Machine Translated by Google

BAPTÊME DANS LE SAINT­ESPRIT (I)

Par Reinhard Bonnke

Lors d’une de mes réunions de campagne en Afrique – en novembre 2000 – plus d’un million de personnes ont vécu en même temps
une expérience extraordinaire. Ils ont tous été baptisés du Saint­Esprit.

En Europe, je suis sûr que 90 pour cent de la population n'a jamais entendu parler d'une telle chose. Pour eux, le Saint­Esprit ne signifie rien de
plus que les mathématiques pour les brebis. Les choses de l’Esprit de Dieu appartiennent à un royaume qui se trouve à un million d’années­
lumière, métaphoriquement parlant, du monde impie dans lequel nous vivons aujourd’hui. Il n'y a rien d'autre de pareil.

Ce fossé a toujours été là. Les gens ne savent pas ce que c'est que de rencontrer Jésus­Christ jusqu'à ce qu'ils le fassent. Et ils ne comprennent
pas les gens qui l'ont déjà rencontré, surtout ceux qu'il a baptisés dans l'Esprit.

Le signe du Christ
Maintenant, quelle a été la première chose qui a été dite à propos de Jésus ? C'était cette prophétie étonnante : qu'il baptiserait les gens dans
le Saint­Esprit et le feu (Matthieu 3 :11, Luc 3 :16). Jean­Baptiste a été envoyé par Dieu pour annoncer la venue de Jésus et dire aux gens
comment ils pourraient l'identifier. Il existe de nombreuses religions, mais le Christ se démarque. Avant même qu’il ne commence son
ministère, on disait aux gens qu’il devait être reconnaissable comme la personne qui baptise du Saint­Esprit.

Nous avons le droit de savoir à qui nous avons affaire. Il existe de nombreux esprits, de nombreuses religions et de nombreuses expériences.
Quelle garantie d’authenticité avons­nous ? Comment pouvons­nous être sûrs que nous avons affaire au vrai Christ et non à un imposteur ?
Le signe du vrai Fils de Dieu est qu'il baptise du Saint­Esprit. Demandez à Jésus de vous donner l’Esprit et vous n’obtiendrez pas de
scorpion – c’est sa promesse.

Il est intéressant de noter que Jésus n’a pas baptisé de l’Esprit pendant qu’il était ici sur terre, mais seulement après son retour au ciel. Le
plan était que nous reconnaissions les signes de sa présence après qu'il ait accompli son rôle céleste, qui est de baptiser dans l'Esprit. Le
baptême dans l'Esprit n'était pas un signe donné aux disciples lorsqu'ils étaient avec lui. Ce n’est pas seulement quelque chose que nous lisons et
qui s’est produit il y a longtemps dans l’histoire. C'était – et c'est toujours – le signe de son identité actuelle ; il n'a jamais été modifié ni retiré.
C'était pour caractériser Jésus pour tout l'âge chrétien.

Qu'est­ce que le baptême ?

Le mot « baptême » peut nous sembler étrange aujourd'hui, mais en fait, c'est un mot assez ordinaire en grec, signifiant « plongé » ou
« immergé ». Il était particulièrement utilisé pour désigner le trempage d’un tissu dans de la teinture. C'est une image magnifique ! Le tissu était
dans la teinture et la teinture dans le tissu. Au fur et à mesure que le tissu s'imprégnait de teinture, il prenait sa couleur. Le baptême consiste donc
à assumer le caractère de l'élément dans lequel quelque chose est plongé. Jean­Baptiste baptisait les gens dans le fleuve froid du Jourdain et
les laissait humides et froids. Le baptême du Christ dans l'Esprit, c'est­à­dire que nous assumons le caractère de l'Esprit, est comme un feu
liquide.

La Bible nous dit que le caractère de Dieu est celui d'un feu dévorant. Le feu dans les Écritures a plusieurs significations, pas toujours
négatives. Luc 3:17­18 (NIV) dit : « 'Il brûlera la balle dans un feu qui ne s'éteint pas.' Et avec bien d’autres paroles, Jean exhortait le peuple
et lui prêchait la bonne nouvelle . » Le feu est synonyme de bonne nouvelle, pas de jugement.

Le feu transforme les os secs

Dans l'histoire de la prophétie d'Ézéchiel sur la vallée des ossements desséchés, les os se sont rassemblés et sont devenus une armée
d'hommes vivants de chair et de sang. Dieu a insufflé la vie à ces os sans vie. Mais il existe une autre façon de traiter les os secs : par le feu.
Peut­être avez­vous de la porcelaine tendre à la maison. C'est une vaisselle très fine, et elle sonne comme une cloche quand on tape dessus avec
une cuillère. La porcelaine tendre est au départ des tonnes de vieux os, réduits en poudre. Cette poussière d'os est mélangée à de l'argile blanche,
qui est ensuite moulée, façonnée, décorée et passée au four. Des feux sort alors une belle porcelaine d’un blanc pur qui orne nos tables.

Il y a des chrétiens arides – des chrétiens arides, dirions­nous. Mais lorsque ces squelettes spirituels, croyants sans vie, sont baptisés du
Saint­Esprit et reçoivent le feu de Dieu dans leurs os mêmes, ils apparaissent comme des vases que Dieu peut utiliser dans ses desseins. Le
processus laisse sa marque pure, indubitable et merveilleuse. Tout comme un potier utilisant son four, Dieu utilise le feu pour produire son
œuvre. « Nous sommes son ouvrage, créés en Jésus­Christ pour de bonnes œuvres » (Éphésiens 2 : 10). Nous sommes sa bonne
œuvre, faits pour produire de bonnes œuvres.
Machine Translated by Google

Oubliez les sentiments

Le baptême dans l'Esprit apporte une puissance permanente mais pas un sentiment permanent de puissance. Nous ne mesurons pas le pouvoir par les
sentiments ou par ce que nous voyons. Les fils, capables de transporter 110 000 volts, ont exactement la même apparence, qu'ils transportent du
courant ou non. De même, nous ne pouvons pas juger notre propre puissance musculaire par nos sentiments, mais uniquement par l'expérience. Les
hommes forts ne sentent pas leur force. Ils ne peuvent pas s'asseoir et profiter de leur force au coin du feu. Cependant, lorsqu’on leur demande de soulever
un poids lourd, ils connaissent leur force et le font.

