CTXPR Bezout Gauss

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Arithmétique

BEZOUT
I.M. Lycée Cormontaigne - METZ
I - INTRODUCTION
𝑃𝐺 𝐶 𝐷 ( 11;3¿) 1
Peut − on trouver 𝑢𝑒𝑡 𝑣 entiersrelatifs tels que 11𝑢+3 𝑣=1 ?
Recherche part â tonnements : Autres solutions possibles ?
11 𝑢+3 𝑣=1 11 𝑢+3 𝑣=1
−11 +12=1 2 2 −21=1
11 ×(−1)+3 × 4=1 11 ×2+ 3 ×( −7)=1
( −1 ; 4 ) est solution ( 2 ; −7 ) est solution 𝑢 𝑣
Peut − on trouver 𝑢𝑒𝑡 𝑣 entiersrelatifs tels que 13 𝑢+8 𝑣=17 ?
Recherche part â tonnements?: ? 𝑃𝐺 𝐶 𝐷 ( 13 ;8¿ ) 1 𝑅𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 X Y
17 −13 𝑋 -3 7
Avecla calculatrice : Isoler 𝑣 𝑌 1=
8 +8 −13
5 -6
17 − 13 𝑢
13 𝑢+ 8 𝑣=17 ⟺
𝑣=
8
𝐶h𝑜𝑖𝑠𝑖𝑟 𝑙𝑒𝑠𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖è𝑟𝑒𝑠 + 8 13 -19 −13
Par exemple:13 × ( − 3 ) + 8× 7=¿−39 +56=17 ( −3 ;7 ) est solution
Peut − on trouver 𝑢𝑒𝑡 𝑣 entiersrelatifs tels que 6 𝑢+8 𝑣=106?𝑢+ 8 𝑣=11 ? aucune solution
Simplification: Solution (:3 ; −1 )
6 𝑢+8 𝑣=10 ⟺3 𝑢+4 𝑣=5 9 − 4=5 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑒 2 𝑛𝑜𝑛𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑒 2
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3 × 3+ 4 ×(−1)=5 𝑃𝐺 𝐶 𝐷 ( 6 ;8 )
II – THEOREME DE BEZOUT
A – EQUATION DIOPHANTIENNE
Onappelle équationdiophantienneuneéquation polynomiale à coefficients entiers et dont on recherche les solutions enti ères.

Dans ce chapitre , on é tudie les é quations d inconnues𝑢 et 𝑣 , de la forme :𝑎𝑢+𝑏𝑣 =𝑐 .
B – IDENTITE DE BEZOUT
Soient 𝑎et 𝑏deux entiers relatifs non nuls . ou
Soit 𝑑=𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎;𝑏).
Il existe 𝑢 et 𝑣 entiersrelatifs 𝑡𝑒𝑙𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑑.
:

Ce th é ∨è me justifie l existence de solutions . Si ,
alors divise toute combinaison
Ces solutions ne sont pas uniques . linéaire de et .
La r é ciproque est fausse :
′ ′
Sil é quation 𝑎𝑢+ 𝑏 𝑣=𝑐 poss è de des solutions , on n a pas forc é ment 𝑐= 𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎 ; 𝑏).
6 × 3+ 4 ×5=38 𝑃𝐺𝐶𝐷(6 ;4 )= 2 𝑃𝐺𝐶𝐷(6 ;4 )| 6𝑃𝐺𝐶𝐷(6 ;4 )| 4
( 3 ;5 ) est solutionde 6 𝑢+4 𝑣 =38 𝑃𝐺𝐶𝐷(6 ;4 )≠ 38 𝑃𝐺𝐶𝐷(6;4 )|6 𝑢+4 𝑣𝑃𝐺𝐶𝐷(6;4 )|38
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Soient 𝑎et 𝑏deux entiers relatifs non nuls .
Soit 𝑑=𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎;𝑏).
Il existe 𝑢 et 𝑣 entiersrelatifs 𝑡𝑒𝑙𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑑.

