Christelle Eloundou

PROCEDURE DE RECOUVREMENT DES CREANCES DANS UN
ETABLISSEMENT DE MICROFINANCE : CAS LA CEFA
DEDICACE
A MES AMOUSS
DAVID MAEE
ET SON PAPA
Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e ii

REMERCIEMENTS
Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun

de commercer ce rapport de stage par des remerciements à ceux qui m'ont soutenu
moralement, physiquement et financièrement. Alors nous tenons à cet effet à
remercier :
Monsieur WANTOU SIANT, OU LUCIEN fondateur de L'institut Universitaire du
Gulf de Guinée a nus de moyens matériels, humains et financiers pour notre
formation ;
Monsieur NKOUM chef d'agence de la CEFA qui nous a permis de réaliser notre
première expérience professionnelle ;
Mme BILLOUG YVETTE, encadreur académique pour ses professionnel pour son
attention et le partage de sa grande expérience professionnelle ;
A ma mère madame YINZEU HÉLÈNE pour son encouragement et son appui
moral ;
A monsieur KAMI TRESOR pour son encouragement et accompagnement sans
relâche ;
A monsieur KENDO DJAMEL pour sa disponibilité et ses encouragements ;
A monsieur KEMAYOU CEDRIC et monsieur TANKEU WILFRED pour leurs
multiples conseils.
A toute ma famille pour leur accompagnement sans relâche et leur encouragement
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AVANT - PROPOS
Dans l’optique de faciliter l’intégration de la vie professionnelle et de doter les entreprises

camerounaises des techniciens supérieurs , le gouverneur camerounais à préconiser d’importante
réforme dans le domaine d’enseignement supérieur, en créant par arrêté ministériel
N°90/E/50MINEDUC du 24avril 1976 le cycle de brevet de technicien supérieur .c’est dans cette
perspective que l’IUG accueille en ses pôles les titulaires de baccalauréat ou équivalent pour se
préparer à l’examen national de brevet et technicien supérieur (BTS) dans un large éventail de
spécialité.
 ACTION COMMERCIALE (ACO) ;
 BANQUE (BQ) ;
 COMMERCE INTERNATIONAL(CI) ;
 COMPTABILITE ET GESTION DES ENTREPRISES (CGE) ;
 INFORMATIQUE DE GESTION (IG);
 SECRETARIAT DE DIRECTION ET BUREAUTIQUE BILINGUE (SD ET SB) ;
 COMMUNICATION D’ENTREPRISE(CE) ;
 JOURNALISME (JO) ;
 GESTION DE LOGISTIQUE ET TRANSPORT (GLT) ;
A la fin de l’année, l’étudiant est tenu d’effectuer un stage en milieu professionnel, puis de rédiger
un rapport de stage qu’il soutiendra devant les jurys d’examen à titre d’examen oral par nécessite
nous l’avons effectué du 01 Décembre 2020 au 31 Décembre 2020 au sein de l’entreprise CICAM
plus précisément dans le service achat import et avons pour thème : « PROCESSUS DE
PAIEMENT DES COMMANDES A L’IMPORTATION DANS UNE ENTREPRISE : CAS DE
LA CICAM ».
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LISTE DES ABREVIATIONS
CCIMA : chambre de commerce de l'industrie des mines et de l'artisanat

CDC : comité de crédit
CEFA : caisse d'épargne et de financement en Afrique
CEMAC : comité économique et monétaire de l'Afrique central
COBAC : Commission bancaire de l'Afrique central
DAF : directeur des affaires financières
DG : directeur général
DGA : directeur général adjoint
EMF : établissement de microfinance
OHADA : organisation pour l'harmonisation du droit des affaires
PCA : président du conseil administratif
SA : société anonyme
SNI : Société nationale d'investissement
TPE : Très Petite Entreprise
UMAC : union monétaire de l'Afrique central
Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page v

RESUME
L’objectif de notre travail est de mettre en évidence les différentes limites observées
dans le processus de recouvrement des créances. Apres étude documentaire et
observation sur le terrain, les principaux problèmes de recouvrement des créances
sont le non remboursement du prêt à l’échéance, la mauvaise foi du client débiteur
à ne pas vouloir rembourser etc…. face à cette situation, les recommandations que
nous formulons sont les suivantes : mettre sur pied une bonne politique d’octroi du
crédit, définir le procédé de mise en place d’un crédit TPE.
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ABSTRAT
The objective of our work is to highlight the various limits observed in the debt
collection process. After documentary study and observation in the field, the main
problems of debt collection are the non-repayment of the loan on the due date, the
bad faith of the debtor client in not wanting to repay, etc. Faced with this situation,
the recommendations we make are as follows: set up a good policy for granting
credit, define the process for setting up a VSE credit.
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SOMMAIRE
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INTRODUCTION GENERALE
Le ecteur bancaire au Cameroun a connu de grandes mutations au cours des

décennies 1980-1990 avec pour principale incidence la faillite de nombreuses
banques. La difficulté d'octroi de crédits bancaires, le licenciement de nombreux
cadres et employés, la marginalisation d'une classe de la population aux produits
bancaire ont sans doute favorisé l'émergence des structures répondant aux mêmes
exigences que les banques : les Établissements de micro finance.
Selon le règlement NO-OI/CEMAC/UMAC/COBAC du 13 Avril 2002, la notion
de micro finance est définie comme l'activité exercée par les entités agrées n'ayant
pas le statut de banque mais qui pratique à titre habituel les opérations de banque
telles que : la collecte de l'épargne, l'octroi de crédit et offrant des services Spécifique
au profit de la population exerçant pour l'essentiel en marge du secteur bancaire
classique.
De plus, la COBAC en distingue trois catégories à savoir : la 1 ere catégorie qui
collecte l'épargne de ses membres et les accorde le crédit, la 2eme catégorie qui
collecte l'épargne et concède les crédits aux tiers dont les opérations sont ouvertes
au public, la 3 catégorie plus spécialisée investissement, cède le crédit aux tiers sans
dépôts au préalable. Quelle que soit leur catégorie, ces structures ont trouvé leur bien
fondé en ce qu'elles avaient pour objet majeur de combler le fossé creusé par les
banques classiques. Afin d'assurer leur intégration dans mouvance économique,
d'autant plus que l'ampleur des transactions réalisées par les banques n'offraient que
très peu d'espace aux petits opérateurs économiques qui pour la plupart opèrent dans
le secteur infomel. Ainsi, dans le même ordred'idée, notre préoccupation est de
Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 1

connaître les mesures mises sur pieds par les microfinances pour une bonne gestion
de crédit face à sa catégorie de clientèle, sachant que le
Revenu est presque incertain. Alors Durant le stage académique, nous avons eu à
traiter une pléthore de dossiers de recouvrement des créances grâce au non
remboursement à échéance des clients ce qui nous a permis de développer comme
thème : LA PROCÉDURE DE RECOUVREMENT DES CRÉANCES. Alors,
qu'elles sont les stratégies de recouvrement adoptées pour éviter que celui-ci ne fasse
faillite.
Pour répondre à cette préoccupation, nous avons effectué un stage à l'agence CEFA
de Mokolo. Il s'articule autour de deux axes : Avant de parler de la gestion de crédit
au recouvrement des créances dans un établissement de microfinance : le cas
spécifique de CEFA SA, commençons d'abord par présenter le cadre de l'étude c'est-
à-dire l'environnement de la structure et le déroulement du stage.