La puissance de Dieu est un trésor dans des « jarres d’argile », comme le dit Paul (2 Corinthiens 4 : 7). Lorsque nous nous asseyons et nous reposons,
ou si nous sommes occupés dans telle ou telle préoccupation, nous ne nous sentons pas pleins de puissance. Au contraire, nous nous sentons complètement
ordinaires ; nous ne sommes pas conscients de sa grande puissance sur nous. Presque toutes les prières pour le pouvoir visent en réalité à ressentir un
sentiment de pouvoir, à ressentir le battement ou la pulsation, mais en réalité, c'est passer à côté de l'essentiel. La force est évidente lorsqu’elle est
utilisée. Un homme soulève les haltères et sa force apparaît. Le pouvoir spirituel est une force latente dans notre esprit. Mais lorsque les circonstances
exigent d’y recourir, cette force est là. L’approvisionnement est immédiat et répond aux besoins au fur et à mesure qu’ils se présentent.

Certains ne font jamais rien pour Dieu parce qu'ils ne « sentent » pas qu'ils en ont le pouvoir ou la force. Ils continuent de prier pour obtenir le pouvoir avant
d’agir. Juste parce qu'ils ne se sentent pas puissants, ils continuent de prier pour ce qu'ils ont probablement déjà. Quelle perte de temps et d'efforts! S’ils
connaissent Dieu, sa puissance sera là quand ils en auront besoin. Les hommes riches ne transportent pas des millions de dollars avec eux. Ils peuvent puiser
dans leurs ressources quand bon leur semble sans avoir les poches pleines d’argent. Nous n'avons pas besoin de trembler sous le poids de la
puissance divine du petit­déjeuner jusqu'au dîner. Et de toute façon, cela ne dépend pas de nous !

Ce que nous faisons, c’est parce que c’est lui qui a tout le pouvoir – pas nous. C'est tout ce qui compte.

Je viens de parler des hommes forts. Leur force les oblige­t­ils à travailler avec beaucoup d’énergie et d’enthousiasme ? Pas du tout!
Ils peuvent être forts mais paresseux. Peut­être qu’ils ne font jamais autre chose de leur temps que de l’utiliser pour développer leurs muscles.
Le genre de pouvoir que certaines personnes demandent à Dieu est en réalité quelque chose qui les enthousiasme et les pousse à témoigner et à travailler, un
pouvoir irrésistible, pour surmonter leur léthargie ou pour vaincre leur peur et leur réticence. Ils veulent que Dieu leur donne une telle impulsion qu'ils ne
peuvent s'empêcher de sortir et de se retrouver simplement à témoigner, propulsés au service. Ce n'est qu'une tarte dans le ciel. Cela n'arrivera pas .
Dieu ne vous oblige jamais à le servir malgré vous.

C’est souvent le genre de pensée qui se cache derrière les prières pour le réveil : « Ravive­moi, ô Seigneur, mets­en un peu en moi, capture­moi et
envoie­ moi. » C'est une prière vaine. Nous bénéficions de nombreuses incitations, nous pouvons être exhortés et encouragés par tout le monde, mais
aucune force invisible ne nous fera sortir de notre chaise au coin du feu et nous mènera dans la rue. Se lever et partir est notre part du marché. Dieu attend
que nous franchissions cette étape. Il demande : « Qui dois­je envoyer ? Et qui ira pour nous ? (Ésaïe 6:8). Il n'y a pas de conscription dans le Royaume de
Dieu. Une seule chose est sûre : une fois debout, face au diable, nous pouvons nous attendre à ce que l’Esprit de Dieu soit avec nous.

BAPTÊME DANS LE SAINT­ESPRIT (II)

Un flux continu
Les premiers chapitres du livre des Actes nous disent que le jour de la Pentecôte, les disciples furent remplis du Saint­Esprit. Le reste du livre montre
qu'ils ont continué à se remplir, d'instant en instant, sans interruption. Jésus a décrit ce remplissage du Saint­Esprit comme une rivière (voir Jean 7 :38).

Permettez­moi d'utiliser une illustration moderne : pensez simplement à une batterie de voiture. Vous n'avez besoin de le brancher sur un chargeur que si la
voiture n'est pas utilisée. Si vous conduisez la voiture, la batterie se charge au fur et à mesure. Le moteur a besoin de courant pour fonctionner mais il
produit son propre courant en travaillant. Le moteur entraîne l'alternateur et l'alternateur alimente le moteur en courant. Si nous continuons à avancer pour
Dieu et à faire ce que Dieu veut, nous ne sommes jamais épuisés.

En Californie, à l’hiver 2001, il y a eu une crise de l’électricité. Les grandes compagnies d’électricité ont connu des difficultés financières. Des
millions de personnes étaient privées d'électricité. Mais la puissance de Dieu ne s’effondre pas à cause d’un problème d’argent. Que nous soyons riches ou
pauvres, la promesse de la puissance de Dieu est nôtre. De plus , on ne peut pas acheter d’électricité. Être baptisé du Saint­Esprit ne signifie pas combien
d’argent nous avons donné à une bonne cause.

Parfois, les centrales électriques ne parviennent pas à répondre à la demande, mais la puissance de Dieu ne manque jamais. En fait, avec Dieu, une panne
de courant n’existe pas. Vous ne pouvez jamais utiliser les énergies du Saint­Esprit, peu importe combien vous en puisez.
Machine Translated by Google

"
sur eux ou à quel point vous travaillez dur. L'Écriture dit Ta force sera égale à tes jours » (Deutéronome 33 :25). Nous
qu'il faut comprendre que Dieu ne partage pas sa puissance selon nos mérites. Il n'évalue pas notre pouvoir à l'aune de notre valeur mais à
l'aune du travail à accomplir.

