Info de Gestion 2024
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Cours
D’Informatique de
Gestion
G3 Génie Civil et Mécanique
By
Deo Gracias KABULU BAWALA
Ir Informaticien
[i]
Définitions : ...................................................................................................................... 1
Conclusion ........................................................................................................................ 6
Définition : .................................................................................................................... 7
A. Taylorisme ............................................................................................................... 7
B. Fayolisme ................................................................................................................. 7
C. Fordisme................................................................................................................... 8
Introduction générale
Préambule
Pourquoi étudier le cours d’Informatique de gestion ? L’informatique de gestion
est devenue une composante essentielle de toute entreprise, toute institution ou de toute
organisation prospère. Elle devient donc un champ d’étude indispensable dans
l’administration des affaires et la gestion.
Définitions :
L’informatique de gestion recouvre les connaissances et compétences qui se
trouvent à l’intersection des disciplines de l’informatique et de la gestion.
Mais quelle est la signification ou la portée des termes que sont l’informatique
d’une part et la gestion d’autre part.
Les informations informelles sont celles dont l’entreprise n’a défini ni la forme, ni
le fond ; un bon exemple en est les informations échangées entre collaborateurs lors de
pauses - café. Pour en revenir au domaine des ordinateurs, il est évident que de
l’information informelle peut être traitée au moyen des outils informatiques de
l’entreprise ; par exemple au travers d’Internet ou de la messagerie. L’informatique mise
en œuvre pour le traitement de ces informations informelles ne peut donc pas être
qualifiée de gestion car elle n’automatise pas l’administration des intérêts ou des affaires
de l’entreprise.
Les informations formelles sont celles dont l’entreprise a défini la forme, voire le
fond, et dont elle a besoin pour garantir un fonctionnement correct de ses activités
opérationnelles et de pilotage. Lorsqu’un système qualité est mis en place, ces
informations correspondent à la maîtrise des documents et des données.
A son tour, le système d’information formel peut être découpé en deux parties ou
sous-systèmes distincts :
couplage transparent pour les utilisateurs entre les traitements informatiques d’une part
et les données utilisées d’autre part. Ce couplage entre les données et les multiples
traitements informatiques qui les utilisent nécessite une structuration rigoureuse des
données.
• Le volet « gestion » doit fournir les compétences qui permettent de capturer les
besoins d’automatisation des informations des systèmes opérationnels et de
pilotage. La capture des besoins sous-entend une compréhension parfaite du
métier et des finalités de l’entreprise. Cette capture des besoins se fera souvent en
partenariat avec les experts métier de l’entreprise.
Conclusion
Un système d'information de gestion est une série de procédures et d'actions
effectuées pour saisir des données brutes, les transformer en information utilisable et
transmettre cette information aux utilisateurs sous une forme adaptée à leurs besoins.
Définition :
L’organisation est l’ensemble des relations entre différents membres ou différentes
activités de l’entreprise appelées fonctions. L’organisation scientifique du travail se définit
comme la science de rapport entre les différents facteurs de production principalement
entre l’homme et son outil de travail.
A. Taylorisme
Taylor est un Américain, il fut Ouvrier, Ingénieur puis Patron d’une usine. Il a écrit
un livre sur le principe de l’organisation scientifique de l’usine, son principe fondamental
consiste à éliminer le temps mort non productif ou l’inadaptation à l’instrument du
travail :
B. Fayolisme
Fayol fut Ingénieur puis Directeur Général d’une Entreprise de mine. Il a écrit un
ouvrage sur l’administration industrielle et générale. Il s’est plus penché sur les
attributions de la direction et de l’administration de l’Entreprise.
C. Fordisme
Ford a prôné la production en masse, la production bon marché à cadence élevée,
il a introduit la politique de bon salaire non seulement en vue d’augmenter la production
mais aussi d’améliorer le pouvoir d’achat des Agents de l’Entreprise.