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE

LA CEFA ET DEROULEMENT DU STAGE
Cette partie sera consacrée a la présentation de la structure en chapitre 1 et la

présentation de déroulement du stage en chapitre II.

CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION DE LA
CAISSE D'ÉPARGNE ET DE FINANCEMENT
EN AFRIQUE
Il s'agira pour nous dans ce chapitre de présenter l'historique, les missions et l'objet
social de la CEFA en section 1. Et en section 2 nous présenterons l'organisation, le
fonctionnement et les produits proposés par la CEFA.
SECTION 1 : HISTORIQUE, MISSION, VISION ET OBJECTIFS
DE LA CEFA
I. Historique
La CEFA a été créée en 2008 par M. gorges SANGANG SIMO et un groupe
d'investisseurs privé par l'agrément n0 00040/mini du 10 juillet 2008, la CEFA est
un EMF ayant un statut juridique de société anonyme (SA) dont le capital est de
XAF et appartient au système de micro un EMF de 2temecatégorie c'est— des micro
finances qui sont autorisées à collecter l'épargne des déposants et octroyer des crédits
aux particuliers.
Au début de son fonctionnement, la CEFA disposait de deux agences : l'une à
mgaroundéré (centre commercial) où se trouve actuelles le siège social et l'autre à
douala (douche municipale) où se trouve la direction générale. Ceci étant, les
objectifs de l'entreprise en constance évolution et son souci de fournir à la population
un système simplifié d'épargne, de financement et de sécurisation de leurs avoirs
vont amener la CEFA à étendre ses locaux. C'est ainsi qu'en 2010 elle ouvre une
agence à Yaoundé plus précisément à mokolo descente NIKI et en 2011 elle ouvre
une autre à kribi au quartier nkolbiten à coté de l'ancien Texaco. En plus de cet

extension, l'entreprise ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et a pour ambition

de créer une agence dans toutes les régions du pays.
Dans le but d'un épanouissement et d'un service qui se veut de proximité, la CEFA
s'est assignée certaines missions.
II. MISSIONS
La CEFA dès sa création est donné pour mission de trouver une forme de crédit
pour des personnes qui sont plus ou moins exclues du système bancaire classique en
raison de l'ignorance ou de la difficulté d'accès à cause du coût trop élevé. elle s'est
également donner pour mission d'encadrer celles des personnes à petits revenus
telles que : les petits commerçants, les agriculteurs, les vendeurs, et même les élèves
et étudiants afin de les aider à
III. OBJECTIFS
atteindre leurs objectifs et ainsi construire une société forte d' où sa devise : «
construisons ensemble.
IV. VISION
La vision de l'institution c'est d'être leard en terme de qualité de prestation de service
dans le secteur de micro finance la CEFA veut croitre avec sa clientèle par le biais
d'une gestion intelligente des ressources, des conseils financiers et l'utilisation
judiciaires du crédit. La CEFA est assez outillée pour fournir à sa clientèle des
services de qualité, le personnel étant disponible pour répondre à toutes les
sollicitations de sa clientèle

SECTION 2 : ORGANISATIONS ET FONCTIONNEMENT ET

PRODUITS DE LA CEFA
Dans cette partie, nous présenterons tout d'abord l'organisation de la CEFA ensuite
son fonctionnement et enfin les produits offerts à la clientèle.
Paragraphe I : l'organisation de la CEFA
La CEFA est une société anonyme (SA) dont les membres fondateurs sont la plupart
des hommes d'affaires et les opérateurs économiques. L'organisation ici vise à
définir les attributions et les responsabilités des employés ; à préciser les liens de
subordination et à classifier les répartitions des tâches. Pour atteindre ses objectifs,
la CEFA s'est dotée d'une structure fonctionnelle adéquate caractérisé par son
organigramme qui est une vision futuriste de l'établissement, —e l'établissement ne
permet pas de mettre en application son contenu. D'où la présentation de
l'organigramme suivant :
I- Assemblée Générale
L'assemblée générale est l'organe suprême de la CEFA. Elle se tient au moins deux
fois par an pour définir l'orientation et la politique générale de l'institut en vue de la
réalisation de ses objectifs, des élections des membres du bureau exécutif. Elle
examine et approuve le programme d'activités présenté par le bureau exécutif de
l'institut.
II- Organe Exécutif
Il est constitué du bureau exécutif et de la direction générale. Le bureau exécutif est
l'organe d'administration et de gestion de l'institut. Quant à la direction générale, elle
assure sa gestion courante.

A ce titre, il est responsable de la gestion des ressources humaines, techniques et

financière de l'institut. Le siège de la CEFA est le lieu où se paye tous les impôts,
taxes et autres cotisations de la microfinance. L'agence centrale est le lieu de
définition de la stratégie de l'institut, de mise au point des outils de la gestion et de
contrôle de l'organisation. C'est le lieu d'exercice du directeur général, du
responsable des ressources humaines et de leurs assistants.
Dans l'organigramme de la CEFA, les fonctions se répartissent de la manière
suivante :
- Le Directeur Générale
Il a pour rôle d'assurer la gestion courante et le bon fonctionnement de l'institut.
- Le Chef d'Agence
Son attachement au directeur général lui confère une indépendance vis-à-vis des
services qu'il contrôle. Il est principalement concerné par les tâches d'évaluation de
contrôle de conformité et de vérification de la fiabilité du système global. Ses
principales activités concernent :
 La supervision de la mise en œuvre des problèmes de crédit ;
 Le control du respect strict des procédures ;
 L'accomplissement des missions diverses à lui confier par le directeu
général ;
 Le control de la caisse ;
 Le suivie de son équipe et de leur protection ;
 Il est le représentant de la CEFA auprès des autorités locales.

