Mondialisation

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MONDIALISATION

Thèmes d'étude :

● Globalisat° : triomphe de l'idéal cosmopolite ou dvlpt croiss barrières ?


● Monde multipolaire, Europe introuvable, France en déclin ?

Sujets de concours :

● Dans un monde mondialisé, qu’est-ce qu’un Etat souverain ?


● Les Etats sont-ils encore souverains ?
● Quelles sont les valeurs de l’Occident ?
● Vivons-nous encore au temps des empires ?
● La mondialisation ruine-t-elle les cultures nationales ?
● La mondialisation et l’Etat.
________________________________________________________________

. VERNE, Le Tour du monde en 80 jrs (1872) : révolution des transports


. Mme BERGER, Notre Première mondialisation (2003) : 1880-1913
. BRAUDEL, Civilisat° matérielle et Capitalisme (1968) : thèse d'éco-mondes
. GIRAUD, La mondialisation. Emergence et fragmentation (2008) : elle n'est
pas ce que l'on croit. Elle n'unifie pas le monde : elle le morcelle. Elle dynamise
certains territoires et en fragmente d'autres.
. BECK, Redéfinir le pvr à l'âge de la mondialisation revue Le Débat (2003) :
Ds une soc « du risque mondial », l'éco a pris un pvr considérable par rapport à
l'É MS É cosmopolite pourrait émerger, réconciliant perdants et gagnants.
. COHEN, La Mondialisation et ses ennemis (2004) : traite de la mondialisat°
sous l'angle culturel : IMPÉRIALISME CULTUREL.
. APPADURAI, Ap le colonialisme : les csqs culturelles de la globalisation
(2005) : la mondialisation fait de chacun un acteur et un récepteur, ça n'est pas
au détriment de qql. Inventivité permanente qui embrasse les cultures.
. OGIER, L'Éthique aujourd'hui : maximalistes et minimalistes (2007) : Thèse
de l'éthique minimale, dès lors qu'on est dans une société démocratique qui a
choisi comme fdt les D de l'H, elle se veut autonome.
Le mot français MONDIALISATION est trompeur, le mot anglo-saxon
GLOBALISATION est + exact. Le phénomène affecte la planète entière, mais
pas de la même manière et du même degré.
La difficulté est de trouver des notions simples pour un phénomène qui ne
l'est pas. La vision commune et qui en fait sa complexité est que nous ne
pouvons lui assigner une origine identifiable = MULTIDIMENSIONNEL. Nous
ne pouvons pas trouver les coupables de cette mondialisation.
MS il faut définir cette notion et savoir ce qui a permis qu'il advienne.

➢ La mondialisation est-elle une innovation ou une manifestation ancienne ?


➢ Qu'est-ce que provoque la mondialisation ?
. Csq éco de la mondialisation :
- Mondialisation et accroissement du chômage
- Mondialisation et accroissement des inégalités
. En quoi la mondialisation affecte t-elle la notion de pouvoir d'état ?
. En quoi la mondialisation a t-elle une influence sur les cultures ?
Chapitre 1. Quelle est la définition et quels sont les éléments
composant la mondialisation ?
Elle résulte à la x de l'innovation technique et la façon de la concevoir.

Section 1. Les innovations techniques

§1. Le domaine des transports


Sur 4 galions qui partaient d'un port européen, un seul en revient. Les
autres ont été pris d'assaut par des pillages ou ont fait naufrages + Il faut 2 ou 3
mois pour faire l'aller et autant pour faire le retour. Innovations majeures ds la
2nde moitié XIXe s : le transport à faible coût sur une longue distance.

1. Lignes de chemin de fer : le dvlpt ferroviaire de manière interne


dans de grands territoires, tels que les EU et la Russie.

2. Les bateaux à vapeur : en anglais, steamer.


XIXe s : avancées spectaculaires. Illustration : VERNE, Le Tour du monde
en quatre-vingts jours (1872). Course autour du monde d'un gentleman angl,
FOGG, qui a fait le pari d'y parvenir en 80 jours. Il est accompagné par
PASSEPARTOUT, son serviteur fr. Il semble avoir perdu son pari, mais son
serviteur lui rappelle qu'ayant accumulé les décalages horaires, il a gagné 24 h.
Son voyage a été rendu possible grâce à la révolution des transports du XIXe s
ds le contexte de la Révolution industrielle. Les nouveaux modes de transport
raccourcissent les distances ou du - le tps nécessaires pr les parcourir.

RÉVOLUTION INDUSTRIELLE : expression de BLANQUI, Économiste


fr, désigne le processus historique du XIXe s qui fait basculer, de manière
+/- rapide selon les pays et les régions, une société à dominante agraire et
artisanale vers une société commerciale et industrielle.

Ouverture CANAL DE SUEZ (1869) situé en Égypte, qui relie, via 3 lacs
naturels, la ville portuaire de Port-Saïd sur la mer Méditerranée et la ville de
Suez sur le golfe de Suez (partie septentrionale de la mer Rouge), permettant
ainsi de relier les deux mers. Il a été erré entre 1859 et 1869, grâce à une levée
de fonds géante à la Bourse de Paris, sous la direction de De LESSEPS,
Diplomate et entrepreneur fr (retraité), il permet aux navires d'aller d'Europe en
Asie sans devoir contourner l'Afrique par le cap de Bonne-Espérance. Avant son
ouverture en 1869, les marchandises devaient être transportées par voie terrestre
entre la Méditerranée et la mer Rouge.
3. Cargo porte-contennaire : 70' = Cargaison permet un transport à des
coûts faibles : 5% de ce que coûterait le transport ferré à poids
égal. FRET MARITIME (= Prix du transport par voie maritime)
est devenu un coût de transport réduit, ce qui multiplié ce moyen.

