Angiocardiograhie

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ANGIOCARDIOGRAPHIE

I. INTRODUCTION
 L’Angiocardiographie est l’examen radiologique qui permet d’obtenir des images d’un vx sanguin ou d’une
cavité cardiaque au cours de l’injection d’un produit radio-opaque injecté dans cette cavité ou vx du au
cours d’un cathétérisme cardiaque.
 Une Angiographie est dite :
o Par voie veineuse quand le produit opacifie les cavités cardiaques droites puis la circulation pulmonaire,
puis les cavités gauches.
o Une Angiographie sélective : L'injection est faite sélectivement par injection de produit de contraste
dans la cavité cardiaque ou vasculaire que l’on veut examiner.
 L’enregistrement des images peut se faire :
o A une cadence basse de 0 à 8 clichés /s pendant un temps maximal de 15 à 30 secondes : c’est
l’angiocardiographie fixe,
o Ou bien à une vitesse de 6 à 120 images par seconde :c’est la ciné angiocardiographie.

II. ASPECT TECHNIQUES :


A. Matériel radiologique et salle de cathétérisme Un Cathlab. doit comporter au moins le matériel suivant :

 Dans la salle de cathétérisme


1. Un système radiologique monté sur un arceau rotatif au tour d’un patient et une table suspendue à
plateau flottant permettant d’obtenir toutes les incidences sur le plan sagittal et longitudinal ; il
comprend :
- Un générateur permettant d’alimenter un tube à rayons X avec de hautes tensions
- Un tube à rayon X permettant la production de rayons x
- Un détecteur associé à l’amplificateur de brillance qui sert à convertir les images lumineuses en
images électroniques.
- Ecrans répétiteurs qui permet de voir les images en temps réel et répéter les séquence
enregistrées.
- Un système de d’enregistrement et de stockage
- Une table de radiologie.
2. Un écran avec moniteur de pressions et électrocardiogramme
3. Un injecteur de produit de contraste
4. Un appareil de mesure oxymétrique, un débimètre
5. Equipement de réanimation : défibrilateur, équipement d’intubation – ventillation, système d’oxygène et
d’aspiration, sonde d’entrainement et simulateur externe, et une pharmacie d’urgence.

 EN dehors de la salle, accessible et médecins et paramédicaux :


1- Une console de mesure et enregistrement des pressions.
2- Un moniteur de pression et ECG
3- Un écran répétiteur d’images.

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B. Préparation
 Le Patient doit être informé sur son état de santé, sur l’intêret, le déroulement et le risque du geste proposé
et l’accord du patient doit être consigné dans le dossier.
 Il est nécessaire de disposer de :
o Tout le bilan clinique, biologique ( NFS, Ionogramme, fonction rénale, hémostase)
o Un ECG et si possible une évaluation non invasive (Echo, scintigraphie ou IRM)
 En cas d’allergie prouvée ou suspecte des produit iodée : antihistaminique ou corticoïdes la commencé la
veille du geste
 En cas d’insuffisance rénale, il faut :
o Arrêter les médicaments néphrotoxiques et
o Commencer une réhydratation par SS ou s. Bicarbonaté de préférence par voie orale 12 avant et
après la procédure tout en surveillant la tolérance cardiaque.
 Les biguanides doivent être arrêté le jour même de l’examen et repris 48h après s’être assuré de la fonction
rénale (risque d’acidose lactique par dégradation de la fonction rénale)
 Le malade doit être à jeun depuis 6 à 8 hrs
 Perfusion d’un SG
 Sédation par Benzodiazépine oral ou IV est habituellement administrée.
 Désinfection et mise en place de champs stérile,
 Anesthésie :
o Locale par de la xylocaïne 1 à 2 %
o L’anesthésie générale n’est nécessaire que pour le petit enfant

