Terminale C4
Terminale C4
Terminale C4
Exercice I
1°/ Soit u = 1- i et n N
a) Déterminer la forme trigonométrique de un.
b) Déterminer n pour que un soit un nombre réel. Pour n trouvé, calculer un.
1 + e i
2°/ Soit z1 = 1 - tan et z2 = ( R)
1 − e i
a) Déterminer suivant les valeurs de ; le module et un argument de z1 et z2.
b) Soit 0; . Résoudre dans C, les équations suivantes :
zn = z1 et zn = z2 .
Exercice II
Soit f la fonction définie de R vers R par f(x) = x + x 2 − 2x − 3
1°/ Etudier les variations de f, puis tracer la courbe (C) de f dans un repère orthonormé (o ; i ; j) du plan.
2°/ Soit g la restriction de f à l’intervalle − ;−1 et h la restriction de f à l’intervalle 3;+ .
a) Montrer que g et h admettent des bijections réciproques g -1 et h -1
b) Etudier la dérivabilité de g -1 et h -1
c) Sans calculer g -1 (x), calculer (g ) (0)
−1 '
d) Définir g -1 et h -1
e) Tracer la courbe de g -1 et celle de h -1 sur la même que (C).
3°/ En déduire le tracé de la courbe d’équation : y2 – 2xy + 2x +3 = 0 .
NB : utiliser de différentes couleurs pour les courbes.
Exercice III
On considère z' et z" les solutions de l’équation :
= 2 (cos + i sin ), où 0; .
1
(E) : z C, z +
z
1°/ On pose = cos + i sin
a) Montrer que l’équation (E) a les mêmes solutions que l’équation suivante :
( z − ) 2 = 2i sin (cos + i sin )
b) En déduire, très simplement z' et z"
2°/ On pose k = + i
a) Déterminer le module et un argument de k
b) En déduire que les nombres complexes : z' + i et z" + i, ont le même argument
3°/ On note : M' ; M" ; H ; B et B' les images respectives, dans le plan complexe, de z' ; z" ; ; i et – i
a) Que représente H pour le couple (M' , M" ) ?
b) Montrer que les points B' , H, M' et M" sont alignés.
c) Démontrer que les nombres complexes suivants ont le même module z' - i et z" – i.
Bon devoir
Groupe Scolaire Année Scolaire 2007 – 2008
du Collège Saint Joseph Lundi 14 Janvier
Lomé DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3 H
TERMINALE C4 Coef. 5
Exercice 1
Soit A, B, C et D quatre points de l’espace (ε) tels que A, B et C ne soient alignés. On désigne par ( Γ )
→ → → →
l’ensemble des points M de (ε) tels que l’on ait : MA MB = MC MD
1 – Démontrer qu’une condition nécessaire pour l’ensemble ( Γ ) ne soit pas vide est D (ABC)
→ → → → → →
2 – Démontrer que, quels que soient les points M et P de ( ) on a : MA MB = MP AB + PA PB
3 – On suppose A, B, C et D coplanaires. Démontrer que si (AB) et (CD) sont sécantes en un point K,
l’ensemble ( Γ ) est une droite passant par K dont on donnera un vecteur directeur.
Exercice 2
IR → IR
( )
Soit f :
x → ln x 3 − 2 x 2 − 1 − 3 ln x
1°) Etudier et représenter graphiquement f.
2°) Soit A et B, deux points distincts du plan et soit IR +* , pour quelles valeurs de x le système
( (
A, ln x − 2 x − 1
3 2
)), B, ln
1
+ définit-il un barycentre ? Dans ce cas on note G(x) le barycentre
x
3
ainsi déterminé.
→ →
3°) On pose AG ( x ) = g(x) AB . Expliciter la fonction g(x).
4°) Soit h : IR→IR
− 3 ln x
x→ et 2;3 tel que soit une solution de l’équation x3 – 2x2 – 1 = 0.
f ( x)
Calculer h ( ;+ ) . La restriction de h à ;+ est-elle bijective ?
→
5°) Soit x ;+ , on considère le vecteur h(x) AB expliciter la fonction K tel que
→ →
h(x) AB = AK ( x ) .
6°) Trouver le lien géométrique de l’ensemble image de K.
Exercice 3
2 + iz
Soit P le plan complexe, z C\ 1 et M son point image dans P. On pose Z = .
2 − iz
Soit 0;2 et u C\ 1 tel que u = 1 et arg u = 2 .
1− u
1 – a) Calculer le module et un argument du nombre complexe .
1+ u
2 + iz
b) En déduire le module et un argument du nombre complexe z tel que = u.
2 − iz
2 – Soient A et B les points d’affixes respectives -2i et 2i.
a) Donner une interprétation géométrique de Z et arg (Z ) .
b) Déterminer et construire les ensembles suivants :
( Γ1) = M P / Z ait pour argument
2
( Γ2) = M P / Z soit un réel
( Γ3 ) = M P / M ' ( Z ) C ( (− 1;0 );2 )
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008 – 2009
du Collège Saint Joseph
Lomé
INTERROGATION
MATHEMATIQUE
TC4
Exercice 1
I-/ Calculer les limites suivantes
lim lim
sin x − cos x lim
1)
x → +
( 3 x + 1 − 3 x + 1) 2)
x→
3)
x → +
( x 2 + x + 1 − mx )
4 2x −
2
on discutera suivant les valeurs du paramètre réel m.
II-/ On rappelle que la partie entière d’un réel x, notée E(x) est l’entier relatif vérifiant :
x IR, E(x) x < E(x) + 1.
1
Soit f la fonction définie par f(x) = 1 – x E( ) si x IR*
x
f(0) = 0
1. Démontrer que pour tout réel non nul f(x) < x .
2. Etudier la continuité de f en 0.
Exercice 2
1. z1 , z2 et z3 sont trois nombres complexes de module 1 et z1 + z2 + z3 = 1.
Démontrer que :
1 1 1
a) + + =1
z1 z2 z3
z1 + z 2
b) Z = est un nombre réel.
1 + z1 z 2
→ →
2. Dans le plan complexe P, muni du repère orthonormé direct (O, e1 , e 2 ), on considère le point M
d’affixe z. Déterminer et construire l’ensemble des points M dans chacun des cas suivants :
4
a) z + IR
z
b) Les points images de i ; z ; iz sont alignés.
z−i 2 z−3
c) = et =1
z+2 3 z−4
Exercice 3
2
i
Soit le nombre complexe Z = e 7
On pose a = Z + Z2 + Z4 ; b = Z3 + Z5 + Z6
1. Démontrer que a et b, sont deux nombres complexes conjugués et que la partie imaginaire de a est
positive.
2. Calculer a + b et ab. En déduire a et b.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008 – 2009
du Collège Saint Joseph Lundi 10 Novembre 2008
Lomé
DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUE Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (6pts)
1. a) Déterminer les racines n-iemes complexes de -1.
3 3
z +1 z −1
b) Résoudre dans ℂ l’équation : + = 0.
z −1 z +1
1
2. Déterminer les nombres complexes Z tels que Z ; ; Z – 1 aient même module.
z
3. Soit ]0 ; 2[ \ {} et u = ei.
z−i
a) Déterminer le module et un argument du nombre complexe Z tel que = u.
z+i
b) Soit dans ℂ l’équation : (E) (z2 + 1)n – (z + i)2n = 0 où n IN*.
En remarquant que –i est solution de (E), résoudre (E).
Exercice 2 (7pts)
Soit f la fonction définie de IR vers IR par f(x) = x + x2 − 2x − 3 .
→ →
1. Etudier les variations de f, puis tracer la courbe (C ) de f dans un repère orthonormé (O, i , j ) du plan.
2. Soit g la restriction de f à l’intervalle ]- ; -1] et h la restriction de f à l’intervalle [3 ; + [.
a) Montrer que g et h admettent des bijections réciproques g-1 et h-1.
b) Etudier la dérivabilité de g-1 et h-1.
c) Sans calculer g-1(x), calculer (g-1)’(0).
d) Définir g-1 et h-1.
e) Tracer la courbe de g-1 et celle de h-1 sur la même figure que celle de (C )
Exercice 3 (7pts)
1. a) est un nombre réel ; résoudre l’équation
(, 1) Z ℂ
Z
2
– 2Zcos + 1 = 0
b) En déduire la forme trigonométrique des solutions de l’équation
(, n) Z ℂ
Z
2n
– 2Zncos + 1 = 0 n IN*
2. n IN* et IR on pose P(Z) = Z2n – 2Zncos + 1.
n −1
2 k
2 k
i + −i +
a) Montrer que P(Z) = (Zn - ei)(Zn – e-i) puis que P(Z) = Z − e n n
Z − e n n
et
k =0
n −1 2 2 k
en déduire que P(Z) = Z − 2 Z cos + + 1 .
n n
k =0
Sin 2
n −1 k 2
b) Calculer P(1) et en déduire que Sin 2 + = .
2n n 4 n −1
k =0
n −1 k
c) Pour tout [0 ; [ et n IN, n 2 on pose Hn() = Sin + .
n n
k =0
Sin
2
Montrer que 0, on a : 2n-1Hn() = .
Sin
2n
lim 2 ( n − 1) n
Calculer H n ( ) et en déduire que n 2 Sin Sin ........ Sin = n −1
.
→0 n n n 2
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008-2009
du Collège Saint Joseph Lundi 12 Janvier 2009
Lomé COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1 (3pts)
Soit un nombre réel tel que 0 .
2
a) Résoudre dans ℂ l’équation Z2cos2 – 2Z sin cos + 1 = 0.
Déterminer le module et un argument des solutions éventuelles de cette équation.
b) Résoudre l’équation différentielle : (1 + cos2)y" – (2sin2)y’ + 2y = 0.
Exercice 2 (4pts)
→ → →
1
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct (O, i , j , k ), on donne les points A(– ; 0 ; 0) ;
2
1
B( ; 0 ; 0) et F(0 ; 1 ; 0).
2
→ →
1. Soit M(x, y, z) un point de l’espace. Calculer les coordonnées du vecteur MA MB . Déterminer le
→ → →
point Mo tel que M o A M o B = M o F .
→ → → → →
2. Déterminer l’ensemble des points M du plan (O , j , k ) tels que || MA MB || = || MF ||.
→ →
En interprétant || MA MB || comme une aire, montrer que ces points sont à égale distance du point F et
de la droite (AB). En déduire une solution géométrique.
Exercice 3 (3pts)
→ →
1. U et W sont deux vecteurs de l’espace. En considérant une base orthonormée telle que les
→ →
coordonnées de U soient (a ; o ; o) et celles de W (b ; c ; o) vérifier la relation :
→ → → → → → → →
(1) ( U W ) W = ( U . W ) W – || W ||2 U .
→ →
2. On suppose que V et W sont deux vecteurs donnés orthogonaux.
→ →
a) Démontrer en utilisant la relation (1) qu’il existe un seul vecteur U o orthogonal à W tel que :
→ → →
U o W = V .
→ → → → → → →
b) En déduire que l’ensemble des vecteurs U tels que U W = V , est défini par U = U o + λ W
λ décrit .
Problème (10pts)
a+x
Soit la fonction numérique fa de la variable réelle x définie par fa(x) = ln où a est un nombre réel
a−x
→ →
non nul. On désigne par (Ca) la courbe représentative de fa dans un repère orthonormé (O, i , j ) d’unité
2cm.
Partie A
1. Etudier la parité de fa.
2. Démontrer que la courbe (Ca) possède deux asymptotes dont on donnera les équations.
3. Etudier suivant les valeurs de a le sens de variation de fa.
4. a) Démontrer que fa est une bijection de son ensemble de définition sur un ensemble que l’on
précisera.
→ →
b) Expliciter f −a 1 (x) ; soit (a) sa représentation graphique dans (O, i , j ).
→
5. Soit R la rotation de centre O et d’angle ( − ), S la symétrie orthogonale d’axe (O, i ).
2
a) Déterminer une expression analytique de RoS puis donner une équation cartésienne de la
transformée, RoS (a), de (a) par RoS.
b) Comparer les équations cartésiennes de (Ca) et RoS (a). Pouvait-on prévoir ce résultat ?
Dans la suite du problème, on prendra a = 1.
6. Tracer la tangente à la courbe (C1) au point d’abscisse O ainsi que (C1) et (1).
Partie B
1. Soit g la fonction définie sur [0 ; [ par g(x) = f1(sinx) ; Démontrer que g’(x) = 1 .
2 cos x
dx
2. Déterminer le réel C tel que 6 = nc .
0 cos x
(sin x ) 2 n
3. On considère l’intégrale In, n un entier naturel non nul, In = 6 dx . On définit ainsi une suite
0 cos x
numérique (In).
a) Démontrer que la suite (In) est à termes positifs.
b) Etudier le sens de variation de (In).
nc
c) Démontrer que In .
4n
d) En déduire la limite de la suite (In).
Partie C
Pour tout entier naturel n, non nul, on considère la fonction hn définie sur [0 ; [ par
2
n 2 p −1
(sin x )
hn(x) = 2 p −1
.
P =1
n −1
(sin x )
2p
1. Donner une expression simplifiée de la somme Sn(x) = 1 + en remarquant que Sn(x) est
P =1
la somme des termes d’une suite géométrique (x est un réel).
1 − (sin x ) 2 n
2. Démontrer que h 'n (x) = .
cos x
3. Montrer que hn( ) = ln 3 – In.
6
n
1
4. En déduire que la suite (Un) définie par Un = ( 2 p − 1) 2 2 p −1 a une limite que l’on déterminera.
P =1
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008-2009
du Collège Saint Joseph Lundi 02 Mars 2009
Lomé
DEVOIR DU 2ème SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
On cherche à déterminer une fonction continue unique f, définie sur vérifiant :
(1) x ,y f(x + y) + x + y =[f(x) + x][f(y) + y] et
(2) f(1) = e – 1
t
1. En posant x = y = , vérifier que : t , f(t) + t 0. (3)
2
Démontrer que s’il existe un réel xo tel que : f(xo) + xo = 0 alors :
x f(x) + x = 0. (4)
En déduire que f(x) + x n’est jamais nul et démontrer que f(0) = 1.
2. Démontrer que x ,n , f(nx) = [f(x) + x]n – nx.
Calculer f(-x) – x et démontrer que x ,n f(nx) = [f(x) + x]n – nx.
1 1
3. Calculer en fonction du nombre e et de l’entier q l’expression f + .
q q
Démontrer que : x , f(x) = e – x.
x
4. Vérifier que la fonction définie par x f(x) = ex – x satisfait bien (1) et (2). On admet
que cette fonction est la seule fonction continue sur ayant cette propriété.
a) Etudier et construire la courbe de (C ) de f.
b) Evaluer l’are A (t), de la portion de plan comprise entre la courbe (C ), son asymptote et
les droites d’équations x = t (t < 0) x = 0.
Exercice 2
ℂ désigne l’ensemble des nombres complexes.
1. Soit f l’application de ℂ dans ℂ définie par f(z) = z2 + 2u.z + 1 + i sin 2t où
u = cos t + i sin t t [0 ; ].
a) Calculer les racines complexes de l’équation f(z) = 0.
b) Quelles sont les courbes décrites par les images des racines lorsque t varie ?
→ →
2. Le plan étant rapporté à un repère orthonormé (O, i ; j ), on désigne par g l’application qui à
tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z2 + iz + 1.
On désigne par (1) l’ensemble des points du plan dont l’image par g appartient à la droite
d’équation x = -1 et par (2) l’image par g de la droite d’équation y = 0.
a) Donner une équation cartésienne de (1) et de (2).
b) Reconnaître ces courbes et les construire.
Exercice 3
Soit a et b deux nombres réels, un réel non nul. Dans le plan affine (P) euclidien orienté
→ →
rapporté au repère orthonormé direct (O, i ; j ). Soit A(1 ;0) ; B(0 ;1) ; C(a ;b) ; O’(0 ; 1+).
1. Démontrer que, pour tout (a, b, ) * il existe f, unique application affine
de (P) dans (P) telle que f(O) = O’ ; f(A) = B ; f(B) = C.
Soit M’(x’, y’) image de M(x, y) par f.
Exprimer x’, y’ en fonction de x, y, a, b, .
Soit F l’ensemble des applications f.
2. a) Démontrer que f est bijective si et seulement si, a 0.
b) Lorsque a = 0, préciser f(P).
3. Ecrire les relations et suffisantes liant a, b, pour que f soit une similitude.
4. Démontrer que (a = et b = 1 + ) caractérise les similitudes directes de F. Préciser
l’angle de ces similitudes.
5. Démontrer qu’il existe, dans F, quatre isométries et quatre seulement :
- deux rotations ; préciser leurs éléments.
- une symétrie que l’on caractérisera.
- Un antidéplacement, S, sans point invariant ;
démontrer qu’il existe , symétrie orthogonale et t, translation, telles que
S = o t=t o ; expliciter et t.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008–2009
du Collège Saint Joseph
Lomé BAC II – BLANC DES 09-10-11-12 MARS 2009
MATHEMATIQUE Durée : 4H
SERIE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (4pts)
Une urne contient 5 boules noires et 5 boules blanches. On en prélève n successivement et avec remise,
n étant un entier naturel supérieur ou égal à 2.
On considère les événements suivants :
A : « On obtient des boules des deux couleurs ».
B : « On obtient au plus une blanche ».
a) Calculer la probabilité de l’événement : « Toutes les boules tirées sont de même couleur ». (0,5pt)
b) Calculer la probabilité de l’événement : « On obtient exactement une boule blanche ». (0,5pt)
n 1 n +1
c) En déduire que P(A B) = ; P(A) = 1 – ; P(B) = . (0,75pt)
2 n −1
n
2 2n
Montrer que P(A B) = P(A) P(B) si et seulement si 2n-1 = n + 1. (0,5pt)
1. Soit (Vn) la suite définie pour tout entier n 2 par Vn = 2n-1 – (n + 1).
Calculer V2 ; V3 ; V4. (0,75pt)
Démontrer que la suite (Vn) est strictement croissante. (0,5pt)
2. En déduire la valeur de l’entier n tel que les événements A et B sont indépendants. (0,5pt)
Exercice 2 (4pts)
Soit (D) une droite du plan et k un nombre réel non nul et différent de 1.
Soit f l’application du plan dans lui-même telle qu’à tout point M du plan on associe son image M’ par f
→ →
vérifiant (1 – k) P ( M ) M ' = k M ' M où P(M) est le projeté orthogonal de M sur (D).
→ → →
On choisit un repère orthonormal direct (O, i , j ) du plan où O est un point de (D) et i un vecteur
directeur de (D).
1. Montrer que f est une transformation affine du plan. (0,75pt)
1
2. a) Démontrer que l’écriture complexe de f est Z’ = [(1 + k ) z + (1 − k ) z ] . (0,5pt)
2
b) Déterminer l’ensemble des points invariants par f. (0,5pt)
3. Soit A et B deux points distincts du plan, d’affixes respectives a et b d’images respectives A’ et B’ par f.
a) Démontrer que un point M du plan d’affixe Z appartient à (AB) si et seulement si il existe un
nombre réel tel que Z = (b – a) + a. (0,5pt)
b) Démontrer que si M est un point de (AB) alors son image M’ par f appartient à la droite (A’B’).
En déduire l’image de la droite (AB) par f. (0,75pt)
4. Démontrer que si (AB) coupe (D) en I, alors (A’B’) coupe (D) en I. (0,5pt)
5. Quelle est l’image par f de la parallèle à D en A. (0,5pt)
Problème (12pts)
A) Soit la fonction f : →
1 2
x ln( − 1 + )
2 1− x
1. Etudier la parité de f ; Etudier les variations de f et tracer sa courbe représentative (C ) dans le plan
→ →
muni d’un repère orthonormé (O, i , j ) (unité graphique : 2cm). (1,5pt)
2. Calculer, en cm2, l’aire du domaine plan compris entre (C ) , l’axe des abscisses et la droite
1
d’équation x = . (0,5pt)
2
3. Démontrer que f est une bijection de son ensemble de définition sur . Déterminer la bijection
réciproque f-1 et tracer sa courbe dans le repère précédent. (1,25pt)
−1 −1
f (a ) + f (b )
4. Démontrer que pour tous nombres réels a et b on a : f-1(a+b) = −1 −1
. (0,5pt)
1+ f ( a ). f (b )
B) On considère une fonction h définie pour tout réel et vérifiant pour tous réels a, b,
h ( a ) + h (b )
h(a+b) = .
1 + h ( a ).h (b )
1. Montrer que s’il existe un réel C tel que h(C) = 1 ou h(C) = -1 alors h est constante sur . (0,5pt)
On suppose que h est non constante sur dans toute la suite du problème
x x
2. Montrer que h prend toutes ses valeurs dans l’intervalle ]-1 ; 1[ (On pourra utiliser x = + ).(1pt)
2 2
3. Etablir que h(0) = 0 et étudier la parité de h. (0,75pt)
4. Montrer que pour tout entier naturel non nul n et pour tout réel x on a :
n
1 + h ( nx ) 1 + h ( x )
= (0,5pt)
1 − h ( nx ) 1 − h ( x )
1 + h (1)
5. On pose = a.
1 − h (1)
Calculer, en fonction de a, h(n) pour n entier non nul n et pour n entier relatif. (1pt)
6. Soit l’application g : →
e2x − 1
x
e2x + 1
0 g (t )
x n
On pose In(x) = dt où x est réel positif et n un entier naturel.
1. a) Justifier l’existence de In(x). (0,25pt)
b) Calculer I0(x) et I1(x). (0,5pt)
2. a) Démontrer que pour tout réel t, [g(t)]2 = 1 – g’(t). (0,25pt)
( g ( x ) )n −1 .
1
b) Démontrer que pour tout entier n supérieur ou égal à 2 : In(x) = In-2(x) – (0,5pt)
n −1
3. a) Déduire de ce qui précède que, pour tout p de *
p
1
(1) I2p(x) = x – 2 k − 1 ( g ( x )) 2 k − 1 (0,5pt)
k =1
e x + e−x p 1
(2) I2p+1(x) = ln − ( g ( x )) 2 k (0,5pt)
2 k =1 2 k
b) Démontrer que, pour tout p de , et pour tout réel x positif 0 I2p(x) x[g(x)]2p. (0,5pt)
En déduire, le réel x positif étant fixé, que la suite de terme général I2p(x) est convergente et
préciser sa limite. (0,5pt)
En utilisant la relation (1) et en posant x = f(u), démontrer que pour tout u fixé de [0 ; 1[ la suite
p
u 2k − 1
(p(u))p . Définie par p(u) = f(u) – 2k − 1
a pour limite O. (0,5pt)
k =1
lim 1 1 1 1
En déduire que + + + ....... + = ln( 2 ) (0,5pt)
p → + 3 3 3 3
53 5
( 2 p − 1)3
2 p −1
FIN
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008-2009
du Collège Saint Joseph Lundi 20 Avril 2009
Lomé
DEVOIR DU 2ème SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice
a a
0 te dt = ae a − e t dt .
t
1. Par une intégration par parties, démontrer que 0
a
En déduire que ea = 1 + a + 0 ( a − t )e dt .
t
a (a − t)n
2. Soit n un entier supérieur ou égal à 1. On pose In = 0 n!
e t dt .
n +1
a
Démontrer que In = + In+1
( n + 1)!
a2 an
3. Démontrer, par récurrence, que pour tout entier n 1 : ea = 1 + a + + + + In .
2! n!
an
4. a) Démontrer que 0 In (ea – 1).
n!
n U n +1
a
b) On pose Un = calculer .
n! Un
1
Montrer qu’il existe un entier naturel no tel que pour tout entier n no on a Un+1 Un .
2
n− no
1
En déduire que, pour tout n no O Un Un o x
2
c) En déduire les limites de Un et de In quand n tend vers + et montrer que
lim a2 an
n →+ 1 + a + + + = ea.
2! n!
Problème
Le plan P orienté est rapporté au repère orthonormal direct (o, u, v).
On considère les points A(1 ; 0), B(0 ; 1), C(-1 ; 0), D(0 ; -1), E(-1 ; 1) et F(-1 ; -1).
A) Etude de quelques transformations du plan P.
1. Démontrer qu’il existe un unique déplacement f1 de P te que f1(A) = B et f1(D) = C.
Caractériser ce déplacement.
2. Démontrer qu’il existe un unique antidéplacement f2 de P tel que f2(A) = B et f2(D) = C.
caractériser cet antidéplacement.
3. Démontrer qu’il existe un unique déplacement f3 de P tel que f3(A) = F et f3(C) = E.
Caractériser ce déplacement.
