Cours de PGC
Cours de PGC
Cours de PGC
GENERAUX DE CONSTRUCTION
Chapitre 7: Dalles
7.1. Planchers en B.A.
7.2. Toitures - terrasses et leur étanchéité
Monographie N°10 : Les principes de réalisation de quelques
ouvrages de franchissement et de transport
Chapitre 8 : Routes et ponts
8.1. Les ponts.
8.2. Les routes.
Monographie N°11 : Les principes de réalisation d’ouvrages
ouvrages hydrauliques
Introduction (suite)
Chapitre 9 : Châteaux d’eaux
11.1. Description
11.2. Techniques de réalisation
Méthodologie
Cours magistral
Travaux pratiques
Sorties pédagogiques
Evaluation
Un premier devoir: 30%
Un deuxième devoir: 40%
Travaux pratiques en groupe et participation aux cours : 30%
Introduction (suite et fin)
Références bibliographiques
1. Gérard Baud. La construction de bâtiment : maçonnerie et
béton armé. Dunod Paris Lausanne 1976
2. Guide des Métiers du Bâtiment. Le Génie-civil. NATHAN.
3. H. RENAUD ; F. LETERTRE. Technologie du bâtiment:
Gros-œuvre, ouvrages en béton armé. Les éditions
FOUCHER 128, rue de Rivoli – PARIS 1er
4. Maurice NOVERRAZ. Technologie du bâtiment: Tome 1 Le
Gros-œuvre. Deuxième édition. Editions Eyrolles 61,
boulevard saint-Germain – 75005 Paris,1979.
Monographie N°1
Les étapes du processus de construction et les
différents intervenants.
CHAPITRE I:
LES PROBLEMES DE LA CONSTRUCTION
1.5 Le Projet
Le Projet, c’est l’étude approfondie des constructions
à bâtir, de la voirie et des espaces verts ainsi que
l’éclairage des réseaux d’écoulement et
d’alimentation. Le dossier complet doit permettre
l’obtention du permis de construire, l’exécution des
soumissions et marchés, l’étude technique des parties
essentielles, c’est aussi le document de base en cas
de contestation.
CHAPITRE I:
LES PROBLEMES DE LA CONSTRUCTION (suite)
c) Responsabilité de l’entreprise.
L’implantation est à la charge de l’entreprise engage
sa responsabilité.
L’entrepreneur doit vérifier que les dimensions portées
sur les plans concordent avec les constatations
effectuées sur le terrain.
Le piquetage ayant servi à l’implantation est laissé sur
le terrain afin d’en permettre la vérification
contradictoire.
Chapitre 2. : Réalisation pratique (Fin)
3.5 Foisonnement.
Le foisonnement des terres est l’augmentation de
volume consécutive à l’ameublissement provoqué
lors de l’extraction. En effet, ordinairement, la terre
extraite d’une fouille occupe un volume supérieur au
cube de l’excavation.
Chapitre 3 : Terrassement (suite)
3.2. Remblais.
On exécute les remblais par superposition de couches
0,20 à 0,40 d’épaisseur, damées et serrées, de manière à
réduire dans de fortes proportions le foisonnement du
matériau rapporté.
Pour obtenir un compactage intéressant sur de grandes
surfaces, il est indiqué de procéder à un cylindrage
intensif des diverses couches.
Chapitre 3 : Terrassement (fin)
6.2. Poutres
C’est l’élément rectiligne ou curviligne dont deux
dimensions sont très petites par rapport à la troisième. On
distingue différentes sortes de poutre : (fig.8.1.)
Chapitre 6 : Structures – ossatures (suite)
7.1. Planchers en BA
Ils déterminent le niveau d’une construction. Ils
s’appuient sur les éléments porteurs, murs de façade,
refends transversaux et murs pignons, poutres de
rive, intérieures, poteaux murs et poutres. Ils servent
de plate-forme porteuse pour l’étage considéré, de toit
pour l’étage sous-jacent, d’élément de stabilité.
2. Les bitumes.
C’est des hydrocarbures qui sont parfois extraits de
l’asphalte naturel ou proviennent du traitement industriel du
pétrole par distillation fractionnée
Chapitre 7 : Dalles (suite)
Ils résistent aux eaux agressives. Ils sont solubles dans le
sulfure de carbone. Ils sont pâteux au voisinage de 50°C
et coulent vers 100°C
Il possède un pouvoir adhésif et cohésif en relation avec
leurs propriétés colloïdales.
+ Différents produits.
1.Les feutres bitumés imprégnés qui reçoivent une seule
couche de bitume sur chaque face. L’âme est constituée
par un feutre à base de coton, jute, amiante, verre.
Chapitre 7 : Dalles (suite et fin)
9.1 Définition.
Un château d'eau est une construction souvent en béton
armé, destinée à entreposer l‘eau, et placée en général sur
un sommet géographique pour permettre de la distribuer
sous pression.
