’abscisse = 24 . Ses coordonnées
2
0 5 10 x
SONT  n    

15 f(x) = ax2 Bx C
–5
 c=0  c =1
 
 a+b+c = 2 ⇔  a = 2 donc f(x) = – 2x2 x.
 
 4 a + 2b + c = 0  b=4
f(3) = – 6. Donc cette parabole passe bien par C. – 10

16 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

17 a. Développer –(x – 0,5)2 – 3,75 pour trouver


– 15
–x2 x – 4.
b. Comme le coefficient devant x2 est négatif, f est
croissante puis décroissante.
L’écriture –(x – 0,5)2 – 3,75, montre que le maximum
de f est – 3,75 atteint pour x = 0,5. 20 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 73


21 a. 25 a. f n   n   f(– 9) = 3.
y b.
𝒫g x – 13 – 11 – 10,5 – 9,5 –9 –7
10 f (x) –1 –3 –6 6 3 1
c. f est décroissante sur]– 3  n ; ET ELLE EST £GALE
𝒫f
MENT D£CROISSANTE SUR =n   3;
y
5
10
8
6
4
–5 0 5 x 2
b. (x – 1,1)2 x2
– 0,1 = – 2,2x   n   0
– 20 – 16 – 12 –8 –4 2 x
= x2 – 2,2x   –2
c. Le sommet de 𝒫f a une plus grande abscisse que –4
celui de 𝒫g. –6
Le sommet de 𝒫g a une plus grande ordonnée que –8
celui de 𝒫f . – 10
22 𝒞 ne coupe pas cette droite, car f n’est pas
définie pour x = 2. 26 a.

23 x 0 4 5 5,5 6,5 7 8
a. et b.
f(x) – 0,083 3 – 0,25 – 0,5 –1 1 0,5 0,25
y
d1
b.
y
8 Cf

6 1

0 1 x
4
A
d2
ℋ 2

x 27 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

–4 –2 0 2 4 6 8 28 D’après les ensembles de définition, f et h


CORRESPONDENT Í 43 ET 44, g et k Í 41 ET 42.
–2
f(0) = 10 > f (1000) = 5,5. D’après les variations de h, f
NE PEUT CORRESPONDRE QUÍ 43 et donc h Í 44.
–4 g(– 1 000) = – 4,5 > g(0) = – 10. D’après les varia-
tions de k, g NE PEUT CORRESPONDRE QUÍ 41 et donc k
CORRESPOND Í 42.
c. ℋ COUPE LAXE DES ORDONN£ES EN   n   CAR
pour x = 0, f(x) = – 2,5.
Exercices pour se tester
ℋ coupe l’axe des abscisses en
5
5
3 (
  , car pour) 29 à 36 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
x =  , f (x) = 0.
3 de l’élève.
ℋ ne coupe pas d1 car f n’est pas définie en x = 2.
ℋ ne coupe pas d2 car l’équation f(x) = 3 n’a pas de
solution. Exercice résolu
24 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 37 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

74 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


b. f (x) = 0 : S  [   ]
Exercices d’approfondissement f(x) = – 3 : S = {α  β] AVEC α ≈ – 0,7 et β ≈ 2,2
38 à 39 Ces exercices sont corrigés dans le manuel c. f (x) ⩾ 0 : S  ;   =
de l’élève. f(x) < – 3 : S = ]– 3  α] ∪ ;β  3 ;
Un logiciel de calcul formel indique que
40 /N CONSTATE QUE f (x) = (x  2.
3  33 3  33
Méthode 1 ␣" et ␤ " .
4 4
Supposons – 1 ⩽ a < b et montrons que f(a) ⩽ f(b). 43 a.
f(b) = (b  2 et f(a) = (a  2.
Comme 0 ⩽ a   b  ON A a  2 ⩽ (b  2 et y
donc f(a) ⩽ f(b). 8f
Méthode 2
f(b) – f(a) = b2 b  n a2 – 2a – 1 = b2 – a2 b – 2a
= (b – a)(b a 
= (b – a)(b  a  1
qui est positif car b – a > 0, a  ⩾ 0 et b   
0 1 x
41 a. f(0) = 5 f(2) = 5
b. g(0) = 5 g(2) = 5
h(0) = 5 h(2) = 5
c. Une fonction i définie par i(x) = α(x2 – 2x 
avec α paramètre réel quelconque non nul est une 8g
fonction du second degré dont la courbe passe par
LES POINTS ! ET " %N EFFET x2 – 2x s’annule pour x = 0
et x = 2.
,ES POINTS DINTERSECTION SONT n   n  ET   n  
y b. f (x) – g(x) = 2x2 – 18 = 2(x – 3)(x  
Ch /N R£SOUT f (x) – g(x   /N RETROUVE BIEN LES
solutions – 3 et 3.
c. 𝒫f est en dessous de 𝒫g pour x ∈ =n   ;
f(x) – g(x) < 0 ⇔ x ∈ =n   ; PAR UN TABLEAU DE SIGNES
Cf
44 a.
y

𝒫f
1
0 1 x

Cg 1
0 1 x

42 a. y
𝒫g

1 Cf
,ES POINTS DINTERSECTION SONT n   n  ET    
0 1 x b. f (x) – g(x) = 3x2 x – 18
et 3(x – 2)(x   x2 x – 18.
/N R£SOUT f (x) – g(x   /N RETROUVE BIEN LES
solutions – 3 et 2.
c. La courbe 𝒫f est en dessous de 𝒫g pour x ∈ =n   ;
f(x) – g(x) < 0 ⇔ x ∈ =n   ; SE MONTRE EN UTILISANT UN
tableau de signes.

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 75


45 a. y b. f (x) ⩽ g(x) ⇔ 2x2 x ⩾ 0 ⇔ 2x(x  ⩾ 0
⇔ x ∈ ]– 3  n = ∪ ;  3;
Cg Cf Comme g(x) = (x  2   
alors g(x)(h(x) – i(x)) ⩾ 0 ⇔ h(x) – i(x) ⩾ 0
⇔ 0,35x2 – x ⩾ 0
⇔ x(0,35x – 1) ⩾ 0

⇔ x ∈ ]– 3  = ∪
[ 20
7 [
 3 .

47 a. f (0) = f (1) = 10
1 b. La représentation graphique d’une fonction h
0 1 x définie par h(x) = α(x2 – x  AVEC α paramètre
réel quelconque, non nul, passe par les points A et
" %N EFFET x2 – x s’annule pour x = 0 et x = 1.

48 Comme f (0) = 8, f (x) = αx2 βx  CONVIENT


avec α et β paramètres réels quelconques, α ≠ 0.
b. /N CHERCHE LES ABSCISSES DES POINTS DE Cf qui se De plus f (1) = 10, donc α β    ⇔ α β = 2.
trouvent strictement au-dessus de Cg. Il y a une infinité de solutions dont la fonction f
S = ]– 3   ; ∪ =   3; définie par f (x) = x2 x 
Par le calcul :
f(x) > g(x) ⇔ 4x2 – 4x    49 f (x) = g(x) ⇔ ax   
⇔ (2x – 1)2 > 0 1er cas : a = 0, aucune solution.
⇔ x ≠ 0,5. Cf et Cg n’ont pas de point d’intersection.
46 1. 1
2e cas : a ≠ 0, une solution x = – . Cf et Cg ont un
a
y
( 1 1
unique point d’intersection A   2 .
a a )
Cg 50 a. 𝒫 PASSE PAR / ET ! ⇔ f (0) = 0 et f (1) = 1
⇔ c = 0 et a b c = 1.
b. 𝒫 PASSE PAR / ET ! ⇔ c = 0 et b = 1 – a.
$OÂ f (x) = ax2  n a)x = ax2 – ax x, a ≠ 0.
a 1
c. f (x) = 0 ⇔ x(ax – a    ⇔ x = 0 ou x = .
a
d. D’après la question c. l’abscisse du sommet de la
parabole est
Ch a 1
xS = .
2a
1 x a 1
e. xS = 0,5 ⇔ " 0,5 ⇔ – 1 = 0
0 1 2a
Ci qui est impossible. Donc aucune de ces paraboles
Cf n’a son sommet sur la droite verticale d’équation
x = 0,5.
2. a. f(x) = g(x) a pour solution S  [n   ]
g(x)(h(x) – i(x)) = 0 a pour solution
S  [  α] AVEC α ≈ 2,8.
b. f(x) ⩽ g(x) a pour solution
S = ]– 3  n = ∪ ;  3;
g(x)(h(x) – i(x)) ⩾ 0 a pour solution
S = ]– 3  = ∪ ;α  3;
3. a. f(x) = g(x) ⇔ 2x2 x = 0 ⇔ 2x(x   
⇔ x = 0 ou x = – 2.
g(x)(h(x) – i(x)) = 0 ⇔ x2 x    OU  x2 – x = 0
⇔ (x  2    OU x(0,35x – 1) = 0
20
⇔ x = 0 ou x = .
7

76 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


51 y

Cf

0 1 x

55 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.


Remarque
La démonstration n’est possible qu’au niveau de la 56 1.
y
Première à cause de l’orthogonalité de deux droites
Cf Cg
définies par leurs coefficients directeurs.
/N CHOISIT UN REPÞRE TEL QUE LES COORDONN£ES DES
POINTS ! - ET " SOIENT -a   !n    ET "   
/N TROUVE COMME £QUATION DE -" 
1
6x 24
y"  .
a4 a4 0 1 x
/N EN D£DUIT UNE £QUATION DE !( 
(a )x (a − )
2(a
y=− − .
6 3

Les coordonnées de H sont alors a  − ( a2 8


+
6 3
. )
2
2. Soient a et b avec 1 < a < b.
x 8
Donc une équation de la courbe est : y = − + . Montrons que f (a) ⩾ f (b).
6 3
Méthode 1
52 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 1 < a < b donc 0 < a – 1 < b – 1. La fonction inverse
change l’ordre de deux nombres strictement positifs
1 1
53 Soient a et b avec 5 < a < b. Ainsi 0 < a – 5 < b – 5. donc 艋 , c’est-à-dire f (a) ⩾ f (b).
b 1 a 1
1 1
Par variations de la fonction inverse, > , Méthode 2
a5 b5
1 1 1 1 ab
donc > . f (b) – f (a) =  = .
2( a  5) 2(b  5) b 1 a 1 (a  1)(b  1)
/R a – b < 0, a – 1 > 0 et b – 1 > 0, donc f(b) – f (a) ⩽ 0,
54 1. Df = ]– 3  ; ∪ =  3; c’est-à-dire f (a) ⩾ f (b).
3.
2. a. f (x) = 0 ⇔ x = – 1.
Donc 0 a pour antécédent – 1. x –3 1 +3
b. f(x) = 2 ⇔ x   x – 1) ⇔ x = 3.
f(x)
Donc 2 a pour antécédent 3.
c. f(x) = 1 ⇔ x   x – 1 qui est impossible.
Donc 1 n’a pas d’antécédent. x –3 –1 +3
3. Voir figure ci-après.
g (x)
L’axe des abscisses et la droite d’équation y = 2
coupent une fois Cf .
La droite d’équation y = 1 ne coupe pas Cf . 4. a. Dh = ]– 3  n ; ∪ =n   ; ∪ =  3;  ℝ<[n   ]

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 77


b. c. ,A DROITE QUI PASSE PAR LE POINT     
x5
y d. f (x) = 1 ⇔ = 1 ⇔ – 5 = – 0,5 ce qui est
x  0,5
Ch impossible.

Problèmes
1
59 a. Pour des raisons de variation, les 3 points
0 1 x ne peuvent pas être distincts deux à deux.
Lorsque 2 des 3 points sont confondus, il existe une
telle fonction dont la courbe passe par (a   ET b   
en effet, f telle que f(x) = (x – a)(x – b) convient.
b. Pas d’unicité car g avec g(x) = –f (x) convient
c. Soient a et b avec a < b < – 1. Montrons que également.
h(a) ⩾ h(b). 60 Premier cas
Comme f est décroissante sur ]– 3  ; f est égale- Le rectangle est « inscrit » dans le triangle (et un de
ment décroissante sur ]– 3  n ; $ONC f(a) ⩾ f(b). SES C¯T£S ;-'= EST SUR UN C¯T£ ;"#= DU TRIANGLE 
Comme g est décroissante sur ]– 3  ; g(a) ⩾ g(b). s ,AIRE EST MAXIMALE LORSQUE LES POINTS - ET ' SONT
$OÂ f (a g(a) ⩾ f(b g(b), c’est-à-dire h(a) ⩾ h(b).
1 3
situés respectivement au et aux du segment
57 a = – 3, car x a est nul pour x = 3.
;"#=
4 4

58 a. f(5) = 0 et f (0) = 10. y


 5+a A
 =0  a = 5
 5+b
Donc  ⇔
 a = 10  b = 0,5
 b
x5
DOÂ f ( x ) =
x  0,5 E F
b.
y
1
B
25 0 1 M G Cx

s $£MONSTRATION  CHOISIR UN REPÞRE TEL QUE


20 "   #   !   3 ) et M(a   
5NE £QUATION DE LA DROITE !" EST  y = 3 x.
Les coordonnées de E sont (a  a 3 ).
15
,AIRE DE -%&' EN FONCTION DE a vaut :
3 w a(10  2a) .
Elle est donc maximale pour a = 2,5.
10
Deuxième cas
Le rectangle R1 n’est pas « inscrit » dans le triangle
5 (mais un de ses côté est sur un côté du triangle).
s /N CONSTRUIT UN RECTANGLE PLUS GRAND 22.
s $ONC 21 n’était pas optimal.

61 Il s’agit d’une activité destinée à une recherche


– 10 –5 0 5 10 15 x
hors classe plutôt qu’une activité en classe.
1. !"#$ PEUT ãTRE UN PARALL£LOGRAMME  IL SUFFIT QUE
–5 son centre ait comme coordonnées (α   ET QUE
deux des sommets se trouvent sur la courbe.

78 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


2. !"#$ NE PEUT PAS ãTRE UN LOSANGE  ON PEUT 3.
rechercher si les diagonales du parallélogramme
peuvent être perpendiculaires, non par les coeffi-
cients directeurs de droites (hors programme), mais
par la recherche d’une intersection de la deuxième
diagonale avec la courbe à l’aide d’un logiciel de
géométrie dynamique.

63 1. f (x) = 0 ⇔ x = 3 ou x = 4.
g(x) = 0 ⇔ x = 0 ou x = 4.
2. a.
y
6
5
4
3
2
1

–1 0 1 2 3 4 5 6 7 x
–1

b. ,ES POINTS DINTERSECTION SONT    ET    


62 1. Df = ℝ<[n ] 3. f (x) = g(x) ⇔ (x – 4)((x – 3) – 0,5x) = 0
a. ⇔ x = 4 ou x = 6.
f(4) = 0 et f (6) = 6.
x – 105 – 104 – 103 – 102 – 101
f(x) 79,00 74,00 65,67 49,00 – 1,00 64 1. !VEC 'EO'EBRA 

x – 100 – 99 – 98 – 97
f(x) Non défini 199,00 149,00 132,33
b. 8MIN  n   8MAX  n  
9MIN    9MAX  
c.

2. a. f (x) = 99 n’a pas de solution dans ℝ.


b. f(900) = 99,1
c. f(x) = 99,5 ⇔ x = 100 2. a. Les valeurs possibles pour x sont les réels de
d. 8MIN    8MAX    9MIN     LINTERVALLE ;  =
Ymax = 99,5. b. 𝒜 = x2  n x)2   x – 5)2
e. c. Le minimum de 𝒜 est 50, son maximum, 100.
␲ 3
3. a. 𝒜1 = ×𝒜 b. 𝒜2 = ×𝒜
4 4

65 1. a. f (x) = 0 ⇔ x = 2 ou x = 16.
3UR LINTERVALLE ;  = IL Y A UN SEUL POINT     
2  16
b. xS = et yS = f (9) = 12,25.
2
,E SOMMET DE LA PARABOLE EST     

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 79


c. b. f est minimum pour x = 1 et f(1) = – 0,0004.
2 9 c.
x
12,25 x –2 1 5
f (x) 0,0005 0,0012
0 f(x)
d. – 0,0004

y 3. a. f (1 – a) = f  a)
12 ⇔ 0,0001(1 – a   n a – 3)
11    a   a – 3)
8
10
⇔ (2 – a)(–a n    a)(a – 2) qui est vraie quel
9
8
que soit a réel.
7 La droite d’équation x = 1 est axe de symétrie de la
6 courbe.
5 b. y
4
3
2
1

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 x

2. a. et b. Chaque abscisse est entre 2 et 9, et chaque 0,0001


ordonnée correspondante est entre 0 et f(x).
3. a. 2 ⩽ a ⩽ 8 et –1 ⩽ b  ⩽ f(a) 0 1 x
3. b.

S prend la valeur 0
Pour a allant de 2 à 8
y prend la valeur –0,25(a – 2)(a – 16)
S prend la valeur S + partie entière de y
Fin pour 67
Afficher S 1. a.

c. En Python

Résultat : 50
d. En choisissant des carrés de côté 0,1, on augmente
la précision.

b.
y
1 520
Résultat : 5 623 carrés de 0,1 × 0,1 soit une aire de
56,23. 1 515
1 510
66 1. Voir le graphique ci-après.
2. a. Développer : 1 505
1 500 Colonne C
0,0001x 2  0,0002x  0,0003 " 0,0001(x  1)(x  3) .
f(x) = 0 ⇔ x = – 1 ou x = 3. 1 495
x
Les points d’intersection ont comme coordonnées 1 490
n    ET     0 2 4 6 8 10 12

80 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


2. a. b. c. /N VOUDRAIT CONNA¦TRE LA TRAJECTOIRE DE LA POULIE 0
y Sur un schéma à l’échelle 1/10, dessiner
plusieurs positions successives de P, puis relier
ces points pour faire apparaître la courbe décrite
1 515 𝒞f par P quand Robert tire sur la corde.

𝒞g
1 510

1 505

1 500
–2 0 2 4 6 8 10 x

d. La courbe de g semble la plus adaptée.


e. Nombre d’appels estimés en décembre 2012 :
g(12) ≈ 1519.
Nombre d’appels estimés en décembre 2013 :
g(24) ≈ 1567.

68 Traduction de l’énoncé
Flipperbole
Robert soulève le cerceau à l’aide du système
Les élèves peuvent, même si la question n’est pas
représenté ci-dessous.
posée, prouver que c’est un arc d’hyperbole.
Choisissons un repère tel que les coordonnées des
POINTS & # ET ! SOIENT RESPECTIVEMENT      
ET   n  

Il tire sur une corde qui passe sur une poulie fixe
F et une poulie mobile P et qui est attachée au
point fixe A en son extrémité.
Le cerceau est fixé à la poulie P qui répartit la
tension de la corde sur (PA) et (PF) de sorte que la En considérant A’ le symétrique de A par rapport à
p reste verticale.
bissectrice de l’angle FPA ' LES TRIANGLES &%0 ET !'0 SONT EN SITUATION DE
Les dimensions du dispositif sont indiquées sur EF A e'
4HALÞS Donc " .
la figure. EP 'P

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 81


En posant EF = x et EP = –y, on obtient : c.
x 18  x 9x x 0 3 4
= DOÂ y " .
y y  9 2x  18 32 16
f(x)
14
69
y
Partie A
30
Le théorème de Pythagore appliqué dans les deux
25
TRIANGLES (!% ET '#& DONNE 
20
HE2 = HA2 !%2 et FC2 '#2  '&2.
/R (!  &# ET %!  '# DONC (%  '& 15
$E LA MãME MANIÞRE ON MONTRE QUE ('  %& 10
#E QUI MONTRE QUE %&'( EST UN PARALL£LOGRAMME 5

Partie B
0 1 2 3 4 x
1. a.

d. En développant 2(x – 3)2 


on obtient 2x2 – 12x 
La fonction définie sur ℝ par x ↦ 2(x – 3)2  EST
décroissante sur ]– 3  = PUIS CROISSANTE SUR ;  3;
$ONC D£CROISSANTE SUR ;  = PUIS D£CROISSANTE SUR
;  =

b. Cela dépend du choix fait pour la construction. 70 1. /N CHOISIT LE REPÞRE D£FINI PAR LHORIZONTALE
Si le rectangle est « allongé » cette fonction semble et l’axe de symétrie tel que le sommet ait comme
décroissante. COORDONN£ES    ET LES INTERSECTIONS DU GRAND ARC
c. Le calcul (non demandé ici) montre que si la DE PARABOLE SOIENT n    ET    
longueur est égale à plus de trois fois la largeur, 2. Un exemple de ce qui peut convenir :
cette fonction est décroissante. f(x) = –x2  SUR ;n   =
2. a. Pour que F puisse être construit, on doit avoir 1 2
g(x) = x  2 SUR ;n     =
"& ⩽ "# DOÂ  ⩽ x ⩽ 2. 10
b. En regroupant les triangles, on obtient un h1(x) = – 30(x   x   SUR ;n    n  =
rectangle de dimensions x et 10 – x. h2(x) = – 30(x   x   SUR ;n    n  =
c. En regroupant les triangles, on obtient un h3(x) = – 30(x   x  SUR ;n    n =
rectangle de dimensions x et 2 – x. h4(x) = – 30(x – 2)(x n   SUR ;   =
d. L’aire S du parallélogramme s’obtient par diffé- h5(x) = – 30(x – 2,2)(x n   SUR ;    =
rence : S = 20 – x(2 – x) – x(10 – x) = 2x2 – 12x  h6(x) = – 30(x – 2,4)(x n   SUR ;    =
y
e. y
x 0 2 20
20 15
f(x) 10
4
5 1

0 1 2 x
0 1 x

f. En développant 2(x – 3)2 


on obtient 2x2 – 12x  71 1. a. b. Voir figure ci-après
La fonction définie sur ℝ par x ↦ 2(x – 3)2  EST La droite d d’équation y = ax semble avoir deux
décroissante sur ]– 3  = DONC £GALEMENT SUR ;  = points d’intersection avec 𝒞 pour a  n   UN SEUL
3. a. Pour que F puisse être construit, on doit avoir point d’intersection pour a = – 1 et aucun point si
"& ⩽ "# DOÂ  ⩽ x ⩽ 4. a < – 1.
b. S = 32 – x(8 – x) – x(4 – x) = 2x2 – 12x  Mais cette conjecture est fausse (cf. question 2. d.)

82 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


73 Partie A

1
0 1 x

Partie B
1. a. Si x > 8 alors x – 4 > 4 donc x – 4 > 0.
2. a. (x – 4)(x – 9) = –x ⇔ x2 – 12x    1
⇔ (x – 6)2 = 0 ⇔ x = 6 Comme f (x) = , on a f (x) strictement positif.
x4
b. 4RAC£ DE ∆1. b. Si x > 8 alors x n    /R LA FONCTION INVERSE
c. La courbe 𝒞 et la droite ∆1 ont un seul point d’in- change l’ordre de deux nombres strictement posi-
TERSECTION   n   1
d. (x – 4)(x – 9) = – 25x ⇔ x2 x    tifs. Donc ! ou encore f (x) < 0,25.
x4 4
⇔ (x  2 = 0 ⇔ x = – 6.
c. D’après ce qui précède, si x > 8, 0 < f (x) < 0,25.
La courbe 𝒞 et la droite ∆1 ont un seul point d’inter-
Donc f (x) ne peut être un entier.
SECTION n    
2. a. Si x < 0 alors x – 4 < – 4 donc x – 4 < 0.
1
72 1. 100x. Comme f (x) = , on a f (x) strictement négatif.
x4
2. "x) = 100x – (x2 x   nx2 x – 100. b. Si x < 0 alors x n   n  /R LA FONCTION INVERSE
3. "    "   change l’ordre de deux nombres strictement néga-
4. a. 1 1
tifs. Donc > − ou encore f (x) > – 0,25.
y x−4 4
c. D’après ce qui précède, si x < 0, – 0,25 < f (x) < 0.
(25 ; 525) Donc f (x) ne peut être un entier.
3. a. 0 ⩽ x ⩽ 8 si x n’est pas entier, la première coor-
donnée de M(x  f (x)) n’est pas entière.
3. b.

N prend la valeur 0
100
Pour x allant de 0 à 8

5 x Si x ≠ 4 alors
1
y prend la valeur
x  4
b. Il faut produire 25 appareils pour que le bénéfice Si y est entier alors
soit maximal. | N prend la valeur N + 1
5. Fin si
Fin si
NBeneficeMax prend la valeur 5
Fin pour
BeneficeMax prend la valeur 125
Afficher N
Pour N allant de 6 à 11
Benefice prend la valeur 4. Il n’existe que deux points à coordonnées
–N 2 + 50N – 100 ENTIÞRES SITU£S SUR (    n  ET    
Si Benefice > BeneficeMax alors
NBeneficeMax prend la valeur N 74 Partie A
BeneficeMax prend la valeur Benefice 1. Il s’agit de la figure du manuel.
Fin si
Fin pour 2. a. !"/ ET !"/ SONT EN SITUATION DE 4HALÞS
Afficher NBeneficeMax A e /A / A e A e" e
" , et par suite " .
A e" e A" "C C/

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 83


b. /&# ET !&" SONT EN SITUATION DE 4HALÞS DONC 2. ,ES DROITES #& ET "/ NE SONT PAS S£CANTES
A e" e FA e LORSQUE /!   CEST Í DIRE QUAND ! EST CONFONDU
" .
C/ /F AVEC LE SYM£TRIQUE & DE & PAR RAPPORT Í /
c. #OMME /!  "# DAPRÞS 2. a. et 2. b. on a : 3. Si A se trouve sur la demi-droite ]F’x " SE
/ A e / A e A e" e FA e trouve sur la demi-droite ]Fx).
" " " . 3I ! SE TROUVE SUR LA SEGMENT =&/; " SE TROUVE SUR
/A "C C/ /F
d. #OMME &!  /! n /& DAPRÞS 2. c. on a : LA DEMI DROITE =/x’).
/ A e / A e  /F
/A
"
/F
. 75 1.
Donc x 1 2 3
1 / A e  /F /A e /F 1 1 f (x) 1 4 9
" "  "  .
/A /F w / A e /F w / A e /F w / A e /F / A e g(x) 1 4 9
1 1 1 2.
e. %N POSANT /&   ET /!  x on a : "  .
x 8 /A e
y
1 1 1 x 8 8x
Donc "  " , soit / A e " .
/A e 8 x 8x x 8
10 𝒞g en pointillé
Partie B
1. Df  ;  ; ∪ =  3; CAR x est une longueur (posi- 8
tive) et x ≠ 8.
64 8x  64  64
2. 8  " " f (x) 6
x 8 x 8
3.
y
Cf 4

𝒞g
2
10 𝒞f

0 10 x 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 x

3. a. Faux, car f (1,5) g(1,5).


b. Vrai, car f (1) = g(1).
c. Vrai, car elle admet trois solutions qui sont 1, 2
4. et 3.
d. Faux, car 2,5 est une solution de f (x) > g(x).
x 0 8 +3
e. Faux, car si x est un nombre réel tel que f (x) = g(x),
0
alors x peut également valoir 1.
f(x)
f. Vrai, car f (2) = g(2).