4. Soit f4 l’unique antidéplacement tel que f4(A) = F et f4(C) = E.
On désigne par g4 la transformation complexe associée à f4 qui à z affixe de M associe z’
affixe de M’ = f4(M).
Exprimer z’ = g4(z) en fonction de z.
Déterminer z" = g4(z’) en fonction de z et en déduire la forme canonique de f4.
5. Déterminer les caractéristiques de la similitude directe f5 telle que f5(A) = B et f5(E) = D.
6. Déterminer l’axe de la similitude indirecte f6 telle que f6(A) = B et f6(E) = D.
7. Justifier l’existence d’une unique application affine de P telle que f(A) = 0, f(F) = B et
f(C) = 0.
a) Déterminer l’image de E par cette application.
b) Démontrer que f est la composée d’une projection orthogonale et d’une symétrie
orthogonale que l’on déterminera.
B) Etude de quelques courbes contenues dans le carré ABCD.
On considère les réels a, b, c, et d suivants :
A = kcos2t, b = (1 – k)cos2t’, c = ksin2t et d = (1 – k )sin2t’ où t et t’ sont des réels et k un réel
tel que 0 k 1.
On désigne par G le barycentre du système {(A, a) ; (B, b) ; (C, c) ; (D, d)}.
1. Justifier l’existence de G pour toutes les valeurs de t, t’ et k.
Démontrer que G est toujours situé à l’intérieur du carré ABCD.
2. Démontrer que G a pour coordonnées : (kcos2t ; (1 – k) cos2t’).
3. Dans cette question t = t’ = to et k varie dans [0 ; 1].
Quel est l’ensemble décrit par G lorsque k varie ? Représenter cet ensemble lorsque to = .
3
1
4. Dans cette question k = et t + t’ = .
2 4
Quel est l’ensemble décrit par G lorsque t varie dans ? Représenter cet ensemble.
1
5. Dans cette question k = et t + t’ = .
4 4
Démontrer que lorsque t varie dans le point G décrit une conique à centre. Déterminer les
foyers, les directrices et l’excentricité de cette conique. La représenter.
1
6. Dans cette question k = et t = 2t’.
4
Démontrer que lorsque t décrit , G reste sur une parabole dont on précisera le foyer et la
directrice.
Représenter l’ensemble des points G lorsque t décrit .
1
7. Dans cette question k = et t = t’ + .
4 6
Faire l’étude des fonctions x et y lorsque t décrit [0 ; ].
Représenter l’ensemble décrit par les coordonnées G lorsque t décrit [0 ; ].
Déterminer une équation cartésienne de cet ensemble.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2008-2009
du Collège St .Joseph Mardi 26 Mai 2009
Lomé COMPOSITION DU 2 è SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff : 5
Exercice 1 : 4pts
I/- x et y désignent des entiers naturels non nuls tels que x < y.
S est l’ensemble des couples (x,y) tels que PGCD (x,y) = y – x.
1)- a)- Calculer PGCD(363 ; 484) ; (363 ; 484) appartient-il à S ?
b)- n étant un entier naturel non nul, le couple (n ; n+1) appartient-il à S ? Justifier la réponse.
2)- a)- Montrer que (x ; y) S si et seulement si il existe un entier k non nul tel que x = k(y – x)
et y = (k+1) (y-x).
b)- En déduire que pour tout couple (x,y) de S, on a PPCM(x ;y) = k(k+1) (y-x).
3)- a)- Déterminer l’ensemble des entiers naturels diviseurs de 400.
b)- En déduire l’ensemble des couples (x, y) de S tels que PPCM(x, y) = 400.
4)- Déterminer le PGCD de (A, B) avec A = 24t (5u + 3) B = 15t(8u +5) où t et u sont des
entiers strictement positifs.
Exercice 2 : 3pts
1)- Lors d’une élection, on considère que chaque candidat a une probabilité de 0,1 d’être élu.
On considère un groupe de 5 candidats et on note x le nombre de candidats élus parmi les 5.
Calculer la probabilité d’obtenir x = k, k , 0 k 5.
2)- On considère un groupe de 100 candidats et on fait l’hypothèse suivante : parmi les 100
candidats, 10 seront élus. On considère un groupe de 5 candidats pris parmi les 100 et on note x le
nombre d’élus parmi les 5. Calculer la probabilité d’obtenir x = k , k 0 k 5.
3)- On considère un groupe de 10 n candidats ( n *) et on fait l’hypothèse : parmi les 10 n
candidats, n seront élus. On considère un groupe de 5 candidats pris parmi les 10 n et on note x le
nombre de candidats élus parmi les 5. Calculer la probabilité d’obtenir x =k, k 0 k 5.
Montrer que la limite de cette probabilité quand n tend vers l’infini est la probabilité obtenue dans
la 1ère question.
Exercice 3 : 3pts
I–/ ABCD est un tétraèdre régulier. On désigne par I, J, K, M et N les milieux respectifs des
arêtes AD DC CB BA , AC et BD .
1/- Démontrer que IJKL est un carré et que la droite (MN) est orthogonale au plan (IJK).
2/- Soit d1 et d2 les demi-tours d’axes respectifs (IK), (JL), S la réflexion de plan (IJK). On pose
d = d2 o d1.
a)- Déterminer deux réflexions S1 et S2 telles que d1 = S oSI et d2 = S2oS.
b)- En déduire que d est en demi-tour dont on précisera l’axe.
Exercice 4 : 10pts
I-/ Partie préliminaire
→ →
A-) P est un plan affine euclidien muni d’un repère orthonormé (O, i , j ).
Soit l’application de P dans P définie analytiquement par : x’ = y – 4
y’ = x + 4.
Montrer que est une isométrie affine de P que l’on précisera.
B-) On appelle fa la fonction numérique de la variable réelle x définie par :
(a + 2) x
fa(x) =
x + 2 − a'
a étant un paramètre réel appartenant à l’ensemble –{-2, +2} ; on appelle Ca la courbe
→ →
représentative de fa dans le repère (O, i , j ) de P.
a) Montrer que, pour tout a de –{-2, +2 }, Ca est globalement invariante par .
b) Montrer que toutes les courbes Ca passent par deux points indépendants de a.
→ →
c) Etudier les variations de fa et construire dans le repère (O, i , j ) les courbes C-1 et C3/2.
(On utilisera pour la représentation graphique une unité de longueur égale à 2 cm.)
→ →
II-/ Soit a le point de coordonnées (a – 2, a + 2) dans le repère (O, i , j ) de P et les vecteurs :
→ → → → → →
1 1
i = ( i – j ) et j = ( i + j ).
2 2
→ →
1°) Montrer que (a, i , j ) est un repère orthonormé de P.
→ →
2°) Déterminer une équation de Ca dans le repère (a, i , j ).
En déduire que Ca est une hyperbole équilatère (on notera A et A’ les points d’intersection de
l’hyperbole avec ses axes de symétrie ; points appelés sommets de l’hyperbole).
→ →
3°) a) Soit D la droite d’équation y = x + 4 dans le repère (O, i , j ) . Montrer que par tout point M
de D, à l’exclusion de points que l’on précisera, passe une courbe Ca unique.
b) Montrer que Ca a ses sommets sur D si et seulement si a > 2.
c) En déduire l’ensemble des points A et A’ lorsque a varie dans]-, -2[ ]2, +[.
4°) On suppose ici a < 2.
Evaluer en fonction de a les distances 0a et aA ; en déduire la distance 0A. Déterminer
l’ensemble des points A et A’ lorsque a varie dans ] – 2, 2[.
III-/ Dans cette partie, on suppose a élément de l’intervalle I = [0, 2[. Soit (Un)n la suite
numérique définie par U0 et la relation de récurrence :
n Un+1 = fa(Un).
On suppose que U0 [0, 2a].
1°) Montrer que n , Un [0, 2a].
En déduire que la suite (Un)n est partout définie dans .
Que peut-on dire de la suite (Un)n si U0 = 0 ou si U0= 2a ?
2°) On suppose que U0 est différent de 0 et 2a(par suite a est différent de 0).
a) Montrer que n (Un ≠ 0 et Un ≠ 2a).
Un
b) Soit (Vn)n la suite définie par : n , Vn = .
U n − 2a.
Montrer que (Vn)n est une suite géométrique dont on précisera la raison en fonction de a.
Etudier l’existence et la valeur de la limite de (Vn)n , en déduire l’existence de la valeur de la
limite de (Un)n .
N.B. Les parties II et III sont indépendantes.
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2009-2010
du Collège St .Joseph Lundi 19 Octobre 2009
Lomé DEVOIR DU 1 er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff : 5
Exercice 1 (4,5pts)
Soit (P) le plan complexe et M un point de (P) d’affixe z. Soit f la fonction f:ℂ → ℂ
z−i
z
z+i
1) Montrer que tout complexe distinct de – i a une image par f et que tout complexe distinct de
1 est une image par f. (1pt)
2) Déterminer et construire l’ensemble des points M d’affixe z tels que :
a) f(z)< 1 (1pt)
b) arg [f(z)] = (2k + 1) (k ). (0,75pt)
3
c) arg[f(z)] = + 2k (k ) (0,75pt)
2
d) arg[f(z2)] = k (k ) (1pt)
Exercice 2 (5pts)
1. On considère l’équation (E) : z ℂ,
z2 – 2(1 + i sin)z + 2i sin = 0 où ]- ; [.
Résoudre E. (1pt)
→ →
2. On considère le plan complexe rapporté à un repère orthonormé (O, u , v ). Pour tout
1
]-, [, on définit le nombre complexe z() = (1 + ei )2.
2
−i
a) Calculer (1 + ei) e 2 ; en déduire qu’un argument de 1 + ei est ; calculer le module et
2
un argument de z(). (1,5pt)
Représenter dans le plan complexe z . (0,5pt)
6
b) Soit M le point d’affixe z() et A le point d’affixe 1. On projette orthogonalement A en P
sur la droite (OM).
Quel est l’ensemble des points P quand varie dans]-, [. Calculer la distance PM. On
séparera les cas [ − ; ] et ]- ; − [ ] ; [. (1,5pt)
2 2 2 2
c) Donner une construction géométrique de l’ensemble des points M. (0,5pt)
Problème (10,5pts)
On choisit pour unité de longueur 4cm et on munit le plan d’un repère orthonormal direct
→ →
(O, u , v ). On représentera les courbes demandées dans ce repère.
Partie A
1. On note E l’ensemble des complexes z tels que z – i z 0 et on considère la fonction f, qui à
z+ z−i
chaque élément z de E, associe le complexe f(z) = .
z − iz
Déterminer l’ensemble E et représentez-le graphiquement.
Par la suite, si un complexe z de E est représenté par M, on note M’ le point représentant f(z).
2. Résoudre f(z) = i.
3. z est un élément de E ; Exprimer les coordonnées (x’ ; y’) de M’en fonction de celles x, y
de M.
4. Déterminer et représenter l’ensemble des complexes z tels que f(z) soit imaginaire pur.
5. z = x + iy est un élément de E.
Montrer que le module de f(z) est égal à 2 si et seulement si x et y sont liés par la relation
4y2 – 8xy – 1 = 0.
Partie B
Le but de cette partie est de représenter ( ) : 4y2 – 8xy – 1 = 0.
1. Montrer que ( ) est la réunion de deux courbes (C ) et (C ’’) symétriques par rapport à O,
dont on précisera les équations.
1 1
2. Soit a et b 2 fonctions définies sur par a(x) = x + 4x2 + 1 b(x) = x – 4 x 2 + 1 ; on
2 2
notera (C ) la courbe de a et (C ’’ ) celle de b.
Montrer que la droite d’équation Y = 2x est asymptote à (C ) au voisinage de +.
Etudier et tracer (C ). On tracera la tangente à (C ) au point d’intersection de (C ) avec l’axe
des ordonnées.
3. Représenter ( ).
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2009-2010
du Collège Saint Joseph Lundi 14 Décembre 2009
Lomé DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1 (4,5pts)
2
1-/ a)Soit (n) la suite géométrique réelle de premier terme o strictement positif et de raison .
3
Exprimer n en fonction de n et de o.
b) Soit (n)n . La suite arithmétique réelle de premier terme o appartenant à l’intervalle
2
[0 ; [ et de raison ; Exprimer n en fonction de o et n.
2 3
c) Pour tout entier naturel n, on pose Zn = n(Cosn + iSinn).
Sachant que Zo, Z1, Z2 sont liés par la relation ZoZ1Z2 = 8, déterminer le module et un
argument de Zo ; Z1 ; Z2.
→ →
2-/ Dans le plan complexe P muni d’un repère orthonormal direct (O, u , v ) (unité 4cm) on
appelle Mn le point d’affixe Zn.
a) Placer Mo, M1, M2 et M3 dans le plan P.
b) On pose dn = M→ → →
o M 1 + M 1 M 2 + ... + M n M n +1
. Calculez dn en fonction de n et calculer
b) En déduire J.
2. Soit k un entier naturel tel que : 0 k n – 1.
En utilisant les variations de f sur [1 ; +[ ; montrer que :
k +1
1 k 1+ 1 k +1
f 1 +
n n 1+
k
n f ( x ) dx
f 1 +
n n
.
n
f (2) f (1) f (1) f (2)
3. En déduire que µn – J µn – puis J + µn J + .
n n n n
lim
Calculer n µn.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2009-2010
du Collège Saint Joseph Vendredi 08 Janvier 2010
Lomé COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
Soit f la fonction définie sur [0 ; 1] par : f(x) = sin x.
Partie 1
1. Tracer la courbe représentative C de f (unité graphique 8cm).
1
2. Calculer I = sin xdx .
0
cos
2 ( n − 1) 2n .
3. En déduire que : sin + sin + ... + sin =
n n n
sin
2n
lim 2
4. Prouver finalement que : n → + Sn = .
Partie 3
Comparer les résultats des parties 1 et 2 et interpréter graphiquement.
Exercice 2
Soit E l’ensemble des fonctions f définies et dérivables sur]0, +[ telles que, pour tous réels x et y
strictement positifs f(xy) = f(x) + f(y).
1. a) En posant x = y = 1, montrer que f(1) = 0.
1 1
b) En écrivant 1 sous la forme 1 = x , montrer que f( )= – f(x).
x x
x
c) Montrer que f( ) = f(x) – f(y) et que f(x2) = 2f(x).
y
1
d) En posant x = x x , montrer que f( x ) = f(x).
2
2. supposons x fixe et posons g(y) = f(xy) où f E.
a) En remarquant que g(y) = f(x) + f(y) montrer que g est dérivable sur ]0, +[, puis que
xf’(xy) = f’(y) pour tout y > 0.
f ' (1)
b) En déduire que f’(x) = .
x
Exercice 3
On cherche à déterminer une fonction continue unique f, définie sur vérifiant :
(1) x , y , f(x + y) + x + y = [f(x) + x][f(y) + y].
et
(2) f(1) = e – 1.
t
1. En posant x = y = , vérifier que :
2
(3) t , f(t) + t 0.
Démontrer que s’il existe un réel xo tel que : f(xo) + xo = 0, alors :
(4) x , f(x) + x = 0.
En déduire que f(x) + x n’est jamais nul et démontrer que f(0) = 1.
2. Démontrer que
(5) x , n , f(nx) = [f(x) + x]n – nx.
Calculer f(–x) – x et démontrer que :
(6) x , n , f(nx) = [f(x) + x]n – nx.
1 1
3. Calculer en fonction du nombre e et de l’entier q l’expression f + .
q q
Démontrer que :
(7) x , f(x) = ex – x.
4. Vérifier que la fonction définie par : x , f(x) = ex – x, satisfait bien (1) et (2). On admettra que
cette fonction est la seule fonction continue sur ayant cette propriété.
Exercice 4
→ →
Le plan affine euclidien P est rapporté à un repère cartésien orthonormé (O, i , j ).
A tout point M de coordonnées (x, y) du plan P on associe le nombre complexe z = x + iy, affixe
de M.
A) Soit C l’application affine de P dans P qui a tout point M de coordonnées (x, y) associe le point M’
1
de coordonnées (x’, y’) telles que : x’ = – x – y
2
1
y' = x – y où est un paramètre réel.
2
1. Montrer que, quel que soit , C est bijective et admet un unique point invariant, que l’on
précisera.
2. Montrer qu’il existe une valeur unique de pour laquelle C est une homothétie H. En donner le
centre et le rapport.
3. Montrer qu’il existe deux valeurs de pour lesquellesC est une isométrie. Vérifier que ces deux
isométries sont réciproques l’une de l’autre ; on les notera R et R -1.
4. Montrer que les affixes z’ et z de M’ et M sont liés, pour tout , par une relation de la forme
z’ = az, où a est un nombre complexe que l’on explicitera en fonction de . En déduire que C est
une similitude directe, dont on précisera le centre, le rapport r et la mesure de l’angle en fonction
de . (On caractérisera par son cosinus et son sinus.)
5. Donner la valeur de a pour C = H , C = R , C = R -1. Montrer que R et R -1 laissent
globalement invariant, tout triangle équilatéral du plan P, ayant O comme isobarycentre.
B) 1. Résoudre l’équation z3 = 1 dans le corps des nombres complexes ℂ. On désigne par A, B, C les
images des trois solutions dans le plan P (B et C d’abscisses négatives et B d’ordonnée positive) et
par A1, B1, C1 leurs transformés respectifs par C.
→ →
Calculer dans le repère (O, i , j ) les coordonnées des points A1, B1, C1 en fonction de .
En déduire que pour tout réel, le point A1 appartient à la droite BC, B1 à la droite AC et C1 à la
droite AB.
2. Montrer que lorsque décrit l’ensemble des nombres réels, le milieu du segment [B1, C1] décrit
une droite que l’on précisera.
3. a) Soit A2 le transformé de A1 par C. Démontrer que les coordonnées de A2 dans le repère
→ →
1
(O, i , j ) sont x = – 2, y = – .
4
b) Reconnaître et construire l’ensemble des points A2 lorsque varie.
→ →
c) Montrer que le vecteur dérivé OA 2 , la variable étant , et le vecteur B1C1 sont linéairement
dépendants. En déduire que la droite B1C1 est tangente au point A2 à la courbe .
C) On fixe à présent la valeur de et l’on définit par récurrence, pour n entier naturel, C 0
= 1
(application identique de P ).
C 1 = C C 2 = C o C1 …, C n = C o C n −1 .
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2009-2010
du Collège Saint Joseph Lundi 01 Février 2010
Lomé
DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
A) Dans le plan muni d’un repère orthonormé (O,I,J) ; soit () la droite d’équation y = x, a un réel donné,
on considère l’application fa du plan dans lui-même dont l’expression analytique est :
x' = ax
y’ = x + ay
1. a) fa est-elle une application affine ?
b) Pour quelles valeurs de a fa est-elle bijective ?
c) Déterminer l’ensemble des points invariants par fa.
d) Montrer que fo est la composée de S() et d’une application simple que l’on précisera.
2. On donne 2 réels a et a’ non nuls. Définir analytiquement fa o fa’. Reconnaître fa o f–a.
3. On suppose a 0 soit g l’application telle que g = fa o S(OJ) o fa o S().
a) Définir analytiquement g.
b) Donner l’écriture complexe de g.
( )
B) On suppose que a est un réel strictement positif. Soit Mo xyoo un point du plan. On pose M1 = fa (Mo)
et pour tout entier naturel n, Mn+1 = fa(Mn). On désigne par (xn ; yn) les coordonnées de Mn.
1. a) Exprimer xn+1 et yn+1 en fonction de xn et yn.
b) Quelle est la nature de la suite (xn) ? Etudier sa convergence.
2. Montrer que si xo est un réel strictement positif et a 1, on a pour tout entier naturel n,
1 yo ln x o
yn = xn(pln(xn) + q) où p = et q = −
a ln a xo a ln a
Exercice 2
t −1
On considère la fonction f définie sur [0 ;1] par : f(0) = 0, f(1) = 1 et si t ]0 ; 1[ , f(t) = .
ln t
→ →
On note C la courbe représentative de f dans un plan muni d’un repère orthonormal (O, i , j ). Le but du
1
problème est d’étudier f et de calculer l’intégrale : l = 0 f (t ) dt .
A-/ Etude de f.
1. a) Démontrer que f est dérivable sur ]0 ; 1[. Calculer f’(t) et prouver que f’(t) a le même signe que
1
(t), où est la fonction définie sur ]0 ; 1[ par : (t) = lnt – 1 + .
t
b) Etudier les variations puis le signe de ; en déduire le signe de f’.
2. Etudier la dérivabilité de f en 0 ; que peut-on en déduire pour la tangente à C au point O ?
1 1
3. a) Prouver que, pour tout élément u de 0; , 0 – (1 + u) 2u2.
2 1− u
u2 2u 3
b) En déduire que : 0 – ln(1 – u) – (u + ) .
2 3
1
4. Soit la fonction g définie sur ]0; 1] par : g(x) = .
f ( x)
1 h 2h 2
a) Prouver que, pour tout élément h de − ;0 , 0 g(1 + h) – g(1) + .
2 2 3
b) En déduire que g est dérivable en 1 et préciser g’(1).
1
c) En déduire que f est dérivable en 1 et prouver que f’(1) = .
2
5. Tracer la courbe C (unité graphique : 10cm).
2. Calculer la dérivée de la fonction t ln(– lnt) sur ]0 ; 1[. En déduire que pour tout élément x de
x 1
]0 ; 1[, x 2 t ln t dt = ln 2 (2)
1 1
3. Prouver que, pour tout élément x de ]0 ; 1[ et tout élément t de ]0 ; x[, 0 − − .
ln t ln x
x dt −x
En déduire que, pour tout élément x de ]0 ; 1[, 0 x 2 ln t
ln x
(3)
4. A partir de (1), (2) et (3), déterminer la limite de l(x) lorsque x tend vers 0.
x
5. Etablir que, pour tout élément x de ]0 ; 1], l – l(x) = 0 f (t ) dt . En déduire que 0 l – l(x) x.
6. Prouver finalement que l = ln 2.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2009-2010
du Collège Saint Joseph Lundi 12 Avril 2010
Lomé DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
→ →
Le plan étant rapporté au repère orthonormé (O, i , j ), on considère l’application f du plan dans lui-même
qui à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ tel que z ' = (1 + i 3 ) z − i 3 .
1. Caractériser f.
2. Quelle est l’image par f de la droite (D) : ( 3 )x + y = 0 ?
3. Quelle est l’image par f du cercle (C ) de centre O et de rayon 2 ?
Exercice 2
→ →
Dans le plan affine euclidien P, rapporté à un repère orthonormé (O, i , j ), on étudie la transformation
−x
ponctuelle T qui, à un point M(x, y), fait correspondre le point M’(x’, y’) tel que : x' =
1− x
y
y' =
1− x
1. Montrer que T établit une bijection d’une partie du plan sur elle-même. Préciser cette partie que l’on
notera P1. T est-elle involutive ?
2. Quels sont les points invariants de T ?
N.B. : Dans les questions suivantes, lorsque nous aurons à considérer des parties de P telles que droite,
cercle, conique, nous appellerons : « droites », « cercle », « coniques », l’intersection de ces parties
avec P1.
3. La transformée par T d’une « droite » est-elle une « droite » ?
La transformée d’une « droite » peut-elle être une « droite » de même direction ?
4. Quelle est l’équation de la transformée par T du « cercle » de centre O et de rayon 1 ? Reconnaître la
nature de cette « courbe ».
5. Etablir la relation entre les coefficients réels et qui traduit que la « courbe » d’équation :
x2 + ky2 – 2x – 2 = 0 est globalement invariante par T (, , k sont des réels).
6. On considère en particulier les « courbes » k « coniques » ou ensemble de deux « droites » ayant
pour équation : x2 + ky2 + 4x – 4 = 0.
Vérifier que ces courbes sont globalement invariantes par T, que toutes coupent l’axe des abscisses
aux mêmes points, ont le même centre et deux axes de symétrie en communs.
→ →
Préciser la nature et tracer dans le repère donné (O, i , j ) les courbes 0, 1, -1 et 4 correspondant
aux valeurs 0, 1, -1 et 4 du réel k.
7. Tracer sur un même graphique la courbe (C) d’équation : y = − x 2 + 6 x + 7 et sa transformée par T.
Exercice 3
x −1
A) On considère la fonction f de dans définie par : f(x) = .
x
1. Etudier la fonction f et tracer sa courbe représentative C dans le plan rapporté à un repère orthonormé
→ →
(O, i , j ). On prendra pour unité 2cm. Préciser en particulier la tangente à C au point d’abscisse 1.
