VMC DOUBLE FLUX Habitation Collective Oct18
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■■ d’entretien et de maintenance.
■■ des filtres ;
rotatif) ;
■■ éventuellement, une pompe à chaleur sur l’air extrait (double flux thermo-
dynamique) ;
■■ éventuellement, un bipasse permettant qu’au moins un des flux ne transite
Figure 1 : Principe
d’une installation de VMC
double flux en habitat collectif
■■ acoustique ;
■■ sécurité incendie ;
3.3.1 Sanitaire
La VMC doit permettre d’extraire les polluants de l’air intérieur pour mainte-
nir une ambiance saine et agréable.
L’arrêté du 24 mars 1982 modifié, actuellement en application, fixe les débits
que doivent pouvoir extraire les dispositifs de ventilation. Ces valeurs sont
répertoriées au (Tableau 1).
L’article 14 de l’arrêté du 24 mars 1982 modifié interdit le raccordement de
tout dispositif mécanique individuel à une installation collective de sortie
d’air, qu’elle soit mécanique ou à tirage naturel. C’est le cas en particulier des
hottes motorisées et des sèche-linges.
3.3.2 Acoustique
Un grand nombre de points est à considérer pour réaliser une installation de
ventilation double flux.
Le schéma de la (Figure 2) présente les différentes sources de bruits d’une
installation de VMC double flux :
■■ 1 : bruit généré par l’unité de ventilation et ses moteurs ;
soufflage et d’extraction ;
■■ 3 : bruit rayonné par l’unité de ventilation à l’extérieur ;
Tableau 4 : Exigences de degré pare-flammes des clapets en fonction du classement des familles des bâtiments d’habitation
DEGRÉ PARE-FLAMMES DU CLAPET CLASSEMENT DES BÂTIMENTS D’HABITATION SELON L’ARRÊTÉ DU 31 JANVIER 1986 MODIFIÉ
Pare-flammes ¼ h Habitations collectives de 2ème et 3ème famille
Pare-flammes ½ h Habitations collectives de 4ème famille
COMMENTAIRE
L’utilisation de clapets pare-flammes encastrés est préférable au système en applique.
Solution 1 :
La centrale double flux répond aux exigences du 60 1 de l’arrêté du 31 janvier
1986 modifié : le fonctionnement des ventilateurs de soufflage et d’extraction
est réputé assuré en permanence. Cette solution est illustrée en (Figure 5_1).
Solution 2 :
Si le point de fusion du matériau constituant l’échangeur thermique de la
centrale double flux est supérieur à 400 °C ou si le taux de dilution R est tel
que R > 1,6 alors les conduits d’extraction sont munis d’un clapet-bouche ou
clapet terminal situé au droit du conduit :
■■ de classement E 15 (o→i) S dans les habitations collectives de la deuxième
Solution 3 :
Dans le cas où les exigences des solutions 1 et 2 ne sont pas satisfaites, les
conduits de soufflage et d’extraction de ces systèmes de ventilation double
flux sont munis d’un clapet-bouche ou clapet terminal situé au droit du
conduit :
■■ de classement E 15 (o→i) S dans les habitations collectives de la deuxième
COMMENTAIRE
Les échangeurs statiques à plaques permettent uniquement le transfert de chaleur
sensible.
Figure 7 : Principe
d’un échangeur rotatif
■■ la perte de charge ;
Figure 12 : Présentation
de l’induction engendrée
par un jet d’air
45/135 m3/h ;
■■ bouches à un seul débit d’extraction pour les salles de bains, WC :
15, 30 m3/h.
La (Figure 13) montre par exemple que la bouche 45/135 m3/h est autoré-
glable entre 50 et 160 Pa.
Tableau 6 : Diamètres normalisés des conduits circulaires en tôle (selon la norme NF EN 1506)
DIAMÈTRES RECOMMANDÉS (mm)
63 80 100 125 160 200 250 315 400 500 630 800 1000 1250
Tableau 7 : Dimensions normalisées des conduits rectangulaires en tôle (selon la norme NF EN 1505) et diamètres hydrauliques correspondants
LONGUEUR DES CÔTÉS (mm) 200 250 300 400 500 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000
100 133 143 150 160 - - - - - - - - -
150 171 188 200 218 231 240 - - - - - - -
200 200 222 240 267 286 300 320 - - - - - -
250 - 250 273 308 333 353 381 400 - - - - -
300 - - 300 343 375 400 436 462 480 - - - -
400 - - - 400 444 480 533 571 600 622 640 - -
500 - - - - 500 545 615 667 706 737 762 783 800
600 - - - - - 600 686 750 800 840 873 900 923
800 - - - - - - 800 889 960 1018 1067 1108 1143
1000 - - - - - - - 1000 1091 1167 1231 1286 1333
1200 - - - - - - - - 1200 1292 1371 1440 1500
d’extraction et d’insufflation.