5. 8,5 ⩽ f(x) ⩽ 10 pour x APPARTENANT Í ;  =


76 1. Voir ci-après.
2. 3OIENT !  n  "   ET -x  y) alors

MA = x 2  (y  1)2 ET -"  (x  2)2  (y  1)2 .

Partie C 3. N1A = 2,5 et N1"    DOÂ .1A – N1"  


Donc N1 appartient à ℋ.
1.
N2A = 0,5 et N2"    DOÂ .2A – N2"  n 
Donc N2 appartient à ℋ.
4. a.
x –3 1 +3

f(x)

84 s 4. Fonctions du second degré et fonctions homographiques


b. y 5. a. Pour (1) et (2) il suffit de remplacer dans
C -!  -" n  ET -!  -"  LES VALEURS DONN£ES
dans la question 2.
b. En mettant les 2 membres de (1) au carré :


2
B 2
 (y  1)2 " (x  2)2  (y  1)2  2
1
N1
x 2  (y  1)2 " (x  2)2  (y  1)2  4 (x  2)2  (y  1)2  4
0 N 1 x
2
x 2  (y  1)2  (x  2)2  (y  1)2  4 " 4 (x  2)2  (y  1)2
A
2  y  x " (x  2)2  (y  1)2

(2  x  y)2 " (x  2)2  (y  1)2


c. f(2) = 0,5 donc N1 appartient à C.
f(0) = – 0,5 donc N2 appartient à C. y(2x  2) " 1 donc M(x  y) appartient à C.
d. Voir fichier. Le même calcul peut se faire à partir de (2).
e. Donc : si M(x  y) appartient à ℋ alors M(x  y) appar-
tient à C.

4. &ONCTIONS DU SECOND DEGR£ ET FONCTIONS HOMOGRAPHIQUES s 85


PARTIE B GÉOMÉTRIE

87
5. Vecteurs et repères
Objectifs et pré-requis
Ce chapitre porte sur la notion de vecteur. Le choix effectué consiste à introduire cette notion avec
la notion assez naturelle de la translation, qui n’est pas étudiée en tant que telle. Les situations pro-
posées demandent aux élèves de résoudre des problèmes dont la résolution repose sur des calculs de
coordonnées, de distance, et d’alignement de parallélisme. Les élèves seront entraînés à mobiliser
les techniques habituelles de la géométrie plane, étudiées dans les classes de collège, qui peuvent
être enrichies par les techniques de la géométrie repérée nouvellement introduites.
Les vecteurs constituent un outil supplémentaire à la disposition des élèves pour travailler dans des
configurations planes.
La géométrie repérée offre enfin l’occasion de résoudre certains problèmes d’un point de vue
algorithmique.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Coordonnées d’un point du plan
Abscisse et ordonnée d’un point v Repérer un point donné du plan, placer un point
dans le plan rapporté à un repère connaissant ses coordonnées.
orthonormé.
Distance de deux points du plan. v Calculer la distance de deux points connaissant leurs
coordonnées.
Milieu d’un segment. v Calculer les coordonnées du milieu d’un segment.
Vecteurs
Définition de la translation qui
transforme un point A du plan en
UN POINT "
Vecteur n!" associé.
Égalité de deux vecteurs : v Savoir que n!"  tCD £QUIVAUT Í !"$# EST UN
parallélogramme, éventuellement aplati.
cu = n!" = tCD .

Coordonnées d’un vecteur v Connaître les coordonnées (x" – xA, y" – yA) du vecteur n!"
dans un repère.

Somme de deux vecteurs. v Calculer les coordonnées de la somme de deux vecteurs


dans un repère.
Produit d’un vecteur v Utiliser la notation Q au.
par un nombre réel. v Établir la colinéarité de deux vecteurs.

Relation de Chasles. v Construire géométriquement la somme de deux vecteurs.


v Caractériser alignement et parallélisme par la colinéarité
de vecteurs.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 10 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 89
Corrigés des activités
1 Attention, ça glisse !

1 a., b. et c. Voir ci-contre. Patineur 1


2 1 et 7
2 et 10
3 et 9
4 et 6
5 et 12
8 et 11
A B

Patineur 2


3 a., b. et d. M B
A

B’
N C
O A’
D B’’
A’’

C’
D’
C’’
P D’’

c. Les segments fléchés ont la même longueur, la même direction et le même sens.

2 Somme de vecteurs

1 a. et b. Voir ci-contre.
A
C


2 a. Comme n!"  w-. !".- EST UN PARALL£LOGRAMME
/N EN D£DUIT QUE tuAM = r".
P
b. Comme rNP = r"# .0#" EST UN PARALL£LOGRAMME M B
/N EN D£DUIT QUE tr".  rCP .
c. D’après a. et b., on a tuAM = r#0  /N EN D£DUIT QUE !-0# N
est un parallélogramme et que P est l’image de M par la
translation de vecteur rAC.

3 Coordonnées de vecteurs

1 a. n/"  l/)  ai et t/#  nl/*  naj .
b. r/!  ai = 2aj
!  n 

90 s 5. Vecteurs et repères
c.

Nom du point Décomposition vectorielle Coordonnées du point

A r/!  ai – 2 aj   n 

" r/"  ai   

C t/#  naj   n 

D t/$  ai – aj   n 

E r/%  ai aj   

F r/&  aj   

' t/'  nai – aj n   n 

d. N y

P J

O I x


2 a. rAD = 4ai aj b. rAD = r/% DONC r!$   
c.

Nom du vecteur Décomposition vectorielle Coordonnées du vecteur

rAD rAD = 4ai aj   

n"& n"&  nai aj n   

r%' r%'  nai – 2aj n   n 

rFC rFC = –6aj   n 

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Lire des coordonnées dans différents repères
Exercice autocorrectif.

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 91
TP 2 Construction du quatrième sommet du parallélogramme
x"  xC
36 y  yC 3  5

1 x I
"
2 2
"" 4,5 et y I " "
2
"
2
" 4 DONC )    


2 a. Les coordonnées de D s’obtiennent en ajoutant celles du vecteur cu Í CELLES DU POINT # /N EN
déduit que tCD = cu.
b. !"$# EST UN PARALL£LOGRAMME CAR tCD = cu.

34 ( ) 1 ( )
c. cu 3  1 donc cu 2 . xD " xC  xuI " 6  2 " 8 et y D " y C  yuI " 5  1 " 4 DONC $   


3 /N SAIT QUE lID = hAI donc on peut écrire par exemple en ligne 2 :
VVECTEUR! )  $) V

TP 3 Coordonnées et norme d’un vecteur


©  m¹ © x¹
Le vecteur n!" a pour coordonnées ª , c’est-à-dire ª º .
«q  n º» « y»
 
La norme du vecteur n!" est donc AB = x 2 + y 2 .
/N PEUT AJOUTER UNE LIGNE DE LA FORME 312482 92)→ Z et ajouter Z dans la liste des résultats à affi-
cher en sortie.
3UR 4)  SUR #ASIO 'RAPH 

TP 4 Colinéarité, alignement
©m¹ © p¹

1 Les vecteurs n!" et tCD ont pour coordonnées ª º
«n »
et ª º .
« q»
L’erreur vient du test de colinéarité qui devrait être « if m*q-n*p==0 ».


2 )L FAUT TROIS POINTS ! " ET # ET REMPLACER LE CALCUL DES COORDONN£ES DU VECTEUR tCD par celles du
vecteur rAC par exemple. Penser bien sûr à changer le texte dans la conclusion.
Quelques exemples de programmation :

En Python Avec Algobox

92 s 5. Vecteurs et repères
TP 5 Démontrer avec les vecteurs

1 Voir ci-contre.

2 a. uMA = tDN = n0"
b. ,ES POINTS . / ET 0 SONT ALIGN£S


3 a. Appliquer les égalités vectorielles obtenues dans
les différents parallélogrammes construits.
b. $£MONTRER QUE LE QUADRILATÞRE $0". EST UN
parallélogramme.

TP 6 Somme nulle

1 Voir ci-contre.

2 /N CONJECTURE QUE LE POINT - SE TROUVE AU CENTRE
DE GRAVIT£ DU TRIANGLE !"#


3 a. /N APPLIQUE LA RELATION DE #HASLES
/N EN D£DUIT QUE uAM = 2pMI et donc que A, M et
I sont alignés.
b. /N D£MONTRE DE FA½ON ANALOGUE QUE " - ET
J sont alignés.
c. /N EN D£DUIT QUE - EST LE POINT DINTERSECTION
DES M£DIANES DU TRIANGLE !"#

TP 7 Milieux et alignement

1 /N CONJECTURE QUE LES POINTS ! ) ET * SONT ALIGN£S

2 a. !   )     ET *   
b. /N CALCULE PAR EXEMPLE LES COORDONN£ES DES VECTEURS nAI et nAJ.
n!)   n   ET h!*   n  
/N APPLIQUE LE CRITÞRE DE COLIN£ARIT£    w (– 1) – (– 0,5) w 0,5 = 0.
/N EN D£DUIT QUE LES VECTEURS nAI et nAJ sont colinéaires et donc que les points A, I et J sont alignés.

TP 8 Triangles isocèles

1 !VEC LES POINTS !n   n  "   ET #   
a = (7 – 2)2  n  2 = 52 2 = 25 et
b = (– 1 – 2)2 n  n  2 = (– 3)2 n  2 = 25.
Le test « Si a = b w EST VRAI DONC LALGORITHME AFFICHE i ,E TRIANGLE !"# EST ISOCÞLE EN # w


2 a. Les variables a, b et c REPR£SENTENT LES CARR£S DES LONGUEURS "# !# ET !"
b. Le calcul de c n’est nécessaire que si a et b ne sont pas égaux.


3 Pour tester si le triangle est équilatéral, il faut évaluer les égalités entre a, b et c avant de prendre une
décision et d’afficher la nature du triangle.

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 93
Un exemple d’algorithme :

Entrée : xa et ya les coordonnées de A.


xb et yb les coordonnées de B.
xc et yc les coordonnées de C.
Traitement a = (xb - xc)2 + (yb - yc)2
et sortie : b = (xa - xc)2 + (ya - yc)2
c = (xa - xb)2 + (ya - yb)2
si a = b
si a = c
afficher « le triangle ABC est équilatéral. »
sinon
afficher « le triangle ABC est isocèle en C. »
sinon
si b = c
afficher « le triangle ABC est isocèle en A. »
sinon
si a = c
afficher « le triangle ABC est isocèle en B. »
sinon
afficher « le triangle ABC n’est pas isocèle. »

TP 9 Recherche d’un triangle particulier Q P



1 IJQ est un triangle rectangle et isocèle en J si le quadrilatère 3,2
MNPQ est un carré.
90° J


2 a. 1   )    ET *    
O
b. /N CALCULE LES LONGUEURS DES C¯T£S DU TRIANGLE )*1 
3,2
10 5
IJ = QJ = et QI = .
4 2
L’égalité de Pythagore permet de vérifier que le triangle est
rectangle en J.
M I N

TP 10 Construction de figures par itération



1 a. L’exécution de truc(60, 50, 80) donne la figure ci-contre. 180 – a
b. %N NOMMANT LES SOMMETS ! " # ET $ LA CONSTRUCTION IMPLIQUE LES D
angles marqués sur la figure. C
a
L’angle formé par les vecteurs r"# ET tCD est 180 – a, donc son supplé-
mentaire est a, qui est aussi l’angle formé par les vecteurs r#" ET tCD.
/N PEUT AINSI MONTRER Í LAIDE DES ANGLES ALTERNES INTERNES QUE LES
a
DROITES !" ET #$ SONT PARALLÞLES
/N MONTRE DE MãME QUE LES DROITES "# ET !$ SONT PARALLÞLES ON EN A B
CONCLUT QUE LE QUADRILATÞRE !"#$ EST UN PARALL£LOGRAMME
Remarque
/N AURAIT PU SAPPUYER SUR LE FAIT QUE LES COT£S SONT DEUX Í DEUX £GAUX MAIS RIEN NE PROUVE ALORS QUE
!"#$ SOIT UN QUADRILATÞRE SE REFERME T IL  

94 s 5. Vecteurs et repères

2 a. Si n = 4, a = 90, donc chaque truc construit est un parallélogramme avec un angle droit, c’est un
rectangle.
Le multitruc(4) est composé de quatre rectangles.

b. multitruc(6) :


3


4

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 95
Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application 8
a
B
1 La translation de vecteur r". ENVOIE LA FIGURE 
sur la figure 7.
A
La translation de vecteur tDK envoie la figure 2 sur
la figure 8. b
La translation de vecteur r%' ENVOIE LA FIGURE  SUR
la figure 5.
La translation de vecteur l/) ENVOIE LA FIGURE  SUR
la figure 6.
9
2
L’image du par la translation
est le point ….
point … de vecteur …
t b B
N !" J
t A
L CD E
t a C
L u M
t
I !" '
t
M CD J
t
E u J 10
t b A
/ CD M
C
t
K !" H B

3 Construction des images du quadrilatère a


!"#$

4 Construction de l’image de la figure.

5 a. n!"  nEF = t'(  l*/

b. tCD = r%'  l')  rNP = rFH


11 a. cu = ba bb
c. tDC = r'%  l')  rPN = rHF b. cu = 2ba bb
6 12 a. cu = ba bb
b. cu = 2ba – bb
13
2u
B M

2u – 3v – w AM

– 3v –w A C

7 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 14 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

96 s 5. Vecteurs et repères
15 27 a. cu   ET bv  n 
b. y

w
B C u
AP j
O x
i
A
v

16 a. 8cu
b. 4cu 28 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
c. 3cu
29 a. cu  n  ET cvn   n 
17 a. – 5ba
b. et c.
b. 2bb y
c. a0
w
18 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. A
19 a. r#"
B
b. rCA
j
c. a0
O i x
20 a. wMN
b. 2uMP
c. a0
30 a. n!"  n  t$#  n 
21 a. n!" n r#" rCA = n!" r"# rCA = nAA = a0 b. !"#$ EST UN PARALL£LOGRAMME
b. n"% n nAE = n"% nEA = n"!
c. n!& n&"  n!" DONC n!& n!& n&"  n!& n!" 31 n!"   n  rAC   n  ET r"#   n 
soit 2n!& n&"  n!" nAF
t
32 2 u (  n 
22 Les couples de vecteurs colinéaires sont : t
ba et bz 5 v (n   n 
t t
bb et at 2 u  v (n   n 
t t
cu et hw 2 u – 5 v (  
bc et bv
t
23 a. k = – 0,5
33 –3 u(  n 
t
b. Les vecteur cu et cv sont colinéaires. 4 v (  n 
t
– 5 w (  
5 t t t
24 a. k = – – 3 u + 4 v – 5 w   n 
2

b. Les vecteur cu et cv sont colinéaires. 34 $  

25 1. Construire les vecteurs en remarquant que 35 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

hw =
1
cu. 36 a. 3  n  b. 3  
3
2. Les vecteur cv et cw sont colinéaires car bv = –12hw.
37 #  

26 1. !n    "   #   ET $n   n 


38 Les vecteurs cu et cv sont colinéaires dans les cas
a et b.
2. a. !  n  "   #   ET $n   n 
b. !n     "   #   ET $n   n  39 r!#    ET r"$   
c. !  n  "n   n  #n   n  ET $   2 × 9 – 6 × 3 = 0, les vecteurs sont donc colinéaires.

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 97
40 Il faut vérifier que les coordonnées des 2. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n%" ET rED sont coli-
vecteurs ne sont pas proportionnelles. N£AIRES ET ON EN D£DUIT QUE LES POINTS % " ET $ SONT
alignés.
41 )n   

53 a. I  3 ;  1  et J  3 ;  1 
42 P ( 1
2
 
13
30 ) 2 2 2 2
b. ,ES DIAGONALES DU QUADRILATÞRE !"#$ ONT LE
43 !"  221 MãME MILIEU DONC !"#$ EST UN PARALL£LOGRAMME

54 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.


44 CD = 40
55 !"  "#  26
45 1.
y ,E TRIANGLE !"# EST ISOCÞLE EN "
B
56 a. /N A  n!"   ET t$#   
2 w 3 – 1 w 6 = 0. Le critère de colinéarité est vérifié.
Les vecteurs n!" ET tDC sont colinéaires, donc les
DROITES !" ET #$ SONT PARALLÞLES !"#$ EST UN
J
x trapèze.
O I b. %N PROUVANT QUE #$"* EST UN PARALL£LOGRAMME
C on a n"*  tDC.
M
A

Exercices pour se tester


2. a. "#  61 ≈ 7,81

(
b. M –
1
2
 n · ) 57 à 65 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
de l’élève.
46 /N A  n!"   ET t#$   
Les vecteurs n!" ET tCD sont égaux, donc les droites
!" ET #$ SONT PARALLÞLES Exercice résolu
47 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
66 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
48 a. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n!" ET tCD ne
sont pas colinéaires.
b. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS rAC et rDE sont coli-
néaires. Exercices d’approfondissement
49 /N A  n!"  n  ET r!#  n   67 1. et 2.
1 w (– 6) – (– 3) w 2 = 0. Le critère de colinéarité est
M
vérifié.
Les vecteurs n!" ET rAC sont colinéaires, donc les P
POINTS ! " ET # SONT ALIGN£S

50 1. et 2. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n!" ET rAC B C


sont colinéaires.
N
51 1. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n!" ET rAC ne A
sont pas colinéaires et on en déduit que les points A,
" ET # NE SONT PAS ALIGN£S 3. . EST LE MILIEU DE ;!"= ET 0 EST LE MILIEU DE ;-#=
2. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n!" ET rAC sont coli-
N£AIRES ET ON EN D£DUIT QUE LES POINTS ! " ET # SONT 68 1. et 2.
alignés.
A F B D C E
52 1. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n!" ET tCD
SONT COLIN£AIRES ET ON EN D£DUIT QUE LES DROITES !"
et (CD) sont parallèles. 3. /N PROUVE QUE rFD = rDE.

98 s 5. Vecteurs et repères
69 77 Démonstration en appliquant la relation de
Chasles.
B
a
78 Démonstration en appliquant la relation de
b Chasles.
C
A 79 a. /N PASSE AUX VECTEURS OPPOS£S
b. /N D£MONTRE QUE !"$# EST UN PARALL£LOGRAMME
70 80 r #! r #"  l #) h )! l #) h)"  lCI

– OB C 81 a. r"#  n"! rAC


– 2u A
O r"#  h") h )! h !* lJC
3u
2v –v r"#  h)! h)! h!* hAJ
B r"#  cIJ
b. /N VIENT DE MONTRER LE TH£ORÞME DES MILIEUX

71 82 a. rAD = h!) lID = l)# lID


M b. n!" rAD = rAC = 2lIC
– AC
83 a.
A

B
– 2 AB 3 BC F

C
– 3 BC E
2 C
N A
b. n&" rFC = 2n&! n !" rAC = a0
B
84 a. et b.
72 C
MA M
D B
A B A
C
E
2 BC + BD – 2 AC
D c. "#$% EST UN LOSANGE /N D£MONTRE QUE "#$%
est un parallélogramme dont les diagonales sont
perpendiculaires.

85 a.
3
73 a. cu = ca + 2 cb b. cu = –3 ca  cb B
2
A C
74 a. cu = ca  cb b. cv = – ca + cb
M N
7 D
75 a. cu = ca b. cu =  ca
8
b. w-$ tND = u-! r !$ t.# tCD
c. cu = – 17 ca d. cu = 10ca
w-$ tND = n!" r"# r #" n"!  a0
76 a. cu = 2 ca  cb
86 ,ES DROITES !" ET #$ SONT PARALLÞLES DANS
7 7
b. cu = ca – cb les cas a., b. et d.
3 12
,ES DROITES !" ET #$ NE SONT PAS PARALLÞLES DANS
c. cu = –5 ca – cb le cas c.

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 99
87 La propriété des milieux donne : r"#  cIJ. 97 a. -n    
Les vecteurs sont colinéaires.
b. N   8 ; 3 
 5 5
88 ,ES POINTS ! " ET # SONT ALIGN£S DANS LES CAS a.,
c. et d. 98 1. cu = ai – 2aj
Dans le cas b., on a n"!  a DONC ! ET " SONT CONFONDUS
bv = – 3ai – aj
et les 3 points sont alignés.
2. ba  n 
89 La colinéarité de n!" ET r!# PROUVE QUE ! " ET # bbn   
sont alignés. bc  
La colinéarité de r"# ET t#$ PROUVE QUE " # ET $ SONT
alignés.
99 1. cu = 2ai aj
bv = –ai aj
90 a. Vrai b. Faux
2. ba  
c. Vrai d. Faux
bb  
91 a. !   ET #   bc  
b. !   ET #  
c. !   ET #   100 1. n!"  
2. a. -  
b. .  
92 1. (C, r#" rCA) ou (I, h)" hIA)

2. a. (I, lIC, hIA) b. )   ET "n   


c. P
( 72  )
5
101
93 1. I  ( 1
2 ) ET #n    a. n = –
4
b. n = – 3 ou n = 3
2. a. (I, h)" lIC) b. )   ET #   c. n = 0 ou n = 14
94 a. et b. cun   
102 /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n!" ET tCD sont
–cu  n  colinéaires et on en déduit que le quadrilatère
bvn    !"#$ EST UN TRAPÞZE
–bv  n 
hw  
103 1.
y
–hwn   n 
B
bzn   n 
–bz  
M P
95 1. cun   
bv  
hwn   n 
j
bzn   n 
O i N C x
2. a. !  n  b. "  

96 1. et 2. a. 2. ,ES COORDONN£ES DU POINT 0 SONT    


y /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS n"0 ET rCP ne sont pas
colinéaires et on en déduit que le point P n’appar-
u TIENT PAS AU SEGMENT ;"#=
v b
w
104 1. /N A r"$  r"# n"!
O x
a – 1w 2. a. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS r"$ ET nEF sont
–u 3 COLIN£AIRES ET ON EN D£DUIT QUE LES DROITES "$ ET
(EF) sont parallèles.
b. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS nFA et r&' SONT COLI
N£AIRES ET ON EN D£DUIT QUE LES POINTS & ! ET ' SONT
b. ban   n  ET bb   alignés.

100 s 5. Vecteurs et repères


105 a. y 109 a. La somme des vecteurs est égale au vecteur
nul.
A b.

j D
O i x F’
P + R + F’
E

b. $  
P
c. %  n 
R
106 !"2 = 32
AM = m2 m 
2

"-2 = m2 – 4m 
En appliquant le théorème de Pythagore : 110 1. Figure dans chacun des cas.
n LE TRIANGLE !"- EST RECTANGLE EN " POUR m    2. a. 2r/! r/"  a0
n LE TRIANGLE !"- EST RECTANGLE EN - POUR m = – 7
2r/! r/! n!"  a0
ou m = 7 
3
n LE TRIANGLE !"- EST RECTANGLE EN ! POUR m = – 3. r/!   n!"
5
107 n   15 ET n   n 15 ) b. Démonstration semblable.
3. Plus le point d’appui est proche de l’objet à soulever
et plus il sera facile de soulever un objet lourd.

Problèmes 111 a. tKD = tDC = n!"  h")


/ EST LE MILIEU DE ;)+= CAR +$)" EST UN PARALL£LO
108 gramme.
b. nLA = rAD = r"#  lCJ, donc LAJC est un parallélo-
GRAMME ET / EST LE MILIEU DE ;,*=
c. IJKL est un parallélogramme.

112 tCN = 2n!" rAC – 3r"#


tCN = 2n!" rAC – 3n"! n rAC
tCN = 5n!" rCA
r#! rAN = 5n!" rCA.
Donc rAN = 5n!" rCA = uAM.
/N EN D£DUIT QUE - ET . SONT CONFONDUS

113 1. a. n!"  r!. r.0 n0"


n!"  w/- r.0 w-. w-/
n!"  uMP
b. t/#  r/0 rPC = 2r/0  uMP
c. ,E QUADRILATÞRE /!"# EST UN PARALL£LOGRAMME
2. #! COUPE ;/"= EN SON MILIEU DONC #! EST UNE
M£DIANE DE /"#
0 EST LE MILIEU DE ;/#= DONC 0" EST UNE M£DIANE
DE /"#
3. /' EST LA TROISIÞME M£DIANE DU TRIANGLE /"#
DONC ELLE COUPE ;"#= EN SON MILIEU

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 101


114 1. a. 0° b. #ONJECTURER QUE LES POINTS - . ET " SONT ALIGN£S
b. Pôle Nord : 90° N Pôle Sud : 90° S OU MIEUX QUE LE POINT " EST LE MILIEU DE ;-.=
c. France, Angleterre et Espagne. c. Dans les parallélogrammes correspondants,
2. a. 40° N b. 10° E prouver que nAP = u"- ET QUE nAP = r."
3. a. — 3  — / b. — .  — %

115 a. Siaya et Macapa sont distantes de 9 450 km 118


environ. a.
b. Les deux villes sont distantes de 11 118 km
environ.
116 Traduction de l’énoncé
Point de vue
Depuis le seuil de l’auberge des Amis (altitude
900 m) est-il possible, par beau temps, d’aper-
CEVOIR LE CLOCHER DE LA CHAPELLE DE L/RPAILLAGE
(altitude 660 m).
Répondre en utilisant la carte ci-jointe. Justifier. b. /N D£MONTRE QUE LE QUADRILATÞRE $#!" EST UN
parallélogramme en prouvant que tDC = t"!