2. Démontrer que l’application f1 : ]0, 1] → +
x f(x)
est une bijection et déterminer l’application réciproque f1-1. Sur une nouvelle figure, représenter f1 et f1-1
(le repère sera toujours orthonormé, d’unité 2cm).
3. Soit g la fonction numérique définie par :
1
x , g(x) = .
1+ x2
A tout entier naturel positif n *, on associe les ensembles n et ’n définis par :
1 1− x
n = M(x, y) ; x 1 et 0 y
1+ n 2
x
1 1
’n = M(x, y) ; 0 x < n et y
1+ n 2
1+ x2
a) Montrer que ’n est l’image de n par une isométrie du plan, que l’on précisera.
b) A (n) désignant l’aire de n (en cm2), démontrer que :
n n
A (n) = 4 g (t ) dt −
0
1+ n 2
2. Soit I = − , + et la fonction u définie par : x I : u(x) = tanx (on note tanx la tangente de x).
2 2
On pose, pour tout x de I : H(x) = G[u(x)].
Démontrer que H est dérivable sur I, déterminer H’, en déduire H.
Montrer que G(1) = et déterminer A (1).
4
1 x
3. On pose : x +: h(x) = G et k(x) = G .
x +1 x+2
a) Montrer que h et k sont dérivables sur + et déterminer h’ + k’.
1 1
b) Montrer que G + G = .
2 3 4
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2009-2010
du Collège Saint Joseph Mercredi 12 Mai 2010
Lomé COMPOSITION DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
A) 1. Démontrer que pour tout couple d’entiers naturels (a, b) tels que 0 < a < b et de plus petit commun
multiple M, on a : PGCD(a + b ; M) = PGCD(a, b).
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph
Lomé
INTERROGATION ECRITE
MATHEMATIQUES Durée : H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
1) On suppose ZZ’ -1. Démontrer que si Z et Z’ sont des nombres complexes de module 1,
Z + Z'
alors , est un nombre réel.
1 + ZZ '
Examiner la réciproque.
2) Le plan est muni du repère orthonormé direct (O,I,J). Dans chacun des cas suivant déterminer
l’ensemble des points images des complexes z tels que :
(1) z + ; (2) z i ; (3) Re(z) = Im(z).
3) Démontrer que, a, b, a’, b’ réels, a + ib = a’ + ib’ a = a’ et b = b’.
Exercice 2
1
Soit Z un nombre complexe tel que Z + = 2cos. Démontrer que pour tout entier naturel n, on a :
Z
1
Zn + = 2cos n.
Zn
Exercice 3
2
i
Soit le nombre complexe Z = e 7 ; on pose a = Z + Z2 + Z4 ; b = Z3 + Z5 + Z6.
1) Démontrer que a et b sont deux nombres complexes conjugués et que la partie imaginaire de a est
positive.
2) Calculer a + b et ab. En déduire a et b.
Exercice 4
ai − 4b
Soit le nombre complexe : u = (a ,b ).
5 + 3i
3
1) Déterminer a et b sachant que u a pour module 1 et argument (modulo 2).
4
2) On donne a = 2 et b = 2.
a-/ Calculer u12 + u16.
b-/ Démontrer que quels que soient les entiers naturels m et n, respectivement pair et impair, on a :
u4m + u4n = 0.
c-/ p et q sont des entiers consécutifs ; résoudre dans C l’équation : (u2p) z2 – (2u2q) z – u2p = 0.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph Lundi 11 Octobre 2010
Lomé DEVOIR DU 1er TRIMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1 (7pts)
A) 1./ Z étant un nombre complexe de module 1 et d’argument ( ]0 ; 2[ ), déterminer le
z−i
module et un argument du nombre complexe z tel que : =Z.
z+i
2./ On considère l’équation dans ℂ :
(E) : (z2 + 1)n – (z + i)2n = 0 où n *. Vérifier que -i est solution de (E). Résoudre (E).
B) Soit le nombre complexe u = 1 + i et u son conjugué.
1. a) Mettre u et u sous forme trigonométrique.
n
b) Soit n un entier naturel. On pose : Sn = un + u .
Déduire de a) que Sn = nCos n où n est un réel à préciser en fonction de n.
4
c) Pour quelles valeurs de n a-t-on Sn = 0 ?
d) Prouver que si n est pair, Sn est un entier relatif.
2. On suppose que n est un entier pair et on pose n = 2m.
a) Ecrire, par la formule du binôme, les développements de (1 + i)2m et (1 – i)2m à l’aide des
puissances de i, puissance que l’on ne cherchera pas à simplifier dans cette question.
b) Pour p entier naturel, simplifier : i2p+1 + (-i)2p+1 et (i2p) + (-i)2p.
12
c) Exemple n = 24 (donc m = 12). Montrer que ( − 1) p C 24
2 p 12
2 .
p =0
Exercice 2 (6pts)
On considère deux nombres complexes a et b tels que a et b tels que a ≠ 0, a ≠ 1 et b ≠ 0. On
définit la suite (zn) par zo = 0
n , zn+1 = azn + b
→ →
Dans un plan P rapporté à un repère orthonormé direct (O, e1 , e 2 ) on notera Mn le point d’affixe zn.
b (1 − a n )
1. Montrer par récurrence, que pour tout n ≥ 1, on a : zn = .
1− a
2 2
Soit p \{0 ; 1} on pose, dans cette question a = Cos + iSin .
p p
Montrer alors que la suite (zn) est périodique de période p.
2. α étant un réel donné tel que α ≠ k, pour tout entier relatif k, on pose dans cette question.
a = Cos2α + iSin2α et b = 2Sinα.
Quelle est alors la nature de l’application qui, au point M du plan P, d’affixe z, associe le
point M’ d’affixe z’ = az + b ?
En déduire que l’ensemble des points Mn est inclus dans un cercle dont on déterminera le
centre et le rayon. Faire une figure pour α = et placer les points Mo ; M1 ; M2 ; M3 et M4
6
dans ce cas particulier.
Exercice 3 (6pts)
Dans le plan P, on considère le système de points pondérés {(A, α) (B, β) (C, )}. A, B et C sont
des points distincts de P et α, β, des réels et l’application de P vers définie par :
: P→
M αMA2 + βMB2 + MC2
1. On suppose α + β + ≠ 0. On désigne par G le barycentre du système pondéré.
a) Exprimer (M) en fonction de (G), MG, α, β et .
Donner alors les expressions de (A), (B) et (C).
b) Montrer que α(A) + β(B) + (C) = 2(α + β + ) × (G).
( BC 2 + CA 2 + AB 2
c) Démontrer que (G) = .
+ +
d) On suppose que ABC est un triangle rectangle en A et l’hypoténuse BC = 2a(a *+),
α = 4, β = = -1.
Déterminer l’ensemble des points M du plan tels que (M) = -4a2.
2. On suppose α + β + = 0.
a) Exprimer (M) en fonction de (M’) où M’ est un point quelconque de P distinct de M.
b) On suppose de plus que A, B, C sont alignés et α = BC , β = CA et = AB . Démontrer que
(M) + αβ = 0.
→ →
c) On suppose dans cette question que α = 2 , β = -3 et = 1 et AC = 3 AB .
Déterminer l’ensemble () des points M du plan tels que (M) = k où k est un paramètre
réel.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph Lundi 13 Décembre 2010
Lomé DEVOIR DU 1er TRIMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1 (4,5pts)
→ →
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé (O, u , v ). Pour tout nombre complexe a, on considère
l’application fa, du plan dans lui-même, qui à tout point M d’affixe Z, associe le point M’ d’affixe Z’ tel
que Z’ = (a + 2i)Z + (1 – ai) Z .
1. Pour quelles valeurs de a, fa est-elle une similitude ?
2. Préciser dans chaque cas la nature et les éléments caractéristiques de fa.
On suppose dans la suite de l’exercice que a est un nombre réel.
3. a) Ecrire l’expression analytique de fa.
b) En déduire que fa est une transformation affine.
4. Donner suivant les valeurs de a, l’ensemble des points invariants de fa.
5. On pose a = 2 et on désigne par Dk la droite d’équation 3x – 4y = k où k est un nombre réel.
Montrer que f2(Dk) est une droite dont on déterminera une équation.
Exercice 2 (4,5pts)
L’espace est rapporté à un repère orthonormé direct E H
→ → →
(O ; i , j , k ) et ABCDEFGH est un parallélépipède
→ → → → → →
F G
tel que AB = 2 i ; AD = 4 j et AE = 3 k .
→ → → →
D
1. a) Vérifier que AG = 2 i + 4 j + 3 k .
A
b) Déterminer les composantes de chacun des
→ → → → B C
vecteurs EB ; EG et EB EG .
c) Déterminer une équation cartésienne du plan (EBG).
2. Soit α un réel différent de 1 et M le point de coordonnées (2α ; 4α ; 3α).
a) Vérifier que M décrit la droite (AG) privée du point G.
b) Montrer que M n’appartient pas au plan (EBG).
3. Soit V le volume du tétraèdre MEBG.
a) Exprimer V en fonction de α.
b) Calculer le volume du tétraèdre AEBG.
c) Pour quelles valeurs de α, V est-il égal au volume du parallélépipède ABCDEFGH ?
Problème (11pts)
Partie A
→ →
Dans le plan muni d’un repère orthonormal (O, i , j ) (unité graphique 2cm), on considère la courbe
d’équation y = e-x et la droite D d’équation y = -x.
1. Tracer et D.
2. Soit t un réel ; on désigne par Mt le point de d’abscisse t. La tangente à au point Mt coupe l’axe des
ordonnées au point Nt. Déterminer les coordonnées du point Nt.
3. On désigne par Pt le point de D d’abscisse t et par Gt l’isobarycentre des points O, Mt, Pt et Nt.
a) Placer les points M2, P2 et N2 puis construire en justifiant, le point G2 sur le graphique précédent.
b) Déterminer en fonction de t les coordonnées du point Gt.
4. Quel est l’ensemble des points Gt, quand t décrit ?
Partie B
On considère la fonction f définie sur par f(x) = –x + (1 + x)e-2x.
→ →
On note C la courbe représentative de f dans le repère orthonormal (O, i , j ).
1. Soit u la fonction définie sur par u(x) = –1 – (1 + 2x)e-2x.
a) Etudier le sens de variation de u.
b) Montrer que l’équation u(x) = 0 possède une solution unique α dans l’intervalle [-1 ; 0].
Déterminer une valeur décimale approchée par excès de α à 10-1 près.
c) Déterminer le signe de u(x) suivant les valeurs de x.
2. a) Déterminer les limites de f en - et en +.
b) Montrer que la droite D de la partie A est asymptote à C. Etudier la position de C par rapport à D.
3. Montrer que f est dérivable sur et calculer f’(x).
4. Etudier le sens de variation de f puis dresser son tableau de variation.
5. Construire la courbe C dans le même repère que et D.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph Janvier 2011
Lomé COMPOSITION DU 1er TRIMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1 (3pts)
→ → →
1
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct (O, i , j , k ) on donne les points A( − ; 0 ; 0) ;
2
1
B( ; 0 ; 0) et F(0 ; 1 ; 0).
2
→ →
1. Soit M(x, y, z) un point de l’espace. Calculer les coordonnées du vecteur MA MB . Déterminer
→ → →
le point M0 tel que M 0 A M 0 B = M 0 F . (1pt)
→ → → → →
2. Déterminer l’ensemble des points M du plan (O, j , k ) tels que MA MB = MF . (1pt)
→ →
En interprétant MA MB comme une aire, montrer que ces points M sont à égale distance du point
F et de la droite (AB). En déduire une solution géométrique. (1pt)
Exercice 2 (6pts)
dx ( Sinx ) n dx
On donne les intégrales Io =
0
3
Cosx
; In = 0
3
Cosx
dx où n * et Jn = 04
Cos 2 n +1 x
n
03 ( Sinx )
n
I-/ a) Calculer Cosxdx . En déduire In+2 – In en fonction de n. (1pt)
b) Calculer I1. En déduire I3 et I5. (1pt)
x
c) Soit f la fonction définie sur [0 ; ] par f(x) = ln[tan( + )].
3 2 4
1
Prouver que f est une primitive sur [0 ; ] de la fonction g définie par g(x) = .
3 Cosx
En déduire I0, puis I2 et I4. (1,5pt)
1 aCosx bCosx
II-/ a) Montrer qu’il existe deux réels a et b tel que pour tout x [0 ; ]: = + .
4 Cosx 1 − Sinx 1 + Sinx
En déduire le calcul de J0. (1pt)
2n
b) Montrer, par une intégration par parties, que pour tout n *, 2nJn = (2n – 1)Jn-1 + . (1pt)
2
dx
c) En déduire le calcul de A = 0
4
Cos 5 x
. (0,5pt)
Problème (11pts)
Dans une large mesure, les parties (I) et (II) sont indépendantes.
→ →
Dans un plan affine euclidien P muni d’un repère orthonormé (O, i , j ) on considère les points A, B, C de
coordonnées respectives (a, 0), (0, b) et (0, -ab), où a et b sont deux nombres réels non nuls.
I-/ 1. a) Montrer qu’il existe une application affine de P dans P et une seule, notée fa,b, telle que
fa,b(A) = A, fa,b(B) = B et fa,b(0) = C.
b) Quelle est l’image par fa,b du barycentre M des points A et B affectés respectivement des
coefficients et 1 – ? En déduire que tout point de la droite (AB) est invariant par fa,b.
c) Si M est un point de coordonnées (x, y) et si M’, coordonnées (x’, y’), est son image par fa,b,
montrer que x’ = x
y’ = bx + (a + 1)y – ab
2. Calculer les coordonnées de fa,b o fa,b(M).
Montrer qu’il existe une unique valeur a1 de a telle que fa,b soit une symétrie pour tout b 0 ;
caractériser cette symétrie.
3. On suppose dans cette question que a – {0, -1} et b – {0}.
a) Démontrer que l’application fa,b est bijective.
b) On se donne un point M0 de coordonnées (x0, y0) n’appartenant pas à la droite (AB), et on
pose M1 = fa,b(M0). Montrer que M1 est différent de M0, et que la droite (M0M1) coupe la
droite (AB) en un point H dont on calculera les coordonnées en fonction de x0, a et b.
→ →
Calculer le nombre réel k tel que HM 1 = k HM 0 et montrer qu’il est indépendant de M0.
c) En partant du point M0 de la question précédente, on définit, par récurrence, Mn = fa,b(Mn-1)
pour tout n 1.
→
Calculer les coordonnées Xn et Yn de HM n .
Quel est l’ensemble des valeurs de a pour lesquelles la suite de terme général
un = Y0 + Y1 + ….. + Yn a une limite finie quand n augment indéfiniment ? Calculer alors
cette limite en fonction de x0, y0, a et b.
II-/ Dans cette seconde partie, on suppose a = -2. Soit hb l’application de dans définie par :
b
hb(x) = -e2x + 2ex + x
2
→ →
On désigne par Cb la courbe représentative de hb dans le plan P rapporté au repère orthonormé (O, i , j ).
1. Démontrer que la courbe C’b transformée de Cb par f -2,b a pour équation :
b
y = gb(x) avec gb(x) = e2x – 2ex + x + 2b.
2
2. Etudier les variations de g-3.
3. Dans ce cas particulier, représenter sur une même figure la droite (AB) et la courbe C’-3 ; on pourra
prendre le centimètre pour unité de longueur.
4. Démontrer que la droite (AB) et la courbe C’-3 ont un seul point commun I dont on calculera les
coordonnées (α, ). Montrer sans calculs, mais en utilisant les résultats obtenus à la question I-/ 3. b),
que {I} = C-3 C’-3.
Calculer alors l’aire de l’ensemble des points M de coordonnées (x, y) telles que :
0≤ x≤α
et
g-3(x) ≤ y ≤ h-3(x)
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph Lundi 28 Février 2011
Lomé
DEVOIR DU 2e TRIMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1 (Les parties A et B sont indépendantes.)
A-/ Pour tout réel u, soit Tu l’application du plan, rapporté à un repère orthonormé d’axes x’ox et y’oy
dans lui-même qui au point M(x, y) M’(X, Y) tel que X = x + 2u ; Y = ux + y + u2.
1. a) Montrer que Tu est bijective et déterminer l’application réciproque Tu–1.
2
b) Montrer que la parabole (P) d’équation y = x est globalement invariante par Tu.
4
2. On définit, à partir de l’origine O, de poche en poche, le point M de la manière suivante : M1 = T½ (0)
M2 = T¼(M1) ; M3 = T 1 (M2) ; Mn = T 1 (Mn-1).
8 2n
Exercice 2
Partie 1
2 n −1
( − 1) k 1 1 1
Etant donné un entier n 1, on pose : Un = k +1
= 1 − + ...... +
2
−
2n − 1 2n
et on considère la
k =0
2 n −1
fonction numérique f définie sur par : f(x) = (−1)k x k = 1 − x + ...... + x 2n − 2 − x 2n −1 .
k =0
1
1. Montrer que 0 f ( x)dx = Un .
2n
2. Vérifier que pour x –1 ; f(x) + x = 1 .
1+ x 1+ x
1 x 2n
3. En déduire que Un + 0 1 + x dx = n 2 .
1 x 2n 1
4. Montrer que : 0 0 1 + x dx 0 x
2 n dx .
1 lim 1 x 2n
n → + 0 1 + x
5. Calculer x 2 n dx , en déduire dx .
0
lim U n
6. Calculer .
n → +
Partie 2
On considère les fonctions numériques F, G, H définies sur [0 ; 1] par :
F(x) = ℓn(1 + x) ; G(x) = x – F(x) ; H(x) = F(x) – x + x2.
1. Etudier les variations de G et H sur [0; 1]. En déduire le signe de G et de H sur [0; 1].
2. Montrer que : x – x2 F(x) x pour x [0; 1].
1 1 1 1
3. Etant donné un entier k 0 et un entier n 1, montrer que
1 − F
.
n+k n n+k n+k
1
4. On pose, pour tout entier n 1, Vn = F 1 + F 1 + ...... + F
1
et an = +
1 1
+ ....... + .
n +1 +
n 2 n n n 1 2 n
Montrer que : 1 − 1 an Vn an .
n
5. On pose, pour tout entier n 1, bn = an – 1 . Calculer bn – bn–1 (pour n 2), puis comparer bn au
n
réel Un défini dans la Partie 1 (pour n 1).
lim V n
6. Calculer .
n → +
Partie 3
On considère la fonction numérique S définie sur [0, 1] par S(x) = Sin x et
1
Wn = S 1 + S 1 + ...... + S (défini pour tout entier n 1).
n +1
2n
n
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph Lundi 02 Mai 2011
Lomé DEVOIR DU 2e TRIMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice
→ →
Dans le plan muni d’un repère orthonormé (O, u , v ) d’unité graphique 2cm, on considère l’ensemble (E)
des points M d’affixe z telle que : z – 1 = 1 z − iz − 2(i − 1) . On appelle (D) la droite d’équation
4
x – y + 2 = 0.
1) Soit f l’application du plan dans lui-même qui à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe
z’ telle que : z’ = 1 z + iz + i − 1 . (On pourra poser z = x + iy et z’ = x’ + iy’ où x, y, x’, y’ sont
2
des réels).
a) Démontrer que l’ensemble des points M du plan tels que f(M) = M est la droite (D).
b) Démontrer que pour tout point M du plan, les coordonnées de M’ vérifie l’équation de (D).
→
c) Démontrer que le vecteur MM ' est normal à la droite (D), puis caractériser géométriquement
l’application f.
2) On se propose de déterminer l’ensemble (E) définie au début de l’exercice.
a) Démontrer que : z – z’ = 1 z − iz − 2(i − 1) .
2
b) En déduire que (E) est une ellipse de foyer F d’affixe 1, de directrice associée (D) et
d’excentricité 1 . Préciser son axe focal ().
2
c) Vérifier que les points A et A’ d’affixes respectives 1 (1 + i) et 1 (5 – 3i) sont les sommets de (E)
2 2
situés sur l’axe focal.
3) a) Construire la droite (D), l’axe focal (), les point A, A’ et F.
b) Déterminer géométriquement les autres sommets de (E).
c) Construire (E).
Problème
04 tan
n
A) Pour tout entier naturel non nul n, on pose : ln = x dx .
3. a) Calculer l2.
b) Calculer f(2) + f(6) + f(10) + … + f(4k – 2) en fonction de l2 et de l4k+2’ , où k *.
c) En déduire la limite de la somme : 1 – 1 + 1 − 1 + ... − 1
+
1
lorsque k tend vers +.
3 5 7 4k − 1 4k + 1
4. a) Vérifier que la fonction x ln(cosx) est définie et dérivable que l’intervalle 0; et déterminer
4
sa dérivée. Calculer l1.
b) Calculer f(1) + f(5) + f(9) + … + f(4k – 3) en fonction de l1 et de l4k+1 , où k *.
c) En déduire la limite de la somme : 1 – 1 + 1 − 1 + ... + 1
−
1
lorsque k tend vers +.
2 3 4 2k − 1 2k
B) Soit un réel donné, élément de ]0 ; [. On pose pour tout entier naturel non nul n,
4
Kn() = 0 tan n x dx et Sn() = K1() + K2() + … + Kn().
1. Soit x un nombre réel élément de [0 ; ].
Calculer pour n entier naturel non nul, tan x + tan2x + … + tannx en fonction de x et de n.
tan n +1 x
Prouver que : tan x + tan 2 x + ... + tan n x − tan x = .
1 − tan x 1 − tan x
p
2. Etudier le sens de variation de la fonction gp, où p *, définie sur [0 ; ] par : gp(x) = tan x .
1 − tan x
En déduire que, pour tout p * et pour tout x [0 ; ], 0 tan x tan .
p p
1 − tan x 1 − tan
3. Montrer que pour tout n *, S n ( ) −
tan x
dx
tan +1 .
n
0 1 − tan x 1 − tan
En déduire l’existence de la limite de la suite (Sn()) quand n tend vers +.
4. On se propose de préciser cette limite.
a) Montrer que la fonction x ln(cosx – sinx) est définie et dérivable sur l’intervalle [0 ; [.
4
Calculer sa dérivée.
b) On pose :
sin x cos x
A() = 0 cos x − sin x
dx et B() = 0 cos x − sin x
dx .
Calculer B() – A() et B() + A() puis A() et B(). En déduire la valeur de la limite
de la suite (Sn()) quand n tend vers +.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2010-2011
du Collège Saint Joseph Jeudi 12 Mai 2011
Lomé COMPOSITION DU 2e TRIMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
a, b, c sont des entiers naturels non nuls. Le but de l’exercice est de trouver tous les triplets (a, b, c) tels
qu’un entier naturel qui s’écrit abc en base 9 s’écrit cab en base 13.
1. Montrer qu’un entier N s’écrit abc en base 9 et cab en base 13 si et seulement si, a, b, c sont liés par
la relation 42c = 17a + 2b.
2. Déduire de la première question les valeurs possibles de a.
3. On prend a = 2. Déterminer b et c s’ils existent tels que le triplet (2, b, c) soit solution de l’exercice.
4. Terminer l’exercice en étudiant successivement les différentes valeurs de a.
5. Conclure, et donner en base 10 les entiers N qui répondent à la question.
Exercice 2
On dispose de deux polyèdres A et B. Sur chaque face du polyèdre A est inscrit un diviseur de 97 qu’on
note a. Et sur chaque face du polyèdre B est inscrit un diviseur de 47 qu’on note b. Les faces des deux
polyèdres ont la même chance d’apparaitre au cour d’un lancer.
On lance le polyèdre A et le polyèdre B en notant à chaque fois le nombre inscrit sur la face supérieure.
1. Quelle est la nature de ces polyèdres ?
2. Soit X la variable aléatoire réelle égale a – b .
a) Déterminer la loi de probabilité de X.
b) Calculer la variance et l’écart type de X.
3. Soit f l’application de P dans P qui à tout M(z) M’(z) = (a + ib)z – a + ib.
a) Calculer la probabilité pour que l’application f soit une similitude directe d’angle de mesure − 3 .
4
b) Chaque élève de votre classe lance ces deux polyèdres et on note le résultat obtenu. Quelle est la
probabilité pour que parmi vous, exactement 3 élèves aient obtenu une similitude directe d’angle
orienté de mesure x 0 .
4
c) Quelle est la probabilité pour qu’au moins un élève parmi vous ait obtenu une similitude directe de
mesure x 0 .
