Rapport RSE-Montréal

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2010-2011

Rapport de Responsabilité Sociétale


et Environnementale
nté durable
Ag ir po ur une sa
La Polyclinique Montréal s’est engagée dans une démarche de
Développement Durable. L’ établissement édite son premier
rapport RSE et présente ses actions pour l’année 2010-2011.

Sommaire
Le Management p.1
Politique d’achats responsables p.3
Accueil et respect du patient p.4
Gestion des déchets p.5
Gestion de l’énergie p.5
Gestion écologique du bâtiment p.6
Bien-être au travail p.7
La nutrition fait partie des soins p.8
Annexes p.9
Conception et réalisation : Primum Non Nocere®

Responsabilité Sociétale de l’Entreprise

Concept dans lequel les entreprises intègrent les pré-


occupations sociales, environnementales, et écono-
miques dans leurs activités et dans leurs interactions
avec leurs parties prenantes sur une base volontaire.
Les objectifs 2010-2011
« Optimiser les dépenses et assurer des soins quotidiens de
qualité en préservant la santé des générations futures »

• Etablir une stratégie à moyen terme et une


politique Développement Durable, déclinées
au sein des services

• En faire un acte de gestion « implicite »

• L’implication des parties prenantes doit aussi


devenir implicite

• Diminuer les impacts et l’empreinte écologique


et énergétique de l’établissement

• Atteindre le meilleur niveau sur les 8 items de


la certification V2010 de la HAS

• Faire évoluer l’image de marque de la Polyclinique


1

Le Management
Objectifs 2011
• Sensibiliser la direction en 2011 et l’enca-
drement en 2012. La mesure de cet enga-
gement est réalisée par le diagnostic SEDE®
• Élaboration d’un rapport annuel RSE dès
2011.
• Élaboration d’un programme « Bien-être au
travail » au second semestre 2011.

Très Haute
Qualité Sanitaire
et Environnementale

Nos actions
•La politique Développement Durable est définie.
•La direction s’est engagée dans la campagne volontaire « Two For Ten® ».
•Implication des parties prenantes par la signature d’une Charte de Partenariat « Sous-Traitants ».
•Elaboration d’un baromètre social avec l’outil B2ST® au premier semestre 2011.
•L’auto évaluation IDD santé est à jour sur le site du C2DS (Comité pour le Développement Du-
rable en Santé).
•Un groupe de travail Développement Durable avec des référents par service est créé.
•La direction de l’établissement s’est engagée par la
signature du Code de Déontologie des Managers, dès lors qu’il a été présenté en France à l’Aca-
démie de Médecine.
•La direction de l’établissement s’est engagée dans la démarche THQSE®.

Ce rapport RSE en évalue l’engagement chaque année. Ce programme est pluriannuel.


Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale 2
de la Polyclinique Montréal 2010-2011

La Polyclinique de Montréal a signé le


Code de Déontologie des Managers le
31 mars 2011 à l’Académie de Médecine

Avant d’être un sujet technique, le développement durable est un déontologie à l’usage des dirigeants d’établissements de santé,
sujet d’éthique managériale. d’établissements médico-sociaux et d’EHPAD.

Difficile de croire que la profession de manager hospitalier ne Ce code a été placé sous le haut patronage du Ministère du Travail,
dispose pas d’un répertoire commun d’éthique professionnelle. de l’Emploi et de la Santé, et du Ministère des Solidarités et de la
Cohésion Sociale.
Difficile de croire que ces dirigeants qui, au quotidien, managent
des professionnels de santé (médecins, kinésithérapeutes, infir- À l’occasion de la 5ème Agora du développement durable, qui s’est
miers, pharmaciens, etc., qui tous possèdent un code de déon- tenue le 31 Mars 2011 à Paris, de nombreux directeurs d’établis-
tologie) ne souscrivent pas eux-mêmes à une ligne de conduite sements privés et publics se sont engagés par écrit, et ont pris la
déontologique commune. parole pour défendre et promouvoir une démarche éthique de la
profession devant leurs pairs.
Difficile enfin de croire qu’à l’heure de la transparence et de la
prévention des conflits d’intérêts dans un secteur sous tension, Cette initiative, inédite en France et en Europe, se veut la première
l’ensemble de la profession ne se soit pas encore mobilisé pour étape d’une démarche plus globale impliquant tous les acteurs
revendiquer un socle de valeurs communes et une respectabilité de la santé. Il s’agit à moyen terme de définir le cadre exact de la
légitime. profession et ses responsabilités envers toutes les composantes de la
société, envers l’environnement et le monde de la santé, en accord
C’est la raison pour laquelle le Comité pour le Développement avec les trois piliers du développement durable.
Durable en Santé (C2DS) a piloté, pendant un an et demi, un
groupe de travail composé de directeurs d’établissements, Avec, toujours, un même fil conducteur :
d’universitaires et de soignants pour rédiger le premier code de « D’abord ne pas nuire, ensuite soigner ».