119
a. /N PEUT CONJECTURER QUE LES POINTS ) * + ET , SONT
alignés et que IJ = KL et IK = JL.
b. %N CONSID£RANT RESPECTIVEMENT LES TRIANGLES !"$
ET !"# PROUVER QUE LES VECTEURS lIK et hJL sont égaux
et en déduire que le quadrilatère IKLJ est un paral-
L£LOGRAMME APLATI /N EN D£DUIT QUE LES SEGMENTS
;)+= ET ;*,= ONT MãME MILIEU

Soient A la position de l’observateur à l’Auberge


des Amis, M le point situé dans la direction du
regard vers le village à l’altitude 800 m sur la crête
de la Croupe, H le point d’altitude 900 m situé à la
verticale de la chapelle, N le point situé à l’altitude
900 m à la verticale de M, S l’intersection de la ligne
120
DU REGARD !- AVEC LA VERTICALE /( DE LA CHAPELLE
a.
,E TH£ORÞME DE 4HALÞS OU LE TH£ORÞME DES MILIEUX
donnent alors HS = 200 m.
/R /(   n    M DONC /3   M
/N NE PEUT DONC PAS VOIR LE CLOCHER DE LA CHAPELLE
DE L/RPAILLAGE DEPUIS L!UBERGE DES !MIS Í MOINS
qu’il ne soit haut de plus de 40 m, ce qui est peu
plausible.

117
a.

102 s 5. Vecteurs et repères


b. $ANS LE REPÞRE " r"# n"! ON A  b. ,E QUADRILATÞRE !"!# EST UN PARALL£LOGRAMME
!   "   c. /N D£MONTRE QUE LE TRIANGLE !"# EST RECTANGLE EN
#   )    !  !"2 = 17, AC2   ET "#2 = 34.

( ) ( )
2 1 3. /N D£MONTRE PAR EXEMPLE QUE LE TRIANGLE "4# EST
E  F 
3 3 RECTANGLE EN "  "42   "#2   ET 4#2 = 68.

P( )
1 2
3 3
 P est tel que nAP =
1
3
rAC.
125 1. y
M
b
121 N
a
Le passage par le parallélogramme de sommets J
! 0 ET 1 ET DE CENTRE " PEUT ãTRE ENVISAG£ x
–b O I a

2. a. ,E TRIANGLE /-. SEMBLE ãTRE UN TRIANGLE


RECTANGLE ISOCÞLE EN /
b. /-2 = a2 b2  /.2
et MN2 = (a b)2 a – b)2 = 2(a2 b2  /-2 /.2.

126 1. D C N

122 1. !"2 = 17, AC2   ET "#2 = 17.


2. a. - EST LE MILIEU DE ;!#= 3ES COORDONN£ES SONT A B
©5 5¹
ª« 2  2  2º» .
2. a. (A, n!" rAD)

( 43  ).
b. ,ES TRIANGLES -!" ET -"# SONT RECTANGLES EN -
b. $   #   ET .
donc :
0 EST LE MILIEU DE ;!"= 3ES COORDONN£ES SONT c. Les points D, C et N ont la même ordonnée, ils
©1 ¹ sont alignés.
ª« 2  2  2º» 

1 EST LE MILIEU DE ;"#= 3ES COORDONN£ES SONT 127 1. et 2. a.


© 9¹ y C
ª« 2  2  2º» .
A
J
123 1. Aire du carré : 64. j I K x
Aire du rectangle : 65. O i L
Les deux figures n’ont pas la même aire alors qu’on B
aurait pu le penser. D
( 8 3
)
2. a. Dans le repère A, 1 n!" 1 r"# : r!#   ET
b. Le quadrilatère IJKL est un parallélogramme.
r!$   
8 × 5 – 13 × 3 | 0, donc les vecteurs rAC et rAD ne sont
pas colinéaires.
(
3. a. I  
1
2)(
,J
13
2
 ,K ) ( ) et L( 132  )
1
2
b. /N EN D£DUIT QUE LES POINT ! # ET $ NE SONT PAS
b. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS cIJ et rLK sont égaux.
alignés. Les pièces du puzzle ne recouvrent pas tota-
lement le rectangle.
128 /N SE PLACE DANS LE REPÞRE ! n!" rAD).

( )
3 1 Soit (x  x) les coordonnées de M.
124 1. I 
2 2 ⎛ x2 x2 ⎞
2. a. !  n  K(x   *  x) et P⎜ ; ⎟.
⎝ 2x − 1 2x − 1⎠

5. 6ECTEURS ET REPÞRES s 103


/N D£MONTRE QUE LES VECTEURS l KJ(1 – x  x) et 2. a. tA’C = t!$ tDC = r$! tDC = r$"
⎛ x x2 x2 ⎞
b. r$"  t$/ r/"  r/"  t//
rKP ⎜⎝ 2x 1 ; 2x 1⎟⎠ sont colinéaires.
c. tA’C = t// DONC LE QUADRILATÞRE !#// EST UN
129 a. Soit h LA HAUTEUR DU TRIANGLE !"% PARALL£LOGRAMME ET ) EST LE MILIEU DE ;!/=
2

h2
⎛ 1⎞ 3 132
⎜⎝ 2⎟⎠ = 1 donc h = .
2
/N D£MONTRE LE MãME R£SULTAT DANS LE TRIANGLE "#&
⎛1 3⎞ ⎛ 3 1⎞
b. E ⎜ ; ⎟ et F ⎜1 + 2 ; 2⎟
⎝2 2 ⎠ ⎝ ⎠
⎛1 3 ⎞
c. /N D£MONTRE QUE LES VECTEURS rDE ⎜⎝ 2 ; 2 − 1⎟⎠ et
⎛ 3 1⎞
rDF ⎜⎝1 + 2 ; − 2⎟⎠ sont colinéaires.

130 Le milieu d’un bipoint a des coordonnées 133 1. a. 60°


entières si, et seulement si, les abscisses des deux b. 61°
points sont de même parité et leurs ordonnées c. Il s’agit de ε Cas.
aussi. 2. a. 21 h 20
/N PEUT PLACER  POINTS EN £VITANT CETTE SITUATION b. 21 h 30
PAR EXEMPLE ! 0  0 "0  ) # )  0 ET $)  ) MAIS 3.  H   —
dès qu’on voudra placer un 5e point, ses coordon- 4. M31, Deneb et le Double amas de Persée.
nées appartiendront à l’une de ces 4 catégories.

131 1.
A’

D C
I
O

A B

O’

104 s 5. Vecteurs et repères


6. Équations de droites
et systèmes
Objectifs et pré-requis
L’objectif est de caractériser analytiquement une droite du plan. Cette caractérisation permettra
de résoudre des problèmes d’alignements de points et de positions relatives de deux droites dans
le plan. La mise en équations de certains problèmes sera également l’occasion de résoudre des
systèmes d’équations.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Droites
Droite comme courbe v 4RACER UNE DROITE DANS LE PLAN REP£R£
représentative v Interpréter graphiquement le coefficient directeur d’une droite.
d’une fonction affine.
Équations de droites. v Caractériser analytiquement une droite.
Droites parallèles, sécantes. v Établir que trois points sont alignés, non alignés.
v Reconnaître que deux droites sont parallèles, sécantes.
v Déterminer les coordonnées du point d’intersection de deux
droites sécantes.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 8 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Équations de droites

1 Construction de la figure avec le logiciel.

2 a. y = ax b y=b x=a
b. Si le coefficient directeur de la droite est positif alors la droite est croissante.
Si le coefficient directeur de la droite est négatif alors la droite est décroissante.
c. Les droites sont parallèles si elles ont le même coefficient directeur.

2 Droites et systèmes d’équations


¯ x
²y "  3

1 a. ° 2
²y " 2x  7
±

6. ›QUATIONS DE DROITES ET SYSTÞMES s 105


y
b. Voir figure ci-contre.
c. ,E POINT DINTERSECTION EST   n  
d. La solution du système est x = 4 et y = – 1.


2 a. Les droites associées sont parallèles.
b. Le système (S2) n’a pas de solution.
j
O i x
¯ 3
²²y " 4 x  3

3 a. °
²y " 3 x  3
²± 4
Les deux équations du système sont équivalentes.
b. Il existe une infinité de solutions.

y
3 Mise en équation
¯y " 2x  4
¯2x  y " 4 ²

1 a. °
5x " 2y  1
b. ° 5 1 c.
± ²y " x 
± 2 2 j
O i x
d. ,E POINT DINTERSECTION DES DEUX DROITES EST    


2 La solution du système est x = 1 et y = 2.

3 Une lampe coûte un dirham et un plateau coûte deux dirhams.

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Rechercher une équation de droite

1 a. *ESSICA A TEST£ SON PROGRAMME AVEC LE POINT !   ET LE POINT "   
y  yA 9  5 4
b. /N CALCULE LA PENTE DE LA DROITE !"  a " " " " "2.
x"  x A 4  2 2
,A DROITE !" A DONC UNE £QUATION DE LA FORME y = 2x + b ,E POINT ! APPARTIENT Í LA DROITE !" DONC
il vérifie son équation : yA = 2xA + b SOIT    ¾  b DOÂ b = 5 – 4 = 1.
%N CONCLUSION L£QUATION DE LA DROITE !" EST y = 2x 


2 Ici x" – xA = 4 – 4 = 0, donc le calcul du coefficient directeur est impossible (division par 0). Ceci est
Dœ AU FAIT QUE LES POINTS ! ET " ONT LA MãME ABSCISSE POUR UNE ORDONN£E DIFF£RENTE ET DONC QUE LA
DROITE !" EST VERTICALE ET NADMET PAS DE PENTE


3 Programme modifié :

106 s 6. Équations de droites et systèmes


TP 2 Un réseau de droites

1 Voir ci-contre.

2 a. s Dk est parallèle à l’axe des abscisses
si k = – 1,5.
s Dk passe par le point d’ordonnée 8
si k = – 3.
s Dk a pour coefficient directeur 0,5
si k = – 0,5.
b. Le point cherché a pour coordon-
N£ES     

TP 3 Un repère pour démontrer



1 Voir ci-contre.

2 L’élève conjecture le parallélisme des droites
$" ET -0 


3 a. y = –x 
b. L’ordonnée du point P est p.
c. ,ES COORDONN£ES DE - SONT   p).
d. y = –x p.
e. /N EN CONCLUT QUE LES DROITES $" ET -0
ont des coefficients directeurs égaux. Elles
sont donc parallèles.

TP 4 Déterminer l’intersection de deux droites



1 Un couple (x  y), vérifiant les équations y = ax + b et y = mx + p, est tel que ax + b = mx + p DOÂ
pb
x" .
a m
pb 42
●2 x" "
a m 13
" 1 et y = ax b   ¾ n    

,E PROGRAMME AFFICHE i IL Y A UN COUPLE SOLUTION  n    w


3 a. Les deux droites sont parallèles si, et seulement si, a = m.
b. Les deux droites sont confondues si, et seulement si, a = m et b = p.
c.Entrée : Donner les nombres a, b, m et p.
Traitement Si a = m
et sortie : alors si b = p
afficher « les droites sont confondues »
sinon
afficher « les droites sont strictement parallèles »
sinon
p  b
affecter à x le nombre ;
a  m
affecter à y le nombre ax + b ;
afficher « les droites sont sécantes au point de coordonnées (x ; y) ».

6. ›QUATIONS DE DROITES ET SYSTÞMES s 107



4

TP 5 Déterminer l’alignement de trois points



1 a. Voir figure ci-contre. y B
y"  y A yC  y"
a" et a e " .
x"  x A xC  x"
b. ,ES POINTS ! " ET # SONT ALIGN£S SI ET SEULEMENT SI a = a’.
y  y A yC  y"
c. Si a = a’, alors " " DOÂ
x"  x A xC  x"
C
(y "  y A )(xC  x" ) " (y C  y " )(x"  x A ) .
j

2 a. !VEC !n   n  "   ET #   LE TEST DE LALGORITHME EST V£RIFI£ CAR
A O i x
(y "  y A )(xC  x" ) " (8  (1))(0  4) " 9 w (4) " 36 et

(y C  y " )(x"  x A ) " (2  8)(4  (2)) " (6) w 6 " 36 , donc l’algorithme
AFFICHERA i ,ES POINTS ! " ET # SONT ALIGN£S w

b. 3UR 4)  3UR #ASIO 'RAPH 

TP 6 Systèmes d’équations et calculatrice graphique


Exercice 1 Exercice 2

108 s 6. Équations de droites et systèmes


TP 7 Résoudre un système
¯3x  2y " 4

1 a. Pour le système °
±6x  4y " 5
, le premier test « if(b1*a2-b2*a1==0) » est positif, car ici

b1 × a2 – b2 × a1 = 2 × 6 – 4 × 3 = 12 – 12 = 0. Donc le programme affiche « il n’existe pas une solution


unique ».
¯2x  5y " 12
b. Pour le système ° , le premier test « if(b1*a2-b2*a==0) est négatif, car ici
±3x  y " 1
b1 × a2 – b2 × a1   ¾  n n  ¾      
Donc le programme calcule :
c a  c 2 a1 12 w 3  1 w 2 34 c b1 y 12 − 5 × 2 2
" 1 2 " " "2, x= 1 = = =1 ,
b1 a2  b2 a1 5 w 3  (1) w 2 17 a1 2 2

et affiche « l’unique soluTION EST LE COUPLE     w


¯4y " 7

2 Pour le système °
±5x  2y " 9
, le premier test if(b1*a2-b2*a1==0) est négatif car ici

b1 × a2 – b2 × a1 = 4 × 5 – (– 2) × 0 = 20.
Donc le programme calcule :
c a  c 2 a1 7w59w0 35
y" 1 2 " " ,
b1 a2  b2 a1 4 w 5  (2) w 0 20
c1  b1 y
mais ne peut pas calculer x "
a1

car a1 = 0.
La situation a1 = 0 n’a pas été envisagée.


3 Il faut donc tester si a1 = 0 et proposer un
calcul permettant alors de donner la solution.
Un exemple ci-contre.

TP 8 Système d’équations et tableur


Exercice 1
a. x2 – y2 = 6 169 et x + y = 199
b. $ANS "  i !w
$ANS #  i"> !>w
c. /N TROUVE x = 84 et y = 115.
Le côté du premier champ est égal 84 m et celui du deuxième est égal à 115 m.

Exercice 2
 x + 10 y = 131

 2 x + 8 y = 118
/N TROUVE  x = 12 et y = 11.
,A LONGUEUR DE LA LOCOMOTIVE EST £GALE Í  M  CELLE DUN WAGON EST £GALE Í  M

6. ›QUATIONS DE DROITES ET SYSTÞMES s 109


Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application 7 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

8
1 b., c. et f.
y
2 d3
5
Droite d1 d2 d3 d4 d5 d6
4 d2
Coefficient
2 5 –2 7 0 1
directeur
3
Ordonnée
1 –3 –7 0 –5 0
à l’origine
2
3
1
Droite d1 d2 d3 d4 d5 d6
x
Coefficient
5 3 –0,5 7 2 2,5 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
directeur
Ordonnée –1
–3 –2 0,5 35 2 0,5 d1
à l’origine
–2
4 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
9
5 y
Coefficient Ordonnée d3
Droite Équation d2
directeur à l’origine
1 1
d1  4 y=  x 
5 5 d4
j
1 8 1 8
d2 y= x d1 O x
3 3 3 3 i

d3 0 –3 y = –3

d4 4 12 y = 4x 

d5 3 0 y = 3x
1
d6 3 –9 y = 3x – 9 10 d1 : y x+2 d2 : y " 3x  5
4
1
6 y d3 : y x+6
2

d2 y

d3

j x d2
O i
d3 d1
j
d1
O i x

110 s 6. Équations de droites et systèmes


11 d1 n’est pas une droite. 1 31
23 a. y "x
6 12 12 12
d2 : y " x 
5 5 2 3
b. y x−
10 3 2
d3 : y x
3 1 1
c. y " x 
d4 n’est pas une droite. 4 2
12 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
24 d1 : hw et bb
13 9 w 12 – 11 = 97, donc A appartient à la droite d.
d2 : cu
9 w n  n   n  DONC " NAPPARTIENT PAS Í LA
droite d. d3 : cc
14 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. d4 : bv et ca
15 A et D appartiennent à la droite d, car ces
25
points ont pour ordonnée – 3.
! ET " APPARTIENNENT Í LA DROITE d’, car ces points ont Droite Vecteur directeur
pour abscisse 3.
d5 ca  
16 a. A ( 0 10
7

7 ) d3 bbn   n 

( 54  32 )
d4 ccn   n 
b. "
d1 cun   
1
17 a. 4 = – 3a  DONc a =
3 d6 bv(a  
1
b. k   ka  DONC a = d2 hw n   
2

18 a. y " 3x  1 /Â a est un réel quelconque non nul.

b. y " 2x  3 26 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

c. y " x  11 27 a. d1 et d2 sont sécantes.


d. y = 1 b. d1 et d2 sont parallèles.
c. d1 et d2 sont parallèles.
3 5 d. d1 et d2 sont parallèles.
19 a. y x+
2 2
28 a. Faux. b. Faux.
1
b. y " x  2 c. Faux. d. Vrai.
2
4 25 29 a. y = – 2x  b. y = – 1 c. x = 3
c. y " x 
3 3
30
d. x = 3 d1 d2 d3 d4 d5 d6 d7 d8

20 ,A DROITE !" A POUR £QUATION  y = – 1. d1 ×


La droite (AC) a pour équation : x = 6. d2 ×
La droite "# A POUR £QUATION  y = – x.
3 d3 ×

21 5NE £QUATION DE LA DROITE !" EST  x = 2 d4 ×


5NE £QUATION DE LA DROITE "# EST  y = – 6
d5 ×
7
22 a. y x + 12 d6 ×
2
b. y = 3x – 10 d7 ×
1 13
c. y x+ d8 ×
5 5

6. ›QUATIONS DE DROITES ET SYSTÞMES s 111


31 ,E COUPLE    EST SOLUTION DU SYSTÞME
Exercices pour se tester
32 ,E COUPLE n    NEST PAS SOLUTION DU SYSTÞME
50 à 58 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
33 ,E COUPLE   n  NEST PAS SOLUTION DU SYSTÞME de l’élève.

34 ,E COUPLE n  n EST SOLUTION DU SYSTÞME 3 

35 Le couple
⎛2
;−
7⎞
est solution du système (S). Exercice résolu
⎝3 3⎠
36 (S1) : c. (S2) : d. 59 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
(S3) : b. (S4) : a.

37 Différentes solutions sont possibles.


Exercices d’approfondissement
38 a.   n 
b. Une infinité de solutions. 60 a. Vrai
c. Pas de solution. b. Faux
c. Vrai
⎛1 5⎞
d. ;− d. Faux
⎝8 8⎠
e. Vrai
⎛ 11 5⎞
39 a.   n  b. ;
⎝ 4 2⎠ 61 a. d6
c. n    d. Pas de solution. b. d4
c. d2
⎛1 9⎞
40 a.   n  b.
⎝ 13
;− d. d1
13⎠
e. d3
⎛ 19⎞
d. ⎛ −
−2 ; − 17 1⎞
c. ; f. d5
⎝ 6⎠ ⎝ 20 6⎠
41 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 62 y

42 a. /UI b. Non c. /UI

j
43 a. n   
O i x
11
b.  ;   d3
2 2 d1 d2
44 a.   n  b.   

45 a. n    b.   

46 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 63 n  ¾    n  DONC % APPARTIENT Í d.
$E MãME n  ¾    n  DONC & APPARTIENT Í d.
 x+y=4 d et d’ sont donc confondues.
47 a. 
 6 x  2 y = 2
1
b. y = – 3x  ET y = – 3x  64 a. 4 = – 3a  DONc a =
3
c. Les deux droites sont parallèles.
1
b. k   ka  DONC a =
 3 x + 6 y = 6 2
48 a. 
 4 x  8 y = 8 65 a. La droite (MN) a pour équation :
1 1 y = – 2x 
b. y = x  ET y = x 
2 2 b. n  ¾    n  DONC 0 APPARTIENT Í -.
c. Il existe une infinité de solutions au système. les points M, N et P sont donc alignés.
d. 4OUT COUPLE x  y) tel que x = 2y – 2 est solution du
1
système. 66 La droite (AL) a pour équation : y " x  3 .
7
6 x  y = 2 3 x  4 y = 1
49 a.  et  1
×9–3≠ –
13
donc I n’appartient pas à (AL),
 3 x + 3 y = 1 6 x  7 y = 2 7 8
b. Les quatre droites sont concourantes. les points A, L et I ne sont donc pas alignés.

112 s 6. Équations de droites et systèmes


67 a. b. c.   1 
b. u  
y  2
3 2. b. y = – 2x
 1 
2 Par exemple v   .
 2
1
c. Les vecteurs directeurs sont colinéaires, car les
droites sont parallèles.
–4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 x 3. Les droites d et d’’ ne sont pas parallèles.
–1
–2 73 1. y
A
–3 A
–4 d
d’ j
–5
d O i x
–6
d’
$
1
d. y =  x  2
2

68 a. Vrai. b. Faux. c. Vrai. d. Vrai. 2. – 2 × (– 1) – 1 = 1 ≠ 2 donc A n’appartient pas à d.


3. a. Voir figure.
1 5
69 a. 5NE £QUATION DE !" EST y = x+ b. d’ a pour équation : y = – 2x.
2 2
LI ∆ est parallèle aux droites d et d’ car
4. a. La droite
1 1 le vecteur u est colinéaire aux vecteurs directeurs
Une équation de (CD) est y = x+
2 2 de d et d’.
b. Les deux droites sont parallèles. b. ) a pour équation : y = – 2x 
1 3
70 1. a. y x+ 74 a.   
2 2
1 7 ⎛1 1 ⎞
b. y x+ b. ;
2 2 ⎝ 6 10⎠
2. ›QUATION DE !"  y " x  2 . ¯2X  Y " 17
›QUATION DE LA PARALLÞLE Í !" PASSANT PAR # 
75 Le système ° a pour solution le
±3X  2Y " 6
y "x3.
COUPLE    
71 a. y = – 5x 
²̄¯x " 4
2
b. y = – 5x – 36 a. Le système est équivalent à ° qui a pour
2
±²y " 9
72 1. a.
SOLUTIONS    n   n  n    ET   n  
y
d d’’ ¯²̄ x " 4
6 b. Le système est équivalent à ° qui a pour
²± y " 9
d’
5 SOLUTION    
4 76 x = – 1, y = – 3 et z = 2

3 77 x = 1, y = – 2 et z = 3

2 78 1. d1 : y " 3x  10

1 1 10
d2 : y " x 
3 3
1
–3 –2 –1 0 1 2 3 4x d3 : y x
2
1 2. ,ES POINTS DINTERSECTION SONT      n  ET
n    

6. ›QUATIONS DE DROITES ET SYSTÞMES s 113


79 5NE £QUATION DE !" EST y = 2x  81
5 y
Une équation de (CD) est y = x – 3.
2
5
,ES COORDONN£ES DU POINT DINTERSECTION DE !" ET
#$ SONT     4

1
Problèmes
80 Traduction de l’énoncé –2 –1 0 1 2 3 4 5 6 x
Point à la ligne
–1
Sur le graphique ci-dessous, chaque point repré- –2
sente un pays participant à Mathématiques sans
frontières. –3
Pour placer ces points, on a porté en abscisses –4
les superficies des pays, et leurs populations en
ordonnées.
Population
82
D
(nombre d’habitants)
Équation de Restriction
Segment
I F la droite associée pour x

PL SP
;!"= y=5 x ∈ ;  =

B ;"#= y = 5x x ∈ ;   =
CH
Superficie (km 2) ;#$= y = –x  x ∈ ;   =
O

À l’aide de ce graphique, classer ces pays dans ;$%= y=x–5 x ∈ ;   =


l’ordre croissant de leur densité de population
(nombre d’habitants au km2). ;%&= y = – 5x  x ∈ ;   =
Expliquer la méthode utilisée.
;&'= y=5 x ∈ ;  =
En reliant l’origine du repère au point représen-
tant les différents pays, on compare les pentes des ;'(= y=x x ∈ ;  =
droites ainsi tracées. Plus le coefficient directeur de
la droite est grand, plus la densité de population du ;(!= y = –x  x ∈ ;  =
pays est élevée.
83 1. La médiatrice a pour équation x = 1.
Population
(nombre d’habitants)
D ⎛ 1 3⎞
2. a. I ; b. MA2 = 37 = MC2
⎝ 2 2⎠
I F
c. L’équation de la médiatRICE DE ;!#= LA DROITE
PL SP 5 13
(MI) est : y "  x  .
7 7
B ⎛ 8⎞
3. a. P 1 ;
⎝ 7⎠
CH
Superficie (km 2)
O b. LE CERCLE CIRCONSCRIT AU TRIANGLE !"# EST LE CERCLE
de centre P et de rayon
/N OBTIENT 
2
Espagne – France – Pologne – Suisse – Italie – ⎛ 27⎞ 925 5
PC = 4+ = = 37 .
!LLEMAGNE n "ELGIQUE ⎝ 7⎠ 49 7

114 s 6. Équations de droites et systèmes


84 1. a. Dans ce cas, les équations s’écrivent :
y = 2x – 3 et y = –x. Les deux droites ne sont pas
b. M a pour coordonnées ( 32  32 ).
parallèles.
b.
3. N ( 2621  1013 ) ET 0    
y 4. /N D£MONTRE PAR EXEMPLE QUE LES VECTEURS wMN
et wMP sont colinéaires.
3 89 En prenant x le nombre de places assises et y le
d
nombre de places debout, il faut résoudre le
2  43 x + 26 y = 199 967
système : 
d’  x + y = 5 347
/N TROUVE x = 3 585 et y = 1 762.
1
90 x est le prix d’une daurade et y le prix d’une sole.
x = 2y et 4y x = 28
Le prix d’une sole est 3,50 €.
–1 0 1 2 3 x
91 Soit x le prix d’une rose et y le prix d’un
hortensia.
¯x  y  3 " 13 ¯x " 7
° , soit °
b3 ±0,7x  1,4y  3 w 1,8 " 14,5 ±y " 3
2. a. a et b doivent vérifier = 2a .
b 1 92 ,A 3)' A MARQU£  PANIERS Í  POINTS ET 
b. Plusieurs solutions sont possibles. paniers à 3 points.