Il y a autant de puissance et de bénédictions aujourd’hui que lorsque Paul entreprenait ses itinéraires missionnaires. Il y a autant de
puissance cette semaine que la semaine dernière, cette année comme la dernière ou la suivante ; il y a autant de pouvoir dans un endroit
que dans un autre, dans un pays ou dans une réunion que dans un autre. La puissance de Dieu est intacte, immuable, pleine tension, puissance
maximale et ampérage parfait. Dieu n’est jamais moitié moins avec vous à un moment qu’à un autre, et jamais deux fois plus parfois non plus.
Dieu n’a pas de puissance maximale, parce que sa puissance est toujours à son apogée.
Si vous avez un jour de congé, ce n'est pas le cas. Si vous vous sentez faible, ce n'est pas grave. La force de Dieu n’a rien à voir avec ce que
vous ressentez. Et de toute façon, sa force s’accomplit dans votre faiblesse (2 Corinthiens 12 : 9).

Lorsque Dieu a envoyé Moïse pour délivrer Israël d’Égypte, Moïse était inquiet. « Qui suis­je pour aller trouver Pharaon et faire sortir les
Israélites d’Égypte ? » a­t­il demandé (Exode 3:11). Eh bien, Dieu ne se faisait aucune illusion ; il savait très bien qui était Moïse. Ce n'était pas le
sujet ; le facteur décisif était de savoir qui envoyait Moïse faire le travail. « Je suis qui je suis », a dit Dieu ; c'était suffisant (Exode 3:14). Ce n'est
pas qui noussommes qui compte, mais qui est celui qui nous équipe et nous envoie.

La puissance spirituelle est renouvelée, selon nos besoins

Paul prie pour les Éphésiens afin que « les yeux de votre cœur soient éclairés afin que vous connaissiez une grande puissance … son
incomparable POUR NOUS qui croyons. Cette puissance est semblable à l’action de sa grande force, qu’il a exercée en Christ lorsqu’il l’a
ressuscité des morts » (Éphésiens 1 : 18­20).

Le mot grec que Paul utilise ici pour décrire la grandeur des ressources disponibles est megethos. Lorsque les scientifiques ont créé la bombe
nucléaire, ils voulaient un mot permettant de mesurer la plus grande force explosive connue ; c'était ça. La force de cette arme se mesure
en mégatonnes, soit une ou deux mégatonnes de puissance. Mais Paul va encore plus loin et parle d’« hyper » mégethos – de super
grandeur. « Méga galactique », pourrait dire un adolescent aujourd’hui. C'est ainsi que nous devrions mesurer notre efficacité dans le service
chrétien, et c'est la ressource dont dispose chacun des serviteurs de Dieu. Ne vous y trompez pas : c'est un pouvoir de résurrection et de
résurrection.

Certains commencent encore les réunions ou services chrétiens en réprimandant toutes les puissances du mal présentes sur place. Mais ce
n’est pas un moment où les puissances du mal seront particulièrement présentes – en fait, c’est la chose la moins probable ! Si les gens se
rassemblent au nom de Jésus, ce n’est certainement pas le cas des démons ! En fait, s'ils avaient un peu de bon sens, ils resteraient à l'écart !
Il me semble très étrange que lorsque nous nous réunissons au nom de Jésus, nous commencions si souvent par attribuer le mérite au
diable de nous avoir rejoint. Cependant, il y a quelqu'un qui est là chaque fois que les gens se rassemblent au nom du Christ : le Saint­Esprit. Il
est là avec toute sa force lancinante. Mais il n'est pas là seulement lorsque nous assistons à un bon service religieux ; il n'est jamais absent.

Quand l’Esprit de Dieu est là, tout peut arriver, et seuls les cœurs ennuyeux et flegmatiques peuvent l’empêcher. Les miracles sont une possibilité
omniprésente là où il se trouve. Le Saint­Esprit est toujours présent lorsqu’il y a une action pour Dieu n’importe où. Si vous ne travaillez pas pour
Dieu, vous n’avez pas besoin de pouvoir et vous n’en obtiendrez pas. Mais une fois que vous êtes baptisé dans l’Esprit, la puissance est
imparable.

La puissance de Dieu EST Dieu

La puissance de Dieu n’est pas une puissance impersonnelle qui peut disparaître. La puissance du Saint­Esprit est la personne du Saint­Esprit et
ne s’évapore pas, ne disparaît pas et ne fuit pas. L’usure au fil du temps n’existe pas avec Dieu. Si vous étiez rempli du Saint­Esprit aujourd’hui,
vous le seriez encore dans un demi­siècle, ou dans mille ans, car mille ans pour Dieu sont comme un jour pour nous.

Paul pouvait dire aux Romains un an ou deux à l'avance qu'il viendrait « dans la pleine mesure de la bénédiction du Christ » et qu'il « communiquerait un don spirituel »
(bénéfice) à l'Église (et non à un individu) lorsqu'il est venu (Romains 15 :29 et 1 :11). Il connaissait le flux constant et constant de l'Esprit de Dieu. Le seul moment où

les chrétiens ont besoin d’être rechargés, c’est lorsqu’ils ont cessé d’obéir et que leurs contacts avec Dieu se sont corrodés. Ils doivent mettre de l’ordre dans leurs
actes et recommencer à bouger.
Machine Translated by Google

Un de mes amis était en train de nettoyer son garage et a jeté un morceau de métal dans un coin où se trouvait ce qui semblait être un tas
d'ordures. Cela a provoqué des étincelles vives et audibles. L'enquête a révélé une vieille batterie de voiture. La barre d'acier était en court­
circuit à ses bornes. Les cellules contenaient encore une certaine charge, alors il les sortit pour une éventuelle utilisation future.

Pour certaines personnes, cela pourrait être une parabole : vous avez abandonné et pensez que le courant a disparu. Cela ne va jamais.
Éliminez les déchets et vous constaterez que Dieu ne s’éteint pas si facilement.