4
Problème
A-/ Pour tout entier naturel n, non nul, on considère la fonction fn définie sur [0 ; +[ par :
fn(x) = xnln x si x > 0
0 si x = 0
1. Etudier les fonctions f1 et f2 et construire leurs représentations graphiques respective (C1) et (C2)
→ →
dans un repère orthonormé du plan (O, i , j ) (on prendra 4cm pour unité de longueur).
Préciser la position relative de (C1) et (C2).
2. Prouver que pour tout n, fn est continue sur [0 ; 1]. On définit, alors, la suite (Un)n * par :
1
n * Un = f n (x ) dx.
0
3. a) A l’aide d’une intégration par parties, déterminer une primitive de fn sur ]0 ; 1].
b) En déduire une primitive de fn sur [0 ; 1].
1 lim U n
c) Montrer que Un = − et déterminer
( n + 1) 2 n → +
→ →
d) Soit D le sous ensemble du plan constitué des points M dont les coordonnées (x, y) dans (O, i , j )
vérifient 0 x 1 et f1(x) y f2(x).
Calculer, en centimètres carrés, l’aire de D.
x ln x
B-/ Soit g la fonction, définie sur [0, +[, par : g(x) = si x > 0
x2 + 1
0 si x = 0
1. Montrer que g est continue sur [0 ; 1].
2. Soit x un réel quelconque.
a) Calculer pour tout n de la somme : x – x3 + x5 – x7 + ……. + (-1)n.x2n+1.
2n + 3
x n (2n+1) x
b) En déduire que n , = x – x3
+ …….. + (–1) x (–1)n+1.
1+ x 2 1+ x 2
3. En déduire que : n ,
1 1 f 2n +3 ( x)
g (x ) dx = U1 – U3……..+ (–1)
n
U2n+1+(–1)n+1 dx.
0 0 1 + x2
4. On pose pour tout n de ; Sn = U1 – U3 + ………+(–1)n U2x+1.
a) Prouver que n g (x ) dx – Sn
1
0
– U2n+3.
lim S n 1
b) En déduire que
n → +
= g (x ) dx.
0
0
1
En déduire une valeur approchée à 10–2 près de g (x ) dx.
0
x
C-/ Soit C la fonction définie sur [0, +[ par G(x) = g (t ) dt.
1
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2011– 2012
du Collège Saint Joseph Lundi 24 Octobre 2011
Lomé – Togo
DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
→ →
Le plan P est rapporté à un repère orthonormal (O, u , v ). On prendra 2cm pour unité graphique.
1. a) Résoudre dans l’ensemble ℂ des nombres complexes l’équation Z2 – 4Z + 8 = 0.
b) Ecrire sous forme trigonométrique les solutions Z1 et Z2 de cette équation (Z1 est la solution dont la
partie imaginaire est positive). Placer les points A d’affixe Z1 et B d’affixe Z2.
2. On considère l’application f qui à tout point M distinct de O et d’affixe Z associe le point M’ d’affixe
Z’ définie par : Z’ = 1 (où Z est le conjugué de Z.)
Z
a) Déterminer les affixes des points A’ et B’ images respectives de A et B par f. Placer ces points sur
la figure.
b) Montrer que pour tout point M distinct de O, les points O, M et M’ sont alignés et que
OM’.OM = 1.
3. a) Montrer que pour tout nombre complexe non nul Z, on a : Z – 2 = 2 si et seulement si 1 − 2 Z ' = 2.
Z'
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2011– 2012
du Collège Saint Joseph Lundi 05 Décembre 2011
Lomé – Togo
Exercice 1 (8pts)
A-/ 1. a) Soit a un nombre réel. Résoudre l’équation (Ea, 1) : z ℂ, z2 – 2z cosa + 1 = 0.
b) En déduire la forme trigonométrique des solutions de l’équation :
(Ea, 1) : z ℂ, z2n – 2zn cosa + 1 = 0 , où n *.
n −1
2. Notation : Etant donné les nombres complexes z0, z1, z2,…, zn-1 on note
k =0
zk le produit
n −1 a k
c) a ]0 ; [ et n 2, on pose Hn(a) = sin 2n + . Montrer que pour a non nul, on a :
n
k =0
a
sin( )
2n-1Hn(a) = 2 .
a
sin( )
2n
d) Quelle est la limite de Hn(a) lorsque a tend vers 0 ?
( n − 1)
e) En déduire que, n 2, sin .sin 2 ..... sin =
n
.
n n n 2n − 1
B-/ n est un entier naturel strictement supérieur à 2. On pose W = ei 2 et pour tout complexe Z,
n
P(z) = Z n-1
+Zn-2
+ … + Z + Z + 1 – (Z – W)(Z – W )… (Z – W ).
2 2 n-1
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2011– 2012
du Collège Saint Joseph Janvier 2012
Lomé – Togo COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (3pts)
Dans le plan P1 on considère le système pondéré {(A ; ) ; (B ;) ; (C ; )} où A, B et C sont des points
distincts , , et des nombres réels et l’application de P vers définie par :
:P→
x MA2 + MB2 + MC2
1. On suppose + + 0.
On désigne par G le barycentre du système pondéré.
a) Exprimer (M) en fonction de (G), MG, , , .
Donner alors les expressions de (A), (B) et (C).
b) Montrer que (A) + (B) + (C) = 2( + + ) (G).
BC
2 + CA 2 + AB 2
c) Démontrer que : (G) = .
+ +
d) On suppose que ABC forment un triangle rectangle en A d’hypoténuse BC = 2a( a *+) ;
= 4 ; = = -1.
Déterminer l’ensemble des points M du plan tels que (M) = -4a2.
2. On suppose + + = 0.
a) Exprimer (M) en fonction de (M’) où M’ est un point quelconque du plan P distinct du point M.
b) On suppose de plus A, B, C alignés et = BC ; = CA et = AB .
Démontrer que (M) + = 0.
→ →
c) On suppose = 2 ; = -3 ; = 1 ; AC = 3 AB .
Déterminer l’ensemble () des points M du plan tels que (M) = k où k est un paramètre réel.
Exercice 2 (3pts)
→ →
1. U et W sont deux vecteurs de l’espace.
→ → → → → → → →
Vérifier la relation (1) : ( U W ) W = ( U . W ) W – W 2 U .
→
Indication : Considérer une base orthonormée telle que les coordonnées de U soient (a ; o ; o) et
→
celles de W ( b ; c ; o).
→ →
2. On suppose que V et W sont deux vecteurs donnés orthogonaux.
→ →
a) Démontrer en utilisant la relation (1), qu’il existe un seul vecteur U 0 orthogonal à W , tel que :
→ → →
U0 W = V .
→ → → → → → →
b) En déduire que l’ensemble des vecteurs U tels que U W = V , est défini par U = U 0 + W
décrit .
Exercice 3 (6pts)
1. a) Déterminer dans le nombre de solutions de l’équation (E) : x3 – 2x2 – 1 = 0.
b) Démontrer que l’équation (E) admet une et une solution dans ]2 ; 3[ on la note .
Soit la fonction f : →
x ln(x3 – 2x2 – 1) – 3lnx
2. Etudier et représenter graphiquement f.
3. Soit A et B 2 points distincts du plan et soit t *
+ pour quelles valeurs de x le système
{(A ; ln(x3 – 2x2 – 1)), (B ; ln( 13 ) + t)} définit-il un barycentre ? Dans ce cas on note G(x) le
x
barycentre ainsi déterminé.
→ →
4. On pose AG ( x ) = g ( x ) AB . Expliciter la fonction g(x).
5. Soit h : →
x − 3 ln x
f ( x)
La restriction de h à ] ; +[ est-elle bijective ?
→
6. Soit x ] ; +[. On considère le vecteur h(x) AB , expliciter la fonction k telle que
→ →
h(x) AB = AK (x) .
7. Trouver le lien géométrique de l’ensemble image de K.
Exercice 4 (8pts)
→ →
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé directe (O, i , j ). Soit un paramètre de l’intervalle :
− , . On considère l’application f de P dans P qui à tout point M(x, y) associe le point M’(x’, y’) tel
2 2
o
de la suite (Sn) n .
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2011– 2012
du Collège Saint Joseph Lundi 06 Février 2012
Lomé – Togo DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice
→ →
Dans le plan complexe P muni d’un repère orthonormé direct (O, e 1 , e 2 ), on considère la rotation R de
centre d’affixe 1, d’angle et l’application Hk qui au point M(x, y) associe le point M’(x’, y’) telles
4
que x’ = kx – k – 1 et y’ = ky où k est un nombre réel.
1. a) Hk est-elle bijective ? (on discutera suivant les valeurs du réel k)
b) Déterminer, si possible, l’ensemble des points invariants par Hk.
c) Déterminer la nature de Hk et préciser ses éléments caractéristiques.
d) Donner les conditions sur les nombres réels a, b et c pour qu’une droite (D) d’équation
ax + by + c = 0 soit globalement invariante par Hk.
2. a) Ecrire la transformation complexe associée à R.
b) Soit I(–1, 0) un point de P ; à tout point M de P d’affixe z on associe par R le point M1 d’affixe z1.
Soit G le barycentre des points pondérés (I, –1), (M, 1) et (M1, 2).
i. Calculer l’affixe de G en fonction de z.
ii. Trouver l’ensemble des points G lorsque M décrit la droite () d’équation x = 2.
3. Déterminer la nature de RoHk.
Problème
→ →
Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct (O, i , j ). L’unité graphique est 2 cm.
Pour tout nombre réel non nul , on considère la fonction f définie sur * par :
f(x) = –x ln(2) – 2 x ln( x )
On note C, C+ , C− les courbes représentatives de f et des restrictions de f à ]0 ; +[ et à ]- ; 0[
respectivement.
Soit g la restriction de f à ]0 ; +[.
A-/ Soit E l’ensemble des fonctions numériques dérivables sur ]0 ; +[ et telles que :
x1 ]0 ; +[, x2 ]0 ; +[, f(x1x2) = x1f(x2) + x2f(x1).
1. Démontrer que la fonction kg1 où k est un nombre réel fixé, appartient à E.
2. a) Démontrer que si f appartient à E alors f(1) = 0.
b) Démontrer que si f appartient à E alors x ]0 ; +[, xf’(x) – f(x) = xf’(1). (1)
c) En remarquant que la propriété (1) est équivalente à :
xf ' ( x ) − f ( x ) f ' (1) f ( x)
x ]0 ; +[, 2
= , calculer pour tout x de ]0 ; +[.
x x x
d) En déduire l’ensemble des fonctions appartenant à E.
B-/ 1. Pour quelles valeurs de , g appartient à E ?
2. a) Etudier le sens de variation de g1.
b) Etablir le tableau de variation de f1 (on pourra utiliser la parité de f1).
c) Tracer C1.
d) Calculer l’aire de la partie du plan limitée par C1, l’axe des abscisses et les droites d’équation
x = 1 et x = 1.
e
Dans la suite du problème, on suppose strictement supérieur à zéro.
3. a) Montrer que pour tout x de ]0 ; +[, g x = 1 g1(x).
+ +
b) En déduire que C est l’image de C1 par une homothétie dont on précisera le centre et le
rapport.
c) En déduire le maximum de g.
4. Soit S l’application du plan dans lui-même qui au point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe
z’ = – 2 z .
a) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de S.
b) Montrer que C− est l’image de C+ par S.
5. Construire point par point C2 à partir de C1.
C-/ Soit (Un) une suite numérique définie par : U0 *
+ et n , 2Un+1 = g(Un).
1. Résoudre l’inéquation g(x) > 0 et l’inéquation g(x) – 2x > 0.
2. Déterminer U0 pour que la suite (Un) soit constante.
3. On choisit U0 ]0 ; 1
[ et U0 1e .
a) Démontrer par récurrence que : n *, 0 < Un < 1 .
e
b) Démontrer que la suite (Un) nIN * est strictement croissante.
c) En déduire que la suite (Un) nIN est convergente et préciser sa limite.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2011– 2012
du Collège Saint Joseph Mai 2012
Lomé – Togo COMPOSITION DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
Un sac contient quatre cartons sur lesquels sont inscrits les nombres 219, 291, 292, 338. Les cartons sont
indiscernables au toucher. On tire au hasard successivement et sans remise deux cartons du sac. On note a
et b les nombres portés sur les cartons tirés a (219 ; 291 ; 292 ; 338) ; b (219 ; 291 ; 292 ; 338).
1. Quelle est la probabilité pour que les nombres a et b soient des nombres étrangers ?
2. Quelle est la probabilité pour que a et b soient formés de chiffres identiques ?
3. A chaque résultat (a, b) on associe l’équation : (x, y) 2 ; ax – by = 12. (1)
a) Calculer la probabilité de l’événement : « l’équation (1) admet des solutions ».
b) Résoudre dans x l’équation (1) sachant que a et b sont formés de chiffres identiques et
que a > b.
Exercice 2
A-/ On pose K = /7 .
1. Résoudre dans K l’équation x2 = a ; où a est un élément de K.
2. Montrer que l’équation x2 + 2px + q = 0 (où p et q sont des éléments de K), admet deux racines
distincts ou confondues dans K si et seulement si = p2 – q appartient à un sous ensemble G de K.
3. Résoudre dans K les équations suivantes :
a) x4 – 5x2 + 6 = 0.
b) x3 + x – 2 = 0.
B-/ 1. Trouver tous les entiers naturels diviseurs du nombre 5929.
2. Trouver les couples (a, b) d’entiers naturels dont le PGCD et le PPCM sont solutions de l’équation
x2 – 91x + 588 = 0.
Exercice 3
→ →
Dans le plan B rapporté à un repère orthonormal R = (O, i , j ), on considère l’application f qui à tout
point M de coordonnées (x, y), associe le point M’ de coordonnées (x’, y’) telle que :
x’ = ¼ (3x – y + 1)
y’ = ¼ (-x + 3y + 1)
1. a) Démontrer que l’ensemble des points de B invariants par f est une droite D que l’on précisera.
→
b) Montrer que, pour tout point M du plan, le vecteur Mf (M ) a une direction fixe.
c) En déduire que f est une affinité dont on précisera l’axe, la direction et le rapport.
2. Soit (C ) le cercle d’équation : (x – 1)2 + y2 = 4. Déterminer une équation de l’image (C ‘ ) de (C )
par f.
→ →
3. R ' = ( ; u ; v ) est un repère orthonormal de B où est le point de coordonnées (1 ; 0) dans le
→ → → → → →
repère R et : u = 1 ( i – j ) ; v = 1 ( i + j ).
2 2
a) Soit M un point de B de coordonnées (x, y) dans le repère R et de coordonnées (X, Y) dans le
repère R '. Ecrire x et y en fonction de X et Y.
b) En déduire l’équation de (C ‘ ) dans le repère R '.
c) Préciser alors la nature de (C ‘ ).
Problème
Partie A
Soit f1 la fonction numérique définie sur par : x ; f1(x) = ex – x.
1. Etudier les variations de f1 et tracer sa courbe représentative dans un repère orthonormé. Préciser
l’asymptote.
2. Déduire des variations de f1 que x , 1 + x ex.
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Lundi 29 Octobre 2012
Lomé – Togo DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
A-/ Soit ABC un triangle non équilatéral. On désigne par A’, B’ et C’ les milieux respectifs des côtés
→ → → →
[BC], [CA] et [AB]. On pose a = BC, b = AC, c = AB et u = a 2 BC + b 2 CA + c 2 AB .
→ → → →
1. Montrer que u n’est pas le vecteur nul. (On vérifiera q u = (a2 – b2) AC + (c2 – a2) AB ).
→ → → → → →
2. Pour tout point M du plan, on pose : f(M) = a 2 BC . MA '+ b 2 CA . MB '+ c 2 AB . MC ' .
a) Soit O le centre du cercle circonscrit au triangle ABC ; calculer f(O).
b) Soit G le centre de gravité du triangle ABC :
→ → 1
Montrer que BC .GA ' = (b 2 − c 2 ) . En déduire la valeur de f(G).
6
c) Déterminer l’ensemble des points M du plan tels que f(M) = 0.
B-/ Dans cette question, on suppose que le triangle ABC est isocèle rectangle en A tel que
AB = AC = 3a (a * ).
Déterminer et construire l’ensemble E des points M du plan tel que 4MA2 + 3MB2 + 2MC2 = –36 a2.
Exercice 2
Soit (E) l’équation : z ℂ ; z4 – 4(Cos a Cos b)z3 + 2(1 + Cos2a + Cos2b)z2 – 4(Cos a Cos b)z + 1 = 0.
1. Montrer que pour tout complexe non nul z, en posant u = z + 1 , résoudre (E) revient à résoudre
z
une équation du second degré (E’).
2. a) Résoudre (E’) puis (E).
b) Montrer que les images des solutions de (E) décrivent un ensemble que l’on déterminera.
Exercice 3
i 2
Soit n un entier naturel non nul. On pose w = e n .
Partie A
1. Calculer wn.
2. En déduire la valeur des sommes :
a) S = 1 + cos 2 + cos 4 + …. + cos 2( n − 1) .
n n n
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Lundi 15 Novembre 2012
Lomé – Togo
INTERROGATION DE MATHEMATIQUES
TERMINALE C4
Exercice 1
f:ℂ → ℂ z 1− 2z .
iz + i
A(-1) ; B( 1 ) ; M(z)
2
Interpréter géométriquement le module et argument de 1 – 2z , iz + i , f(z).
Exercice 2
|z1|= |z2|= 1
Montrez que :
z1 + z2
;
(z1 + z2 )2
+
1 + z1z2 z1z2
Exercice 3
i 2
n * \ {1, 2} w= e n
2-/ a) Montrer que w, w2 ….. wn–1 sont n – 1 racines nième de P et sont 2 à 2 distincts.
b) Déduire P(z) = 0 pour tout z.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Lundi 10 Décembre 2012
Lomé – Togo DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
On considère le cube ABCDEFGH représenté à la figure 2.
L’espace est orienté par le repère orthonormal direct
→ → →
(A, AB , AD , AE ). On désigne par I le milieu de [EF] et par
K le centre du carré ADHE.
→ → →
1. a) Vérifier que BK = IG IA .
b) En déduire l’aire du triangle IGA.
2. Calculer le volume du tétraèdre ABIG et en déduire la
distance du point B au plan (AIG).
3. Déterminer les coordonnées du point d’intersection L de la droite (BK) et du plan (AIG). Retrouver
ainsi la distance du point B au plan AIG.
Exercice 2
L’espace est rapporté à un repère orthonormé direct
→ → →
(O, i , j , k ) et ABCDEFGH est un parallélépipède tel que
→ → → → → →
AB = 2 i ; AD = 4 j et AE = 3 k .
→ → → →
1. a) Vérifier que AG = 2 i + 4 j + 3 k .
b) Déterminer les composantes de chacun des vecteurs
→ → → →
EB ; EG et EB EG .
c) Déterminer une équation cartésienne du plan (EBG).
2. Soit un réel différent de 1 et M le point de coordonnées (2 ; 4 ; 3).
a) Vérifier que M décrit la droite (AG) privée du point G.
b) Montrer que M n’appartient pas au plan (EBG).
3. Soit V le volume du tétraèdre MEBG.
a) Exprimer V en fonction de .
b) Calculer le volume du tétraèdre AEBG.
c) Pour quelles valeurs de , V est-il égal au volume du parallélépipède ABCDEFGH ?
Problème
A-/ Préliminaire.
Démontrer que pour tout réel x on a : x 2 + 3 > x .
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Janvier 2013
Lomé – Togo
COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (5pts)
x
Pour tout x appartenant à l’intervalle [0 ; +∞[, on pose F(x) = 0 Ln (1 + e − 2t ) dt .
On ne cherchera pas à calculer F(x).
1) Etudier le sens de variation de F sur [0 ; +∞[. (0,5pt)
2) Soit a un réel strictement positif.
1 1
a) Montrer que t [1 ; 1+ a], on a 1. (0,5pt)
1+ a t
b) En appliquant le théorème des inégalités des accroissements finis à la fonction Ln, établir que
a
Ln(1 + a) a. (0,5pt)
1+ a
3) Soit x un réel strictement positif. Déduire de la question 2. :
x e −2 t x − 2t
0 1 + e − 2t dt F(x) 0 e dt puis
1 1 1 1 –2x
Ln2 – Ln(1 + e–2x) F(x) – e .
2 2 2 2
4) On admet que la limite de F(x), lorsque x tend vers +∞ existe et est un nombre réel noté . Etablir que
1 1
Ln2 . (0,5pt)
2 2
n +1
5) Pour tout entier naturel n, on pose Un = n Ln (1 + e − 2 t ) dt . (0,5pt)
a) Montrer que n , on a : 0 Un Ln(1+ e–2n). (0,75pt)
b) Déterminer la limite de la suite (Un). (0,25pt)
6) Pour tout entier naturel n, on pose Sn = U0 + U1 + U2 + ….. + Un.
a) Exprimer Sn à l’aide de F et n. (0,5pt)
b) La suite (Sn) est-elle convergente ? Dans l’affirmative, donner sa limite. (0,5pt)
Exercice 2 (5pts)
Dans le plan muni d’un repère orthonormé (O, I, J), soit () la droite d’équation y = x.
a étant un réel donné, on considère l’application affine fa dont l’expression analytique est
x’ = ax
y’ = x + ay
I-/ 1) a- Pour quelles valeurs de a fa est-elle bijective ?
b- Déterminer suivant les valeurs de a l’ensemble des points invariants par fa.
c- Montrer que fO est la composée de S() et d’une application simple que l’on précisera.
2) On donne deux réels non nuls a et a’. Définir analytiquement faofa’.
Reconnaître cette transformation dans le cas où a’ = –a.
3) On suppose a 0 et on considère l’application g telle que g = fa oS(OJ)ofaoS().
a) Définir analytiquement g.
b) Donner l’expression complexe de g.
En déduire la nature et les éléments caractéristiques de g2 = gog.
II-/ On suppose que a est un réel strictement positif.
Soit MO(xO ; yO) un point du plan. On pose M1 = fa(MO) et pour tout entier naturel n, Ma+1 = fa(Mn).
On désigne par (xn ; yn) les coordonnées de Mn.
Partie B
On considère l’application affine a,b de (P) dans (P) qui, au point M(x ; y) fait correspondre le point
M’(x’ ; y’) définis par :
x' = (1 + a)x – y
y’ = x + (1 + a)y + b , où (a, b) 2.
I-/ 1) Démontrer que pour tout couple (a, b) l’application a,b admet un point invariant I dont on calculera
les coordonnées (, ) en fonction de a et de b.
Quel est le point I dans le cas où b est nul ?
2) On suppose, dans cette question, le réel b fixé et non nul.
Calculer le rapport et en déduire une relation indépendante de a liant et . Déterminer alors
l’ensemble des points I quand a décrit .
3) On suppose que, dans cette question, b = a2, a décrivant .
Trouver alors une relation indépendante de a qui lie les coordonnées (, ) du point I. Quel est
l’ensemble des points I quand a décrit ?
II-/ (a, b) est un élément quelconque de 2.
Partie C
Soit l’application f de (P) dans (P) qui à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ = i z + i.
I-/ Dans cette question, ℂ*.
1) Déterminer pour que o,1 = f.
2) Déterminer dans chacun des cas suivants :
a) f est une homothétie.
b) f est une rotation.
II-/ Dans cette question, .
1) Discuter suivant les valeurs de la nature de f. Préciser dans chaque cas ses éléments géométriques
caractéristiques.
−
2) Soit le point invariant par f. On pose = tan, avec << .
2 2
• Montrer que les coordonnées de s’expriment sous la forme.
sin 2
x=
2
1 + cos 2
y=
2
• Déterminer l’ensemble des points quand varie dans l’intervalle − ; . Préciser la nature
2 2
de cet ensemble.
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Lundi 11 Février 2013
Lomé – Togo DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice
1 e − nx
Pour tout entier naturel n, on considère la suite (Un) définie par : Un = 0 e x + 1 dx.
1 − nx
1) Pour tout n, on pose : Vn = 0 e dx.
a) Calculer Vn.
b) Déterminer lim Vn, puis lim (nVn).
2) a) Etablir que, pour tout x appartenant à [0 ; 1], on a : 2 ex + 1 2ex.
1 1
b) En déduire que, n , on a : Vn+1 Un Vn.
2 2
c) Déterminer lim Un, puis lim nVn.