Paragraphe II-Le Fonctionnement de la CEFA

Activités
Les activités sont regroupées en deux grands groupes à savoir : le back office et le
front office.
I.I- Le back office
- La comptabilité
Elle assure les imputations comptables, la production des états financiers et
comptables pour la hiérarchie, les autorités monétaires et de l'administration fiscale,
le service comptable produit également les états de trésorerie, le suivedu budget
mensuel et pour finir l'archivage des documents des diverses opérations.
-Le service des opérations
C'est le lieu de traitement des valeurs (chèques, effets), des virements (simples et
permanents) et de la surveillance permanente. Comme autres tâches évoluées à ce
département, on peut citer : la délivrance des chéquiers, le traitement des oppositions
et l'enregistrement des pièces comptables.
1.2- Le front office
Il regroupe les départements qui sont constitués des services qui sont en contact
direct avec la clientèle c'est-à-dire le département commercial et le département des
opérations et ce dernier regroupe les services suivant :
Le chargé de la clientèle
Il a pour fonction la réception, l'orientation, le conseil de la clientèle, la prospection
et l'étude de dossiers des crédits. II donne aux clients toutes les informations
susceptibles de les satisfaire et selon leurs attentes.
- Le Chef de guichet

Il a pour rôle la surveillance des opérations menées par la caissière, la gestion

des chéquiers, le traitement des chèques, des virements, des prélèvements et des
opérations. Il peut aussi orienter les clients dans les différents services, le guichetier
communique aux clients le solde de leurs comptes, les aide à établir leurs chèques
ou à remplir leurs bordereaux de versement.
La caisse
Sa mission est de recevoir et délivrer les espèces après vérification contradicOù-
Eomme autres tâches dévolues à ce département, on peut citer : la délivrance des
chéquiers, le traitement des oppositions, la conservation et la tenue des cartons de
signature.
Au final de cette description on a ressortir la présentation schématique de
l'organigramme de l'agence de CEFA Yaoundé.
II- Les ressource
Pour la bonne exécution des travaux administratifs, on peut affirmer que la CEFA
est dotée des ressources humaines et matérielles.
11.1- Les ressources humaines
La CEFA est dotée d'un personnel composé uniquement de camerounais qui pour
la plupart sont des jeunes diplômés, leur engouement au travail témoigne de leur
efficacité et de leur dynamisme.
11.2- Ressources matérielles
-Bâtiment ;
-Des installations et aménagement ;
-Du matériel informatique ;
-Du matériel automobile ;
-Du matériel de maintenance (groupe électrogène)

11.3- Les Ressources immatériels

C'est l'ensemble des éléments incorporels comportant :
-Le non commercial ;
-la clientèle ;
-l 'achalandage
Dans sa globalité ce chapitre nous a permis de présenter la structure de la CEFA de
parler de son historique de ses objectifs à atteindre, parler également de
l'organisation de son fonctionnement. Ce qui nous a propulsés vers le chapitre qui
parlera du déroulement du stage.
Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 10

CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE
Le déroulement du stage académique est une période très difficile pour nous Car
nous découvrons un monde nouveau, des personnes différentes ; ce qui permet de
mettre en pratique les connaissances théoriques apprise à l'école que nous allons
disposer comme suit :
SECTION 1 : ACCUEIL ET TACHES EFFECTUEES
Paragraphe 1 : Tâches liées aux opérations du front office
Périodes Tâches effectuées

Du 08 au 12 juin -Présentation des différents produits et services proposés par la
2021 structure à la clientèle
Du 08 juillet au 12 -Réception et envies des courtiers tout en procédant à leur
juillet enregistrement dans leurs registre par les éléments concemant la date
d'envoi ou de réception, l'expéditeur et l'objet
Du 15 au 20 juin -Traitement des tâches du guichet qui consistait à effectuer des
2021 renseignements, la résolution spontanée des problèmes et à l'orientation
de la clientèle
Du 23 au 27juin -L'enregistrement des chéquiers, il s'agissait des chèques du guichet et
2021 des chèques personnalisé reçu de la direction générale, sur lesquels on
marque le nom, le numéro du compte du client puis l'on enregistre en
fichier numérique
Du 01 au 06 juillet Nous avons procédé aux ouvertures des comptes par le remplissage des
2021 documents tels que la convention du compte et le carton de signature,
en plus de ces tâches, nous avons procédé à l'ouverture informatique du

compte dans le logiciel et l'archivage des dossiers d'ouverture de

compte.
Nous avons procédé aux ouvertures des comptes par le remplissage des
documents tels que la convention du compte et le carton de signature,
en plus de ces tâches, nous avons procédé à l'ouverture informatique du
compte dans le logiciel et l'archivage des dossiers d'ouverture de
compte.
Du 11 au 16 juillet Notre travail a consisté à monter les dossiers des clients pour ce qui
concerne la présentation des dossiers crédit (crédit (d’équipement,
crédit scolaire etc….) ; ces dossiers de crédit de manière générale se
constituent des éléments suivant :
 Une lettre de demande de crédit ;
 Une photocopie de la CNI ;
 Un plan de localisation du domicile ;
 Les photocopies des documents de garanties possibles à mettre à
la disposition de l’agence (attestation de virement irrévocable,
titre foncier etc...)

Paragraphe 2 : les tâches liées aux opérations du back office

Périodes Tâches effectuées
Du 20 au 25 juillet Il a été essentiellement question dans ce service de procéder a la

2021 vérification des opérations de caisse, de la veille par une opération
appelé le pointage.
Nous avons également eu à faire le rapprochement bancaire qui
consiste à retracer les différentes opérations que nous avons eu à
faire chez nos correspondants pendant le mois par le biais de nos
relevés bancaires ; tout ceci pour parvenir à une conformité des
soldes ou pour détecter une anomalie.
Du 25 au 30 juillet - Le traitement des opérations de liaison faisait également
partie de nos tâches au service des opérations :
 Les versements déplacés ;
 Les mises à disposition (MAD)
 Les retraits déplacés
Le traitement des virements, consistait à débiter un compte pour
en créditer un autre, les virements sont généralement de deux
sorte :
 Les virements ponctuels
 Les virements permanents

SECTION 2 : RENCONTREES ET APPORT DU STAGE

Nous avons eu de la peine à nous .adapter en entreprise, mais enfin nous y
sommes arrivés avec beaucoup de courage et de curiosité.
2. |-Les difficultés
Les problèmes que nous avons rencontrés à la CEFA sont de deux ordres :
l- Les problèmes-d ‘intégrations
 La tenue vestimentaire
 Le moyen de transport
 La ponctualité : arriver à l'heure était très important
 Lenteur dans le travail
2.2-Apport du stage
-Sur le plan académique
Certaines notions abordées à l'école qui nous semblait être essentiellement
littéraire ont été appliquée en entreprise ; Comme le cours de techniques bancaire,
économie monétaire.
-Sur le plan professionnel
Nous avons appris à convaincre les clients lors de la prospection et à traiter les
salaires lors du paiement des salariés de certaines entreprises.
-Sur le plan social
Cette période de stage a créé en nous un esprit de collaboration et d'initiative.
Pour tout dire, le déroulement du stage s'est très bien passé car nous avons été bien
accueilli ; ce qui nous a permis de bien appréhender le monde professionnel malgré
la méfiance des employés dont leurs réactions ne sauraient être condamné mais nous
ont permis de terminer notre stage en beauté et enrichir nos connaissances,

A l'issu de cette partie, ce stage nous a permis de mieux appréhender le

fonctionnement d'une organisation en général et le service des commerciaux en
particulier dans lequel nous avons assisté le commercial dans divers travaux
notamment ceux relatifs à l'approche théorique et pratique de la procédure de
recouvrement de créances.