Pas une doctrine froide

Le baptême du Saint­Esprit n’est pas une doctrine froide. Jean­Baptiste baptisait les gens dans les eaux froides du Jourdain, mais le Christ
devait baptiser comme dans une rivière de feu. Il exprime la différence entre les systèmes religieux froids et la réalité de Dieu qui est « un feu
dévorant ». Un feu de bois brûlait sur l'autel du Temple, mais le Christ devait allumer le feu divin sur l'autel des cœurs humains.

Jésus a certainement répondu à ces attentes. Cela, au moins, appartient à l’histoire. Ses partisans ont acquis une foi brûlante. « Les
disciples allaient prêcher partout, et le Seigneur œuvrait avec eux » (Marc 16 :20). Ils ont enflammé le monde païen sombre et froid. Ils ont fait
fondre l'Empire de Fer, ont conquis les conquérants. Les empereurs s'inclinèrent devant Celui qu'ils avaient crucifié comme un criminel.
Seule la puissance de Dieu pouvait réaliser de telles merveilles. Le secret était que des gens humbles, baptisés par le feu, flamboyaient pour
Dieu.

C'était comme ça. Cependant, au fil des siècles, les choses semblent changer. Les gens avaient du feu à l’époque, mais n’y a­t­il plus que
des bougies aujourd’hui ? Est­ce une succession apostolique ? Si nous faisons partie de la lignée qui commence par les apôtres, il devrait
sûrement y avoir autre chose que de longues robes, qui montrent la similitude. Nous avons besoin du véritable manteau apostolique, mais
certains le craignent comme s’il était ensorcelé. Combien de personnes pensent aujourd’hui au christianisme en termes de feu ? De plus en
plus de gens vont à l’église pour les funérailles plutôt que pour la vie. Et certaines églises ne sont souvent que des clubs sociaux ou des centres
culturels avec une poignée de cérémoniaux religieux. Une église a même annoncé qu’elle était « le centre mort de la ville » !

Mais il y a une chose qui me rend heureuse : les objets morts et secs s’enflamment facilement. C'est ce que je veux voir ! Nous devrions être
comme des braseros prêts à réchauffer les rues gelées de nos villes et à redonner de l'éclat à la vie grise des gens. Pierre a dit : « La
promesse est pour vous et vos enfants et pour tous ceux qui sont loin » (Actes 2 :39). Nous sommes admissibles ; nous sommes loin.

Comme je l'ai déjà dit, Jésus n'a baptisé personne de feu au cours de sa vie terrestre. Il a dit qu'il le ferait après être allé vers Dieu. Et il l’a fait,
à partir du jour de la Pentecôte rapporté dans Actes 2. Cette période « après qu’il soit allé vers Dieu » se poursuit encore. Il n'y a pas de
changement de programme. Jésus est toujours le baptiseur dans le Saint­Esprit ; il n'a pas pris sa retraite ni changé de rôle. Comment
pourrait­il le faire, alors que la promesse s’adresse à des gens « lointains » ?

Laissez­moi vous raconter l’étonnante histoire du Christ conquérant dans les premiers temps. Aussi longtemps que l’Empire romain existait, c’est
là que l’Évangile était contenu, prêché aux Juifs et aux Gentils uniquement autour de la Méditerranée. Les barbares du nord n’étaient pas
considérés comme des convertis possibles. Mais d’une manière ou d’une autre, le feu a commencé à vaciller dans le nord, et aussi rapidement
que Rome a été convertie, les tribus du nord, les peuples germaniques, les Anglo­Saxons, les Vikings, les Pictes et les Écossais l’ont également été.
Ils allèrent piller les terres chrétiennes et furent eux­mêmes conquis par la foi de leurs victimes. Ils portèrent alors à leur tour le feu bien au­
delà du monde connu de Rome, jusqu'en Orient et « jusqu'aux extrémités de la terre » (Actes 1 : 8).

Et aujourd'hui ? Un nouveau chapitre des Actes des Apôtres est en cours d'écriture. Il y a quatre­vingt­seize ans, une vingtaine de personnes,
noires et blanches, étaient assises face à face sur des planches de bois dur et des fûts à clous dans un quartier délabré d'une ville
américaine. Ils avaient vu ce que promettait la Parole de Dieu, à savoir que la puissance était accessible à tous dans le baptême de l’Esprit. Ce
n’était qu’une petite étincelle, mais elle a provoqué une explosion spirituelle qui s’est propagée vague après vague à travers les nations.
Près d’une personne vivante sur dix a déjà été atteinte, soit près de 600 millions dans un monde de 6 milliards. Ses poussées deviennent
chaque jour plus puissantes. Aujourd’hui, le baptême du Saint­Esprit anime des dizaines de millions de nouveaux croyants dans
l’évangélisation puissante. Beaucoup d’entre eux n’ont jamais mis les pieds dans une église historique ou principale, mais ont simplement
attrapé le feu des autres.

BAPTÊME DANS LE SAINT­ESPRIT (III)

L'importance de l'enseignement
Comme le baptême du Saint­Esprit a été enseigné, il a révélé une nouvelle vérité importante sur l’Esprit. L’Esprit était autrefois considéré
comme une présence générale disséminée, agissant en douceur, invisible et non réalisée. Selon les mots d'un hymne ancien, « il vient donner
une douce influence, douce comme le souffle du soir ». Je suis sûr que le Saint­Esprit est tout
Machine Translated by Google

omniprésent et réalise ses objectifs dans la vie même lorsque nous n'en sommes pas conscients. Mais ce n’est pas ainsi que l’Écriture
fait référence à l’Esprit. Les références concernent normalement son activité. Il vient vers les croyants (pas vers le monde) et ils en sont
très conscients. La plus frappante de ces manifestations est le baptême dans le Saint­Esprit.

Certains ont une étrange aversion pour le surnaturel et pour le parler en langues. Pourquoi je ne sais pas. Pourquoi quelqu’un devrait­
il détester un don de Dieu clairement encouragé dans les Écritures ? Je ne refuserais aucun cadeau de quelqu’un que j’aime. Je ne
songerais pas à refuser ne serait­ce qu'une marguerite cueillie sur la pelouse par l'un de mes petits­enfants, mes enfants ou ma femme.
Si nous aimons Dieu, comment pouvons­nous mépriser les langues, son don spécial ?

