Un Séisme
Un Séisme
Un Séisme
1 Caractéristiques principales
o 1.1 Trois catégories de tremblements de terre
1.1.1 Séismes tectoniques
1.1.2 Séismes d'origine volcanique
1.1.3 Séismes d'origine artificielle
o 1.2 Magnitude
o 1.3 Intensités d'un séisme
2 Différents types d'ondes sismiques
3 Enregistrement des séismes
o 3.1 Séismes les plus puissants enregistrés depuis 1900
o 3.2 Séismes les plus meurtriers depuis 1900
o 3.3 Tremblements de terre en France
4 Méthodes de détection
o 4.1 Ancienne méthode chinoise
o 4.2 Méthodes modernes
5 Méthodes de prévision
o 5.1 Long terme
o 5.2 Moyen terme
o 5.3 Court terme
6 Conduite à tenir en cas de tremblement de terre
7 Notes et références
8 Voir aussi
o 8.1 Bibliographie
o 8.2 Articles connexes
o 8.3 Liens externes
8.3.1 Réseau sismique accessible en ligne
Caractéristiques principales
Le point d'origine d'un séisme est appelé hypocentre ou foyer sismique. Il peut se trouver entre la
surface et jusqu'à sept cents kilomètres de profondeur (limite du manteau supérieur) pour les
événements les plus profonds. On parle de l'épicentre du séisme pour désigner le point de la
surface de la Terre qui se trouve directement au-dessus de l'hypocentre.
Les 3 grands types de failles
Un tremblement de terre est une secousse plus ou moins violente du sol qui peut avoir trois
origines : rupture d'une faille ou d'un segment de faille (séismes tectoniques) ; intrusion et
dégazage d'un magma (séismes volcaniques) ; explosion, effondrement d'une cavité (séismes
d'origine naturelle ou dus à l'activité humaine)[2]. En pratique on classe les séismes en trois
catégories selon les phénomènes qui les ont engendrés :
Séismes tectoniques
Les séismes tectoniques sont de loin les plus fréquents et dévastateurs. Une grande partie des
séismes tectoniques se produisent aux limites des plaques, où il existe un glissement entre deux
milieux rocheux. Ce glissement, localisé sur une ou plusieurs failles, est bloqué durant les
périodes inter-sismiques (entre les séismes), et l'énergie s'accumule par la déformation élastique
des roches[3]. Cette énergie et le glissement sont brusquement relâchés lors des séismes. Dans les
zones de subduction, les séismes représentent en nombre la moitié de ceux qui sont destructeurs
sur la Terre, et dissipent 75 % de l'énergie sismique de la planète. C'est le seul endroit où on
trouve des séismes profonds (de 300 à 645 kilomètres). Au niveau des dorsales médio-
océaniques, les séismes ont des foyers superficiels (0 à 10 kilomètres), et correspondent à 5 % de
l'énergie sismique totale. De même, au niveau des grandes failles de décrochement, ont lieu des
séismes ayant des foyers de profondeur intermédiaire (de 0 à 20 kilomètres en moyenne) qui
correspondent à 15 % de l'énergie. Le relâchement de l'énergie accumulée ne se fait
généralement pas en une seule secousse, et il peut se produire plusieurs réajustements avant de
retrouver une configuration stable. Ainsi, on constate des répliques suite à la secousse principale
d'un séisme, d'amplitude décroissante, et sur une durée allant de quelques minutes à plus d'un an.
Ces secousses secondaires sont parfois plus dévastatrices que la secousse principale, car elles
peuvent faire s'écrouler des bâtiments qui n'avaient été qu'endommagés, alors que les secours
sont à l'œuvre. Il peut aussi se produire une réplique plus puissante encore que la secousse
principale quelle que soit sa magnitude. Par exemple, un séisme de 9,0 peut être suivi d'une
réplique de 9,3 plusieurs mois plus tard même si cet enchaînement reste extrêmement rare.
Les séismes d'origine artificielle (ou « séismes induits ») de faible à moyenne magnitude sont dus
à certaines activités humaines telles que barrages, pompages profonds, extraction minière,
explosions souterraines ou nucléaires. Ils sont fréquents et bien documentés depuis les années
1960-1970
Par exemple, rien que pour la France et uniquement pour les années 1971-1976, plusieurs
séismes ont été clairement attribués à des remplissages de lacs-réservoirs, à l'exploitation de
gisements pétrolifères ou aux mines :
Dans certains cas, les séismes provoquent la liquéfaction du sol : un sol mou et riche en eau
perdra sa cohésion sous l'effet d'une secousse.
