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MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE

ADMINISTRATION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1

DOSSIER PEDAGOGIQUE
UNITE DE FORMATION

OPTOMETRISTE :
CONTACTOLOGIE – NIVEAU 2

ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TECHNIQUE DE TYPE COURT

CODE : 91 43 51 U 31 D1
CODE DU DOMAINE DE FORMATION : 905
DOCUMENT DE REFERENCE INTER-RESEAUX

Approbation du Gouvernement de la Communauté française du 22 décembre 2000,


sur avis conforme de la Commission de concertation
OPTOMETRISTE :
CONTACTOLOGIE – NIVEAU 2
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TECHNIQUE DE TYPE COURT

1. FINALITES DE L’UNITE DE FORMATION

1.1. Finalités générales

Conformément à l’article 7 du décret de la Communauté française du 16 avril 1991 organisant


l'Enseignement de promotion sociale, cette unité de formation doit :
 concourir à l’épanouissement individuel en promouvant une meilleure insertion
professionnelle, sociale, culturelle et scolaire ;
 répondre aux besoins et demandes en formation émanant des entreprises, des
administrations, de l’enseignement et, d’une manière générale, des milieux socio-
économiques et culturels.

1.2. Finalités particulières

Cette unité de formation vise à permettre à l’étudiant :


 de mettre en œuvre les habiletés pratiques et les comportements professionnels nécessaires
à la conduite d’une adaptation en lentilles de contact ;

 de mener une réflexion critique sur les différentes étapes de ce type d’adaptation en se
fondant sur les attitudes suivantes :
 le souci permanent du confort du client et d’une communication efficace,
 la recherche et la prise en compte des informations techniques et scientifiques les plus
appropriées,
 le sens des responsabilités dans chaque acte posé (déontologie, sécurité et hygiène).

2. CAPACITES PREALABLES REQUISES

2.1. Capacités
En physiologie et neurophysiologie oculaires, en chimie appliquée et en optique
physiologique :
 expliquer oralement ou par écrit des notions scientifiques ;

 décrire des notions, des concepts et des lois scientifiques liés à ces disciplines en utilisant
les termes les plus appropriés ;

 établir des relations entre les différents concepts, les différencier et les classifier :
 pour la chimie appliquée :
 les systèmes et les réactions chimiques de base et leurs applications dans l’étude des
métabolismes intervenant en physiologie et neurophysiologie oculaires et dans les
matériaux utilisés en contactologie et en lunetterie ;
 pour la physiologie et la neurophysiologie oculaires :
 les rôles, la composition chimique et physique, les métabolismes, les modes de
fonctionnement et les effets régulateurs des différents tissus constituant l’œil et ses
annexes ;
 pour l’optique physiologique :
 les phénomènes suivants : accommodation, convergence, micropsie et macropsie,
phénomènes entoptiques,
 les mécanismes des mouvements oculaires ainsi que les mécanismes à la base de
l’acuité visuelle, du champ visuel, de la perception lumineuse et colorée, de la
qualité et de la taille de l’image rétinienne ;

pour le séminaire de pathologie appliquée :


disposant de la documentation nécessaire (résultats d’examens cliniques, d’examens visuels,
projections,…) et face à une situation problème sollicitant l’analyse d’un dysfonctionnement
visuel lié à au moins deux types de pathologie du segment antérieur,
 identifier et décrire les diverses pathologies ;

 établir des relations entre les dysfonctionnements, les causes, les symptômes, les évolutions
et les traitements ;

 justifier les traitements utilisés tout en tenant compte du niveau de responsabilité et des
limites déontologiques de la profession, des règles d’hygiène à respecter et/ou à faire
respecter, de l’état de santé et de la psychologie du sujet ;

en intégrant des notions pertinentes d’optique physiologique, de physiologie et


neurophysiologie oculaires et d’optométrie de base, expliciter la réception, la transmission
et l’intégration du message visuel au niveau de la rétine et des voies visuelles ;

en contactologie :
sur le plan de la pratique,
 mettre en œuvre les habiletés et les comportements opérationnels pour, en toute sécurité,
 vérifier le réglage, la propreté et le bon fonctionnement des appareils mis à sa
disposition ;
 effectuer des actes constitutifs d’une adaptation en lentilles de contact de base :
 observation du client,
 observations, mesures et évaluations préalables à l’adaptation,
 choix de la première lentille d’essai, en tenant compte des indications et contre-
indications,
 conseils appropriés au porteur afin qu’il applique les mesures à prendre en matière
d’entretien, de stockage, de manipulation et d’auto-observation ;
 justifier la méthodologie appliquée, la démarche, les appareils utilisés en faisant
référence aux notions d’anatomie, de physiologie oculaire, aux principes d’optique, de
chimie et de physique intervenant en contactologie et en expliquant les résultats obtenus
par rapport aux normes standards ;
 appliquer les procédures requises pour identifier, mesurer, évaluer et vérifier les
paramètres des lentilles ainsi que l’état des surfaces, du bord et pour reconnaître les
dépôts et y remédier ;

