2de COLLECTION GADO
2de COLLECTION GADO
A B
x’ x
Les mouvements des deux voitures sont étudiés dans un repère d’origine A. La position de la voiture
V1 par rapport à A à un instant t quelconque est donnée par l’expression : x1 = 20 t.
De même, la position x2 de la voiture V2 par rapport à A à un instant t a pour expression :
x2 = - 20t + 12400.
1. Calculer la position par rapport à A de chaque voiture à l’instant t = 8 h 4 min.
2. Calculer la distance qui sépare les deux voitures à 8 h 4 min.
3. Déterminer l’heure et le lieu du croisement des deux voitures.
EXERCICE 2: P12.3p.120:
Le mouvement d’un point mobile M est étudié dans un repère (O, i⃗ , ⃗j ). La position du point mobile M
est déterminé à chaque instant par la connaissance de son abscisse x et de son ordonnée y. Le tableau
ci-après est obtenu en relevant les coordonnées x et y du point M à différents instants :
t (s) 0 1 2 3 4 5
x (m) -2 0 2 4 6 8
y (m) 1 2 3 4 5 6
ACTIONS MECANIQUES
EXERCICE 1 : P9.1p.96:
Soit une force ⃗
F d’intensité 3 N. La force ⃗ F a une direction horizontale et est dirigée vers la droite.
On considère une autre force ⃗ F
'
d’intensité 4 N, de direction verticale (sens du haut vers le bas) et
ayant le même point d’application que la force ⃗ F.
⃗
1. Représenter les forces F et ⃗
F.
'
⃗
F
'
3. Donner les caractéristiques de la force ⃗
R2 = ⃗
F- .
2
Echelle : 1 cm 1 N.
EXERCICE 2: P9.2p.96:
Deux forces ⃗ F 1 et ⃗
F 2 d’intensités respectives 100 N et 150 N sont appliquées en un point O d’un
solide. Les forces ⃗ F 1 et ⃗
F 2 font entre elles un angle que l’on peut modifier.
Echelle : 1 cm 50 N.
1. pour (⃗F 1, ⃗
F 2) = = 120°, déterminer graphiquement l’intensité de :
F =⃗
a) la force ⃗ F 1+ ⃗
F 2;
b) la force ⃗ F +⃗
F telle ⃗ F1 + ⃗
F 2 = 0⃗ ;
' '
⃗
F2
F =⃗
c) la force ⃗ ''
F1 + .
2
2. Pour = (⃗F 1, ⃗
F 2) = 0°, déterminer :
R=⃗
a) les caractéristiques de la force ⃗ F1 + ⃗
F 2;
b) les caractéristiques de la force ⃗
R telle que ⃗R +⃗F1 + ⃗
F 2 = 0⃗ .
' '
3. pour = (⃗
F 1, ⃗
F 2) = 180°, déterminer les caractéristiques de la force ⃗
R1 = ⃗
F 1+ ⃗
F 2.
EXERCICE 3: P9.3p.96:
1. Qu’est-ce qu’une force ?
2. Citer deux exemples dans lesquels une force provoque la déformation d’un objet.
3. Un anneau est soumis à l’action de trois forces ⃗ F 1, ⃗
F 2 et ⃗
F 3. La force ⃗ F 1 est horizontale et dirigée
de la gauche vers la droite. Les intensités respectives des forces ⃗ F 1 et ⃗
F 2 sont de 40 N et 30 N.
Echelle : 1 cm 10 N.
Déterminer la direction, le sens et l’intensité de la force ⃗F 3 qui maintient l’équilibre de l’anneau dans
les cas suivants :
a) ⃗
F 1 et ⃗
F 2 sont perpendiculaire ;
b¿ ⃗F 1et ⃗
F 2 font un angle de 120° ;
c) ⃗
F 1 et ⃗
F 2 font un angle de 180°.
EXERCICE 4 : P.9.4p.96:
La longueur à vide d’un ressort est ℓ0 = 30 cm. Lorsqu’on accroche à ce ressort un objet de masse
m = 200 g, sa longueur devient ℓ1 = 34 cm.
On donne : g = 9,8 N. kg-1.
1. Calculer l’allongement et la longueur du ressort lorsque la masse m est multipliée par deux, puis par
trois.
2. Calculer la valeur de la masse m0 accrochée au ressort lorsque sa longueur est de 36 cm.
3. La limite d’élasticité du ressort est atteinte lorsque sa longueur finale est le double de sa longueur à
vide. Calculer la masse maximale M que le ressort peut supporter sans risque.
EXERCICE 5: P9.5p.97:
La longueur à vide d’un ressort est ℓ0 = 20 cm. on accroche à ce ressort des objets de masses
différentes. Pour chaque objet accroché, on mesure la longueur du ressort. Après calcul de la tension
du ressort correspondant à chaque masse, on dresse le tableau suivant :
ℓ en cm 20 21 22 23 24 25
T en N 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1
x en m
EXERCICE 6: P9.6p.97:
Un fragment de roche supposé homogène a une masse de 200 g. immergé dans l’eau, il paraît ne plus
avoir pour masse que 100 g. Calculer :
1) la poussée qu’il subit ;
2) son volume.
EXERCICE 7 : P9.7p.97:
Une sphère de laiton pèse 0,15 kg. On l’immerge dans l’eau et son poids apparent est alors de 1,2 N.
1. La boule est-elle pleine ou creuse ?
2. Si elle est creuse, quel est le volume de la cavité intérieure ?
On donne : masse volumique du laiton : 8,4 g/cm3.
EXERCICE 8: P9.8p.97:
Un morceau de liège flotte à la surface de l’eau. Son volume est 50 cm3, son poids volumique 2,5
N/dm3.
1. Trouver la poussée qu’il subit de la part du liquide.
2. Quel est le volume de la partie qui émerge ?
3. On place sur le morceau de liège, un disque de fer pesant 20 g. Quel est le volume de la partie qui
émerge ?
On donne : g = 10 N/kg ; poids volumique de l’eau : 10 N/dm3.
dd
EXERCICE 1 : P10.1p.101:
Une bille d’acier de masse m = 400 g est attachée en O à un fil de nylon. Ce fil est fixé en un point A à
un support. La bille est attirée par un aimant qui exerce sur elle une force magnétique horizontale. A
l’équilibre, le fil fait un angle de = 30° avec la verticale (voir figure ci-dessous).
Aimant
EXERCICE 3: P10.3p.101:
1. On considère le dispositif schématisé à la figure 1 où OA, OB et OC sont des fils inextensibles et de
masses négligeables. Le poids de la masse m est égale à 10 N. Les fils OA et OB font avec la verticale
des angles égaux à 30°.
Déterminer graphiquement puis par le calcul, les tensions des fils OA, OB et OC.
2. Le système est modifié comme le montre la figure 2.
a) Montrer que la tension du fil OC ne change pas.
b) Déterminer graphiquement puis par le calcul, les tensions des fils OA et OB.
Echelle : 1 cm 5 N.
A B A 60° 30° B
O O
C C m
m
Figure 1 Figure 2
EXERCICE 4 : P10.4p.102:
On considère le dispositif schématisé ci-dessous. (R) est un ressort de masse négligeable fixé en A et
dont la longueur à vide est ℓ0 = 36 cm. Le ressort s’allonge de 1 cm sous l’action d’une force de 0,5 N.