Magnitude
La puissance d'un tremblement de terre peut être quantifiée par sa magnitude, notion introduite
en 1935 par le sismologue Charles Francis Richter[5]. La magnitude se calcule à partir des
différents types d'ondes sismiques en tenant compte de paramètres comme la distance à
l'épicentre, la profondeur de l'hypocentre, la fréquence du signal, le type de sismographe utilisé,
etc. La magnitude n'est pas une échelle mais une fonction continue logarithmique[5]. En raison de
ce caractère logarithmique, lorsque l'amplitude du déplacement du sol est multipliée par 10, la
magnitude augmente d'une unité. Ainsi, un séisme de magnitude 7 provoquera un déplacement
du sol dix fois plus important qu'un événement de magnitude 6, cent fois plus important qu'un de
magnitude 5.
La magnitude, souvent appelée magnitude sur l'échelle de Richter, terme le plus connu du grand
public, est généralement calculée à partir de l'amplitude ou de la durée du signal enregistré par
un sismographe[5]. Plusieurs valeurs peuvent être ainsi calculées (Magnitude locale ML, de durée
MD, des ondes de surfaces MS, des ondes de volumes MB). Mais ces différentes valeurs ne sont
pas très fiables dans le cas des très grands tremblements de terre. Les sismologues lui préfèrent la
magnitude de moment (notée MW) qui est directement reliée à l'énergie libérée lors du séisme[5].
Des lois d'échelle relient cette magnitude de moment aux paramètres géométriques du séisme
(surface rompue et quantité de glissement sur la faille).
Les relations entre magnitude et intensité sont complexes. L'intensité dépend du lieu
d'observation des effets. Elle décroît généralement lorsqu'on s'éloigne de l'épicentre en raison de
l'atténuation introduite par le milieu géologique traversé par les ondes sismiques, mais
d'éventuels effets de site (écho, amplification locale par exemple) peuvent perturber cette loi
moyenne de décroissance.
Au moment du relâchement brutal des contraintes de la croûte terrestre (séisme), deux grandes
catégories d'ondes peuvent être générées. Il s'agit des ondes de volume qui se propagent à
l'intérieur de la Terre et des ondes de surface qui se propagent le long des interfaces[7].
Les ondes de surface (ondes de Rayleigh, ondes de Love) résultent de l'interaction des ondes de
volume. Elles sont guidées par la surface de la Terre, se propagent moins vite que les ondes de
volume, mais ont généralement une plus forte amplitude[7]. Généralement ce sont les ondes de
surface qui produisent les effets destructeurs des séismes.
Les plus anciens relevés sismiques datent du VIIIe millénaire av. J.-C.[réf. nécessaire].
Tremblements de terre ayant fait plus de 15 000 morts d'après les estimations des autorités
locales, placés dans l'ordre chronologique. Comme on peut s'y attendre, ils comptent parmi les
plus puissants.
Scission à effectuer : À transférer dans Tremblements de terre en France pour respecter le caractère
international de Wikipédia
En métropole, l'Est du pays (Alsace, Jura, Alpes), le Sud-Est (Alpes Maritimes, Provence) et les
Pyrénées sont les plus concernés. Un risque plus diffus existe du Cotentin aux Charentes [17]. Les
derniers "gros séismes" recensés en France métropolitaine datent ainsi de la fin du XIXe et du
début du XXe, avec notamment celui de Provence, en 1909, qui a fait des centaines de victimes
et des dommages économiques estimés à 700 millions d'euros.
Outre-mer ; Aux Antilles, l'aléa (la probabilité) de séisme est élevé, et les constructions sont
vulnérables. Le risque de tsunami existe aussi. En 2010, l'OPECST a conclu qu'« Aujourd'hui, la
France n'est pas préparée à un tremblement de terre » [18]. Selon les experts interrogés par
l'OPECST, un séisme comme celui survenu en Provence de 1909 ferait des centaines de victimes
et des dommages économiques aussi importants qu'il y a un siècle, et un séisme comme celui de
Fort-de-France en 1839 ferait aujourd'hui plus de 30 000 victimes.
Prévention : Elle passe notamment par l'information et donc par le zonage sismique et sa prise
en compte dans l'aménagement du territoire et l'occupation des sols, la construction parasimique
et la réglementation.