85 1. L’équation de la droite est x = 3. 93 Soit x la somme prêtée à Riri et y la somme


2. Il s’agit de la droite d’équation y = – 1 qui est prêtée à Fifi.
parallèle à l’axe des abscisses. ¯x  y " 530 ¯x " 350
° , soit °
3. La droite a aussi pour équation y = –x – 2, elle est ±0,08x  0,15y " 55 ±y " 180
donc de coefficient directeur – 1.
94 Soit x le nombre de dizaines de papouttes au
86 a. (–x y)(3x – y) chocolat.
b. L’équation est équivalente à (–x y)(3x – y) = 0 Soit y le nombre de vingtaines de pitounes au
soit –x y = 0 ou 3x – y = 0. chocolat.
c. ¯250x  400y " 5 600
y °
±45x  20y " 9 w 60
3 ¯x " 8
°
±y " 9
2 Stella pourra fabriquer 80 papouttes au chocolat et
180 pitounes au chocolat.
1 A" 3,5 5
95 " soit A" " "C .
A"  "C 8,4 7
0AR AILLEURS !" "#  
–1 0 1 2 3 x /N TROUVE !"   ET "#  
–1 96 ¯2d  2R " 10,1
°
±2d  4R " 16,4
¯d " 1,9
°
±R " 3,15
87 Le rectangle a pour dimensions 5 cm et 7,5 cm.

88 1. !   "   #    !   "   97 ¯²̄13x  11y  15 w 5 " 13,6 w x  y  5


°
ET #    ±²15x  17y  14 w 5 " 14,9 w x  y  5
a. !" A POUR £QUATION  y = – 2x 
¯x " 3
!" A POUR £QUATION  y = – 0,5x  °
±y " 2

6. ›QUATIONS DE DROITES ET SYSTÞMES s 115


98 102
La fonction mystere permet d’afficher les coordon- Les solutions correspondent aux coordonnées
nées de points de la droite pour des valeurs entières entières des points compris entre les axes du repère
successives de x. et la droite d’équation 6,5x y = 49, et dont la
somme est maximale.
99 L’aire du premier carré est 64 cm2. Il faut ainsi chercher parmi les points aux abords de
/N LE D£COUPE EN  PARTS £GALES la droite tout en restant en dessous de celle-ci.
L’aire du carré central de la deuxième figure est
donc 16 cm2, donc son côté est 4 cm. Modèle longboard
/N A ALORS LE SYSTÞME 
¯x  y " 8
° . 49 6,5
±x  y " 4 y= – x
8 8
La solution est x = 6 et y = 2. Elle donne le bon
découpage.
B
x y 1
A
y y C
O 1
Modèle shortboard
x x–y
Les solutions sont résumées dans le tableau suivant.
x
Modèle shortboard 7 6 5
Modèle longboard 0 1 2

100 ¯ 2  r 2 " 100 103


°
±R " r  5 Pour une résolution analytique, il est conseillé de
¯R " 12,5 résoudre ce problème à l’aide du logiciel.
° Le problème revient à déterminer le nombre
±r " 7,5
maximum de points à coordonnées entières par
lesquels passe la droite d’équation y = –x a.
101 La solution optimum est pour a = 10.
a.

b. Le centre du cercle est à l’intersection de la droite


perpendiculaire à δ passant par A, d’équation
1
y x + 4 ET DE LA M£DIATRICE DU SEGMENT ;!"=
2
19
d’équation x = . Le centre du cercle a donc pour
4

coordonnées
4(
19 13

8
. )
116 s 6. Équations de droites et systèmes
7. Trigonométrie
Objectifs et pré-requis
/N D£FINIT DANS CE CHAPITRE LE COSINUS ET LE SINUS DUN NOMBRE R£EL GRºCE Í LENROULEMENT DE LA DROITE
des réels sur le cercle trigonométrique. La notion de radian n’est pas explicitement au programme
bien qu’elle soit sous-jacente du cours de ce chapitre. Les exercices proposés dans ce chapitre
sont essentiellement de nature géométrique et ils réinvestissent la trigonométrie dans le triangle
rectangle abordée en classe de 3e.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Trigonométrie
« Enroulement de la droite numérique » v /N FAIT LE LIEN AVEC LES VALEURS DES SINUS ET COSINUS
sur le cercle trigonométrique et définition des angles de 0°, 30°, 45°, 60°, 90°.
du sinus et du cosinus d’un nombre réel.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 10 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Calculs dans un triangle rectangle
a. = b 2 + c 2 = 74  8,6 cm
b 5
tan r"  = , soit r" ≈ 35,5° et donc rC ≈ 54,5°
c 7
b. rC = 65°
b = a sinr"   SIN — ≈ 4,2 cm
c = a sin rC = 10 sin 65° ≈ 9,1 cm

c. r"  —
b 6
a= =  7,8 cm
cos r C cos40°
c = b tan r C = 6 tan 40°  5 cm

d. rC = 60°
b 12
c= =  21 cm
tan r B tan 30°
b 12
a= =  24 cm
sin r B sin 30°

7. 4RIGONOM£TRIE s 117
2 C’est parti pour l’entraînement !

1 a. À chaque tour, Jessica parcourt 200π ≈ 628,3 m.
10 000
b. Le nombre de tours à effectuer est ≈ 16.
200␲
10 000  15 w 200␲
c. 10 000 – 15 × 200 × π ≈ 575,2 et 360 ≈ 329°.
200␲
)L FAUT METTRE LA MARQUE Í   M DE ! DANS LE SENS O ELLE TOURNE OU TOURNER DE — 


2 Vitesse moyenne et distance parcourue en fonction du nombre de tours effectués :
Nombre de Distance parcourue Vitesse moyenne
tours en m en km/h
1 628,3 1,3
2 1 256,6 2,5
3 1885 3,8
4 2 513,3 5
5 3 141,6 6,3
6 3 769,9 7,5
7 4 398,2 8,8
8 5 026,5 10,1
9 5 654,9 11,3
10 6 283,2 12,6
11 6 911,5 13,8
12 7 539,8 15,1
13 8 168,1 16,3
14 8 796,5 17,6
15 9 424,8 18,8
16 10 053,1 20,1
17 10 681,4 21,4
Des sportifs ayant un niveau olympique mettent environ 30 min pour parcourir 10 km…

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Sinus et cosinus
Partie A

1 Construction de la figure.

2 a et b sont respectivement le cosinus et le sinus de l’angle p
A/M .

Partie B
● et ●
1 2) a. Lorsque la mesure de l’angle p
A/M augmente, le nombre a diminue et le nombre b
augmente.
Plus précisément, lorsqu’elle augmente de 0° à 90°, le nombre a passe de 1 à 0 et le nombre b passe
de 0 à 1.
La description des variations demandées peut se présenter à l’aide d’un tableau de variation, qui
n’est bien sûr que conjecturé.

118 s 7. Trigonométrie
Angle pM 0° 90° 180° 270° 360°

1 1

a 0 0

–1

1
b 0 0 0
–1

b. Pour représenter les points dans un repère, il est utile d’ajouter dans le tableau une ligne complé-
mentaire qui donne le réel x correspondant. Comme x et la mesure de l’angle sont proportionnels,
on peut représenter a et b en fonction de la mesure de l’angle ou en fonction du réel x comme cela a
été fait sur les courbes représentées ici.

Angle
p 0° 30° 60° 90° 120° 150° 180° 210° 240° 270° 300° 330° 360°
M

␲ ␲ ␲ 2␲ 5␲ 7␲ 4␲ 3␲ 5␲ 11␲
Réel x 0 π 2π
6 3 2 3 6 6 3 2 3 6

3 1 1 3 3 1 1 3
a 1 0   –1   0 1
2 2 2 2 2 2 2 2

1 3 3 1 1 3 3 1
b 0 1 0   –1   0
2 2 2 2 2 2 2 2

c.

a en fonction de x b en fonction de x

7. 4RIGONOM£TRIE s 119
TP 2 Triangles calés

1 Voir ci-contre.

2 et ●
3 Analyse : si le triangle AA’C’ est rectangle en
A’ :
8x 8
AA’ = x = AC’ cos(60°) = , soit x " .
2 3

De même pour les deux autres triangles.


8
Synthèse : si A’ et C’ sont tels que : A A e " et
3
16
ACe " , alors en notant I LE MILIEU DU C¯T£ ;!"=
3
AA e ACe 2
on a : " " , les droites (A’C’) et (CI) sont
AI AC 3
donc parallèles, ce qui établit l’angle droit en A’.
/N PROCÞDE Í NOUVEAU DE LA MãME MANIÞRE POUR
les deux autres triangles.

TP 3 Variation d’aire

1 Construction de la figure.

2 a. /N OBSERVE QUE LAIRE DU TRIANGLE /-. EST MAXIMALE POUR - SUR LA BISSECTRICE DE p
/" .
b. ,AIRE DU TRIANGLE /-. EST NULLE SI - EST EN ! OU EN "
c. ,ES AIRES DES TRIANGLES /-1N1 ET /-2N2 sont égales lorsque M1 et M2 sont symétriques par
rapport à la bissectrice de p
A/" .


3 a. Les valeurs possibles pour x SONT LES R£ELS DE LINTERVALLE ;  =
b. ,AIRE DU TRIANGLE /-. EST  ¾ SIN x × cos x.
c. Voir ci-contre.

TP 4 Le pentagone
Partie A
360°

1 p
AOB "
5
= 72°

p
A/C = 2 × pA/" = 144°


2 ,ES COORDONN£ES DE " SOBTIENNENT DANS LE TRIANGLE RECTANGLE /(" AVEC ( SUR ;/!= ET /( PERPEN
DICULAIRE Í /! 
x" ≈ 3,1 et y" ≈ 9,5.


3 b. ,E POINT # EST SUR LE CERCLE TRIGONOM£TRIQUE SES COORDONN£ES SONT SIN —  COS — 
c. / # ET #
LLLIISONT ALIGN£S
LLLLII DANS CET ORDRE /#   /#   $ONC LES VECTEURS /# ET /# SONT COLI
néaires et /C " 10 / C e .


4 Remarque
Les programmes des calculatrices ont été effectués en mode degré, ce que le logiciel Algobox ne


permet pas. C’est la raison de cette question 4). Il faudra donc expliquer aux élèves que les réels
72k␲
, lorsque k varie de 0 à 4, s’enroulent sur le cercle unité sur les points repérés par les angles
180
72k exprimés en degrés.

120 s 7. Trigonométrie
Partie B

1 ,ALGORITHME PROPOS£ TRACE LES  SOMMETS DUN PENTAGONE R£GULIER DE CENTRE /

2 et ●
3 %XEMPLE AVEC !LGO"OX 

Remarque
Il est tout à fait possible de réaliser ces algorithmes à la calculatrice, même si l’écriture du programme
est un peu longue.
!VEC LA CALCULATRICE #ASIO 'RAPH  

TP 5 Les polygones réguliers



1 REP  ;AV   TD =  REP  ;AV   TD =  REP  ;AV   TD =  REP  ;AV   TD =

2


3

TP 6 Une spirale

1 a. b.


2

7. 4RIGONOM£TRIE s 121
Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application b. La mesure de l’angle pA/" est :
20 720
1 M1 EN "  -2 EN $  -3 en D et M4 en C. 360 " ≈ 229°.
10␲ ␲
360
c. La mesure de l’angle pA/C est : ≈ 115°.

1 B
M1 d. Il y a deux possibilités pour la mesure de l’arc
r : 10 cm ou 1,4 cm, selon la manière de tracer les
"C
C A POINTS " ET # n SI ON NE CONSIDÞRE PAS LES ARCS
M4 O 1
rentrants, c’est-à-dire avec un angle au centre
D obtus.
M3 M2
7
i 1 2 3 4 5

2 M5 EN "  -6 EN "  -7 en D et M8 en C. Longueur


π
4␲
2π 3π 5π
(en cm) 3
1 B
Mesure
M6 M5
de l’angle 45° 60° 90° 135° 225°
C A au centre
M8 O 1

D B3
B2
M7 B4 B1

1
3 O 1 A
Abscisse sur d 1 4 6 63
B5
Angle (en °) 57 229 344 3 610
Identique à (en °) 57 229 344 10
r  - (4) est sur l’arc s 
M9(1) est sur l’arc A" 10 CD 8 a. Vrai : sin(– 0) = sin(0)
s et M (63) est sur l’arc r.
M11(6) est sur l’arc DA 12 A"
( ␲2 ) ≠ sin(  ␲2 )
b. Faux : sin 

1 B M9 c. Vrai : sin(2 × 0) = sin(0)

C
O
M12
A
1
( ␲2 ) ≠ sin( ␲2 )
d. Faux : sin 2 w

e. Vrai : cos( ) = sin( )


M11 ␲ ␲
M10 4 4
D
f. Faux : cos( ) = sin( )
␲ ␲
4 4
4 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

5 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.


9 a.
C1 M5 B = M4
6 a. M6 1 M3
M7 M2

1 M8 A = M1
A
O 1 O 1

B
C2

122 s 7. Trigonométrie
b. 13
Mi 1 2 3 4 5 6 7 8 0° 45° 90° 30° 60°
Angle 2 1 3
0 30 45 90 120 135 150 180 sin 0 1
en ° 2 2 2

2 3 1
Sinus 0 1 2 1 3 2 1 0 cos 1 0
2 2 2
2 2 2 2 2

14 n = E' "
 = cos '
sin F
E'
F' EF  E' 2
2

Cosinus 1 3 2 0 1 2 3 –1
    = EF "
n = cos F EF
2 2 2 2 2 sin '
F' EF  E' 2
2

 = Arc cos 43
10 a. a. mes F
50
≈ 30,7
B = M6
1 n 43
mes ' = Arc sin ≈ 59,3
50
 22
1 b. mes F = Arc sin ≈ 21,5
O A = M 3 = M5 60
M4 n 22
mes ' = Arc cos ≈ 68,5
60
M1 = M2 55

c. mes F = Arc sin ≈ 58,3
552  34 2
b.
n = Arc sin 34
Mi 1 2 3 4 5 6 mes ' ≈ 31,7
552  34 2
Angle
– 90 270 360 330 720 – 270
en ° 15
1. D C
Sinus –1 –1 0 1 0 1 )DCBA = 50
2
_ = 56,4°
A B
Cosinus 0 0 1 3 1 0 2. a. 𝒜!"#$  !" × AD × sin α = 60 sin α
2 b. Cette aire peut être égale à 60 cm 2 si α = 90°,
!"#$ EST UN RECTANGLE
11 a. Cette aire peut être égale à 50 cm2 si α = 56,4° ou
B = M6 α = 123,6°.
𝒞 1 Cette aire ne peut pas être égale à 70 cm2.
M8 O 1 16 1. a. Une mesure de l’angle ML p N est
A = M 3 = M5 Arc sin(0,25) ≈ 14,5°.
M7 M4 p
b. Une mesure de l’angle KL M est :
M 1 = M2 !RC COS  !RC SIN        —
2. Si les points K et M sont du même côté de la
p
droite (LN), alors la mesure de l’angle KL M est
b. 60 – 14,5 = 45,5°.
Mesure 17 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
100 200 340 730
angle en °
18 ,E TRIANGLE 3"$ EST ISOCÞLE EN 3 %N CONSID£
Sinus 0,985 – 0,342 – 0,342 0,174 RANT LE PROJET£ ORTHOGONAL 3 DE 3 SUR ;"$= ON A 
Cosinus – 0,174 – 0,940 0,940 0,985 BD 10 2
BS' = = =5 2
2 2
SS' 15
12 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. tan␣ = = , soit α ≈ 64,8°.
BD' 5 2

7. 4RIGONOM£TRIE s 123
19 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 37 a. a = 90°
b. a = 45°
20 "$   TAN —  "#   TAN — 
c. S = ∅
#$  "# n "$  TAN — n TAN — ≈ 4,9 cm
d. a = 0°

38
Exercices pour se tester a. sin x = 2 n’a pas de solution car – 1 艋 sin x 艋 1.
b.
21 à 31 Ces exercices sont corrigés dans le manuel Entrée : Le nombre b.
de l’élève.
Traitement Si -1 < b < 1 alors
et sortie : afficher « L’équation a
deux solutions. »

Exercice résolu Fin du si.


Si b = 1 ou b = -1 alors
32 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. afficher « L’équation a
une solution. »
Fin du si.
Si b < -1 ou b > 1 alors
Exercices d’approfondissement afficher « L’équation
n’a pas de solution. »
33 (
!   "   
2
3
) (
, C n  
2
3
) $n    Fin du si.

(
E n   n
2
3
) et F(   n 23 ). c. Voir fichiers.
d.
34 1. a. Une mesure de p A/' est :
Entrée : Le nombre b.
360
a= ≈ 51,4°. Traitement Si -1 < b < 1 alors
7
et sortie : afficher « L’équation a
b. 'COS a  SIN a)
deux solutions. » ;
2. !   '     (n     
affecter arcsin(b) à
)n      *n    n   +n    n   ET
x ;
,   n   
afficher x ;
35 afficher 180 - x ;
Fin du si.
a. "ORIS A REMPLAC£ i AV  SQRT w PAR i AV  w
Si b = 1 ou b = -1 alors
Chloé a remplacé « tg 90 » par « tg 100 ».
afficher « L’équation a
Dorian a remplacé « tg 135 » par « tg 45 ».
une solution. » ;
b.
affecter arcsin(b) à
x ;
afficher x ;
Fin du si.
Si b < -1 ou b > 1 alors
afficher « L’équation
n’a pas de solution. »
Fin du si.

Arc cos ⎛
L /4⎞
39 = Arc cos 0,25 ≈ 75,5°
⎝ L ⎠
1
Arc cos ⎛
L /3⎞
= Arc cos ≈ 70,5°
⎝ L ⎠ 3
36 a. a = 0°
b. a = 30° Les angles indiqués sont en accord avec les
c. a = 60°
L L
d. a = 45° longueurs L, et .
3 4

124 s 7. Trigonométrie
60 © 1 3 3 3 3 9 9 3 27¹
40 a. IJ = ≈ 74,2 mm 𝒫!"#$%&'/ = x ª1        º
cos 36° « 2 4 8 16 32 64 64»
60
PQ = ≈ 62,7 mm 165  37 3
cos 13,5° = x ≈ 3,58x.
64
20
b. LI = ≈ 24,7 mm

20
sin 54
5 ° 43 a. EH = 6 000 × sin ( 1201 ) ≈ 0,87,
JK = ≈ 34 mm donc EF ≈ 2 mm.
sin 36°
c. ,+  )* ), ¾ COS — *+ ¾ COS — ≈ 116,2 mm b. EH = 4,22 × 9 461 × 109 × sin ( 1201 ) ≈ 5 806 916 931,
donc EF ≈ 11,6 milliard de km.
41 a.
44 Désignons par α l’angle j !/" DU SECTEUR
S découpé, support du cône.
15␲  ␣
La circonférence de la base du cône est :
180
30,8 m qui est aussi égale à 2π w r OÂ r est le rayon du
disque de base du cône. Ce qui permet d’écrire la
` = 24° _ = 42°

B 35 m A H relation : r = .
24
3I / EST LE PROJET£ ORTHOGONAL DU SOMMET DU C¯NE
SH sur son disque de base, on a :
sin ␣ AS SH ␣2
b. Dans AHS : " " h 2 + 2 = 152 , soit α ≈ 268,3°
cos ␣ AH AH
24
AS
L’angle j!/" DEMAND£ EST DONC ENVIRON £GAL Í  —
SH
sin ␤ BS SH
c. $ANS "(3  " "
cos ␤ BH BH
BS

d. D’après b. et c. on a : Problèmes
cos ␣ cos ␤
AH " SH et BH " SH .
sin ␣ sin ␤ 45 L’aire 𝒜1 du grand secteur de rayon R vaut :
⎛ cos ␤ cos ␣⎞ 74 74R
/N EN D£DUIT  !"  "( n !(  SH ⎜ − . 𝒜1 = ␲R 2 " .
⎝ sin ␤ sin ␣ ⎠⎟ 2␲R 2
AB De même, l’aire 𝒜2 du petit secteur de rayon r vaut :
Donc SH = ≈ 30,82 m soit 31 mètres
cos ␤ cos ␣ 51r
− 𝒜2 = .
sin ␤ sin ␣ 2
Par proportionnalité de la longueur d’un arc et de
au demi-mètre près.
l’angle au centre, si a est l’angle au centre, on a :
1 a 51 74
42 a. AB " x i 30° " x " " .
2 360 2␲r 2␲R
3 51 w 360 74 w 360
et OB " x 30° " x . /N EN D£DUIT  r " et R " .
2 2␲a 2␲a

b. De la même manière, on trouve /N CALCULE a en remarquant que R – r = 40 m :


3 3 3 3 3 74 × 360 51 × 360
C" " x  /C " x  DC " x  /D " x  R r = 40 B − = 40
4 4 8 8 2␲aa 2 a
3 3 9 9 9 3 74 × 360 − 51 × 360
ED " x  /E " x  EF " x  /F " x  R r = 40 B a =
16 16 32 32 2␲ × 4 0
9 3 27 207
'F " x et /' " x. R r = 40 B a = .
64 64 2␲

7. 4RIGONOM£TRIE s 125
,AIRE DU TERRAIN !"#$ VAUT  48 /N CONSTRUIT LA TANGENTE !( AU PETIT CERCLE
74 R 51r 74 2 × 360 − 512 × 360
𝒜1 – 𝒜2 = − =
2 2 207 H
2 2␲
2␲

= 2 500 m2. A B
O
Les deux parties coloriées ont exactement la même
aire.

46 s #ALCUL DE LANGLE p
/H :
p 45
Soit R le côté du triangle isocèle. cos A/H " donc p
A/H ≈ 53,13°
75
12,5 1
R= ≈ 13,3 cm. À l’échelle : R = 6,7 cm. p = 180 – 53,13 ≈ 126,87°.
"/H
sin70° 2
s ,ONGUEUR !( r :
H"
L’angle au centre est :
12,5 126,87
360 w " 360 w sin70s≈ 338°. 752  452  2 w 45 w ␲ w ≈   
R 360
1 ≈ 160 cm.
Il faut donc enlever environ de 360°.
16

49 1. a. B
x
338°
6,7 cm A H
h

b. Le théorème de Pythagore appliqué dans les


47 a. Posons H  !#  h  !"  R = CJ = 15 et r  "+ TRIANGLES !(" ET !(# DONNE LE SYSTÞME 
s #ALCUL DE H et h :
⎪⎧x + h = 4
2 2 2
15 ⎨ 2
Dans AJC : AJ = , x )2 = 52
sin 14° ⎩⎪h (
2 ⎧x 2 + h 2 = 4 2
⎛ 15 ⎞ 2 B⎨
donc H = ⎜⎝ sin 14°⎟⎠ − 15 ≈ 60,16 cm. ⎩36 – 12x = 25 – 16
h = H – 50 ≈ 10,16 cm. ⎧x 2 + h 2 = 4 2
B⎨
s #ALCUL DE "+  ⎩x = 2,25
$ANS LES TRIANGLES !"+ ET !#*  ⎧x = 2,25

"K h h B⎨ 7
" , donc "K " 15 . ⎪h = 5 ≈ 3,3
15 H H ⎩ 4
s 6OLUME DU TRONC DE C¯NE  2.
1 ⎛ 2 _ = 55,77° B
⎛ h⎞ ⎞
2
␲ ⎜15 H − ⎜15 ⎟ h⎟ ≈ 14 107 cm3.
3 ⎝ ⎝ H⎠ ⎠ u x
s 6OLUME DE TOUT LE C¯NE DE SIGNALISATION  A H
402 ×  π172 ×    ≈ 20 031 cm3.
h

b. L’aire latérale du tronc de cône vaut : w


v
⎛ H 2 h2 ⎞
␲ × 15 × ⎜ 2 ⎟
H 2 + 152 ≈ 2 838 cm2.
⎝ H ⎠ ` = 41,41° C

126 s 7. Trigonométrie
h 52 Traduction de l’énoncé
sin α = ≈   DOÂ α ≈ 55,77°.
A" Mathématiques avec Frontières
h Les frontières de nos États sont généralement
sin β = ≈ 0,66 DOÂ β ≈ 41,41°. définies par des lignes naturelles ou fixées par
AC
des considérations d’ordre historique.
L’État du Wyoming, aux USA, a des frontières
50
plus simples, du moins en apparence !
O Il est limité :
A – à l’ouest par le méridien de longitude 111°
OUEST 
n Í LEST PAR LE M£RIDIEN DE LONGITUDE — OUEST 
_ _ n AU NORD PAR LE PARALLÞLE DE LATITUDE — NORD 
– au sud par le parallèle de latitude 41° nord.
F

HO
$ANS LE TRIANGLE RECTANGLE !/(  TAN α = , ce qui
HF
permet de calculer HF, puis e = a − r − HF.

51 a. Notons A la distance du centre de la grande


bille au fond de l’entaille.
Notons a la distance du centre de la petite bille au
fond de l’entaille.
%N ADMETTANT QUE LA 4ERRE EST UNE BOULE DONT
l’équateur mesure 40 000 km, calculer le péri-
O mètre de l’État du Wyoming.
T R
Les frontières est et ouest du Wyoming sont des
A portions de méridiens.
__ Leurs longueurs sont (en km) :

40 000 × ( 45 − 41) 4 000


F =
360 9
soit environ 444 km pour chacune.
Les frontières nord et sud sont des portions de
$ANS LE TRIANGLE RECTANGLE /4& ON A  cercles parallèles à l’équateur.
R R La longueur totale du 45 e parallèle est environ
sin␣ " DOÂ A " .
A sin␣ 40 000 × cos(45°) km et celle du 41e parallèle est
Avec la petite bille on a, de la même manière : environ 40 000 × cos(41°) km.
r La longueur en km de la frontière nord est alors :
a" .
sin␣
40 000 × cos( 41°) × (111 − 104) 7 000 cos( 41°)
H – h = (A R) – (a r) =
360 9
R r ⎛ 1 ⎞
= +R− − r (R r ) +1 . soit environ 550 km.
sin␣ sin␣ ⎝ sin␣ ⎠
La longueur en km de la frontière sud est alors :
1 R r
Donc sin␣ " " . 40 000 w cos(41°) w (111  104) 7 000 cos(41°)
H h H r h R "
1 360 9
R r
soit environ 587 km.
⎛ 2 1,5 ⎞
b. 2␣ 2 Arc sin ⎜ ≈ 40,3°.
1,5 7,66 2⎟⎠
⎝ 9,61 +1,5 $OÂ LE P£RIMÞTRE APPROXIMATIF DU 7YOMING 
P ≈  ¾    ≈ 2 025 km.