C. Voies d’abord
 Cathétérisme droit : s’effectue par abord veineux fémoral, jugulaire interne ou sous clavier.
 Le cathétérisme gauche
o S’effectue par voie artérielle rétrograde fémorale, radiale ou rarement axillaire ou humérale.
o Peut se faire par voie transeptale ou à travers une CIA existante,
o Il est généralement utilisé lors des procédures interventionnelles (valvuloplastie mitrale ou aortique,
fermeture d’une CIA ; ablation de foyer arythmogène)
 Chez le nouveau-né le cathétérisme dt et ghc peut être réalisé par voie ombilicale artérielle ou veineuse.
 L’abord vasculaire
o Se fait par voie percutanée selon la technique de Seldinger : ponction à l’aiguille ou au cathlon, mise en
place d’un guide métallique souple dans la lumière du vaisseau sur lequel est placé un introducteur à
valve ou Désilet.
o Le choix de l’introducteur dépende de :
l’âge du patient, la voie d’abord, la nature de l’examen et le type de sonde employée.
o L’administration d’un bolus IV de 3000 à 5000 UI d’héparine
− Après mise en place du désilet pour le cathétérisme droit fémoral et gauche artérielle radiale
− Afin de réduire la fréquence des complication.

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D. Choix de sonde
 Les sondes destinées à l’injection d’un volume important de produit de contraste en un temps très court
doivent résister aux pressions nécessaires sans éclater et rester en place relativement immobiles pendant
l’injection.
 Cela n’est possible qu’avec des sondes ayant des trous latéraux à leur extrémité distale.
 Les angiocardiographies sélectives auriculaires et ventriculaires droites et gauches et artérielles
pulmonaires ou aortiques, sont habituellement réalisées aujourd’hui avec des sondes en « queue de
cochon », 5 F, 6 F ou 7 F.
 Ces sondes munis de nombreux trous latéraux dans leur extrémité distale, résistent aux fortes pressions
d’injection ce qui permet le passage d’une grande quantité de PC en un temps très court tout en restant
immobile.

E. Réalisation :
 Cathétérisme droit :
 La sonde est rincée et purgée au sérum salé hépariné puis introduite avec ou sans guide et est poussée
sous contrôle radioscopique jusqu’aux cavités cardiaques.
 Il permet d’atteindre l’OD, le sinus coronaire, le VD, et les artères pulmonaires.
o L’orifice tricuspide est franchi en faisant tourner la sonde en J dans l’OD.
o Le passage dans l’infundibulum pulmonaire et le tronc de l’artère pulmonaire se fait par rotation
antihoraire de la sonde.
 Cathétérisme gauche :
 La sonde est introduite sur un guide souple est poussée par voie rétrograde sous contrôle radioscopique
jusqu’aux cavités cardiaques.
 Il permet d’atteindre, l’aorte, les artères coronaire, les troncs supra-aortique, le VG et parfois l’OG.
o Les sigmoïdes aortiques sont franchi par formation d’une grande boucle antérieure par le guide.
o Certains trajets peuvent être anormaux.
 Cathétérisme trans-septal de ROSS :
 Après ponction de la veine fémorale, on pousse jusque dans l’oreillette droite une sonde préformée dont
l’extrémité est recourbée pour faciliter son passage ultérieur dans le ventricule gauche.
 On introduit ensuite dans la sonde une longue aiguille fine qui présente un index externe, qui donne la
direction de l’extrémité distale incurvée.
o En dirigeant cet index, en arrière et à gauche, selon un angle de 45° avec le plan horizontal, on
recherche, aiguille rentrée, le contact septal au niveau de la fosse ovale.
o Lorsque les battements transmis à l’aiguille sont nettement perçus, on pousse doucement l’aiguille
qui perfore le septum et on fait glisser sur l’aiguille la sonde qui passe de l’oreillette droite dans
l’oreillette gauche.
 Après avoir retiré l’aiguille, la sonde est poussée dans le ventricule gauche