DEMONSTRATION D é montrons que 𝛿≤ 𝑑


Division euclidienne de par :
Soient 𝑎et𝑏deux entiers relatifs non nuls O:
}
(si a>0)
𝐸 contient |𝑎|car𝑎× ( −1 ) +𝑏 × 0> 0 ( si a < 0)
𝐸 est une partie de ℕ non vide
donc 𝐸admet un plus petit é lé ment
2
not é 𝛿telque est de la forme 𝑟 ≥0
𝛿=𝑎 𝑢+𝑏 𝑣 ( 𝑢 ; 𝑣 ) ∈ ℤ 𝑒𝑡 𝑎𝑢+𝑏𝑣 > 0
D é montrons que 𝛿=𝑑
D é montrons que 𝑑 ≤ 𝛿 Si ,
∈E
𝐼 𝑀𝑃𝑂𝑆𝑆𝐼𝐵𝐿𝐸
𝑑𝑜𝑛𝑐 𝛿∨𝑎𝑃 𝐺 𝐶𝐷(𝑎;𝑏)
𝑑∨𝑎 et 𝑑∨𝑏 𝑑∨𝑎𝑢+𝑏𝑣 alors divise toute combinaison
On montre dem ê me que 𝛿∨𝑏
linéaire de et .
𝑑∨𝑑𝛿≤ 𝛿 𝛿est un diviseur commun à 𝑎𝛿≤
et 𝑏𝑑
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II – THEOREME DE BEZOUT
C – THEOREME DE BEZOUT
Soient 𝑎et 𝑏deux entiers relatifs non nuls .
2
et
premiers
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1 ⟺ ∃(𝑢 ; 𝑣 )∈ ℤ , 𝑎𝑢+ 𝑏 𝑣=1
entre-eux
𝐼𝑙 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒
:

Ici , on a l é quivalence : Deux sensde lecture du thé ∨è me
⇐: Nouvel outil pour d é montrer que deux nombres sont premiers entre − eux .

DEMONSTRATION Soient 𝑎et 𝑏deux entiers relatifs non nuls .


⇒ Supposons PGCD ( 𝑎;𝑏)=1. ⇐ Supposons ∃(𝑢;𝑣)∈ ℤ2 , 𝑎𝑢 +𝑏 𝑣=1
Si , ′ ′
D apr è sl identit é de Bez out , Soit 𝑎et
Soient 𝑏deux entiers naturels non nuls .
𝑑=𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎;𝑏).
alors divise toute combinaison
∃(𝑢 ;de
linéaire 𝑣)∈
2
et .ℤ , 𝑎𝑢+ 𝑏 𝑣=1
𝑑=𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎;𝑏).
Soit𝑑∨𝑎 et 𝑑 ∨𝑏 donc 𝑑∨𝑎𝑢+𝑏𝑣et par suite 𝑑∨1
Il existe
. 𝑢 et 𝑣 entiersrelatifs
Donc𝑡𝑒𝑙𝑠𝑞𝑢𝑒
𝑃𝐺𝐶𝐷𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑑.
( 𝑎 ;𝑏 )=1 .
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EXEMPLE 1
D é montrer que pour tout entier naturel 𝑛 , 2 𝑛+5 et 3 𝑛+7 sont premiers entre − eux


𝐴𝑠𝑡𝑢𝑐𝑒 :𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒𝑐𝑜𝑚𝑏𝑖𝑛𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑙𝑖𝑛é 𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑 é 𝑙𝑖𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑛.
3 ( 2 𝑛+5 ) − 2 ( 3 𝑛 +7 ) =¿6 𝑛+ 15 − 6 𝑛 − 14
¿ 1

On a trouv é 𝑢 et 𝑣 tels que ( 2 𝑛+5 ) 𝑢+ ( 3 𝑛+7 ) 𝑣 =1

D apr è s≤th é ∨è me de Bezout , 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 2 𝑛+5 ; 3 𝑛+7 ) =1


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II – THEOREME DE BEZOUT
D – COROLLAIRE DU THEOREME DE BEZOUT
Soient 𝑎,𝑏et 𝑐 trois entiers relatifs non nuls .