La mondialisation montre l'intensification des flux des B et services. Elle


montre ainsi le rôle des océans et des mers.

§2. Le domaine de la communication


- 1837 : changement du télégraphe CHAPPE au télégraphe électrique.
- 1901 : 1er transmission trans-atlantique sans fil.
- 1960 : lancement du premier satellite pour la communication.

Il faut valoriser les échanges. Idée : commercer et 1 avantage mutuel.


Avant, nous pensions que c'était seulement à sens unique.

- 1776 : SMITH = THÉORIE DES AVANTAGES ABSOLUS


- pr une pers, l'avantage qu'elle détient sur une autre lorsque, avec la
même quantité de facteurs de P°, sa production est supérieure
- pr un pays, l'avantage qu'il détient sur un autre lorsque, pour un B,
sa P° par unité de facteur est supérieure aux autres pays
Un pays a plutôt intérêt à produire davantage qu'il ne consomme pr
exporter le surplus et d'importer B que d'autres pays produisent mieux
que lui = Élargissement marchés, baisse prix (dc accroissement de
l'épargne), accentuation division du travail. Un pays pt produire à un
moindre coût, sans limitation de volume ts les B dont a besoin un autre
pays. Il aurait intérêt à acheter ms il n'aurait rien à lui vendre. Situation
inconcevable : ouverture échange conduit à l'impossibilité de l'échange.

- RICARDO, Principes de l'éco politique et de l'impôt (1817) = PPE


D'AVANTAGE COMPARATIF (théorie traditionnelle du commerce
interna) Ex : GB produit 100m de drap et 100l de vin en 1h. Portugal
produit 90m de drap et 120l de vin en 1h. GB possède un avantage
absolu pr le drap et le Portugal pr le vin. Il est bénéfique pr les 2 pays de
commercer : GB vendant son drap c/ le vin portugais. Supposons que le
Portugal produisse 110m de drap en 1h. Il possède un avantage absolu pr
le drap comme pr le vin : sa productivité est > à celle de la GB.
. SMITH : ils n'ont pas int à commercer, pas d'avantages absolus.
. RICARDO : ds un contxt libre-échange, chq pays, s’il se spécialise
ds la P° pr laquelle il dispose de la productivité la + forte/- faible,
comparativement à ses partenaires, accroîtra sa richesse. Pr un pays,
l’ouverture au commerce interna est tjrs avantageuse.
Argument décisif des théoriciens du libre-échange c/ cx qui prônent le
PROTECTIONNISME (= Syst consistant à protéger l'éco d'un pays c/ la
concurrence étrangère au moyen de mesures tarifaires : D de douane et
non tarifaires : Quotas, normes, subventions à l'exportation).

- 1919 : 3 éco am formalisent l'idée de RICARDO = THÉORÈME HOS


(HECKSCHER, OHLIN, SAMUELSON) : les pays ont plutôt intérêts à
commercer que jouer la carte de l'AUTARCIE (= Situation d'un pays qui
tend volontairement à se suffire à lui-mm sur le plan éco). Il vise à
expliquer la présence d’échanges interna par les différences de dotations
en facteurs de P° de chaque pays. Les auteurs entendent prouver la
supériorité du libre-échange et les bénéfices de la spécialisation.

1er moment mondialisation : doctrine du libre-échange + mise en place de


techniques qui permettent d'accélérer le vitesses et d'abaisser les coûts.

Section 2. Est-ce que la mondialisation est une nouveauté ?

§1. Certains parlent de pré-mondialisation dès l'Antiquité


Les routes du commerce existent : échanges de B sur de grdes distances.
GUERRES PUNIQUES (IIIe s -IIe s avt JC) : série de 3 conflits opposant la
Rome antique et Carthage. Cause : conflits d’intérêt car Romains convoitaient la
Sicile en partie contrôlée p/ les Carthaginois. Carthage constituait une vaste
empire maritime et était 1 puissance dominante de la mer Méditerranée. Rome
était la puissance montante en Italie. Après + de 100 ans de conflit, Rome
parvint à conquérir Carthage, devenant le + puissant É de la Méditerranée occi.

§2. La mondialisation remonte au plus tard à la fin XIXe s

Mme BERGER, Notre Première mondialisation (2003) : 1880-1913 avec le


triomphe de la finance angl, 1ère bourse, Paris est la 2ème. F était, ap GB,
était le pays le + engagé dans l’éco mondiale + Poids militaire est important
+ C° des empires coloniaux. 1919 : NY, 1ère bourse. Les pays développés
d’Europe et d’Amérique étaient engagés dans un processus de
mondialisation analogue à celui d'aujourd'hui : série de mutations ds l’éco
interna qui tendent à créer 1 seul marché mondial = B et services, L et K.