DEUXIÈME PARTIE : PROCÉDURE DE

RECOUVREMENT DE CRÉANCES
Dans cette partie, nous allons vous présenter l'analyse théorique du thème et
l'évaluation de son processus.

CHAPITRE III : L’ANALYSE THEORIQUE DU

THEME
Dans ce chapitre, présentons les types de recouvrements et vous parlé du

thème proprement dit.
SECTION 1 : DEFINITION ET TYPES DE RECOUVREMENTS
1. Définitions
Le recouvrement des crédits accordés est une responsabilité délicate et peut
aboutir à des conflits entre l'établissement et sa clientèle.
Par recouvrement, on entend toute action prise par un créancier à l'encontre de
son débiteur pour rentrer en possession de ses fonds ; car tout crédit qui n'est pas
remboursée terme est considéré comme impayés.
Par terme, il faut entendre le délai imparti au débiteur pour rembourser sa dette.
Au-delà de ce délai, le créancier est en droit d'exiger le remboursement. Cependant,
ce recouvrement peut être amiable ou forcé.
2. Types de recouvrements
Nous avons deux types de recouvrement à savoir :
Le recouvrement amiable des créances
Il s'entend comme tous procédés non contraignant qui consiste à déterminer le
débiteur à exécuter ses obligations de manière consensuelle. Cette méthode de
recouvrement porte généralement le nom de relance. Ces relances sont effectuées
soit en interne soit en externe et peuvent être manuelle ou automatique. Les
méthodes de relance utilisées sont de plusieurs sortes :

•Relance mis en œuvre par le chef de contentieux : il s'agit ici des relances
téléphoniques et des correspondances. En effet, pour instaurer un dialogue,
Comprendre les raisons de non-paiement et aboutir à un accord. Rien ne vaut le
contact direct. Le responsable du contentieux établit la liste des débiteurs à appeler
en priorité en fonction du montant de la dette et du niveau du risque du client pour
cette relance.
Le responsable du contentieux prépare une fiche pour chaque client sur
laquelle il inscrira son nom, ses coordonnées, la date et le montant de la créance en
attendant le paiement. Ensuite, il consultera le comptable enfin de connaître les
habitudes de paiement et notamment s'il a déjà eu des retards de paiement
récemment. Une fois la fiche prête, il s'arme de son téléphone et rappelle au débiteur
les échéances non respectées. Si nonobstant les promesses faites par le débiteur lors
de la première relance téléphonique n'aboutit pas, il met en place un planning sur
certaines actions qu'il compte mener pour recouvrer les dus.
Le courrier intervenant dans les 8 jours suivant le retard est adressé au client
sous forme simple. Dans ledit courrier, il précise tous les éléments concernent la
créance et qu'à ce jour, ils n'ont pas toujours obtenu le règlement de sa dette, surtout
joindre le tableau des amortissements. 8 jours après l'envoi du I er courrier, et
toujours pas de règlement, il envoie un deuxième et cette fois ci avec la mention «
notre courrier du... reste sans effet » afin de stimuler d'avantage le débiteur qu'il a
intérêt à se libérer de son obligation avant le recours à d'autres mesures
contraignantes.
 Relance mis en œuvre par l'huissier de justice : en cas de non-exécution
dans le délai imparti, les menaces doivent se préciser. Ces menaces se font à la CEFA
par la mise en demeure (commandement) de payer, envoyée par l'huissier de justice

saisie par le directeur général. La mise en demeure sert à déterminer la date à partir
de laquelle courront les intérêts. L'huissier de justice saisie précise dans la
Lettre recommandée le montant de la facture mais également les intérêts de retard.
Après cette sommation de payer, si le débiteur continue à ne pas s'exécuter, c'est la
fin du recouvrement à l'amiable et le début du recouvrement forcé (phase
contentieuse)
3- Le recouvrement forcé des créances
Après une mise en demeure, une sommation de payer restée sans effet et en fonction
de la nature du litige, le créancier saisit les juridictions compétentes pour obtenir
réparation du préjudice subi. Il peut saisir soit les juridictions civiles, soit les
juridictions répressives :
• La juridiction civile : la saisine de cette juridiction par la CEFA se fait par voie
d'assignation et par des voies d'exécution (injonction de saisie) 4 mois après que le
remboursement n'a pas été effectif. L'assignation est un exploit d'huissier de justice
rédigé à la requête du créancier dans laquelle les griefs reprochés au débiteur sont
exposés tout en le sommant de comparaître devant la juridiction compétente et le
créancier est obligé de consigner au greffe une somme équivalent à 6% du montant
principal pour que la cause soit retenue et jugée. Avant ou pendant la phase de
jugement, le dossier débiteur peut offrir à son créancier une possibilité de transaction
et à défaut, la juridiction saisie rend son jugement qui deviendra définitif après
épuisement de toutes les voies de recours. L'injonction de payer quant à elle consiste
à saisir la juridiction compétente d'une requête, laquelle sera assortie d'une
ordonnance signée par le juge compétent dans laquelle il rejoint le débiteur de payer
au créancier la somme d'argent qui lui est réclamée et augmentée de 10% des frais
de procédure. La décision obtenue est signifiée au débiteur dans un délai n'excédant
pas 3 mois à compter de son compte rendu. A partir de la signification, le débiteur

dispose d'un délai de 15 jours pour faire opposition auprès de la juridiction qui a
rendu la décision. Pour la sûreté et avoir
SECTION : PROCÉDURES DE RECOUVREMENTS DE
CRÉANCES
1- Approche du recouvrement des créances prévues par OHADA
Si l'exécution volontaire de l'obligation demeure le souhait de toutes
créances, celui-ci doit être rassuré qu'en cas de défaillance du débiter. Il peut
aisément recouvrir à l'exécution force. Le législateur OHADA l'a compris et dans un
acte uniforme a réorganisé ces procédures parmi lesquelles l'injonction de payer qui
a été revisité.
• Domaine d'application de l'injonction de payer
Pour faire l'objet d'une procédure d'injonction de payer, la créance doit être
contractuelle, certaine liquide et exigible.
Par rapport à la créance d'origine contractuelle, la loi de 1989 ne posait pas
cette exigence, il en résultait que toute créance de nature commerciale ou civile
pouvait faire l'objet de la procédure sommaire d'injonction de payer. L'acte uniforme
de ce point de vue est plus restrictif.
Seules les créances d'origine contractuelle peuvent être recouvrées par la
nouvelle procédure d'injonction de payer. Sont donc exclus du domaine d'application
de cette procédure, les créances statutaires, les créances des dommages et intérêts
fondés sur l'inexécution du contrat, les créances d'indemnisation des victimes
d'accidents dues sur l'assureur.
La créance doit être certaine dans ce sens qu'elle doit être à l'abri de toutes
contestation c'est le cas par exemple lorsque le créancier est porteur d'un titre
exécutoire. Elle est liquide parce qu'elle doit être déterminée dans son montant.
Autrement dit, la liquidité doit s'apprécier en argent.