Le corps B est une bille de masse inconnue fixée à l’extrémité libre du ressort.
Le plan incliné sur lequel se trouve le système ressort-bille fait avec le plan horizontal un angle de 30°.
Lorsque la bille est en équilibre sur le plan incliné, la longueur du ressort est ℓ1 = 38 cm.
1. Calculer la tension T du ressort.
2. Déterminer graphiquement l’intensité du poids P de la bille.
Echelle : 1 cm 1 N.
3. En déduire la masse de la bille. On donne : g = 10 N/kg.
4. Quelle serait la longueur du ressort s’il était suspendu verticalement par l’extrémité A et tendu sous
l’action du poids de la bille B ?
(R)
B
30°
EXERCICE 5: P10.5p.102:
1. Une boule métallique est accrochée à un dynamomètre. Le dynamomètre indique 2 N.
a) Quelles sont les forces agissant sur la boule ?
b) Calculer la masse de la boule. On prendra : g = 10 N/kg.
2. La boule suspendue au dynamomètre est immergée dans l’eau. Le dynamomètre indique 1,8 N.
a) La masse de la boule a-t-elle varié ?
b) Comment appelle-t-on la force responsable du changement de l’indication du dynamomètre ?
c) Donner les caractéristiques de cette force.
= 30°
Figure 1 Figure 2
a) Quelles sont les forces appliquées au solide ? Les représenter sur un schéma.
b) Ecrire la condition d’équilibre du solide.
c) Déterminer la tension du fil et la réaction du plan.
2. Le fil fait à présent un angle = 20° avec le plan incliné (voir figure n°2 ci-dessus).
a) Représenter les différentes forces appliquées au solide.
b) Déterminer l’intensité de la réaction du plan sur le solide et celle de la tension du fil.
On prendra : g = 10 N/kg.
EXERCICE 9: P10.9p.104:
On réalise l’équilibre des corps C1 et C2 comme le décrit la figure ci-dessous. On néglige les forces de
frottement dans tout le problème et on prendra g = 10 N/kg.
(R1) P
C1
A = 30° C2
1. C1 a pour masse M = 2,8 kg. Déterminer les intensités de ⃗ F et de ⃗ R respectivement force qui tend à
ramener C1 en A et réaction du plan incliné. On suppose que ⃗ P,⃗ F et ⃗R sont concourantes au centre de
gravité de C1.
2. Une force ⃗ F 1est exercée par le ressort (R1) pour réaliser l’équilibre de C1. La constante de raideur k
de (R1) est 280 N. m-1.
a) Ecrire la relation vectorielle entre ⃗
P,⃗ R et ⃗
F 1.
b) Déterminer l’allongement de (R1).
3. Soit ⃗
T la poussée d’Archimède qui agit sur C2 immergé. On donne T = 6 N.
a) Ecrire la relation vectorielle entre le poids de C2, la force ⃗
F 2 du fil et la poussée ⃗
T à l’équilibre.
b) Déterminer la masse m de C2.
EQUILIBRE D’UN SOLIDE MOBILE
AUTOUR D’UN AXE FIXE
EXERCICE 1 : P11.1p.109:
On considère une barre homogène AB de masse m = 4 kg, de longueur ℓ = 60 cm, mobile autour d’un
axe horizontal passant par un point O tel que OA = 10 cm.
Cette barre est maintenue en équilibre grâce à un ressort fixé en B et à un fil soutenant un corps de
masse m1 = 1 kg (voir figure n°1).
Les frottements autour de l’axe sont négligés. On prendra g = 10 N/kg.
1. Faire un schéma clair en précisant toutes les forces appliquées à la barre et au corps de masse m1.
2. Montrer que la tension ⃗
T du fil est égale au poids du corps de masse m1.
3. Enoncer le théorème des moments. L’utiliser pour calculer l’intensité T’ de la tension du ressort.
4. Déterminer la réaction ⃗
R exercée par l’axe en O.
ressort verticale
O O
A B A B
fil fil
m1 m1
Figure n°1 Figure n°2
5. On incline le ressort d’un angle = 60° par rapport à la verticale (voir figure n°2). Déterminer la
nouvelle intensité T '' du ressort.
EXERCICE 2: P11.2p.110:
Une barre homogène de poids P0 = 39,2 N et de longueur ℓ = 60 cm, est mobile autour d’un axe
horizontal passant par un point O tel que OA = 10 cm. Cette barre est maintenue en équilibre
horizontal grâce à un fil passant dans la gorge d’une poulie (voir figure n°1) et soutenant un solide de
masse M.
poulie
O O
A B A
B
P P’
Figure n°1 Figure n°2
1. Quelle doit être la valeur de la masse M du solide P pour que l’équilibre soit réalisé ?
2. On incline le fil d’un angle = 30° par rapport à l’horizontale (voir figure n°2).
Quelle doit être la valeur de la masse M’ du solide P’ pour que l’équilibre soit réalisé ?
Le fil est inextensible et de masse négligeable ; la poulie est de masse négligeable.
On prendra g = 9,8 N/kg.
EXERCICE 3: P11.3p.111:
Une balance romaine est constituée d’une barre rigide CD horizontale de masse négligeable suspendue
en un point O. On fixe à l’extrémité C de la barre un crochet auquel on peut suspendre le corps à
peser. En un point B, entre O et D, est suspendu un contrepoids (S) de masse m’ = 1 kg. Le
contrepoids peut coulisser entre O et D.
On donne OC = 5 cm et OD = 50 cm (voir schéma).
O B D
C
(S)
EXERCICE 4 : P11.4p.111:
Une barre métallique homogène, de longueur ℓ = 1,2 m, de section constante est en équilibre autour
d’un axe passant par son centre de gravit O.
On donne : g = 10 N/kg.
1. On suspend un corps de masse m à une distance OA = 50 cm de l’axe de rotation O. Pour rétablir
l’équilibre, il faut suspendre une masse m’ = 600 g à une distance OC = 40 cm de l’axe de rotation
(voir figure n°1).
Calculer la valeur de la masse m.
C O A D O A
m’ m m’ m
Figure n°1 Figure n°2
2. On immerge la masse m dans l’eau. Pour rétablir l’équilibre, il faut placer le corps de masse m’ à
une distance OD = 25 cm de l’axe de rotation (voir figure n°2).
a) En déduire les caractéristiques (sens, direction et intensité) de la force exercée par l’eau sur le corps
de masse m. Comment appelle-t-on cette force ?
b) On enlève le corps de masse m de l’eau. A quelle distance OA’ de l’axe de rotation faut-il le
suspendre pour rétablir l’équilibre, le corps de masse m’ étant D ?
EXERCICE 5: P11.6p.112:
Une barre métallique cylindrique homogène AB de poids P = 12 N est mobile autour d’un axe
horizontal .
G ()
A O
EXERCICE 6: P11.7p.113:
Un levier est assimilable à une tige AOB formée de deux parties rectilignes OA et OB faisant entre
elles un angle de 120° (le levier est mobile autour de O). La masse du levier est négligeable.
On donne : OA = 1 m ; OB = 0,2 m).
1. La partie OB est horizontale. En B agit une charge de poids ⃗ P1 d’intensité P1 = 500 N qu’on désire
soulever. Quelle est l’intensité de la force verticale à appliquer en A pour soulever la charge placée en
B?