 prendre les mesures requises pour assurer la conservation dans le temps des lentilles
(entretien, manipulation, durée de vie,…) et déterminer le meilleur entretien en fonction du
matériau ;

sur le plan de la théorie, y compris la microbiologie et la pharmacologie,


 pour l’évaluation de l’œil, de ses annexes (avant, au cours et après adaptation) et de la
lentille sur l’œil (ajustement statique et dynamique) :
 expliquer l’utilité fonctionnelle des appareils, des éclairages, des grossissements et des
tests utilisés en adaptation de lentilles de contact ;
 établir les relations fonctionnelles entre leur utilisation et le type d’informations
recherchées au cours d’une adaptation, comparer et commenter les résultats donnés avec
les normes anatomiques et physiologiques ;

 expliquer, en termes techniques précis, les notions et les principes mis en jeu lors d’une
adaptation en lentilles de contact (optique géométrique, chimie, physique, optométrie) ;

 décrire en détail les grandes familles de lentilles et les classer sur base des critères
suivants :
 propriétés des matériaux,
 procédés de fabrication, normes et tolérances, procédés et critères de retouche,
 indications et contre-indications ;

 expliquer, en fonction d’un type de lentille, la méthodologie à respecter pour :


 manipuler des lentilles (pose, dépose, recentrage) ;
 mesurer les paramètres et déterminer la géométrie ;
 contrôler l’état des surfaces, du bord et identifier les dépôts ;
 entretenir les lentilles et l’étui ;
 stocker les lentilles ;

 élaborer un « dossier client » pouvant être utilisé par tout autre professionnel ;

 face à un cas type donné, mettre en œuvre une stratégie d’analyse permettant de déterminer
si le cas est adaptable et, le cas échéant, proposer la lentille « idéale » :
 en mettant en évidence les éléments pertinents dans l’anamnèse, les observations et les
mesures données,
 en appliquant les principes de base de l’adaptation ;

 expliquer pour une lentille donnée :


 géométrie et paramètres,
 principe d’adaptation,
 adaptation idéale respectant la physiologie de la cornée, avec un ajustement statique et
dynamique parfait et assurant une vision de qualité,
et reconnaître une lentille sur base de ces données ;

 appliquer les normes d’hygiène et de sécurité en s’appuyant sur les principes et les lois de
la microbiologie et de la pharmacologie :
 identifier les principaux agents infectieux ;
 décrire les modes d’actions d’agents antimicrobiens ;
 expliquer les différentes phases galénique, pharmacocynétique et pharmacodynamique
des médicaments ;

en optométrie :
sur le plan de la pratique et de l'éducation visuelle :
face à un cas réel « type »,
 mettre en oeuvre les habiletés et les comportements opérationnels pour :
 vérifier le réglage et le bon fonctionnement des appareils mis à sa disposition ;
 établir par un questionnement judicieux l’anamnèse de base du client ;
 procéder aux mesures et aux observations préliminaires à l’examen visuel ;
 mesurer et évaluer la fonction visuelle en effectuant l’examen visuel de base
comprenant au minimum :
 la détermination de l'acuité visuelle et de l’emmétropisation,
 l’évaluation complète des aptitudes accommodatives et de la vision binoculaire,
 l’évaluation de la perception colorée, de la sensibilité aux contrastes, des champs
visuels ;
 analyser correctement les résultats des observations, des mesures et du testing pour
établir le bilan visuel du client ;
 appliquer, sur des sujets non strabiques, les procédures, les méthodes et le testing
permettant d’établir les habiletés visuo-motrices et visuo-perceptuelles ;
 élaborer une fiche « client » de base ;

sur le plan de la théorie, en ce qui concerne l’optométrie classique et fonctionnelle :


 définir le contenu et la structuration d’une anamnèse de base ;

 expliquer l’utilité fonctionnelle des appareils et des tests d’optométrie classique et


fonctionnelle, établir les relations fonctionnelles entre leur utilisation et le type
d’informations recherchées lors d’un examen optométrique, préciser (par rapport aux
normes) les résultats attendus en ce qui concerne les mesures et les observations ;