Se référer au chapitre 4.4.3 (cf. 4.4.3) pour les débits à considérer.
Il existe plusieurs méthodes de dimensionnement des réseaux de VMC. Elles
nécessitent toutes de calculer les pertes de charge.
On distingue :
■■ les pertes de charge linéaires. Elles sont provoquées par le frottement de
l’air sur les parois du conduit. Elles dépendent du débit d’air véhiculé et de
la rugosité du conduit suivant la nature du matériau ;
■■ les pertes de charge singulières. Elles sont provoquées par les accidents
COMMENTAIRE
Pour les calculs de pertes de charge, se reporter au NF DTU 68.3.
bouche ;
■■ 5 m/s dans la partie individuelle du réseau véhiculant le débit de plusieurs
bouches ;
■■ 5 m/s dans la partie verticale du conduit collectif ;
Tableau 8 : Tableau de détermination du diamètre des conduits en fonction du débit, en respect des vitesses limites
DIAMÈTRE VITESSE (m/s) POUR UNE PERTE
DÉBIT MAXIMAL (m3/h) VITESSE MAXIMALE (m/s)
HYDRAULIQUE (mm) DE CHARGE INFÉRIEURE À 1 Pa
Tableau 10 : Caractéristiques de l’alimentation électrique de l’unité double flux (selon la norme NF C 15-100)
ALIMENTATION MONOPHASÉE 230 V (COS Φ DE 1) ALIMENTATION TRIPHASÉE 400 V (COS Φ DE 0,8)
PUISSANCE (KW) Section du câble Longueur maxi Calibre du Section du câble Longueur maxi Calibre du
d’alimentation (mm²) du câble (m) disjoncteur (A) d’alimentation (mm²) du câble (m) disjoncteur (A)
0,1 1,5 100 10 - - -
0,5 1,5 100 10 - - -
1 2,5 84 16 - - -
2 2,5 43 16 1,5 190 10
3 2,5 29 20 1,5 160 10
4 2,5 21 20 2,5 200 16
5 4 27 25 2,5 165 16
6 4 23 32 2,5 135 16
Les sondes sont placées sur l’air rejeté (température intérieure) et la prise
d’air neuf (température extérieure).
Le bipasse doit être étanche afin de ne pas réduire les performances de la
récupération de chaleur.
Si ces dispositions ne peuvent pas être respectées, une note technique doit
justifier l’implantation respective des prises et des rejets d’air.
COMMENTAIRE
Une partie seulement du réseau peut être dédiée à la surventilation. Cette partie
comporte alors un registre de compensation qui s’ouvre uniquement en cas de besoin
de surventilation. Le reste du réseau est dimensionné conventionnellement.
Tableau 11 : Conséquences d’une mauvaise étanchéité à l’air du réseau aéraulique de VMC double flux
LE CAISSON D’EXTRACTION NE COMPENSE PAS LES FUITES DU RÉSEAU LE CAISSON D’EXTRACTION COMPENSE LES FUITES DU RÉSEAU
Les débits aux bouches ne sont pas respectés Les débits aux bouches sont respectés
Le logement est sous ventilé, engendrant d’éventuels problèmes Les pertes de charge peuvent être modifiées
de qualité d’air La qualité de l’air intérieur n’est a priori pas impactée
La consommation du caisson d’extraction est augmentée
Tableau 12 : Classes et limites d’étanchéité à l’air des réseaux, selon la norme NF EN 12237
LIMITE DE PRESSION STATIQUE (Pa)
CLASSES D’ÉTANCHÉITÉ À L’AIR LIMITE D’ÉTANCHÉITÉ À L’AIR (m3.s-1.m²)
POSITIVE NÉGATIVE
A 500 500 0,027.Pt0.65.10-3
B 1000 750 0,009.Pt0.65.10-3
C 2000 750 0,003.Pt0.65.10-3
D (applications spéciales) 2000 750 0,001.Pt0.65.10-3
Le tableau (Tableau 13) présente les causes des principaux défauts d’étan-
chéité rencontrés.
COMMENTAIRE
La hauteur de détalonnage est définie par rapport au sol fini. Il est recommandé de la
contrôler après la pose du revêtement de sol.
Figure 17 : Exemple
d’installation d’une bouche
d’extraction
De plus, les accessoires semblent offrir une bonne résistance aux conditions
extérieures.