La Polyclinique
signe
la campagne
Two For Ten®

En signant la campagne TWO FOR


TEN®, la Polyclinique s’engage à ré-
duire ses émissions de gaz à effet de
serre de 2% par an pendant 10 ans
3

Politique d’achats
responsables
•La politique d’achats est
définie.
•Un diagnostic de la
fonction « achat » a
été réalisé et a fait
l’objet d’une formation de
l’ensemble des acheteurs
aux éco- labels en vigueur.
•Les critères de choix
sont définis et vali-
dés par les acheteurs.

•L’étude de besoin est systématique

Les critères d’achats •L’achat est abordé en coût global

prioritaires
•Nous obtenons et analysons systémati-
quement l’étiquetage complet
•Réduire les emballages en amont
•Le Bilan Carbone® produits ou services
est demandé
•Les acheteurs sont identifiés et formés

Charte •La centrale d’achat en contrat avec la


Polyclinique est engagée sur des objectifs
« Partenariat DD très ambitieux
sous-traitants » •Impliquer fournisseurs et sous-traitants
par une charte de partenariat et une éva-
luation annuelle

9
engagements
Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale 4
de la Polyclinique Montréal 2010-2011

Accueil et respect
du patient
•La Polyclinique s’en-
gage, dès 2011 à réali-
ser le sondage SAPHORA
auprès de 120 patients.
•Une charte de partenariat
avec les transporteurs sa-
nitaires est en place et per-
met de garantir des objectifs
précis en termes de qualité.
•Un diagnostic qualité basé

Soins Palliatifs
sur la « qualité perçue » a
été réalisé par les représen-
tants des associations. Les
résultats permettent à la Séances de
Polyclinique Montréal
musicothérapie et
de mettre en œuvre
un plan d’action annuel. réflexothérapie
pour les patients

PNN Sondage®

Mesure de la satisfaction des patients


hospitalisés au sein des établissements
MCO
Le ministère chargé enquêtes de satis- sera effectué par
de la santé généra- faction télépho- l’Agence Technique
lise à compter de niques s’appuient de l’Information
2011 l’indicateur de sur le questionnaire sur l’Hospitalisation
mesure de la satis- SAPHORA -MCO (ATIH). L’établisse-
faction des patients qui comporte 36 ment de santé aura
hospitalisés. Sont questions com- ses résultats indivi-
concernés les établis- munes et obliga- duels en 2011, la
sements de santé de toires à l’ensemble publication natio-
médecine, chirurgie des établissements nale des résultats
et obstétrique (MCO), de santé. Le traite- de l’enquête sera
publics et privés. Les ment des résultats effectuée en 2012.
5

Gestion des Déchets

43 tonnes
de DASRI par an en 2010

94 tonnes •Nous avons réalisé un diagnostic


règlementaire.
de déchets ménagers •Les déchets sont identifiés, il existe
une dizaine de filières de tri. Cela

11 tonnes
représente 24% de déchets triés.
•La direction a mis œuvre un plan de
réduction, notamment sur le plas-
de cartons tique jetable.
•L’objectif 2012 est d’augmenter les
filières de collecte sélective.

Gestion de l’énergie
•La Polyclinique à •Un diagnostic énergé- •Un plan d’action •La Sodexo a
réalisé un Bilan Car- tique global a été réa- énergie est réalisé au accepté de comp-
bone® en 2011 lisé et nous travaillons second semestre 2011. tabiliser les kilo-
•Un Diagnostic de à la recherche des so- •La Polyclinique s’est métrages relatifs
la Performance Éner- lutions optimales pour engagée dans la cam- au transport de
gétique (DPE) est la rénovation éner- pagne «Two for Ten®», marchandises. Ces
réalisé sur les trois gétique du bâtiment. campagne de réduc- chiffres seront trans-
bâtiments compo- tion des émissions de mis par la Sodexo
sants la clinique. gaz à effet de serre. en 2011, l’objectif
pour ces derniers
étant de réduire
3 464 432 de 2% par an leurs
émissions de gaz
Kwh 9,50 % à effet de serre.