Peuvent en marge des créances citées plus haut faire l'objet d'une procédure
d'injonction de payer, les créances dont l'engagement résulte de l'émission ou de
L'acceptation de tout effet de commerce si possible et les créances résultant d'un
chèque.
• Procédure d'injonction selon OHADA
La demande aux fins d'injonction de paie est formée par enquête auprès de la
juridiction compétente du domicile au lieu où demeure effectivement le débiteur ou
l'un d'entre eux en cas de pluralité de débiteurs. Mais les portées peuvent déroger à
ces règles. La requête doit être adressé ou déposée par le demandeur auprès du
greffier de la juridiction compétente. Sous peine de non recevabilité, la requête doit
réunir les conditions de fond et de forme.
Au vue des documents produits, la demande lui paraît fondée en tout ou partie
le président de juridiction compétente prend une décision portant injonction de payer
pour la Somme qu'il fixe.
Si le président de la juridiction compétente rejette tout à la portée de la
requête, sa décision est sans recours pour le créancier sauf si celui-ci a procédé selon
les voies de droit commun. L'injonction sera ensuite signifiée au débiteur par acte
extrajudiciaire dans un délai de trois mois à compter de sa date sans quoi la décision
est avenue. Il faudrait avertir le débiteur qu'il peut prendre connaissance au greffier
de la juridiction compétente dont le président a rendu la décision.
A partir de la signification, c'est l'attitude du débiteur qui détermine la suite.
Il peut à ce titre faire opposition à ne pas faire opposition. L'opposition se fait par
acte extrajudiciaire dans les.25 jours qui suivent la signification. Il doit signifier son
recours à toutes les parties et aux greffiers de la -juridiction ayant rendu la décision
et assigner au créancier à connaître la juridiction compétente à une date fixe qui ne
pourrait excéder 30 jours à compter de l'opposition avec tentative de la conciliation

des parties (art 12 de l'article uniforme sur la procédure simplifiée de recouvrement

et voies d'exécution en OHADA)
En cas d'opposition, il peut décider de s'exécuter spontanément à ce moment,
l'ordonnance aura atteint son but à savoir la satisfaction du créancier. Si passé le
délai de 15 jours, la demande tendant à l'opposition du créancier de la formule
exécutoire est formulée par le greffier après avoir établi un certificat Denon
opposition (art 17) qui donnera donc autorisation au créancier de saisir des meubles
ou immeubles par l'entremise de l'huissier appartenant au débiteur pour faire tendreté
se faire désintéresser par le prix de la vente. C'est ainsi qu'on procèdera soit à :
Une saisie attribution des créances : c'est l'acte par lequel tout créancier, muni
d'un titre exécutoire peut saisir entre les mains d'un tiers pour se faire payer les
créances de son débiteur portant sur une somme d’argent.
Une saisie vente : c'est l'acte par lequel son créancier muni du titre exécutoire peut
procéder à la saisie et la vente des biens meuble, corporel appartenant à son débiteur
afin de se payer. A la seule différence qu'il s'agit ici d'un bien immobilier
En marge de la procédure d'injonction de payer plusieurs voies de recours,
sont aussi ouvertes à tout créancier dont sa créance est en souffrance. Il s'agit
notamment de :
- l'assignation en paiement : ici, le créancier saisie le tribunal pour réclamer le
paiement de sa créance.
-l'assignation en validité de saisie conservatoire et de la convertir en saisie
attribution ou en saisie vente
2- Procédure de suivi des impayés
L'impayé : peut-être définit comme une situation dans laquelle les remboursements
de crédit sont en retard ; ou encore ce sont les retards de remboursement.

Après le financement, le suivi régulier des échanges et l'identification de tout

signe de détérioration dans les comptes du client constituent les outils les plus
efficaces de la gestion du risque de crédit. Le directeur de crédit est globalement
responsable de l'ensemble du processus du suivi de la qualité du portefeuille.
Toutefois, c'est au chef d'agence et au superviseur de crédit que revient la
responsabilité d'assurer le suivi des remboursements des crédits, de passer en revue
les dossiers irréguliers, d'identifier les actions de recouvrement ou de relance à
mener dans la semaine par les agents de crédits, de suivre les résultats des actions de
recouvrements. Ils sont appuyés dans leur tâches par les juristes du service du
contentieux que Spécifiquement pour les cas de recouvrement par voie judiciaire.
Quotidiennement, les agents de crédits éditent le listing des impayés, celui-ci leur
permet d'identifier.
Les crédits à risque et d'entreprendre des mesures qui conviennent pour leur
recouvrement.
Le suivi des impayés exige des procédures particulièrement dépendantes du
nombre de jours de retard des impayés. En général, les catégories d'impayés et les
mesures à prendre se décomposent comme suit :
-L'impayé < 30 jours : visite régulière et systématique des clients concernés par
l'agent de crédit qui hebdomadairement rend compte de l'évolution des impayés au
superviseur de crédit.
-impayés > 30 jours et < 45 jours : visite régulière et systématique des clients et
avalise concernés par l'argent.
-impayés > 45 jours et < 60 jours : visite régulière et systématique des clients
concernés par les superviseurs de crédit qui, à l'occasion, intimant aux clients l'ordre
de payer leur dette.

-impayés >60 jours et <90 jours : visite des clients concernés par les superviseurs
de crédit assistés au besoin du DC, convocation au siège et menace de procédure
judiciaire.
-impayés >90 jours : sur la base d'un procès-verbal, le transfert en contentieux
CDG, DGA, DC), le DAF ou tout autre personnes déléguée, le superviseur de crédit
et un juriste, les photocopies de tous les contrats originaux (nantissement
cautionnement : contrat d'ouverture de crédit) ainsi que le fond de dossier du prêt
(Dossier de prêt, plan du domicile du client et avalisés) sont transféré au juriste du...
après décharge dans un registre approprié pour la mise en œuvre des procédures de
recouvrement forcés. Nous pouvons également noter qu'un rapport est
mensuellement rédigé sue l'évaluation des dossiers en... au DG/DGA ou à la fin de
chaque exercice.