Afin d’assurer une parfaite tenue et garantir une bonne étanchéité, il est néces-
saire de verrouiller le montage du conduit sur l’accessoire à l’aide de vis ou
Figure 18 : Montage
des accessoires à joint
Pour réaliser cette liaison, il est fortement recommandé d’utiliser une pièce
spécifique réalisée en usine (collecteur d’étage, té). Les principales étapes de
mise en œuvre sont décrites à la (Figure 20).
L’utilisation conjointe de mastic, vis autoperforantes et bande adhésive per-
met d’assurer un bon niveau d’étanchéité de ce raccord.
Figure 20 : Réalisation
d’un raccord d’étage
avec une pièce préfabriquée
sans accessoire à joint
COMMENTAIRE
Il est primordial que le piquage soit d’un diamètre identique au diamètre de la pièce
mise en place sur le piquage. Si tel n’est pas le cas, des fuites ou/et des pertes de
charge supplémentaires seront générées.
(Figure 21). Une autre solution pour limiter la propagation de bruit est de
mettre une patte de suspension anti-vibratile entre le collier et la tige filetée
rigide.
La fixation des réseaux horizontaux peut être réalisée par l’utilisation de
feuillards.
Figure 21 : Exemple
de supportage d’un réseau
collecteur vertical
Figure 22 : Interposition
d’un matériau
de désolidarisation pour la pose
de l’unité de ventilation
■■ les supports des conduits sont tels que ceux-ci n’exercent pas d’efforts sur
la manchette ;
■■ l’étanchéité à l’air est assurée de façon comparable à celle des autres mo-
des de raccordement.
L’utilisation de manchettes rigides n’est pas admise.
La manchette doit être calorifugée.
Pour assurer son rôle de désolidarisation entre les composants, la manchette
doit être fixée par l’intermédiaire de colliers plats métalliques de serrage.
Une bande adhésive (de type « aluminium » si le réseau est extérieur) peut
être posée au niveau des liaisons pour parfaire l’étanchéité de l’ensemble.
S’agissant d’une liaison mécanique, le mastic est prohibé pour assurer la
liaison entre la manchette et le conduit.
Figure 25 : Raccordement
de l’unité double flux
taire ou, le cas échéant, la personne responsable désignée par ses soins
est tenu de faire effectuer, au moins une fois par an, les vérifications des
installations de détection, de désenfumage, de ventilation, ainsi que toutes
les installations fonctionnant automatiquement. Il doit également assurer
l’entretien de toutes les installations concourant à la sécurité et doit pou-
voir le justifier par la tenue d’un registre de sécurité ».
Figure 26 : Raccordements
autorisés et interdits
sur une VMC double flux
en habitat collectif
■■ de l’échangeur ;
■■ des filtres.
Le changement des filtres est effectué de 1 à 2 fois par an, selon les zones et
le besoin et a minima après la saison des pollens.
L’entretien des réseaux aérauliques est réalisé suivant la périodicité régle-
mentaire ou contractuelle.
Dans le cas d’un entraînement par poulies et courroie, l’intervention d’entre-
tien consiste à contrôler :
■■ l’alignement moteur-ventilateur et le serrage des fixations ;
Figure 27 : Vérification
de la tension de la courroie
du ventilateur
COMMENTAIRE
Une courroie mal tendue entraîne glissement et usure. Une courroie trop tendue
conduit à un échauffement et une usure des paliers
le flux d’air ;
■■ les forces d’adhérence engendrant le dépôt de la particule sur la surface.
■■ d’une incidence sur le risque d’incendie. Les conduits sont conçus dans
Figure 28 : Conséquences
de l’encrassement
sur le fonctionnement
des installations de ventilation
<<PRÉLÈVEMENT D’EMPOUSSIÈREMENT
L’objectif essentiel du prélèvement d’empoussièrement est de déterminer si
l’installation doit être nettoyée.
Pour effectuer des prélèvements dans les meilleures conditions mais égale-
ment pour permettre l’opération de nettoyage, il est quelquefois nécessaire
de réaliser des trappes de visite.
La méthode utilisée pour effectuer des prélèvements de poussières surfa-
ciques est basée sur le principe d’aspiration (débit de 15 l/min) du dépôt pous-
siéreux au travers d’un filtre monté dans un porte-filtre raccordé à une pompe.
L’ensemble filtre et porte-filtre est pesé avant puis après l’échantillonnage
afin de calculer la masse de poussière collectée selon la surface sur laquelle
est effectuée le prélèvement. Cette valeur est ensuite exprimée en densité
d’empoussièrement en g/m².