7. 4RIGONOM£TRIE s 127
53 a.  est obtenue lorsque
La valeur maximale de ␣ = STV
36 EST PERPENDICULAIRE Í 64 CEST Í DIRE LORSQUE
46 EST TANGENTE Í LA TRAJECTOIRE DE 6
b. ,E RAYON DE LORBITE DE 6£NUS EST 36  34 SINα.
Comme α ≈ 46°, on obtient SV ≈ 107 900 970 km.
." 3UR LA FIGURE SI 34 EST REPR£SENT£ PAR  CM
SV est représenté par environ 3,597 cm.
S

α T

128 s 7. Trigonométrie
8. Géométrie dans l’espace
Objectifs et pré-requis
Ce chapitre de géométrie dans l’espace a pour objectif d’introduire les droites et plans et leurs
positions relatives. En entretenant les acquis du collège, il s’agit alors de développer la vision dans
l’espace des élèves en proposant des activités sur ces solides rencontrés et étudiés au collège.
Les différents exercices de ce chapitre proposent de construire et de représenter des solides et
d’effectuer des calculs de longueurs, d’aires et de volumes.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Géométrie dans l’espace
Les solides usuels étudiés au collège : v Manipuler, construire, représenter en perspective
parallélépipède rectangle, pyramides, des solides.
cône et cylindre de révolution, sphère.
Droites et plans, positions relatives.
Droites et plans parallèles.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 8 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Calculer dans l’espace

1 a. $ANS LE TRIANGLE RECTANGLE !"$ $"À  !"À !$À DONC $"  32 + 22 = 13 .
$ANS LE TRIANGLE RECTANGLE !#$ $#À  !#À !$À DONC $#  32 + 22 = 13 .
$ANS LE TRIANGLE RECTANGLE !"# "#À  !"À !#À DONC "#  32 + 32 = 18 .
b. ,E TRIANGLE "#$ EST ISOCÞLE EN $ CAR $"  $# MAIS $#À $"À ≠ "#À DONC LE TRIANGLE "#$ NEST
pas rectangle en D.
DI DJ 1

2 $APRÞS LA R£CIPROQUE DU TH£ORÞME DE 4HALÞS DANS LE TRIANGLE $!" COMME = =
DA DB 3
ALORS )* !" 

1

3 $APRÞS LE TH£ORÞME DE 4HALÞS DANS LE TRIANGLE $"# COMME  *+ "# ET DJ = DB , alors
3
1 13
DK = DC DOÂ DK = .
3 3
1 1 AB  AC 1 33

4 a. V A BCD =
3
B h = 
3 2
 AD = 
3 2
2=3.
3
1
b. Le rapport de réduction est   .
 3
3
 1 1 1
VIJKD = V A BCD  = 3 =
 3 27 9

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 129


2 Solide, patron et perspective

1


2 a. parallèles
b. sécantes
c. ni parallèles ni sécantes
d. ni parallèles ni sécantes
e. parallèles
f. ni parallèles ni sécantes
g. sécantes
h. parallèles


3 a. Vrai. (HD) et (AE)
b. 6RAI ($ ET '#
c. &AUX $# ET &"
d. &AUX %' ET !#

3 Que voit-on réellement sur une figure en perspective ?


Partie A

1 Avec des points de l’espace
Vrai Faux Peut-être
a. ,E POINT + APPARTIENT Í LARãTE ;3#= ×
b. ,E POINT ) APPARTIENT AU PLAN 3!"  ×
c. Les points L, I et J sont alignés. ×
d. ,E POINT , APPARTIENT AU PLAN 3!"  ×
e. ,E POINT , APPARTIENT Í LA FACE !"#$ ×
f. ,E POINT , APPARTIENT AU PLAN !"#  ×
g. ,ES POINTS ) * + ET " SONT COPLANAIRES ×


2 Avec des droites de l’espace
Vrai Faux Peut-être
a. ,ES DROITES )* ET !" SONT PARALLÞLES ×
b. ,ES DROITES *+ ET "# SONT PARALLÞLES ×
c. Les droites (AJ) et (CJ) sont sécantes. ×
d. ,ES DROITES ," ET !# SONT COPLANAIRES ×
e. Les droites (IJ) et (DC) sont coplanaires. ×

130 s 8. Géométrie dans l’espace


Partie B

1 Avec des points de l’espace
Vrai Faux Peut-être
a. ,E POINT + APPARTIENT Í LARãTE ;3#= × ×
b. ,E POINT ) APPARTIENT AU PLAN 3!"  ×
c. Les points L, I et J sont alignés. × ×
d. ,E POINT , APPARTIENT AU PLAN 3!"  × ×
e. ,E POINT , APPARTIENT Í LA FACE !"#$ × ×
f. ,E POINT , APPARTIENT AU PLAN !"#  × ×
g. ,ES POINTS ) * + ET " SONT COPLANAIRES × ×


2 Avec des droites de l’espace
Vrai Faux Peut-être
a. ,ES DROITES )* ET !" SONT PARALLÞLES ×
b. ,ES DROITES *+ ET "# SONT PARALLÞLES × ×
c. Les droites (AJ) et (CJ) sont sécantes. ×
d. ,ES DROITES ," ET !# SONT COPLANAIRES × ×
e. Les droites (IJ) et (DC) sont coplanaires. ×

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Calcul du nombre d’arêtes d’un solide convexe
#E 40 A POUR BUT DE SE FAMILIARISER AVEC LES £L£MENTS PRINCIPAUX DUN ALGORITHME QUE SONT i ENTR£E w
« traitement » et « sortie ».
La simplicité de cet algorithme peut être l’occasion d’une première programmation (sur calculatrice
par exemple).


1 a. et b. Les données à fournir en entrée sont le nombre de faces F et le nombre de sommets S, l’algo-
rithme devant ensuite calculer A.


2 L’algorithme :

Entrer les valeurs de F et S


Affecter à A la valeur S + F – 2
Afficher A


3 a. F = 8, S = 6 et A = 12
b. F = 6, S = 8 et A = 12
c. F = 10, S = 8 et A = 16


4 F = 32, S = 60 et A = 90
Avec une minute par couture, un ouvrier a besoin de 90 min pour coudre ce ballon à la main, soit la
durée d’un match de football.

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 131


TP 2 Construire des solides de dimensions variables
#E PREMIER 40 PERMET DE MANIPULER DES SOLIDES SANS DIFFICULT£ DE CONSTRUCTION )L SAGIT ESSENTIELLE
ment de manipuler et d’observer.
Si la pyramide initiale est fournie par la banque de solides du logiciel (voir ci-dessous) ou avec le
MANUEL UNE S£ANCE SUFFIT LARGEMENT POUR TRAITER CE 40
Les différences importantes rencontrées selon le logiciel utilisé incitent à la neutralité de l’énoncé
DE CE 40 0OUR OPTIMISER LA S£ANCE IL EST SOUHAITABLE DINDIQUER AUX £LÞVES COMMENT CONSTRUIRE LA
PYRAMIDE 3!"#$


1 et ●
2) a. et b.
s !VEC 'EOSPACE CHARGER LA FIGURE 0YR2EGGW SITU£E DANS LE R£PERTOIRE %XEMPLES%SPACEBASES
Espace.
s !VEC #ABRI$ ON PEUT SOIT CHARGER LE FICHIER DU MANUEL #?404)#%INITIALECG SOIT CONSTRUIRE LA
pyramide. Dans le second cas, tracer la base carrée. Pour placer le sommet de la pyramide, tracer la
perpendiculaire à la base passant par le centre du carré et la sphère de centre un des sommets du
carré passant par un autre sommet consécutif (pour reporter la longueur d’un côté). Le sommet de
la pyramide est à l’intersection de cette droite et de la sphère, on peut alors construire la pyramide.
Penser ensuite à masquer les objets inutiles comme la sphère ou la droite.
Les valeurs numériques obtenues dépendent de la longueur
du côté de la pyramide, mais les variations des volumes
PROPOS£S AINSI QUE LA POSITION DU POINT ) SUR LE SEGMENT ;!3=
sont indépendants de cette longueur.


1 Solide 1
c. et d. L’aire de la base et la hauteur sont invariantes donc le
volume du tétraèdre reste constant.


2 Solide 2
1
c. Le volume maximal est atteint lorsque AI " AS .
3
1
d. 3I / EST LE CENTRE DU CARR£ )*+, ALORS H/ " HS ET / EST LE Centre de gravité du triangle SAC.
3

TP 3 Construire un patron, voir et calculer


1 et ●
● 2 s !VEC 'EOSPACE CHARGER LA FIGURE #UBEGW SITU£E DANS LE R£PERTOIRE %XEMPLES%SPACE
basesEspace.
s !VEC #ABRI$ UTILISER LIC¯NE CUBE /N PRENDRA TOUT DE MãME SOIN DE NOMMER CORRECTEMENT LES
sommets du cube.


3 Le polyèdre Choc possède 7 faces, 11 arêtes et 6 sommets.

4 Comme ces arêtes sont parallèles aux arêtes du cube, on montre que IM = MN = KN = 6 cm.
,ES C¯T£S DE )*+, MESURENT LA MOITI£ DE LA DIAGONALE ;!#= TH£ORÞME DES MILIEUX  /N MONTRE ALORS
1
que IJ = JK = KL = LI = 6 2 " 3 2 .
2
En admettant q que MIJ est rectangle en I, d’après le théorème de Pythagore, on a MJ2 = MI2 )*2 DOÂ


2
MJ " 6 2  3 2 " 36  18 " 54 " 3 6 .

/N OBTIENT LE MãME R£SULTAT POUR LES LONGUEURS .* ., ET ,-


5 a. 5NE ASTUCE AVEC 'EOSPACE POUR OUVRIR LE PATRON CONSISTE Í CR£ER UNE VARIABLE x dans l’intervalle
;  = ET DE CHOISIR x comme coefficient d’ouverture du patron.

132 s 8. Géométrie dans l’espace


/N PEUT AINSI OUVRIR LE PATRON AVEC LES FLÞCHES i HAUT w ET
« bas » en faisant varier x.
Vous pouvez bien sûr retrouver la figure complète
#?404)#%GW SUR LE SITE COMPAGNON VOIR CI CONTRE 
b. /N PEUT CONSTRUIRE LE PATRON Í LA RÞGLE ET AU COMPAS EN
s’appuyant sur la nature des triangles le constituant, plutôt
que d’utiliser les longueurs calculées précédemment.

TP4 Calcul des volumes des solides de révolution


Cet algorithme a pour but de se familiariser avec la structure conditionnelle « Si …alors … sinon… ».
Les compétences visées ici sont de comprendre la structure d’un algorithme existant et de détecter
un dysfonctionnement.


1 S est la nature du solide, r est le rayon, h la hauteur et V le volume.

2 a. Le solide étant inconnu, le programme suit les chemins « sinon » à chaque test conditionnel. Par
défaut, il traite le cube comme le cylindre.
b. Remplacer le dernier bloc « Sinon » par :


3 Afin de répéter l’action, l’algorithme
doit être inséré dans une boucle
i 4ANT QUE w 

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 133


TP5 Construire la section d’un cube par un plan
,E 40 SE D£COMPOSE EN DEUX PARTIES
L’objectif de la partie A est la perception de la notion de section, et de différencier celle-ci du triangle
IJK, puis de comprendre les propriétés des polygones rencontrés. La vision simultanée du triangle
et de la trace de la section (fig. 2) permet de lever cette confusion fréquente chez l’élève. De plus, le
tétraèdre DIJK permet à l’élève de « sortir » du cube, méthode qu’il faudra utiliser pour tracer des
sections.
/N SAPPUIE SUR LOUTIL SECTION DU LOGICIEL AFIN DOBSERVER LES TRACES DES SECTIONS ET LEURS PROPRI£T£S
Dans la partie B, on utilise les propriétés géométriques pour construire les sections, l’outil logiciel
ne servant plus alors qu’à contrôler la construction. Si la séance est trop courte pour finir cette
partie, elle peut être traitée sans contrôler le résultat avec l’outil informatique.
"IEN QUE LA CONSTRUCTION POSE PEU DE DIFFICULT£S FOURNIR AUX £LÞVES LA FIGURE INITIALE #?40GW OU
#?40CG PERMET DE GAGNER DU TEMPS 3INON IL EST SOUHAITABLE DINDIQUER AUX £LÞVES COMMENT
CONSTRUIRE LE CUBE !"#$%&'( 
n !VEC 'EOSPACE CHARGER LA FIGURE #UBEGW SITU£E DANS LE R£PERTOIRE %XEMPLES%SPACE
basesEspace.
n !VEC #ABRI$ UTILISER LIC¯NE CUBE /N PRENDRA TOUT DE MãME SOIN DE NOMMER CORRECTEMENT LES
sommets du cube.
Une correction peut être proposée en classe en projetant la figure complétée.

Partie A
Le travail proposé ici repose sur la propriété suivante : « un plan coupe deux plans parallèles (les
faces du cube) suivant deux droites parallèles ».
Cela permet d’observer que tout quadrilatère est au moins un trapèze, qu’un pentagone a deux
paires de droites parallèles et qu’un hexagone en a trois.

Partie B
!VEC 'EOSPACE 


1) ●
2) ●
3)

TP6 À dos de chameau


Cet algorithme a la particularité de ne pas avoir d’entrée. En effet, la donnée de N = 212 est interne
à l’algorithme. Il faut distinguer la notion d’entrée de celle d’initialisation. Les variables N et S sont
initialisées.
La première question permet à l’élève de s’approprier le problème. Lire ensuite l’algorithme n’a de
sens que lorsqu’on l’exécute. L’élève reconnaît alors le procédé qu’il a utilisé à la première question.
Les questions suivantes ont pour but de comprendre le rôle exact de chaque variable.
La programmation semble ici incontournable, car elle est la seule qui pourra donner une réponse au
problème (en classe de Seconde).

134 s 8. Géométrie dans l’espace



1 a.
S 0 44 944 89 465 133 565 177 246 220 510
N 212 211 210 209 208 207

b. S représente le nombre total de pavés depuis la base.


c. M donne la masse totale de la pyramide, 80 % des S blocs pesant chacun 2,5 tonnes.


2 Programmation possible sur calculatrice

3UR 4)  #ASIO 'RAPH 

Le programme détermine alors une masse de 7 996 375 tonnes.

Corrigés des exercices et problèmes


3.
Exercices d’application
1 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

2 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

3 1. et 2. b.

5 2 4
a.

3 1 1
1
1
1
1
3 5

b.
4

2. a. 3 arêtes mesurent 5 carreaux.

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 135


5 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 13 a. Faux, si les points sont alignés.
b. Vrai, et le plan est unique s’ils ne sont pas alignés.
6 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
c. Faux, si elles ne sont ni parallèles ni sécantes.
7 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. d. Faux, si elles ne sont ni parallèles ni sécantes.
e. Faux, si le point appartient à la droite.
8 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
f. Vrai, et le plan est unique si le point n’appartient
9 a. !"#$ EST UN T£TRAÞDRE &#"%$ EST UNE pas à la droite.
pyramide.
b. ,AIRE DU TRIANGLE !"# VAUT  14
BC  h 54 a. &AUX CAR " ) ET ' APPARTIENNENT Í LA FACE "#'&
b= =   CMÀ !"#$%& EST UN PRISME
2 2 MAIS PAS ( DONC LES QUATRE POINTS " ) ' ET ( NE
DROIT DONC ;!$= EST UNE HAUTEUR DANS LE T£TRAÞDRE SONT PAS COPLANAIRES $OÂ LES DROITES ") ET ('
!"#$ OR !$  &#   sont non coplanaires et donc non sécantes.
1 1 b. 6RAI CAR " ) & ET ' APPARTIENNENT Í LA FACE "#'&
DOÂ 6!"#$ = b  AD =  10  6 = 20 cm3. DONC LES QUATRE POINTS " ) & ET ' SONT COPLANAIRES
3 3
,E VOLUME DE &#"%$ SOBTIENT EN RETRANCHANT CELUI ,ES DROITES ") ET (' SONT DONC COPLANAIRES OR
du tétraèdre à celui du prisme. elles ne sont pas parallèles (le voir sur la figure suffit
V&#"%$ = V!"#$%& – V!"#$ à le justifier), elles sont donc sécantes.
c. &AUX CAR " ) ET ' APPARTIENNENT Í LA FACE "#'&
= b w AD – 20 = 10 w 6 – 20 = 40 cm3.
MAIS PAS % DONC LES QUATRE POINTS " ) ' ET % NE SONT
c. )L SUFFIT DE COUPER LA PYRAMIDE &#"%$ EN DEUX
PAS COPLANAIRES $OÂ LES DROITES ") ET %' SONT
tétraèdres de même volume. En gardant la même
non coplanaires et donc non sécantes.
hauteur issue de D, il suffit de couper la base en
DEUX TRIANGLES DE MãME AIRE PAR EXEMPLE &#" ET 15 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
&"% QUI DONNENT LES T£TRAÞDRES &#"$ ET &"%$
16
10 a. ADC étant un triangle équilatéral, (AJ) en
/N PEUT APPLIQUER LE TH£ORÞME DES MILIEUX DANS LE
EST UNE HAUTEUR ET UNE M£DIANE DOÂ LE TRIANGLE !*#
TRIANGLE 3"# CAR ) EST MILIEU DE ;3"= ET * EST MILIEU
est rectangle en J et CJ = 2. D’après le théorème de
DE ;3#= /N EN D£DUIT QUE LA DROITE )* EST PARAL
Pythagore dans le triangle AJC,
LÞLE Í "#  /R !"#$ EST UN TRAPÞZE DONC !$ EST
!*À  !#À n *#À  À n À   n   
PARALLÞLE Í "# DOÂ )* EST PARALLÞLE Í !$  ,ES
donc AJ = 2 = 2 3 .
droites (IJ) et (AD) sont parallèles donc coplanaires,
b. /N PEUT MONTRER DE MãME QUE "*  2 3 DOÂ LE
LES POINTS ) * ! ET $ SONT DONC COPLANAIRES /N EN
TRIANGLE !*" EST ISOCÞLE EN *
déduit que les droites (AI) et (DJ) sont coplanaires et
c. (IJ) est donc une médiane et une hauteur dans le
donc sécantes car non parallèles.
TRIANGLE !*"
D’après le théorème de Pythagore dans le triangle 17
!*" )*À  !*À n !)À   2 3 À n À   n   
/N PEUT CONSTRUIRE LE POINT + INTERSECTION DES
donc IJ = 8 = 2 2 .
DROITES !* ET )"  ,INTERSECTION DES PLANS !*# ET
11 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. ")# EST ALORS LA DROITE #+ 

D
12 a. /UI CAR LES DROITES SONT PARALLÞLES * APPAR
tient aussi à ce plan. J
I
b. /UI CAR LES DROITES SONT S£CANTES
E appartient aussi à ce plan. K
c. Non, car les points sont alignés. C
A
d. /UI CAR LES POINTS NE SONT PAS ALIGN£S
& ET ' APPARTIENNENT AUSSI Í CE PLAN
B
e. /UI CAR ' NAPPARTIENT PAS Í (" 
A, I, J et K appartiennent aussi à ce plan.
f. Non, car H n’appartient pas au plan (AFC). 18 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
g. /UI CAR % NAPPARTIENT PAS Í &# 
19 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
D, I, J et K appartiennent aussi à ce plan.
h. .ON CAR * APPARTIENT Í ("  20 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

136 s 8. Géométrie dans l’espace


21 1. a. 3UR LA FACE !"%& CARR£E LES C¯T£S ;%&= ET c. 3UR LES FACES !%($ ET "&'# ON CONNA¦T DEUX
;!"= SONT PARALLÞLES ET DE MãME LONGUEUR 3UR LA FACE POINTS COMMUNS AUX PLANS $#- ET (!"  ,IN-
!"#$ CARR£E LES C¯T£S ;$#= ET ;!"= SONT PARALLÞLES tersection est donc la droite passant par ces deux
ET DE MãME LONGUEUR /N EN D£DUIT QUE LES DROITES points.
(EF) et (DC) sont parallèles et que EF = DC, donc le
quadrilatère EFCD est un parallélogramme. G F
b. Comme EFCD est un parallélogramme, (FC) est
PARALLÞLE Í %$ UNE DROITE DU PLAN %"$ DONC H d
&# EST PARALLÞLE AU PLAN %"$  E M
2. a. /N MONTRE DE MãME QUE LE QUADRILATÞRE &($"
est un parallélogramme et donc que la droite (FH)
EST PARALLÞLE Í LA DROITE "$ DONC AU PLAN %"$ 
b. (FH) et (FC) sont deux droites sécantes du plan
C B
&#( CHACUNE PARALLÞLE AU PLAN %"$ ON EN
D£DUIT QUE LE PLAN &#( EST PARALLÞLE AU PLAN %"$  D
A
22 L’intersection des plans (IJK) et 𝒫’ est la droite
(JK).
d EST ELLE AUSSI PARALLÞLE Í $# ET Í !" DAPRÞS LE
Comme les plans 𝒫 et 𝒫’ sont parallèles, le plan (IJK)
théorème du toit.
les coupe suivant deux droites parallèles. L’intersec-
tion des plans (IJK) et 𝒫 est donc la droite parallèle
à (JK) passant par I.
25
a. ,ES FACES !$(% ET "#'& £TANT PARALLÞLES LE PLAN
(HIJ) les coupe suivant deux droites parallèles. d est
I la droite parallèle à (HI) passant par J.
𝒫
H
G
E
F N
K
𝒫’ J
J
D
I
C
23 Comme (IJ) et d sont parallèles, les plans (IJK) A
M
et 𝒫’ se coupent suivant une droite qui leur est B
PARALLÞLE DAPRÞS LE TH£ORÞME DU TOIT /R + APPAR-
tient à cette intersection, donc les plans (IJK) et /N PEUT ALORS RELIER LES POINTS COMMUNS DE CHAQUE
𝒫’ se coupent suivant la droite parallèle à d et (IJ), face.
passant par K. b. () EST PARALLÞLE Í -.  /N MONTRE DE MãME
QUE (. EST PARALLÞLE Í )-  /N EN D£DUIT QUE LE
K d quadrilatère HIMN est un parallélogramme.

26 Aucune des quatre figures ne représente la


I J trace d’une section du cube par un plan car :
8
a. ,E SEGMENT ;-0= NEST PAS SUR UNE FACE DU CUBE
b. Les droites (NP) et (MQ) ne sont pas parallèles.
8’ c. ,ES SEGMENTS ;-1= ET ;01= SONT SUR LA MãME FACE
d. Les droites (NP) et (MR) ne sont pas parallèles.

24 a. #OMME $#  !" DAPRÞS LE TH£ORÞME


du toit, la droite d’intersection des plans (DCM) et
!"- EST UNE DROITE PARALLÞLE Í $# ET Í !"  /N Exercices pour se tester
CONSTRUIT DONC LA PARALLÞLE Í !" PASSANT PAR -
b. Il suffit de déterminer le tracé sur les faces AEHD 27 à 37 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
ET "&'# OÂ LON CONNA¦T DEUX POINTS DU PLAN $#-  de l’élève.

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 137


Exercice résolu 43 a. Les trois pyramides ont des faces deux à
deux identiques, elles sont donc identiques.
38 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. b. Le volume du cube est a3, chaque pyramide
1
ayant le même volume, celui-ci vaut a 3 .
3
Exercices d’approfondissement c.

39 La plus grande longueur disponible est


dessinée en gras :
D C

A B

Pour le cône : 152  252 " 225  625 " 850 < 30. 44 Traduction de l’énoncé
Pour le cylindre : Expression cubiste
La figure ci-dessous montre un cube d’arête a,
24 2  20 2 " 576  400 " 976 > 30.
un petit cube d’arête b et six pavés droits dont les
Pour la pyramide : (10 2  10 2 )  252 " 825 < 30. arêtes mesurent a ou b.
Le cylindre est la seule boîte ayant une longueur Il est possible de juxtaposer ces huit pièces de
disponible supérieure à 30 cm. sorte que, deux à deux, elles aient alors une
face commune ou juste une arête commune ou
40 1. a. V = B × h = 102 × h = 2 000 cm3,
juste un sommet commun. L’assemblage ainsi
2 000 constitué est alors un grand cube.
donc h = = 20 cm.
10 2
b. S   ¾  ¾   ¾  ¾    
= 1 000 cm2.
2. a. V = π × 72 × h = 2 000 cm3,
2 000
donc h = ~ 13 cm.
49␲
b. S = 2 × π × 7 π × 7 × 13 = 280π ≈ 880 cm2.
2

3. Le cylindre consomme le moins d’emballage.


Représenter cet assemblage en perspective cava-
40 2 lière.
41 a. AH = " 20 2 m. Écrire de deux façons différentes l’expression du
2
b. SAC est isocèle en S, donc la médiane (AH) est volume du grand cube en fonction de a et b pour
aussi une hauteur. obtenir une égalité remarquable.
Voici une vue en perspective de l’assemblage.
Dans le triangle SHA rectangle en H,

SH2 = SA2 – AH2 = 402 – ( )2 = 1 600 – 800 = 800,


DOÂ 3(  800 " 20 2 m.
1 1 32 000 2
c. V " w B w h " w 40 2 w 20 2 "
3 3 3
≈ 15 085 m3.

42 %N APPLIQUANT LE TH£ORÞME DE 4HALÞS DANS LES


SE EF SJ
TRIANGLES 3!" ET 3EF, on a " " DOÂ
SA A" SI /N PEUT Y VOIR SEPT DES HUIT PIÞCES QUI LE CONSTI
EF 1,2 tuent : le cube d’arête a est caché.
SJ " w SI " w 10 " 6 .
A" 2 Cet assemblage illustre l’égalité :
/N EN D£DUIT )*   n    CM (a b)3 = a3 a2b ab2 b3.