 à partir d’un cas théorique, mettre en oeuvre une stratégie d’analyse, choisir la méthode de
résolution la plus appropriée et mener une réflexion critique sur les tests optométriques
disponibles :
 en tenant compte des buts, des moyens et des limites de l’optométrie et en les
explicitant si nécessaire ;
 en appliquant les normes, les règles et les formules physiques, physiologiques et
optométriques ainsi que les méthodes d’analyse les plus pertinentes ;
 expliquer comment fonctionnent les différents mécanismes à la base de la vision, à
savoir : acuité visuelle, accommodation statique et dynamique, convergence, fusion
(trois degrés) et expliquer comment les mesurer et interpréter les résultats obtenus ;

 expliquer comment mettre en évidence et mesurer les anomalies du système visuel et


remédier (prévenir, compenser, influencer, corriger) en ce qui concerne la mise à foyer, la
biocularité, la binocularité, la fusion, la perception des couleurs et des contrastes, le champ
visuel et expliquer les étiologies de ces dysfonctionnements ;

 expliquer pour chaque étape de l’examen visuel de base, le but, les moyens, les principes,
les méthodes à disposition et les modes d’interprétation des résultats ;

face à des cas théoriques et disposant des résultats (anamnèse, dépistage, testing,…), en
justifiant la méthode d’analyse,
 formuler un pré-diagnostic dans une perspective holistique de prévention en explicitant :
 les étiologies, les moyens de dépistage et de mesure ou les méthodes d’anamnèse, de
testing, de prescription et de compensation des différents types de vision rencontrés
dans l’anisométropie,
 l’utilisation correcte de l’équipement,
 les effets de l’aniséiconie sur une ou plusieurs composantes de la vision,
 les différents principes à la base de l’entraînement visuel,
 les différents exercices et leurs indications en ce qui concerne les habiletés visuelles
(pyramid level concept) ;

 prendre conscience de l’apport de l’approche fonctionnelle dans l’analyse du bilan


optométrique ;

en technologie optique :
 sur le plan pratique, réaliser, après prise de mesures, un équipement prêt à être présenté au
client, monté avec tout type de verre (géométrie, matériau, forme, épaisseur), respectant les
spécifications minimales exigées, justifier le choix des méthodes de réalisation (matériel,
matériau et procédé) et l’ajuster à un client ;

 sur le plan théorique :


 discuter des caractéristiques d’un verre en tenant compte de l’évolution des technologies
et des matériaux ;
 conseiller le client en argumentant sur des données fiables (calcul du poids, avantages et
inconvénients, possibilités du marché,…) ;

 sur le plan de l’optique instrumentale et de l’optique physique :


face à des problèmes d’optique physique et instrumentale,
 mettre en œuvre une stratégie d’analyse de la situation et choisir la méthode de
résolution de problème la plus appropriée :
 en appliquant les règles de calcul, les formules et les lois les plus pertinentes sur le
plan opératoire ;
 en validant les résultats obtenus par une méthode de contrôle ;

 décrire un instrument d’optique, justifier ses caractéristiques et son mode d’utilisation,


calculer les grandeurs d’images, les champs, le pouvoir séparateur et la clarté ;
 appliquer les notions d’optique physique :
 aux couches anti-reflets,
 au tensiscope,
 aux procédés interférentiels de mesure,
 à la limitation du pouvoir séparateur par la diffraction,
 aux filtres polarisants,
 aux réseaux.

2.2. Titres pouvant en tenir lieu

Attestations de réussite des unités de formation « Opticien-optométriste : formation


scientifique – niveau 2 » code N° 914341U31D1, « Optométriste : contactologie – niveau 1 »
code N° 914350U31D1, « Optométriste : optométrie – niveau 1 » code N° 914347U31D1 et
« Opticien-optométriste : technologie optique – niveau 2 » code N° 914345U31D1.

3. HORAIRE MINIMUM DE L’UNITE DE FORMATION

3.1. Dénomination des cours Classement Code U Nombre de périodes


des cours
Contactologie théorique CT B 32
Contactologie : travaux pratiques PP C 96
Pharmacologie oculaire CT B 32
Séminaire de pathologie appliquée CT F 64
Séminaires scientifiques et techniques, y CT F 16
compris yeux artificiels
3.2. Part d’autonomie P 60
Total des périodes 300

4. PROGRAMME

L'étudiant sera capable :

4.1. en contactologie théorique :

 d'expliciter les champs d'application de la contactologie dans :


 l'investigation préalable à l'adaptation,
 le choix de l'équipement,
 le suivi à assurer,
 le niveau de responsabilité ;

 d’analyser des dossiers d’adaptation :