2. La partie OA ayant tourné de 30° vers le bas, établir la relation qui lie les intensités des forces
verticales appliquées en A et B pour que le levier reste en équilibre. Conclure.
120°
B
O
QUANTITE DE MOUVEMENT
EXERCICE 1 : P13.1p.124:
On dispose sur une table parfaitement lisse et horizontale, deux solides S1 (masse m1 ; centre d’inertie
G1) et S2 (masse m2 ; centre d’inertie G2) reliés par un fil et par un ressort de masse négligeable (voir
figure). Les deux solides sont initialement immobiles et le ressort est fortement comprimé.
Fil
S1 S2
On brûle le fil. Le ressort se détend brusquement et repousse les solides S 1 et S2 qui se déplacent en
sens inverses sur la même droite.
1.a) Etablir la relation entre m1, m2, V1 et V2 (V1 et V2 étant les vitesses respectives des solides S1 et S2
après répulsion).
b) Calculer V2 sachant que m2 = 2 m1= 200 g et V1 = 2 m. s-1.
2. Dans son mouvement ultérieur à la vitesse V2 précédemment calculée, le solide S2 heurte un solide
S3 initialement immobile, de masse m3 = 200 g. Les solides S2 et S3 s’accrochent. Calculer la vitesse
V3 de l’ensemble (S2, S3) immédiatement après le choc.
EXERCICE 2: P13.2p.124:
Un fusil de masse M = 4 kg tire une balle de masse 15 g. On considère que le fusil est disposé
horizontalement et que le système (fusil-balle) est pseudo-isolé pendant la propulsion de la balle.
La balle sort du fusil à la vitesse v = 600 m. s-1.
Déterminer le sens par rapport à la balle du mouvement du fusil après le tir. En déduire la vitesse V du
fusil.
EXERCICE 3: P13.3p.124:
Sur une table horizontale parfaitement lisse se déplace à la vitesse V0 = 2 m. s-1 un mobile A de masse
m1. Un second mobile B de masse m2 se trouve sur la trajectoire rectiligne du mobile A. Le mobile A
heurte le mobile B initialement immobile. Les vecteurs-vitesses des mobiles avant et après le choc
sont colinéaires.
On donne : m2 = 2 m1 = 400 g.
1. On suppose d’abord que les mobiles s’accrochent au moment du choc. Déterminer la vitesse V de
l’ensemble après le choc.
2. On suppose maintenant que les mobiles ne s’accrochent pas au cours du choc. Après le choc, la
4
vitesse V2 du mobile B vaut m. s-1.
3
Dans quel sens et à quelle vitesse se déplace le mobile A après le choc ?
EXERCICE 4 : P13.4p.124:
Deux solides S1 et S2 de masses respectives m1 = 100 g et m2 = 200 g se déplacent sans frottement sur
une même droite x’x sur une table horizontale parfaitement lisse. Le solide S1 se déplace dans le sens
de la droite x’x à la vitesse V1 = 2 m. s-1. Le solide S2 se déplace dans le sens contraire à la vitesse
V2 = 3 m. s-1.
Les deux solides, se dirigeant l’un vers l’autre, provoquent un choc au cours duquel il y a conservation
du vecteur- quantité de mouvement. Les vecteurs-vitesses des solides avant et après le choc sont
colinéaires.
1. Dans une 1ère expérience, on suppose que les solides s’accrochent au moment du choc. Le centre
d’inerte de l’ensemble est alors animé d’une vitesse ⃗ V . Dans quel sens (par rapport au sens initial du
solide S1) et à quelle vitesse V se déplace l’ensemble (S1 + S2) après le choc ?
2. Dans une 2ème expérience, on suppose que les solides S1 et S2 ne s’accrochent pas après le choc. Le
'
solide S2 rebrousse chemin après le choc à la vitesse V 2 = 0,33 m. s-1.
Dans quel sens et à quelle vitesse se déplace le solide S1 ?
3. Dans une 3ème expérience, le solide S1 lancé à la vitesse V1 = 2 m. s-1 s’immobilise au moment du
choc avec le solide S1 lancé à la vitesse V2 = 0,5 m. s-1.
Dans quel sens et à quelle vitesse se déplace le solide S2 après le choc ?
S1 S2
x’ x
EXERCICE 5: P13.5p.125:
Un gros poisson de 10 kg nageant à la vitesse de 2 m. s-1 avale un poisson étourdi de 2 kg au repos.
1. Quelle est la vitesse du gros poisson juste après ce déjeuner ?
2. Quelle serait la vitesse du gros poisson si le petit poisson fuyait à la vitesse de 1 m. s-1 ?
3. Quelle serait la vitesse du gros poisson avalant le petit poisson, sachant que ce dernier nageait en
direction du gros poisson à la vitesse de 2 m. s-1 ?
L’INTENSITE DU COURANT
ELECTRIQUE
EXERCICE 1 : P1.3p.17:
Soit le circuit représenté ci-dessous :
I
I1 I2 I3
L1 L2 L3
EXERCICE 2: P1.4p.17:
On considère le circuit schématisé ci-dessous.
A
D1 D3
D’
D2
A’ D4
Les intensités des courants dans les dipôles D1, D2, D3, D4 et D’ sont notées respectivement I1, I2, I3, I4
et I’. La mesure des intensités dans les dipôles D’ et D’ donnent I’ = 30 mA et I4 = 190 mA.
L’ampèremètre A indique I = 300 mA.
Déterminer les intensités I1, I2 et I3.
EXERCICE 3: P1.5p.18:
Le circuit représenté ci-dessous est formé de l’association de huit dipôles. Il est alimenté par un
générateur.
1. Combien y a-t-il de nœuds électriques dans ce circuit ?
2. On donne les intensités : I = 3 A, I2 = 2 A, I4 = 1,4 A et I7 = 0,7 A.
Préciser le sens et les intensités des courants I1, I5, I3, I6 et I8 et l’intensité du courant dans la branche
DE.
G I1 H
D1
I2 I3
A F
D2 D3
D8 I8
I D4 I9
B E
I4
D5 I6 D6 I7
I5 D7
J
K C
EXERCICE 4 : P1.6p.18:
On considère suivant :
I5 A C
I6 I3
I7 I2 I4
E
B D I8
I1
I1 I2 I3 I4 I5 I6 I7 I8
0,5 A 1A 0,4 A 0,8 A
EXERCICE 5: P1.7p.18:
On considère le montage suivant :
I2 L2
I1 L1
I3 L3
D1 D2
1. Reproduire le schéma en précisant les nœuds et le sens des courants.
' ' '
2. On donne : I2 = 3.I3 ; I1 = 2. I 1 et I = 3 A. Déterminer I1, I2, I3, I 1 et I 2.
3. Comment sont associées les lampes L2 et L3?
4. Comment sont associés les dipôles D1 et D2 ?
EXERCICE 6: P1.9p.19:
Quelles sont les intensités des courants inconnus dans les circuits ci-dessous :
I4
I2 20
I R
R I2
R
R 120 V 45 90
I1= 1 A R1
R
I2 = 0,5 A R2 10
I3= 1,5 A R3
Circuit 2
Circuit 1
LA TENSION ELECTRIQUE
EXERCICE 1 : P2.5p.25:
On considère le réseau représenté ci-dessous :
D1 D2 D7
P A B E
U1 U2 U7
U U3 D3 U5 D5 U6 D6
D4
N D C F
U4
Les tensions aux bornes des dipôles D1, D2, D3, D4, D5, D6 et D7 sont respectivement notées U1, U2, U3,
U4, U5, U6 et U7.