consommés
par an taux d’énergie
renouvelable
Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale 6
de la Polyclinique Montréal 2010-2011

Gestion écologique
du bâtiment

•La direction a décidé


d’analyser la qualité de
l’air intérieur et a créé
un indicateur par locaux
en «Taux de COV®».
•Un plan d’action de l’amé-
lioration de la qualité de La Polyclinique de Mon- •Maintenance : impli-
l’air intérieur est en place. tréal se prépare ainsi à cation des sous traitants
•Un travail est réalisé sur la prochaine règlementa- et formation des agents,
le choix des matériaux tion sur l’étiquetage des dans le cadre de la
non émissifs pour tous les matériaux de construc- charte de partenariat.
travaux de rénovation. tion et de rénovation.

COV
Analyse du taux de COV*

Analyse de la Qualité de l’Air


Composés
Intérieur Organiques
Volatils

*Les COV sont des Composés


Organiques Volatils relargués
par les substances chimiques
contenus dans les matériaux,
les produits d’ameuble-
ment,…Ces COV polluent l’air
intérieur et peuvent affecter
la santé (asthmes, allergies,
troubles respiratoires,…).
7

Bien-être au travail

•Le diagnostic B2ST® •Les TMS (Troubles


Bien-Être, Satisfac- Musculo-Squele-
tion et Santé tiques) sont iden-
au Travail a été tifiés, le document
réalisé en 2011. unique intègre un
•La formation à la plan de prévention.
prévention des
risques chimiques
est mise en œuvre,

58 %
suite aux rapports
Rchos® et Rcov®.
•La qualité de l’air
intérieur est mesu-
rée chaque année. Note de
bien-être Diagnostic
B2ST®
Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale 8
de la Polyclinique Montréal 2010-2011

La nutrition fait partie des soins

Les chiffres 2010

119 kg
de sel consommé

428 kg
de sucre consommé

5 200
bouteilles plastiques

27 000
gobelets plastiques
•La Sodexo est engagée
dans la thématique Déve-
loppement Durable. La
•Les «retours pla-

98 000
société a accepté d’être
teaux» sont quantifiés
un établissement pilote
pour diminuer les dé-
sur la démarche Déve-
chets fermentescibles.
loppement Durable en
restauration en signant •Un programme de ré- Repas servis
la Charte de Partenariat. duction du sel est en place.
•Les objectifs «achats •Un programme de
et déchets» sont pris réduction des quantités
en compte et partagés de viandes consommées
avec le sous-traitant. est en place.
Annexes

• La Polyclinique Montréal en quelques chiffres

• Charte de Partenariat Sous-traitants :


3 objectifs - 9 engagements

• Campagne «Two For Ten®» : 10 éco-gestes

• Dossier de presse
11

Charte DE PARTENARIAT
SOUS-TRAITANT

La Polyclinique de Montréal
s’est engagée dans une démarche de
˝Très Haute Qualité Sanitaire et Environnementale˝.
Les fournisseurs, sous-traitants, médecins et partenaires
de la Polyclinique de Montréal s’impliquent avec elle dans cette
démarche et s’engagent à respecter les 3 objectifs prioritaires
internes de l’établissement :

Réduire les consommations d’énergie

Réduire les impacts environnementaux

Intégrer le « bien-être » au travail

Service Emetteur ENGAGEMENT


QUALITE - SECURITE - ENVIRONNEMENT DU PARTENAIRE
(Date, signature, tampon)
Destinataire Externe
SOUS-TRAITANT

Charte Sous-Traitant
V1 - Version 2011 - 17/01/2011
Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale
12
de la Polyclinique Montréal 2010-2011

9 ENGAGEMENTS
Ces règles seront les critères de choix de
l’ensemble des règlementations applicab
de leur respect.

1 SAVOIR-ÊTRE 6
Pour toute intervention dans l’établissement, la Direction doit être préalablement infor- Chaqu
mée des dates et heures précises. Chaque intervenant signale à son arrivée sa présence mise en
à l’accueil. Toutes les prestations doivent être notifiées à la direction par un bon d’inter- semen
vention décrivant les travaux effectués pour le compte de l’établissement. La qualité de
l’accueil dans notre établissement est un point majeur. Chaque intervenant s’engage à
saluer les patients, les médecins, les salariés et toute personne qu’il croise sur son chemin
7
dans l’enceinte de l’établissement. Au-delà, le respect de l’intimité des patients est pour L’hygiè
nous tous une priorité. blissem