3) On pose Sn = p =1U p et tn = p =1V p .
n n
−p −p
n e 1 e
a) Montrer que : 0 p =1 p
e −1
. On observera que, pour tout p, on a :
p
e–p.
b) En utilisant l’inégalité des accroissements finis sur l’intervalle [p, p+1], montrer qu’on a :
1 1
ln(p + 1) – ln p .
p +1 p
1
p =1 p 1 + ln n.
n
c) En déduire que, pour tout n, on a : ln(n + 1)
tn
d) Montrer, en utilisant a) et c) que limn→∞ tn = +∞, puis déterminer limn→∞ .
ln n
e) Que peut-on en déduire pour Sn ?
Problème
→ →
Dans un plan muni d’un repère orthonormé (O, i , j ) on considère les points A, B, C de coordonnées
respectives (a, 0), (0, b) et (0, -ab), où a et b sont deux nombres réels non nuls.
I-/ 1. a) Montrer qu’il existe une application affine de P dans P et une seule, notée fa,b , telle que
fa,b(A) = A, fa,b(B) = B et fa,b(0) = C.
b) Déterminer l’ensemble des points invariants pour fa,b.
c) Si M est un point de coordonnées (x, y) et si M’ de coordonnées (x’, y’), est son image par fa,b,
montrer que x’ = x
y’ = bx + (a + 1)y – ab
2. Calculer les coordonnées de fa,b o fa,b(M).
Montrer qu’il existe une unique valeur a1 de a telle que fa,b soit une symétrie pour tout b 0 ;
caractériser cette symétrie.
3. On suppose dans cette question que a – {–1 ; 0} et b – {0}.
a) Démontrer que l’application fa,b est bijective.
b) On se donne un point M0 de coordonnées (x0, y0) n’appartenant pas à la droite (AB), et on pose
M1 = fa,b(M0).
Montrer que M1 est différent de M0, et que la droite (M1M0) coupe la droite (AB) en un point
H dont on calculera les coordonnées en fonction de x0, a et b.
→ →
Calculer le nombre réel k tel que HM 1 = k HM 0 et montrer qu’il est indépendant de M0. En
déduire la nature et les éléments caractéristiques de fa,b.
c) En partant du point M0 de la question précédente, on définit, par récurrence, Mn = fa,b(Mn-1)
pour tout n 1.
→
Calculer les coordonnées Xn et Yn de HM n .
II-/ Dans cette seconde partie, on suppose a = -2. Soit hb l’application de dans définie par :
b
hb(x) = -e2x + 2ex + x.
2
→ →
On désigne par (Cb) la courbe représentative de hb dans le plan P rapporté au repère (O, i , j ).
1. Démontrer que la courbe C’b transformée de Cb par f -2,b a pour équation :
b
y = gb(x) avec gb(x) = e2x – 2ex + x + 2b.
2
2. Etudier les variations de g-3.
3. Dans ce cas particulier, représenter sur une même figure la droite (AB) et la courbe (C’-3).
4. Démontrer que la droite (AB) et la courbe C’-3 ont un seul point commun I dont on calculera les
coordonnées (α, ). Montrer sans calculs, mais en utilisant les résultats obtenus à la question I-/ 3. b)
que {I} = (C-3) (C’-3).
Calculer alors l’aire de l’ensemble des points M de coordonnées (x, y) telles que :
0 ≤ x ≤ α et g-3(x) ≤ y ≤ h-3(x).
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Lundi 08 Avril 2013
Lomé – Togo
DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice
Une urne contient 6 boules indiscernables au toucher, numérotées 103 ; 117 ; 127 ; 147 ; 221 ; 273.
A-/ On tire au hasard une boule de l’urne et on note a son numéro - a {103 ; 117 ; 127 ; 147 ; 221 ; 273}.
1) a) Quelle est la probabilité des événements suivants :
A : « L’anneau /a ne possède pas de diviseurs de zéro ».
B : « a est congru à 0 modulo 3 ».
C : « a est congru à 0 modulo 7 ».
b) Calculer la probabilité de l’événement B C.
2) A chaque tirage, on associe le nombre de diviseurs positifs de a. Déterminer la loi de probabilité de la
variable aléatoire X ainsi définie.
B-/ On tire simultanément et au hasard deux boules de l’urne. On note a et b les numéros obtenus. A
chaque résultat, on associe le nombre de facteurs premiers communs à a et b.
1) Déterminer la loi de la variable aléatoire Y ainsi définie.
2) On effectue dix fois ce tirage de deux boules. Quelle est la probabilité d’obtenir au moins deux fois
deux boules ayant deux facteurs premiers communs ?
Problème
n −t2
2) Démontrer que e 2 dt est convergente et déterminer sa limite.
0
nIN
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2012– 2013
du Collège Saint Joseph Lundi 27 Mai 2013
Lomé – Togo COMPOSITION DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
Partie A
On rappelle ci-dessous le théorème de BEZOUT et le théorème de GAUSS.
Théorème de BEZOUT :
Deux entiers relatifs a et b sont premiers entre eux si, et seulement si, il existe un couple (u ; v) d’entiers
relatifs vérifiant au + bv = 1.
Théorème de GAUSS :
Soient a, b, c des entiers relatifs.
Si a divise le produit bc et si a et b sont premiers entre eux, alors a divise c.
1) En utilisant le théorème de BEZOUT, démontrer le théorème de GAUSS.
2) Soient p et q deux entiers naturels tels que p et q soient premiers entre eux.
Déduire du théorème de GAUSS que, si a est un entier relatif tel que a 0 [p] et a 0 [q], alors
a 0 [pq].
Partie B
On se propose de déterminer l’ensemble S des entiers relatifs n vérifiant le système : n 9 [17]
n 3 [5]
1) Recherche d’un élément de S.
On désigne par (u ; v) un couple d’entiers relatifs tel que 17u + 5v = 1.
a) Justifier l’existence d’un tel couple (u ; v).
b) On pose n0 = 3 × 17u + 9 × 5v.
Démontrer que n0 appartient à S.
c) Donner un exemple d’entier n0 appartenant à S.
2) Caractérisation des éléments de S.
a) Soit n un entier relatif appartenant à S.
Démontrer que n – n0 0 [85].
b) En déduire qu’un entier relatif n appartient à S si, et seulement si, n peut s’écrire sous la
forme n = 43 + 85k où k est un entier relatif.
3) Application.
Elvire sait qu’elle a entre 300 et 400 jetons. Si elle fait des tas de 17 jetons, il lui en reste 9. Si elle
fait des tas de 5 jetons, il lui en reste 3. Combien é-t-elle de jetons ?
Exercice 2
Les parties A et B sont indépendantes.
A-/ Soit f la restriction de la fonction tangente à l’intervalle −, et g la fonction définie par
2 2
x dt
g(x) = 0 1+ t2
.
1) Montrer que g est définie sur . On pose h = g o f.
2) Montrer que f a une application réciproque f –1 définie sur . Construire sur une même figure les
courbes représentatives de f et f –1.
3) Montrer que h est dérivable sur − , et calculer sa dérivée.
2 2
–1
4) En déduire qu’on a g = f .
1 dt
5) Calculer I = 0 1+ t2
.
1 1
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2013-2014
du Collège Saint Joseph Lundi 09 Décembre 2013
Lomé – Togo DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (5pts)
A-/ Calculer les limites suivantes :
sin 2 x − sin 2 a sin x −
3
1°) lim
x → + x + x + x − x . 2°) lim
x→ a 3°) lim
x → 1 − 2 cos x
x2 − a2 3
xf ( a ) − af ( x )
4°) lim
x→ a (où f est une fonction dérivable en a.)
x−a
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2013-2014
du Collège Saint Joseph Jeudi 30 Janvier 2014
Lomé – Togo COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
Soit A, B, C, D, un losange de centre O tel que OB = 2OA.
1) Démontrer que le barycentre des points pondérés (B, 2) ; (C, –1) et (D, 1) est le milieu du segment
[AB].
2) Soit k un réel.
a) Déterminer et construire l’ensemble (E1) des barycentres Gk des points pondérés (A, k) ; (B, 2) ;
(C, k–1) et (D, 1–2k).
b) Préciser la valeur de k pour laquelle Gk est un point de la droite (AC).
3) Déterminer et construire
→ → → → → →
a) L’ensemble (E2) des points M du plan tel que les vecteurs MA + MC − 2 MD et 2 MB − MC + MD
soit colinéaire.
→ → → → → →
b) L’ensemble (E3) des points M du plan tel que les vecteurs MA + MC − 2 MD et 2 MB − MC + MD
ont la même norme.
Exercice 2
→ → →
A-/ Dans l’espace affine euclidien orienté E rapporté à un repère orthonormé direct (O, i , j , k ) on
donne les points A(1+a ; b–1 ; c) B(a–1 ; b+1 ; c) et C(a–2 ; b ; 1+c) où a, b et c sont des réels.
→ →
1) a) Calculer AB AC .
→ → →
b) Déterminer l’ensemble P des points M de E tels que : AM • ( AB AC ) = 0.
→ →
2) Déterminer l’ensemble S des points M de E tels que : MO • MC = 1.
3) Dans cette question, et dans cette question seulement, on prend a = b = c.
a) Déterminer les sous-ensembles de auquel doit appartenir a afin que S P soit non vide.
b) Déterminer avec précision S P lorsque a = 1.
B-/ Dans cette question a, b et c sont à nouveau des réels quelconques. On désigne par D le point de
coordonnées (a+2 ; b ; c+1), par G1 le barycentre du système {(A ; 1– ), (D, )} et par G2 le barycentre
du système {(B ; 1+), (C ; – )} où .
1) Déterminer en fonction de a, b et c les coordonnées de G1 et G2.
2) On désigne par G le barycentre de {(G1 ; 1+), (G2 ; 1– )}, .
Déterminer en fonction de a, b, c, et les coordonnées de G.
3) Démontrer que l’ensemble des points G lorsque le couple (, ) décrit x est inclus dans
l’ensemble (C ) des points de E dont les coordonnées vérifient la relation (x – a)2 – (y – b)2 = 4z – 4c.
Problème
ln( x)
Pour tout nombre réel non nul , on désigne par f la fonction numérique définie par : f(x) = et
x
par (C) sa courbe représentative dans un repère orthonormé.
Partie A
1) Etudier les variations de f1 (ensemble de définition, sens de variation, limites, tableau de variation) et
construire (C1).
2) Etudier f pour ≠ 0 (ensemble de définition, sens de variation, limites, tableau de variation).
3) Dans cette question, on considère > 0.
a) Déterminer une primitive F de f sur]0, +[.
e
b) Pour a ]0, [ on pose A(a) = F( e ) – F(a).
Etudier la limite en 0 de A(a), puis celle de aA(a).
Partie B
1) Soit a un réel strictement positif ; déterminer, suivant les valeurs de a le nombre de solutions de
l’équation d’inconnue réelle x : ax = x.
(On pourra appliquer le logarithme népérien aux deux membres de cette équation et utiliser les
variations de f1).
2) Démontrer, en utilisant les variations de f1 qu’il existe un unique couple d’entiers naturels (b, c) que
l’on déterminera, tels que 0 < b < c et bC = cb.
Partie C
1) Soit t un nombre réel strictement positif.
a) Ecrire une équation de la tangente T à la courbe (C) au point d’abscisse t.
b) Démontrer que lorsque varie t restant fixe, les droites T passent par un point fixe It que l’on
déterminera.
Déterminer l’ensemble décrit par les points It lorsque t parcourt ]0, +[.
2) Pour tout x appartenant à ]0, +[, on note M’ et M’’ les points de (C2) et (C3) ayant pour abscisse x et
l’on désigne par G le barycentre du système {(M’, 1) ; (M’’, –2)}.
Démontrer que lorsque x décrit l’intervalle]0, +[, le point G décrit une des courbes (C) que l’on
précisera.
3) Soient et ’ deux réels strictement positif et un réel différent de 1.
Pour tout x appartenant à ]0, +[, on note M et M’ les points de (C) et C’) ayant pour abscisse x et
l’on désigne par G le barycentre du système {M, 1) ; (M’, -)}.
Démontrer que lorsque x décrit l’intervalle]0, +[, le point G décrit une des courbes (C) que l’on
précisera.
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2013– 2014
du Collège Saint Joseph Lundi 03 Mars 2014
Lomé – Togo
DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
Soit f l’application de [ 2 ; [dans [1 ; +[ définie par f(x) = sin1 x .
1) Montrer que f admet une application réciproque f –1 dont on précisera l’ensemble de définition.
2) Montrer que f –1 est dérivable sur un intervalle K que l’on précisera et que :
1
y K, (f –1)’(y) =
y y2 −1
2
3) a) Calculer f( ) et f( 3 ).
3 4
2 dt
b) En déduire J = 2 3 .
3 t t2 −1
Exercice 2
→ →
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé directe (O, i , j ). Soit un paramètre de l’intervalle :
− , . On considère l’application f de P dans P qui à tout point M(x, y) associe le point M’(x’, y’) tel
2 2
o
4. On note f(0) = Idp et pour n *, f(n ) = f o f( n −1) . Soit Mo le point de P d’affixe zo = 1.
On désigne par zn l’affixe du point Mn = f(n ) (Mo).
n
1
a) Montrer que pour tout n on a : zn =
2 cos
[cos n( + ) + i sin n( + )].
b) On pose n = zn . Montrer que la suite (n) n est une suite géométrique.
Pour quelles valeurs de est-elle convergente ?
n
c) On pose Sn = z p . Calculer Sn en fonction de n et . Etudier suivant les valeurs de la limite de
p =0
la suite (Sn) n .
Exercice 3
04 tan
n
A-/ Pour tout entier naturel non nul n, on pose : In = x dx .
1) a) Justifier l’existence de In.
b) sans calculer In, montrer que la suite (In) est une suite décroissante dont tous les termes sont
positifs.
2) a) Pour tout entier naturel non nul n, calculer la dérivée de la fonction x tann+1x.
1
En déduire que pour tout entier naturel non nul n, In + In+2 = .
n +1
1 1
b) Démontrer que pour tout entier naturel non nul n, In .
2 ( n + 1) n +1
c) En déduire la limite de la suite (In) lorsque n tend vers +.
d) Calculer f(n) = In+4 – In en fonction de n, où n *.
3) a) Calculer I2.
b) Calculer f(2) + f(6) + f(10) + … + f(4k – 2) en fonction de I2 et de I4k+2’ où k *.
1 1 1 1 1
c) En déduire la limite de la somme : 1 – + − + ... − + lorsque k tend vers +.
3 5 7 4k − 1 4k + 1
4) a)Vérifier que la fonction x ln(cosx) est définie et dérivable sur l’intervalle 0 ; [ 4
]
et déterminer
sa dérivée. Calculer I1.
b) Calculer f(1) + f(5) + f(9) + … + f(4k – 3 ) en fonction de I1 et de I4k+1’ où k *.
1 1 1 1 1
c) En déduire la limite de la somme : 1 – + − + ... + − lorsque k tend vers +.
2 3 4 2k − 1 2k
B-/ Soit un réel donné, élément de 0 ; ] 4
[
. On pose pour tout entier naturel non nul n,
Kn() = 0 tan n x dx et Sn() = K1() + K2() + … + Kn().
1) Soit x un nombre réel élément de [0 ; ]. Calculer pour n entier naturel non nul,
tanx + tan2x + … + tannx en fonction de x et de n.
tan x tan n +1 x
Prouver que : tanx + tan2x + … + tannx – = .
1 − tan x 1 − tan x
tan p x
2) Etudier le sens de variation de la fonction gp, où p *, définie sur [0 ; ] par : gp(x) = .
1 − tan x
tan p x tan p
En déduire que, pour tout p * et pour tout x [0 ; ], 0 .
1 − tan x 1 − tan
tan x tan n +1
3) Montrer que pour tout n *, S n ( ) − dx .
0 1 − tan x 1 − tan
En déduire l’existence de la limite de la suite (Sn()) quand n tend vers +.
4) On se propose de préciser cette limite.
a) Montrer que la fonction x ln(cosx – sinx) est définie et dérivable sur l’intervalle 0 ; [ 4
.[
Calculer sa dérivée.
b) On pose :
sin x cos x
A() = 0 cos x − sin x
dx et B() = 0 cos x − sin x
dx .
Calculer B() – A() et B() + A() puis A() et B(). En déduire la valeur de la limite de la
suite (Sn()) quand n tend vers +.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2013–2014
du Collège Saint Joseph
Lomé BAC II–BLANC DES 07-08-09-10 AVRIL 2014
MATHEMATIQUES Durée : 4H
SERIE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (5,5pts)
Pour tout entier n, n 1, on considère la fonction fn : [0 ; +[ → .
x
x (1 – x)n e 2
t
1 1
0 (1 − t )
n 2
On pose In = e dt .
2 n +1 n!
1) Etudier les variations de f1 et de fn pour n > 1 ; (On discutera suivant les valeurs de n). (2pts)
→ →
2) Tracer dans un repère (O, i , j ) les courbes représentatives de f1 et f2. (1pt)
3) A l’aide d’une intégration par parties, calculer I1. (0,5pt)
1
4) Démontrer que n *, In+1 = In – n +1
. (0,5pt)
2 ( n + 1)!
n 1
5) En déduire que pour tout n *, on a e = k =0 k + I n .
2 k!
(On pourra procéder par récurrence). (0,5pt)
1
6) a) Montrer qu’on peut trouver une constante réelle A telle que 0 In n A . (0,5pt)
2 n!
x
(On pourra trouver A en majorant sur l’intervalle [0 ; 1] la fonction t (1 – t) n e 2 .
1
b) En déduire la limite quand n tend vers + de : Un = k = 0
n
k . (0,5pt)
2 k!
Exercice 2 (4,5pts)
On considère un dé cubique dont quatre faces sont blanches et deux sont noires. L’expérience consiste à
lancer ce dé et à noter la couleur de sa face supérieure.
1) Calculer la probabilité d’avoir : a) une face blanche.
b) une face noire.
2) On jette le dé quatre fois de suite.
a) Calculer la probabilité d’avoir dans l’ordre : une face blanche, une face noire, une face blanche,
une face blanche.
b) Calculer la probabilité d’avoir une seule face noire au cours des quatre lancers.
c) Calculer la probabilité d’avoir une face noire au 4e lancer (une face noire pouvant apparaitre au
cours des autres lancers).
3) Soit n un entier naturel non nul.
a) Calculer la probabilité Pn d’avoir au moins une face blanche au cours des n lancers.
b) Déterminer le plus petit entier naturel n tel que : Pn 0,99.
Problème (12pts)
→ →
Soit P un plan orienté et soit R = (O ; OU ; OV ) un repère orthonormal direct de P. On considère
l’application fa de P dans P qui, au point M d’affixe z, associe le point M’ d’affixe z’ avec : z’ = a2 z + ai
où a est un nombre complexe non nul et z le nombre complexe conjugué de z. On appelle A le point
d’affixe a et on note zle module du nombre complexe z.
A-/ Le but de cette partie est d’étudier fa dans le cas où a= 1.
On pourra poser : a = cos + isin où appartient à l’intervalle [0, 2[.
1) A partir du point A, construire le point O’ tel que O’ = fa(O) et montrer que le milieu I du bipoint
(O, O’) est invariant par fa. (1pt)
2) Montrer que fa est la composée de la symétrie orthogonale par rapport à la droite (OU) et d’un
déplacement. Quelle est alors la nature de fa ? (1,5pt)
3) Lorsque varie dans l’intervalle [0, 2[, déterminer : (1,5pt)
a) L’ensemble des points I (milieu de [OO’] ).
b) L’ensemble des points A’ = fa(A).
→
c) L’ensemble des valeurs prises par la norme de IU .
B-/ On étudie le cas où aest différent de 1.
1) On appelle ga l’application de P dans P qui, au point M d’affixe z, associe le point M 1 d’affixe z1
avec : z1 = a2 z . Soit Sa, la symétrie orthogonale par rapport à la droite (OA).
a) Montrer que l’affixe z2 du point M2 = Sa(M) est définie en fonction de l’affixe z de M par :
__
a
z2 = __ z . (1pt)
a
b) Déterminer la nature de l’application ga o Sa. En déduire une décomposition de ga sous la forme
d’une composée d’une symétrie orthogonale et d’une homothétie. (2pts)
2) Soit MO un point de P distinct de O. On définit dans P, une suite de points Mn par : pour tout entier
naturel n, Mn+1 = ga(Mn). Montrer que l’ensemble des points Mn est contenu dans la réunion de deux
demi-droites.
→ → → →
Trouver une relation entre OM n +1 et OM n puis exprimer OM n en fonction de OM 0 .
→
Etudier suivant la position de A dans le plan P, la limite éventuelle de OM n quand n tend
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2013– 2014
du Collège Saint Joseph Lundi 28 Avril 2014
Lomé – Togo
DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice
1) Déterminer les solutions sur de l’équation différentielle : (E1) : y" + y = 0.
2) Etant donné une fonction numérique g deux fois dérivable sur *, on définit la fonction f de * vers
1 1
par f(x) = xg( ). Exprimer f"(x) à l’aide de g"( ) et x.
x x
1
3) Soit l’équation différentielle (E2) : y" = − y. Démontrer que g une fonction 2 fois dérivable est
x4
1
solution de (E2) si et seulement si f défini par f(x) = xg( ) est solution de (E1).
x
4) En déduire les solutions de (E2) sur ]0 ; +[.
5) Soit g une solution de (E2) sur ]0 ; +[, déduire de ce qui précède une primitive de la fonction
1
x g(x).
x4
2
1 1
Calculer 1 x 3 sin x dx .
Problème
I-/ Soit la fonction f définie sur [0 ; +[ par :
xLnx
f(x) = si x > 0 et f(0) = 0
x +1
1) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0.
2) a) Soit la fonction définie sur ]0 ; +[ par : (x) = Lnx + x + 1.
Etudier les variations de . Etablir que l’équation (x) = 0 admet une solution et une seule, et que
0,27 0,28.
b) Pour x > 0, exprimer f’(x) à l’aide de (x). En déduire les variations de f.
Vérifier que f() = –.
3) Déterminer la limite de f en + puis la limite de Lnx – f(x) lorsque x tend vers +.
4) Construire les courbes représentatives (C) de f et () de la fonction : x Lnx dans le plan rapporté à
→ →
un repère orthonormé (O, i , j ).
n
En déduire à l’aide de a, la limite de lorsque n tend vers +.
en
3) Comparaison de n à en + n.
On écrit n sous la forme : n = en(1 + n) (2) où n 0.
a) A l’aide de (1), exprimer (1 + n) Ln (1 + n) en fonction de n.
t2
b) Etablir que t 0 : 0 (1 + t) Ln (1 + t) – t .
2
n2 n2
c) Déduire de a) et b) que n 1 : n ne–n n + , puis que : 0 ne–n – n e–2n. (3)
2 2
d) A l’aide de (2) et (3), déterminer la limite de en + n – n lorsque n tend vers +.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2014– 2015
du Collège Saint Joseph Lundi 27 Octobre 2014
Lomé – Togo
DEVOIR DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (3pts)
On donne u = 2− 2 −i 2+ 2 .
1) Calculer u2 ; u4 ; En déduire le module et un argument de u4 puis ceux de u.
2) Déterminer l’ensemble des points M du plan d’affixe z tels que uz = 8.
Exercice 2 (7pts)
−
Soit un nombre réel tel que << ; On considère l’équation d’inconnue complexe z :
2 2
(E) : (1 + iz)3(1 – i tan) = (1 – iz)3(1 + i tan).
1) Soit z une solution de (E).
a) Montrer que 1 + iz = 1 – iz .
b) En déduire que z est réel.
2) Soit z un nombre réel.
a) Justifier qu’il existe un réel et un seul de ] – ; [ tel que z = tan .
2 2
1 + i tan
b) Exprimer en fonction de i.
1 − i tan
c) Montrer que z est solution de (E) si et seulement si est solution d’une équation (E’) que l’on
précisera.
d) Résoudre (E’).
3) Déduire des questions précédentes les trois solutions z1, z2 et z3 de (E).
Exercice 3 (6pts)
→ →
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé (O, u , v ), on considère les points Mn d’affixes
n
2
zn = i (1 − i ) où n .
2
1) Exprimer zn+1 en fonction de zn puis zn en fonction de n et zo.
Donner z0, z1, z2, z3 et z4 sous forme algébrique et sous forme trigonométrique.
2) Placer les points M0, M1, M2, M3 et M4.
3) Déterminer la distance OMn en fonction de n.
n +1
2
4) a) Montrer que l’on a : MnMn+1 =
. 6 n .
2
n
b) On pose Ln = M k M k +1 .
k =0
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2014– 2015
du Collège Saint Joseph Lundi 01 Décembre 2014
Lomé – Togo DEVOIR N°2 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 : Géométrie dans l’espace.