Certains s’attaquent à cette merveille pentecôtiste avec toute l’érudition dont ils disposent. Ils s’inoculent l’incrédulité. Ils utilisent un
sérum de théories contre la Pentecôte actuelle pour lesquelles il n’existe aucune garantie biblique. Ils parlent de « diviser correctement
la Parole de Dieu » alors qu’en réalité ils la massacrent. Ils en laissent des parties mortes comme du mouton et des promesses
enfouies dans la tombe de l'incrédulité. Ils se convainquent eux­mêmes et se retirent de ce que les apôtres ont reçu. Ils s'excluent
eux­mêmes; Je veux être exclu ! Mais une chose est au­delà de toute controverse : lorsque la Bible parle d’un acte positif de
renforcement de l’Esprit dans la vie des croyants, c’est toujours en termes de signes et de preuves physiques. C'est la Bible ! Voulons­
nous une religion biblique ou une marque douce et vidé ?

Parler en langues Le Baptême

dans l'Esprit avec le parler en langues est la nouvelle Réforme. Il renforce toute la doctrine évangélique basée sur la Bible
et donne une nouvelle dimension à l’enseignement chrétien. Le parler en langues signifie que les vérités spirituelles revêtent un
caractère physique.

La foi fondée sur la Bible a toujours eu deux faces. Depuis la nuit des temps, l’Esprit a toujours opéré dans la sphère physique
comme dans la sphère spirituelle. Le baptême dans l’Esprit est simplement typique de ce qu’est le Saint­Esprit. Je vais vous montrer
cela tout à l'heure. Cela affectera forcément le corps et l'âme parce que l'Esprit a toujours été en relation avec l'ordre physique et matériel
tout autant qu'avec l'ordre spirituel. Marc 16 :20 dit « le Seigneur confirma sa parole par les signes qui l'accompagnaient ». L’un de ces
signes était le parler en langues.

Laissez­moi vous montrer ce que je veux dire – en commençant par l'Ancien Testament. Les prophètes d’autrefois n’étaient pas baptisés
dans l’Esprit, et l’Esprit ne les « habitait » pas non plus ; ils ont été émus lorsque l’Esprit est venu sur eux. C’est quelque chose
qui les a marqués en tant que prophètes. Des miracles se produisaient aussi parfois. Lorsque ces effets surnaturels furent constatés, ils
furent imputés au souffle de Dieu. Or, en hébreu, le mot pour « souffle » est le même que le mot pour « esprit » – ruwach.
Lorsque Dieu toucha le roi Saül, tout le monde put voir que c’était ce qui lui était arrivé. Ils disaient que le souffle, ou l'Esprit, de Dieu
était venu sur lui.

L'Esprit des prophètes

Le baptême dans l'Esprit confère aux croyants l'Esprit des prophètes. Lorsque les prophètes faisaient l’expérience de Dieu de manière
surnaturelle, ils l’appelaient « l’Esprit des prophètes ». Joël 2 :28 promet que ce même Esprit des prophètes serait répandu sur toute chair
et que toutes sortes de personnes prophétiseraient ; l'Esprit ne viendrait plus sur les individus ici et là. De plus, la puissance de l’Esprit ne
serait pas donnée pour une tâche isolée mais comme un don permanent en Christ à tous.

Cela ne veut pas dire que tous ceux qui sont baptisés dans l’Esprit des prophètes feront exactement ce qu’Élie ou Isaïe ont fait. 1
Corinthiens 12 :29 demande à juste titre : « Tous sont­ils des prophètes ? Néanmoins, l’Évangile lui­même a une qualité prophétique
irréductible. Si nous prenons sur nous de partager l’Évangile avec les autres, nous avons besoin de l’Esprit de prophétie pour transmettre
ce message avec une authenticité prophétique.

Israël croyait que Dieu était toujours présent et toujours à l’œuvre dans les coulisses. Les Psalmistes demandaient à Dieu de sortir des
cachettes de sa puissance, mais ils savaient qu’il était là. Lorsqu’il est allé au combat contre Israël, il l’a fait par son Esprit. Lorsque
le vent séparait les eaux de la mer Rouge, c'était « par le souffle de ses narines » (Exode 15 : 8) – en d'autres termes, par son
souffle. Lorsque les prophètes prophétisaient, c’était Dieu à l’œuvre, mais Dieu venant comme l’Esprit du Seigneur. Pierre a utilisé les
mêmes termes lorsqu'il a écrit : « Toute Écriture est inspirée de Dieu » (2 Tim 3 : 16).

"
Le premier jour de la Pentecôte, un bruit semblable à celui d'un vent violent remplit toute la maison où ils étaient assis... et des langues
de feu se posèrent sur chacun d'eux » (Actes 2 :2­3). Ils parlaient tous dans des langues nouvelles, « annonçant les merveilles
de Dieu » (Actes 2 : 11). La prophétie de Joël était que jeunes et vieux prophétiseraient, comme Pierre
Machine Translated by Google

a souligné : « C'est ce qui a été dit par le prophète Joël » (Actes 2 : 16). En lisant le reste de son discours, il est clair qu’il assimile les
nouvelles langues à la prophétie. Fondamentalement, la prophétie est une énonciation sous la puissance de Dieu.

L'expérience du Christ de l'Esprit de Dieu

Christ a eu une expérience humaine de la part de Dieu pour montrer ce que devrait être l'expérience humaine parfaite. Les Évangiles de
Matthieu, Marc et Luc rapportent tous l’Esprit venant sur Christ. Le quatrième évangile donne plus de détails. Jean­Baptiste, le précurseur
de Jésus, a déclaré : « J'ai vu l'Esprit descendre du ciel comme une colombe et demeurer sur lui. »
(Jean 1:32). Jésus lui­même a expliqué : « L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer la bonne nouvelle » (Luc 4 : 18).
»
Pierre, le grand apôtre, a dit : « Dieu a oint Jésus de Nazareth du Saint­Esprit et de la puissance (Actes 10 : 38).