L’économie du personnel ;
L’économie de matériels ;
L’économie d’outillage ;
L’économie de place ;
I. 3. 1. Méthode de Direction
B. La Centralisation
C’est le monopole de pouvoir par une seule personne qui concentre l’ensemble
de décision de l’entreprise entre ses mains. Cette méthode de direction vise l’unicité de
commandement.
C. La Décentralisation
C’est une délégation du pouvoir au niveau de l’exécution du travail. En d’autre
terme, la déconcentration est une méthode qui consiste à diriger par délégation du
pouvoir, de faire descendre le pouvoir de décision au niveau des collaborateurs capables
d’engager certaines actions au profit de l’Entreprise.
L’avantage de cette methode est telle que la prise des décisions rapide et une
bonne surveillance, et comme inconvénient Il y aura conflit de compétence et le contrôle
peut échapper au chef de l’Entreprise.
D. La Concentration et la Déconcentration
Cette méthode consiste en la répartition géographique de moyens de production
; on éparpille l’organisation et le tout contribue à la croissance de l’entreprise avec risque
que Quelqu’un peut s’approprier un bien de l’Entreprise.
Pour se faire, quel que soit la taille, son statut, son secteur d’activité, son degré de
liberté par rapport au pouvoir, une Entreprise doit comporter des fonctions essentielles
indispensables à sa bonne marche et étroitement dépendantes les unes des autres.
[10]
La fonction administrative ;
La fonction financiarise ;
La fonction comptable ; La fonction sécuritaire.
Cette structure se définit par son organigramme (on commence du chef aux
exécutants). Les Entreprises biens organisées disposent des pages organiques pour
compléter leurs organigrammes. Ces pages décrivent les responsabilités de chaque
fonction de l’Entreprise.
La hiérarchie dans une entreprise a été définie par FAYOL comme « une série des
personnes qui vont de l’autorité supérieure à l’agent inferieure. La voie hiérarchique
quant à elle est définie comme « le chemin à suivre par les communications qui partent
de l’autorité supérieurs » (en partant du degré de la hiérarchie vers l’agent concerné).
Niveau I
Niveau II
Niveau III
Avantage
L’autorité est bien définie et les communications sont faciles
Inconvénients
L’allongement des délais si les intermédiaires sont nombreux avec comme
conséquence, la déformation de l’information à chaque niveau, le chef doit être
polyvalent ou multidisciplinaire car il est responsable de tous ceux qui lui sont
subordonné. Il y a parfois nécessité d’établir un pont pour faciliter la circulation de
l’information.
Chef de
l’Entreprise
Ouvriers Ouvriers
[12]
Avantage
Les Chefs sont en relation avec tous les Agents.
Inconvénient
Les Ouvriers doivent obéir à plusieurs Chefs surtout quand les ordres sont
contradictoires. D’où l’inefficacité dans l’exécution de ces ordres.
3° Hiérarchie d’Etat-major
DG
STAFF
Avantages
Le Chef n’étant pas spécialiste dans tous les domaines, il est aidé par une équipe
de différents domaines qui lui donne des Conseils pour une prise des bonnes décisions.
Inconvénient
Quelques fois les conseils du Staff peuvent apparaitre comme des décisions surtout
si les Conseillers ont de l’influence sur le Chef.
I.4.1. Introduction
Il est plus qu’important de montrer le rôle combien capital que doivent jouer le
Data Warehouse et le Datamining au sein d’une Entreprise pour la prise des bonnes
décisions. C’est à dire, montrer comment l’informatique décisionnelle est une réponse
au problème de prise de décision de l’organisation en rapport avec ses objectifs
(rentabilité, sécurité et développement).
I.4.2. L’Entreprise
Nous pouvons définir “ l’Entreprise ” comme toute organisation humaine devant
gérer sa raison d’être et/ou sa pérennité au travers des objectifs bien définis (sécurité,
développement, rentabilité). Par voie de conséquence, cette organisation humaine est
dotée d’un centre de décision.
Les Ménages ;
Les Administrations Publiques ;
Les Administrations Privées ;
Toute autre organisation que celles citées ci-dessus.