CHAPITRE IV : ÉVALUATION DU PROCESSUS

DE RECOUVREMENT DES CRÉANCES DANS UN
ÉTABLISSEMENT DE 2ème CATÉGORIE
Dans ce dernier chapitre, nous présenterons un cas pratique sur le
recouvrement de créances et des Analyses et suggestion.
SECTION 1 : CAS PRATIQUE
Monsieur YINZE sollicite un crédit d'un montant de 5, 000,000 XAF (cinq
millions), pour une durée de d'un an. Ce crédit devra servir à l'acquisition des biens
meubles. Il a placé cela en hypothèque son immeuble se trouvant dans l'un des
quartiers de la ville de Yaoundé.
Après avoir obtenu l'avis favorable du comité de crédit, le Janvier 2014, ce
concours d'une durée d'un an n'avait pas été remboursé par le débiteur en date du 02
janvier 2015.
Le service des engagements lui adresse le 05 Janvier 2015 une lettre dit de
relance qui est restée sans suite jusqu'au 15 janvier 2015. Une lettre l'ayant réitéré
deux (02) fois de suite, le débiteur n'a toujours pas réagi.
Devant l'inertie de ce dernier, son dossier a été transmis au service du
contentieux par le service des engagements qui a rédigé à l'encontre de ce dernier
une ultime lettre de rappel qui n'a reçu aucun écho favorable de sa part.
Face à l'indélicatesse de ce dernier, la phase extrajudiciaire a été ainsi close
par une sommation d'huissier qui est restée sans effet. Son dossier a été remis à
l'avocat d'El' établissement qui ayant constaté la situation l'a assigné en paiement.
Grace à cette procédure d'assignation, le procès de Monsieur le quantum de l'affaire

Aller devant le tribunal de grande instance qui après plusieurs audiences a été
condamné à une saisie de son immeuble par exploit d'huissier.
Le document remis à l'avocat par la juridiction compétente « grosse» qui est
titre exécutoire.
Monsieur n'ayant pas fait opposition, un certificat de non opposition a été
délivré. Avec ces documents (grosse et certification de non-paiement), I 'huissier a
pu saisir et vendre cet immeuble aux enchères publiques : c'est la saisie exécutoire
qui est le terme de la phase judiciaire.
SECTION 2 : ANALYSES ET SUGGESTIONS
Le risque majeur dans l'opération de crédit est le risque de non remboursement
et d'immobilisation des fonds engagés. C'est pour faire face à cet état de chose que
la CEFA procède au recouvrement. Les solutions apportées par CEFA méritent une
appréciation.
Après cette appréciation, nous ne manquerons pas d'aborder nos critiques et
suggestions pour améliorer d'avantage et voir même renforcer les solutions déjà
existantes.
2-1. Analyse
-Analyse des forces de la CEFA
Toujours dans le respect de la demande entreprise jusqu'ici, nous apprécions
d'abord le recouvrement à l'amiable et par la suite le recouvrement forcé des
contentieux.
A- Appréciation du recouvrement à l'amiable
La procédure de recouvrement amiable pratiquée par CEFA est satisfaisante
dans l'ensemble et constitue une force pour CEFA dans la mesure où elle entre en
possession de ses fonds sans entraver sa relation avec son client.

Cette procédure à quelques degrés prêts de la notion de temps, chers à l'opération

de crédit, CEFA aura donc un grand intérêt à privilégier cette formule de
recouvrement. Raison laquelle elle doit être renforcée car lorsqu'elle est bien menée,
elle permet d'obtenir un taux de recouvrement élevé ce qui constitue une force pout
CEFA ; c'est son échec qui engendre le recouvrement forcé.
B- Appréciation da recouvrement forcé
La envisagée ici est assez intéressante, mais pas autant que la première. S'il
est vrai que la finalité est la récupération des fonds, cette procédure est longue et très
et conduit généralement à la détérioration des relations le client. Cependant est arrivé
des cas où les gérants ont été sous évolués et après leur réalisation, ils n'ont pas pu
couvrir le montant du crédit et les procédures. Ceci constitue donc une faiblesse pour
CEFA d'où la procédure mérite d'être renforcée.
-Analyse des faiblesses
Parmi les faiblesses ou critique à CEFA, nous avons constaté que plusieurs
faits générateurs des impayés qui entendrons plus tard le recouvrement relèvent la
plupart de la responsabilité de CEFA c'est ainsi qu'on remarque tour à tour :
- La négligence de certains gestionnaires
- L'excès de familiarité
- Mauvaise division de couverture des risques : certains ratios permettent de
mesurer les impayés et d'avoir une idée sur l'efficacité des techniques de
recouvrement n'est pas disponible
- La légèreté dans l'octroi de crédit : certains gestionnaires octroient des crédits
sans procédure d'abord à une bonne identification du client. Il existe même des
situations ou le client n'est pas repérable.
- Mauvais suivis de recouvrement : lettre de relance et rappel des engagements ne
sont pas envoyés à temps.

- Le détournement de l'objet du crédit : certains clients sollicitent des crédits pour

le financement d'une activité bien précise, les agents de crédit qui leur accordent
ces crédits dont le remboursement est conditionné par la rentabilité des projets
qu'ils ont étudiés, ces sommes détournés sont allouées à des activités par
profitables en terme de remboursement. La conséquence qui en découle est
allouée à des activités peu profitables en termes de remboursement. La
conséquence qui en découle est que ces crédits à l'échéance ne pourront être
remboursés.
- La mauvaise foi du client
- Le non-respect de certains ratios prudentiels qui seront développés dans les
prochains chapitres.
Toutefois, ces faiblesses ne proviennent pas seulement de CEFA mais aussi de
l'emprunteur. Il en est ainsi de la mauvaise foi du client et du détournement de l'objet
du crédit.
Comme nous venons de le voir, toutes ces solutions ne sont pas efficaces dans
la mesure où il existe à CEFA des crédits irrécouvrables d'où la nécessité d'apporter
quelques suggestions pour améliorer ces solutions.
2-2. Suggestions
Le recouvrement de crédit est un problème qui ne survient que lorsque les cas
d'impayés se présentent. Ainsi, compte tenu du coût élevé de la procédure, de sa
durée très longue et surtout de la dégradation des relations clients CEFA les
suggestions que nous apportons constitueront des mesures essentiellement
préventives. Ces mesures pourront contribuer à réduire le taux d'impayés et par là le
taux de recouvrement. Nous proposons tout d'abord la mise sur pied d'un tableau de
bord efficace de suivi des impayés et par la suite l'application de certaines mesures
pour assurer une bonne gestion des impayés.