1. Déterminer les différentes mailles que contient le réseau. Ecrire la relation entre les tensions pour
chaque maille.
2. On donne : U = 12 V, U1 = 2 V, U6 = 2.U7, U5 = 6 V, U4 = 2. U2.
Déterminer U3, U2, U4, U6 et U7.
EXERCICE 2: P2.8p.26:
On mesure la tension U aux bornes d’une batterie à l’aide d’un oscilloscope (voir figure). La
sensibilité verticale est 5 V/cm.
1. On observe un déplacement de la ligne lumineuse de Y 1 = 1,2 cm vers le haut. Quelle est la valeur
de la tension U ?
2. On change la sensibilité verticale ; on prend la valeur 10 V/cm. Quelle est la nouvelle valeur du
déplacement Y2 ?
3. L’écran est gradué de – 4 cm à + 4 cm.
a) Quelle sensibilité verticale doit-on choisir pour avoir le plus grand déplacement de la ligne ?
b) Déterminer la valeur de ce déplacement maximal Ymax.
4. Que se passe-t-il si on inverse les branchements aux bornes de la batterie ?
V/cm1
YA 2 0,5
5 0,2
10 0,1
EXERCICE 3: P2.9p.27:
1. On donne quelques tensions entre les points A, B, C et D d’un circuit électrique : UAB = 45 V ;
UBC = 63 V et UCD = 55 V.
Peut-on donner les potentiels aux points A, B, C et D ? Justifier la réponse.
2. Le point C est relié à la masse. Si cela est possible, calculer les potentiels aux points A, B, C et D.
EXERCICE 4 : P2.10p.27:
Le montage ci-dessous est constitué de dipôles récepteurs ou générateurs.
On donne : UBC = 3 V et UCD = - 6 V.
1. Calculer les tensions UBA, UAC et UDA.
2. Le dipôle D4 est une lampe. Peut-elle fonctionner ?
D1 B
C
D3
D2 D4
D D0 A
EXERCICE 5: P3.1p.30:
La C.I.E délivre dans les installations domestiques une tension alternative sinusoïdale de 220 V et de
fréquence 50 Hz.
1. Qu’est-ce qu’une tension alternative sinusoïdale ?
2. Définir la valeur efficace d’une tension alternative sinusoïdale.
3. Déterminer la valeur efficace et l’amplitude de la tension délivrée par la C.I.E dans les installations
domestiques.
4. Calculer la période de cette tension.
EXERCICE 6: P3.2p.30:
On relie les bornes de sortie d’un générateur de basse fréquence (G.B.F) aux bornes d’entrée d’un
oscilloscope. En l’absence de tension, le spot décrit une ligne horizontale au centre de l’écran. Lorsque
le G.B.F délivre une tension, on observe après différents réglages, la courbe reproduite ci-dessous :
Cas a Cas b
Dans le cas a, la sensibilité verticale est de 2 V/div et la durée de balayage de 2 ms/div. Dans le cas b,
la sensibilité verticale est de 6 V/div et la durée de balayage de 10 µs/div.
1. Calculer dans les deux cas :
a) la période ;
b) la fréquence ;
c) la tension maximale et la tension minimale.
2. Dire dans chaque cas si la tension est alternative ou non.
EXERCICE 8: P3.4p.32:
Un circuit électrique comporte montés en série un générateur G, un résistor de résistance R 1 et un
résistor de résistance R2 = 50. La nature du générateur sera précisée à chaque question.
Un oscilloscope bicourbe, branché comme l’indique le schéma ci-dessous permet d’observer sur la
voie A la tension UNM aux bornes du résistor R1 et sur la voie B la tension UPM aux bornes du résistor
R2.
yA yB
N R1 R2 P
M
I
G
Réglage de l’oscilloscope :
Base de temps : 0,2 ms/div
Sensibilité verticale : 2 V/div sur les 2 voies.
YA ( uNM)
YB ( UPM)
YB ( uPM)
YA ( UNM)
EXERCICE 9: P3.5p.33:
On réalise le montage de la figure n°1 suivante :
P Entrée Y
GBF G
N Masse
Fig. 1 Fig. 2
C1 C2 C1 C1
A B A B
C3 C2 C3
C1 C1
C3 C1 C3
A B A B
C2 C2
Association n°3 (d) Association n°4 (g)
EXERCICE 2: P4.2p.39:
1. Deux conducteurs ohmiques de résistances respectives R1 e R2 sont associés en dérivation entre
deux points A et B. L’intensité du courant principal est 2 A. L’intensité du courant qui traverse la
résistance R1 est égale à 0,5 A. La résistance R2 vaut 50.
a) Calculer la résistance R1.
b) Calculer la tension aux bornes de l’association.
2. Les deux conducteurs ohmiques sont montés maintenant en série entre les points A et B et sont
parcourus par un courant d’intensité I = 400 mA.
a) Calculer les tensions U1 et U2 aux bornes de chaque résistance.
b) En déduire la tension U entre A et B.
EXERCICE 3: P4.3p.39:
Un montage diviseur de tension est constitué de deux conducteurs ohmiques de résistance R 1 = 25 et
R2 = 75 montés en série. On alimente l’ensemble des deux conducteurs ohmiques par un générateur
de tension Ue = 12 V.
1. Qu’est-ce qu’un pont diviseur de tension ? Faire le schéma du montage.
2. Calculer :
a) l’intensité du courant traversant les deux conducteurs ohmiques ;
b) la tension aux bornes du conducteur ohmique de résistance R1.
3. Aux bornes de quel conducteur ohmique doit-on prendre la tension de sortie Us si l’on veut que
celle-ci soit la plus grande possible ?
EXERCICE 4 : P4.4p.40:
On désire représenter la caractéristique d’un conducteur ohmique AB. Par un montage approprié, on
fait varier l’intensité I du courant qui le traverse. Pour chaque valeur de I, on relève la tension U AB aux
bornes du conducteur ohmique. Les résultats des mesures sont indiqués dans le tableau ci-dessous :
U en V 0 2 4 5 6,5 9 10
I en mA 0 80 159 200 260 360 400
EXERCICE 5: P4.5p.40:
Le montage représenté ci-dessous est un montage complexe de conducteurs ohmiques.
R1 R6
U R5 R3 R4
R2
EXERCICE 6: P4.6p.40:
Un élève décide de tracer la caractéristique intensité-tension d’un composant électrique inconnu D et
d’une lampe à incandescence. Il utilise un générateur continu de tension réglable, un ampèremètre, un
voltmètre, un interrupteur et des fils de connexion.
Les mesures faites donnent les résultats suivants :
EXERCICE 7 : P4.8p.42:
1. Observer attentivement le schéma du montage représenté ci-dessous et dresser la liste du matériel
utilisé.