138 s 8. Géométrie dans l’espace


45 H
1 AB  AD  1  12  12 
1. V!"$% =    AE =   12 G
3  2  3  2 
= 288 cm3. E F
2. a. %"  !"  2 = 10 2 .
$E MãME $"  $%  10 2 cm.
b. %"$ EST UN TRIANGLE £QUILAT£RAL D I
3. a. 4OUTES LES LONGUEURS DES C¯T£S DE $"'% SONT
des diagonales d’une face du carré. Elles sont donc C
TOUTES £GALES ET LE T£TRAÞDRE $"'% EST DONC R£GULIER A
b. /N PEUT D£NOMBRER QUATRE T£TRAÞDRES IDENTIQUES
B
Í !"$% TEL 6$"'%.
M N
V$"'% = Vcube – 4 w V!"$% = 123 – 4 w 288 = 576 cm3.

46 1. /N PEUT V£RIFIER Í LAIDE DU TH£ORÞME DES d. - APPARTIENT AUX DROITES ') ET "# DONC AUX
milieux que le côté de la face supérieure de la pyra-
PLANS )'% ET !"# 
7 . APPARTIENT AUX DROITES %) ET !" DONC AUX PLANS
mide mesure = 3,5 cm et que les faces supérieures
2 )'% ET !"# 
et inférieures du solide sont des carrés. Les points M et N appartiennent donc à la droite
La diagonale de la base carrée de la pyramide de DINTERSECTION DES PLANS )'% ET !"#  #ETTE INTER
côté 7cm mesure donc 7 2 cm. section est donc la droite (MN).
Le côté de la base du solide en vaut la moitié, en
appliquant à nouveau le théorème des milieux. 48 a. La droite (IJ) coupe le plan P’ sur la droite d,
Donc le côté de la base du solide mesure 3,5 2 cm. droite d’intersection des plans P et P’.
2. Les arêtes latérales mesurent toutes 3,5 cm par le b. Les points M et K appartiennent à l’intersection
théorème des milieux. des plans (IJK) et P’, la droite (MK) est donc la droite
3. Les faces latérales sont des triangles équilatéraux d’intersection de ces plans.
de côté 3,5 cm.
4.

J M I

47 a. L’intersection de deux plans sécants est une 49 a. $ANS UN OCTAÞDRE R£GULIER LA BASE !"#$ EST
droite. UN CARR£ DONC LES DROITES "# ET !$ SONT PARAL
b. ,ES DROITES ') ET "# SONT COPLANAIRES ET NON LÞLES ,A DROITE "# EST DONC PARALLÞLE AU PLAN !$3
parallèles, elles sont donc sécantes en un point M. qui contient la droite (AD).
c. ,ES DROITES %) ET !" SONT COPLANAIRES ET NON b. ,ES DROITES "$ ET 34 SONT S£CANTES DONC LES
parallèles, elles sont donc sécantes en un point N. POINTS 3 " $ ET 4 SONT COPLANAIRES ,ES C¯T£S DU
QUADRILATÞRE 3"4$ SONT LES ARãTES DE LOCTAÞDRE
R£GULIER ELLES SONT DE MãME LONGUEUR DONC 3"4$
est un losange.

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 139


c. #OMME 3"4$ EST UN LOSANGE SES C¯T£S OPPOS£S b. (IJ) est parallèle à (MN) en appliquant le théo-
SONT PARALLÞLES DONC "4 EST PARALLÞLE Í LA DROITE RÞME DE 4HALÞS DANS LE TRIANGLE $-. -. EST
(SD) et donc au plan (ADS) qui la contient. parallèle à (AC) en appliquant le théorème des
d. "# ET "4 SONT DEUX DROITES S£CANTES DU PLAN MILIEUX DANS LE TRIANGLE !"# DONC )* !# 
"4# CHACUNE PARALLÞLE AU PLAN !$3 DONC LE PLAN c. Comme (MN)//(IJ) avec (MN) ∈ !"# ET
"#4 EST PARALLÞLE AU PLAN !$3  (IJ) ∈ ")* EN APPLIQUANT LE TH£ORÞME DU TOIT
LINTERSECTION DES PLANS !"# ET ")* EST LA DROITE
50 a. D’après le théorème du toit, il s’agit de la
PARALLÞLE Í -. PASSANT PAR "
DROITE PARALLÞLE Í "# PASSANT PAR )
b. 52 a. ,ES FACES !$(% ET "#'& £TANT PARALLÞLES LE
H plan (HIJ) les coupe suivant deux droites parallèles.
N ,INTERSECTION DES PLANS ()* ET "#' EST DONC LA
I
E G droite parallèle à (HI) passant par J.
b. La droite (HN) appartient au plan (HIJ). Les faces
M F !"#$ ET %&'( SONT PARALLÞLES DONC LE PLAN ()* LES
coupe suivant deux droites parallèles. L’intersection
DES PLANS ()* ET !"# EST DONC LA DROITE PARALLÞLE
Í (. PASSANT PAR ) #ETTE DROITE COUPE LARãTE ;!"=
en M.
D c. /N PEUT D£SORMAIS TERMINER LA TRACE EN RELIANT
C deux points sur chaque face rencontrée.
A
B H

G
c. Il suffit que M et N soient les milieux des côtés
;%&= ET ;('= DONC QUE ) SOIT SUR CETTE DROITE RELIANT
ces deux points. E N
F
51 a. M et N sont les points d’intersection
respectifs des droites (DI) et (DJ) avec les droites
!" ET "#  #OMME ) ET * SONT LES CENTRES DES FACES
- ET . SONT LES MILIEUX RESPECTIFS DES SEGMENTS ;!"=
ET ;"#=
D
J
C
I
D A
M
B

53 1. a. $ANS LE TRIANGLE "'$ ON PEUT APPLIQUER


LE TH£ORÞME DES MILIEUX DONC LES DROITES )* ET "$
I J sont parallèles.
b. ,ES PLANS !$" ET !)* SONT S£CANTS ,ES DROITES
A C "$ DU PLAN !"$ ET )* DU PLAN !)* SONT PARAL-
lèles, donc on peut appliquer le théorème du toit, et
N on en déduit que l’intersection des deux plans est
M PARALLÞLE Í )* ET $"  /R ! APPARTIENT Í CETTE INTER-
section, donc d EST LA DROITE PARALLÞLE Í "$ PASSANT
par A.
B
c. La droite d COUPE LE PLAN $#' SUR LA DROITE
(DC).

140 s 8. Géométrie dans l’espace


d. La trace de la section par le plan (AIJ) de la face 55 /N NOTE r et h le rayon et la hauteur du cylindre.
$#'( EST LA RESTRICTION Í CETTE FACE DE LA DROITE +* 

e.

H
G 2h
2r
E F h
J
4r
I
Sur un plan en coupe, à l’aide du théorème de
D
K 4HALÞS ON EN D£DUIT QUE LE DIAMÞTRE DU C¯NE EST
C le double de celui du cylindre, donc son rayon est
A aussi le double.
B 1 8
Le volume du cône est donc w ␲(2r )2 w 2h " ␲r 2 h
3 3
et celui du cylindre est π r2h. Le rapport entre les
8
deux volume est , le volume du cylindre est donc
3
inférieur à la moitié du volume du cône.

4
56 Le volume de la sphère est  ␲r 3 .
Problèmes 3
Le volume du second solide est
54 L’antiprisme : 1 4 2 4 3
 ␲r  h + 2␲r  h = ␲r h = ␲r , car ici h = r.
2 2
3 3 3
Ces deux solides ont donc même volume.

57 Le cube plein mesure 63 = 216 cm3. Chaque


pavé peut se décomposer en trois cubes de volume
23 = 8 cm3 chacun.
Le solide est constitué d’un cube auquel on
enlève sept petits cubes. Son volume est donc
216 – 7 w 8 = 160 cm3.

58 a. Sa hauteur d’origine était :


212 × 0,69 = 146,28 mètres.
Voici quelques patrons possibles : b. Le tour de sa base carrée est :
4 × 230 = 920 mètres.
c. Les faces étant des triangles, on se trouve dans
UNE SITUATION DE 4HALÞS SUR CHAQUE FACE ET POUR
parcourir 100 mètres, on peut se ramener à une
SEULE FACE OÂ LON PARCOURT  MÞTRES %N NOMMANT
h LA HAUTEUR Í ATTEINDRE LE TH£ORÞME DE 4HALÞS
146,28  h 25
donne les rapports suivants : " .
146,28 230
25
/N EN D£DUit que 146,28  h " 146,28 w puis
230
25
h " 146,28  146,28 w " 130,38 .
230
Chaque étage mesurant 0,69 mètres, il faudra
130,38
atteindre ~ 188,96 étages. Pour faire le tour
0,69

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 141


de la pyramide en moins de 100 mètres, il faudra 61 1. a. Comme les sphères sont tangentes et de
donc monter 189 étages. rayon 10 cm, les centres de deux sphères tangentes
SONT S£PAR£S DE  CM !INSI LES TROIS CENTRES ! " ET
59 En notant r le rayon de la sphère, l’épitaphe C sont équidistants et forment un triangle équila-
nous indique que le rayon du cylindre vaut aussi r et
téral de coté 20 cm.
sa hauteur 2r.

10 cm

4 10 cm
Le volume de la sphère est VS " ␲r 3 et celui du
3

cylindre VC " ␲r 2 w 2r " 2␲r 3 .


4 3 b. ,E CENTRE DE GRAVIT£ DU TRIANGLE !"# SE TROUVE AU
␲r
VS 2 deux tiers de la hauteur en partant d’un sommet.
/N PEUT ALORs vérifier que "3 3 " .
VC 2␲r 3 %N NOTANT ) LE MILIEU DE ;"#= ON PEUT CALCULER !)
dans le triangle AIC rectangle en I grâce au théo-
rème de Pythagore, soit :
60 Le rayon du cylindre est r = 0,1 m et celui de la
!)À  !#À n )#À  À n À   DOÂ !)   3 .
sphère R = 0,3 m.
A étant le centre de la sphère, pour calculer le B
volume du cylindre, il faut en connaître la hauteur
h (voir schéma ci-dessous).

C J I
G
0,3

A B
0,1
A K C

' EST LE CENTRE DE GRAVIT£ DE !"#


h 2 2 20 3
0OUR CELA ON PEUT CALCULER "#  dans le triangle DONC !'  AI = 10 3 = .
2 3 3 3
!"# RECTANGLE EN " Í LAIDE DU TH£ORÞME DE 0YTHA Les trois ballons s’inscrivent dans un cercle de
gore :
20 3
"#À  !#À n !"À   À n  À    RAYON !'   + 10  21,5 qui est inférieur à
3
DOÂ "#  0,08 . 22 cm.
Le volume du cylindre est alors :
␲r 2 h = ␲  0,12  2  0,08 = 0,02  ␲  0,08 . 2. a. !"#$ EST UN T£TRAÞDRE R£GULIER
4 4 b. Les centres de trois ballons sur les quatre se
Celui de la sphère est ␲R 3 = ␲  0,33 = 0,036 ␲ .
3 3 situent à 10 cm du sol et celui du dernier ballon à
Le volume de la sculpture est alors la différence 10 cm du haut du tétraèdre. Il reste donc à calculer
entre celui de la sphère et celui du cylindre, soit la hauteur de ce tétraèdre.
0,036 ␲  0,02␲ 0,08 . ' EST LE CENTRE DE GRAVIT£ DU TRIANGLE !"# CALCULER
Pour obtenir sa masse, il faut multiplier ce volume la hauteur du tétraèdre revient à déterminer la
par la masse volumique du verre : LONGUEUR $'
( )
M = 2 500  0,036 ␲  0,02␲ 0,08  238,3 kg.

142 s 8. Géométrie dans l’espace


D ␪
3. 2␲r " 2␲R w donc
360
r R sin ␣
␪ = 360 × = 360 × = 360 sin ␣ .
R R
1
4. a. ␪ = 360 sin 30° = 360 × = 180°
2
1
b. r R sin = 5 × = 2,5 cm
2
B 3
/3  R cos α = 5 × ≈ 4,3 cm.
J I 2
G 64 a. AI est la demi-diagonale du rectangle
A K C !"#$
En appliquant le théorème de Pythagore dans le
$ANS LE TRIANGLE RECTANGLE !'$ ON A  TRIANGLE !"# ON TROUVE 
2
 20 3  400
$'À  !$À n !'À  À n  = 400 – AC = 8 2 + 6 2 = 64 + 36 = 100 = 10
 3  3
DOÂ !)  
800
= . Le triangle SAC étant isocèle en S, le triangle AIS est
3 ALORS RECTANGLE EN ) /N PEUT APPLIQUER LE TH£ORÞME
800 DE 0YTHAGORE ET )3À = !3À n !)À
/N EN D£DUIT $'   16,3 cm et donc la
3
hauteur de la pyramide formée par les quatre DOÂ IS = 132  52 = 169  25 = 144 = 12 .
800
ballons vaut 10 + + 10  36,3 cm. b. Le centre de la sphère circonscrite est sur la
3
droite (SI). Il est tel que SI = IA = IC.
c. La boîte ayant pour hauteur 37 cm, on peut
ranger les quatre ballons. S
3. Les ballons au sol se seraient écartés pour
SINSCRIRE DANS UN CERCLE DE RAYON  DOÂ
!'   n    ,E BALLON SUP£RIEUR SE SERAIT DONC
enfoncé.
O
La distance DA étant toujours égale à 20 cm, on
obtiendrait :
$ANS LE TRIANGLE RECTANGLE !'$ ON A 
$'À  !$À n !'À  À n   n   
/N EN D£DUIT $'  75  13,2 cm et donc la A I C
hauteur de la pyramide formée par les quatre
BALLONS VAUT        CM
Les ballons seraient aussi rentrés dans la boîte. Seul le centre du cercle circonscrit au triangle SAC
62 En appelant a le coté du cube, le rayon d’un V£RIFIE CELA IL SAGIT DONC DE / ,A SPHÞRE ET LE CERCLE
de même centre ont nécessairement le même rayon
2
cercle est r = a . /3
2
La diagonale du cube vaut 3aÀ   w  À c. $ANS LE TRIANGLE /!) RECTANGLE EN ) ON A
74 74 2 !/À  /)À !)À SOIT /)À  rÀ n À
donc a = DOÂ r =   30,2 mm. %N OUTRE /)  3) n 3/   n r
3 3 2
DOÂ /)À   n r À
63 1. r = R sin α d. (13 – r À  rÀ n À £QUIVAUT Í  n r rÀ  rÀ n 
2. L’arc rA" est une portion du périmètre du cercle soit – 26r = – 169 – 25
de rayon R. Le périmètre vaut 2πR et la longueur de 194 97
DOÂ r = =  7,5 .
l’arc est proportionnelle à l’angle θ. La longueur de 26 13

l’arc r
A" est donc 2␲R w .
360

8. '£OM£TRIE DANS LESPACE s 143


65 d.
C

I
D K
J
H G A B
E
F
M

B
C 67 a. et b.
A B
M

66
1. a. Voir figure.
b. Le point M appartient à la droite d’intersection
C
DES PLANS !)* ET "#$ ET Í LA DROITE )* 
c. ,A TRACE DE LA SECTION DU PLAN "#$ PAR LE PLAN
)*+ EST LA RESTRICTION Í LA FACE "#$ DE LA DROITE
(MK), car M et K appartiennent à ces deux plans.

144 s 8. Géométrie dans l’espace


PARTIE C STATISTIQUES
ET PROBABILITÉS

145
9. Statistiques
et échantillonnage
Objectifs et pré-requis
Il s’agit dans ce chapitre de continuer l’étude des outils de statistique descriptive déjà introduits
dans les classes de collège. Les activités et problèmes proposés permettent de réinvestir les notions
abordées dans les classes précédentes. Les objectifs visés sont d’interpréter des résumés et para-
mètres d’une série statistique et également de comparer deux séries à l’aide d’indicateurs.
Enfin, à l’aide de simulations, on abordera la notion de fluctuation d’échantillonnage et d’intervalle
de confiance.

Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :


Contenus Capacités attendues
Statistique descriptive, v Utiliser un logiciel (par exemple, un tableur) ou une
analyse de données calculatrice pour étudier une série statistique.
Caractéristiques de position v Passer des effectifs aux fréquences, calculer les
et de dispersion caractéristiques d’une série définie par effectifs ou
v M£DIANE QUARTILES  fréquences.
v moyenne. v Calculer des effectifs cumulés, des fréquences
cumulées.
v Représenter une série statistique graphique-
ment (nuage de points, histogramme, courbe des
fréquences cumulées).

Échantillonnage v Concevoir, mettre en œuvre et exploiter des


Notion d’échantillon. simulations de situations concrètes à l’aide du
Intervalle de fluctuation d’une fréquence tableur ou d’une calculatrice.
au seuil de 95 %.
Réalisation d’une simulation. v Exploiter et faire une analyse critique d’un résultat
d’échantillonnage.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 9 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 147


Corrigés des activités
1 Des lettres et des chiffres

1 a.

E, S sont les lettres les plus fréquentes.


b. Non car la fréquence des voyelles est 43,73.


2 a. D’après le tableau de fréquences, il devrait y avoir environ 67 « e » et 0 « z ». Pour « z » on trouve
0,45.
b. L’extrait contient 69 « e » et 0 « z ».
c. L’ordre de grandeur des résultats est le même, mais on ne peut bien sûr pas trouver exactement
les mêmes valeurs.


3 a.
Lettre ' U W 4 C N P V K R A E D F J L Q S Z

Fréquence
20,41 10,2 10,2 8,16 6,12 6,12 6,12 6,12 4,08 4,08 2,04 2,04 2,04 2,04 2,04 2,04 2,04 2,04 2,04
(en %)

b. « g » devient « e ».
Le message décodé est : « Les plus riches d’entre eux iront jusqu’à se payer une étable ».
c. Fréquence d’apparition des lettres :
Lettre 8 S F 4 U D
Fréquence 0,3 0,2 0,2 0,1 0,1 0,1

D’après les fréquences indiquées dans la question 1) : ●


n LES LETTRES i X w ET i F w DU MESSAGE COD£ DEVRAIENT CORRESPONDRE AUX LETTRES i E w OU i S w 
n LA LETTRES i S w DU MESSAGE COD£ DEVRAIENT CORRESPONDRE Í LA LETTRE i A w 
– les lettres « d », « t » et « u » du message codé devraient correspondre aux lettres « n », « t » ou « i ».
Le message décodé pourrait par exemple être « sie natease », « aie nstesae ». Aucun de ces messages
décodés n’a une signification.
Le message décodé est en fait « Nos paysans ».
En effet, en essayant toutes les possibilités pour le décodage par la méthode de César, une seule possi-
bilité donne un texte qui a une signification : celui correspondant à un codage pour n = 5.
Remarque
,ES FICHIERS FOURNIS i #?!#4?CODAGE?DECODAGE?CESARPY w i #?!#4?FREQ?LETTRES?TEXTEPY w
i #?!#4?CODAGE?CESAR?TOUSPY w ET i #?!#4?COMPTER?LETTRES?TEXTEPY w PERMETTENT DE CODER
et décoder, calculer la fréquence de lettres et compter le nombre de lettres, par exemple pour modi-
fier l’énoncé. Leurs réalisations ne sont, bien sûr, pas demandées dans l’activité.

2 Une entreprise dans la moyenne ?



1 La médiane des salaires est 1 600 € et la moyenne 2 048 €. Ceci est effectivement en accord avec les
données pour la France.


2 M. Padacor a raison car, avec ses hypothèses, la médiane vaut 1 360 € et la moyenne 1 751,60 €.

148 s 9. Statistiques et échantillonnage


3 Simuler un lancer de dés
Partie A

1 b. Une fréquence est nulle si le chiffre correspondant n’est pas sorti.
Une fréquence est égale à 1 si le chiffre correspondant est sorti 10 fois de suite ? Ce n’est pas impos-
sible mais…


2 Le tableau à compléter est :
Face supérieure 1 autre
Fréquence d’apparition

3 lignes avec une classe de 30 élèves.

Partie B
3UR UNE 4)  FR  3UR UNE #ASIO

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Étudier une grande quantité de données

1 Cette activité peut être traitée indépendamment du cours de ce chapitre, et peut, grâce aux copies
d’écran qui figurent dans l’énoncé, être donnée en travail personnel à tout moment de l’année.
Les élèves pourront rendre leur travail sous forme de fichier. Le choix de la période étudiée (demi-
année) permet des sujets différents.
Il est possible d’ajouter des questions du type « moyenne des résultats », « histogramme des
fréquences »…


2 Exemple d’histogramme des fréquences :

Ce sujet est traité parfois dans des journaux ou revues, qui n’indiquent jamais qu’une telle étude
ne permettra jamais de pronostiquer les numéros qui sortiront au tirage suivant ! C’est l’objet de la
dernière question.

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 149


TP2 Déterminer le premier quartile

1 La sortie vaut 4,5.

2 Il faut ajouter à l’algorithme initial

N
i prend la valeur le plus petit entier superieur ou égal à
4
quartile1 prend L(i)


3 La programmation peut être délicate si le langage ne dispose pas de la fonction tri.
Il faudra alors, soit donner un algorithme de tri, soit demander un programme uniquement pour des
listes de nombres triés.

Algorithme de tri sous Python :

TP 3 Pizza ou kebab ?

1 a. n EST UN ENTIER MULTIPLE DE  DE LINTERVALLE ;n   = 3I n = – 100 ou n = 100, la simulation
s’arrête. Sinon, si l’issue du lancer est « pile » alors Arthur se retrouve en n  SI ELLE EST i FACE w IL
se retrouve en n – 10.
b. ,A CALCULATRICE NEST PAS ID£ALE POUR CE 40 CAR IL EST DIFFICILE DAVOIR UNE VUE DENSEMBLE DU
programme.
Avec le tableur, exemple de formules à utiliser pour la simulation :
s POUR CALCULER LA POSITION DUN LANCER Í UN AUTRE  3)%.4 !,%! " " 
s POUR SAVOIR SIL A ATTEINT UN RESTAURANT  3)%4! ! /5)
s POUR V£RIFIER SIL A ATTEINT UN RESTAURANT PENDANT LES  LANCERS  ."3)##/5)


2 Les données ont été choisies pour que la réponse à la dernière question soit la suivante : il ne mange
que dans 32 % des cas !

150 s 9. Statistiques et échantillonnage


TP4 Prendre une décision après prise d’échantillon
Sans aborder la notion de test de validité d’hypothèse, le cours permet d’introduire la notion d’inter-
VALLE DE FLUCTUATION AU SEUIL DE   /N PEUT DEMANDER ALORS Í LALGORITHME DANNONCER EN SORTIE 
« En partant de l’hypothèse que la proportion de grains de blé est de 50 %, il y a une probabilité de
0,95 pour que la fréquence observée du caractère se trouve entre … et … ».

La calculatrice ne permet pas de commenter suffisamment la réponse affichée, mais convient


parfaitement à l’activité.

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 151


Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application 5
2,2 %
0,9 % 130
3,1 %
1 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 4,4 % 135
6,7 %
2 4,4 % 140
145
Nombre
30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 150
d’heures 14,2 % 155
15,6%
Effectif 4 1 1 0 3 1 0 1 6 1 2 160
28,0 % 165
20,4 %
170
Effectif
7 175
6
5 Fréquence (en %)
4 30
25
3
20
2 15
1 10
0 5
30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 0
Nombre d’heures 130 135 140 145 150 155 160 165 170 175
Taille (en cm)

3 Deux représentations sont données.


Effectif
70
Bouteilles produites par an (en millions) 60
400
50
350
40
300
30
250
20
200
10
150
0
100 120 130 140 150 160 170 180
50 Années Taille (en cm)
0
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Effectif
70
Bouteilles produites par an (en millions) 60
350
50
340 40
330 30
20
320
10
310 0
130 135 140 145 150 155 160 165 170 175
300
Années Taille (en cm)
290
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
6
4 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. Médiane = 22 376 €  Q1 = 19 044 €  Q3 = 27 285 €.

152 s 9. Statistiques et échantillonnage


N N 3N
7 a. N            = 33,75. 15
4 2 4
1. a. Les caractères étudiés sont : les femmes
La médiane se trouve entre 20 et 30,
veuves, les hommes veufs, les célibataires fémi-
soit médiane = 25.
nins, les célibataires masculins, les divorcées, les
Q1 se trouve entre 20 et 30 soit Q1 = 25.
divorcés, les femmes mariées et les hommes mariés,
Q3 se trouve entre 40 et 50 soit Q3 = 45.
dans la population française en 2012.
b. Moyenne ≈ 32,1.
b. Ce sont des histogrammes, mais les effectifs sont
Comme on ne connaît pas les vraies valeurs, on ne
sur l’axe des abscisses et ils sont « cumulés ».
peut pas savoir.
2. a. Peut se faire approximativement en repre-
En prenant les valeurs extrêmes des classes, on
nant uniquement les rectangles d’une des couleurs
sait que : 20 < médiane < 30 et 27,1 < moyenne < 37,1.
bleues ou à partir du fichier fourni.
8 Les mots ont 9,993 lettres en moyenne.

9 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.