I.4.3. Le Décideur
Dans toute organisation il faut un centre de décision. Le Décideur peut-être le
Responsable de l’organisation ou le Responsable d’une fonction de cette organisation.
Nous associons le terme “ Décideur ” à la responsabilité vis à vis de la pérennité de
l’organisation.
II.1.1. DEFINITION
Par système d’information d’une entreprise, on entend un ensemble formé :
L’origine de ce découpage provient du constat que les erreurs ont un coût d’autant
plus élevé qu’elles sont détectées tardivement dans le processus de réalisation. Le cycle
de vie permet de détecter les erreurs au plus tôt et ainsi de maitriser la qualité du logiciel,
les délais de sa réalisation et les coûts associés.
Conception détaillée, consistant à définir précisément chaque sous ensemble du
logiciel ;
Codage (implémentation ou programmation), soit la traduction dans un langage
de programmation des fonctionnalités définies lors de la phase de conception ;
Tests unitaires, permettant de vérifier individuellement que chaque sous ensemble
du logiciel est implémenté conformément aux spécifications ;
Intégration, dont l’objectif est de s’assurer de l’interfaçage des différents éléments
(modules) du logiciel ;
Qualification, c’est-à-dire la vérification de la conformité du logiciel aux
spécifications initiales ;
Documentation, visant à produire les informations nécessaires pour l’utilisation du
logiciel et pour les développements ultérieurs ;
Mise en production ;
Maintenance, contenant toutes les actions correctives (maintenance corrective) et
évolutive (maintenance évolutive) sur le logiciel.
:
Gère un ensemble de fichiers (base de données) ;
Permet aux utilisateurs d'extraire ou de stocker des données.
Ainsi, il permet de :
Créer ;
Mettre à jour ;
Interroger ;
Visualiser ;
Administrer … une base de données.
b) Définitions d'une BD
Une BD est une collection de données persistantes (La durée de vie dépasse celle
de l’exécution d’un programme) utilisées par des systèmes informatiques.
Les BD sont conçues pour traiter de gros volumes d'informations. La gestion de ces
données demande :
d) Exemples de BD Exemples
de données :
e) Exemples de SGBD
Vue 2 Vue 2
Niveau externe
Niveau externe
[NOM DE L’AUTEUR]
[21]
II.2.4.1 Introduction
Le Système d’Information, appelé aussi SI, est un ensemble de tâches complexes
regroupées en modules spécialisés qui composent l’applicatif informatique : le logiciel.
Si nous devions créer une analogie nous pourrions dire que ces tâches simples sont
comme les briques qu’un maçon assemble pour ériger une maison. Le logiciel, tout
comme une maison, a besoin d’un plan de conception réalisée par un architecte. Une
maison conçue sans plan risque de présenter, une fois finie, plus d’une erreur de
conception. Il en est de même pour un logiciel. Le logiciel sans études préalables,
construit sans méthodologie, risque de surprendre son utilisateur !
Le niveau conceptual ;
Le niveau logique ;
Le niveau physique.
[NOM DE L’AUTEUR]
[22]
1. Le niveau conceptuel
Le niveau conceptuel consiste à concevoir le SI en faisant abstraction de toutes les
contraintes techniques ou organisationnelles et cela tant au niveau des données que des
traitements.
Le niveau conceptuel répond à la question Quoi ? (le quoi faire, avec quelles
données). Le formalisme Merise employé sera :
2. Le niveau organisationnel
Le niveau organisationnel a comme mission d’intégrer dans l’analyse les critères
liés à l’organisation étudiée. Le niveau organisationnel fera préciser les notions de
temporalité, de chronologie des opérations, d’unité de lieu, définira les postes de travail,
l’accès aux bases de données…
Qui ?
Où ?
Quand ?
Le formalisme Merise employé sera :
3. Le niveau logique
Le niveau logique est indépendant du matériel informatique, des langages de
programmation ou de gestion des données. C’est la réponse à la question Avec quoi ?