 de décrire les attentes et les besoins de tout type de porteur potentiel (astigmate, presbyte,
patient atteint de kératocône, opéré de chirurgie réfractive ou nécessitant une lentille
esthétique, sportif,…) ;
 d’expliquer les indications et les contre-indications au port de lentilles en fonction des
problèmes visuels, de l’histoire de cas, des données obtenues suite aux mesures et aux
observations préalables (biométrie, biomiscroscopie, kératométrie,…) ;
 de conseiller parmi les lentilles disponibles sur le marché (tout matériau, toute géométrie),
le(s) type(s) d’équipement en lentilles le(s) plus approprié(s) à la demande du porteur tout en
respectant les éventuelles contraintes environnementales, visuelles, physiologiques,… ;
 de sélectionner parmi les types de lentilles disponibles celui qui convient le mieux à la nature
du problème et de justifier son choix en exposant les avantages et les inconvénients des
solutions qui pourraient être envisagées ;
 de prévoir le niveau de compensation en fonction du type de lentilles utilisées et d’indiquer
les limites du port ;
 d’expliquer les mesures et les observations à effectuer avant toute adaptation en fonction du
type de lentilles ;
 de déterminer les paramètres de la première lentille d’essai et de planifier la progression de
port et les contrôles ;
 de calculer le coût des lentilles et de leur entretien selon la formule adoptée, en tenant
compte de l'intervention des assurances et de la sécurité sociale ;
 de proposer éventuellement un suivi médical auprès d’un spécialiste ;
 d’expliciter les démarches entreprises, notamment pour :
 l’équipement d’un œil astigmate : expliquer comment mesurer les différentes
composantes de l’astigmatisme (total, cornéen, interne), calculer l’astigmatisme résiduel,
induit et l’équivalent sphérique, énumérer les différents types de lentilles rigides et
souples disponibles sur le marché permettant de corriger un astigmatisme et expliquer
pour chacune d’elles le principe de correction ;
 l’équipement des presbytes : déterminer les dominances visuelles par observation et par
mesure, énumérer les différents types de lentilles présentes sur le marché en matière de
correction de la presbytie et expliquer pour chacun des types le principe de correction ;
 les lentilles à remplacement fréquent : décrire la philosophie inhérente à chaque
fréquence de remplacement ;
 l’adaptation post-opératoire : décrire les antécédents oculaires, liés aux différentes
chirurgies ;
 les équipements spéciaux : adapter sa méthodologie à chaque type d’équipement
(orthokératologie, équipements de sportif, kératocône, lentille thérapeutique, à iris
peint,...) ;
 toute nouvelle lentille sur le marché : adapter sa démarche, son approche ainsi que la
méthode d’adaptation en fonction du matériau et de la géométrie de la lentille ;

 de développer des compétences d’évaluation de la topographie de l’œil :


 de décoder des informations (images tangentielles, sagittales, profil fluo, images en 3D,…)
fournies par des cornéo-topographes ;
 de quantifier les excentricités cornéennes ;

 d’évaluer les risques de complications oculaires suite au port de lentilles :


 d’expliquer les modalités d’observation des différents milieux oculaires et leurs propriétés
(aspect normal, douteux) ;
 d’expliquer les principaux symptômes subjectifs (temps de port, entretien, confort,…) et
objectifs (qualité de la vision, état du segment antérieur,…) liés au port de lentilles ainsi que
les méthodes d’investigation ;
 de décrire les besoins physiologiques de l'œil ainsi que les signes précurseurs d’un
problème ;
 de préciser les contre-indications susceptibles de justifier une référence à un autre
professionnel ;
 d’énumérer les principales causes de complications liées au port de lentilles et d’expliquer
les incidents visuels et oculaires les plus fréquents (auto-observation) ;
 de cerner ses propres limites (envoi chez un spécialiste en cas de doute) ;
 de fixer le schéma de la durée du port de lentilles (horaire) ;
 de planifier un suivi de cas en fonction d’un type de lentille, du besoin du client, d’établir un
calendrier des séances de contrôle, d’expliquer l’importance du suivi et des contrôles et de
tenir le dossier «adaptation » à jour ;

 de déterminer les opérations de suivi pour les retouches :


 de décrire le matériel approprié et d’expliquer son utilisation ;
 d’expliquer les techniques, la procédure et l’instrumentation utilisées pour les retouches
(réduction du diamètre, modification des zones de transition,…) ;
 de décrire les normes d'application pour l'installation d'un atelier de retouches ;

4.2. en contactologie : travaux pratiques :

par une participation assidue aux différentes activités,


 de mettre en oeuvre d’une manière opérationnelle et autonome des compétences et des
comportements professionnels dans les différents aspects de l’exercice de la profession ;

 de procéder avant, pendant et après l’utilisation aux réglages et à l'entretien courant de toute
l'instrumentation requise à la pratique de la contactologie, d'utiliser les instruments et d'assurer
les diverses manipulations dans les règles de l'art en tenant compte :
 des règles d'hygiène, d'asepsie et de sécurité,
 des normes et modes de contrôle pour en assurer la fiabilité,
 des spécificités d’utilisation (matériel, utilisateur, client, …),
 des distances requises,
 du niveau de responsabilité,
 du public concerné,
et d’aménager son poste de travail afin d’assurer le maximum de confort au client ;

 d’adopter une attitude d’écoute, d’empathie, de patience, de courtoisie, de politesse vis-à-vis du


client et d’adapter son langage au client ;

 d’agir avec jugement, sens des responsabilités et esprit de décision (devoirs et obligations vis-à-
vis du client, conscience de ses limites propres et professionnelles,…) ;

 d’élaborer un dossier d’adaptation complet, de le tenir à jour, de l’analyser et de rédiger un