L’eau est acheminée du point d'eau au réservoir. Si
l'altitude du point d'eau est inférieure à l'altitude du
réservoir, on utilise des pompes pour relever l'eau jusqu'à
ce dernier. L’eau est ensuite envoyée dans un réseau
gravitaire qui va assurer son acheminement vers
l’ensemble des habitations.
Chapitre 9 : Châteaux d’eau
9.2 Description
Structurellement, le château d’eau est donc une cuve
surélevée, placée sur un support. Il faut y ajouter la
fondation sous ce dernier, importante en raison de la
masse de l’ouvrage.
La protection des tuyauteries impose de les loger dans
une enceinte fermée, du sol à la cuve ;
ce fût participe souvent au soutien du réservoir. Il
comporte des planchers régulièrement espacés.
Chapitre 9 : Châteaux d’eau
L’obligation de couverture minimale de 1 m de terre des
canalisations extérieures implique, pour leur pénétration
dans l’ouvrage, l’existence d’une cave, pour que la fondation
atteigne le sol résistant. Un escalier en colimaçon ou parfois
des échelles, permet l’accès à tous les niveaux, de la cave
en haut de la cuve.
Chapitre 9 : Châteaux d’eau
Pour la réalisation d’une articulation seule les âmes des profilés sont
attachées. Pour la réalisation d’un encastrement les âmes et les semelles
des profilés sont attaché
Chapitre 10: Construction Métallique
Chapitre 10: Construction Métallique
rivets :
Selon le diamètre du rivet, la pose est effectuée à chaud ou à froid. Le trou réalisé
par poinçonnage est alésé pour que le rivet bouche entièrement le trou lors du
refoulage (pas de jeu).
Un rivet peut fonctionner en traction, en cisaillement ou en traction et cisaillement. Il
faut aussi éviter l’ovalisation du trou sous l’effort exercé par le corps du rivet sur les
pièces assemblées
Assemblages par boulons ordinaires
Les boulons non précontraints fonctionnent de la même façon que les rivets, cependant il y
a un jeu à rattraper avant cisaillement des boulons (le diamètre du boulons est inférieur au
diamètre du trou pour assurer son montage)
Chapitre 10: Construction Métallique
Chapitre 10: Construction Métallique
• Assemblages par boulons à serrage contrôlé ou précontraints ou à haute résistance
L’assemblage fonctionne par frottement. Les pièces sont plaquées l’une sur l’autre par
l’effort de précontrainte du boulon. Le boulon fonctionne toujours en traction
Chapitre 10: Construction Métallique
• Assemblages par soudure
Ils sont réalisés en atelier et destinés aux liaisons permanentes. On réalise une
continuité de matière entre les éléments à assembler.
Sont systématiquement soudés :
les organes de liaisons (goussets ; platines, jarrets) ;
les profils reconstitués, les aboutages des profilés.
Deux procédés de soudages sont utilisés :
la soudure autogène (chalumeau) ;
la soudure à l’arc (procédé le plus courant)
Chapitre 10: Construction Métallique
• Poutre
Chapitre 10: Construction Métallique
• Plancher
Chapitre 10: Construction Métallique
• Liaison Béton Portique en fondation
Chapitre 10: Construction Métallique
• Liaison Béton Portique en fondation
Chapitre 10: Construction Métallique
• Stabilité des structures
Un bâtiment est soumis à des actions horizontales comme
l’action du vent, les effets indirects d’action comme la
neige, les actions variables comme les chocs, les efforts de
freinages ou d’accélérations (ponts roulants), et les actions
sismiques.
Les écarts inévitables entre l’étude théorique (géométrie
parfaite, liaisons idéales) et l’exécution, les tolérances de
fabrication et d’implantation, peuvent engendrer des
excentrements d’efforts et des défauts d’aplomb
Chapitre 10: Construction Métallique
Stabilité d’une structure plane
La stabilité d’un portique peut être obtenue par deux
types de conception :
bâtiments à nœuds fixes :
• les barres sont articulées entre elles ;
• la stabilité est réalisée par un élément en traction :
barre de contreventement
Bâtiment à nœuds déplaçables :
• Les barres sont encastrées ;
• La stabilité est assurée par les barres elles-mêmes
Chapitre 10: Construction Métallique
- La stabilité des pignons et la stabilité longitudinale sont assurées par des palées
de stabilité (croix de St André).
- La stabilité transversale en partie courante (sauf pignons) est réalisée par des
portiques auto stables (structures à nœuds déplaçables).
- La stabilité horizontale est réalisée par un cadre en treillis au niveau de la toiture
non déformable.
Chapitre 10: Construction Métallique
Remarques :
- la palée de stabilité dans le sens longitudinal est généralement unique et
placée au milieu du bâtiment pour permettre la libre dilatation thermique du
bâtiment ;
- un remplissage en maçonnerie entre les poteaux métalliques, dans le sens
longitudinal et/ou transversal réalise un contreventement ;
- un plancher B.A (ou bac acier collaborant) permet d’assurer la stabilité
horizontale du bâtiment ;