L équation 𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑐admetdessolutionsenti ères
2
∃(𝑢;𝑣)∈ ℤ , 𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑐 ⟺ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎;𝑏 )∨𝑐

DEMONSTRATION ⇐ Supposons PGCD ( 𝑎;𝑏)|𝑐c à d 𝑑 | 𝑐


Soient 𝑎,𝑏et 𝑐 trois entiers relatifs non nuls . ∃𝑘 ∈ ℤ , 𝑐=𝑘𝑑
′ ′
Soit 𝑑= 𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎 ;𝑏) D apr è s l identit é de Bezout ,
2
∃(𝑢 ′ ; 𝑣 ′) ∈ ℤ , 𝑎𝑢′ +𝑏𝑣 ′=𝑑
⇒ ℤ 2
Soient 𝑎et 𝑏deux entiers relatifs non
Supposons ∃(𝑢;𝑣)∈ , 𝑎𝑢+𝑏
nuls . 𝑣=𝑐 ×𝑘
Si , 𝑘 𝑎𝑢′ +𝑘 𝑏𝑣′=𝑘 𝑑
𝑑∨𝑎 et 𝑑∨𝑏 𝑑∨𝑎𝑢+𝑏𝑣
Soit 𝑑=𝑃𝐺𝐶𝐷(𝑎;𝑏). alors divise toute combinaison
𝑎 𝑘𝑢′+𝑏𝑘𝑣 ′=𝑐
Il existe 𝑢 et 𝑣 entiersrelatifs
𝑑∨𝑐 𝑡𝑒𝑙𝑠𝑞𝑢𝑒𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑑. linéaire de et . ′
On pose 𝑢=𝑘𝑢 𝑒𝑡 𝑣 =𝑘𝑣
(𝑢 ; 𝑣 )∈ ℤ
2
𝑎𝑢 +𝑏 𝑣=𝑐
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II – THEOREME DE BEZOUT
E – COMMENT DETERMINER UN COUPLE (u ; v) SOLUTION DE L’EQUATION :
Recherche part â tonnements Avec la calculatriceVoir I − INTRODUCTION
Avec l algorithme d Euclide Exemple :26 𝑢+7 𝑣=1
′ ′

Recherche du PGCD (26 ; 7) avec l’algorithme d’Euclide.


Division euclidienne Restes 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎;𝑏 )=𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑏;𝑟 )
Etape 1
26=7 × 3+5 5=2 6 −7 × 3 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 26 ;¿7𝑃𝐺𝐶𝐷
) (7 ;5 )
Etape 2
7=5 ×1+ 2 2=7 −5 ×1 ¿ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 5 ; 2 )
Etape 3
5=2 ×2+1 1=5 −2 ×2 1
¿ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 2 ; 1)
Etape 4
2=1× 2+0
1=5 −2 ×2
1=5 −(7 −5)× ¿25 −7 × 2+5 × ¿2 −7 ×2+5 × 3
1=−7 ×2+ 5 ×3
1=−7 ×2+(26 −7 ×3)×3¿ −7 ×2+26 × 3 −7 × ¿ 9 − 7 × 11+26 × 3
26 × 3+7 ×(− 11)=1 ( 3 ; −11 ) est solution :
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II – THEOREME DE BEZOUT
E – COMMENT DETERMINER UN COUPLE (u ; v) SOLUTION DE L’EQUATION :
′ ′
Autre mani è ℜd utiliser l′ algorithme d Euclide 26 𝑢+7 𝑣=1
Recherche du PGCD (26 ; 7) avec l’algorithme d’Euclide.
Division euclidienne Restes
Etape 1
26=7 × 3+5 5=2 6 −7 × 3
Etape 2
7=5 ×1+ 2 2=7 −5 ×1
Etape 3
5=2 ×2+1 1=5 −2 ×2
Etape 4
2=1× 2+0 26 et 7
5=26 −7 ×3
2=7 −5 ×1¿ 7 −(26 − 7 ×3)¿ 7 − 26+7 × 3¿ − 26+7 × 4
1=5 −2 ×2 ¿ 26 − 7 ×3 +26 ×2 −7 ×8
¿ − 7 × 11+26
26 × 3+7 ×(− 11)=1 ( 3 ; −11 ) est solution
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III – THEOREME DE GAUSS
A – THEOREME DE GAUSS:

Soient 𝑎, 𝑏et 𝑐 trois entiers naturels non nuls .