2 RESPECTER LE PLAN DE PROTECTION SÉCURITE 8


Le plan de prévention doit être systématiquement élaboré avec l’établissement préala- L’établi
blement à toute intervention. Les inte
disent,
3 RESPECTER LES ZONES D’ACCÈS patient
à l’occa
Chaque intervenant s’engage à limiter l’accès aux seules zones de leurs interventions. astrein
Toutes les livraisons doivent être effectuées dans les zones dédiées de l’établissement nique d
entre 8h et 17h, et les délais de livraison annoncés doivent être scrupuleusement respec-
tés. Le livreur attendra sur place qu’une personne vérifie la marchandise pour repartir
avec un bon de livraison dûment complété. Toutes les portes et accès de l’établissement
9
devront être systématiquement refermés. La pro
préocc
4 LA TENUE VESTIMENTAIRE d’abord
interve
Chaque intervenant au sein de la Polyclinique de Montréal est vêtu d’une tenue profes- chaque
sionnelle propre, identifiable et comportant un badge habilité par notre société. respec
sons, le
5 RESPECTER LE SILENCE reaux d
dans l’é
Chaque intervenant s’engage à travailler en silence, à respecter le repos des patients
en s’efforçant d’être le moins bruyant possible dans ses attitudes, ses comportements ou
dans le cadre de son activité professionnelle. Il veille à ne pas perturber les salariés dans
l’exercice de leur fonction.
NE PAS FUMER
13

9 ENGAGEMENTS
Ces règles
es de choix de nos différents partenaires qui devront
ations applicables au secteur. Les règlementsl’ensemble
seront lesrespecter
également critères de choix
des règlementations
seront honorés
de leur respect.
en fonction appli

16 SAVOIR-ÊTRE
NE PAS FUMER
nfor- Pour
Chaquetoute intervention
intervenant dans l’établissement,
s’engage la Direction
à respecter la Circulaire du 8doit être préalablement
décembre 2006 relativeinfor-
à la Cha
ence mée
misedes dates etdes
en oeuvre heures précises.
conditions de l’interdiction
Chaque intervenant
d’application signale àde fumer
son arrivée présence
sa les
dans établis- mis
nter- àsements
l’accueil.
deToutes
santé etlesaux
prestations doivent
abords directs deêtre notifiées à la direction par un bon d’inter-
l’établissement. sem
té de vention décrivant les travaux effectués pour le compte de l’établissement. La qualité de
ge à
hemin
7 RESPECTER LES
l’accueil dans notre établissement PROTOCOLES
est un D’HYGIÈNE
point majeur. Chaque intervenant s’engage à
saluer les patients, les médecins, les salariés et toute personne qu’il croise sur son chemin
t pour L’hygiène
dans et la de
l’enceinte propreté doivent être
l’établissement. les lignes
Au-delà, directrices
le respect de chaque
de l’intimité intervenant
des patients estdepour
l’éta- L’hy
blissement.
nous tous uneLespriorité.
protocoles en vigueur chez le sous-traitant doivent être validés. blis