1880 à la Grande Guerre : internationalisation de l’éco fr ds les domaines


du commerce et de la mobilité des K. Des torrents d’actions et d’investissemts
directs furent déversés des pays développés vers le Nouveau Monde et vers les
pays en voie de développement, aux marges de l’Europe et de l’Asie.
Dps la fin de la guerre froide, la mondialisation est devenue l’horizon de
nos attentes et de nos peurs. Ns ns considérions comme les citoyens de nations
dt les frontières pol protégeaient à la fois le pacte social et l’éco. Ns ns voyons
comme des indiv ds un espace où les B, services et argent circulent librement,
les barrières dressées ne font apparemment plus obstacle.

La mondialisation n'est pas un phénomène nv. Elle a déjà 1 existence.

BRAUDEL, Civilisation matérielle et Capitalisme (1968) = Il faut attendre


les grdes découvertes (voies maritimes) pr assurer la connexion entre les ≠
sociétés de la Terre et la mise en place de cette « économie-monde ».
XVe - XVIe s : au moment de la Renaissance ital avec la thèse
d'économies-mondes = Diffusion des richesses produites. Thèse : tour à
tour, chq ville, à une époque ou à une autre, a connu des poussés
préindustrielles. Tte éco-monde se partage en zones successives : Le coeur,
le centre représenté par une ville dominante puis des zones intermédiaires,
autour du pivot central.
La mondialisation est + ancienne que le XIXe s et se dessine à travers le
commerce transatlantique MS elle culmine à ce siècle : entre 1870 et 1914
naît un espace mondial des échanges comparables dans son ampleur à la
séquence actuelle : Ouverture de nvlles routes maritimes, canaux de Suez et
de Panama, flotte marchande mondiale et extension du chemin de fer.

RÉSUMÉ

La mondialisation n'est pas une innovation, ce qui l'est, c'est la vitesse des
échanges conditionnée par des élément techniques. Ex : télégraphe sans fil. Il y
a plusieurs mondialisation en cours qui s'interpénètrent.
Fr : ce phénomène apparaît comme une somme de pbls : reconstruction
d'un syst de P°. Autant 1 Fr l'entend comme un pbl, autant la perspective est ≠
ds le monde. Ch : ce phénomène apparaît comme une chance de dvlpt.
BRAUDEL a essayé de comprendre si ns avions affaire avec de l'inédit ou
un fdt lointain. Il a théorisé une évidence : la mondialisation a une H, ça ne veut
pas dire qu'elle a des singularités, ni qu'elle a fait une apparition brutale. La vrai
1ère grande mondialisation a eu lieu dès lors que les voies maritimes
transatlantiques vont devenir des lieux de cheminements (la mer est perçue trop
dangereuse, le transport se faisait donc que sur terre).
Caractéristique du monde européen : on n'est pas dans la structure des E,
mais des villes. Les jeux des puissances font que les villes marchandes riches
migrent. Après la phase italienne, on passe à une phase ibérique (Portugal et
Espagne qui fait une erreur : elle stérilise sa richesse). F, GB, PB s'affirment.
Mme BERGER : fin XIXe s, Occi ont bâtit une vrai 1ère mondialisation.
Pr retrouver le niv des transact° financières de l'agriculture de 1913, il faudra
attendre 1960. 1ère GM aura fait déplacer les acteurs de la mondialisation.
Chapitre 2. Qu'est-ce que la mondialisation provoque ?
➢ Que pouvons-nous imputer à la mondialisation en terme de csq éco ?
Elle a des effets perturbateurs : favorise la montée chômage + inégalités.

Section I. Mondialisation et montée du chômage

1. Délocalisations ne sont pas les facteurs ppx de la montée du chômage.


80' : chômage augmente ds les pays industrialisés. Causes : une partie de
la perte d'emploi est due aux avantages comparatifs (P° coûteuse ds un
pays ms faible à l'étranger). Des emplois st exposés à la concurrence
internationale. Ex : Création de panneaux solaires en F, ms la Chine les
produit à un prix + bas. Concu qui bénéficie d'un faible coût de P° : ns
ne pouvons pas ns maintenir s/ le marché = Chantage à l'emploi.

2. Mondialisation accroit la concurrence : Combien d'emploi dans les pays


euro sont potentiellement menacées par une délocalisation ?
- 1995-2001 : 85 000 emplois industriels perdu durant cette période,
ms que 0,35% par an en raison de la délocalisation.
- 2003 : OCDE estime que 20% des emplois euro sont soumis à cette
menace. Les secteurs les + touchés st ceux du secteur informatique.
Inde produit 500 000 ingénieurs en informatique.
- 2005 : Conseil d'analyse éco (= analystes près du PdR) énonce que
la part des produits textiles des pays émergents est en hausse rapide.
- 2013 : Insee note que les emplois perdus à cause de la délocalisat°
pèsent ds le chômage entre 3% et 7% = Qd la F perd 100 emplois,
les délocalisations sont responsables de 7 d'entre eux.