Pour plus de transparence et mieux sensibiliser les français, une brochure sur le « nouveau
zonage sismique de la France » (1985), à la réalisation de laquelle le Bureau de recherches
géologiques et minières (BRGM) a largement contribué, contribue à démystifier ce domaine et
faire évoluer la politique de prévention du risque sismique. D'autres documents plus récents, dont
ceux, par exemple, réalisée par la Préfecture des Alpes-Maritimes, en août 2000, s’inscrit dans
l’esprit de la loi du 22 juillet 1987 relative à l’organisation de la sécurité civile, à la protection
des risques majeurs et dans le cadre de l’information des populations. Elles contiennent par
ailleurs un recueil des mesures d’urgence qui seraient, le cas échéant, mises en œuvre ; il précise
les moyens d’information utilisables et rappelle les recommandations des services de secours à
destination de la population exposée dans les départements concernés.
En 2005, le gouvernement a annoncé un plan de six ans de prévention des séismes. Il vise à
mieux sensibiliser les populations, mieux prendre en compte ces risques dans la construction, et
reprend les recommandations européennes sur les constructions parasismiques, approfondit la
connaissance scientifique du risque, et enfin encourage la coopération de tous les acteurs de la
prévention et de la gestion du risque[réf. nécessaire]. En l’état actuel un séisme comparable à celui
survenu en 1909 près de Salon-de-Provence pourrait faire de 400 à 1 000 morts[réf. nécessaire].
En 2007, l’Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques a produit
un rapport sur l' l'évaluation et la prévention du risque du tsunami sur les côtes françaises en
métropole et outre-mer [19], puis en 2009 d'un rapport sur les dispositifs d'alerte aux tsunamis [20],
et en 2010 un rapport sur "La France est-elle préparée à un tremblement de terre ? " [21].
11 juin 1909 : tremblement de terre (M=6,2) le plus meurtrier qu'ait connu la France au
XXe siècle (46 victimes) en Provence qui provoqua des destructions dans les villes de Salon-de-
Provence, Vernègues, Lambesc, Saint-Cannat et Rognes
13 août 1967 : le village d'Arette (Pyrénées-Atlantiques) est détruit à 80 % par un séisme qui tua
une personne.
18 février 1996 Saint Paul de Fenouillet ( Pyrénées Orientales ) Epicentre : AXAT[réf. nécessaire]
30 septembre 2002 : épicentre situé près de Hennebont (Morbihan). Le séisme de 5.4 sur
l'échelle de Richter est ressenti dans tout le Massif Armoricain, sur la Bretagne et une partie des
Pays de la Loire.
22 février 2003 : épicentre situé près de Saint-Dié (Vosges) à 21 h 41, de magnitude 5,4 sur
l'échelle de Richter.
23 février 2004 : Baume-les-Dames à 18 h 31, de magnitude 5,1 sur l'échelle de Richter
occasionnant une rupture des réseaux électriques et téléphoniques.
21 novembre 2004 : La Guadeloupe a été secoué par le plus important séisme enregistré dans
l'archipel depuis plusieurs décennies. A 11 h 41 min 08 s (temps universel, 7 h 41 heure de
Guadeloupe), un séisme évalué à 6.3 sur l’échelle de Richter s'est produit dans l'arc des petites
Antilles entre les îles de la Guadeloupe et la Dominique. Sur l'île de la Guadeloupe, le séisme a
été particulièrement ressenti à Basse Terre. Les dégâts matériels sont très importants. Le bilan
humain fait état d’un mort et de quelques blessés[23].
24 aout 2007 : Île de La Réunion à 15 h 30, la totalité de l'île est secouée par un séisme de
magnitude 3.6 sur l'échelle de Richter. La secousse provoque de nombreux effondrements dans
les reliefs et fait apparaître quelques failles sur une école, fermée au moment du sinistre. Le
réseau téléphonique est saturé pendant 15 minutes suivant le tremblement de terre.
L'ensemble des conséquences qui en découlent sont restés sans gravité et n'ont causés aucune
victime. Il semblerait que la secousse ait pour origine l'effondrement d'une partie du sous-sol de
l'île dans la croute terrestre, La Réunion ne se trouvant pas à proximité immédiate d'une faille.
29 novembre 2007 : La Martinique fut touché par un séisme d'une magnitude de 7,4 sur
l'échelle de Richter qui a secoué toute l'île[24].
5 mai 2009 : un tremblement de terre s'est produit en Allemagne vers 3 h 39, il a été ressenti en
Alsace à Mulhouse, magnitude 4.