300
Hommes mariés (en milliers)

10 a. 18 × 14,7 = 264,6 250


350  264,6 200
b. 25 × 14 = 350 c. = 12,2
25  18 150
11 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 100
50
12
0
Moyenne Q1 Médiane Q3 0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 65 70 75 80 85
Âge
Série A 95 50 95 140
b.
3£RIE " 95 85 95 105 Femmes mariées (en milliers)
300
Les deux séries ont même moyenne et même
250
M£DIANE %N REVANCHE LES VALEURS DE LA S£RIE " SONT
bien plus resserrées autour de la moyenne que 200
celles de la série A : la moitié de ses valeurs sont 150
DANS ;  = ALORS QUE LA MOITI£ DE CELLES DE ! SONT 100
DANS ;  =
50
13 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 65 70 75 80 85
14 35
Effectif Âge
32
30
25
20 16 a. Moyenne des hauteurs indiquées :
15 54  43  
" 48,75 .
10 8 7 12
5 3 Ce nombre multiplié par 12 donne le total des préci-
0 pitations à Paris pour l’année concernée.
99 100 101 102 b. La température moyenne du mois de janvier a
Contenance (en cL) pu être calculée à partir des températures relevées
Fréquence à intervalles réguliers.
0,7
0,6
Algorithme 1 :
0,5
0,4 Entrer m la température minimale du mois
0,3 Entrer M la température maximale du mois
0,2 m + M
Tm prend .
0,1 2
0 Afficher la valeur Tm
99 100 101 102
Contenance (en cL)

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 153


Algorithme 2 :  1 1 
23 a.  0,5  ; 0,5 +  SOIT ;    =
 64 64 
Pour i allant de 1 à 30
 1 1 
Entrer x6 la température le jour i à 6 b.  0,5  ; 0,5 +  SOIT ;     =
 256 256 
heures
Entrer x12 la température le jour i à 1
c. Il faut = 0,01, c’est-à-dire n = 10 000.
12 heures n
Entrer x18 la température le jour i à
18 heures 24 a. Ce sont les entiers – 2, 0 ou 2.
Entrer x24 la température le jour i à b.
24 heures
x6 + x12 + x18 + x24
ti prend la valeur
4
Fin pour
t1 + t2 + .... + t30
Tm prend la valeur
30
Afficher la valeur Tm c. Dans chaque boucle de cet algorithme, x simule
le lancer d’une pièce, y le lancer d’une deuxième
17 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. pièce.
x y peut indiquer l’état global des deux pièces : – 2
278
18 a. Moyenne = ~ 18,53 pour deux « face », 2 pour deux « pile » et 0 pour une
15
« face », l’autre « pile ».
b. Médiane = 9
c. /UI ,A MOYENNE SUR LES  PREMIERS MATCHS EST 25 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
19,7 alors que la moyenne sur les 7 derniers matchs 26 a.
est 17,8.

19 a.

Étendue Moyenne Médiane


Série 1 86 45,8 56
Série 2 86 45,6 56
b. /N NOTE SOUVENT  PARFOIS  ET DE RARES FOIS 
Série 3 30 45,6 56
27 a. b.
Série 4 86 45,8 56
Série 5 86 66,2 56

b. L’étendue de la série 3 est plus faible car ses


valeurs sont plus rapprochées.
4OUTES LES M£DIANES SONT IDENTIQUES CAR LA e valeur
des séries de 5 données vaut à chaque fois 56. c. /N NOTE DES VALEURS ENTRE  ET 
Les séries 1 et 4 ont les mêmes paramètres et pour-
tant elles sont différentes. 28 L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de

20 a. 0AR EXEMPLE                 la fréquence du secteur rouge est p – [ 1


n
p
1
n ]
b. En remplaçant un des 9 par 2, l’étendue vaut
2
alors 15. La médiane est la même mais la moyenne avec p = et n   /N OBTIENT  ;    =
8
baisse.
123
21 a. p = = 0,246
500
 1 1 
b.  p  ;p+  avec n = 500.
 n n
Exercices pour se tester
)CI  ;    =
29 à 37 Ces exercices sont corrigés dans le manuel
22 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. de l’élève.

154 s 9. Statistiques et échantillonnage


b.
Exercice résolu Fréquences cumulées croissantes
1
38 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
0,8
0,6

Exercices d’approfondissement 0,4


0,2
39 a. Proportions Ff(a) et Fm(a)
0
Effectif cumulé Fréquence cumulée 0 20 40 60 80 100 120 140 160
Note
croissant croissante (en %) Fm(a) Ff(a)
6 2 6,25
41 a.
7 3 9,38
1 % d’illettrés en
8 9 28,13 France métropolitaire 30 29
23 27
1 % d’illettrés 23 25
9 11 34,38 dans cette région
10 12 37,50 15 15
11 15 46,88 9
12 18 56,25 4
13 20 62,50
18 26 36 46 56 66
14 25 78,13 Âge
15 28 87,50 b. Ce qui est surprenant c’est que chaque tranche
16 32 100,00 d’âge devrait comporter environ 20 % et ce n’est pas
b. le cas. Les plus jeunes s’en sortent mieux que les
plus âgés, ce qui mérite sûrement une étude appro-
Effectifs cumulés croissants fondie de la part d’un sociologue.
35
La différence significative est le pourcentage
30
des jeunes parmi les personnes illettrées, et des
25
personnes de plus de 56 ans.
20
Ce qui est étonnant c’est que les personnes illettrées
15
de plus de 65 ans ne soient pas décomptés.
10
5 42 BeCycle : 3 h 41 min 04 s en moyenne.
0 CycloPlus : 3 h 36 min 14 s en moyenne.
6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16
Note 43 1. m1 = 21,4 °C
2.   +    +    +    + 
303,15 K
c. « 37,5 % des élèves ont eu une note inférieure ou
3. m2 = 294,55 K
égale à 10. »
« 56,25 % des élèves ont eu une note inférieure ou 44 x : nombre de jours de distribution pour le
égale à 12. » premier facteur.
« 100 % des élèves ont eu une note inférieure ou x ×    n x) × 16,25 = 26 × 15,7 ⇔ x = 11.
égale à 16. » 45 a. 15 ⩽ ni ⩽ 20
40 1. Il y a 65 585 857 habitants en France au donc 15 × 28 ⩽ n1 n2 x n28 ⩽ 20 × 28.
1er janvier 2013. ,A MOYENNE EST DONC DANS LINTERVALLE ;  =
$ $ x $ b. Soit x le nombre d’élèves qui ont eu 15.
2. $ $ CEST Í DIRE    La moyenne des notes est :
3. a. 15x  20(28  x) 5
" 20  x .
28 28
Âge a 15 20 60 75 150
5
19,5 < 20 – x < 19,7 ⇔ 1,68 < x < 2,8.
Fm(a) 0,196117333 0,260282832 0,785550746 0,930020967 1 28
Il y a un autre élève qui a eu la même note que
Ff(a) 0,176304432 0,233806515 0,740072774 0,890848354 1
Stéphane.

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 155


Remarque 49 a. /N NE PEUT PAS SAVOIR
En parcourant tous les cas possibles à l’aide d’un b. Faux. Si l’on suppose que la classe a moins de
tableur, il n’est pas nécessaire de résoudre des 57 élèves.
inéquations. c. Vrai
d. /N NE PEUT PAS SAVOIR
46 1. a.
e. Vrai
Score
10 000 50
8 000 1. a. Somme des temps en secondes : 89 856 s
6 000 Moyenne de toutes les participantes européennes :
4 000 51 min 38 s
2 000 Moyenne des participantes françaises : 50 min 40 s
0 b. Deux des participantes françaises ont des temps
vt do ct no de vs ter Elfi nu eod inférieurs à la médiane (51 min 21 s) et une, un
t Ao ue t Eo f Di Zo t Tu ans Pu G
c d c Si ey Si Z ey aef temps supérieur à la médiane.
Ka oe C Da Sa a
K Q
K c. Q1   MIN  Q3 = 53 min 43 s.
Deux Françaises sont dans le premier quartile et
une des Françaises est dans le dernier quartile.
Score
10 000 2. Les moyennes de temps pour des sportifs n’ont
que peu d’intérêt, par contre leur classement oui.
8 000
C’est donc leur position par rapport aux quartiles
6 000 qui importe.

4 000 51 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

2 000 52 a. La moitié des Français avaient un salaire


0 inférieur à 1 675 € en 2010.
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 b. Le premier quartile pour les salaires des Français
en 2011 se trouve entre 1 305 € et 1 428 €.
b. Effectifs
5 c. La moitié des hommes français gagnent moins
4 4
4
3
3 de 1 820 € alors que la moitié des femmes françaises
2 2 2
2 gagnent moins de 1 562 €.
1 1
1 Durée
0 d.
0
1 000 2 000 3 000 4 000 5 000 6 000 7 000 8 000 9 000 10 000
Ensemble Hommes Femmes
2. Moyenne des scores = 6 704
3. a. La moyenne des scores des joueurs diurnes, Augmentation
6 983, est supérieure à celle des scores des joueurs de D1 entre 2,45 % 2,42 % 2,19 %
nocturnes, 6 320. 2010 et 2011
b. Le pourcentage des joueurs diurnes qui ont un
score supérieur à la moyenne est d’environ 64 %. 53 a. &AUX #ONTRE EXEMPLE      
Le pourcentage des joueurs nocturnes qui ont un b. 6RAI /N ORDONNE LES VALEURS /N SAIT ALORS QUE LA
score supérieur à la moyenne est d’environ 63 %. moitié des valeurs du caractère se trouve dans l’in-
TERVALLE ;x  M£DIANE= $ONC LE PREMIER QUART DES
47 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
valeurs se trouve également dans cet intervalle.
48 a. Faux. 126 en achètent 1 seul. c. &AUX #ONTRE EXEMPLE          
b. Vrai. d. 6RAI %XEMPLE      
c. Faux. La moyenne vaut : e. &AUX #ONTRE EXEMPLE      
126 w 1  34 w 2  6 w 3  15 w 4  2 w 5  1 w 6 36
" ~ 1,57
184 23 54 L’intervalle de fluctuation de la fréquence
observée f pour un échantillon de taille n = 300 est
d. Faux. Elle vaut 1 on a
(N
" 92 .
)
e. Vrai. 25 % de 184 donne 46.
2
[p–
1
n
p
1
n ]
avec une probabilité d’au moins

f. Faux, car Q3 = 2 (75 % de 184 donne 138). 0,95.

156 s 9. Statistiques et échantillonnage


S’il s’agit des pronostics pour le futur président, il
Boule Rouge Verte "LEUE
eut fallu les accompagner d’intervalles de confiance
1 1 en indiquant qu’il n’est pas certain que la propor-
p 0,5
3 6 tion des votants pour un candidat soit dans ces
intervalles. Donc pas de divergence car à aucun
Intervalle de
moment il n’y a certitude.
fluctuation ;    = ;    = ;    =
à 95 %
60 a. 0 ⩽ r < 1 ⇔ 0 ⩽ 6r < 6 ⇔ 1 ⩽ 6r   
b. 6r  APPARTIENT SOIT Í ;  ; SOIT Í ;  ; x SOIT
55 Le journaliste ne devrait pas affirmer qu’un
Í ;  ;
sondage « donne quelqu’un gagnant ».
Donc E(6r  PEUT PRENDRE LES VALEURS     
Il devrait :
ou 6.
n DONNER LA TAILLE DE L£CHANTILLON POUR LE SONDAGE 
– indiquer alors un intervalle de confiance assorti 61 a. La probabilité de tirer une boule rouge
d’un seuil. dans une urne qui contient 255 boules rouges parmi
Par exemple : N = 1 000, le sondage donne 70 % 1 000 est la même que celle de choisir au hasard un
de votes favorables au candidat, l’intervalle de téléspectateur qui regarde la chaîne 1 parmi l’en-
CONFIANCE AU SEUIL DE   EST ;    = semble des téléspectateurs.
Le candidat dit vrai : « … je serai élu… » et « … dès
b.
que possible ».
r prend la valeur un nombre réel pris au
56 a. L’auteur voulait parler de l’étendue de l’in-
2 hasard dans [0 ; 1[
tervalle de confiance. Cette étendue est de e " .
n n prend la valeur partie entière de

En multipliant n par 4, l’étendue e est divisée par 2, 1000r + 1

et en multipliant n par 100, l’étendue e est divisée Si n < 256 alors

par 10. Afficher le mot « Rouge »

b. /N PEUT OUBLIER DE DONNER LINTERVALLE DE Fin si

confiance (ou la fourchette de sondage) assortie Si 256 ⩽ n < 426 alors

d’un « niveau », en général 0,95. Afficher le mot « Vert »


Fin si
57 a. {P1  02]  [01  &2]  [&1  02] ET [&1  &2] Si 426 ⩽ n < 536 alors
b. Afficher le mot « Jaune »
Un « pile » Fin si
Deux « piles » Si n ⩾ 536 alors
et un « face »
Afficher le mot « Blanc »
1 1
p Fin si
4 2
c. Voir fichiers logiciels.
Intervalle ;    = ;    =
d.
58 a. Un intervalle de confiance de p au niveau R prend la valeur 0
 1 1  V prend la valeur 0
0,95 est  f  ;f +  . Avec n = 98 et f = 42/98,
 n n J prend la valeur 0
B prend la valeur 0
ON TROUVE ;    =
Pour k allant de 1 à 1000
b. Il est possible que le candidat A ne soit pas élu.
r prend la valeur un nombre réel pris
L’intervalle de confiance le laisse penser mais on ne
au hasard dans [0 ; 1[
peut pas en être certain.
n prend la valeur partie entière de
c. Avec n = 1000 et f = 565/1000, on trouve
1000r + 1
;    =
Si n < 256 alors
Même si l’intervalle se trouve au-delà de 0,5 et laisse
R prend la valeur R+1
penser à une élection du candidat A, il est possible
Fin si
que le candidat A ne soit pas élu.
Si 256 ⩽ n < 426 alors
59 Cette phrase n’est pas assez précise. V prend la valeur V+1
S’il s’agit des sondages, il n’est pas anormal qu’ils Fin si
soient divergents.

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 157


63 1. Un intervalle de fluctuation de f au seuil
Si 426 ⩽ n < 536 alors
 1 1 
prend la valeur J+1 95 % est  p – ;p+ .
 n n
Fin si
Si n ⩾ 536 alors
Avec n = 26 et p    ON TROUVE ;    =
B prend la valeur B+1
2. Les deux formules suivantes conviennent :
Fin si
3)!,%!    ET n%.4!,%! n  
Fin pour
3. a. b. Voir fichier logiciel fourni.
Afficher le nombre R (nombre de
c. /N OBSERVE QUENVIRON   DES PROPORTIONS
spectateurs qui regardent la chaîne 1)
sont dans l’intervalle (un pourcentage de 95 % était
Afficher le nombre V (nombre de
attendu).
spectateurs qui regardent la chaîne 2) 64 1. Un intervalle de fluctuation de f au seuil
Afficher le nombre J (nombre de  1 1 
spectateurs qui regardent la chaîne 3) 95 % est  p – ;p+  . Avec n = 100 et p = 0,5,
 n n
Afficher le nombre B (nombre de
ON TROUVE ;    =
spectateurs qui regardent la chaîne 4)
2. a. %.4 !,%!
b. Voir fichier logiciel.
c. ,ES VALEURS POSSIBLES POUR i ."3)!# 
sont les 10 entiers 0, 1, 2, ….8, 9.
62
d. ,ES VALEURS POSSIBLES POUR " SONT  OU 
a. et b. Un exemple de simulation de dix sondages ,A VALEUR  LORSQUE " CONTIENT  ET LORSQUE LE
en Python : NOMBRE DE  DANS LES  CELLULES AUTOUR DE " "
COMPRISE EST DE  #ELA SIGNIFIE QUE " CONTIENT 
SI " CONTIENT  ET NEST ENTOUR£E QUE PAR DES 
e. Pour savoir si une des 100 cellules A1 à J10
contient 1 et n’est entourée que par des 0, il suffit de
V£RIFIER SI LES CELLULES " Í ) NE CONTIENNENT PAS
toutes 0.
f. Pour répondre à cette question, on peut mettre
EN ! LA FORMULE ."3)" )  
Par re-calculs successifs de la feuille du tableur, on
OBSERVE LA PROPORTION DU NOMBRE DE FOIS OÂ !
n’est pas nul.
Il est très rare qu’une case soit orange et complète-
3UR UNE CALCULATRICE 4) .SPIRE 
ment entourée par des cases bleues. Pour l’estima-
QCM tion de cette « rareté », il faudrait utiliser un logiciel
de programmation.

Problèmes
65 Traduction de l’énoncé
Pour cent âges
Dans une ville de 5 000 habitants ne vivent que
des jeunes et des vieux.
Mais 20 % des jeunes se prennent pour des vieux
et 10 % des vieux se prennent pour des jeunes.
Les autres se prennent pour ce qu’ils sont.
À tous les habitants de cette drôle de ville, on
pose la même question : « Êtes-vous vieux ? ».
34 % des habitants répondent oui !

158 s 9. Statistiques et échantillonnage


2. Le nombre de vélos présents augmente un peu
(7 %).
Les prix ont baissé dans toutes les gammes de prix
d’environ 6 à 30 %.

67 n : le nombre de personnes qui ont voté avant


*ULIEN 
x : la moyenne qu’avait Marjolaine.
x  (x  1)
Nouvelle moyenne = .
n 1
nx  (x  1)
Combien la ville compte-t-elle de jeunes ? Justi- /N SAIT QUE  = x  
n 1
fier. 1
soit x = x   DOÂ n = 49.
n 1
En notant α le nombre de jeunes et β le nombre de
vieux : 68 1. a.
0,20α se considère vieux parmi les jeunes et Température (en °C)
35 Brest
0,10β se considèrent jeunes parmi les vieux. 30
0,20α  β se considèrent donc comme jeune. 25
Il en vient : 20
15
¯␣  ␤ " 5 000 10
° 5
±0,2␣  0,9␤ " 0,34 w 5 000 0
¯␣  ␤ " 5 000 –5
B° – 10 Mois
±0,2␣  0,9␤ " 1 700 – 15
.
.
rs

il

i
juin

.
t
t.

.
.
.
fév

nov
déc
jan

juil

oct
ma

aoû
avr

sep
ma

²̄¯ ␣ " 4 000 Températures maximales Températures moyennes



±² ␤ " 1 000
Températures minimales

.OMBRE DE JEUNES     NOMBRE DE VIEUX    b.


Température (en °C)
40 Strasbourg
66 35
1. 30
25
Janvier Janvier 20
Évolution 15
2012 2013 10
n 72 77 6,94 % 5
0
n –5
36 38,5 6,94 % – 10 Mois
2 – 15
.
.
rs

il

i
juin

.
t
.
.
.
.
fév

nov
déc
jan

juil

t
oct
ma

aoû
avr

sep
ma

Étendue 1 420,00 € 1 320,00 € – 7,04 %


Températures maximales Températures moyennes
Q1 70,00 € 50,00 € – 28,57 % Températures minimales
Médiane 350,00 € 280,00 € – 20,00 % c.
Q3 470,00 € 440,00 € – 6,38 % Précipitations (en mm)
Moyenne 406,11 € 339,87 € – 16,31 % 300
250
Nombre de vélos 200
35 janvier 2012
30 150
25 janvier 2013
20 100
15
10 50
5 Prix 0
0
t
t.
.
.
.
rs
il
i
juin

.
.
fév

nov
déc
oct
jan

juil
ma

aoû
avr

sep

0[ 0[ 0[ 0[ 0[ 0[ 0[ 0[
ma

; 20 ; 40 ; 60 ; 80 00 20 40 60
[0 200 400 600 00 ; 1 00 ; 1 00 ; 1 00 ; 1 Brest Strasbourg
[ [ [ [8 0 12 14
[1 [ [

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 159


2. b.
"REST Strasbourg somme prend la valeur 0

Médiane nombre_lancers prend la valeur 0


11,65 11,95 Tant que somme < 20
des moyennes
a prend la valeur un entier aléatoire
compris entre 1 et 6
3.
somme prend la valeur S + a
"REST Strasbourg nombre_lancers prend la valeur nombre_
lancers + 1
Tmax 26,5 32,2
Fin tant que
Tmin 14,8 19,9 Afficher le nombre nombre_lancers

4.
c. En Python :
4max 4min 4m
Strasbourg

Strasbourg

Strasbourg
"REST

"REST

"REST

Moyenne
21,4 25,4 1,9 – 0,8 11,3 11,1
annuelle

5. #LIMAT OC£ANIQUE Í "REST CLIMAT SEMI CONTI


nental à Strasbourg.

!VEC !LGO"OX 
69
1. M1 = 15
6  20  23  10
2. M2 ≈ " 14,75
4
3. a.
S prend la valeur 0
N prend la valeur 24 × 60
Pour x allant de 1 à N
x
y prend la valeur 15 + 10 sin   150
4 
S prend la valeur S + y
Fin pour
S 2. a. Le premier joueur peut gagner, par exemple,
Afficher le nombre
N en obtenant quatre « six ».
b. M3 = 15 Les 10 premiers joueurs peuvent gagner, par exemple,
si chacun d’eux obtient quatre « six ».
Les 100 000 premiers joueurs peuvent gagner, par
exemple, si chacun d’eux obtient quatre « six ».
70 (Ce qui est hautement improbable !)
1. a. Pour arriver à 20, il faut lancer le dé au moins b. 4ABLEAU Í COMPL£TER AVEC LES R£SULTATS DES SIMU
4 fois (3 × 6 ne suffit pas) et au plus 20 fois (20 × 1). lations.

160 s 9. Statistiques et échantillonnage


c. !VEC !LGO"OX 

somme prend la valeur 0


nombre_joueurs_gagnants prend la valeur 0
Pour i allant de 1 à 100
somme prend la valeur 0
nombre_lancers prend la valeur 0
Tant que somme < 20
a prend la valeur un entier
aléatoire compris entre 1 et 6
somme prend la valeur S + a
nombre_lancers prend la valeur
nombre_lancers + 1
Fin tant que
Si nombre_lancers < 6 alors
nombre_joueurs_gagnants prend la 72 a. Il y a 2 « vendredi 12 » dans l’année 2014.
valeur nombre_joueurs_gagnants + 1 b.
Fin Si
G prend la valeur
nombre_joueurs_gagnants  10  500
100
Afficher le nombre G

c. Il suffit de demander au programme d’afficher


d. Le gain moyen pour l’association semble se nombre_vendredi12
.
rapprocher de 1,90 € par joueur. 12
/N NE PEUT PAS ãTRE CERTAIN QUE LASSOCIATION VA ãTRE e. /N NE PEUT PAS APPLIQUER CETTE PROPRI£T£ CAR
gagnante, par exemple si un joueur obtient quatre 2
« six ». p= n’est pas compris entre 0,2 et 0,8.
365
71 De plus, n n’est pas supérieur à 25.
a.

nombre_vendredi13 prend la valeur 0 73


Pour i allant de 1 à 10 000
Voir fichiers logiciels.
nom_jour prend la valeur un entier
aléatoire entre 1 et 6
numero_jour prend la valeur un entier 74 1. a
aléatoire entre 1 et 30
République

Si nom_jour = 5 et numero_jour = 13
4CHÞQUE
Pologne
Estonie
Chypre

Malte

alors
Pays

nombre_vendredi13 prend la valeur


nombre_vendredi13 + 1
Fin si
Fin pour Côté de
nombre_vendredi13 la base 1,0 2,1 0,2 5,6 2,8
Afficher le nombre
10 000 en cm

2. En Python :
Volume
8 13,8 3,9 386,6 103,1
en cm3

Hauteur
8,6 3,1 123,4 12,4 13,1
en cm

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 161


b. 3. a.

Effectif cumulé
Centre de la classe xi
croissant
0,2 17

0,4 49

0,6 163

0,8 348

1 426

1,2 520

1,4 596
Chypre Estonie République Pologne
Tchèque 1,6 625

b. Moyenne ≈ 0,92
2. La hauteur des pavés représente la densité c. Médiane = 0,8
(nombre d’habitant par 10 000 km2). 4. Le DAS du téléphone de Florence est sous la
moyenne des téléphones de l’étude, mais n’est pas
75 1. dans la moitié des portables de l’étude qui ont le DAS
le plus faible.
Centre
Classe Effectif ni
de la classe xi 76 1.
;    ; 17 0,2 températures maximales
Température (en °C) températures moyennes
;    ; 32 0,4 températures minimales
Mali
40
;    ; 114 0,6
30
;    ; 185 0,8
20
;    ; 78 1
10
;    ; 94 1,2
0
;    ; 76 1,4 J F M A M J J A S O N D

;    ; 29 1,6 2.

Mois J F M A M J J A S / N D
2.

Effectif Côté
180 du
160 0,0 0,0 0,0 1,4 1,8 2,8 3,8 4,1 3,0 1,6 0,0 0,0
cube
140 en cm
120
100
80 77 1. Activité.
60 2. Voir fichiers logiciels.
40 3. Les fréquences f obtenue par logiciel pourraient
20 varier davantage que celle données par les personnes
DAS MAIS CE NEST PAS CERTAIN  IL EST POSSIBLE QUE DES
0
0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4 1,6 1,8 personnes décident de donner souvent que des « 1 »,
ce qu’un logiciel ne fera pas.

162 s 9. Statistiques et échantillonnage


78 1. a. Soit α la probabilité d’obtenir « face ». dans 95 % des cas, le nombre de « pile » devrait être
/N A α α × 1,5 = 1. Donc α = 0,4. compris entre 12 et 23.
La probabilité d’obtenir « pile » est bien 0,6. Les 15 « pile » de Filibert ne prouvent donc pas que

[ ]
1 1 le dé est équilibré ! Et dans 5 % des cas, on peut
b. 0,6 –  SOIT ;    =
30 30 être à l’extérieur de l’intervalle, ce qui explique le
c. Dans 95 % des séries de 30 lancers, la fréquence résultat du vendeur.
de « pile » est comprise entre 0,41 et 0,78. Donc 2. Voir fichiers logiciels.

79

Un premier calcul indique que le mouton fera, au Exemple de simulation à l’aide d’un langage ayant
cours de la journée, 120 choix aléatoires. une sortie « tortue » :
Il peut donc par exemple :
– se retrouver au même endroit en ne faisant que les
choix nord, est, sud, ouest, nord, est, etc.
– se retrouver 110 m à l’extérieur du pré en prenant
toujours la même direction !
Finalement, la simulation montre que le mouton ne
devrait être à l’extérieur du pré qu’environ 30 % des
jours de l’année.
Attention ! la même simulation montre qu’il sort
du pré 50 % des jours, mais revient le soir 20 % des
jours.

9. 3TATISTIQUES ET £CHANTILLONNAGE s 163


10. Probabilités
Objectifs et pré-requis
Les premiers exemples de probabilité sont abordés en classe de 3e dans des situations de lancers
de dés ou de tirages dans des urnes. En classe de 2de, il s’agit, dans des situations de problèmes,
de modéliser des expériences aléatoires puis de calculer les probabilités des événements en jeu.
,ES EXP£RIENCES £TUDI£ES PEUVENT COMPORTER PLUSIEURS £PREUVES /N TROUVERA £GALEMENT DANS CE
chapitre des exemples de marches aléatoires qui sont sources de démarches algorithmiques.
Extrait du programme (Bulletin officiel n° 30 du 23 juillet 2009) :
Contenus Capacités attendues
Probabilité sur un ensemble fini
Probabilité d’un événement. v Déterminer la probabilité d’événements dans des
situations d’équiprobabilité.
Réunion et intersection de deux v Utiliser des modèles définis à partir de fréquences
événements, formule : observées.
p(A ∪ " p(A ∩ "  p! p"  v Connaître et exploiter cette formule.