NB :
Au cours d’une procédure d’angiocardiographie, l’enregistrement des courbes de pression de différentes
cavités cardiaques et vx est systématique avant l’opacification des cavités et vx,
Ceci est obtenu par le raccordement d’une tête de pression à la sonde qui permet la visualisation des
courbes et chiffres de pression.
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F. Volume et vitesse d’injection, lieu d’injection et incidence
 Pour obtenir une opacification sélective des cavités des vaisseaux du cœur suffisante pour analyser les
structures et établir un diagnostic d’une cardiopathie, il faut délivrer un certain volume de produit de
contraste en un temps limité.
 Cela n’est possible qu’avec un injecteur approprié, qui permet de choisir la vitesse d’injection, en ml/s,
et le volume total.
 Ces machines fixent la pression nécessaire pour assurer le débit voulu et le délai de montée de la
pression, qui favorise la stabilité de la sonde et une pression maximale à ne pas dépasser.
 Les cathéters :
o 5 F permettent des débits maximaux autour de 12 ml/s,
o Les 6 F autour de 20 ml/s, et
o Les 7 F, 30 ml/s.
 Le lieu de l’injection du produit de contraste et l’incidence des rayons X sont choisis en fonction de la
cardiopathie et du diagnostic recherché.
o Pour l’étude des sténoses, l’injection se fait dans la cavité située en amont ;
o Pour l’étude des régurgitations, l’injection se fait dans la cavité d’où celle-ci provient.
o L’analyse des anomalies, propres à une cavité ou un vaisseau, se fait par l’injection du produit de
contraste dans la cavité ou le vaisseau intéressé.
 L’angiocardiographie sélective artérielle pulmonaire est réalisée essentiellement pour étudier :
o L’arbre vasculaire pulmonaire, dans les cas de rétrécissement pulmonaire, d’htap ou d’embolie
pulmonaire ;
o Les veines pulmonaires, surtout dans les cas de retour veineux pulmonaire anormal ;
o L’oreillette gauche ;
o La valve mitrale
Ventriculographie gauche OAD 30 et OAG 50 – 60
Mieux visualiser une fuite mitrale OAG 60-70
Etude VD et Tricuspide Ventriculographie droite réalisé en OAD 15-45
Visualisation VM ; oreillettes, VD et VG OAD 30-45
VM et l’OG sont visible Opacification du cœur droit ou de l’AP
Valve pulmonaire OAG 15 + CC 45
Angio sus sigmoidienne a la recherche fuite aortique OAD 20 – 30
Confirmer une CIA avec un shunt de gauche à droite OAG+30° à +45° Cr -45°.