➢ Pq la délocalisation est accusée des maux du chômage ? 3 raisons :

1. Erreur collective : On se trompe de mot.


a. DÉLOCALISATION : Structure installée dans un lieu, qui ferme et
qui est réimplantée dans un autre lieu.
b. TRANSFERT : Emplois qui auraient du ê crées, le seront ailleurs.
Certains pensent que la Chine, le Brésil, le Maroc sont les pays
destinataires de la délocalisation OR - de la moitié le sont à
destination de ces pays à bas coût salarial. La majorité des emplois
délocalisés vont en Espagne, au Portugal, en All et aux EU.
→ Il y a donc 3 erreurs importantes :
- on confond délocalisation et création d'entreprise
- on surestime le nombre des emplois perdus
- on se trompe sur leur lieu de délocalisation
2. Erreurs majeures : Pq les délocalisation st bcp - importantes que ce que
l'on croit ? Ns ns trompons sur les motifs de la délocalisation.
a. Mauvaise qualité du service fourni.
b. Mauvaise qualité des infrastructures : si la variable d salaires était
le choix de la délocalisat°, l'implantation d'entreprises au Vietnam
devrait ê multiplié par 10, ms le pays est enclavé (difficultés pour le
commerce maritime) = Aucun intérêt à délocaliser.
c. Il faut arbitrer les litiges commerciaux : il faut donc délocaliser
dans des pays à fort stabilité fiscale. Ex : Venezuela.

3. Oublie des intérêts pour les consommateurs : Le différentiel de prix


profite à cx dt le pouvoir d'achat est faible. Ex : entre 2002 et 2005, la F
avait importé pour 12 milliards $ (pays à bas salaires), si les mêmes
produits avaient été produits en F ça aurait coûté 2,7 x +. Qd on divise la
≠ de coûts par le nbr de ménage : 940 € euros st gagnés par ménage.

La mondialisation n'est donc pas un facteur d'aggravation du chômage.

Monde européen : la mondialisation que nous déplorons est la réussite


d'une idée défendue : 70' = Développement du tiers monde.

Section II. Mondialisation et fabrication des inégalités

GIRAUD, Économiste fr, La mondialisation. Emergence et fragmentation


(2008) : elle n'est pas ce que l'on croit. Elle n'unifie pas le monde : elle le
morcelle. Elle dynamise certains territoires et en fragmente d'autres.

1. La mondialisation a contribué à réduire les inégalités mondiales : Effet


de redistribution de la richesse : la Chine est sortie de la misère, certes
parce qu'elle n'est plus gouvernée par Mao, mais 'est aussi parce qu'elle
a bénéficié du circuit international.
- Dvlpt d'une classe moyenne Chinoise composé de : 400 M.
- Palmarès nvx multimillionnaire, depuis 3/4 ans = majoritairement
elles sont latinos américaines et asiatique, principalement chinoise.

La mondialisation est un facteur collectif de prospérité.

2. Elle accroît les inégalités au sein des pays, qql soit les pays :
- du fait de sa structure : pbl qu'elle pose est qu'elle forge 2 caté de
salariés (cx exposés à la concurrence et cx qui ne le st pas).
- des secteurs st exposés : la meilleure garantie est que le niv de P°
soit + élevé que les autres = C'est la Q des diplômes détenus non pas
nominalement, mais selon leur contenu.
Elle accroît fortement les inégalités intranationales d'autant plus dans les pays à
emploi protégé ou non. Nbr salariés statut fonctionnaire ou agent pub en F : 5 M
≠ En Suisse : 0 CAR R de la fonction pub, tous ont été contractualisé.

GIRAUD : Idée que dans chaque pays, on peut distinguer un secteur éco «
nomade » cad exposé à la compétence mondiale et un secteur « sédentaire » qui
ne l'est pas directement. Les sédentaires sont cx qui produisent et vendent des B
et services ds un même territoire. Ainsi, les secteurs du textile, de l'industrie
automobile, de l'électronique ou de l'agroalimentaire sont « nomades » car
ouverts à la concurrence interna. Mais le bâtiment, la P° et la distribution d'eau
et d'électricité, la santé, les services sont sédentaires (un coiffeur ou un médecin
n'est pas menacé par a concurrence interna). En F, 16% d'emplois nomades.
C'est encore moins aux EU : 11% et à peine + en All : 21%.

Nous taxons à tord la mondialisation d'ê le facteur perturbateur dans tous


les secteurs alors qu'elle ne l'est pas.

3. Crainte substitution de la machine à l'homme : LUDDISME. C'est un «


conflit industriel violent » (THOMPSON, Historien) qui a opposé ds les
années 1811-1812 des artisans aux employeurs et manufacturiers qui
favorisaient l'emploi de machines dans le travail de la laine et du
coton = Mvmt briseur machines ds l'industrie du textile. COLBERT,
Ministre LOUIS XIV (contrôleur des Finances) s'était vu proposé une
machine augmentant la productivité ms a estimé qu'il ne faudrait jms
l'insérer dans le royaume car elle serait destructrice d'emploi. Comment
taxer les machines ? Q sur le système de cotisation.

4. La puissance pub serait affectée par la mondialisation : contestable CAR


les pol pub qui sont réellement affectés par la mondialisation : Pol éco.
Pol budgétaire ? Moins évident. Lorsqu'un E structure son budget, est-
ce que la mondialisation est respon du fait qu'il alloue une part à tel ou
tel secteur ? Oui pour une partie de la pol mise en place, mais pour
l'essentiel non. La mondialisation n'est pas en cause.