rapport destiné à un autre professionnel :
 renseignements généraux, états de santé et antécédents oculaires et généraux, traitements
pharmacologiques, traumatismes accidentels ou volontaires, allergies,…,
 anamnèse,
 correction portée,
 conditions de port (milieu de travail, loisirs,…),
 caractéristiques physiques du client, ses attitudes et ses réactions,
 besoins visuels, problèmes et plaintes, motivation, facteurs psychologiques ;
 d'effectuer les observations et les mesures préalables à l'adaptation en mobilisant les notions, les
pratiques et les méthodologies et de noter avec exactitude et précision le résultat sur la fiche
d'adaptation :
 de procéder à l'examen biomicroscopique de la conformité du segment antérieur de l'œil et
de ses annexes, de mettre en évidence et d’évaluer l’importance de problèmes éventuels ;
 de mettre en évidence l'évolution de certaines altérations des tissus oculaires en utilisant les
éclairages spécifiques ;
 d’effectuer une biométrie de l'œil, de tester la qualité et la quantité des larmes et d’évaluer
l'incidence sur l'adaptation ;
 d’effectuer les relevés kératométriques et topographiques de la cornée en vue de déterminer
la topographie cornéenne et la présence éventuelle d'un astigmatisme régulier ou
irrégulier,... ;
 de décoder les images données par la cornéo-topographie et de différencier les déformations
mécaniques (warrepage) des déformations physiologiques ;
 de mener un examen optométrique binoculaire subjectif et objectif ;

 sur base de l'anamnèse, des observations, des prises de mesures et des méthodes d’adaptation
propres à chaque type de lentilles :
 de décider d’adapter ou non en lentilles et de justifier sa décision auprès du client ;
 de choisir la 1ère lentille d'essai parmi les lentilles disponibles sur le marché [tout matériau
(rigides, RPG, souples), tout type (unifocal, torique, bifocal, asphérique), toute
géométrie,…] ;
 de l'adapter correctement en procédant aux opérations suivantes :
 établir les paramètres d'une lentille de première intention c.à.d. déterminer les données
suivantes :
 caractéristiques physico-chimiques (matériau, Dk, ionicité, taux d'hydratation pour
une lentille souple,...),
 type, géométrie et différents paramètres de la lentille,
 puissances ;
 poser et centrer la lentille en donnant au client les instructions d'usage afin que cet acte se
déroule de façon optimale ;
 effectuer le contrôle de la qualité de la vision en pratiquant à l'aide du phoroptor une
surréfraction, lentilles en place, à mettre en rapport avec l'examen optométrique
préalable ;
 observer le comportement de la lentille in situ et les réactions du client :
 évaluer la tolérance de la lentille et le confort du client par un questionnement
approprié ;
 évaluer le centrage statique et dynamique ainsi que le déplacement de la lentille
(mouvement, amplitude, direction de mouvement, dynamisme, …) ;
 pour les lentilles rigides uniquement, analyser l'adaptation après instillation de
fluorescéine, observer et interpréter l'image sous éclairage adéquat ;
 pour les lentilles souples, analyser le déplacement de la lentille au clignement ;

 de faire une synthèse des résultats de l'observation et des mesures, de noter avec précision les
résultats sur la fiche d'adaptation et de prendre les dispositions requises pour l'étape suivante ;

 de retirer la lentille et de mener des observations complémentaires de l’intégrité de l’œil :


 de donner au porteur les instructions nécessaires afin d'en faciliter le retrait et de le rendre
plus confortable ;
 d’observer l'intégrité du segment antérieur de l'œil à la biomiscroscopie, sous fluorescéine et
éclairage adéquat ;

 de déterminer la seconde lentille d'essai en fonction des diverses observations, des mesures et
des réactions du client ;

 de reproduire autant que nécessaire le schéma ci-dessus dans la perspective de la recherche du


meilleur résultat (choix, pose, contrôle,...) ;

 de donner les informations et les instructions suivantes au client :


 lui expliquer les différentes possibilités en tenant compte du coût des lentilles, de leur
entretien et de l'éventuelle intervention de la sécurité sociale ;
 le former à la pose et au retrait des lentilles et l'informer des difficultés pouvant se produire
et des solutions à apporter ;
 lui expliquer l'entretien des lentilles :
 hygiène, schéma d'entretien, manipulation, étui,
 différentes étapes : nettoyage, aseptisation, rinçage, conservation,
 produits de confort et de pose,
 observation des dépôts ;

 lui expliquer le schéma de la durée de port ;


 fixer avec lui le calendrier des séances de contrôle ;
 l’informer quant aux incidences visuelles et oculaires (auto-observation) ;

 d'effectuer une séance de contrôle type :