→ → →
L’espace est rapporté à un repère orthonormé direct (O, i , j , k ).
1 3 1
On considère les points A 2 , B 2 et C 3 .
2 1 3
1) a) Démontrer que les points A, B et C déterminent un plan (ABC).
b) Donner alors une équation cartésienne du plan (ABC).
2) On considère les plans (P) et (Q) d’équations respectives : (P) : x – 2y + 2z – 1 = 0
(Q) : x – 3y +2z + 2 = 0
a) Démontrer que les plans (P) et (Q) sont sécants. On note () leur droite d’intersection.
b) Démontrer que le point C appartient à la droite ().
→ 2
c) Démontrer que le vecteur u 0 est un vecteur directeur de ().
−1
d) En déduire une représentation paramétrique de ().
3) Soit M le point de () de paramètre k.
→ →
a) Déterminer la valeur de k pour laquelle les vecteurs AM et u sont orthogonaux.
b) En déduire la distance du point A à la droite ().
Exercice 2
Soit A, B, C, D 4 points de l’espace, non coplanaires.
→ → → → → →
1) Démontrer l’égalité : ( AC AD ). AB = ( AB AC ). AD .
2) On note R le parallélépipède de sommets A, B, C, D.
→ → → →
a) Soit H le point défini par AH = AB AC , que représente AH pour R ?
→ → →
b) Que peut-on dire des 3 vecteurs AB , AC et AH ?
→ → → →
c) Justifier l’écriture AD = AB + AC + AH où (, , ) 3.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2014– 2015
du Collège Saint Joseph Lundi 19 Janvier 2015
Lomé – Togo
COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (4pts)
A-/ Etudier le sens de variation de la fonction numérique f de la variable réelle x définie par
1 1 1
f(x) = + + ....... + où les nombres a1, a2,……an sont des réels donnés distincts
x − a1 x − a2 x − an
a1 < a2 < a3 < …….. < an.
1 1 1
En déduire que l’équation + + ....... + = 0 admet n – 1 solutions réelles distinctes.
x − a1 x − a2 x − an
B-/ On considère la fonction numérique g définie sur [–1 ; 2] par g(x) = E(x) sin(x) où E désigne la
fonction partie entière.
1) Exprimer g(x) à l’aide de sin(x) lorsque x appartient à l’un des intervalles [–1 ; 0[ ; [0 ; 1[ ou [1 ; 2[.
En déduire que g est continue sur [–1 ; 2].
2) Etudier la dérivabilité de g en 0 et en 1. Etudier les variations de g sur [–1 ; 2].
→ →
3) Tracer la courbe représentative de g dans un repère orthonormé (O, i , j ).
Exercice 2 (4pts)
→ →
Dans le plan muni d’un repère (O, i , j ) on considère l’application affine T telle que T(O) = A avec
A (−11 ) . On désigne par l’application linéaire associée à T.
→ → → → → →
k étant un nombre réel, on donne : ( i ) = k i + j ; ( j ) = i – k j .
1) Au point M de coordonnées (x, y), T fait correspondre le point M’ de coordonnée (x’, y’)
(T(M) = M’).
Montrer que ces coordonnées sont liées par les relations x’ = kx + y + 1
y’ = x – ky – 1
2) Démontrer que l’application T est bijective.
3) Déterminer suivant les valeurs de k, l’ensemble des points invariants par T.
4) Déterminer l’application réciproque T–1 de T.
Dans le plan complexe, soit z = x + iy l’affixe de M et z’ = x’ + iy’ l’affixe de M’.
5) Démontrer que z’ = (k + i) z + 1 – i (où z désigne le conjugué de z).
6) Déterminer suivant les valeurs de k, la nature et les éléments caractéristiques de T.
Problème (12pts)
→ →
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé (O, i , j ).
Partie A
1 1+ x
Soit la fonction numérique de la variable réelle x définie par : f(x) = Ln .
2 1− x
1) Déterminer l’ensemble de définition, D, de f.
Démontrer que f est continue sur D.
Démontrer que f est impaire.
2) Etudier les variations de f.
–1
3) Démontrer que f est une bijection de D sur . On désigne par f la fonction réciproque de f.
Exprimer f –1(x) en fonction de x.
4) Soient respectivement (C) et (C’) les courbes représentatives de f et f–1, dans le même repère
→ →
(O, i , j ).
a) Ecrire une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse x = 0.
Etudier la position de (C) par rapport à (T).
→ →
b) Tracer (C) et (C’) dans le repère (O, i , j ) (unité graphique : 4cm).
Partie B
Pour tout nombre réel m non nul, on considère l’application S du plan dans lui-même définie par son
→ →
expression analytique dans un repère (O, i , j )
x’ = mx
1
y’ = y
m
1) a) Pour quelles valeurs de m, S est une homothétie? Préciser le centre et le rapport.
b) Montrer que pour m *\{1, –1}, S est la composée de deux affinités orthogonales dont on
précisera les éléments caractéristiques.
→ →
2) Donner une équation dans le repère (O, i , j ) de la courbe (Cm) image de (C ) par S. (On rappelle
que (C ) est la courbe de f définie dans la partie A).
Partie C
On considère l’application affine a,b de (P) dans (P) qui, au point M(x ; y) fait correspondre le point
M’(x’ ; y’) définis par :
x' = (1 + a)x – y
y’ = x + (1 + a)y + b , où (a, b) 2.
I-/ 1) Démontrer que pour tout couple (a, b) l’application a,b admet un point invariant I dont on calculera
les coordonnées (, ) en fonction de a et de b.
Quel est le point I dans le cas où b est nul ?
2) On suppose, dans cette question, le réel b fixé et non nul.
Calculer le rapport et en déduire une relation indépendante de a liant et . Déterminer alors
l’ensemble des points I quand a décrit .
3) On suppose que, dans cette question, b = a2, a décrivant .
Trouver alors une relation indépendante de a qui lie les coordonnées (, ) du point I. Quel est
l’ensemble des points I quand a décrit ?
II-/ (a, b) est un élément quelconque de 2.
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2014– 2015
du Collège Saint Joseph Lundi 23 Février 2015
Lomé – Togo DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice :
Le plan muni d’un repère orthonormé (O, I, J), a étant un nombre réel donné, on considère
l’application fa qui, au point M de coordonnées (x ; y) associe le point M’ de coordonnées (x’, y’) telles
que :
x’ = ax
y’ = x + ay
1) a-/ fa est-elle une application affine ? A-t-elle des points invariants ?
b-/ Mqf0 est la composée de S(D) : (D) : y = x et d’une application simple que l’on précisera.
c-/ On donne a et a’ 2 nombres réels. Définir analytiquement fa’o fa. Reconnaître cette application dans
le cas où a’ = –a.
2) On considère l’application g telle que g = fa o S(OJ) o fa o S(D).
Définir analytiquement g.
M et N étant deux points quelconques du plan, calculer d(g(M), g(N)) en fonction de d(M, N).
Quelle est la nature de g ? Exprimer g comme composée de deux transformations connues.
3) Soit M0(x0 ; y0) un point du plan. On pose M1 = fa(M0) et pour tout entier naturel n, Mn+1 = f(Mn). On
appelle (xn, yn) les coordonnées de Mn.
a) Calculer xn et yn en fonction de x0 ; y0 et a.
b) Quelle est la nature de la suite (xn) ? Etudier sa convergence.
c) Montrer que si x0 et a sont strictement positifs et a différent de 1, on a l’égalité
yn = xn ln(xn) + xn. où et sont des constantes que l’on exprimera en fonction de x0, y0 et a.
d) Etudier la convergence de (yn).
Problème
A-/ Soit f1 la fonction numérique définie sur par : x , f1(x) = ex – x.
1) Etudier les variations de f1 puis tracer sa courbe représentative dans un repère orthonormé.
2) En déduire que, x , 1 + x ex.
3) On définit la suite (Un)n * par : n *, Un = (1 + 1 )(1 + 12 )… (1+ 1n ).
2 2 2
a) Etudier le sens de variation de cette suite.
b) En utilisant le résultat de la question A) 2.) démontrer que n *, Un < e puis justifier la
convergence de la suite (Un)n *.
4) Vérifier que (x, y) 2, f1(x + y) + x + y = [f1(x) + x][f1(y) + y].
B-/ Soit S l’ensemble des fonctions numériques f, dérivable sur vérifiant :
(I) : (x, y) 2, f(x + y) + x + y = [f(x) + x][f(y) + y].
x
1) a-/ En posant x = y = démontrer que f S, X f(X) + X 0.
2
b-/ Démontrer que si f appartient à S alors nécessairement f(0) = 0 ou f(0) = 1.
2) Déterminer la fonction f lorsque f(0) = 0.
3) a-/ Démontrer que s’il existe un réel x0 tel que f(x0) + x0 = 0 alors x f(x) + x = 0.
(On pourra remarquer que x = (x – x0) + x0).
b-/ En déduire que si f(0) = 1 alors x f(x) + x > 0.
c-/ On suppose que f(0) = 1, on pose f(1) + 1 = a. Démontrer que n f(n) + n = an.
4) On pose f S, f’(0) + 1 = k. Soit c un réel donné. En dérivant par rapport à x les deux membres de
la relation f(x + c) + x + c = [f(x) + x][f(c) + c], démontrer que f S, c , 1 + f’(c) = k(f(c) + c).
5) On pose x , f S, g(x) = f(x) + x.
a-/ Exprimer g’(x) en fonction de k et g(x).
b-/ Trouver toutes les fonctions g vérifiant cette dernière relation et en déduire les fonctions f solutions de (I).
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2015– 2016
du Collège Saint Joseph Lundi 02 Novembre 2015
Lomé – Togo
DEVOIR N°1 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
On considère dans ℂ les nombres complexes z1 et z2 de module 1.
z1 + z 2
1) On suppose que z1z2 –1, démontrer que est un nombre réel.
1 + z1 z 2
Examiner la réciproque.
(z1 + z 2 )2
2) Démontrer que est un nombre réel positif.
z1 z 2
3) On suppose qu’un argument de z1 est ; Déterminer le module et un argument de Z = 1 + z1 + z12.
Exercice 2
1) On considère l’équation (E) : z ℂ, z2 – 2(1 + i sin)z + 2i sin = 0 où désigne un nombre
réel appartenant à l’intervalle ]- ; [.
- Résoudre l’équation (E).
- Préciser les cas des solutions doubles.
- Donner le module et un argument de chacune des solutions.
→ →
2) On considère le plan complexe rapporté à un repère orthonormé (O, u , v ). Pour tout
1
]-, [, on définit le nombre complexe z() = (1 + ei )2.
2
−i
a) Calculer (1 + ei). e 2 ; en déduire l’argument du nombre complexe 1 + ei . Calculer le
module et un argument de z().
Représenter dans le plan complexe z .
6
b) Soit M le point d’affixe z() et A le point d’affixe 1. On projette orthogonalement A en P
sur la droite (OM).
Quel est l’ensemble des points P quand varie dans]-, [. Calculer la distance PM. On
séparera les cas [ − ; ] et ]- ; − [ ] ; [.
2 2 2 2
c) Donner une construction géométrique de l’ensemble des points M.
Exercice 3
A-/ 1. a) Soit a un nombre réel. Résoudre l’équation (Ea, 1) : z ℂ, z2 – 2z cosa + 1 = 0.
b) En déduire la forme trigonométrique des solutions de l’équation :
(Ea, 1) : z ℂ, z2n – 2zn cosa + 1 = 0 , où n *.
n −1
2. Notation : Etant donné les nombres complexes z0, z1, z2,…, zn-1 on note
k =0
zk le produit
n −1 a k
c) a ]0 ; [ et n 2, on pose Hn(a) = sin 2n + . Montrer que pour a non nul, on a :
k =1
n
a
sin( )
2n-1Hn(a) = 2 .
a
sin( )
2n
d) Quelle est la limite de Hn(a) lorsque a tend vers 0 ?
e) En déduire que, n 2, sin .sin 2 ..... sin ( n − 1) = n
.
n n n 2n − 1
B-/ n est un entier naturel strictement supérieur à 2. On pose W = ei 2 et pour tout complexe Z,
n
P(z) = Z n-1 n-2
+Z + … + Z + Z + 1 – (Z – W)(Z – W )… (Z – W ).
2 2 n-1
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2015– 2016
du Collège Saint Joseph Lundi 07 Décembre 2015
Lomé – Togo DEVOIR N°2 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coef. : 5
Exercice 1
Soit ABCD un losange de centre O tel que OB = 2OA.
1) Démontrer que le barycentre des points pondérés (B, 2) ; (C, –1) et (D, 1) est le milieu du segment
[AB].
2) Soit k un nombre réel.
a) Déterminer et construire l’ensemble (E1) des barycentres Gk des points pondérés (A, k) ; (B, 2) ;
(C, k–1) et (D, 1–2k).
b) Préciser la valeur de k pour laquelle Gk est un point de la droite (AC).
3) Déterminer et construire :
→ → → → → →
a) L’ensemble (E2) des points M du plan tel que les vecteurs MA + MC − 2 MD et 2 MB − MC + MD
sont colinéaires ;
→ → → → → →
b) L’ensemble (E3) des points M du plan tel que les vecteurs MA + MC − 2 MD et 2 MB − MC + MD
ont la même norme.
Exercice 2
Soit ABC un triangle ; on pose : a = BC, b = AC, c = AB, = mesBAC, = mesABC, = mes ACB.
a b c
On admet que = = .
sin sin sin
1) Soit A3 le point d’intersection de la bissectrice de l’angle BAC et de (BC). On admet que A3
appartient à [BC]. En appliquant le résultat admis ci-dessus aux triangles ABA3 et AA3C, montrer
A3 B AB
que = . En déduire que A3 est le barycentre de {(B, b), (C, c)}.
A3C AC
2) Montrer que le point I, centre du cercle inscrit au triangle ABC est le barycentre de
{(A, a), (B, b), (C, c)}.
2a 2c 2
3) Montrer que BI2 = (1 + cos) .
(a + b + c) 2
abc
4) En déduire que le rayon r du cercle inscrit au triangle ABC est donné par r = où R
2 R (a + b + c)
désigne le rayon du cercle circonscrit au triangle ABC.
b
Remarque : On rappelle que = 2R .
sin
Problème
→ →
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé (O, i , j ).
Partie A
1
n+
Soit n un entier naturel et gn la fonction définie sur [0 ; 1] par gn(x) = x 2
1− x .
On note (n) la courbe représentative de la fonction gn.
1
1) Montrer que (o) est un est un demi cercle, de rayon , dont on précisera le centre.
2
2) Soit n ≥ 1.
1
a) Calculer g’n(x) pour 0 < x < 1 et montrer que g’n(x) et (n + ) – (n + 1)x ont le même signe.
2
b) Etudier la dérivabilité de gn en 0 et 1.
c) Donner le tableau de variation de gn (on ne demande pas le calcul du maximum de gn).
3) a) Soit x [0 ; 1] et n ≥ 0. Etudier le signe de gn+1(x) – gn(x).
b) En déduire les positions relatives des courbes (n) et (n+1).
c) Tracer (1) et (2) dans le même repère.
Partie B
n étant un entier naturel, on définie la fonction numérique fn par : fn(x) = xn 1 − x .
→ →
On désigne par (Cn) la courbe représentative de fn dans le repère (O, i , j ).
1) Déterminer l’ensemble de définition de fn et étudier sa continuité et sa dérivabilité.
2) Donner le tableau de variation de fn, pour n ≥ 1, en distinguant les deux cas : n pair et n impair.
Déterminer l’unique élément n de ]0 ; 1[ tel que f’n(n) = 0, pour n ≥ 1.
3) Construire dans le même repère (Co), (C1) et (C2).
4) Etudier, suivant les valeurs du nombre réel k, le nombre de solutions de l’équation f1(x) = k.
1 1
5) Montrer que l’équation : (E), x 1 − x = admet trois solutions x1, x2 et x3 vérifiant : – < x1 < 0 ;
3 3 3
2 2
0 < x2 < ; < x3 < 1.
3 3
3 1
6) Pour i {1 ; 2 ; 3}, on pose alors : Ui = xi − .
2 3
Montrer qu’il existe alors un unique nombre réel i élément de [0 ; ] tel que Ui = cosi.
1
7) Montrer que 1, 2 et 3 sont les solutions de l’équation : [0 ; ] , cos3 = .
2
Donner alors une valeur approchée à 10–5 près de x1, x2 et x3.
→
8) Soit (C’1) la courbe image de (C1) par la symétrie orthogonale d’axe (O, i ) ; on note
(H) = (C1) (C’1).
a) Montrer que (H) a pour équation x3 – x2 + y2 = 0.
b) Construire la courbe (H) dans un repère différent du précédent.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2015– 2016
du Collège Saint Joseph Mercredi 13 Janvier 2016
Lomé – Togo
COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
1) On considère dans l’équation (E) : x3 – 2x2 – 1 = 0.
a-/ Montrer que l’équation (E) admet une unique solution α et que 2 < α < 3.
b-/ En déduire le signe de P(x) = x3 – 2x2 – 1 suivant les valeurs de x.
2) Soit f la fonction numérique de →
x ln(x3 – 2x2 – 1) – 3lnx
Etudier et représenter graphiquement f.
3) Soit A et B 2 points distincts du plan et soit t *+. Pour quelles valeurs de x le système
1
{(A, ln(x3 – 2x2 – 1))(B, ln( ) + t)} définit-il un barycentre ? Dans ce cas on note G(x) le
x3
barycentre ainsi déterminé.
→ →
4) On pose AG ( x ) = g(x) AB . Expliciter la fonction g.
5) Soit h : →
− 3 ln x
x
f ( x)
Déterminer h( ]α ; +[ ) ; la restriction de h à ]α ; +[ est-elle bijective ?
→ → →
6) Soit x]α ; +[ , on considère le vecteur h(x). AB . Expliciter la fonction k tel que h(x) AB = Ak ( x ) .
Exercice 2
→ →
Le plan est muni d’un repère orthonormé direct (O, u , v ) (unité graphique : 1cm)
1) On note A, B et C les points d’affixes respectives 2i, –1 + 4i et 5 + 2i. On considère la translation t de
→
vecteur BC , la symétrie orthogonale S d’axe (AB) et la transformation f = t o S. On désigne par A’ et
B’ les images respectives de A et B par f.
Calculer les affixes de A’ et B’ puis placer les points A, B, C, A’ et B’ sur une même figure.
2) A tout point M d’affixe z, f associe le point M’ d’affixe z’.
a-/ Justifier que f est un antidéplacement.
b-/ Déterminer l’expression analytique de S, puis en déduire son écriture complexe.
− 3 − 4i 38 − 6i
c-/ Démontrer alors que : z’ = z+ .
5 5
3) a-/ Déterminer l’ensemble des points invariants par f.
b-/ En déduire la nature de f.
4) On appelle D le point d’affixe 3 + 6i, (∆) la médiatrice de [BD] et S’ la symétrie orthogonale
d’axe (∆).
a-/ Montrer que (∆) et (AB) sont parallèles, puis déterminer S ° S’.
→
b-/ Montrer que f o S’ est la translation de vecteur DC .
c-/ En déduire les éléments caractéristiques de f.
Problème
→ →
ABC est un triangle. B’ est le point défini par AB ' = 2 AB .
→ → →
Pour tout couple de réels (,), on définit le point C’ par AC ' = AB + AC . On considère l’application
affine f du plan telle que f(A) = A, f(B) = B’ et f(C) = C’.
Partie A
1) Montrer que l’expression analytique de f dans le repère (A, B, C) est : x’ = 2x + αy
y’ = y
2) Déterminer suivant les valeurs de et l’ensemble des points invariants par f.
3) Pour = 1, démontrer que f est une affinité dont on précisera les éléments caractéristiques.
Partie B
On suppose que ABC est un triangle rectangle et isocèle en A et que = , ( 1).
1) Ecrire l’expression analytique de f dans le repère orthonormé (A, B, C).
2) Déterminer les valeurs de pour lesquelles f est bijective.
3) On choisit = 0. On désigne par P la projection orthogonale sur la droite (AB). Pour tout point M du
plan, on pose P(M) = M1.
→ →
a-/ Exprimer Af (M ) en fonction de AM 1 .
b-/ En déduire que f est la composée de P et d’une homothétie h dont on précisera les éléments
caractéristiques.
2
4) On choisit = .
2
Soit I le milieu de [CC’], S la symétrie orthogonale d’axe (AI).
a) Ecrire l’expression analytique de S dans le repère (A, B, C).
En déduire l’expression analytique de g = S o f.
→ → →
b) Soit u = (1 + 2 ) AB – 2 AC . Démontrer que pour tout point M du plan, les vecteurs
→ →
Mg (M ) et u sont colinéaires.
→ → → →
c) Soit l’application linéaire associée à g. Exprimer ( u ) et ( AC ) dans la base ( u ; AC ).
→ →
En déduire l’expression analytique de g dans le repère (A, u , AC ).
d) Donner la nature et les éléments caractéristiques de g.
5) Dans cette partie *\ {1}. On considère la suite de points (An) n , définie par : A0(x0, y0), et
pour tout n * An+1 = f(An) et (xn, yn) les coordonnées de An.
a) Exprimer xn+1 et yn+1 en fonction de xn et de yn.
b) Déterminer yn en fonction de n et y0.
n −1
n −1− p p +1
c) Démontrer que n *, xn = 2nx0 + y0 2 .
p =0
BONNE COMPOSITION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2015– 2016
du Collège Saint Joseph Lundi 15 Février 2016
Lomé – Togo DEVOIR N°1 DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coef. : 5
Exercice 1
Dans le plan P, muni d’un repère orthonormé, on considère les points A(α ; 0), B(0 ; 2) et C(0 ; –2α) où
α est un réel non nul.
1) Justifier que (O, A, B) est un repère du plan.
2) Soit fα l’application affine définie de P dans P telle que fα(A) = A, fα(B) = B et fα(O) = C.
a- Soit M un point de la droite (AB). Exprimer M comme barycentre des points A et B.
b- En déduire que tout point de la droite (AB) est invariant par fα.
3) Soit α l’application linéaire associée à fα.
→ → → → →
a- Démontrer que α( i ) = i + 2 j et α( j ) = (α + 1) j .
b- En déduire l’expression analytique de fα.
4) a- Calculer les coordonnées fα o fα(M) où M est le point de coordonnées (x ; y).
b- Montrer qu’il existe une unique valeur b pour laquelle : fb o fb = IdP .
c- Quelle est l’ensemble (D) des points invariants par fb ?
→ →
d- Montrer que pour tout point M de P et M’ son image par fb, MM ' est colinéaire à j et le milieu de
[MM’] appartient à (D).
e- En déduire la nature de fb.
5) On suppose que α *–{–1}. Démontrer que fα est bijective.
6) Soit M(x ; y) un point quelconque qui n’appartient pas à la droite (AB) et M’ son image par fα.
a- Déterminer une équation de la droite (AB).
→ →
b- Déterminer les coordonnées du vecteur MM ' . En déduire que M et M’ sont distincts et que MM '
a une direction fixe.
c- Déterminer les coordonnées de H, point d’intersection des droites (MM’) et (AB).
→ →
d- Calculer le nombre k tel que HM ' = k HM et montrer que k est indépendant de M et caractériser fα.
(On distinguera les cas α = –1 et α –1)
Problème
Partie A
1) (E0) désigne l’équation différentielle : y'' + 2y' + y = 0. Déterminer les solutions générales de (E0).
2) (E) est l’équation différentielle : y'' + 2y' + y = 2e–x.
a- Vérifier que la fonction h définie sur par h(x) = x2e–x est une solution particulière de (E).
b- Démontrer que est une solution de (E) si et seulement si g = – h est solution de (E0).
c- Déterminer toutes les solutions de (E).
d- Déterminer la solution f0 de (E) satisfaisant aux conditions initiales : f0(0) = 4 et f’0(0) = 0.
Partie B
On considère la fonction f définie par : f(x) = (x + 2)2e–x.
On désigne par (C ) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormal, l’unité
graphique étant égale à 1cm.
1) Etudier les variations de f et tracer (C ) avec soin.
2) En remarquant que f est une solution de l’équation différentielle (E), déterminer une primitive F de f
sur .
x
(On calculera 0 ( f ' '+ 2 f '+ f )( t ) dt ).
n
3) Pour tout entier naturel n, on pose : In = f (t ) dt .