BECK, Philosophe, Sociologue, Redéfinir le pvr à l'âge de la


mondialisation ds la revue Le Débat (2003) : 8 thèses sur la mondialisation.
Ds une soc « du risque mondial », l'éco a pris un pvr considérable par
rapport à l'É MS É cosmopolite pourrait émerger, réconciliant les perdants
et les gagnants.
L'éco mondiale est une « MÉTA-PUISSANCE » elle excède la dimension
des É nationaux. Raison : rupture entre un pvr et un lieu (ancrage
territorial).
Métaphore utilisé pour décrire l'économie : Cavalier (jeux d'échec) qui peut
enjamber. Le pion devient un cavalier qui peut mettre en échec le roi (É)
MS par d stratégies de contournement l'É peut mettre en échec l'éco.
Thèse 1 : la métapuissance l'économie mondiale

Idée que ce qui fut négatif est devenue positif (le fait d'ê envahi). C’est
l’inverse de la théorie classique du pvr : la menace n’est plus l’invasion, mais la
non-invasion (des investisseurs, des multinationales = Entreprise implantée dans
plusieurs pays par le biais de filiales). Si le pvr d'un É s’accroît par les
conquêtes territoriales, celui des puissances de l’éco globale s’accroît à partir du
moment où elles deviennent extraterritoriales.

Le pouvoir de l’É n’est donc pas remis en cause par celui d’un autre É, par
la menace ou conquête militaire, ms de manière déterritorialisée, externe, par le
biais des échanges transnationaux. Ce concept de déterritorialisation inverse la
compréhension traditionnelle du pouvoir, de la violence et de l’autorité. Ce
n’est plus l’impérialisme ms le non-impérialisme, ce n’est plus l’invasion, ms le
retrait qui constituent le coeur du pouvoir économique global. Le métapouvoir
n’est ni illégal, ni illégitime ; il est translégal, et il modifie les règles des
systèmes nationaux et internationaux.

« La mondialisation n’est pas un choix. Personne ne l’oblige. Personne ne


la dirige, personne ne l’a lancée et pers ne peut l’arrêter » = Irresponsabilité
organisée. Ns cherchons sans cesse un responsable auprès de qui se plaindre MS
il n’y a pers. Plus la domination du discours sur la globalisation s’étend, + les
stratégies du capitalisme se renforcent MS cette nvlle configuration du pvr ne
signifie pas que les PDG dirigent le monde. Ns ne pouvons pas assigner un
centre à la mondialisation car elle est multi centrée, elle n'a pas de décideur
visible. Ce sont des M de décisions individuelles qui se coalisent, qui s'agrègent
ds un calcul maximal d'intérêt dans le temps MS ce n'est pas une machine de
pvr. « Ceci a des effets de pvrs puissants mais ce n'est pas construit comme tel
». Les opposants à la mondialisation estiment que la mondialisation n'a aucune
chance d'ê arrêtée et qu'elle est le visage du complot mondial.

Thèse 2 : politique et économie sans frontières

Frontière entre pol et éco est ruinée par ce phénomène, mais « ça ne signe
pas pr autant la fin de la pol » qui est négociée, redessinée et redéfinie.

Le monopole de l'É sur la législation subit les assauts d’une sorte de


privatisation : des sociétés modifient leurs normes légales et leurs institutions
sous l’impulsion de nouveaux acteurs de régulation : FMI, OMC, Banque
mondiale, ONG, … produisent des normes qui s'imposent aux É devenant les
organes exécutifs locaux. Traditionnellement l'É était le producteur de la norme,
maintenant il n'est plus que l'exécutant de la norme.

Thèse 3 : un É ajusté au marché global

Paradoxe central de la vision néolibérale de l’É et de la pol. Elle tend vers


l’image idéale d’un É minimal, dt les responsabilités et l’autonomie st réduites à
la mise en application des normes économiques globales. Les entreprises et les
organisations transnationales deviennent de quasi-É privés. C'est ce qui explique
ce visage uniforme sur la planète : mm norme s'applique pareil dans ≠ lieux. É
ne disparaît pas, ce qui se transforme est la capacité législatrice.

Paradoxe : Ces entreprises st de quasi-É et doivent prendre des décisions


pol dans le même temps, elles sont dépendantes de la négociation + confiance
du pays = Besoin de légitimité et donc d'un É minimal et d'un É fort :
- É minimal : rgls transnat ne doivent ê pas contestées puissamment par É
- É fort : pr garantir la surveillance du dispositif (sa répression)
« Pour aboutir à une restructuration néolibérale du monde, le pouvoir de
l’État doit donc simultanément être minimisé et maximisé ».

Thèse 4 : les entreprises peuvent affaiblir les États

Les É restent enfermés dans un nationalisme méthodologique (concept de


société à l'espace de l'É-nation). Ce qui aboutit à des rivalités nationales
empêchant les É de découvrir la puissance de la coopération entre eux. Ils sont
piégés par leur nationalité. « L’obsession des nations pour la pol intérieure scie
la branche sur laquelle elle est assise ». S’ils s’en tiennent au postulat de la
souveraineté nationale, ils renforcent la mise en concurrence : « Dumping social
» (= Concurrence exacerbée du fait de la mondialisation éco) pr essayer de
conserver la part de pvrs qu'il leur reste. L’étroitesse nationale de l’É est un
frein à l’inventivité transnationale. Ce qui affaiblie le pvr des É est dc de ne pas
comprendre qu'il faut passer à des structures supranationales avc des transferts
de compétences + L'erreur des politiques est de croire que leur perte
d'autonomie de décision signifie perte de souveraineté ALORS QUE accepter
de perdre un peu d'autonomie, s'est gagner en souveraineté commune. Les É
doivent DONC abandonner leur indépendance, se lier à travers des accords de
coopération pr pvr régler les pbls de leurs pays. Pr avoir le pvr, ils doivent se
mettre au même niv que leurs interlocuteurs transnationaux, et dc s'associer.