Si𝑎 divise 𝑏𝑐et 𝑎et 𝑏 premiers entre−eux ,alors 𝑎 divise 𝑐 { 𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐

: { 𝑏𝑐 ≡0 [ 𝑎 ]
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=1
⟹ 𝑐 ≡0 [ 𝑎 ]

4 ∨5 × 12
⟹ 4 ∨12
𝑃 𝐺𝐶𝐷 ( 4 ;5 ) =1 .

:
FAUX s ′il manque l ′hypoth è se PGCD (𝑎 ;𝑏)=1.
Contre − exemple : 4∨10 ×46∤ mais 10 .
𝑃 𝐺𝐶𝐷 ( 4 ;10 ) ≠ 1. 𝑃 𝐺𝐶𝐷 ( 4 ; 6 ) ≠ 1 .

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III – THEOREME DE GAUSS
A – THEOREME DE GAUSS:

Soient 𝑎, 𝑏et 𝑐 trois entiers naturels non nuls .


Si𝑎 divise 𝑏𝑐et 𝑎et 𝑏 premiers entre−eux ,alors 𝑎 divise 𝑐 { 𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐

DEMONSTRATION Soient 𝑎,𝑏et 𝑐 trois entiers naturels non nuls .


: ∈ ℕ tel que 𝑏 𝑐=𝑘𝑎 .
Supposons que 𝑎∨𝑏𝑐∃𝑘

Supposons que 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ;𝑏 )=1. D apr è s≤th é ∨é me de Bezout ,
2
∃ ( 𝑢 ; 𝑣 ) ∈ ℤ tel que 𝑎𝑢 +𝑏𝑣=1.
×𝑐
𝑐 𝑎𝑢+𝑐 𝑏𝑣=𝑐 .
𝑐𝑎𝑢+𝑘𝑎𝑣 =𝑐 .
𝑎(𝑐𝑢+ 𝑘𝑣)=𝑐 .
Il en r é sulte que 𝑎∨𝑐 .
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EXEMPLE 1 { 𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐 {
𝑏𝑐 ≡0 [ 𝑎 ]
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=1
⟹ 𝑐 ≡0 [ 𝑎 ]

D é terminer tous les entiers relatifs 𝑥 tels que 13 ( 𝑥+2) ≡0 [ 15]

M é thode 1 M é thode 2
13( 𝑥 +2) ≡ 0 [15
⟺ ] 15∨13 (𝑥 +2) 13( 𝑥 +2) ≡ 0 [15 ]
¿ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 13 ; 15 ) =1 ¿ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 13 ; 15 ) =1
N
D ′ apr è s≤th é ∨è me de Gauss , 15∨𝑥+ 2 D apr è s≤th é ∨è me de Gauss , 𝑥+ 2≡ 0 [15 ]

A
L
Y 𝑥+ 2≡ 0 [15 ]
S
E 𝑥=− 2+ 15 𝑘 𝑥 ≡− 2[ 15]
Les solutions sont de la forme − 2+15 𝑘

Y
N
V érifionsquetouslesentiers𝑥delaforme
T Soit 𝑘 ∈ ℤ 𝑥 ≡ − 2[ 15 ]
H
E ? 𝑥+ 2≡ 0 [15 ]
S
E 13 ( −2+ 15 𝑘+ 2 )=¿ 13 ×15 𝑘 ≡ 0[ 15 ] 13( 𝑥 +2) ≡0 ×0] [ 15]
≡13[15
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EXEMPLE 2
2
𝑚=5 𝑛
D é terminer tous les couples ( 𝑚 ,𝑛 ) de ℤ , tels que33𝑚=5 { 𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐

M é thode 1 M é thode 2
3 𝑚=5 𝑛 ⇒ 3∨5 𝑛
¿ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 3 ; 5 )=1
3 𝑚=5 𝑛 ⇒ 3∨5 𝑛
5∨3 𝑚 {
¿ 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 3 ; 5 )=1
N
A
D ′ apr è s≤th é ∨è me de Gauss , 3∨𝑛
D ′ apr è s≤th é ∨è me de Gauss ,
L
Y
S
E
⇒ 3𝑚=5 × 3 𝑘 3 𝑚=5 𝑛 ⇒
3∨𝑛
5∨𝑚 {
⇒ 𝑚=5 𝑘
Les solutions sont de la forme (5 𝑘; 3 𝑘)
⇒ ∃𝑘∈ ℤ ,{
∃ 𝑘′ ∈ ℤ ,
𝑛=3 𝑘
𝑚=5 𝑘′
Y
Les solutions sont de la forme (5 𝑘′ ; 3 𝑘)
N
T
Dé montronsquetouslescouples (5 𝑘;3𝑘 ) , Soit (𝑘 ; 𝑘 )∈ ℤ
′ 2

