Cour UDLATAM M1S1

Rendre un compte rendu personnel d’une des séances du cour le 4 janvier
28/09
I- Quel est l’intérêt d’étudier le genre, la race et la classe dans les
Amériques
 On a tous déjà entendu parler d’intersectionnalité etc. L’idée de ce cour est de
donner les outils nécessaires pour pouvoir déconstruire les notions.
Le genre est « un système de bicatégorisation hiérarchisé entre les sexes et entre
les valeurs et représentations qui leurs sont associé.
Le genre est constitué de 4 dimensions analytiques :
 C’est une construction sociale, il faut déconstruire les caractéristiques
biologiques
 Le genre est un processus relationnel, on ne peut pas étudier ce qui traite du
feminin sans l’articuler a ce qui traite des hommes et du masculin. Les
caractéristiques H/F sont construite dans l’opposition. (genre homme fort
femme faible etc).
 Le genre est un rapport de pouvoir, c’est un rapport normatif qui va
contraindre les individus a vivre comme h/f
 Le genre est imbriqué dans d’autres rapports de pouvoir,
Comment penser la race :

Apres la 2nd GM les scientifiques déduisent qu’il n’y a pas de race humaine, mais en
sociologie on l’utilise pour catégoriser. Les féministes vont faire un lien entre le sexe
et la race pour penser la femme comme une classe sociale naturalisée.
« Des lors que la race ne corresponds, dans l’espèce humaine, à aucune réalité
définissable de faon objective, elle devient une catégorie idéologique.
Jules palquier : la race est une construction historique et arbitraire qui n’est basée
sur aucunee diff de fond en nature.
Le contexte latam :
Dans le processus de découverte de l’amérique latine, les femmes sont
omniprésentes. Les colons ont projeté de nombreux fantasmes genre comme les
gadjis sont nues ils s’imaginent qu’elles veulent coucher. Donc y’a toute un
imaginaire érotique etc.
La sexualité est utilisée comme une arme pour assouvir une pop, genre les colons
volent les femmes des racistes, les femmes sont des intermédiaires pour apprendre
langues locales etc.
La découverte de l’Amérique apporte aussi des nouveaux notions de races, genre on
a catégorisé les natifs comme indigènes et forcés a l’esclavage comme avec les
noirs etc.
La blancheur est pensée comme un signe de bonne vue sociale.
Cette histoire
II- Courte histoire des féminismes en Amérique latine
Le féminisme est définit par Louise Toupin comme une prise de conscience indiv et
coll suivie d’une révolte contre l’arrangement des rapports de sexes et la position
subordonnée que les femmes y occupent et il s’agit aussi d’une lutte pour changer
ses rapports et cette situation.
La critique du féminisme latam pour les blancs c’est de penser que la situation de
toutes les gadjis est la même. L’historisation du féminisme est nécessaire.
La théorie de la connaissance situé est l’idée que toutes les formes de
connaissances reflètent les cond politique et sociales particulières dans lesquelles
elles sont produites. Le féminisme en fait partie car il intègre l’expérience
individualisée.
La première vague feministe a débuté au 20eme siecle comme en Europe. La

modernisation de cette pattie du continent a pour conséquences le début de
réclamations etc. C’est proche des courants libéraux etc. ; On demande le droit de
vote etc. Ce sont des gadjis de classe moyenne dans un premier temps qui sont
concernés. Des revues féministes publiées dans le contient permettent l’émergence
de ce féminisme. En 1910 l’Argentine est le 1 er pays qui accueille un congrès
féministe.
L’objectif d’amélioration de la race est omniprésent, un discours sur la race et le role
des femmes dans l’amélioration de cette dernière.
Seconde partie du 20 eme siècle la dépénalisation de l’avortement est déjà en
avance sur l’Europe.
2ème vague 1970-1980 : contexte politico-économique difficile a cause du neo-

liberalisme, les mouvements s’organisent en petits groupes qui font des
conférences ;
3eme vague 1990-2000 : Les femmes avec les plans des FMI apparaissent comme
absorbeur de misère. Les feministe instutionneles sont critiquée pcq elle deviennent
des tetes de proues rémunérées par des ONG.

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Comment penser la race :

II- Courte histoire des féminismes en Amérique latine

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