Le formalisme sera :
[NOM DE L’AUTEUR]
[23]
4. Le niveau physique
Le niveau physique permet de définir l’organisation réelle (physique) des
données. Il apporte les solutions techniques, par exemple sur les méthodes de stockage
et d’accès à l’information. C’est la réponse au Comment ?
5. Tableau récapitulatif
Niveaux Données Traitements
[NOM DE L’AUTEUR]
[24]
plonger dans la pratique. Il décrit de façon formelle les données utilisées par le système
d’information. La représentation graphique, simple et accessible, permet à un non
informaticien de participer à son élaboration. Les éléments de base constituant un
modèle conceptuel des données sont :
1. Les propriétés
Les propriétés ou attributs sont les informations de base du système
d’information.
Les propriétés disposent d’un type. Elles peuvent être numériques, représenter
une date, leur longueur peut être aussi définie. Par exemple : le nom est une propriété
de type alphabétique et de longueur 50, c’est-à-dire que la valeur saisie ne comportera
aucun chiffre et ne dépassera pas cinquante caractères.
Les types ne sont pas décrits au niveau conceptuel, car ce niveau est trop proche
de la définition du système physique. Nous y reviendrons plus tard.
[NOM DE L’AUTEUR]
[25]
a. L’identifiant
Une de ces propriétés a un rôle bien précis, c’est l’identifiant nommé aussi la clé.
Il faut donc trouver, ou inventer, une propriété qui lorsque sa valeur est connue
permet la connaissance de l’ensemble des valeurs qui s’y rattachent de façon formelle.
Ainsi, lorsque le numéro du client est connu, son nom, son prénom et toutes les
valeurs des autres propriétés qui s’y rattachent sont connues de façon sûre et unique.
Par exemple :
[NOM DE L’AUTEUR]
[26]
Voilà la première étape, première car la lecture du schéma doit être améliorée en
incorporant une notion importante :
a. Les cardinalités
Elles expriment le nombre de fois ou l’occurrence d’une entité participe aux
occurrences de la relation. Dans notre exemple on peut se poser les questions suivantes
:
À la première question, nous pouvons répondre qu’un client, pour être client,
doit commander au moins un article. À la deuxième question, nous pouvons répondre
qu’un client peut commander plusieurs articles. Voici comment symboliser cet état :
[NOM DE L’AUTEUR]
[27]
Si nous répondons oui dans ce cas la cardinalité minimale est 0. Pour le maximum
: A-ton des articles qui peuvent être commandés plusieurs fois ?
Nous pouvons espérer que oui, dans ce cas la cardinalité maximale sera n. Voici
le schéma finalisé :
Définitions
La cardinalité minimale (0 ou 1) exprime le nombre de fois minimum qu’une
occurrence d’une entité participe aux occurrences d’une relation.
Autre exemple :
Modélisons le fait qu’une mère élève des enfants.
Des cardinalités :
[NOM DE L’AUTEUR]
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Définition
Une relation est dite porteuse lorsqu’elle contient des propriétés.
Imaginons que l’on veuille connaître la quantité d’articles commandés par clients,
nous nous rendons compte qu’il faut utiliser une nouvelle propriété Quantité. Cette
nouvelle propriété dépend de clients, d’articles ou des deux ? La bonne réponse est que
Quantité dépend des deux entités.
Une relation faisant intervenir trois entités est dite ternaire. Dans certains
ouvrages elle est caractérisée par l’appellation « Tripattes ».
[NOM DE L’AUTEUR]
[29]
Définition
Une relation réflexive est une relation d’une entité sur elle-même.
Par exemple, on désire modéliser le fait qu’un employé peut diriger d’autres
employés.
4. Règles d’usages
Cas pratique
Reprenons le graphe concernant le cas du camping vu au chapitre précédent et
réalisons le modèle conceptuel qui en découle.