H
E Soit 𝑘 ∈ ℤ ?
S ? 3 ×5 𝑘=5 ×3 𝑘 3 ×5 𝑘′ =5 × 3 𝑘⟺ 𝑘 ′ =𝑘
E
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III – THEOREME DE GAUSS
B – COROLLAIRE DU THEOREME DE GAUSS:

Soient 𝑎,𝑏et 𝑐 trois entiers naturels non nuls .


{ 𝑎|𝑐 𝑏|𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎𝑏∨𝑐

:
{ 𝑐 ≡ 0 [ 𝑎 ] 𝑐 ≡0 [ 𝑏] ⟹ 𝑐 ≡0 [ 𝑎 𝑏 ]
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=1

1 0|150 et 3|15 0
⟹ 3 0∨15 0
𝑃 𝐺𝐶𝐷 ( 10 ;3 )=1 .
:
′ ′
𝐹𝐴𝑈𝑋 s il manque l hypothè se 𝑎 et 𝑏 premiers entre − eux .
Contre − exemple :10|15 0 et 6|15 0 mais 60 ∤ 150 .
𝑃 𝐺𝐶𝐷 ( 10 ;6 ) ≠ 1 .
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III – THEOREME DE GAUSS
B – COROLLAIRE DU THEOREME DE GAUSS:
Soient 𝑎,𝑏et 𝑐 trois entiers naturels non nuls .
{ 𝑎|𝑐 𝑏|𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎𝑏∨𝑐

DEMONSTRATION Soient 𝑎,𝑏et 𝑐 trois entiers naturels non nuls .


: ∈ ℕ tel que 𝑐=𝑘𝑎 .
Supposons que 𝑎∨𝑐∃𝑘
Supposons que𝑏∨𝑐 ∃𝑘
: ′ ∈ ℕ tel que 𝑐=𝑘′ 𝑏 .

On en d é duit que 𝑘𝑎= 𝑘 𝑏 .

{

Il en r é sulte que 𝑎∨ 𝑘 𝑏 . 𝑎∨𝑏𝑐
⟹ 𝑎∨𝑐
′ apr( 𝑎
,¿dPGCD 𝑏 )=1 é ∨ é me de Gauss 𝑎∨𝑘′ .
è ;s≤th 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
∃𝑘 ′ ′ ∈ ℕ tel que 𝑘 ′ =𝑘′ ′ 𝑎 .

¿ 𝑐=𝑘 𝑏 .
′′
𝑐=𝑘 𝑎𝑏 .
𝐷𝑜𝑛𝑐 𝑎𝑏∨𝑐 .
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EXEMPLE

{ 𝑎|𝑐 𝑏|𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎𝑏∨𝑐

Remarque : On peut faire un tableau de congruence modulo 6 ,


mais ici , on va utiliser ≤corollaire du th é ∨è me de Gauss .
6=2 ×3 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 2 ; 3 ) =¿1
On va d é montrer que 𝑛 ( 𝑛2 − 1 ) est divisible par 2 et par 3.

Soit 𝑛 entier naturel non nul .


𝑇𝑎𝑏𝑙𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑔𝑟𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠𝑚𝑜𝑑𝑢𝑙𝑜 2 𝑇𝑎𝑏𝑙𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑔𝑟𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠𝑚𝑜𝑑𝑢𝑙𝑜 3
0 1 0 1 2
−1
1 0 −1 0 0
3
0 0 0 0 0
On a d é montr é que 2∨𝑛(𝑛 ¿¿ 2 −1) et que 3∨𝑛 (𝑛¿¿ 2− 1) . ¿ ¿
Comme 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 2 ; 3 ) =1 ,d ′ apr è s≤corollaire du th é ∨è me de Gauss2, ×3∨𝑛 (𝑛¿¿ 2 −1) ¿
I.M. Lycée Cormontaigne - METZ 6∨𝑛(𝑛¿¿2 −1)¿
III – THEOREME DE GAUSS
C – EXEMPLES DE RESOLUTION D’EQUATIONS DIOPHANTIENNES :

Soient 𝑎,𝑏𝑒𝑡 𝑐 trois entiersrelatifs nonnuls.