0
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2015-2016
du Collège Saint Joseph Lundi 11 Avril 2016
Lomé
DEVOIR N°2 DU 2ème SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. 5
Exercice 1
On cherche à déterminer une fonction continue unique f, définie sur vérifiant :
(1) x ,y f(x + y) + x + y =[f(x) + x][f(y) + y] et
(2) f(1) = e – 1
t
1) En posant x = y = , vérifier que : t , f(t) + t 0. (3)
2
Démontrer que s’il existe un réel xo tel que : f(xo) + xo = 0 alors :
x f(x) + x = 0. (4)
En déduire que f(x) + x n’est jamais nul et démontrer que f(0) = 1.
2) Démontrer que x ,n , f(nx) = [f(x) + x]n – nx.
Calculer f(-x) – x et démontrer que x ,n f(nx) = [f(x) + x]n – nx.
1 1
3) Calculer en fonction du nombre e et de l’entier q l’expression f + .
q q
Démontrer que : x , f(x) = e – x.
x
4) Vérifier que la fonction définie par x f(x) = ex – x satisfait bien (1) et (2). On admet
que cette fonction est la seule fonction continue sur ayant cette propriété.
a) Etudier et construire la courbe de (C ) de f.
b) Evaluer l’are A (t), de la portion de plan comprise entre la courbe (C ), son asymptote
et les droites d’équations x = t (t < 0) x = 0.
Exercice 2
ℂ désigne l’ensemble des nombres complexes.
1) Soit f l’application de ℂ dans ℂ définie par f(z) = z2 + 2u.z + 1 + i sin 2t où
u = cos t + i sin t t [0 ; ].
a) Calculer les racines complexes de l’équation f(z) = 0.
b) Quelles sont les courbes décrites par les images des racines lorsque t varie ?
→ →
2) Le plan étant rapporté à un repère orthonormé (O, i ; j ), on désigne par g l’application qui à
tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z2 + iz + 1.
On désigne par (1) l’ensemble des points du plan dont l’image par g appartient à la droite
d’équation x = -1 et par (2) l’image par g de la droite d’équation y = 0.
a) Donner une équation cartésienne de (1) et de (2).
b) Reconnaître ces courbes et les construire.
Exercice 3
Soit a et b deux nombres réels, un réel non nul. Dans le plan affine (P) euclidien orienté
→ →
rapporté au repère orthonormé direct (O, i ; j ). Soit A(1 ;0) ; B(0 ;1) ; C(a ;b) ; O’(0 ; 1+).
1) Démontrer que, pour tout (a, b, ) * il existe f, unique application affine
de (P) dans (P) telle que f(O) = O’ ; f(A) = B ; f(B) = C.
Soit M’(x’, y’) image de M(x, y) par f.
Exprimer x’, y’ en fonction de x, y, a, b, .
Soit F l’ensemble des applications f.
2) a) Démontrer que f est bijective si et seulement si, a 0.
b) Lorsque a = 0, préciser f(P).
3) Ecrire les relations et suffisantes liant a, b, pour que f soit une similitude.
4) Démontrer que (a = et b = 1 + ) caractérise les similitudes directes de F. Préciser
l’angle de ces similitudes.
5) Démontrer qu’il existe, dans F, quatre isométries et quatre seulement :
- Deux rotations ; préciser leurs éléments.
- Une symétrie que l’on caractérisera.
- Un antidéplacement, S, sans point invariant ;
démontrer qu’il existe , symétrie orthogonale et t, translation, telles que
S = o t=t o ; expliciter et t.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2016– 2017
du Collège Saint Joseph Vendredi 18 Novembre 2016
Lomé – Togo
DEVOIR N°1 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
9
A-/ Soit P(z) = z4 – 3z3 + z2 – 3z + 1 où z ℂ.
2
1
1) Démontrer que si z0 ℂ est une solution de l’équation p(z) = 0, alors z 0 et sont aussi solutions
z0
de cette équation.
2) Calculer P(1 + i), puis résoudre dans ℂ cette équation.
3) Ecrire P(z) sous forme d’un produit de deux polynômes du second degré à coefficient réels.
B-/ Soit l’équation (E) : z ℂ, z4 + z3 + z2 + z + 1 = 0.
1) Déterminer les racines cinquième de l’unité puis en déduire les solutions de (E).
1
2) En divisant les deux membres de l’équation (E) par z2 et en posant Z = z + , retrouver sous
z
forme algébrique les solutions de (E).
C-/ 1) Résoudre dans ℂ, l’équation d’inconnue z :
z4 – 4z3cosacosb + 2z2(1 + cos2a + cos2b) – 4zcosacosb + 1 = 0
(où a et b sont des nombres réels)
2) Quel est l’ensemble des points images des solutions de cette équation ?
Exercice 2
Soit u un nombre complexe de module 1 et d’argument , ]0 ; 2].
1+ u
1) a) Calculer le module et un argument du nombre complexe .
1− u
z−i
b) En déduire le module et un argument du nombre complexe z tel que = u.
z+i
z−i
2) Démontrer que si z a pour module 1, alors le nombre complexe u tel que u = est imaginaire pur.
z+i
3) Résoudre dans ℂ l’équation (z – i)6 = (z + i)6.
4) On considère l’équation (E) : z ℂ, (z2 + 1)n – (z + i)2n = 0 (n *).
En remarquant que –i est solution de (E), résoudre (E).
Exercice 3
Soit f la fonction définie de vers par f(x) = x + / x 2 − x / . Etudier les variations de f et construire sa
→ →
courbe (C ) dans un repère orthonormé (O, i , j ).
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2016– 2017
du Collège Saint Joseph Lundi 05 Décembre 2016
Lomé – Togo
DEVOIR N°2 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
1
1) On considère l’équation (E) : x 1 − x = . Démontrer que (E) admet trois solutions x1, x2 et x3
3 3
1 2 2
telles que : – < x1 < 0 ; 0 < x2 < ; < x3 < 1.
3 3 3
3 1
2) Pour i {1 ; 2 ; 3} on pose Ui = (xi – ).
2 3
a°/ Démontrer qu’il existe un unique nombre réel i élément de [0 ; ] tel que Ui = Cos(i).
1
Démontrer que 1 ; 2 ; 3 sont les solutions dans [0 ; ] de l’équation Cos3 = .
2
b°/ En déduire les solutions de (E).
Exercice 2
Soit ABC un triangle ; on pose a = BC ; b = AC ; c = AB ; = mesBAC ; = mesABC ; = mesACB.
a b c
On admet que = = = 2 R où R est le rayon du cercle circonscrit au triangle ABC.
sin sin sin
1) Soit A3 le point d’intersection de la bissectrice de l’angle BAC et de (BC). On admet que A3
appartient à [BC]. En appliquant le résultat admis ci-dessus aux triangles ABA3 et AA3C montrer que
A3 B AB
= En déduire que A3 est le barycentre de {(B, b) (C, c)}.
A3C AC
2) Montrer que le point I, centre du cercle inscrit au triangle ABC est le barycentre de
{(A, a) (B, b) (C, c)}.
2a 2c 2
3) Montrer que BI2 = (1 + Cos) .
(a + b + c) 2
abc
4) En déduire que le rayon r du cercle inscrit au triangle ABC est donné par : r = .
2 R (a + b + c)
Exercice 3
On appelle (E) le plan complexe privé du point A d’affixe i.
1) Démontrer que la relation zz’ – i (z + z’) – 2 = 0 définit une application f de (E) dans (E) qui à tout
point M d’affixe z associe le point M’ = f(M) d’affixe z’.
2) Vérifier que l’application f est involutive c’est-à-dire fof = Id(E).
Déterminer les points de (E) invariants par f.
MB M 'B
3) On appelle B l’image par f de O. Etablir les égalités suivantes : OM’ = , OM = .
MA M'A
MB
4) a°/ Déterminer l’ensemble () des points M de (E) tels que = 2.
MA
b°/ Vérifier que () passe par les points invariants de f par le point d’affixe i 2 .
c°/ Montrer que () est globalement invariant par f.
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2016– 2017
du Collège Saint Joseph Jeudi 19 Janvier 2017
Lomé – Togo
COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
Soit un nombre réel tel que − << ; On considère l’équation d’inconnue complexe z :
2 2
(1 + iz)3(1 – i tan ) = (1 – iz)3(1 + i tan ) (E)
1) Soit z une solution de (E).
a-/ Montrer que 1 + iz = 1 – iz .
b-/ En déduire que z est réel.
2) Soit z un nombre réel.
a-/ Justifier qu’il existe un réel et un seul dans l’intervalle ] – ; [ tel que z = tan .
2 2
1 + i tan
b-/ Exprimer en fonction de ei.
1 − i tan
c-/ Montrer que z est solution de (E) si et seulement si est solution d’une équation (E’) que l’on
précisera.
d-/ Résoudre (E’).
3) Déduire des questions 1) et 2) que l’équation (E) admet trois solutions z1, z2 et z3 (On détaillera bien
le raisonnement).
Exercice 2
− x + sin x
I-/ Soit f la fonction numérique définie sur [0, +[ par f(x) = si x > 0 et f(0) = 0.
x
1) Déterminer les nombres réels x de (0, +[ tels que f(x) = –1.
− x −1 1− x
2) a-/ Prouver que pour tout réel x positif non nul, f ( x) .
x x
En déduire la limite de f en +.
1− x −1− x
b-/ Déterminer les nombres réels x tels que f(x) = et ceux tels que f(x) = .
x x
→ →
c-/ En déduire dans un repère orthonormé (O, i , j ), la position relative de la courbe représentative (C)
−1− x 1− x
de f et des courbes (1) et (2) représentative des fonctions x et respectivement.
x x
3) Montrer que f est dérivable sur]0, +[ et calculer la dérivée de f sur cet intervalle.
4) a-/ Etudier le signe de tan x – x sur 0, et en déduire le signe de f’ sur cet intervalle.
2
b-/ Prouver que pour tout k appartenant à *, il existe un élément xk et un seul de
− 2 + k ; 2 + k tel que tan xk = xk ; montrer que xk > k.
c-/ En déduire le signe de f’ sur]0 ; x1[puis sur chaque intervalle ]xk; xk+1[, où k = 1,2…
(On distinguera k pair et k impair.)
x3
5) a-/ Prouver que, pour tout nombre réel x positif ou nul, 0 x – sin x .
6
x3
(Pour cela, on introduira la fonction définie sur [0, +[ par (x) = sin x – x + .
6
On calculera les dérivées ', " et '" et on déduira le signe de ).
b-/ Prouver que f est dérivable en 0.
6) a-/ Dresser le tableau de variation de f sur l’intervalle [0, 3].
b-/ Tracer sur une même figure les courbes (1), (2) et (C) en se limitant à l’intervalle [0, 3].
On utilisera les valeurs approchées x1 ⋍ 4,49 et x2 ⋍ 7,73.
(Unité graphique : 2cm sur l’axe des abscisses et 6cm sur l’axe des ordonnées.)
Problème
1− x
I-/ Soit f la fonction numérique de la variable réelle x définie par : f(x) = exp où exp désigne
1+ x
l’exponentiel népérien.
→ →
Soit (C) la courbe représentative de f relativement au repère orthonormé (O, i , j ).
1) a-/ Etudier les variations de f, puis dresser son tableau de variation.
b-/ Montrer qu’on peut prolonger f par continuité à gauche du point –1.
2) a-/ Démontrer que f est une bijection de son domaine de définition sur un sous-ensemble I de que
que l’on précisera.
b-/ Expliciter f –1(x).
→ →
3) soit (C’) la courbe représentative de f –1. Tracer (C) et (C’) dans le repère (O, i , j ).
− x
II-/ Soit f la fonction numérique de la variable réelle x définie par : f(x) = exp , 0 ; on
+ x
→ →
désigne par (C) la courbe représentative de f dans (O, i , j ).
a-/ Etudier les variations de f et établir son tableau de variation suivant les valeurs de . ( 0)
b-/ Montrer que pour tout non nul, f est une bijection de son ensemble de définition vers un sous-
ensemble I de que l’on précisera.
c-/ Expliciter f−1 (x).
III-/ Dans cette question, on suppose > 0 et 1.
1) Trouver une application affine g transformant (C) en (C), et une application affine transformant C’
en (C’) où (C’) désigne la courbe de f−1 .
2) Soit () le cercle de centre O et de rayon 1. Soit () l’image de () par g, et soit (’) l’image de ()
par .
→ →
a-/ Donner l’équation cartésienne de () et celle de (’) par rapport au repère (O, i , j ).
→ →
b-/ Préciser par rapport au repère (O, i , j ) les éléments caractéristiques de () et de (’).
→ →
1
3) Tracer () pour = et pour = 2 dans un même repère (O, i , j ).
2
4) a-/ Par quelle transformation t du plan passe-t-on de () à (’) ?
b-/ Montrer qu’il existe une similitude directe s et une similitude indirecte s’ telles que : s () = ( 1 )
et s’() = ( 1 ).
1 2 −n
1 2 n
2 −n 2 −n
un = 3 (1 + 2 n ) e + ( 2 + 2 n ) e + ...... + ( n + 2 n ) e
n
n k
1 −
=
n3
(k + 2n) 2
e n.
k =1
2) Etablir que, pour tout entier naturel non nul n et pour tout entier naturel k tel que 0 k n – 1, on a :
k +1
1 k +1 1 k
f
n n
k
n f (t ) dt f
n n
n
BONNE REFLEXION
Groupe Scolaire Année Scolaire 2016– 2017
du Collège Saint Joseph Jeudi 23 Mars 2017
Lomé – Togo DEVOIR DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice
Un sac contient quatre cartons sur lesquels sont inscrits les nombres 219, 291, 292, 338. Les cartons sont
indiscernables au toucher. On tire au hasard successivement et sans remise deux cartons du sac. On note a
et b les nombres portés sur les cartons tirés a (219 ; 291 ; 292 ; 338) ; b (219 ; 291 ; 292 ; 338).
1-/ Quelle est la probabilité pour que les nombres a et b soient des nombres étrangers ?
2-/ Quelle est la probabilité pour que a et b soient formés de chiffres identiques ?
3-/ A chaque résultat (a, b) on associe l’équation : (x, y) 2 ; ax – by = 12. (1)
a) Calculer la probabilité de l’événement : « l’équation (1) admet des solutions ».
b) Résoudre dans x l’équation (1) sachant que a et b sont formés de chiffres identiques et
que a > b.
Problème
Partie A
Soit f1 la fonction numérique définie sur par : x ; f1(x) = ex – x.
1-/ Etudier les variations de f1 et tracer sa courbe représentative dans un repère orthonormé. Préciser
l’asymptote.
2-/ Déduire des variations de f1 que x , 1 + x ex.
3-/ On définit la suite (Un)n * par : n *, Un = (1 + 1 )(1 + 12 )… (1+ 1n ) .
2 2 2
a) Etudier le sens de variation de cette suite.
b) En utilisant le résultat de la question A) 2.) démontrer que n *, Un < e. Justifier la
convergence de la suite (Un)n *. (On ne demande pas de déterminer lim
n → + U n ).
4-/ Vérifier que (x, y) , f1(x + y) + x + y = [f1(x) + x][f1(y) + y].
2
Partie B
Dans cette seconde partie, on se propose de déterminer l’ensemble E de toutes les fonctions numériques
f, dérivables sur et vérifiant : (I) (x, y) 2, f(x + y) + x + y = [f(x) + x][f(y) + y].
1-/ a) En posant x = y = X , démontrer que f E , x , f(X) + X 0.
2
b) Démontrer que si f appartient à E , alors nécessairement f(0) = 0 ou f(0) = 1.
2-/ Déterminer la fonction f lorsque f(0) = 0.
3-/ a) Démontrer que s’il existe un réel xo tel que f(xo) + xo = 0, alors x f(x) + x = 0 (On pourra par
exemple remarquer que x = (x – xo) + xo et utiliser la relation (I)).
b) En déduire que si f(0) = 1, alors x , f(x) + x > 0.
c) On suppose que f(0) = 1. On pose f(1) + 1 = a.
Démontrer par récurrence que n , f(n) + n = an (avec par convention a° = 1). En déduire que
n , f(n) = an – n.
4-/ On pose f E, f’(0) + 1 = k. Soit c un réel donné quelconque.
En dérivant par rapport à x les deux membres de la relation : f(x + c) + x + c = [f(x) + x][f(c) + c],
démontrer que f E, c , f’(c) + 1 = k[f(c) + c].
5-/ La question 4.) prouve donc que toute fonction f de E vérifie la relation :
(II) x , f’(x) + 1 = k[f(x) + x] avec k = f’(0) + 1.
On pose f E, x , g(x) = f(x) + x.
a) Exprimer g’(x) en fonction de k et g(x).
b) Trouver toutes les fonctions g vérifiant cette dernière relation et en déduire les fonctions
f solutions de (I).
BONNE REFLEXION
Collège Saint Joseph Année Scolaire 2017– 2018
Lomé Lundi 06 Novembre 2017
DEVOIR N°1 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (4,5pts)
9
Soit P(Z) = Z4 – 3Z3 + Z2 – 3Z + 1.
2
1- a) Comparer P( Z ) et P (Z ) , Z étant le conjugué de Z.
b) En déduire que si Z ℂ est une solution de l’équation (E) : P(Z) = 0 alors Z est également solution
de (E).
2- a) Calculer P(1 + i) ; P(0). Que peut-on en déduire ?
1
b) Montrer que si Z ℂ* est solution de (E), alors est également solution de (E).
Z
c) En utilisant a) trouver toutes les solutions de (E).
3- a) Mettre P(Z) sous la forme d’un produit de deux polynômes du second degré à coefficients réels.
9
b) En déduire la factorisation dans du polynôme Q, défini par Q(x) = x4 – 3x3 + x2 – 3x + 1, sous la
2
forme du produit de deux polynômes du second degré.
Exercice 2 (4,5pts)
L’espace est rapporté à un repère orthonormé direct E H
→ → →
(O ; i , j , k ) et ABCDEFGH est un parallélépipède
→ → → → → →
F G
tel que AB = 2 i ; AD = 4 j et AE = 3 k .
→ → → →
D
1-/ a) Vérifier que AG = 2 i + 4 j + 3 k . A
b) Déterminer les composantes de chacun des
→ → → → B C
vecteurs EB ; EG et EB EG .
c) Déterminer une équation cartésienne du plan (EBG).
2-/ Soit α un réel différent de 1 et M le point de coordonnées (2α ; 4α ; 3α).
a) Vérifier que M décrit la droite (AG) privée du point G.
b) Montrer que M n’appartient pas au plan (EBG).
3-/ Soit V le volume du tétraèdre MEBG.
a) Exprimer V en fonction de α.
b) Calculer le volume du tétraèdre AEBG.
c) Pour quelles valeurs de α, V est-il égal au volume du parallélépipède ABCDEFGH ?
Exercice 3 (3,5pts)
Soit ABC un triangle ; on pose : a = BC, b = AC, c = AB, = mesBAC, = mesABC, = mes ACB.
a b c
On admet que = = .
sin sin sin
1) Soit A3 le point d’intersection de la bissectrice de l’angle BAC et de (BC). On admet que A3
appartient à [BC]. En appliquant le résultat admis ci-dessus aux triangles ABA3 et AA3C, montrer
A3 B AB
que = . En déduire que A3 est le barycentre de {(B, b), (C, c)}.
A3C AC
2) Montrer que le point I, centre du cercle inscrit au triangle ABC est le barycentre de
{(A, a), (B, b), (C, c)}.
2a 2c 2
3) Montrer que BI2 = (1 + cos) .
(a + b + c) 2
abc
4) En déduire que le rayon r du cercle inscrit au triangle ABC est donné par r = où R
2 R (a + b + c)
désigne le rayon du cercle circonscrit au triangle ABC.
b
Remarque : On rappelle que = 2R .
sin
Exercice 4 (7,5pts)
1) Résoudre dans ℂ, l’équation z4 = – 7 + 24i.
1+ 2 + i
2) Déterminer le module et l’argument principal du nombre complexe W = .
1+ 2 − i
En déduire la forme algébrique de W2017.
3) Soit u un nombre complexe de module 1 et d’argument , ]– ; [.
1− u
3)1. Déterminer le module et un argument de .
1+ u
2i + z
3)2. En déduire la forme exponentielle du nombre complexe z tel que =u.
2i − z
3)3. Résoudre dans ℂ, l’équation (2 – iz)5 = (2 + iz)5.
4)1. Factoriser au maximum le polynôme à variable complexe z suivant : zn – 1.
2 k i
k =1 ( z + e
n
4)2. Démontrer que n
) n = n ( z n + 1) , n *.
BONNE REFLEXION
Collège Saint Joseph Année Scolaire 2017– 2018
Lomé Lundi 04 Décembre 2017
DEVOIR N°2 DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1
On considère la fonction f définie sur par : f(x) = x + x 2 − 1 et on note (C f) sa courbe représentative
→ →
dans un plan muni d’un repère orthonormé (O, i , j ).
1) a) Exprimer f(x) sans le symbole de la valeur absolue.
b) Etudier la dérivabilité de f aux points d’abscisses –1 et 1. (C f) admet-elle des tangentes aux points
d’abscisses –1 et 1 ? Justifier.
2) Démontrer que (C f) admet deux asymptotes que l’on précisera.
3) Etudier les variations de f et construire (C f).
4) Soit la fonction g : x x – x 2 − 1 et (C g) sa courbe représentative.
a) Justifier que (C g) et (C f) sont symétriques par rapport à O.
b) Construire (C g) sur le même graphique que (C f).
Exercice 2
Soit A, B, C, D, un losange de centre O tel que OB = 2OA.
1) Démontrer que le barycentre des points pondérés (B, 2) ; (C, –1) et (D, 1) est le milieu du segment
[AB].
2) Soit k un réel.
a) Déterminer et construire l’ensemble (E1) des barycentres Gk des points pondérés (A, k) ; (B, 2) ;
(C, k–1) et (D, 1–2k).
b) Préciser la valeur de k pour laquelle Gk est un point de la droite (AC).
3) Déterminer et construire
→ → → → → →
a) L’ensemble (E2) des points M du plan tel que les vecteurs MA + MC − 2 MD et 2 MB − MC + MD
soit colinéaire.
→ → → → → →
b) L’ensemble (E3) des points M du plan tel que les vecteurs MA + MC − 2 MD et 2 MB − MC + MD
ont la même norme.
Exercice 3
→ → →
A-/ Dans l’espace affine euclidien orienté E rapporté à un repère orthonormé direct (O, i , j , k ) on
donne les points A(1+a ; b–1 ; c) B(a–1 ; b+1 ; c) et C(a–2 ; b ; 1+c) où a, b et c sont des réels.
→ →
1) a) Calculer AB AC .
→ → →
b) Déterminer l’ensemble P des points M de E tels que : AM • ( AB AC ) = 0.
→ →
2) Déterminer l’ensemble S des points M de E tels que : MO • MC = 1.
3) Dans cette question, et dans cette question seulement, on prend a = b = c.
a) Déterminer les sous-ensembles de auquel doit appartenir a afin que S P soit non vide.
b) Déterminer avec précision S P lorsque a = 1.
B-/ Dans cette question a, b et c sont à nouveau des réels quelconques. On désigne par D le point de
coordonnées (a+2 ; b ; c+1), par G1 le barycentre du système {(A ; 1– ), (D, )} et par G2 le barycentre
du système {(B ; 1+), (C ; – )} où .
1) Déterminer en fonction de a, b et c les coordonnées de G1 et G2.
2) On désigne par G le barycentre de {(G1 ; 1+), (G2 ; 1– )}, .
Déterminer en fonction de a, b, c, et les coordonnées de G.
3) Démontrer que l’ensemble des points G lorsque le couple (, ) décrit x est inclus dans
l’ensemble (C ) des points de E dont les coordonnées vérifient la relation (x – a)2 – (y – b)2 = 4z – 4c.
Collège Saint Joseph Année Scolaire 2017– 2018
Lomé Janvier 2018
COMPOSITION DU 1er SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 4H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice 1 (5pts)
1
Soit une fonction définie sur , par (x) = et (C ) sa courbe dans le plan muni de repère
4 2 1 − sin 2 x
→ →
orthonormé (O, i , j ).
1) Etudier les variations de . (1pt)
2) a-/ Montrer que réalise une bijection de , sur un intervalle J à préciser. (0,75pt)
4 2
b-/ Etudier la dérivabilité de la bijection réciproque –1. (0,5pt)
3) Soit a , et b tel que b = (a).