30 juin 2010 : Dans la même journée deux séismes distincts se sont produits en France, tout
deux d'une magnitude de 4,2 sur l'échelle de Richter. Le premier en Vendée à 7 h 15 Temps
Universel a été ressenti dans un rayon d'une quarantaine de kilomètres; puis le second, à
11 h 53 Temps Universel, en Savoie sur la commune de Saint Jean de Maurienne, là aussi
ressenti dans un rayon de quarante kilomètres.
7 juillet 2010 : Séisme dans le pays Manosquin vers 22 h 20 Temps Universel d'une magnitude
de 3 sur l'échelle de Richter, a été ressenti dans un rayon d'une quarantaine de kilomètres
environ.
Méthodes de détection
Ancienne méthode chinoise
L'ancienne méthode chinoise consistait en un vase de bronze comportant huit dragons sur le
contour. Une bille était placée dans la gueule de chacun d'eux, prête à tomber. Lorsqu'un séisme
avait lieu (à proximité relative), le vase de bronze tremblait et deux billes tombaient, l'une
pointant vers l'épicentre, l'autre pointant à l'opposé. L'Empereur chinois — ne pouvant savoir
quel côté était le bon — envoyait des troupes dans les deux directions afin qu'elles aident à
organiser les secours et à maintenir l'ordre après la catastrophe.
Méthodes modernes
La localisation de l'épicentre par des moyens modernes se fait à l'aide de plusieurs stations
sismiques (3 au minimum), et un calcul tridimensionnel. Les capteurs modernes permettent de
détecter des événements très sensibles, tels qu'une explosion nucléaire.
Méthodes de prévision
On peut distinguer trois types de prévisions : La prévision à long terme (sur plusieurs années), à
moyen terme (sur plusieurs mois), et à court terme (inférieur à quelques jours)[25].
Long terme
Les prévisions à long terme reposent sur une analyse statistique des failles répertoriées. Elles
permettent de définir des normes pour la construction de bâtiments. Certaines failles telles celles
de San Andreas en Californie ont fait l'objet d'études statistiques importantes ayant permis de
prédire le séisme de Santa Cruz en 1989. Des séismes importants sont ainsi attendus en
Californie, ou au Japon (Tokaï, magnitude 8.3).
Moyen terme
Les prévisions à moyen terme sont plus intéressantes pour la population. Les recherches sont en
cours pour valider certains outils, comme la reconnaissance de formes (dilatance).
Court terme
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Les prévisions à court terme se basent sur des observations très précises des terrains à risque. Les
moyens de détection peuvent avoir un coût important et des résultats non garantis, du fait de la
grande hétérogénéité des signes précurseurs d'un séisme, voire leur absence dans des séismes
pourtant de grande ampleur, tels que TangShan ou Michoacan, qui avaient été prévus à moyen
terme mais non à court terme.
De plus les gouvernements ont besoin d'informations certifiées pour évacuer une population des
sites suspectés. La Grèce étudie notamment la fiabilité de la méthode VAN, qui fonctionne par
des enregistrements de variations des courants électrotelluriques[réf. nécessaire]. Cette méthode, bien
que fortement controversée dans le milieu scientifique, semble avoir détecté 5 séismes majeurs
avec plusieurs jours d'avance[réf. nécessaire]. Les États-Unis utilisent des outils de grande sensibilité
autour des points statistiquement sensibles (tels que Parkfield en Californie) : vibrateurs
sismiques utilisés en exploration pétrolière, extensomètres à fil d'invar, géodimètres à laser,
réseau de nivellement de haute précision, magnétomètres, analyse des puits. Le Japon étudie les
mouvements de l'écorce terrestre par GPS[26] et par interférométrie (VLBI), méthodes dites de
géodésie spatiale. En Afrique du Sud, les enregistrements se font dans les couloirs des mines
d'or, à 2 km de profondeur. La Chine se base sur des études pluridisciplinaires, tels que la
géologie, la prospection géophysique ou l'expérimentation en laboratoire.
Aux premières secousses, ne chercher ni à entrer ni à sortir des immeubles. Se tenir à l'écart des
vitres, des fils électriques et des meubles qui pourraient basculer. Se protéger la tête et le corps
en se tenant sous une table. En voiture, s'arrêter mais ne pas sortir. Après le tremblement, vérifier
l'eau, le gaz et l'électricité. Réserver le téléphone aux urgences et écouter les consignes radio.