On consid è ℜ l é quation ( 𝐸 ) : 𝑎𝑢+𝑏 𝑣=𝑐
D’après le corollaire du théorème de Bezout,
c

Si 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=1
𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒é 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑠𝑠è 𝑑𝑒𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠𝑐𝑎𝑟 1∨𝑐
Rechercher une solution particuli è ℜ
En d é duire toutes les solutions
Si 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ;𝑏 )=𝑑 ≠ 1
𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒é 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑠𝑠è 𝑑𝑒𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠𝑠𝑖𝑑∨𝑐

Simplifier l é quation en divisant par 𝑑 :
′ ′
Si 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=𝑑 ,𝑎=𝑑 𝑎 𝑏=𝑑 𝑏 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎′ ; 𝑏 ′ )=1
Reprendrela m é thode d é crite dans≤ point pr é c é dent .
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EXEMPLE 1 ′
R é soudre l é quation ( E ) : 11 𝑢+3 𝑣=1
𝐸𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 :
{ 𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1 ⟺ ∃(𝑢 ; 𝑣 )∈ ℤ2 , 𝑎𝑢+𝑏𝑣 =1
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 11 ; 3D
) =1.
′ 2
apr è s≤th é ∨è me de Bezout ,∃ (𝑢 ; 𝑣 )∈ ℤ , 11 𝑢+ 3 𝑣=1

𝑆𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖 è 𝑟𝑒 ( 𝑢0 ; 𝑣 0 ) : Voir


§ I
( −1 ; 4 ) est solution
car 11 ×(−1)+3 × 4=1
𝑅𝑒𝑐h𝑒𝑟𝑐h𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠:
Soit ( 𝑢 ; 𝑣 ) une solution de ( 𝐸 ) : 11 𝑢+3 𝑣=1 ∃ 𝑘 ∈ ℤ , 𝑣 = 4 − 11 𝑘
et 11× (− 1)+ 3 × 4=1 N ¿ 11 (𝑢+1 )=3 ( 4 − 𝑣 )
A 11( 𝑢+1 )=3 × 11 𝑘
11 𝑢+3 𝑣=11 × (− 1)+3 × 4 L
Y 𝑢+1=3 𝑘
N ⟺ 11 𝑢+11 × 1=3 × 4 −3 𝑣 S u
𝑢=− 1 +3 𝑘v
A E
L ⟺ 11 (𝑢+1)=3 ( 4 − 𝑣 ) ¿ 𝑠 solutions sont de la-1
forme (−41+3 𝑘 ; 4 − 11 𝑘)
Y +3 1
On en d é duit que 11∨3 ( 4 −𝑣 ) 2 -7
S Soit 𝑘 ∈ ℤ . 11 𝑢+3 𝑣=1 ?
E
Y
N
+3
5 ×(
-18 −11
¿ PGCD ( 11 ; 3 ) =1 11 × (− 1 +3 𝑘)+3 4 − 11 𝑘 )
T

11∨
D apr è s≤th é ∨è me de Gauss , 4 −𝑣 H ¿1
¿ −11 +33 𝑘 +1 2− 33 𝑘
E
∃ 𝑘 ∈ ℤ , 4 − 𝑣 =11 𝑘 S 𝑆= { ( − 1+3 𝑘 ; 4 − 11 𝑘 ) ,𝑘 ∈ ℤ }
E I.M. Lycée Cormontaigne - METZ
EXEMPLE 2
𝐸𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 :

R é soudre l é quation ( E ) : 13 𝑢+ 8 𝑣=17
2 {
𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎;⟺
∃(𝑢;𝑣)∈ ℤ , 𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑐 𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎;𝑏 )∨𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 13 ; 8D
) =1.
′ 2
apr è s≤ corollaire 𝑑𝑢 th é ∨è me de Bezout ,∃ (𝑢 ; 𝑣 )∈ ℤ , 13 𝑢 +8 𝑣 =17

𝑆𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖 è 𝑟𝑒 ( 𝑢0 ; 𝑣 0 ) : Voir c ar 1∨17