<<DIAGNOSTIC VIDÉO
En règle générale, le diagnostic vidéo doit être effectué après les mesures
d’empoussièrement afin de ne pas modifier l’état spatial de l’encrassement
dans le réseau.
Le diagnostic vidéo est largement répandu et utilisé par les professionnels.
C’est un élément essentiel à la détermination de l’état de l’installation. Le suivi
vidéo permet lors du diagnostic de visualiser l’état d’encrassement du réseau.
Des clichés pourront être pris afin d’étayer et de prouver l’état de l’installation.
Deux techniques de diagnostic vidéo sont pratiquées :
■■ le diagnostic à l’œil nu. Il nécessite des accès au conduit et permet de réa-
liser des clichés ponctuels. Il est réalisé à l’aide d’un endoscope. Le perce-
ment d’un orifice de 1 cm de diamètre est réalisé dans le conduit. L’orifice
est ensuite bouchonné ;
■■ le diagnostic à l’aide d’une caméra vidéo ou d’un robot muni d’une camé-
de l’air comprimé. L’impact des filaments du module sur les parois des
conduits permet de décoller les poussières.
Date de l’intervention :
BOUCHES DE SOUFFLAGE
Chaque pièce principale est équipée d’au moins une amenée d’air □ oui
Les amenées d’air sont installées en partie haute □ oui
BOUCHES D’EXTRACTION
Chaque pièce de service est équipée d’une bouche d’extraction □ oui
Les débits des bouches d’extraction sont ceux donnés dans l’arrêté du 24/03/82 modifié □ oui
La bouche d’extraction installée en cuisine possède deux débits d’extraction □ oui
Les bouches d’extraction sont installées à plus de 1,8 m du sol (paroi ou plafond) □ oui
Les bouches d’extraction sont distantes d’au moins 20 cm des angles de la paroi □ oui
Chaque bouche est correctement raccordée au réseau □ oui
RÉSEAU D’EXTRACTION ET DE SOUFFLAGE
Des passages de transit sont assurés au droit de toutes les portes intérieures du logement (détalonnage, grille…) □ oui
L’isolant recouvre l’intégralité de la surface extérieure des conduits, sans discontinuité □ oui
Les bouches d’extraction sont raccordées au réseau vertical par des collecteurs □ oui
Le réseau est visitable □ oui
Le support du collecteur vertical est solidement fixé □ oui
Les conduits sont réalisés en matériau incombustible □ oui
Les conduits de ventilation desservent uniquement des pièces d’habitation □ oui
Aucune communication n’existe entre les réseaux d’air extrait et d’air insufflé □ oui
Les conduits flexibles ne sont pas écrasés □ oui
Dans le cas d’une VMC inversée, où la non propagation du feu est assurée par des clapets pare-flamme, ils ne sont pas
□ oui
positionnés dans le conduit collectif
Les conduits et de leur enveloppe éventuelle (calorifuge et gaine) respectent le degré coupe-feu exigé □ oui
04 • CONCEPTION ET DIMENSIONNEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
4.1 Les bouches de soufflage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
4.1.1 Les caractéristiques des bouches de soufflage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
4.1.2 Le dimensionnement en débit des bouches de soufflage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
4.1.3 L’implantation des bouches de soufflage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.2 Les passages de transit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.3 Les bouches d’extraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
4.3.1 Les caractéristiques des bouches d’extraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
4.3.2 Le dimensionnement des bouches d’extraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
4.4 Le réseau de conduits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
4.4.1 Les différents types de conduits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
4.4.2 Le dimensionnement des conduits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
4.4.3 Les débits à considérer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
4.4.4 Les vitesses limites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
4.4.5 Le calorifuge des conduits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
4.4.6 La conception des réseaux et trappes d’accès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
08 • Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
—
LES PARTENAIRES DU PROGRAMME PACTE
INDUSTRIELS
ENTREPRISES/ARTISANS
ASSUREURS
Ce guide technique traite des systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC) double
flux autoréglables mis en œuvre en habitat collectif neuf.
Elles spécifient les règles techniques :
■■ de conception et de dimensionnement ;
■■ d’installation et de mise en service ;
■■ d’entretien et de maintenance, y compris d’hygiénisation.
Les différentes configurations de VMC double flux en habitat collectif et de solutions de
récupération de chaleur sont décrites.
Chaque composant constituant le système de VMC double flux est traité : bouches de
soufflage, passages de transit, bouches d’extraction, réseau de conduits, caisson d’extraction
et de soufflage et rejet d’air.
Ce guide se réfère aux exigences du NF DTU 68.3. Il ne se substitue pas à ce texte de
référence. Sa vocation est de présenter les préconisations du NF DTU 68.3 dans un format
plus pédagogique.