[NOM DE L’AUTEUR]
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Définition
Une contrainte d’intégrité fonctionnelle (ou CIF) est définie par le fait qu’une des
entités de l’association est complètement déterminée par la connaissance d’une ou de
plusieurs entités participant à cette même association.
Par exemple :
Nous pouvons lire qu’une salle peut contenir zéro ou plusieurs ordinateurs et
qu’un ordinateur existe dans une et une seule salle. Dans le cas d’une association binaire
comme celle-ci, une contrainte d’intégrité fonctionnelle existe à partir du moment ou
une cardinalité de type 1,1 existe.
Conclusion
Cette phase est l’une des plus importantes, il est évident qu’il faut y passer du
temps. Il faut savoir aussi que plus vous pratiquerez les modèles conceptuels plus vous
serez à l’aise.
[NOM DE L’AUTEUR]
[31]
Nous devons supprimer la relation Elever, cela se réalise de façon tout à fait
mécanique. L’entité ayant la cardinalité de type 1,1 ou 0,1 absorbe l’identifiant de l’entité
la plus forte (0, n ou 1, n). Cet identifiant est alors appelé la clé étrangère.
[NOM DE L’AUTEUR]
[32]
[NOM DE L’AUTEUR]
[33]
Les relations ayant toutes leurs entités reliées avec des cardinalités maximales
supérieures à 1, se transformeront en entité en absorbant les identifiants des
entités jointes ;
Toute relation porteuse de propriétés se transformera en entité et absorbera
comme clé étrangère les identifiants des entités qui lui sont liées.
Conclusion
Comme vous l’avez ressenti, le passage du modèle conceptuel au Modèle Logique
des Données est purement mécanique, il suffit de respecter les quelques règles énoncées
plus haut. Il n’y a plus de travail de conceptualisation ou de réflexion proprement dit.
Lorsque nous réalisons un Modèle Logique des Données nous ne faisons que « détruire
» un Modèle Conceptuel des Données pour recréer un autre modèle.
Employés
Num_employé Numérique 10 Clé primaire
Nom Alphanumérique 25
Prénom Alpha 25
[NOM DE L’AUTEUR]
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Adresse Alphanumérique 50
Code_postal Alphanumérique 10
Téléphone Numérique 20
Num_employé Numérique 10
Conclusion
Le Modèle Physique des Données est l’étape ultime dans le processus de gestion
des données de la méthode Merise. Toute l’analyse ayant été réalisée en amont,
l’essentiel du travail de réflexion ayant été encadré par le modèle conceptuel, le passage
au modèle physique n’est qu’une simple formalité. Il peut être donné à un développeur
pour qu’il puisse créer la base de données correspondante sur un serveur de base de
données quelconque.
[NOM DE L’AUTEUR]
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Exercices Pratiques
On suppose qu’un être humain ne réside que dans un logement au maximum, qu’un
logement n’est occupé que par une personne au maximum et qu’un logement est
entretenu par une et une seule personne (il s’agit d’un exemple).
Posséder
0, n - Date 1, n
d’acquisition
- prix d’achat
Etres humains
Logements
0, 1 0, 1
Numpersonnel Occuper
Nom Numlogement
- Date d’entrée
Prénom - montant loyer Adresse
… …
0, n 1, 1
Entretenir
- Date
dernier
entretien
[NOM DE L’AUTEUR]
[36]
3. exemple d’un trafic aérien où un vol peut concerner plusieurs avions (si c’est un
vol avec escale), plusieurs pilotes (s’il y a un co-pilote) et plusieurs aéroports (départ
/ escales / arrivée) d’où la nécessité d’une association ternaire et un avion, un pilote
ou un aéroport peuvent être utilisés 0 ou plusieurs fois par l’ensemble des vols
(d’où les cardinalités).
Avions 0, n 0, n
Pilotes
Numéro avion Numéro pilot e
Vol
Modèle Nom
Date et heure
Date de mise Durée Prénom
en service Distance …
…
0, n
Aéroports
Numéro
aéroport
Situation
[NOM DE L’AUTEUR]