Autre paradoxe : la globalisation oblige à renforcer les frontières et leur


contrôle. Ces nvlles frontières ne fonctionnent pas comme les anciennes. Elles
ressemblent à du gruyère : elles laissent place à l’incertitude, à cause des flux
d’informations, K, pers. É doit tt de même avoir un terri défini s/ lequel exercer
son pvr réel, parce qu’il doit ê en posit° de convaincre ses citoyens d’accepter
les règles transnat. Ils doivent même pvr légitimer a posteriori des décisions
prises de manière anti-démocratique sapant le pvr des pol nationales.Thèse 5 :
distinguer autonomie et souveraineté

Pas de contradiction entre réduction de l’autonomie nationale et


augmentation de la souveraineté nationale. La globalisation s’accompagne d’un
glissement de l’autonomie fondée sur l’exclusion nat vers 1 souveraineté fondée
sur l’inclusion transnat. Ce qui est de nature à sauver le pvr pol est le passage à
un É COSMOPOLITE, fondé sur le ppe de l’indifférence nationale. Tt comme
la paix de Westphalie a mis fin aux guerres de religion des XVIe et XVIIe s en
séparant É et religion, les conflits du XXe et du XXIe s pourraient ê empêchés
en séparant l’É de la nation. Seuls les États laïques permettent de pratiquer
plusieurs religions, et seul un État cosmopolite pourrait garantir la coexistence
des identités nationales. Freiner la théologie nationaliste devrait permettre de
redéfinir le champ et les cadres de la pol, tout comme ce fut le cas du
christianisme au début de l’époque moderne en Europe.

Thèse 6 : la voie du cosmopolitisme

Nouveau concept englobant la pol, l’identité et la société. Le nationalisme


pense en termes de distinctions et de loyautés exclusives ≠ Le cosmopolitisme
pense en termes de distinctions et de loyautés inclusives. Son enjeu est de
permettre de tisser 2 choses en même tps pour affronter la mondialisation :
accepter dans un cadre qui reste à construire une véritable diversité qui s'établit
sur le fdt des D de l'H + sortir de l'illusion de l'auto-suffisance nationale.

Thèse 7 : les grandes caractéristiques d'un État cosmopolite

Altérité des nations doit ê présente et s’exprimer aussi bien culturellemt


que politiquement. UE, structure quasi étatique transnat, É cosmopolite, qui tire
sa force pol de l’affirmation + l’affaiblissement de la diversité nat euro. Elle
peut coopérer pour domestiquer la globalisation économique et garantir
l’altérité de l’autre = Elle est l'acceptation du maintien des ≠ culturelles entre les
uns et les autres avec la définition d'une politique commune. La seule manière
de rendre cette vision cosmopolitisme possible, comme KANT nous l’a appris
est de continuer à agir « comme si » elle était possible.
SHAW, Critique musical, Dramaturge, Essayiste, Auteur de pièces de
théâtre et scénaristes Irlandais : « L’homme raisonnable s’adapte au monde ;
l’homme déraisonnable s’obstine à essayer d’adapter le monde à lui-même.
Tout progrès dépend donc des hommes déraisonnables. »

Il faut répondre à un impérialisme par un autre. Face à un pbl qui dépasse


les acteurs pris isolément, il faut trouver un moyen pr les rapprocher. Étape
diff à franchir : il faut que les É acceptent d'entrer ds 1 dispositif qui ns
assignent une O°, ne plus nous en tenir aux rivalités latentes des identités
nationales.
COHEN, Économiste fr, La Mondialisation et ses ennemis (2004) : traite de
la mondialisation sous l'angle culturel : IMPÉRIALISME CULTUREL.
Pays pauvres souffrent + d’ê exclus de la mondialisation que d’ê exploités
par les pays intégrés dans la mondialisation MS cela ne rend pas ces
derniers innocents de la situation parfois dramatique dans laquelle se
trouvent les pays pauvres. L’une des caractéristique de la mondialisation est
la révolution des transports et des télécommunications (rapidité accrue et
baisse des coûts). Cela a cependant été à l’origine d’inégalités (apparition
de centres intégrés et de périphérie dépendantes). La mondialisation n’est
donc pas synonyme d’égalité et de distribution des chances et des richesses.