Puis Jean­Baptiste ajoute quelque chose de très important : « Celui qui m'a envoyé baptiser d'eau m'a dit : 'L'homme sur lequel tu vois l'Esprit
descendre et demeurer, c'est celui qui baptisera du Saint­Esprit.' '» (Jean 1:33). Jésus était
le premier d’une multitude, le premier homme baptisé par le Saint­Esprit sur terre. Jean 3 : 34 dit « Dieu donne l'Esprit sans limite » et Jean
1 : 16 déclare « de la plénitude de sa grâce, nous l'avons tous reçu ». C’est la merveilleuse vérité : ce qu’il a reçu était pour nous. Il
a été comblé pour nous afin que nous puissions, à notre tour, être remplis de sa plénitude infinie.

Jésus s'est identifié à nous tous. Il avait besoin d’être baptisé, dit­il, car « il nous convient de faire cela pour accomplir toute justice »
(Matthieu 3 : 15). Avec Jean, il établit un modèle qui devait se perpétuer à travers les âges. Tout ce qu'il a fait était pour nous. Il est né pour
nous, a vécu pour nous, a été baptisé dans l'eau pour nous, baptisé dans l'Esprit pour nous, a servi, est mort, est ressuscité, est monté à la
gloire pour nous et revient pour nous. Alléluia! Quel Sauveur !

Il a choisi le rôle de l'homme et de tous les besoins humains : « Il devait être rendu en toutes choses semblable à ses frères » (Hébreux
2 :17). Autrement dit, ce qu’il était est ce que nous devrions être. En tant qu’être humain, il reconnaissait son besoin du Saint­Esprit. Si Jésus
avait besoin du Saint­Esprit, à combien plus forte raison est­ce vrai pour nous ? Cette « justice » à laquelle il faisait référence consistait non
seulement à se soumettre au baptême d’eau, mais aussi au baptême d’Esprit.

Jésus était le Fils de Dieu, mais il se tenait là où nous nous trouvons tous en tant qu’êtres humains. Cela signifiait que le jour arrivait où il serait
oint de l’Esprit. Ce n’était pas une conversion, ni une nouvelle naissance. Le Fils de Dieu n’a jamais eu besoin de cela. Par son
exemple, il a montré que le baptême dans l'Esprit ne doit pas être confondu avec la régénération ou tout autre événement spirituel.
Il a reçu une expérience distincte et unique de l'Esprit pour son ministère. C’est ainsi que cela devrait être pour nous tous.

Jésus n’était pas une sorte d’homme anormal ou bizarre. C'était un homme parfait, c'est­à­dire un modèle pour nous tous. Il était Dieu incarné,
ce que nous ne sommes pas, et pourtant tous ceux qui le suivent sauront aussi quelque chose de Dieu habitant en eux.

Une expérience positive

Le baptême dans l'Esprit est une expérience positive dont nous sommes conscients. Ce n’est pas la même chose que de recevoir l’un des
dons spirituels et cela n’a pas grand­chose à voir avec un sentiment religieux, un rêve ou une vision. Il ne s’agit certainement pas d’atteindre
un nouveau niveau spirituel et n’a rien à voir avec le progrès spirituel. Il s’agit d’un événement terre­à­terre marqué par le parler en
langues. Elle allume un feu dans l’âme, apporte une nouvelle force galvanisante et nous pousse vers Dieu.

Le Nouveau Testament nous parle de personnes qui étaient déjà enfants de Dieu et qui connaissaient l'Esprit de Dieu et qui recevaient
l'Esprit à un moment particulier de leur vie. L'une d'elles était Marie, la mère de Jésus. Une trentaine d’années avant qu’elle ne soit baptisée
dans l’Esprit, l’ange Gabriel dit à Marie qu’elle était hautement favorisée : « Le Seigneur est avec toi. Le Saint­Esprit viendra sur vous, et la
puissance du Très­Haut vous couvrira de son ombre » (Luc 1 : 35).
L'Esprit Saint qui l'a enveloppée a fait d'elle la mère de Jésus et pendant sa grossesse, elle a chanté dans l'Esprit les paroles merveilleuses que
nous appelons aujourd'hui le « Magnificat ». Pourtant, elle faisait partie des cent vingt personnes qui ont été baptisées du Saint­Esprit le
premier jour de la Pentecôte, prononçant la louange de Dieu dans de nouvelles langues. De nombreux disciples avaient guéri les malades et
chassé les démons lorsque Jésus était avec eux, mais ils étaient aussi à Jérusalem et le Saint­Esprit devait aussi venir sur eux. S’ils en
avaient besoin, nous en avons également besoin.
Machine Translated by Google

LE BAPTÊME DANS LE SAINT­ESPRIT (IV)

Le Saint­Esprit et ses dons

Le Saint­Esprit ne doit pas être confondu avec ses dons et ses œuvres. Le parler en langues a été comparé à l’enseigne royale hissée
au palais pour indiquer que le monarque est en résidence. Le monarque ne s'installe pas simplement pour que l'enseigne puisse être
hissée. De même, le Saint­Esprit ne vient pas seulement pour que nous puissions parler en langues, mais quand il est là, les
langues, comme l'enseigne royale, sont évidentes.

Une mariée n'épouse pas le marié pour sa bague, mais pour lui. Le dessein de Dieu est plus élevé que de laisser les gens émerveillés,
bouche bée devant ses merveilles. Dieu n'est pas un frimeur. Son but est toujours l'amour ; il veut nous aimer et entrer dans une relation
amoureuse avec. Il veut être avec nous et nous voulons être avec lui dans une communion fraternelle dynamique.

Le Saint­Esprit est plus grand que les choses qu’il fait ; sa présence dans nos vies est plus grande que ses dons. Il travaille sur nous, à
travers nous et avec nous. Il est notre force et le feu inextinguible de notre âme. Il nous apporte des dons spirituels, des fruits spirituels,
l’unité, applique le sang du Christ pour effacer la tache de notre péché, nous amène à une nouvelle naissance et bien plus encore.
Mais ... indépendamment de ce qu'il fait, l'Esprit vient à nous comme lui­même, pour ce qu'il est, notre grand don.