 de recueillir les informations sur les symptômes subjectifs liés au port et à l’entretien des
lentilles ;
 de vérifier la réfraction, lentilles en place, à l'aide de l'appareillage requis ;
 d’observer au biomicroscope, à l'aide de l'éclairage requis, le comportement de la lentille sur
l'œil afin de vérifier le centrage et le dynamisme ;
 de faire retirer la lentille par le client, en s'assurant qu'il la manipule correctement ;
 d’observer, notamment sous fluorescéine, l'intégrité du segment antérieur de l'œil et de ses
annexes dans le but de déceler tout problème éventuel ;
 de vérifier les modifications éventuelles de la cornée notamment à l’aide d’un kératomètre et
d’analyser l’évolution de sa forme à l’aide du cornéo-vidéotopographe ;
 si nécessaire, de vérifier la réfraction et de la rectifier, d’observer l'état des lentilles au
microscope (bord, dépôts,...) ;
 de préparer l'œil avant de remettre les lentilles ;
 en fonction des différentes mesures et observations, de déterminer les actions à entreprendre ;
 d’analyser l’évolution des tissus oculaires au biomicroscope ;

 de commander la(les) lentille(s) et de la(les) réceptionner, à savoir :


 déterminer de façon complète et précise les paramètres, le type, le matériau et la puissance
de la lentille ;
 commander la lentille définitive ;
 réceptionner la lentille et vérifier sa conformité :
 vérification des paramètres et des puissances,
 observation des surfaces, du bord et des zones de dégagement ;

 d’assurer l'entretien des lentilles :


 d’observer les dépôts (type, quantité, concentration,…) à l'aide de l'appareillage requis et en
respectant les notions acquises précédemment ;
 de prendre les mesures nécessaires pour en assurer le nettoyage ;
 de donner au client les instructions nécessaires pour diminuer les dépôts ultérieurement ;

 d’effectuer des retouches de lentilles en tenant compte des normes et des contraintes légales :
 sur des lentilles finies :
 amincir l'épaisseur du bord après observation au projecteur de profil ;
 effectuer le changement de la valeur dioptrique (en concave, par amincissement du centre
de la zone optique et, en convexe, par amincissement de la périphérie de la zone optique) ;
 polir les surfaces antérieure et postérieure ;
 sur des lentilles semi-finies :
 mettre la lentille semi-finie à diamètre ;
 façonner les dégagements en rapport avec les conclusions de l'essai d'adaptation ;
 amortir les zones de transition des dégagements ;
 façonner et rouler les bords en rapport avec l'épaisseur demandée ;
 graver des repères d'identification ;

 d’organiser le management de la pratique, à savoir :


 installer et entretenir un cabinet d'adaptation (hygiène-équipement) ;
 gérer le cabinet :
 management de la clientèle (fichier clients, agenda, gestion des rendez-vous),
 prise de décisions (orientations à prendre),
 contacts avec les fournisseurs et gestion des achats,
 contacts avec les collègues et les professions connexes ;

4.3. en pharmacologie oculaire :

face à des documents (articles technico-scientifiques, posologies, histoires de cas,...) ou à


l'intervention de personnes ressources,
 d’identifier et de différencier les classes de médicaments ophtalmiques (indications, contre-
indications, modes d’action, propriétés et caractéristiques,...) :
 les médicaments des infections oculaires : les antiseptiques, les sulfamides, les antibiotiques,
les antiviraux et les antifongiques,
 les médicaments des inflammations oculaires : les antiallergiques et les anti-inflammatoires,
 les mydriatiques et les myotiques,
 les médicaments du glaucome,
 les décongestionnants,
 les anesthésiques locaux,
 les médicaments utilisés à des fins de diagnostic,
 les médicaments de l’appareil visuel (cataracte, strabisme,...),
ainsi que les larmes artificielles ;

 de mettre en relation les médicaments oculaires avec leur fonction sur le S.N.A. ;

 d’identifier :
 les effets secondaires, indésirables et toxiques des médicaments ophtalmiques,
 les effets indésirables et toxiques des médicaments systémiques sur le système oculaire,
 les problèmes liés aux interactions médicamenteuses et aux interactions rencontrées lors du
port de lentilles de contact ;

4.4. en séminaire de pathologie appliquée :

face à des analyses de cas (simulations) et/ou des documents probants réalisés à l’aide d'appareils
appropriés (biomicroscope, ophtalmoscope,...), l’anamnèse étant mise à sa disposition,
 de mettre en oeuvre des techniques d’observation diversifiées, des démarches méthodologiques
(raisonnement et questionnement) ainsi que des connaissances pour :
 déceler la présence de dysfonctionnements de la vision ;
 identifier les symptômes subjectifs et objectifs liés à une maladie largement rencontrée ;

 d'expliquer en utilisant, d'une manière appropriée, le vocabulaire scientifique et technique :


 le but et le principe des tests utilisés pour diagnostiquer les différents types de pathologie,
 l'opportunité de recourir à des appareils différenciés,
 les dysfonctionnements de la vision liés aux diverses pathologies,
 les examens approfondis à solliciter auprès d'un spécialiste ainsi que les traitements
médicaux et/ou chirurgicaux ;