§ I
( −3 ;7 ) est solution
car 13 ×(− 3)+ 8 ×7=17
𝑅𝑒𝑐h𝑒𝑟𝑐h𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠:
Soit ( 𝑢 ; 𝑣 ) une solution de ( 𝐸 ) : 1 3 𝑢+8 𝑣=17 ∃ 𝑘 ∈ ℤ , 𝑣 = 7 − 13 𝑘
et 13 ×(− 3)+8 × 7=17 N ¿ 13 (𝑢+3 )=8 (7 − 𝑣 )
A 1 3 (𝑢+ 3 )= 8 × 13 𝑘
1 3 𝑢+8 𝑣=13 ×(−3)+ 8 ×7 L
Y 𝑢+ 3= 8 𝑘
N ⟺ 13 𝑢+13 × 3=8 × 7 − 8 𝑣 S 𝑢=− 3 u+8 𝑘 v
A E
⟺ 1 3(𝑢 +3)= 8(7 − 𝑣 ) ¿ 𝑠 solutions sont de la -3
forme (−73+ 8 𝑘; 7 −13 𝑘)
L
Y
+8 −13
5 -6
On en d é duit que 13∨8(7 − 𝑣) Soit 𝑘 ∈ ℤ .
S
E
Y
N
+ 8 13 𝑢+138 𝑣=17 ?
-19 −13
¿ PGCD ( 1 3 ; 8 ) =1 1 3 × (− 3 + 8 𝑘)+ 8 × (7 − 13 𝑘 )
T

1,3∨7 − 𝑣
D apr è s≤th é ∨è me de Gauss H ¿ − 39+104 𝑘+5 6 − 104 𝑘
¿ 17
E
∃ 𝑘 ∈ ℤ , 7 − 𝑣 =13 𝑘 S 𝑆= { ( − 3+ 8 𝑘 ; 7 − 1 3 𝑘) , 𝑘 ∈ ℤ }
E I.M. Lycée Cormontaigne - METZ
EXEMPLE 3 R é soudre l ′ é quation ( E ) : 6 𝑢+ 8 𝑣= 10
,𝑎=𝑑 𝑎 ℤ𝑏=𝑑
𝐸𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 : Si 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎 ; 𝑏 )=𝑑 ∃(𝑢;𝑣)∈
2
′ 𝑃𝐺𝐶𝐷 {
𝑎∨𝑏𝑐
′( 𝑎; 𝑏 ) =1
, 𝑎𝑢+𝑏𝑣=𝑐
𝑏 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑃𝐺𝐶𝐷
⟹ 𝑎∨𝑐
⟺ 𝑃𝐺𝐶𝐷( 𝑎′ (;𝑎;𝑏
𝑏 ′ ))=1
∨𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 6 ; 8 )=¿2 ′ 2
D apr è s≤ corollaire 𝑑𝑢 th é ∨è me de Bezout ,∃ ( 𝑢 ; 𝑣 ) ∈ ℤ , 6 𝑢 +8 𝑣 =10
𝑆 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 : ( E ) : 6 𝑢 +8 𝑣 =10 ⟺ 3 𝑢+ 4 𝑣=5 ( E ′ ) c ar 2∨1 0

de (E’): ( 3 ; −1 ) est solution


car 3 × 3+ 4 × (−1)= 5
𝑅𝑒𝑐h𝑒𝑟𝑐h𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 ( 𝐸par
On divise

): 2
Soit ( 𝑢 ; 𝑣 ) une solution de ( 𝐸 ′ ) :3 𝑢+ 4 𝑣=5 ∃ 𝑘 ∈ ℤ , 𝑣= − 1 − 3 𝑘
et 3 ×3+ 4 ×(− 1)=5 N ¿ 3 (𝑢 − 3 )=4 (− 1 − 𝑣)
A
3 𝑢+ 4 𝑣=3 × 3+ 4 × (− 1) L 3 (𝑢 − 3 )= 4 × 3 𝑘
Y
⟺ 3 𝑢 − 3× 3= 4 × (− 1 )− 4 𝑣 S 𝑢 −3=4 𝑘
N
E 𝑢=3 + 4 𝑘
⟺ 3 (𝑢 − 3)=4 (− 1− 𝑣) ¿ 𝑠 solutions
u sont vde la forme (3 + 4 𝑘; − 1− 3 𝑘)
A
L
Y On en d é duit que 3∨4 (−1 −𝑣 ) Soit 𝑘 ∈ ℤ
3.-13 𝑢+ 4 𝑣=5 ?
4 × (3 + 4 𝑘)+ 4−3
Y
S
¿ PGCD ( 3 ; 4 ) =1 N +3 × (− 1 − 3 𝑘)
E T 7 -4