V V
C1 C2
2. En faisant varier l’intensité du courant qui parcourt le circuit et en relevant les tensions U1 et U2
respectivement aux bornes des conducteurs C1 et C2, on obtient les résultats suivants :
I (mA) 0 90 80 60 50
U1 (V) 0 3,6 3,2 2,4 2
U2 (V) 0 5,4 4,8 3,6 3
EXERCICE 8: P4.10p.43:
Afin de tracer les caractéristiques intensité-tension U = f(I) de deux conducteurs ohmiques C 1 et C2
montés en parallèle, on réalise le montage suivant :
C1 I1
A
C2 I2
A
V
On mesure la tension électrique U aux bornes des conducteurs ohmiques et l’intensité du courant
électrique traversant chaque conducteur ohmique. On obtient les résultats suivants :
U (V) 0 12 10 8 6
I1 (mA) 0 120 100 80 60
I2 (mA) 0 60 50 40 30
1.
a) Tracer les caractéristiques intensité-tension des conducteurs ohmiques C1 et C2 sur le même graphe.
Echelle : en ordonnée : 1 cm 2 V ; en abscisse : 1 cm 10 mA.
b) Déterminer la résistance R1 de C1 et R2 de C2.
c) Déterminer graphiquement l’intensité du courant traversant chaque conducteur ohmique lorsque la
tension U aux bornes des conducteurs ohmiques est de 7 V.
2. On remplace les deux conducteurs ohmiques C1 et C2 par un seul conducteur ohmique C équivalent
aux deux autres.
a) Quelle sera l’intensité du courant traversant ce conducteur ohmique si la tension à ses bornes est
fixée à 7 V ?
b) A partir du tableau précédent, déterminer l’intensité du courant traversant le conducteur équivalent
pour les différentes tensions qui y sont mentionnées.
c) Tracer sur le graphe obtenu précédemment, la caractéristique intensité-tension du conducteur
ohmique équivalent C. En déduire la résistance R de conducteur ohmique.
1 1 1
d) Comparer à la somme + et conclure.
R R1 R2
EXERCICE 9: P4.11p.44:
On branche en série avec un générateur de tension continue U = 4,5 V un résistor de résistance
R = 30 et un rhéostat AB monté en résistance variable. La résistance du rhéostat peut varier entre 0
et 200. Le rhéostat AB est monté de telle sorte que sa résistance dans le circuit est nulle lorsque le
curseur C est en A et maximale lorsque le curseur C est en B.
1. Faire le schéma du montage.
2. Calculer l’intensité I1 du courant qui circule dans le circuit lorsque la résistance est nulle (curseur
C en A).
3. Calculer l’intensité I2 du courant qui circule dans le circuit lorsque la résistance du curseur est
maximale (curseur C en B).
4. Déduire de ces expériences, le rôle d’un rhéostat dans un circuit.
5. Pour ne pas endommager le résistor, l’intensité du courant qui le traverse ne doit pas dépasser I = 50
mA. Quelle doit être la valeur limite de la résistance du rhéostat ?
EXERCICE 8 : P4.12p.44:
On réalise le montage schématisé ci-après :
A B C
R1 R3
R2 R4
M M’ M
On donne :
UAM = 10 V ; UBM = 5 V ; intensité dans la branche AB : I1 = 100 mA ; R1 = 2R4 = 100.
Calculer :
1) les résistances R1 et R3 ;
2) les intensités I2 dans la branche BM et I3 dans la branche BC ;
3) la tension UCM.
A B C D
I R I3 R R
I4 I2 I1
R1 R1 R
V
1k
C D
C D
A V
A
A B
A B
Fig. 1 Fig. 2
EXERCICE 2: P5.2p.57:
Un générateur délivrant une tension constante U = 20 V est branché en série avec un conducteur
ohmique de résistance R et une diode Zener de tension UZ = 12 V (voir schéma du montage).
U u
La résistance R est une résistance de protection. La diode ne peut supporter un courant inverse
d’intensité supérieure à 40 mA.
Calculer la valeur minimale de la résistance R du conducteur ohmique permettant de protéger la diode
Zener.
EXERCICE 3: P5.5p.58:
On place une diode Zener idéale en série avec une résistance R = 500. On applique à l’ensemble une
tension continue U = 25 V. La tension Zener de la diode vaut Uz = 10 V.
A B C
R
Déterminer les valeurs de la tension UAB et l’intensité du courant dans le circuit dans les cas suivants :
1) la diode est montée dans le sens direct ;
2) la diode est montée dans le sens inverse.
EXERCICE 4: P5.6p.58:
Le tableau de mesures ci-dessous permet de tracer la caractéristique d’une diode au silicium.
U (V) 0 0,15 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,82 0,85 0,90
I (mA) 0 0 0 0 0 0 0,018 0,18 1,6 3 5,4 9,6
On appelle seuil réel de tension, la valeur U0 de la tension au-dessous de laquelle le courant réel reste
nul. On appelle seuil pratique de tension U '0 la valeur de la tension qui correspond à une intensité nulle
lorsque la courbe est linéarisée.
1. Tracer la caractéristique I = f(U) de la diode étudiée.
Echelle : 1 cm 1 A ; 1 cm 0,1 V.
2. En utilisant les définitions ci-dessus, déterminer :
a) le seuil réel de tension U0 ;
b) le seuil pratique de tension U '0 .
EXERCICE 5 : P5.7p.59:
On se propose de tracer la caractéristique complète d’une diode Zener. Le montage utilisé permet de
dresser le tableau suivant : U est la tension aux bornes de la diode et I l’intensité du courant dans le
circuit.
Pour U 0 :
Pour U 0:
EXERCICE 6: P5.8p.59:
Pour une diode électroluminescente rouge (D.E.L), la tension et l’intensité en fonctionnement normal
ont pour valeur : U1 = 1,6 V ; I1 = 10 mA.
1. On veut l’utiliser avec un générateur de tension de 9 V. Quelle est la valeur de la résistance que l’on
doit mettre en série pour que la D.E.L fonctionne normalement ?
2. Cette D.E.L peut supporter une tension Umax = 20 V et une intensité Imax = 45 mA. Quelle est alors la
tension d’alimentation correspondante lorsqu’elle est utilisée en série avec la résistance de la question
1 ? Conclure.
GENERATEURS.
POINT DE FONCTIONNEMENT
EXERCICE 1 : P6.1p.65:
On considère un conducteur ohmique de résistance R et une pile de f.é.m. E et de résistance interne r.
Afin de tracer les caractéristiques de ces deux dipôles, on effectue avec un seul montage, les mesures
suivantes :
I (mA) 20 30 40 50 60 70 80
UR (V) 0,7 1 1,30 1,65 2 2,3 2,65
Upile (V) 3,6 3,4 3,2 3 2,8 2,6 2,4
EXERCICE 2: P6.2p.66:
Un générateur a une f.é.m. E = 12 V et une résistance interne r = 2.
1. Donner l’équation de la caractéristique U = f(I) de ce générateur.
2. Tracer cette caractéristique. Echelle : 1 cm 2 V ; 1 cm 0,1 A.
3. Calculer l’intensité théorique maximale Icc que peut débiter ce générateur.
En réalité, l’intensité maximale que peut débiter le générateur est inférieure à l’intensité I cc
précédemment calculée. Justifier cette affirmation.
EXERCICE 3: P6.3p.66:
1. On veut tracer la caractéristique U = f(I) d’une varistance D (dipôle dont la résistance dépend de la
tension).¨Pour cela, on réalise le montage schématisé ci-dessous :
A
N
G D V
C
M
U (V) 0 1 2 3 4 5 6 7
I (mA) 0 5 15 35 65 100 145 190
EXERCICE 4 : P6.4p.66:
On associe en série 6 piles identiques ayant chacune une f.é.m. de 1,5 V et une résistance interne de
0,5.