Corrigés des QCM pour bien commencer


1 à 6 Ces exercices sont corrigés dans le manuel de l’élève.

Corrigés des activités


1 Chance ou stratégie ?
10

1
81
10 1

2 =
40 4

8 4 2 1

3 a. =
38 19
b. =
32 16

10. 0ROBABILIT£S s 165


2 Des statistiques aux probabilités

3 a. L’échantillon, s’il est suffisamment grand, permettra de voir la fluctuation des résultats mais aussi
une tendance centrale vers la probabilité théorique.

Exemple d’un simulation sur une classe de 35 élèves :

Nombres
de résultats
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
supérieurs
ou égaux à 5
Nombre
0 0 0 3 3 4 5 6 7 5 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0
d’élèves

b. Avec cet échantillon, la fréquence des nombres de résultats supérieurs ou égaux à 5 pour l’en-
semble des lancers est 0,34, avec 35 w 20 = 700 lancers.


4 b. /N CONSTATE QUE LA R£PARTITION ET LA FR£QUENCE OBSERV£ES SONT PROCHES DE CELLES DE LEXP£RIENCE
précédente.


5 b. À nombre de lancers identiques, on peut faire la moyenne des fréquences observées, on a alors
1 400 lancers, la fréquence obtenues est une bonne approximation de la probabilité que la face supé-
rieur du dé porte un chiffre supérieur ou égal à 5.
1
c. /N PEUT COMPARER CE NOMBRE Í LA PROBABILIT£ TH£ORIQUE " .
6 3

3 Avec ou sans remise ? Issues


2d tirage du tirage
Partie A 1 (1 ; 1)

1 Voir schéma ci-contre. 1er tirage
1 2 (1 ; 2)

2 Il y a 9 issues équiprobables, la probabilité de chacune
1 3 (1 ; 3)
d’elle est donc .
9

3 a. La probabilité de tirer deux fois le même nombre 1 (2 ; 1)
3 1
est " .
9 3 2 2 (2 ; 2)
b. La probabilité que le premier nombre soit stricte-
3 (2 ; 3)
3 1
ment inférieur au second est " .
9 3
c. La probabilité que la somme des nombres tirés 1 (3 ; 1)
3 1 3 2
fasse 4 est " . (3 ; 2)
9 3
3 (3 ; 3)

166 s 10. Probabilités


Partie B Issues
2d tirage du tirage

1 Voir schéma ci-contre. 2 (1 ; 2)

2 Il y a 6 issues équiprobables. La probabilité de 1er tirage
1
chacune d’elles est donc .
6 3 (1 ; 3)

3 a. La probabilité de tirer deux fois le même nombre
est 0.
1 (2 ; 1)
b. La probabilité que le premier nombre soit stricte-
3 1 2
ment inférieur au second est " .
6 2
3 (2 ; 3)
c. La probabilité que la somme des nombres tirés
2 1
fasse 4 est " .
6 3 1 (3 ; 1)

2 (3 ; 2)

Corrigés des Travaux pratiques


TP 1 Lancers de dés

1 a.
Entrées : Donner les valeurs de N.

Traitement : Initialiser S à 0.
Pour I allant de 1 à N
Affecter à A un nombre aléatoire entier entre 1 et 6
Si A = 6
Alors affecter à S la valeur S + 1.

S
Sortie : Afficher .
N

b. N est le nombre total de lancers, S compte le nombre de 6 obtenus, A est la valeur du dé.
c. La valeur affichée en sortie est la fréquence d’apparition du 6.
S 1

2 a. /N PEUT AJOUTER LAFFICHAGe de  .
N 6
b. 3UR 4)  3UR #ASIO 'RAPH 

S
c. /N NE PEUT ATTEINDRE UN £CART INF£RIEUR Í   CAR POUR .   LES VALEURS de sont des multiples de
N
1 1
" 0,05 , donc la valeur la plus proche de ~ 0,1666 est 0,15, ce qui correspond à un écart de 1,66 %.
20 6

10. 0ROBABILIT£S s 167


TP 2 Simuler et comprendre la loi des grands nombres

1 /N SAISIT LA FORMULE DANS ! AVANT DE LA RECOPIER VERS LA DROITE PUIS VERS LE BAS

2 a. $ANS LA FEUILLE  CI DESSOUS LA FORMULE SAISIE EN " Í RECOPIER VERS LE BAS EST 
i ."3)&EUILLE!*" w
b. La fréquence s’obtient en saisis-
SANT DANS LA CELLULE " LA FORMULE
i " w FORMULE RECOPI£E
ensuite vers la droite.


3 /N NE PEUT PAS PR£JUGER DU CHIFFRE
qui apparaît le plus fréquemment.
L’amplitude maximale entre les
fréquences observées peut dépasser
0,10.


4 Il faut modifier la plage de cellule
en la recopiant sur 10 000 cellules.
Le plus simple est de garder 10
colonnes et de prolonger la table
SUR   LIGNES /N NE PEUT TOUJOURS
pas préjuger du chiffre qui apparaît
le plus fréquemment, par contre
l’amplitude maximale entre les fréquences observées a diminué et dépasse rarement 0,02.


5 Ces dernières observations laissent penser que la simulation est équiprobable, en accord avec la loi
des grands nombres.

TP 3 Simuler le lancer d’une pièce à la calculatrice


Partie A

3 Une fois les 200 lancers affectés à la liste 1, on peut par exemple faire
afficher la moyenne de la série qui représente la fréquence d’apparition
du 1, donc du côté « pile ».
3UR 4)   VOIR CI CONTRE


4 La fréquence d’apparition du côté « pile » est proche de 0,5 qui est la
probabilité théorique en cas d’équiprobabilité dans une expérience à
deux issues.

Partie B

1 3UR #ASIO 'RAPH   VOIR CI CONTRE
Lancer trois fois une pièce ne revient pas à tripler le résultat.


2 a. /UI LA R£PARTITION SEMBLE £QUIPROBABLE
b. Il n’y a qu’une seule manière d’obtenir trois « pile », avec le triplet
(P, P, P), alors qu’il y a trois manières d’obtenir deux « pile », avec les
triplets (P, P, F), (P, F, P) et (F, P, P).
c. /BTENIR DEUX i PILE w DEVRAIT ãTRE TROIS FOIS PLUS FR£QUENT QUOBTENIR TROIS i PILE w IL NE DEVRAIT DONC

pas y avoir équiprobabilité comme l’expérience le suggère d’après le 2) a.


3 a. et b. 3UR 4)   voir ci-contre.
c. Le nombre de « pile » ayant la plus forte probabilité est 1 ou 2.

168 s 10. Probabilités


d. /N PEUT CONSTRUIRE LARBRE SUIVANT 
Nombre de
« pile »
P 3
P
F 2
P
P 2
F
F 1

P 2
P
F 1
F
P 1
F
F 0

Ces 8 issues sont équiprobables, les probabilités selon le nombre de « pile » sont résumées dans le
tableau suivant :
Nombre de « pile » 0 1 2 3
1 3 3 1
Probabilité
8 8 8 8

TP 4 Somme de plusieurs dés



2 La valeur la plus fréquente de la série pourrait être le 7 mais elle est parfois dépassée par d’autres
valeurs. Sa fréquence est très variable (entre 0,10 et 0,25 le plus souvent).


3 Avec 2 000 lancers :

L’histogramme est plus régulier et l’issue la plus fréquente est (presque) toujours le 7. Sa fréquence
varie encore toutefois entre 0,15 et 0,18.

10. 0ROBABILIT£S s 169



4 ° LAIDE DUN TABLEAU Í DOUBLE ENTR£E ON PEUT D£NOMBRER LES  COUPLES D£   D£  £QUIPROBABLES
puis calculer la probabilité de chaque issue.
dé 2
1 2 3 4 5 6
1 2 3 4 5 6 7
2 3 4 5 6 7 8
dé 1 3 4 5 6 7 8 9
4 5 6 7 8 9 10
5 6 7 8 9 10 11
6 7 8 9 10 11 12

Issue 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

1 2 3 4 5 6 5 4 3 2 1
Probabilité
36 36 36 36 36 36 36 36 36 36 36


5 a. et b. !VEC   LANCERS LA CONJECTURE DU PRINCE DE 4OSCANE SEMBLE VRAIE MAIS LE  GAGNE ASSEZ
souvent pour laisser un doute.
c. Avec 10 000 lancers, il n’y a plus de doute, le 10 l’emporte (presque) à chaque fois.

y
TP 5 Marche aléatoire 8

1 a. Le nombre de pas exécutés dans la fenêtre est 10. 7
b. La dernière valeur obtenue pour A a permis de faire un 6
pas horizontal, ce qui a lieu si A = 1.
5
en 8 pas

2 a. Voir ci-contre.
4
b. Ces points de coordonnées (x  y) sont alignés car la
3
somme des déplacements est constante : x y = pas.
Si x y = 3, alors y = –x  EST UNE £QUATION DE DROITE 2
en 3 pas
Si x y = 8, alors y = –x  EST UNE £QUATION DE DROITE 1

O 1 2 3 4 5 6 7 8 x

3 a.
Entrer un entier naturel pas
y et y prennent la valeur 0
Pour I allant de 1 à pas
A prend une valeur aléatoire entière entre 1 et 4
Si A = 1 alors
tracer le segment reliant les points de coordonnées (y ; y) et (y + 1 ; y)
y prend la valeur y + 1
Fin si
Si A = 2 alors
tracer le segment reliant les points de coordonnées (y ; y) et (y – 1 ; y)
y prend la valeur y – 1
Fin si
Si A = 3 alors
tracer le segment reliant les points de coordonnées (y ; y) et (y ; y + 1)
y prend la valeur y + 1
Fin si
Si A = 4 alors
tracer le segment reliant les points de coordonnées (y ; y) et (y ; y – 1)
y prend la valeur y – 1
Fin si
Fin pour

170 s 10. Probabilités


b.

10. 0ROBABILIT£S s 171


TP 6 Approcher par hasard


1
4

2 - EST Í LINT£RIEUR DU CERCLE SI /- ⩽ 1, c’est-à-dire si x 2 + y 2 1 .


3 et ●
4


5 Pour 20 000 points :

Pour 100 000 points :


6 a. Ne travailler que sur un quart du cercle divise par 4 le nombre de calculs pour une même
précision.
Ne pas afficher les points permet aussi à l’ordinateur d’économiser de nombreux calculs permettant
l’affichage.
b.

172 s 10. Probabilités


Corrigés des exercices et problèmes
Exercices d’application 12 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

13 a.
1 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. B
A C
2 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
D
3 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
A
4 a. 4IPHAINE PEUT SHABILLER DE  FA½ONS DIFF£
B C
rentes.
D
b. 4IPHAINE PEUT SHABILLER DE  FA½ONS DIFF£RENTES
avec des vêtements de couleurs différentes. A
5 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. C B
D
6
a. A
Un peu 5 15 % D B
Beaucoup 6 18 % C
Passionnément 9 27 %
À la folie 10 31 %
Pas du tout 3 9% b. Il y a 12 couples ordonnés possibles.
1
b. p =
6
 18 % c. p1 =
33 12
2 1
c. p =
30
 91 % d. p2 = =
33 12 6
6 1
7 a. p(A) =
4 e. p3 = =
9 12 2
1
b. p" 
3 2
2
14 a. p1 =
3
c. p(C) =
9
b.
2 P
d. p(D) =
9 C
8 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. T
C
9 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
P
3
10 Jeu 1 : la probabilité de gagner est . T
5
C
4
Jeu 2 : la probabilité de gagner est . T
7
4 2 P
Jeu 3 : la probabilité de gagner est " .
6 3
4 2
Pour comparer ces probabilités, on les réduit au c. p = =
6 3
même dénominateur :
3 63 4 60 2 70
"  "  " .
5 105 7 105 3 105
15 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
Le jeu offrant la plus grande chance de gagner est
donc le jeu 3. 16 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

11 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 17 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

10. 0ROBABILIT£S s 173


18 a. 23 a. p(A) = 0,5
70 % TOK p"   
p(C) = 0,4
POK b. A : « Le nombre choisi est impair ».
90 %
30 % TDéf p( A ) = 1  0,5 = 0,5
B : « Le nombre choisi est inférieur à 8 ».
p(B) = 1  0,3 = 0,7
70 % TOK C : « Le nombre choisi n’est pas premier ».
10 % p(C ) = 1  0,4 = 0,6
TDéf
24 a. La probabilité qu’il y ait au moins un train
30 % TDéf est 1 – 25 % = 75 %.
b. La probabilité qu’il manque au moins un train
b. p ( PD éf ; TD éf ) = 10 %  30 % = 3 % . est 1 – 5 % = 95 %.

c. p( un défaut ) = 90 %  30 % + 10 %  70 % = 34 %. 25 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.

19 1. a. V 26 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.


A
F 27 a.
V 15 %
............
B
F
60 %
E (............) 50 %
C (............)
V
C
F
V 35 %
............ 25 %
............
D
F
3 1 3
b.  = 25 %
4 2 8 ............
2. a. A b. 15 % des articles ne bénéficient d’aucune réduc-
B tion.
V c. 60 % des articles bénéficient d’une et une seule
C
réduction.
D
28 1. a. 60 % × (30 % × 250) = 45
A b. 20 % × (70 % × 250) = 35
B c.
F
C Ne
Commandent
commandent 4OTAL
D un repas
pas un repas
1 3 3
b.  = Classe
2 4 8 45 30 75
affaire
3. L’ordre des réponses n’a pas d’influence, car la Classe
probabilité d’avoir deux mauvaises réponses est la écono- 35 140 175
même. mique
20 a. La probabilité d’obtenir un yams de six est 4OTAL 80 170 250
1
.
7 776 30
2. a. = = 0,12
1 250
b. La probabilité d’obtenir un yams est .
1 296 140
b. p = = 0,64
250
21 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
80
c. p = = 0,32
22 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. 250

174 s 10. Probabilités


29 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève.
Exercices d’approfondissement
30 /N PEUT CONSTRUIRE LE TABLEAU SUIVANT LES
données en gras étant issues directement de 43 a. 3 × 2 × 3 = 18 menus.
l’énoncé : b. 2 × 3 = 6 menus.

S 4OTAL
44 a. 4 longueurs différentes.
S
b. 5 longueurs différentes.
M 10 % 15 % 25 %
45 4 × 3 × 2 = 24 façons différentes.
35 % 40 % 75 %
M 46 a. ,E MOT 02/"! POSSÞDE 5  4  3  2  1 = 120
4OTAL 45 % 55 % 100 % anagrammes.
b. ,E MOT 34!4 POSSÞDE  ¾  ¾  ¾    ANAGRAMMES
a. La probabilité que l’élève ne fasse pas de sport
EN CONSID£RANT QUE LES DEUX LETTRES 4 SONT DIFF£RENTI
mais joue d’un instrument est 15 %.
ABLES /N D£NOMBRE AINSI TOUS LES MOTS EN DOUBLE )L
b. La probabilité que l’élève pratique un sport est
y a donc en fait seulement 12 anagrammes du mot
45 %.
34!4
c. La probabilité que l’élève joue d’un instrument
est 25 %. 47 a. 13 × 19 = 247 choix.
d. La probabilité que l’élève fasse du sport ou joue 32  31
b. = 496 choix.
d’un instrument est 85 %. 2
19  18
c. Choix de 2 filles : = 171 possibilités.
31 a. ! ET " SONT INCOMPATIBLES DONC 2
p ( A  B ) = p ( A ) + p ( B ) = 0,4 + 0,5 = 0,9 . 13  12
Choix de 2 garçons : = 78 possibilités.
b. À l’aide d’un tableau, on peut voir que A  B est 2
l’événement contraire de A  B  /N A DONC 171
( )
p A  B = 1  0,9 = 0,1  0 , donc les événements A
Le professeur a même
78
 2,2 fois plus de possi-

et B ne sont pas incompatibles. bilités en choisissant deux filles.

2 1 48 Le nombre de pages sans publicité est


32 a. La probabilité de tirer un joker est = .
2 1
54 27  120 +  120 + 2 + 3 = 48 + 15 + 2 + 3 = 68 .
13 5 8
b. La probabilité de tirer un pique est . Le nombre de pages avec des publicités est donc de
54
c. La probabilité de tirer un pique ou un joker est 120 – 68 = 52. La probabilité de tomber sur une
15 5 52 13
= . publicité est de = .
54 18 120 30
1 49 a. La probabilité de répondre juste aux trois
33 a. p(A) =
1
3
1
2 premières questions est   = .
1  3 27 n
b. p"  1 1
3 b. La première valeur de n telle que   <
 3 1 000
1 1 1 1 2
c. p(A  "  et p(A  "  +  = est 7. Il faut donc atteindre 7 questions pour que la
6 2 3 6 3
probabilité de répondre juste tombe à 1 pour 1 000.

50 )L Y A  COUPLES ORDONN£S D£ N—   D£ N— 


équiprobables, dont 6 d’entre eux correspondent à
Exercices pour se tester DES ISSUES OÂ LES FACES SONT IDENTIQUES
6 1 5
Il y a donc une probabilité de 1  = 1  = que
34 à 41 Ces exercices sont corrigés dans le manuel 36 6 6
de l’élève. les deux faces ne soient pas identiques.

51 1. a. La probabilité de toucher un navire est


18 1
= .
144 8
Exercice résolu b. La probabilité de toucher un porte-avion est
5
42 Cet exercice est corrigé dans le manuel de l’élève. .
144

10. 0ROBABILIT£S s 175


c. La probabilité de toucher un cuirassier est leur chambre, avec les notations des probabilités,
8 1 on cherche p(A ∩ " 
= .
144 18 1 1
/N CONNA¦T p(A) = , p"  et p( A Š " ) = 60 %.
2  )L RESTE  CASES AVEC DES NAVIRES   CASES NONT 3 5
pas été jouées. La probabilité de toucher un navire
12 4 p(A ∪ "   n p( A Š " ) = 1 – 60 % = 40 %.
est donc de = . Comme p(A ∪ "  p! p" n p(A ∩ " ALORS
129 43
1 1
1 3 1 p(A ∩ "  p! p" n p(A ∪ "   – 40 %
52 a. p(A) =  = 3 5
3 4 4
10 6 12 4 2
2 3 1 =   " " .
b. p"   = 30 30 30 30 15
3 4 2
Deux adolescents sur quinze possèdent à la fois un
1 1 1
53 1. p(A) =  = ordinateur et un téléviseur dans leur chambre.
4 4 16
2. a. 56 1. /N PEUT CONSTRUIRE LE TABLEAU SUIVANT
Urne 1 Urne 2 les données en gras étant issues directement de
1 l’énoncé :
2 N
1 N B B Total
4
1 S
A 0,1 0,1 0,2
2
1 0,4 0,4 0,8
N A
3 2
4 S Total 0,5 0,5 1
1 S
2 a. p( A Š " ) = 0,1 b. p( A Š " ) = 0,4

1 1 1 c. p( A ‹ " ) = 0,6 d. p( A ‹ " ) = 0,9


b. p.  .   = . Il y a une chance sur 8 que
4 2 8 e. p( A Š " ) = 0,4
deux pays de l’hémisphère nord soient dans la
2. L’événement contraire de A ∪ " EST A Š " .
même poule.
1 1 3 1 1
c. p.  . p3  3   +  =
57 La probabilité que la chanson soit du rap ou
4 2 4 2 2 une chanson des années 80 est :
54 1. a. p(R  80) = p2 p(80) – p(R  80)
Helena Jamel      n     
8 La probabilité que la chanson ne soit ni du rap ni
15 R une chanson des années 80 est 1 – 0,48 = 0,52.
9
R
16 58 Il y a du brouillard ou il pleut :
7 V
365 – 45 = 320 jours par an.
15
9 Il pleut et il y a du brouillard :
15 R   n    JOURS PAR AN
7
16 V
6 V
15
9 8 3
Problèmes
b. p2  2   =
16 15 10 59 En quatre ans, il y a un seul 29 février pour
9 7 7 9 21        JOURS ,A PROBABILIT£
c. p2  6 p6  2   +  =
16 15 16 15 40
d’être né le 29 février est donc .
7 1 1 461
2. p = =
14 2 Le nombre de personnes en France nées un
55 En notant p(A) la part des adolescents possé- 29 février peut être évalué à :
dant une télévision dans leur chambre et p" LA 66 000 000
 45 174 personnes.
part des adolescents possédant un ordinateur dans 1 461

176 s 10. Probabilités


60 ,INTERVALLE ;  = EST DE LONGUEUR  62 La probabilité qu’une vis sortant de l’usine soit
a. Pour obtenir 6, il faut se situer dans l’intervalle défectueuse est :
=   = DAMPLITUDE  
25 %  22 + 45 %  12 + 30 %  14
0,5 1 = 0,151 .
Donc la probabilité d’obtenir 6 est = . 1 000
5 10
b. /N PEUT £TABLIR AINSI LA PROBABILIT£ DE TOUTES LES 63 Les snowboarders de plus de 20 ans représen-
issues : 1 1 1
tent  = des personnes.
3 4 12
Nombre
1 2 3 4 5 6 La probabilité que la prochaine personne qui se
obtenu
présente à la remontée mécanique soit un skieur de
1 2 2 2 2 1
Probabilité 1 1 6 1 5
10 10 10 10 10 10 plus de 20 ans est  =  = .
2 12 12 12 12

98
La probabilité d’obtenir un nombre pair est 64 a. Il y a = 36 choix possibles, donc une
2
2 2 1 5 1 chance sur 36 d’avoir les deux bonnes étoiles.
+ + = = .
10 10 10 10 2
1 1 1
b. p =  =
2118760 36 76 275360
61 Traduction de l’énoncé
12 w 11 w 10 w 9 w 8 55
Peut-être ? 65 a. "
12 w 12 w 12 w 12 w 12 144
Chantal veut utiliser le vélo que son ami lui a 55 89
prêté. Malheureusement, elle a oublié le code de b. 1  "
144 144
trois chiffres de l’antivol.
365 w 364 w 363 w 362 w 361
Avec patience, elle procède méthodiquement c. 1  ~ 0,0271 ! 3 %
par essais successifs pour retrouver cette combi- 365 w 365 w 365 w 365 w 365
naison. Chaque essai lui demande environ
2 secondes. 66
a. 0OUR REMPLIR LES COLONNES ! ET " ON PEUT SOIT
donner un terme initial en ligne 2 et écrire une
FORMULE EN LIGNE  i !  w EN COLONNE ! i "  w
EN COLONNE " Í RECOPIER SOIT SAISIR LES LIGNES  ET 
les sélectionner puis les recopier vers le bas.
b. &ORMULE SAISIE EN #  i " w
Formule saisie en D2 : « =1–C2 ».
c. Ci-dessous un extrait de la feuille :

Chantal pense qu’elle a peu de chances de


trouver la bonne combinaison en moins de
30 minutes.
Êtes-vous d’accord avec elle ? Justifier.

Il y a 103 = 1 000 combinaisons possibles.


Pour les tester toutes, elle aura besoin de
1 000 × 2 = 2 000 secondes, soit 33 minutes et
 SECONDES /N PEUT DONC CONSID£RER QUELLE A UNE
probabilité de trouver la bonne combinaison en
30 w 60 9
moins de 30 minutes de " " 90 % .
2 000 10
/N PEUT DONC NE PAS ãTRE DACCORD AVEC #HANTAL Par exemple, pour une classe de 35 élèves, la proba-
car elle a de grandes chances de trouver la bonne bilité qu’au moins deux personnes soient nées le
combinaison en moins de 30 minutes. même jour est environ 81 %.

10. 0ROBABILIT£S s 177


67 a. 68 1. La fréquence d’apparition du « pile » est
Premier 24
= 48 %. Ce résultat paraît conforme car il est
choix du 50
candidat assez proche de l’équiprobabilité théorique (50 %)
Boîte Boîte Boîte pour un échantillon de seulement 50 expériences.
gagante perdante perdante
2. a. L’algorithme choisit un nombre au hasard
Deuxième entre 0 et 1, il suffit alors de choisir lequel repré-
choix du
candidat sente « pile » par exemple.
b. ° CHAQUE FOIS QUE ! PREND LA VALEUR  " AUGMENTE
Gagné

Gagné

Gagné
Perdu

Perdu

Perdu
DE  " CONTIENDRA LA VALEUR  APRÞS LES  PREMIERS
LANCERS ! PREND ALORS LA VALEUR  COMME " EST PLUS
grand que C (qui vaut 0), C prend la valeur 3 et
" PREND LA VALEUR 
b. ,E RAISONNEMENT DE 'AUTHIER EST LE BON 3I LE
c. " COMPTE LE NOMBRE DE  CONS£CUTIFS G£N£R£S
candidat choisit une boîte et n’en change pas, il
dans A. Il se réinitialise à 0 lorsqu’une série est inter-
a forcément une chance sur trois de gagner. Il est
ROMPUE # STOCKE LA PLUS GRANDE VALEUR DE " RENCON
plus probable d’avoir une boîte perdante après le
trée, c’est-à-dire la longueur de la plus grande série
premier choix, il vaut donc mieux en changer. Par
de 1 réalisée.
contre la suite de son raisonnement n’est pas expli-
quée. 3. a. Dans la série de Nina, la plus grande série de
/N PEUT OBSERVER SUR LARBRE LES DEUX STRAT£GIES )L « pile » est de longueur 2 et la plus grande série de
y a 6 issues possibles, entourées d’un ovale celles « face » est de longueur 3. Ce résultat ne semble pas
correspondantes à la stratégie « garder sa boîte », des plus courants, on peut même observer une série
entourées d’un rectangle les issues correspondantes de douze 1 consécutifs.
à la stratégie « changer de boîte ». b. "IEN QUE PEU PROBABLE .INA AURAIT PU OBTENIR
En gardant sa boîte, on a une chance sur trois de ces résultats sans tricher, c’est pourquoi le profes-
gagner alors qu’en changeant de boîte, on a deux seur a pris soin d’accuser Nina avec réserve (« Nina
chances sur trois de gagner. a probablement triché… »).

178 s 10. Probabilités


Notes

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