Notes et références
1. ↑ François Michel, Roches et paysages, reflets de l’histoire de la Terre, Paris, Belin, Orléans, BRGM
éditions, 2005, (ISBN 2701140811), p.74
2. ↑ a et b Documents pédagogiques de l'EOST ; les catégories de séismes Les categories de seismes [archive]
3. ↑ Les Séismes. Planète Terre, Université Laval, Québec Les séismes [archive]
4. ↑ Observations sismologiques, sismicité de la France de 1971 à 1979 [archive], Bureau central sismologique
français, Strasbourg, 1983
5. ↑ a, b, c et d Documents pédagogiques de l'EOST; la magnitude d'un séisme La magnitude d un seisme [archive]
6. ↑ Documents pédagogiques de l'EOST; l'Intensité d'un séisme L'intensité d'un seisme [archive]
7. ↑ a, b, c et d Documents pédagogiques de l'EOST ; les ondes sismiques Les ondes sismiques [archive]
8. ↑ Requalification de la magnitude du séisme, site de l'United States Geological Survey’s (USGS) Lien
USGS-1957 [archive]
9. ↑ « Japan's megaquake: what we know », New Scientist, article de Michael Reilly, senior technology
editor, le 11 mars 2011, 17h22 GMT (1722 GMT, 11 March 2011), lien [archive]
10. ↑ http://www.jma.go.jp/jma/en/News/2011_Earthquake_01.html [archive]
11. ↑ (en) Damage Situation and Police Countermeasures associated with 2011 Tohoku district - off the
Pacific Ocean Earthquake - March 19, 2011 at 6:00pm [archive] sur www.npa.go.jp (National Police Agency
of Japan). Consulté le 19 mars 2011
12. ↑ Bilan provisoire
13. ↑ a et b Jean Demangeot, Les milieux « naturels » du globe, Paris, Armand Colin, 10e édition, 2002, (ISBN
2200346085), p.101
14. ↑ Le séisme a eu lieu le 28 juillet à 03:42 heure locale. Mais en général la référence pour le temps
d'origine d'un tremblement de terre est l'heure UTC et donc le 27 juillet compte tenu des 8 heures de
différence.
15. ↑ « 7.2-Magnitude Earthquake Strikes China » dans The Chicago Tribune du 20-03-2008, [lire en ligne [archive]]
16. ↑ François Michel, Roches et paysages, reflets de l’histoire de la Terre, Paris, Belin, Orléans, brgm
éditions, 2005, (ISBN 2701140811), p.74
17. ↑ Source : explication données à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et
technologiques, le 7 juillet 2010, lors d'une table ronde sur le sujet, Pierre-Yves Bard, chercheur au
Laboratoire de géophysique internet et tectonophysique
18. ↑ Communiqué annonçant la publication des actes d'une audition, publié sous forme de rapport de
l'OPECST, le 28 octobre 2010
19. ↑ Rapport N° 488, (2007/12/97) de M. Roland Courteau, établi au nom de l’Office parlementaire
d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, sur "l'évaluation et la prévention du risque du
tsunami sur les côtes françaises en métropole et outre-mer" [archive]
20. ↑ Rapport (N° 1808) sur les dispositifs d'alerte aux tsunamis en France et dans le monde [archive],
2009/07/08, de M. Claude Birraux,
21. ↑ Rapport (n° 2721) sur "La France est-elle préparée à un tremblement de terre ? " [archive] (compte rendu
de l'audition publique du 7 juillet 2010), MM. Jean-Claude Etienne et Roland Courteau, 2010/07/08.
22. ↑ René Dinkel, L'Encyclopédie du patrimoine (Monuments historiques, Patrimoine bâti et naturel -
Protection, restauration, réglementation - Doctrines - Techniques - Pratiques), Chapitre IV Les risques
sismiques pp. 114-117. Paris (éditions Les Encyclopédies du patrimoine), septembre 1997 (ISBN 2-911200-
00-4)
23. ↑ Surveillance accrue à la Guadeloupe [archive]
24. ↑ http://neic.usgs.gov/neis/eq_depot/2007/eq_071129_kha5/neic_kha5_l.html [archive]
25. ↑ (fr)Rapport de l'assemblée nationale française - Les Séismes et mouvements de terrain,
chap.3 [archive]
26. ↑ Monitoring of Earthquakes, Tsunamis and Volcanic Activity, Japan Meteorological Agency, Tokyo,
Japanpart Prediction and Information Services for the [archive] Tokai Earthquake