C’est le désir de Dieu qui fait de quelqu’un un vrai pentecôtiste, et pas seulement des signes et des prodiges. Il y a bien plus que
d’être doué ou « charismatique ». Nous devrions être « pentecôtistes ». Paul écrit dans 1 Corinthiens 12 à 14 sur les dons communiqués
par le Saint­Esprit et utilise deux mots, pneumatikon et charismaton. Les pneumatikon sont des dons spirituels.
Le charisme sont des dons de grâce. Pourtant, c’est sur l’Esprit que nous insistons. Les dons sont des signes de quelque chose de plus
grand – ils signifient que le Saint­Esprit a élu domicile en nous.

Un pont entre ciel et terre

Le baptême dans l’Esprit est notre propre pont personnel entre la terre et le ciel. Michée 5 : 7 dit que le Seigneur descendra comme
« une averse sur l’herbe » – une pluie du ciel sur la terre. Peut­être que lors d’une journée d’orage à la campagne, vous avez repéré
une tempête de pluie au loin. Le ciel est violet, plein de nuages orageux. Là où il pleut, cela ressemble à un sombre mur de pluie entre le
ciel et la terre, le ciel nuageux et la terre ne font qu'un, le ciel et la terre sont unis.

Lorsque nous sommes remplis de l’Esprit, nous pouvons parler à juste titre de « la pluie de l’arrière­saison ». Le Saint­Esprit a toujours
été celui qui nous a fait descendre les œuvres de Dieu. Il est ce lien entre le ciel et la terre, ramenant le ciel sur terre. Ce que
nous recevons lorsque nous sommes baptisés dans l’Esprit est la même réalité que nous connaîtrions au ciel. Le Saint du ciel est le
Saint sur terre, Dieu manifesté surnaturellement, divinement et physiquement.

Cela ramène l’Évangile aux « fils de la terre », à nous les êtres humains. Le baptême surnaturel du Saint­Esprit apporte des réalités spirituelles aux personnes qui
vivent dans la dimension plate des impies, morts à toutes les merveilles spirituelles. Nous entrons dans les nuages orageux de Dieu de la pluie de l'arrière­saison,
sommes trempés dans l'esprit et ce que nous expérimentons est une révélation de choses que nous ne pourrions même jamais exprimer.

Peut­être avez­vous conduit votre véhicule un jour de tempête ; les autres qui viennent vers vous de l’autre côté de la route ont tous
leurs phares allumés. Les voitures et les camions sont non seulement mouillés, mais leurs phares montrent également qu'ils se sont
rendus là où la lumière était nécessaire. Vous n'avez pas besoin d'être un détective pour savoir que cinq minutes auparavant, ils roulaient
sous une forte pluie. Par le baptême dans l'Esprit, nous entrons dans cette pluie céleste, le Seigneur tombant en averse sur l'herbe
tondue. Partout où nous irons, nous en porterons des signes et des preuves. Dieu sera avec nous. Il sera difficile de dissimuler les
signes. Nos lumières brilleront lorsque nous rencontrerons tous les arrivants sur la route. Et nous ne serons pas seuls, car d’autres
venant derrière nous porteront les mêmes signes de quelque chose du ciel. Pour faire briller vos lumières devant les hommes, il faut se
mettre sous la pluie !

Un don, pas un accomplissement Le

Baptême dans l'Esprit est un don, pas un accomplissement. Personne n’est supérieur à quelqu’un d’autre simplement parce que
Dieu les baptise de l’Esprit. Il n'y a pas de place pour parler de deux classes de chrétiens, ceux qui ont été baptisés
Machine Translated by Google

dans l'Esprit et ceux qui ne l'ont pas fait. Le cadeau est pour tout le monde, même s'ils ne l'ont pas encore récupéré. « Dieu nous a bénis
dans les royaumes célestes de toute bénédiction spirituelle en Christ » (Éphésiens 1 : 3). Peu importe le nombre de fils d’un homme riche,
ils sont tous assis à table à égalité avec ses fils.

Cependant, nous sommes exhortés à profiter de ce qui est disponible. Jésus a dit que nous devrions demander, chercher et frapper pour
obtenir le Saint­Esprit (Matthieu 7 :7), tandis que Paul nous encourageait à « être remplis de l'Esprit » (Éphésiens 5 :18). J’aime ce que je
"
vois dans Actes 1 : Jésus dit aux apôtres (v.2) d’ attendre le don promis par le Père » (v.4). Mais au moment où nous arrivons à 1h15, 120
croyants se sont rassemblés et sont remplis de l’Esprit. Ils voulaient tous participer à l'action ! Pierre ne s'est pas opposé comme Josué,
qui s'est opposé lorsque certains ont reçu l'Esprit dans le camp de Moïse. Au lieu de cela, il a dit : « La promesse (c’est­à­dire le Saint­
Esprit) est pour vous et vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin – pour tous ceux que l’Éternel notre Dieu appellera » (Actes 2 :39).

Élisée

L’Ancien Testament ne rapporte qu’un seul homme recherchant l’Esprit, et c’était Élisée. L’histoire de ce qui lui est arrivé est une étude en
soi. Il n’avait aucun pouvoir et ne faisait aucun miracle. Elie était l’homme de Dieu à cette époque. Dieu avait dit à Élie d’oindre Élisée
pour qu’il prenne sa relève, mais Élie ne l’a pas fait. Mais Dieu avait dit qu'Élie serait emmené. Il a donc demandé à Élisée ce qu'il aimerait
avoir avant de le quitter. Élisée a demandé une double portion de l'esprit d'Élie – ce qui ne signifie pas le double, mais simplement l'héritage
normal du fils aîné. En d’autres termes, il voulait continuer là où Elie s’était arrêté.