1. Déterminer la f.é.m. et la résistance interne du générateur équivalent.
2. Représenter la caractéristique intensité-tension du générateur équivalent.
3. Déterminer graphiquement, puis par le calcul, l’intensité du courant de court-circuit.
EXERCICE 5: P6.5p.67:
On réalise un circuit électrique en associant en série une pile, une résistance de protection R p et une
varistance.
Pour la varistance, on obtient les résultats suivants :
LE TRANSISTOR.
C
RB RC
B
G1 E G2
correspondante.
EXERCICE 2: P7.5p.76:
Dans le montage schématisé ci-dessous, le transistor fonctionne en amplificateur de courant. La
tension UBE vaut 0,6 V et le gain en courant est = 200.
C
RC
IC
IB RB
B
G1 IE G2
EXERCICE 3: P7.6p.77:
Un transistor NPN, polarisé par pont et résistance d’émetteur, fonctionne en amplificateur de courant
selon le montage schématisé ci-dessous.
Le coefficient d’amplification vaut 100. Les conditions de l’expérience sont les suivantes :
UCE = 6 V ; IB = 0,03 mA ; UBE = 0,6 V ; U0 = 15 V ; RC = 1 k ; R1 = 100 k.
RC IC
R1 I1
I
B C
IB
U0
I2 E
R2 RE IE
1. Reproduire le schéma en indiquant le sens des courants I, I1, I2, IC, IE et des tensions UBE et UCE.
2. Calculer les intensités des courants IC, IE, I1, I2 et I.
3. Calculer les valeurs des résistances R1 et R2.
EXERCICE 4 : P7.7p.78:
Un transistor NPN de gain = 100 est utilisé pour réaliser le dispositif de commande automatique
d’éclairage schématisé ci-dessous.
RC
R
B C
G
E
RE
Le générateur G a une f.é.m. E = 12 V et une résistance interne négligeable. L est une lampe de
résistance négligeable par rapport à RC. La lampe L nécessite pour fonctionner un courant d’intensité
I = 10 mA.
La lampe « se grille » dès que l’intensité du courant qui la traverse est supérieure ou égale à 18 mA.
La tension UBE entre base et émetteur du transistor complètement débloqué reste pratiquement égale à
0,6 V. On donne : RE = 120.
1. Proposer une explication du fonctionnement du dispositif.
2. Sous un éclairage donné de photorésistance R, les mesures du courant I B et de la tension UCE
donnent les résultats : IB = 0,15 mA et UCE = 2 V.
a) La lampe L est-elle allumée ou éteinte dans ces conditions ?
b) Calculer l’intensité IE traversant la résistance RE et la tension UEM à ses bornes.
c) Calculer la résistance RC.
d) Que vaut la résistance R de la photorésistance sous cet éclairage ?
3. Pour quelle valeur limite de la résistance R de la photorésistance la lampe se grille-t-elle ?
Ic L
(6V ; 0,3A)
Ib 6V
Rb
La lampe installée porte les inscriptions (6V ; 0,3 A) et le gain du transistor en fonctionnement linéaire
est = 100.
1. Quel est le type de transistor utilisé ?
2. Indiquer le sens du courant dans chaque branche du circuit.
3. Calculer l’intensité du courant dans la lampe pour Ib = 1 mA et Ib = 5 mA.
4. Déduis-en, dans chaque cas, l’intensité du « courant émetteur » Ie.
EXERCICE 6: P7.10p.79:
Pour étudier la fonction amplificateur de courant du transistor 2 N 2219 de type NPN, on réalise un
montage à émetteur commun avec le générateur continu de tension réglable de 0 à 12 V et deux
ampèremètres. Les résultats expérimentaux sont donnés dans le tableau ci-dessous.
A2
A1
A3
AMPLIFICATEUR
OPERATIONNEL.
I1
E- I2 S
∆∞
E+ I3
ue uS Ru
M
L’A.O fonctionne en régime linéaire. La tension d’entrée ue est fournie par un générateur de f.é.m.
E = 6 V et de résistance interne nulle. L’A.O est bouclé directement. Le conducteur ohmique de
résistance Ru = 10 k constitue la charge.
1. Quelle est la valeur de l’intensité I1 du courant entre E- et S ?
2. Montrer que la tension d’entrée us est égale à la tension de sortie ue.
3. Calculer l’intensité I3 du courant qui circule dans la charge Ru. La comparer à l’intensité I2 du
courant qui sort de l’A.O.
4. Quel est l’intérêt d’un tel dispositif ?
R2
E-
S
E+ ∆∞
R1 Ru
ue G M
Le générateur G a une f.é.m. E = 3 V et une résistance interne r = 2. La tension d’entrée est
appliquée sur l’entrée E-. L’A.O est bouclé par l’intermédiaire d’une résistance R2 = 1000. L’entrée
E- est reliée à la masse par une résistance R1 = 500.
1. Montrer que la tension d’entrée us est égale à la f.é.m. E du générateur.
2. Déterminer les sens et les intensités I1 et I2 des courants qui circulent dans les conducteurs ohmiques
de résistance R1 et R2.
3. Etablir l’expression de la tension us en fonction de la tension d’entrée ue et des résistances R1 et R2.
4. La gain A ou amplification en tension du montage est le rapport de la tension de sortie u s à la
tension d’entrée ue. Exprimer A en fonction de R1 et R2. Faire l’application numérique et en déduire us.
5. La charge Ru est un conducteur ohmique de résistance Ru = 5 k. Calculer l’intensité Is du courant
débité par l’A.O.
6. Quel intérêt ce dispositif présente-t-il ?
R2
P R1 E-
I4 S
E+ ∆∞
ue us
M Ru
La tension d’entrée ue positive est appliquée sur l’entrée E- par l’intermédiaire d’une résistance R1 = 2
k. L’A.O est bouclé par une résistance R2 = 5 k. L’entrée E+ est reliée à la masse. La charge Ru est
un conducteur ohmique de résistance variable. La tension d’entrée est fixée à ue = 3 V.
1. Reproduire le schéma en indiquant les sens des courants I1 dans R1 et I2 dans R2. Calculer les valeurs
de I1 et I2.
R2
2. Montrer que la tension de sortie est donnée par l’expression ue = - .ue.
R1
3. Calculer le gain A ou amplification en tension du montage. En déduire us.
4. Déterminer le sens et l’intensité du courant I3 dans la charge Ru dont la résistance est réglée à
1000. Le courant I4 sort-il ou entre-t-il dans l’A.O ? Quelle est son intensité ?
' '
5. Quelle doit être la valeur de la résistance Ru pour que l’intensité I 4 du courant entrant dans l’A.O
(ou sortant de l’A.O) soit égale à 16,5 mA ?
I2 R2 R
I
I1 R1 E-
I4 S
e2 E+ ∆∞
e1 s
M
Les tensions d’entrée e1 et e2 sont appliquées sur l’entrée E- à travers les résistances R1 et R2. L’A.O est
bouclé par l’intermédiaire de la résistance R. La tension de sortie est notée s.
1.a) Etablir la relation entre I, I1 et I2.
b) Etablir la relation entre s, I1, I2 et R.
c) Déterminer l’expression de la tension de sortie s en fonction de e1, e2, R, R1 et R2.