 de justifier les conclusions qu’il tire de ses observations en se fondant sur :


 les caractéristiques d’un fond d’œil normal et des différents milieux oculaires,
 les symptômes objectifs et subjectifs liés à la pathologie observée,
 les éléments significatifs de l’anamnèse disponible,
 les modes opératoires de l’observation scientifique ;

 de mettre en relation des cas observés avec les attitudes et les comportements professionnels en
tenant compte des règles de déontologie et des dispositions légales auxquelles l’opticien-
optométriste doit se conformer ;

 de mobiliser des connaissances (définitions, étiologies, diagnostic, symptômes objectifs et


subjectifs, évolutions, traitements), des techniques de questionnement y compris des tests, à
savoir :
 les diverses pathologies :
 de la sclérotique : traumatismes, inflammations, dégénérescences, tumeurs ;
 de l'uvée :
 pour l'iris : anomalies congénitales, infections traumatiques, inflammations, tumeurs ;
 pour le corps ciliaire : inflammations ;
 de la choroïde : maladies héréditaires, inflammatoires et dégénératives, troubles de la
circulation, tumeurs ;
 de la pupille : réflexes pupillaires, troubles de la dynamique et de la statique pupillaire ;
 du cristallin : cataractes, luxations, malformations ;
 du vitré : dégénérescence, infections, hémorragies, décollement ;
 du fond de l'œil :
 papille et nerf optique,
 vaisseaux sanguins,
 rétinopathies hypertensive, diabétique et diverses,
 rétine proprement dite ;
 des voies optiques : nerf optique, chiasma,... ;
 du globe oculaire : variations de volume, déplacements et déviations, nystagmus,...
consécutifs à une tumeur ;
 les troubles de la pression intra-oculaire :
 hypotonie,
 hypertonie : glaucomes à angle ouvert, à angle fermé, congénital, secondaire ;

4.5. en séminaires scientifiques et techniques, y compris yeux artificiels :

face à des personnes ressources susceptibles d’animer des séminaires portant sur l’évolution de
la recherche biomédicale, des sciences appliquées et des nouvelles technologies liées au domaine
de la contactologie,
 de préparer judicieusement sa participation au séminaire par des recherches documentaires
portant sur le thème traité pour :
 aborder, d’une manière judicieuse, les thèmes évoqués et en tirer le meilleur profit ;
 poser des questions cohérentes et les commenter s’il le juge opportun ;

 de prendre des notes, de les restructurer pour en réaliser une synthèse personnelle établissant des
relations avec le domaine de la contactologie ;

 d’expliquer les différents types d’yeux artificiels et leurs modes d’adaptation et d’entretien.

A titre d’exemple, thèmes à privilégier :


 évolution des matériaux et de recherches associées : dépôt, perméabilité à l’oxygène,…,
 évolution des techniques de mesure et d’observation et leur transfert vers d’autres secteurs,
 évolution du secteur : analyse des besoins, normes de qualité, de sécurité et d’hygiène,
 environnement de travail et problèmes de vision.

5. CAPACITES TERMINALES

Pour atteindre le seuil de réussite, l’étudiant devra prouver qu’il est capable :

En contactologie :
sur le plan de la pratique,
 face à un cas réel, d’utiliser les méthodes et les moyens nécessaires et de mettre en œuvre les
habiletés et les comportements opérationnels pour procéder à une adaptation partielle ou
complète en lentilles de contact, ce qui comprend :
 vérifier le réglage, la propreté et le bon fonctionnement des appareils mis à sa disposition ;
 établir, par un questionnement judicieux, l’anamnèse complète du client, tout en ayant à sa
disposition les données optométriques ;
 effectuer les mesures et les observations préalables appropriées à un cas en vue de
déterminer l’aptitude à être adapté en lentilles et justifier sa prise de position ;
 déterminer le type de lentilles à adapter, sur base d’un échantillonnage varié de lentilles
rigides, rigides perméables aux gaz et souples, unifocales et multifocales, sphériques et
toriques, et justifier son choix ;
 déterminer la compensation optométrique nécessaire ;
 procéder à l’adaptation des lentilles d’essai ;
 évaluer l’adaptation des lentilles et leurs performances à l’aide des instruments requis,
suggérer les modifications à apporter et en discuter ;
 en fonction des essais, établir les paramètres de la lentille idéale ;
 établir une fiche « client » susceptible d’être utilisée par tout autre professionnel ;
 donner au client les directives et les conseils appropriés en matière de pose et de dépose,
d’entretien et de durée de port ;

sur le plan théorique,

 de définir le contenu et la structuration logique d’une anamnèse complète :