Cependant, Élie lui dit que c’était une chose difficile à donner à Élisée. En fait, c’était décevoir Élisée à la légère, car il était impossible
pour Élie de lui donner le moindre pouvoir. Dans 1 Rois 19 : 19, Élie avait déjà jeté son manteau autour de lui comme une sorte de mandat,
mais cela n'apportait aucun signe de puissance dans la vie d'Élisée.

Il faudra attendre le deuxième livre des Rois avant que quelque chose de ce genre ne se produise. Élie et Élisée étaient à Guilgal et
Élie dit à Élisée : « Reste ici ! (2 Rois 2:2). Mais Élisée ne voulait pas quitter Élie alors qu'il se dirigeait vers Béthel, puis Jéricho et
enfin à travers le Jourdain.

Guilgal était le lieu où tout le peuple d’Israël renouvelait son alliance avec Dieu et était circoncis, le lieu de nouvelle dédicace. Nous
commençons par là. Le Saint­Esprit nous est donné lorsque nous sommes faibles, mais il n'est pas destiné aux gens occasionnels
et indifférents, aux garçons qui passent du bon temps, pour goûter à une nouvelle expérience. Le baptême est merveilleux mais pas pour
ceux qui veulent seulement vivre une merveilleuse expérience. Dieu est sérieux avec nous.

De Guilgal, Élie et Élisée se rendirent à Béthel. Béthel était l’endroit où Dieu est venu vers Jacob et a commencé à reprendre sa vie en main. Cela n'avait rien à
voir avec Jacob – qui avait simplement l'intention de passer une bonne nuit de sommeil à ce moment­là – et tout à voir avec le Seigneur. Tout ce qui est admirable
chez Jacob doit être attribué à Dieu. Tout était signe de la grâce de Dieu. Le Saint­Esprit est nôtre dans les mêmes conditions : il fait quelque chose de nous. Nous
ne pouvons pas l’utiliser, mais son intention est de nous utiliser.

Ensuite, direction Jéricho – le lieu de la grande victoire de la foi. Il est désormais clair que la progression physique d’Élie et d’Élisée à
travers le pays était aussi une sorte de séquence spirituelle. Avant le moment où quelque chose de spécial allait se produire. Le Saint­
Esprit est à l'œuvre.

Enfin, le Jourdain. La traversée du Jourdain par Israël a été décisive pour son avenir. Ils ont laissé leur ancienne vie derrière eux pour
revendiquer une nouvelle vie dans un nouveau pays, sans retour en arrière. Jésus a fait une démarche similaire au Jourdain lorsqu’il
a été baptisé dans l’eau et oint du Saint­Esprit. Il n’y a pas de retour possible au baptême dans l’Esprit. Nous ne pouvons pas renoncer à
notre expérience. Nous sommes affectés à jamais et rien ne peut y changer. Il n'y a pas de baptêmes temporaires. L’Esprit est pour la vie,
donné dans le but de servir Dieu pour la vie.

Alors, qu’est­il arrivé à Élie et Élisée lorsqu’ils ont atteint le Jourdain ? Élie frappa d’abord l’eau avec son manteau et les deux hommes
passèrent sur l’autre rive. Ensuite, Élisée a demandé à devenir le successeur d'Élie . Et soudain, Elie disparut – laissant son manteau
posé par terre ! Or, Élisée avait déjà eu une expérience négative avec un seul manteau.
En regardant le manteau d'Elie, il aurait pu penser que cela ne valait pas la peine de s'en préoccuper. Mais il l'a ramassé. Nous devons
tous faire quelque chose comme ça : faire un pas de foi malgré notre expérience antérieure. Il fit alors ce qu'Élie fit : il frappa les eaux du
fleuve. Et devine quoi! Ils firent pour lui ce qu’ils avaient fait pour Élie : ils se séparèrent.
Le Dieu d'Élie est devenu le Dieu d'Élisée.
Machine Translated by Google

Le Dieu d’Élie est votre Dieu lorsque vous allez jusqu’au bout, que vous ramassez le manteau avec foi et que vous demandez : « Où est le Dieu d’Élie ? (2 Rois 2:14). Il
est avec toi! Suivez l'itinéraire emprunté par Élisée – de la dédicace à Guilgal à Béthel, où Dieu commence à œuvrer sur vous, puis à Jéricho où vous gagnez votre
bataille de foi, et jusqu'au Jourdain où c'est maintenant tout ou rien pour toujours avec Dieu. Alors réclamez votre héritage en Christ !

C'est tout! Aucun effort élaboré, aucune condition inventée, suivez simplement le programme simple, la vision, la prière, la foi et le dévouement. Ensuite, lorsque vous
êtes rempli , agissez rempli. Utilisez votre cape d'autorité !

Les érudits sont occupés à scruter chaque mot sur le baptême dans l’Esprit, partageant les cheveux en quatre sur la manière dont tel ou tel écrivain du Nouveau
Testament les utilise. Ils débattent de ce que signifie le mot « témoin » dans Luc et dans les Actes. Je ne crois tout simplement pas que Luke était si pédant. Le fait est
que les personnes baptisées dans l’Esprit sont « témoins de ces choses » (Luc 25 :48, Actes 5 :32), c’est­à­dire témoins de la résurrection. Non, ils n’étaient pas là
quand il s’est levé, mais Pierre et les autres non plus. Néanmoins, ils ont été des témoins tout au long de leur vie, quoi qu'ils fassent. Ils l’ont montré en eux­mêmes.
C’étaient des personnes affectées par la puissance de la Résurrection – le Saint­Esprit. C'est tout ce que Dieu veut et tout ce dont nous avons besoin. C’est le but
ultime et la satisfaction la plus profonde de la vie humaine.

Soyez comblé – le reste suit.

http://www.cfan.org/offices/usa/cfanusa.htm

Extrait du site Web de Reinhard Bonnke, l'évangéliste guérisseur le plus performant au monde aujourd'hui.
Il se spécialise dans les grandes croisades en Afrique où jusqu'à un million d'âmes sont sauvées et remplies
de l'Esprit. Les morts sont régulièrement ressuscités. TP

_____________________________________________________________