a) Tableau de bord de suivi des impayés

Ce tableau est constitué uniquement des sorties prudentielles. Ces sorties
comme leurs noms l'indiquent sont des indicateurs ou des signaux qui permettent
aux gestionnaires des institutions financières de juger à tout moment la santé
financière de leur institution et de prévoir d'avance certains risque les gestionnaires
de CEFA doivent donc faire un effort pour le rendre disponible pour ce qui concerne
ce problème les quelques ratios suivants :
- la rotation du portefeuille :
Cela permet au gestionnaire de juger à tout moment la qualité de son
portefeuille et permet d'avoir une idée sur les pertes probables que CEFA pourrait
encourir si les emprunteurs en retard cessaient de rembourser :
R1 = valeur de l'encours de crédit en retard
Encours du crédit
-le ratio de performance
C'est un ratio très important qui permet au gestionnaire à tout moment de
connaître, ou de mesurer le montant des impayés ; il permet également de savoir si
le non remboursement est fréquent et ressort le montant du capital dû mais impayés.
Ce ratio se calcule grâce à la formule suivante :
R2= Impayés
Encours de crédit
La norme fixée pour ce ratio est :
R2<3% : c'est-à-dire sur 100 éléments à qui le crédit a été accordé, il doit seulement
avoir 3 qui ne remboursent pas.
-Le ratio du taux de crédit recouvré :
Ce ratio est d'une grande importance car il peut servir d'outil au gestionnaire afin de
connaître à tout moment ou le taux de crédit par rapport au moment des encours

De crédits échus. Les gestionnaires auront donc un grand intérêt à CEFA en rendant
disponible ce ratio. Il se calcul comme suit :
R3= Montant des crédits recouvrés de la période
Encours de crédit échus de la période
—Le taux de crédit rééchelonné :
Le taux de rééchelonnement est un ratio permettant de connaître la part de
crédit rééchelonné sur une période précédente se trouvant dans le portefeuille par
rapport à l'encours moyen de crédit. Il se calcul ainsi :
R4= Montant de prêt rééchelonné
Encours moyen de crédit
—le ratio de créances abandonnées ou irrécouvrables
Ce ratio pourra servir au gestionnaire de déterminer à tout moment le coût des
Impayés ou encore le montant du capital perdu que le gestionnaire pourra classer
dans les pertes. Sa formule est la suive :
R5= Montant devenu irrécouvrables pendant la période
Encours moyen de crédit
Certains de ces ratios ne pourront aider le gestionnaire qu'à détecter le début
du danger et d'autres à donner une valeur chiffrée du capital perdu. Pour éviter donc
les désagréments, les gestionnaires de CEFA n'observent pas ces ratios intérêts à les
mettre sur pied.
Avant d'apporter les suggestions pour réduites les impayés, il est important
d'apporter quelques éléments en vue de renforcer les mesures déjà appliquées. Le
renforcement des mesures appliquées par CEFA passe par une bonne politique d'un
octroi de crédit et une bonne identification du client.

-Mettre sur pied une bonne politique d'octroi de crédit

La mise sur pied de cette politique passe par :
- Engager un personnel crédible et compétent qui prend des bonnes décisions
dans l'octroi du crédit.
- S'assurer que les crédits sont soutenus par les garanties appropriées ou des
substitutions de garanties. Ces garanties doivent être effectivement prises.
- Evaluer avec l'emprunteur au moment de l'octroi des avantages liés au
remboursement à l'échéance ainsi que les coûts de non remboursement ou
des retards constatés dans le remboursement.
- Formation des agents et membres du comité de crédit pour le rendre plus
dynamique et plus efficace.
- Développer une procédure d'enregistrement efficace pour décourager les
opérations irrégulières (mauvais crédit, crédit fictif)
- Suivi et évaluation des performances du personnel pour s'assurer que les
politiques et les procédures définies sont convenablement suivie
- Adresser à temps aux clients les lettres de rappel et de relance lorsque le
compte débiteur présente certains risques
En outre, avant d'octroyer un crédit, le gestionnaire devrait suivre le procédé de mise
en place du crédit, qui se présente comme suit :
•Procédé de mise en place d'un crédit TPE
1- Recueillir les informations : le gestionnaire doit se poser les questions
Suivantes :
-QUI ? Cette question renvoie à la filiation du client et sa situation matrimoniale
-QUOI ? Celle-ci renvoie à la présentation de l'entreprise (son fonctionnement, son
organisation)

-COMMENT ? Ici, on cherche à savoir si le client entretien de bonnes relations avec

son fournisseur
2-Etudier l'environnement
3-Analyse économique (FFFO) :
Force : elle renvoie ici à la rentabilité de l'entreprise, sa gouvernance, son rapport
avec le fisc, sa logistique (équipements et le matériel roulant)
Faiblesse : les documents (peut-être pas en règle), la formation des employés, la
propreté des locaux
Menaces : elle renvoie aux reventes, illégalité, niveau intellectuel, expositions
Opportunités : elle renvoie aux autres possibilités que peut avoir l'entreprise pour
atteindre ses objectifs
4-etudejuridique : le gestionnaire doit s'assurer de la fiabilité de garanties (voir la
légalité des documents), la forme juridique (si l'entreprise est individuelle, une SA
ou une SARL), il doit aussi tenir compte du niveau d'engagement de l'entrepreneur
sur l'entreprise
5-Analyse financière : ici, on analyse ses charges, son revenu et son bénéfice ; c'est-
à-dire qu'on met en évidence sa capacité de remboursement.
Cette figure pourra permettre à CEFA d'avoir le profil de l'emprunteur idéal.
Cependant, il est irréaliste de constituer un portefeuille uniquement d clients parfaits
pour éviter la défaillance. Certains prêts à la longue deviennent défaillants et
inévitablement non remboursable.
Pour séduire ces défaillances, certaines techniques méritent d'être mises sur
pieds :
 La culture institutionnelle
Une méthode essentielle pour la défaillance est d'entretenir une culture
institutionnelle basée sur la tolérance zéro de retard de paiement.

CEFA peut donc rappeler aux clients dont les comptes récemment devenus
défaillants que leurs jours de remboursement s'approchent.
 L'orientation du client
Logiquement, le premier pas à faire pour développer une culture institutionnelle
basée sur la tolérance est communiquer directement ; ce concept a chaque nouveau
client avant qu'il ne reçoive le prêt. Un programme d'orientation soutenu doit
clairement décrire les conditions du service offert ; ce qui est attendu de chaque
clients et les procédures à suivre en cas d'arrière. Cette même orientation devra servir
à endoctriner les nouveaux membres du personnel de CEFA à la politique de
tolérance zéro, établir un esprit de professionnalisme et de sérieux dans les
prestations de service à la clientèle cible.
 Primes d'encouragement aux membres du personnel
L'implication des membres du personnel en vue de décourager la différence peut
s'avérer efficace avec l'inspiration d'un système de prime d'encouragement. Les
primes monétaires exigent un minimum de critères pour garantir la qualité du
portefeuille, pour justifier sa raison d'être. Les primes devraient être donc plutôt
basées sur la qualité, les primes non monétaires comprenant la reconnaissance
spéciale pour les gestionnaires les plus performants.
 Les pénalités des défaillances
Les clients doivent être pénalisés pour le retard de paiement ; ceci pourrait impliquer
selon la performance, l'application des charges au prorata du nombre de jours en
retard et limiter l'accès des remboursements des prêts au client.
 Application de l'approche de la carotte : Motivation pour le
remboursement
La baguette magique pour la gestion de la défaillance doit être équilibrée avec
l'approche de la carotte pour un bon remboursement. La première motivation

Classique utilisée par certains EMF pour encourager a performance des c lents à
rembourser leur crédit est :
-La bonification des taux d'intérêt pour le nouveau crédit
-Renouvèlement et augmentation de la taille de crédit
- L'approbation plus rapide du crédit et accès à certains produits prestige
-La motivation la plus tangible et la plus importante est la pratique des ristournes
CEFA aura donc un grand intérêt à chercher à adopter toutes ces propositions qui
pour beaucoup ont montré leur efficacité.