82 PROTEGER LE SECRET
RESPECTER MÉDICAL
LE PLAN ET LE SECRET SÉCURITE
DE PROTECTION PROFESSIONNEL 8
éala- L’établissement
Le protège,doit
plan de prévention comme l’exige la loi, le secret
être systématiquement médical
élaboré avecà l’établissement
propos de ses patients.
préala- L’éta
Les intervenants extérieurs
blement à toute intervention. s’engagent à protéger eux aussi le secret médical. Ils s’inter- Les
disent, en particulier, de faire état à l’extérieur de la moindre information concernant les dise
3
patients, quelles que soient les circonstances
RESPECTER dans lesquelles
LES ZONES D’ACCÈS ils en aient eu connaissance
à l’occasion de leur intervention dans l’établissement. De même les intervenants sont
pati
à l’o
ons. Chaque
astreintsintervenant s’engage à limiter
au secret professionnel l’accèsavec
en rapport aux leur
seules zones de leurs
intervention interventions.
au sein de la Polycli- astr
ent Toutes
nique de lesMontréal.
livraisons doivent être effectuées dans les zones dédiées de l’établissement niqu
espec- entre 8h et 17h, et les délais de livraison annoncés doivent être scrupuleusement respec-
tir
ment
9 PROTEGER
tés. Le livreur attendra sur place L’ENVIRONNEMENT
qu’une personne vérifie la marchandise pour repartir
avec un bon de livraison dûment complété. Toutes les portes et accès de l’établissement
9
La protection
devront de l’environnement
être systématiquement est aujourd’hui et pour les années à venir une des
refermés. La p
préoccupations majeures de notre entreprise et il nous paraît dès à présent évident préo
4
d’aborder la santé de façon préventive
LA TENUE parVESTIMENTAIRE
notre action sur l’environnement. Chaque
intervenant doit donc s’engager dans cette démarche et apporter à notre établissement
d’ab
inte
ofes- Chaque intervenant
chaque année au sein
un détail écritde
delases
Polyclinique
actions dans de ce
Montréal
sens. Leest vêtu d’une
prestataire detenue
serviceprofes-
doit cha
sionnelle
respecter lespropre, identifiable
protocoles et comportantde
environnementaux unlabadge habilitéde
Polyclinique par notre société.
Montréal. Lors des livrai- resp
sons, les moteurs doivent être éteints. Chaque intervenant doit nous fournir les borde- son
5
reaux d’élimination des déchets RESPECTER
dans l’établissement.
LE SILENCE
produits ou collectés dans le cadre de l’activité effectuée reau
dan
nts Chaque intervenant s’engage à travailler en silence, à respecter le repos des patients
nts ou en s’efforçant d’être le moins bruyantUNE
EFFECTUER possible
VISITEdansDEsesCONTRÔLE
attitudes, ses comportements ou
dans dans le cadre de son activité professionnelle. Il veille à ne pas perturber les salariés dans
l’exercice de leur fonction.
NE PAS FUMER
Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale
14
de la Polyclinique Montréal 2010-2011
15

Engagements
Impact environnement

Chaque signataire s’engage à respecter ces


10 gestes essentiels,
pour réduire ses consommations et émissions de Gaz à effet de Serre de 2% par an

1. Diminuer la quantité 6. Acheter des produits


de nos déchets éco-labellisés

2. Diminuer notre 7. Adopter le bon geste


consommation d’eau «nous éteignons»

3. Réduire les supports 8. Optimiser nos


papier, tout en consommations de
assurant la traçabilité restauration

4. Compenser et réduire
l’émission des gaz à 9. Optimiser les flux
effets de serre de transports

5. Ajuster la température 10. Engager nos


Document contractuel

et chasser les excès prestataires, clients


et collaborateurs
Rapport de Responsabilité Sociétale et Environnementale
16
de la Polyclinique Montréal 2010-2011

Le mercredi 6 avril 2011 à 06h00 par Rémi Lebrère

Carcassonne
La clinique
Montréal à
l'heure du
développement
durable
Sur le mode de chauffage d’abord, en revoyant notamment les systèmes de
chaudières. Ensuite, sur l’éclairage, en usant de lampes économiques. Enfin, les
engagements pris par la clinique en matière de développement durable, s’étendent
jusqu’à la notion de bien-être du personnel. A cette fin, un questionnaire en ligne a
été remis aux salariés. Et sur 200 employés, 70 y ont déjà répondu. Il en ressort,
notamment, que sur échelle de 110 grades, la note "bien-être" se chiffre à 59.

La clinique Montréal à l'heure du développement durable Conformément au Grenelle de


l'environnement, la clinique de Montréal doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre, la
production de déchets, et limiter la consommation d'énergie. Concernant cette dernière constante,
la réduction doit se chiffrer à 38 % minimum, d'ici 2020. Afin de réaliser cette transition, la clinique
a choisi de passer un partenariat avec la société "Primum non nocere", dont le nom est tiré de cet
extrait du serment d'Hippocrate, prononcé par tous les médecins : "D'abord, ne pas nuire", soit,
avant de soigner, ne pas aggraver le cas du patient.

L'établissement a donc débuté sa mutation par un diagnostic, lancé en avril 2010. L'opération,
achevée en juin de la même année, visait à comprendre les différents impacts de l'établissement
de santé sur l'environnement. Une clinique rejette en effet des déchets (seringues, pansements,
poings de suture, pacemaker, pile cardiaque, pièces électroniques), avec la nécessité d'organiser
une collecte.

Le second volet du plan prévoit une étude du bilan énergétique de la clinique. La consommation
d'énergie se chiffre, pour Montréal, à 450 kWh/m2. Ce qui en fait un établissement dans la
moyenne nationale. La clinique a pris des engagements

(C. B.)  
Polyclinique Montréal
Route de Bram
11890 Carcassonne
Tél. : 08 26 30 53 53
www.cliniquemontreal.com

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