Les progrès dans les domaines des transports + télécommunications n’ont


pas permis une distribut° des richesses. Au ≠, on assiste à une polarisat° des
richesses. Il émerge 2 axes : axe Nord-Nord (caractérisé par les déplacemts des
pers) et l’axe Nord-Sud (caractérisé par le commerce des marchandises). La
mobilité des personnes a pour conséquence la mobilité du capital. La
division internationale du travail a eu des csq dramatiques pour des pays
pauvres. La spécialisation ds un secteur rend l’économie du pays concerné
fragile car une crise dans ce secteur mènerait le pays vers une crise économique
grave (le pays n’ayant pas d’autres secteurs pour atténuer l’effet de la crise). Un
pays privé de pers qualifiées (comme les ingénieurs) reste dépendant et ne peut
pas se développer (« Privé d’ingénieurs, 1 pays pauvre doit dépendre en tout de
l’extérieur pour emprunter et adapter les techniques modernes. »
THÉORIE DES LEVIERS DE LA RICHESSE : « La richesse d’un pays
est davantage actionnée par une série de leviers qui se soulèvent l’un l’autre,
que par le seul travail humain. Un premier levier est celui qui tient à l’éducation
ou à l’expérience professionnelle. […] Le deuxième levier est celui qu’offrent
les machines. […] Les machines actionnent elles-mêmes un troisième levier,
plus mystérieux : ce qu’on appelle « l’efficience globale », qui inclut le progrès
technique et l’efficacité organisationnelle des entreprises. […] C’est cette triple
dimension multiplicative qui explique la croissance économique moderne et le
dénuement des pays pauvres. ». Ainsi, un pays doit combiner plusieurs leviers
pour assurer son développement.

Distinction entre 2 logiques de croissance éco :


- « smithsienne » : division du travail est source de prospérité
- « schumpetérienne » : dépend de la capacité d’innovation d’une éco
« 1er continent qui se retrouve distancé par la puissance schumpétérienne
des EU est l’Europe. » L’Europe manque de firmes multinationales puissantes
MS n’est pas si en retard que cela par rapport aux EU. Le choix de l’Europe
concernant les technologies peut se révéler à long terme efficace. L’Europe est
capable de s’aligner avec les EU, elle l’a déjà fait au cours des 30 Glorieuses.
Prédominance des EU dps la 2nd GM : il y a dans l'esprit cette thématique
d'une extrême puissance Am sur la diffusion culturelle grâce à des outils (radio,
journaux, livres, parcs de loisir). Constat : l'implantation du Parc Disneyland a
pris 15 ans pr trouver un équilibre éco + Le cinéma am a pris de l'ampleur ms le
cinéma Indien est la 1ère P° de film mondial. Les Fr sont 3ème + Livre de
poche crée en 1910 en F non par les Am.

FUMAROLI, Historien spécialiste de la rhétorique du XVIIe s, L'État


culturel : une religion moderne (1991). Religion d'É : il considère que l'outil
culturel, tel que le livre, la danse ou l'opéra, ont été très tôt intimement lié
au objectif d'affirmation de la puissance royale. A la ≠ du modèle am, la
culture fr a toujours été partie prenante de manière dense de l'AP.

➢ A quoi ont longtps servi les arts culturels ? A magnifier le pvr royal. Ex :
LOUIS XIV. Encyclopédie RICHELIEU + LOUIS XIII. Les Immortels :
affirmaient le pvr du roi par la langue. Le rôle de fixer la langue donné par
l'Académie Fr est un rôle pol. En fonction de la qualité littéraire. Ex : Les
dédicaces, doivent ê faite au roi. L'académie n'est pas l'expression de la langue
pure, mais lieu de la communication pol.

Autres types d'usage d'outil culturel à visée de propagande politique :


- Littérature : tradition fr montre l'importance du littérateur car instrument
de communication de la pol.
- Musique : ds la Cour de LOUIS XIV, il y a une querelle : comment
construire un opéra ? Opéra c'est le + souvent un livret. Scènes
mythologiques et d'en faire un décor de théâtre, derrière la scène
mythologique, on valorise le roi. LOUIS XIV utilisera donc LULLY d'un
côté et RAMEAU de l'autre.
- Sculpture : Versailles, lieu de la démonstration de la dignité du Roi
supérieur à tous les autres souverains.

Rapport avec la mondialisation : statut culture en F adopte d caract singuliers


- Un partage
- Une dignité : ds le registre de la culture, il y a des hiérarchies strictes. Le
statut de livre, n'est donné qu'un certain livre avec des typographies
particulières. Le roman de gare : gare dans les kiosques. Roman de
plage : Pas d'importance. on a fabriqué ainsi des hiérarchies de dignité.
Vient un moment fin XVIIe s, se développe au XVIIIe et trouve son point
culminant XIX, relation avec les Am. ils prennent conscience que ce
monde adm peut ê une concurrence (vaste, immense ressource, …), va se
développer de façon croissante un antagoniste culturel (franco-am), les
hommes de culture : forme de propagande, l'enjeu est de contester d'ê
véritablement porteur de la culture. Les Eu sont un monde de barbabe.
Justification :
- Parmi ces raisons est évidemment lié à l'H = sous la monarchie finissante,
le monde américain est sous domination angl, l'adversaire de la F n'est
pas l'All mais l'Angl. C'est pour cette raison que des Fr embarqués de LA
FAYETTE, combattent avec les insurgés américains c/ l'Angl.
- au moment de la RF : envie d'ê le flambeau d'une nouvelle humanité. La
révolution am se fait avant la révolution fr, historiquement, cs qui paraissent
incarnés l'idéal de D pol ce sont les Am avant les Fr.
- Le monde de peuplement am laisse penser à bcp d'intellectuels qu'il y a des
gens non civilisés. Immense majorité des hommes peuplant les EU sont des
classes populaires. Les formes de migration humaine au XIXe : migration
forcée liée à un statut pénal (bagnards) + migration éco (de la faim). les villages
se dépeuplent de tous les jeunes.