3∨−
D apr è s≤th é ∨è me de Gauss , 1−𝑣 H
+4 9 +12-7𝑘 − 4−3
¿11 −¿ 𝑘
125
E
∃ 𝑘 ∈ ℤ , − 1 − 𝑣 =3 𝑘 S 𝑆( 𝐸 ) ={ ( 3 +4 𝑘 ; − 1 − 3 𝑘 ) , 𝑘 ∈ ℤ }

E

𝑆 𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 ( 𝐸 ) : 𝑆= { ( 3+ 4 𝑘 ; − 1 − 3 𝑘 ) , 𝑘 ∈ ℤ }
I.M. Lycée Cormontaigne - METZ
EXEMPLE 4 :
{ 𝑎∨𝑏𝑐
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎;𝑏 )=1
⟹ 𝑎∨𝑐 𝑟 é 𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 ℤ 𝑙′ é 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 7 𝑥 ≡1 [15 ]

𝐸𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 7 𝑢+15 𝑣=1


𝐸𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 : 𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 𝑎; 𝑏 )=1 ⟺ ∃(𝑢 ; 𝑣 )∈ ℤ2 , 𝑎𝑢+𝑏𝑣 =1
𝑃𝐺𝐶𝐷 ( 7 ; 15 ) =1. ′
D apr è s≤th é ∨è me de Bezout ,∃ ( 𝑢 ; 𝑣 ) ∈ ℤ ,
2
7 𝑥 − 15 𝑘 =1
𝑆𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖 è 𝑟𝑒 ( 𝑥 0 ; 𝑘0 ) : ( −2 ;−1 ) est solutioncar 7 × ( −2 ) −15 ×(−1)=1
𝑅𝑒𝑐h𝑒𝑟𝑐h𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠:
Soit ( 𝑥 ; 𝑘) une solution de ( 𝐸 ) : 7 𝑥 −15 𝑘 =1 ∃ 𝑚 ∈ ℤ , 𝑘 =− 1+7 𝑚
et 7 × ( −2 ) −15 × (− 1)=1 N ¿ 7 ( 𝑥 + 2)=15 ( 𝑘+1 )
A 7 ( 𝑥 +2 )=15 × 7 𝑚
7 𝑥 −déjà
Autre méthode 𝑘=7
15 vue avec ( −tableau
× un 2 ) − 15de×(
congruences
− 1) : L
N x ⟺
0 1 𝑥 +7
7 2 × 3 2=15
4 5𝑘 +15
6 7 8 9 Y 10 11 12𝑥+13 14𝑚
2=15
S
A
L
7x ⟺ 0 77 ( 𝑥 6 13 5𝑘+1
14+ 2)=15( 12 ) 4 11 3 E 10 2 9 1𝑥=− 8 2+ 15 𝑚
Y ¿ 𝑠 solutions sont de la forme (− 2+15 𝑚 ; −1+7 𝑚
On en d é duit que 7∨15 (𝑘 +1)
Puis Svérifier
E ¿ PGCD ( 7 ; 15 ) =1 Y Soit 𝑚 ∈ ℤ 7 𝑥 −15 𝑘=1?
N 7 × (− 2+15 𝑚 ) − 15 × (− 1+7 𝑚)
D apr è s≤th é ∨è me de Gauss , 7 ∨𝑚+1

T
∃ 𝑚 ∈ ℤ , 𝑘 +1 =7 𝑚 H ¿1
¿ −1 4+105 𝑚 +15 − 105𝑚
E
S 𝑆 = { ( − 2 +15 𝑚 ; − 1 +7 𝑚 ) ,𝑚 ∈ ℤ }
𝐶𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛 :
E I.M. Lycée Cormontaigne - METZ

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