Angiographie Dose (ml) Débit injection ml/s


VD 35-45 10 – 15
VG 35-45 10 -15
Aorte 30-60 15-30
AP 30-60 15-30

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G. Produit de contraste
 De nombreuses substances ont été utilisées dans le passé pour opacifier les cavités et les vaisseaux du coeur.
o Ces substances doivent être bien tolérées, stables, solubles dans l’eau et non toxiques.
o Les produits de contraste radiologiques employés aujourd’hui sont :
− Surtout des composés « non ioniques, peu visqueux et d’osmolalité faible, relativement bien
tolérés par l’organisme, monomères triiodés,
− Qui contiennent autour de 300-350 g d’iode par litre et
− Dont l’osmolalité se situe autour de 800 mosm/kg type omnipaque* ultravist*
 Les effets adverses des produits de contraste sont à la fois locaux et généraux.
 Effets locaux
o L’angiocardiographie veineuse ou sélective ou auriculaire, ventriculaire, artérielle pulmonaire ou
aortique, est généralement bien supportée ;
o Elle s’accompagne d’une sensation de chaleur brève de quelques secondes qui progresse comme une
vague, du coeur vers les extrémités
− Et qui entraîne une céphalée et une impression douloureuse fugace à la pointe des doigts et parfois
même de l’anus.
− Si la céphalée est violente, elle peut être apaisée en posant sur le front un champ humecté avec de
l’eau froide ; recommander au malade de respirer calmement, de tousser un peu.
o L’injection du produit de contraste dans le ventricule droit ou l’AP peut déclencher des quintes de toux.
o L’angiocardiographie veineuse ou sélective droite s’accompagne d’un accroissement des pressions
droites.
o L’injection du produit radio-opaque dans les ventricules donne souvent lieu à des extrasystoles.
o L’opacification du ventricule gauche entraîne
− Généralement une diminution de la pression systolique ventriculaire et artérielle, à cause de l’effet
dépresseur du produit de contraste sur le myocarde et de la vasodilatation périphérique.
− La pression télédiastolique ventriculaire gauche, capillaire pulmonaire et artérielle pulmonaire
s’accroissent.
− La fréquence cardiaque augmente.
− Le débit cardiaque s’accroît généralement pour atteindre un maximum vers la deuxième minute de
l’angiocardiographie pour revenir à la situation initiale après 15 à 20 minutes.
o Chez les malades ayant une atteinte sévère de la fonction cardiaque, l’angiocardiographie sélective peut
donner lieu à
− Une inefficacité cardiaque avec choc, ou à Un œdème aigu du poumon grave.
 Effets généraux :
o Les réactions du type « anaphylactoïde »
− Incluent des événements mineurs, tels qu’éternuements, réactions papuleuses localisées, angio-
œdème, urticaire ou érythème généralisé,
− Ou des faits plus graves tels qu’un bronchospasme, un oedème de la glotte ou un collapsus
cardiovasculaire pouvant être létaux.
▫ Dans ces cas, il faut remplir le patient avec du Plasmiont ou du Plasmagelt désodé,
▫ Administrer de l’oxygène et de l’atropine et
▫ Si nécessaire de l’adrénaline, 0,1 à 0,2 mg IV et des vasopresseurs, Dobutrex, de 2 à 10
lg/kg/min selon les besoins.

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o La néphrotoxicité des PC est très discutée.
− Les risques d’anurie sont mineurs ;
− Plus fréquente chez les patients âgés, déshydratés, ou ayant une insuffisance cardiaque, un diabète,
une hypertension artérielle ou une insuffisance rénale préalable avec une clairance de la créatinine
inférieure à 20 mL/min.
− L’anurie, généralement régressive, peut parfois exiger une dialyse.
− Il faut chez certains patients limiter la quantité d’iode injectée et favoriser l’hydratation en
permettant l’absorption précoce de liquides après l’exploration.

III. INDICATION / CONTRE-INDICATION / COMPLICATIONS

A. Indication :
♥ L’évolution extraordinaire des moyens de diagnostic non invasifs a considérablement réduit le besoin
d’effectuer une exploration hémodynamique et angiographique pour établir le diagnostic ou l’importance
des cardiopathies
♥ Il en reste toutefois, un certain no. d’indications qui peuvent être schématiquement résumées comme suit :
1 - Dans les cardiopathies valvulaires acquises,
 Valvulopathie dont l’évaluation est difficile par l’échographie ou les valvulpathies complexes afin de les
évaluer pour : poser l’indication opératoire et préciser les modalités du geste chirurgical.
 Au cours d’une valvuloplastie mitrale percutanée
2 - Au cours des cardiopathies congénitales,
 Il est habituellement nécessaire d’y recourir, afin de :
o Préciser la malformation dominante, de rechercher des lésions associées et d’en apprécier le
retentissement,
o Tous les éléments nécessaires pour juger de la possibilité d’un traitement chirurgical et en
déterminer le moment et le type.
 Fermeture d’un CIA, CAP
3 – Dans les Cardiomyopathie primitives ou secondaire :
 Beaucoup plus souvent dans le cadre de l’évaluation de la pathologie et le choix thérapeutique que dans
un but diagnostique.
 En particulier pour faire la distinction entre HTAP pré et post capillaire
4 – En cas d’HTAP ou Insuffisance Cardiaque
 Dont l’origine est peu claire, une exploration hémodynamique est indiquée afin de ne pas méconnaître
une lésion chirurgicalement curable.
 Bilan de sévérité des HTAP sévère.
5 – Pathologie péricarde :
 Recherche d’une constriction péricardique et / ou d’adiastolie du VD
 Distinction entre péricardite constrictive et restrictive
6- Après chirurgie cardiaque,
 Lorsque ses résultats semblent imparfaits, un cathétérisme pourra : révéler le dysfonctionnement d’une
prothèse valvulaire, une altération de la fonction ventriculaire méconnue en préopératoire.
 Dans le bilan d’une transplantation cardiaque
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B. Contre-indications
 En dehors du refus de patient, il n’existe pas de contre indication absolue à la technique
 Les contre indication relatives sont toutes les conditions qui augmentent les risques et qui peuvent être
corrigé
– Fièvre, infection
– Anémie
– Insuffisance rénale sévère
– TP inférieure à 30%
– Troubles de rythme