CONCLUSION GENERALE
L'étude que nous avons menée portant sur le RECOUVREMENT DES

CREANCES fait suite au stage effectué à l'établissement de micro finance CEFA.
Premièrement, nous avons présenté le cadre dans lequel nous avons effectué notre
stage, Ensuite, nous avons présenté les tâches effectuées tout au long dudit stage,
nous avons présenté les procédures, méthodes de recouvrements impayés dans
l'entreprise CEFA en présentant quelques exemples de cas pratique dans la
procédure du recouvrement ainsi que quelques difficultés rencontrées et les
suggestions. En définitive, la procédure de recouvrement des créances à CEFA dans
notre appréciation obéit à la procédure des droits commun suivant l'acte uniforme
OHADA portant organisation des procédures simplifiées des recouvrements de cde,
et la voie d'exécution. Mais pourquoi arrive-t-on à un recouvrement forcé alors que
le banquier pouvait par ses analyses se munir des moyens plus sur de remboursement
? Qu'en est-il de la commission des crédits, des modalités d'octroi et du suivi des
crédits à CEFA ? Toutefois, la procédure de recouvrement forcé qu'utilise CEFA est
très longue et coûteuse ; elle gagnerait donc plus à opter pour le recouvrement
amiable et abandonner le recouvrement forcé. De même, il contient dès lors de « tuer
» le problème d'impayé donnant lieu au recouvrement à la racine c'est-à-dire lors de
la distribution du crédit en appliquant une bonne politique d'octroi du crédit.

BIBLIOGRAPHIE
-Internet : Google et Wikipédia ;

-Le manuel de procédure d'octroi de crédit entreprise ;
-Les cours d'analyse financière de M ABDHOURAMAN (non publié), Banque 2 ;
-les cours de système décentralisés de la collecte et de l'épargne de M
ABDOUHRAMAN (non publié) Banque niveau 2
-un rapport de stage avec pour thème « les procédures de recouvrement des
créances»
-Rapport OHADA sur les procédures d'injonction de payer.

ANNEXES

TABLE DE MATIERES
Table des matières
DEDICACEii
REMERCIEMENTS ................................................................................................ iii
AVANT - PROPOS ................................................................................................. iv
LISTE DES ABREVIATIONS..................................................................................v
RESUME vi
INTRODUCTION GENERALE ...............................................................................1
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA CEFA ET DEROULEMENT DU

STAGE 3
CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION DE LA ...............................................................4
CAISSE D'ÉPARGNE ET DE FINANCEMENT EN AFRIQUE ............................4
SECTION 1 : HISTORIQUE, MISSION, OBJECTIFS, DE LA CEFA ..................4
Paragraphe I : Historique ...........................................................................................4
SECTION 2 : ORGANISATIONS ET FONCTIONNEMENT ET PRODUITS

DE LA CEFA .............................................................................................................6
Paragraphe I : l'organisation de la CEFA...................................................................6
Paragraphe II-Le Fonctionnement de la CEFA .........................................................8
CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE .....................................................11
SECTION 1 : ACCUEIL ET TACHES EFFECTUEES .........................................11
Paragraphe 1 : Tâches liées aux opérations du front office .....................................11

SECTION 2 : RENCONTREES ET APPORT DU STAGE ...................................14
DEUXIÈME PARTIE : PROCÉDURE DE ............................................................16
RECOUVREMENT DE CRÉANCES ....................................................................16
CHAPITRE III : L’ANALYSE THEORIQUE DU THEME ..................................17
SECTION 1 : DEFINITION ET TYPES DE RECOUVREMENTS ......................17
SECTION : PROCÉDURES DE RECOUVREMENTS DE CRÉANCES ............20
CHAPITRE IV : ÉVALUATION DU PROCESSUS .............................................25
DE RECOUVREMENT DES CRÉANCES DANS UN ÉTABLISSEMENT DE

2ème CATÉGORIE .................................................................................................25
SECTION 1 : CAS PRATIQUE ..............................................................................25
SECTION 2 : ANALYSES ET SUGGESTIONS ...................................................26
CONCLUSION GENERALE ..................................................................................27
BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................27
ANNEXES 27
TABLE DE MATIERES .........................................................................................27

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PROCEDURE DE RECOUVREMENT DES CREANCES DANS UN

ETABLISSEMENT DE MICROFINANCE : CAS LA CEFA

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e ii

Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e iii

Dans l’optique de faciliter l’intégration de la vie professionnelle et de doter les entreprises

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e iv

LISTE DES ABREVIATIONS

CCIMA : chambre de commerce de l'industrie des mines et de l'artisanat

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page v

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e vi

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e vii

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e viii

Le ecteur bancaire au Cameroun a connu de grandes mutations au cours des

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 1

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 2

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE

Cette partie sera consacrée a la présentation de la structure en chapitre 1 et la

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 3

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 4

extension, l'entreprise ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et a pour ambition

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 5

SECTION 2 : ORGANISATIONS ET FONCTIONNEMENT ET

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 6

A ce titre, il est responsable de la gestion des ressources humaines, techniques et

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 7

Paragraphe II-Le Fonctionnement de la CEFA

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 8

Il a pour rôle la surveillance des opérations menées par la caissière, la gestion

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU Page 9

11.3- Les Ressources immatériels

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 10

CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE

Périodes Tâches effectuées

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 11

compte dans le logiciel et l'archivage des dossiers d'ouverture de

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 12

Paragraphe 2 : les tâches liées aux opérations du back office

Du 20 au 25 juillet Il a été essentiellement question dans ce service de procéder a la

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 13

SECTION 2 : RENCONTREES ET APPORT DU STAGE

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 14

A l'issu de cette partie, ce stage nous a permis de mieux appréhender le

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 15

DEUXIÈME PARTIE : PROCÉDURE DE

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 16

CHAPITRE III : L’ANALYSE THEORIQUE DU

Dans ce chapitre, présentons les types de recouvrements et vous parlé du

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 17

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 18

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 19

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 20

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 21

des parties (art 12 de l'article uniforme sur la procédure simplifiée de recouvrement

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 22

Après le financement, le suivi régulier des échanges et l'identification de tout

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 23

Rédigé et présenté par : CHRISTELLE ELOUNDOU P a g e 24

CHAPITRE IV : ÉVALUATION DU PROCESSUS