Quelle est la réaction d'un intellectuel par rapport à ce monde : 30' DUHAMEL
fait un voyage aux EU "il a voulu faire une expérience du cinéma, on lui
expliquait qu'il y avait un grand engouement pour le cinéma Am. Qd il écrit son
expérience : "c'est un passe-temps d'illettrés, d'ilote" (cité de Sparte,
gérontocratie) lagoniste = roi lagno (parole vive et parole brève). Les longues L
sont scélérates (les L longues ne sont pas nécessaires).

La mondialisation sous l'angle de la culture fait resurgir deux grands clivages :


1. Profonde hostilité des F qu'il y ait une culture digne de ce nom dans le monde
Am. la vivacité de la F à travers les représentants artistiques : exception
culturelle on le brandit dans une forme indéfinie recommencé à l'hostilité =
statut de la dignité de la culture am. la mondialisation remet en scène cela.
2. Reprise de cette idée en lui donnant une autre apparence , les am n'ont pas de
culture digne de ce nom mais ils subvertissent par leur culture. Thèse :
L'uniformisation culturelle que produirait une mondialisation liée au pvr de
l'argent OR quand on quitte le registre de la dénonciation fr ou européenne.

APPADURAI, Sociologue culturaliste, Anthropologue, Ap le


colonialisme : les conséquences culturelles de la globalisation (2005) :
défend avc constance la même thèse dps 3 décennies. Image d'1
mondialisation qui uniformiserait au détriment des cultures nationales. Ce
que génère la mondialisation ce n'est pas du réductionnisme culturel c'est 1
recomposition culturelle. Aucun endroit du monde n'échappe à une
recomposition, dont il sont acteurs et récepteurs. Thèse : la mondialisation
fait de chacun un acteur et un récepteur, ça n'est pas au détriment de qql.
Inventivité permanente qui embrasse les cultures.
Ex : la mode vestimentaire ne cesse d'emprunter pour al c° de la tenue à des
cultures très lointaines. marque de vêtement. La mondialisation montre qu'on
emprunt tt azimut. pas une seule culture n'est as affecté par cela. Impérialisme
de coca-cola : idée de coca-cola identique dans le monde = pays qui ont refusé
le coca mais essaye de le produire : 300, ex : Iran, Israël, Algérie.

Arasement culturel : mondialisation comme appauvrissement culturel = c'est


une bêtise, la mondialisation brase, elle détruit mais recrée, non pas selon un
modèle plus influent que d'autres. courgette, pomme de terre, .. n'ont pas
d'origine européenne; Il y a une quantité phénoménale qui sont des emprunts, il
n'y a pas d'identité de la nourriture qui tienne dans la durée.

1ère mondialisation a considéré la même chose sous un angle négatif. PQ ?


Mondialisation inquiète, ce que les premiers temps de la mondialisation ne le
furent pas.

L'Occidentaux est-il encore un modèle ?


Sommes-nous encore une société ?

comment une société organise ses choix moraux ? Logique utilitariste, je


privilégie là où il y a moins de morts.

La distinction entre
DISTINCTION ENTRE LE SAVANT ET LE POLITIQUE

WEBER, Le savant et lE POLITIQUE (1919) : Logique du pol et du savant.


Distinction, morale du savant et du prophète = elle ne se soucie jamais des csqs
de la décision, on s'en tient à la pureté de la règle morale = moraliste. Le pol est
un drame, une dramaturgie car il faut choisir entre deux mots, conséquentaliste.
éthique =/= moral : pas de différence étymologiquement = ethos = façon de se
comporter, « mores » = les moeurs. La morale s'est la façon habituelle de se
conduire (ds la norme). Usage social différent, on ne parle plus de moral mais
de l'éthique car morale renvoie à un ordre de la société duquel ns avons trouvé
positif de sortir. // devoir pas ds la DDHC car pas envie de revenir à l'AR. Il faut
mieux condamner le monde à mort plutôt que de transgresser une règle de la
justice.

Morale de nos sociétés : OGIER, Philosophe fr, L'Éthique aujourd'hui :


maximalistes et minimalistes (2007) : Thèse de l'éthique minimale, cad dès lors
qu'on est dans une société démocratique qui a choisi comme fdt les D de l'H et
se veut autonome = fort peu probable que toute société soit d'accord sur une
même morale. Impuissance à faire surgir une morale commune, il faut un
nombre minimale de règles qui soient prescriptifs (disent ce qu'il faut faire, ou
interdire ce qu'il ne faut pas dire). Pbl supplémentaire : dans un monde qui est
culturellement pluriel, les morales peuvent ê culturellement situé. La seule
façon de s'en sortir est de définir le petit quantum de règle qu'aucun indiv ne
remettrait en cause car sa remettrait sa vie en cause.

LUKE, théoricien de la vie sociale et politique : On peut contester l'idée le fait


que les D soient culturellement situés, la subjectivisation des règles de
comportements. On peut définir un corps de règle qui transcende = D de l'H
sont les D de toute l'humanité.

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