4 2
2b − 1
a-/ Démontrer que : cos2a = – . (0,75pt)
b
1
b-/ Démontrer que x , , (–1)’(x) = . (0,75pt)
4 2 2x 2x −1
t
4) a-/ Vérifier que pour tout réel t, 1 – sint = 2sin2 − . (0,5pt)
4 2
1
b-/ Montrer que la fonction définie par : (x) = est une primitive de sur , . (0,75pt)
4 2
2 tan − x
4
Exercice 2 (3pts)
Dans le plan, on considère le système pondéré {(A, α) (B, β) (C, )} où A, B et C sont des points distincts,
α, β et des réels, et l’application de P vers définie par :
: P→
M αMA2 + βMB2 + MC2
1) On suppose α + β + ≠ 0. On désigne par G le barycentre du système pondéré.
a) Exprimer (M) en fonction de (G), MG, α, β et .
Donner alors les expressions de (G), (B) et (C).
b) Montrer que α(A) + β(B) + (C) = 2(α + β + ) (G).
1
c) Démontrer que (G) = ( BC2 + CA2 + AB2).
+ +
d) On suppose ABC formant un triangle rectangle en A et l’hypoténuse BC = 2a(a *+), α = 4,
β = = –1.
Déterminer l’ensemble des points M de (P ) tel que (M) = – 4a2.
2) On suppose α + β + = 0.
a) Exprimer (M) en fonction de (M’) où M’ est un point quelconque du plan (P ) distinct du
point M.
b) On suppose de plus que A, B, C sont alignés et α = BC , β = CA et = AB . Démontrer alors que
(A) = – αβ = 0.
c) On suppose dans cette question, α = 2 ; β = –3 ; = 1 et les points A, B et C sont tels que AC = 3AB.
Déterminer l’ensemble (E) des points M tel que (M) = k où k .
Exercice 3 (3pts)
→ →
1) U et W sont deux vecteurs de l’espace. En considérant une base orthonormée telle que les
→ →
coordonnées de U soient (a ; o ; o) et celles de W (b ; c ; o) vérifier la relation :
→ → → → → → → →
(1) ( U W ) W = ( U . W ) W – || W ||2 U . (1pt)
→ →
2) On suppose que V et W sont deux vecteurs donnés orthogonaux.
→ →
a) Démontrer en utilisant la relation (1) qu’il existe un seul vecteur U o orthogonal à W tel que :
→ → →
U o W = V . (1pt)
→ → → → → → →
b) En déduire que l’ensemble des vecteurs U tels que U W = V , est défini par U = U o + λ W
λ décrit . (1pt)
Exercice 4 (3,5pts)
Soit A, B, C, D 4 points de l’espace, non coplanaires.
→ → → → → →
1) Démontrer l’égalité : ( AC AD ). AB = ( AB AC ). AD . (0,5pt)
2) On note R le parallélépipède de sommets A, B, C, D.
→ → → →
2.1) Soit H le point défini par AH = AB AC ; que représente AH pour R ? (0,5pt)
→ → →
2.2) Que peut-on dire des 3 vecteurs AB , AC et AH ? (0,5pt)
→ → → →
2.3) Justifier l’écriture AD = AB + AC + AH où (, , ) 3. (1pt)
Prouver que ne peut-être nul.
→ → →
2.4) Démontrer que le volume du parallélépipède R est ( AB AC ). AD . (1pt)
Exercice 5 (6pts)
→ →
Le plan P orienté est rapporté au repère orthonormal direct (O, u , v ).
On considère les points A(1 ; 0), B(0 ; 1), C(–1 ; 0), D(0 ; –1), E(–1 ; 1) et F(–1 ; –1).
Etude de quelques transformations du plan P.
1) Démontrer qu’il existe un unique déplacement f1 de P te que f1(A) = B et f1(D) = C. Caractériser ce
déplacement.
2) Démontrer qu’il existe un unique antidéplacement f2 de P tel que f2(A) = B et f2(D) = C. Caractériser
cet antidéplacement.
3) Démontrer qu’il existe un unique déplacement f3 de P tel que f3(A) = F et f3(C) = E. Caractériser ce
déplacement.
4) Soit f4 l’unique antidéplacement tel que f4(A) = F et f4(C) = E.
On désigne par g4 la transformation complexe associée à f4 qui à z affixe de M associe z’ affixe de
M’ = f4(M).
Exprimer z’ = g4(z) en fonction de z.
Déterminer z" = g4(z’) en fonction de z et en déduire la forme canonique de f4.
5) Déterminer les caractéristiques de la similitude directe f5 telle que f5(A) = B et f5(E) = D.
6) Déterminer l’axe de la similitude indirecte f6 telle que f6(A) = B et f6(E) = D.
BONNE COMPOSITION
COLLEGE SAINT JOSEPH
BAC II BLANC Session des 19 – 20 – 21 & 22 Février 2018 DUREE : 4H
SERIE : C4 MATHEMATIQUES COEF : 5
Exercice 1 (4,5pts)
→ →
P est le plan affine euclidien rapporté au repère orthonormé direct (O, i , j ). S est la symétrie orthogonale
par rapport à la droite D d’équation y = x, s est la symétrie orthogonale par rapport à la droite affine
→
passant par O et de vecteur directeur j .
k étant un réel donné, on considère l’application du plan dans lui-même associant au point M de
coordonnées x et y le point M’ de coordonnées x’ et y’ définies par : x’ = kx
y’ = x + ky
Soit fk cette application.
1) Trouver l’ensemble des points invariants par fk.
2) Montrer que f0 est la composée de deux applications simples à déterminer.
3) Trouver l’expression analytique de fk’o fk pour deux réels k et k’ quelconques.
Donner la nature de la composée pour k’ = – k.
4) Déterminer analytiquement l’application fk o s o fk o S.
Reconnaitre cette application et donner ses éléments caractéristiques, directement ou en utilisant les
nombres complexes.
5) On suppose k > 0 et k 1, M0 ( )
x0
y0 x0 > 0 et Mn ( xynn ) Mn+1 = fk(Mn)
Etudier la convergence de la suite (xn) et montrer que pour tout n,
1 y0 ln x0
yn = xn(p ln(xn) + q) où p = et q = − .
K ln k x0 K ln k
Exercice 2 (4,5pts)
→ →
Le plan affine est rapporté à un repère (O, i , j ) orthonormé. On donne A(1 ; 1), *, soit (D) la
droite d’équation x = .
→ →
On considère l’application affine f telle que : f(0) = A et M (D) Mf ( M ) = i .
1) Déterminer l’expression analytique de f. (0,75pt)
2) On considère l’application f qui au point M(x ; y) fait correspondre le point M’(x’ ; y’) telle que
x’ = x + 1 et y’ = x + y + 1.
Vérifier que f = f pour une valeur de que l’on précisera et que f est une transformation affine ;
Y a-t-il des points invariants par f ? (0,75pt)
→ → → →
3) Montrer que, quel que soit le réel , les vecteurs i + j et ( i + j ) forment une base. ( est
l’application linéaire associée à f ). (0,25pt)
4) Soit les droites (1) : x = k ; (2) : y = k’ ; (3) : y = tx (t ).
Déterminer f(1) (2) (3) puis l’ensemble décrit par {P} (3) f(3) lorsque t décrit . (1,25pt)
5) On appelle M0 l’origine du repère et on pose M1 = f(M0) et n *, Mn = f(Mn–1). Soit (xn ; yn) les
coordonnées de Mn.
- Exprimer xn et yn en fonction xn–1 ; yn–1. (0,5pt)
- En déduire xn et yn en fonction de n. (0,5pt)
x2 + x
Vérifier que : n , Mn appartient à la courbe () d’équation y = . (0,5pt)
2
Problème (11pts)
Soit un réel non nul, on considère la fonction f, définie de dans par f(x) = x + (x + 1)e–x.
On désigne par C la courbe représentative de la fonction f dans un plan affine euclidien rapporté à un
→ →
repère orthonormé (O, i , j ).
N.B. : Les parties B et C de ce problème sont indépendantes.
A-/ 1) Déterminer f ' et f " les fonctions dérivées première et seconde de f. Etudier les variations de f '.
2) Discuter, selon le réel , le nombre de solutions de l’équation d’inconnue x.
f '(x) = 0
Préciser la position de ces solutions par rapport à 0 et à 1.
(On distinguera les 4 cas : < 0 ; 0 < < e ; > e)
3) Déduire de ce qui précède, le sens de variation de f suivant les valeurs du réel .
4) Etudier les limites de f en + et en – . Préciser les branches infinies de la courbe C.
5) Montrer qu’il existe un unique point commun A à toutes les courbes C.
6) Soit I le point de C dont l’abscisse est 1. Ecrire une équation de la tangente D en I à la courbe C.
Montrer que les droites D ont un point commun B.
7) On se propose de tracer avec précision les courbes C–1 , Ce , C4. Les courbes seront tracées sur une
même figure sur papier millimétré en prenant 2cm comme unité.
a-/ On prend = –1. Montrer que l’équation d’inconnue x f’–1(x) = 0 n’a qu’une solution notée x1
comprise entre – 0,57 et – 0,56. Construire la courbe C–1.
b-/ Tracer Ce.
c-/ Montrer que l’équation d’inconnue x f’4(x) = 0 a deux solutions : x1 comprise entre 0,35 et 0,36
et x2 comprise entre 2,15 et 2,16.
Tracer C4.
B-/ 1) Montrer que la fonction f admet des primitives sur et déterminer l’ensemble de ces
primitives.
2) Montrer que, pour chaque réel non nul , on peut définir une suite de fonctions continues (n)n *
xIR ( x ) = 0x f ( t ) dt − 2
par : 1
nIN *, xIR n +1( x )= 0x n ( t ) dt + ( − 1)n +1( n + 2 )
Calculer 1. Montrer, par récurrence, pour tout naturel n non nul, et tout réel x,
x n +1
n(x) = + (–1)n(x + n + 1)e–x.
( n + 1)!
1
C-/ On suppose dans cette partie – 0.
e
1) Montrer que le réel x1 tel que f’(x1) = 0 est strictement inférieur à –1.
En déduire que si –1 < x < 0, alors –1 < f(x) < 0.
2) On considère la suite u définie par u0 = 0
n , un+1 = f((un) = un + (un + 1) e − u n
Montrer que : a-/ n * –1 < un < 0
b-/ La suite u est décroissante.
c-/ n , 0 < un+1 + 1 < (1 + )(un + 1).
En déduire que la suite u est convergente et trouver sa limite.
BONNE COMPOSITION
Collège Saint Joseph Année Scolaire 2017– 2018
Lomé Lundi 05 Mars 2018
DEVOIR N°1 DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice (6pts)
→ →
Le plan (P) est rapporté au repère orthonormé direct (O, i , j ).
Soit u un nombre réel et fu l’application de (P) dans (P) qui à tout point M de (P) de coordonnées (x, y)
associe le point M’ dont les coordonnées (x’, y’) sont :
x’ = x + 2u
y’ = ux + y + u2
1-/ Démontrer que fu est bijective ; déterminer fu–1.
x2
2-/ Démontrer que la parabole , d’équation y = est globalement invariante par fu.
4
3-/ On définit une suite (Mn)n * de point de (P) de la façon suivante :
M1 = f 1 (O) ; M2 = f 1 (M1),……. Mn = f 1 (Mn–1).
2 22 22
Problème (14pts)
Partie A
Pour tout entier n strictement positif, on note fn la fonction numérique de la variable réelle définie sur
ex
\{1} par : fn(x) = .
( x + 1) n
On note (Cn) la courbe représentative de fn dans le plan rapporté à un repère orthonormé (unité
graphique : 2cm).
1-/ Déterminer la fonction dérivée f’n de fn et donner l’expression de f’n en fonction de fn et de fn+1.
2-/ Etudier les variations de fn et ses limites éventuelles en –, –1 et +.
(On distinguera les cas où n est pair et n est impair).
3-/ Démontrer que toutes les courbes (C n) passent par un même point.
f n ( x)
4-/ Déterminer la limite de lorsque x tend vers +. Que peut-on en déduire pour les courbes (C n) ?
x
Tracer sur deux figures distinctes les courbes (C 1) et (C 2).
Partie B
1
Pour tout entier n strictement positif, on note : In = 0 f n ( x ) dx.
1-/ Démontrer que la suite (In)n * est décroissante et qu’elle converge.
2-/ Démontrer que pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 2, on a :
1 1 e 1
1 − n In 1 − n .
n −1 2 −1 n −1 2 −1
En déduire la limite de la suite (In)n *.
3-/ Démontrer en utilisant la relation de la question A1., une relation entre In et In+1.
4-/ Démontrer que : lim
n → + n In+1 = 1.
En déduire que la suite (n In)n * converge et déterminer sa limite.
Partie C
Dans cette partie, n = 2.
1
1-/ Démontrer que l’équation f2(x) = x admet une solution unique α dans l’intervalle [ ; 1].
2
Le but de cette partie est de déterminer une valeur approchée de α.
1
2-/ Etudier les variations de f’2 dans [ ; 1] et en déduire que pour tout nombre réel x appartenant à
2
1
l’intervalle [ ; 1], on a : – 0,25 ≤ f’2(x) ≤ 0.
2
3-/ Soit (un) n la suite définie par : u0 = 1
pour tout n de , un+1 = f2(un)
1
a) Démontrer que pour tout entier naturel n, un est élément de [ ; 1].
2
1
b) Démontrer, en utilisant la question C.2., que pour tout entier naturel n : │un+1 – α│≤ │un – α│.
4
n
1 1
c) En déduire que pour tout entier naturel n, │un – α│≤ et que la suite (un)n converge
2 4
vers α.
d) Pour quelles valeurs de n, un est-elle une valeur approchée de α à 10–3 près ?
(On donne : e 1,65 ; ln 2 0,69 ; ln 5 1,6)
BONNE REFLEXION
Collège Saint Joseph Année Scolaire 2017– 2018
Lomé Lundi 14 Mai 2018
DEVOIR N°2 DU 2e SEMESTRE
MATHEMATIQUES Durée : 3H
TERMINALE C4 Coeff. : 5
Exercice
Une variable aléatoire X prend les valeurs 1, –2, 3 avec des probabilités respectives ln ; ln ; ln où
, , sont dans cet ordre les termes consécutifs d’une suite géométrique. On suppose que si E(X)
désigne l’espérance mathématique de X, on a E(X) = 1.
1) Calculer , , ainsi que la variance V(X) et l’écart-type (X).
→
2) Dans le plan euclidien, on considère une droite affine (D) munie d’un repère normé (O, u ) et les
points A, B, C de (D) d’abscisses respectives 1, –2, 3.
1 1 1
a-/ Calculer l’abscisse du barycentre G des points A, B, C affectés des coefficients respectifs , , .
6 3 2
1 1 1
b-/ Soit l’application de P dans définie par : M P, (M) = MA2 + MB2 + MC2.
6 3 2
Calculer (G) et montrer que (G) = V(X). Construire l’ensemble (C) des points M de P tels que
(M) = 9.
Problème
Dans le plan orienté on donne une courbe (C). on se propose d’étudier une suite (Mn)n > 0 de points
du plan, construite à partir de (C). La partie I étudie géométriquement un exemple où (C) est une
droite (D). Dans la partie II, on met en équation le problème dans le cas général. La partie III utilise
les équations obtenue pour traiter un second exemple.
I-/ Etude géométrique d’une transformation du plan.
→ →
On donne un triangle OIJ isocèle, rectangle en O et direct (c’est-à-dire ( OI , OJ ) = ). On note (D)
2
la droite (IJ). A tout point M de la droite (D), on associe le point N du plan tel que OMN soit isocèle
→ →
rectangle en N et direct (c’est-à-dire ( OM , ON ) = ) et le point P projeté de N sur (D) parallèlement
4
à (OJ).
→ 3→
1) Faire une figure. On prendra OI = OJ = 4cm et on choisira le point M tel que : IM = IJ .
4
2) a-/ Montrer qu’il existe une similitude directe s et une seule de centre O, transformant M en N.
Préciser son angle et son rapport.
b-/ Déterminer l’image () de (D) par s. (Montrer que s(I) = O’). Placer sur la figure.
3) Soit O’ l’intersection de () et de (D). Montrer qu’il existe une similitude directe s’ et une seule de
centre O’, transformant N en P. Préciser son angle et son rapport.
4) Préciser la nature des transformations : t1 = s’o s et t2 = s o s’ (on pourra étudier les applications
vectorielles associées).
5) On considère les suites (An)n0 et (Bn)n0 de points du plan définies par : la donnée d’un point A0
de (D) et le procédé suivant : pour tout entier n 0, le triangle OAnBn est isocèle rectangle en Bn
et direct, et pour tout entier n 0 An+1 est le projeté de Bn sur (D) parallèlement à (OJ).
a-/ Construire et placer sur la figure les points A0, B0, A1, B1, A2, B2, A3 (on choisira A0 tel que
→ 3→
IA0 = IJ .
4
b-/ Prouver que pour tout entier n 0 : s(An) = Bn et s’(Bn) = An+1.
c-/ En déduire (à l’aide des résultats de la question 4) que pour tout entier n 0 : A0An = nA0A1
et B0Bn = nB0B1.
II-/ Mise en équation du cas général.
→ →
Dans la suite du problème on prend (O, OI , OJ ) comme repère orthonormal direct. On remplace la droite
(D) par la courbe (C) d’équation : y = f(x) où f est une fonction définie sur ne s’annulant pas en 0. Pour
tout nombre réel t on note M(t) le point de (C) d’abscisse t et N(t) l’image par la similitude s introduite en
I-/ 2) a-/.
1) Donner l’écriture complexe de la similitude s.
2) Soit X(t) et Y(t) les coordonnées du point N(t). Montrer que : X(t) = ½ (t – f(t))
(1) Y(t) = ½ (t + f(t))
Ainsi, lorsque M(t) parcourt (C), N(t) parcourt la courbe () définie par la représentation
paramétrique (1).
3) Soit (An)n0 et (Bn)n0 (les suites définies comme I-/ 5)) à partir d’un point A0 de (C) et le procédé
suivant : pour tout entier n 0, le triangle OAnBn est isocèle rectangle en Bn et direct, et pour
tout entier n 0 An+1 est le point de (C) ayant la même abscisse que Bn. On note Xn et Yn les
coordonnées de Bn.
a-/ A l’aide de (1), exprimer Xn+1 et Yn+1 en fonction de Xn et f(Xn).
b-/ Retrouver ainsi la disposition des points des suites (An)n0 et (Bn)n0, dans la situation étudiée dans
la partie I, où (C) est la droite (IJ).
III-/ Etude d’un autre exemple.
Dans cette partie on propose que (C) est une courbe d’équation y = et dans le repère (O, OI, OJ) (unité
graphique : 4cm).
1) a-/ Etudier les variations des fonctions g et h définies sur par : g(t) = ½(t – et) et h(t) = ½(t + et).
→ →
b-/ Dans le repère (O, OI , OJ ) tracer la courbe (C), ainsi que la courbe () définie par la
représentation graphique : t (g(t), h(t)).
c-/ Préciser la tangente à () au point de paramètre t = 0.
2) a-/ Montrer que l’équation h(t) = 0 admet une solution unique telle que : –0,6 –0,5.
b-/ En déduire que la courbe () coupe l’axe des abscisses en un point unique L.
c-/ Démontrer que g() = .
3) On considère les suites de points (An)n0 et (Bn)n0 (définies comme en II-/ 3)), mais où A est le point
de (C) d’abscisse –3. Les suites (Xn)n0 et (Yn)n0 sont alors définies par :
X0 = g(–3) Y0 = h(–3)
et pour n 0 ; Xn+1 = g(Xn) et pour n 0, Yn+1 = h(Yn)
a-/ Placer les points A0, B0, A1, B1, A2, B2.
b-/ Démontrer par récurrence, que la suite (Xn)n0 est majorée par et est croissante.
c-/ En déduire que la suite (Xn)n0 converge vers et que la suite (Yn)n0 converge vers 0.
d-/ Interpréter le résultat obtenu à la question c-/.
BONNE REFLEXION
COLLEGE SAINT JOSEPH
BAC II BLANC Session des 12 – 13 – 14 & 15 Juin 2018 DUREE : 4H
SERIE : C4 MATHEMATIQUES COEF : 5
Exercice 1
a, b, c sont des entiers naturels non nuls. Le but de l’exercice est de trouver tous les triplets (a, b, c) tels
qu’un entier naturel qui s’écrit abc en base 9 s’écrit cab en base 13.
1) Montrer qu’un entier N s’écrit abc en base 9 et cab en base 13 si et seulement si, a, b, c sont liés par
la relation 42c = 17a + 2b.
2) Déduire de la première question les valeurs possibles de a.
3) On prend a = 2. Déterminer b et c s’ils existent tels que le triplet (2, b, c) soit solution de l’exercice.
4) Terminer l’exercice en étudiant successivement les différentes valeurs de a.
5) Conclure, et donner en base 10 les entiers N qui répondent à la question.
Exercice 2
On dispose de deux polyèdres A et B. Sur chaque face du polyèdre A est inscrit un diviseur de 97 qu’on
note a. Et sur chaque face du polyèdre B est inscrit un diviseur de 47 qu’on note b. Les faces des deux
polyèdres ont la même chance d’apparaitre au cour d’un lancer.
On lance le polyèdre A et le polyèdre B en notant à chaque fois le nombre inscrit sur la face supérieure.
1) Quelle est la nature de ces polyèdres ?
2) Soit X la variable aléatoire réelle égale a – b .
a-/ Déterminer la loi de probabilité de X.
b-/ Calculer la variance et l’écart type de X.
3) Soit f l’application de P dans P qui à tout M(z) M’(z) = (a + ib)z – a + ib.
a-/ Calculer la probabilité pour que l’application f soit une similitude directe d’angle de mesure − 3 .
4
b-/ Chaque élève de votre classe lance ces deux polyèdres et on note le résultat obtenu. Quelle est la
probabilité pour que parmi vous, exactement 3 élèves aient obtenu une similitude directe d’angle
orienté de mesure x 0 .
4
c-/ Quelle est la probabilité pour qu’au moins un élève parmi vous ait obtenu une similitude directe de
mesure x 0 .
4
Problème
A-/ Pour tout entier naturel n, non nul, on considère la fonction fn définie sur [0 ; +[ par :
fn(x) = xnln x si x > 0
0 si x = 0
1) Etudier les fonctions f1 et f2 et construire leurs représentations graphiques respective (C1) et (C2)
→ →
dans un repère orthonormé du plan (O, i , j ) (on prendra 4cm pour unité de longueur).
Préciser la position relative de (C1) et (C2).
2) Prouver que pour tout n, fn est continue sur [0 ; 1]. On définit, alors, la suite (Un)n * par :
1
n * Un = f n (x ) dx.
0
3) a-/ A l’aide d’une intégration par parties, déterminer une primitive de fn sur ]0 ; 1].
b-/ En déduire une primitive de fn sur [0 ; 1].
1 lim U n
c-/ Montrer que Un = − et déterminer
( n + 1) 2 n → +
d-/ Soit D le sous ensemble du plan constitué des points M dont les coordonnées (x, y) dans
→ →
(O, i , j ) vérifient 0 x 1 et f1(x) y f2(x).
Calculer, en centimètres carrés, l’aire de D.
x ln x
B-/ Soit g la fonction, définie sur [0, +[, par : g(x) = si x > 0
x2 + 1
0 si x = 0
1) Montrer que g est continue sur [0 ; 1].
2) Soit x un réel quelconque.
a-/ Calculer pour tout n de la somme : x – x3 + x5 – x7 + ……. + (-1)n.x2n+1.
2n + 3
x n (2n+1) x
b-/ En déduire que n , = x – x3
+ …….. + (–1) x (–1)n+1.
1 + x2 1 + x2
3) En déduire que : n ,
1 1 f 2n +3 ( x)
g (x ) dx = U1 – U3……..+ (–1)
n
U2n+1+(–1)n+1 dx.
0 0 1 + x2
4) On pose pour tout n de ; Sn = U1 – U3 + ………+(–1)n U2x+1.
lim S n 1
b-/ En déduire que
n → +
= g (x ) dx.
0
0
1
En déduire une valeur approchée à 10–2 près de g (x ) dx.
0
x
C-/ Soit C la fonction définie sur [0, +[ par G(x) = g (t ) dt.
1
ooo0ooo
→ → → →
1 1 2 → → → → →
MB 1 1
ℂ (O, i , j ) (O, u , v ) (O, e , e ) (O, i , j , k ) 2 (C f) ℓ
5 x 3 1 2 MA 3 2 2
→
AB ૪