C. Incident et accidents
♥ La bonne tolérance du cathétérisme cardiaque a permis l’élargissement de ces indications, certains accidents
sont par contre à craindre et à prévenir.
 Locaux :
- Spasme veineux ou artériel
- Hématome/ thrombose au point de ponction
- Faux anevrysme
- Pneumothorax, hémothorax ou hémopéritione
- Dissection rétrograde de l’aorte
 Cardiaque :
– Tbs de rythme ( ES ; Tachycardie ou fibrillaitonvenriculaire)
– Tbsconductif
– Perforation cardiaque
– Hémopéricarde ; hémomédiastin
– OAP
 Généraux :
- Décès ; très rare
- Réaction vagal : compication la plus fréquente : remplissage et atropine.
- Réaction anaphylactique au produit de contraste.
- Septicémie surtout lors d’un cathétérisme droit
- Embolie coronarienne ou cérébrale cruorique,calcaire ou gazeuse nécéssitant une oxygénothérapie
hyperbarre en urgences

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IV. RESULTATS NORMAUX

A. Analyse qualitative permet d’étudier :


 La taille des cavités :
o Aspect dilaté, restriction,
o Amputation d’une partie de la cavité par une tumeur ou un thrombus
 Cinétique des cavités : normale, hypokinésie, akinésie, dyskinésie
 Existence et importance de fuite valvulaire
 Siège et taille des gros vaisseaux (aorte, tronc pulmonaire, artères pulmonaires)
 Présence de structures anormales :
o Shunts intracardiaque, canal artériel,
o Fistule et autres cardiopathies congénitales,
o Sténose pulmonaire, infundibulaire.
 Variantes de la normale

B. Analyse quantitative :
 Permet d’estimer à partir de projections planes des cavités ventriculaires en une ou plusieurs incidences :
o Les volumes cardiaques
o Quantifier la cinétique segmentaire et globale ventriculaire
 Estimation des volumes cardiaque et la FE :
o Se base sur un modèle mathématique qui assimile le VG à une ellipsoïde de révolution complet ou
tronqué.
o Les méthodes de Dodge et de Simpson mono et biplan sont les plus souvent utilisées pour estimer
les volumes du VG.
o L’estimation du VTD ( 70ml/ m².) et VTS (25mL/ m².) du VG permet d’obtenir
▫ Volume d’éjection systolique,VES……………………………… = VTD –VTD = 45mL/ m².
▫ Fraction d’éjection FEVG ………………………………………..= VES/ VTD = 67%
▫ Vitesse moyenne de raccourcissement circonférentiel du VG Vcf = VESx VTD/TE
Où TE l’est le temps d’ejection du VG en secondes.
▫ Fraction de régurgitation FR ……………………………………..= VES –VSE/VES
− En présence d’une régurgitation (IM ou IAo), le VES chassé par le ventricule est
supérieur au volume systolique effectif ,VSE
− VSE = Quotient du débit Q par la fréquence cardiaque f, …VSE = QC/f.

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