face à un cas théorique donné,
 de mobiliser ses connaissances pour analyser, évaluer et proposer des solutions adaptées ;
 de mettre en œuvre un développement logique adapté au cas ;
 d’élaborer des dossiers complets ou partiels d’adaptation de tout type de lentilles de contact
en tenant compte des attentes et des besoins du client (tout type de porteur amétrope ou non),
des contraintes environnementales, visuelles et physiologiques, des lentilles disponibles sur
le marché, en complétant chaque étape ;
 de justifier :
 l’aptitude au port,
 les indications et les contre-indications,
 le mode de détermination des caractéristiques et des paramètres de la meilleure lentille (y
compris de la puissance),
 les modalités de port et d’entretien et l’évaluation des risques de complications oculaires,
 le calcul du coût des lentilles et de leur entretien selon la formule adoptée et les
interventions des assurances et de la sécurité sociale,
 le planning pour les séances de contrôle et, le cas échéant, un suivi médical ;

 d’expliquer chacun des actes requis pour l’adaptation, les mesures et les observations à effectuer
avant, pendant et après l’adaptation, pour tout type de lentilles (rigides, rigides perméables aux
gaz, souples, sphériques, asphériques, toriques, unifocales, multifocales,…) et tout type de
porteur (notamment les astigmates, les presbytes, les porteurs occasionnels, les opérés, les
sportifs,…) ;
 de décoder des données relatives à une lentille ou à un œil adapté, de les analyser, de les
quantifier, de les qualifier et de les commenter (description, diagnostic, pronostic, remédiation) ;

 à partir de documents sur support multimédia, d’expliquer les principes à la base d’équipements
plus particuliers, les modes d’adaptation, les outils à disposition (matériel, lentilles,…), tels
l’orthokératologie, le port permanent,… ;

 de mener, à partir d’un cas théorique, une réflexion critique portant sur les indications et les
contre-indications et de proposer une stratégie d’adaptation en justifiant les choix opérés ;

en pharmacologie oculaire :

 de mobiliser ses connaissances de l’usage, de la composition, des propriétés et des concepts des
médicaments pour :
 identifier et différencier les classes de médicaments ophtalmiques (indications, contre-
indications, modes d’action, propriétés et caractéristiques,…) ;
 expliquer leur implication et les interactions sur l’œil, la vision et le S.N.A. ;
 à partir d’une anamnèse, prévoir les effets secondaires, indésirables et/ou toxiques d’une
médication ;

 d’expliquer les principes pharmacologiques des agents pharmaceutiques utilisés dans la pratique
ophtalmique ;

en pathologie appliquée :

disposant de la documentation nécessaire (résultats d’examens cliniques, d’examens visuels,


documents multimédias,…) et face à une situation-problème sollicitant l’analyse d’un
dysfonctionnement visuel lié à au moins deux types de pathologie du segment postérieur et des
voies optiques,

 d’expliquer les techniques d’examen à mettre en œuvre pour détecter une pathologie affectant
l’œil ou la vision ;

 d’identifier et de décrire les diverses pathologies ;

 d’établir des relations entre les dysfonctionnements, les causes, les symptômes, les évolutions et
les traitements ;

 de justifier les traitements utilisés tout en tenant compte du niveau de responsabilité et des
limites déontologiques de la profession, des règles d’hygiène à respecter et/ou à faire respecter,
de l’état de santé et de la psychologie du sujet.

Pour la détermination du degré de maîtrise, il sera tenu compte :


 de la clarté et de la fiabilité du raisonnement scientifique,
 du niveau d’abstraction mis en œuvre,
 de sa capacité à utiliser des documents de référence en anglais,
sur le plan de la pratique :
 de la manipulation correcte des instruments (dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité,
du respect des distances requises, des spécificités d’utilisation en fonction du sujet,…),
 de la clarté et de la précision du questionnement et de l’expression en général,
 du respect du timing et du déroulement du testing dans l’exécution de l’examen visuel ainsi que
de la gestion du temps,
 de la qualité de la synthèse ;

sur le plan de la théorie :


 des capacités du candidat à développer une argumentation pertinente face à des questions
posées,
 des capacités à dégager, ordonner et mettre en valeur les points essentiels,
 de sa maîtrise des techniques de communication, de la précision et de la rigueur dans l'emploi
du vocabulaire scientifique.

6. CHARGE(S) DE COURS

Un enseignant ou un expert.

Pour le séminaire de pathologie appliquée, un expert qui peut justifier d’une expérience
professionnelle dans l’application des sciences biomédicales ou médicales.

Pour la contactologie théorique et la contactologie : travaux pratiques, un expert qui peut justifier
d’une expérience professionnelle dans la maîtrise de la contactologie.

Pour la pharmacologie oculaire et les séminaires scientifiques, un expert qui peut justifier d’une
expérience professionnelle en sciences biomédicales, biochimiques, pharmaceutiques ou
chimiques.

7. CONSTITUTION DES GROUPES OU REGROUPEMENT

Pour le cours de « contactologie : travaux pratiques » : un maximum de deux étudiants par poste de
travail.

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