2.a) Que devient l’expression précédente si R = R1 = R2 ?
b) Justifier le nom « sommateur inverseur » attribué à ce montage.
EXERCICE 5: P8.7p.87:
Le schéma ci-dessous utilise un amplificateur opérationnel, un transistor, un haut-parleur et des
résistances.
.
D I3
R2
U3
I1 R1 E- C E
S I2 IE
E+ ∆∞
R3 B
U1 G1 U2 E
M
C C OH
H C
C O
H
Phénolphtaléine indigo
EXERCICE 1 : C5.1p.181:
1. Ecrire la formule de :
a) l’ion chlorure ; b) l’ion carbonate ; c) l’ion sulfate ; d) l’ion fer II ; e) l’ion fer III ; f) l’ion cuivre II ;
g) l’ion aluminium ; h) l’ion zinc.
2. Distinguer parmi ces ions, les anions des cations, les ions monoatomiques des ions poly-atomiques.
Pour chacun des ions, préciser sa couleur en solution aqueuse.
3. Décrire le test d’identification de chacun des ions cités à la question 1). Ecrire chaque fois,
l’équation-bilan de la réaction correspondante.
EXERCICE 2: C5.2p.181:
1. Quels sont les ions présents dans chacune des solutions suivantes : chlorure de fer III et sulfate
d’aluminium. On ne tiendra pas compte des ions provenant de l’eau.
2. Ecrire les formules des solutions ci-dessus citées.
3. Décrire, pour chaque ion des deux solutions, un test qui permet de confirmer sa présence.
EXERCICE 3: C5.4p.181:
1. Ecrire les formules et les noms des ions contenus dans chacune des solutions suivantes :
a) sulfate de fer II ; b) nitrate d’argent ; c) sulfate de sodium ; d) chlorure de zinc.
2. On verse une solution de chlorure de baryum (Ba2+ + 2Cl-) dans chacune des solutions précédentes.
Qu’observe-t-ton ?
EXERCICE 4 : C5.5p.182:
On veut identifier les ions présents dans une solution A de chlorure de fer III (Fe 3+ + 3Cl-) et dans une
2−¿ ¿
solution B de sulfate de zinc ( SO 4 + Zn2+).
1. Donner la couleur de la solution A et celle de la solution B.
2. Donner le nom des ions contenus dans les solutions A et B.
3. Quels sont les produits nécessaires pour identifier les ions présents dans les deux solutions ?
4. Quelles sont les observations qui permettent d’identifier ces ions,
EXERCICE 5: C5.6p.182:
Un flacon dont l’étiquette a disparu contient une solution verdâtre qui renferme un seul type d’anion et
un seul type de cation.
On fait agir la soude sur la solution : on obtient un précipité de couleur pâle. L’action du nitrate
d’argent donne un précipité blanc qui noircit à la lumière. Quels ions renferme la solution ?
EXERCICE 6: C5.7p.182:
Un flacon contient une solution aqueuse incolore qui renferme un seul type d’anion et un seul type de
cation. Les nombreuses expériences réalisées afin de déterminer la nature de la solution ont conduit à
deux résultats positifs.
Expérience 1 : lorsqu’on ajoute quelques gouttes d’hélianthine à une fraction de cette solution,
celle-ci prend une teinte rouge.
Expérience 2 : On ajoute quelques gouttes de chlorure de baryum à une fraction de cette solution et
on constate l’apparition d’un précipité blanc.
1. Qu’indique chaque expérience ? Quels sont les ions contenus dans la solution ?
2. De quelle solution s’agit-il ?
EXERCICE 7 : C5.8p.182:
¿ −¿¿
Voici les formules de quelques ions contenus dans une eau minérale naturelle : Cl- ; SO 2−¿
4 ; NO 3 .
2−¿ ¿ −¿¿
On vous demande d’identifier les ions Cl- , SO 4 et NO 3 présents dans cette eau.
1. Quels réactifs vous seront nécessaires pour votre analyse ?
2. Décrivez le mode opératoire et les observations vous permettant d’identifier ces ions.
EXERCICE 8: C5.9p.182:
Un flacon dont l’étiquette a disparu contient une solution aqueuse incolore. On désire connaître la
nature des ions contenus dans cette solution. Les nombreux tests réalisés ont conduit à deux résultats
positifs.
1. 1er test :
Lorsqu’on verse quelques gouttes de la solution sur un morceau de calcaire (carbonate de calcium
contenant des ions Ca2+ et CO 2−¿¿
3 ), on obtient un dégagement gazeux qui trouble l’eau de chaux.
a) Donner le nom et la formule moléculaire de ce composé gazeux.
b) Quel ion de la solution initiale cette réaction permet-elle de mettre en évidence ?
c) Ecrire l’équation de la réaction.
2. 2ème test :
−¿¿
Lorsqu’on ajoute à cette solution quelques gouttes d’une solution de nitrate d’argent (Ag + + NO 3 ),
on obtient un précipité blanc.
a) Quel ion le nitrate d’argent permet-elle de mettre en évidence ?
b) Ecrire l’équation de la réaction de précipitation.
c) Quelle est la particularité du précipité obtenu ?
3. Parmi les solutions suivantes, laquelle se trouve dans le flacon ? Chlorure de sodium, acide
chlorhydrique, chlorure de fer III. Justifier le choix.
EXERCICE 9: C5.10p.183:
L’eau de robinet fournie par la SODECI contient des ions chlorure. On vous demande de vérifier cette
affirmation. On met à votre disposition les réactifs suivants :
chlorure de baryum (Ba2+ + 2Cl-)
−¿¿
nitrate d’argent (Ag+ + NO 3 )
acide chlorhydrique (H3O+ + Cl-)
soude (Na+ + OH-).
1. Lequel des réactifs utiliserez-vous pour cette vérification ?
2. Décrire rapidement le mode opératoire de l’expérience à réaliser. Quelles observations vous
permettront d’accepter cette affirmation ?
EXERCICE 9: C5.11p.183:
L’étiquette d’une eau minérale naturelle indique la composition chimique suivante :
Anions : ion chlore, ion nitrate, ion sulfate, ion hydrogénocarbonate
Cations : ion calcium, ions sodium, ion magnésium, ion potassium.
1. Pour vérifier que la solution contient des ions chlorure, on utilise le nitrate d’argent.
a) Qu’observe-t-on ? Ecrire l’équation-bilan de la réaction.
b) La concentration des ions chlorure de cette bouteille contenant 1,5 L d’eau minérale est 115 mg/L.
Calculer la masse d’ions argent qu’on doit utiliser pour précipiter tous les ions chlorure contenus dans
l’eau minérale de cette bouteille.
c) Calculer la masse du précipité obtenu dans ce cas.
2. On se propose de déterminer la masse des ions sulfate contenus dans la bouteille d’eau minérale.
a) Dans 250 cm3 de cette eau, on verse du chlorure de baryum. Qu’observe-t-on ? Ecrire l’équation-
bilan.
b) Pour précipiter tous les ions sulfate contenus dans ce prélèvement, on utilise 3,4 mg d’ions baryum.
Calculer la masse des ions sulfate contenus dans cette bouteille d’eau minérale. En déduire la
concentration en mg/L des ions sulfate.
Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Cl : 35,5 ; S : 32 ; Ag : 108 ; Ba : 137,5.
EXERCICE 1 : C3.1p.164:
On dissout 2 g d’hydroxyde de sodium (NaOH) dans 5 L d’eau distillée.
1. Calculer la concentration massique de la solution obtenue.
2. Calculer la concentration molaire de la solution obtenue.
3. Quelle masse d’hydroxyde de sodium faut-il dissoudre dans l’eau distillée pour obtenir 1,5 L de
solution de concentration molaire C = 0,04 mol. L-1.
Masses molaires atomiques en g. mol-1 : H : 1 ; O : 16 ; Na : 23.
EXERCICE 2: C3.2p.164:
La concentration massique d’une solution d’hydroxyde de sodium est égale à 2,5 g/L.
1. Déterminer la concentration molaire de cette solution.
2. Calculer la mass d’hydroxyde de sodium nécessaire pour préparer 2,5 L de cette solution.
3. En déduire le nombre de moles d’hydroxyde de sodium correspondant.
Masse molaires atomiques en g. mol-1 : H : 1 ; O : 16 ; Na: 23.
EXERCICE 3: C3.3p.164:
Un volume V = 2 L d’acide chlorhydrique de concentration molaire C = 5.10-2 mol. L-1 est obtenu en
dissolvant un volume v0 de chlorure d’hydrogène gazeux dans l’eau distillée.
1. Calculer le volume v0 mesuré dans les conditions normales de température et de pression.
2. On ajoute 5,85 g de chlorure de sodium solide à la solution précédente. Calculer la concentration
des ions Cl- et des ions sodium Na+ dans le mélange.
Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; Cl : 35,5.
EXERCICE 4 : C3.4p.164:
On dissout 0,48 L de gaz chlorure d’hydrogène dans 100 cm3 d’eau pure. La dissolution se fait sans
variation de volume. Calculer la concentration molaire de la solution obtenue.
Volume molaire : VM = 24 L. mol-1.
EXERCICE 5: C3.5p.164:
1. Quelle masse m d’hydroxyde de sodium (pastilles) doit-on dissoudre dans l’eau pour obtenir
V = 500 cm3 d’une solution de soude de concentration molaire 2.10-1 mol. L-1 ?
2. On ajoute 1 L d’eau à la solution précédente. Calculer la concentration molaire de la nouvelle
solution.
EXERCICE 6: C3.8p.165:
Calculer le pH des solutions aqueuses suivantes à 25 °C connaissant leurs concentrations molaires en
ions H3O+ ou anions OH-.
1) H3O+ = 8,0.10-9 mol. L-1.
2) H3O+ = 0,0016 mol. L-1.
3) OH- = 5,0.10-8 mol. L-1.
4) OH- = 0,01.10-5 mol. L-1.
On donne : 100,9 = 8 ; 101,2 = 16 ; 100,3 = 3.
Préciser chaque fois la nature (acide, basique ou neutre).
EXERCICE 7 : C3.9p.165:
Calculer les concentrations molaires en ions H3O+ et OH- des solutions aqueuses dont les pH à 25 °C
sont : 4 ; 10,2 ; 4,50.
On donne : 100 , 8 = 6,3 ; 100 , 5 = 3,16.
EXERCICE 8: C3.10p.166:
Un jus d’orange a un pH = 3,2 à 25 °C.
1. Quelles sont les concentrations molaires volumiques en ions hydronium et en ions hydroxyde ?
2. Calculer le nombre de moles d’ions H3O+ et d’ions OH- dans un volume V = 0,5 L de jus d’orange.
On donne : 100,8 = 6,3.
EXERCICE 9: C3.11p.166:
1. L’analyse d’une eau naturelle a montré qu’elle contient, par litre : 7,5.1016 ions hydronium et
4,8.1016 ions hydroxyde.
a) Cette eau est-elle acide ou basique ? Justifier votre réponse.
b) Parmi les valeurs suivantes (6,9 ; 7 ; 7,1), quelle est celle qui peut correspondre au pH de cette eau ?
Justifier votre réponse.
2. Deux solutions A et B ont pour pH : A (pH = 3) et B (pH = 10). On prélève 1 cm 3 de chacune d’elle
qu’on dilue avec de l’eau distillée de façon à obtenir 10 cm3 d’une solution A’ et 10 cm3 d’une
solution notée B’.
Placer sur une échelle de pH, l’eau distillée et les solutions A, B, A’ et B’.
EXERCICE 10 : C3.13p.167:
1. Qu’appelle- t – on concentration molaire et concentration massique ?
Etablir l’expression entre la concentration molaire et la concentration massique.
2.a) Qu’est-ce qu’une solution aqueuse ?
b) Comment peut-on montrer qu’une solution aqueuse est acide ?
c) Comment mettre en évidence qu’une solution aqueuse est ionique ?
3.a) Quelle masse de chlorure de sodium NaCl faut-il dissoudre dans l’eau pour obtenir 500 cm 3 d’une
solution de concentration molaire 0,02 mol. L-1 en NaCl ?
b) Quelle est alors la concentration massique de la solution obtenue ?
c) A la solution précédente, on ajoute Ve = 1,5 L d’eau. Calculer la nouvelle concentration molaire.
Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; Cl : 35,5.
REACTION ACIDO-BASIQUE.
DOSAGE
EXERCICE 1 : C4.1p.171:
1. On dissout 5,6 L de chlorure d’hydrogène (volume mesuré dans les conditions normales) dans de
l’eau distillée et on obtient 0,5 L d’une solution d’acide chlorhydrique. Calculer la concentration
molaire de la solution A obtenue.
2. On dissout 8 g d’hydroxyde de sodium solide dans de l’eau distillée de façon à obtenir 500 cm3
d’une solution B d’hydroxyde de sodium. Calculer la concentration molaire de la solution B.
On prélève 20 cm3 de la solution A que l’on place dans un bécher avec quelques gouttes de bleu de
bromothymol.
a) Quelle est la couleur prise par la solution contenue dans le bécher ?
b) On dose cette solution A par la solution B d’hydroxyde de sodium. Celle-ci est placée dans une
burette graduée. Calculer le volume de la solution B qu’il faut verser dans la solution A pour réaliser
le virage de l’indicateur.
c) Ecrire l’équation-bilan de la réaction entre la solution A d’acide chlorhydrique et la solution B
d’hydroxyde de sodium.
Volume molaire : 22,4 L. mol-1.
Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; H : 1 ; O : 16.
EXERCICE 2: C4.2p.172:
Un bécher contient une solution d’acide chlorhydrique de concentration molaire Ca = 10-1 mol. L-1.
1. Quel volume de gaz chlorure d’hydrogène, mesuré dans les conditions normales, faut-il dissoudre
dans l’eau pour obtenir 500 mL de solution ayant cette concentration molaire ?
2. Dans Va = 300 mL de cette solution, on ajoute une masse m d’hydroxyde de sodium pur.
a) Ecrire l’équation de la réaction.
b) Quelle doit être la valeur de la masse m pour obtenir la neutralisation acido-basique ?
3. Quelle serait la concentration molaire de la solution d’hydroxyde de sodium qu’on obtiendrait en
dissolvant cette masse m dans 2 L d’eau ?
Masses molaires atomiques en g. mol-1 : Na : 23 ; O : 16 ; H : 1.