Promesse de Vente M. Lleu - Bourlet
Promesse de Vente M. Lleu - Bourlet
Promesse de Vente M. Lleu - Bourlet
OD/AR/NS
PROMETTANT
Monsieur Laurent LLEU, Retraité, époux de Madame +++++ ,
demeurant à SIX-FOURS-LES-PLAGES (83140) 82 rue de Gabois.
Né à ORAN (ALGERIE) le 27 juillet 1959.
Divorcé en premières noces de Madame Ruth Andrée Sophie WEBER,
suivant jugement rendu par le tribunal de grande instance de STRASBOURG (Bas-
Rhin) en date du 24 mai 1994.
Marié à la mairie de le sous le régime de la communauté
d’acquêts à défaut de contrat de mariage préalable.
De nationalité française.
Résident au sens de la réglementation fiscale.
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Né à STRASBOURG (67000) le 11 décembre 1988.
Célibataire.
Non lié par un pacte civil de solidarité.
De nationalité française.
Résident au sens de la réglementation fiscale.
BENEFICIAIRE
Madame Véronique Anne Nathalie BOURLET, Retraitée, demeurant à
MARCQ-EN-BAROEUL (59700) 170 rue de Bondues.
Née à LILLE (59000) le 14 juin 1958.
Divorcée de Monsieur François Jacques Marie BULCKE suivant jugement
rendu par le tribunal judiciaire de LILLE (59000) le 3 décembre 2020, et non remariée.
Non liée par un pacte civil de solidarité.
De nationalité française.
Résidente au sens de la réglementation fiscale.
QUOTITÉS ACQUISES
Madame Véronique BOURLET fera l'acquisition de la pleine propriété.
PRÉSENCE - REPRÉSENTATION
- Monsieur Laurent LLEU est présent à l’acte.
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CONCLUSION DU CONTRAT
Les parties déclarent que les dispositions de ce contrat ont été, en respect
des règles impératives de l'article 1104 du Code civil, négociées de bonne foi. Elles
affirment qu'il reflète l'équilibre voulu par chacune d'elles.
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PROMESSE DE VENTE
OBJET DU CONTRAT
PROMESSE UNILATERALE DE VENTE
Le PROMETTANT confère au BENEFICIAIRE la faculté d'acquérir, le BIEN
ci-dessous identifié.
Le PROMETTANT prend cet engagement pour lui-même ou ses ayants droit
même protégés.
Le BENEFICIAIRE accepte la présente promesse de vente en tant que
promesse, mais se réserve la faculté d'en demander ou non la réalisation.
TERMINOLOGIE
Pour la compréhension de certains termes aux présentes, il est préalablement
expliqué ce qui suit :
- Le "PROMETTANT" et le "BENEFICIAIRE" désigneront respectivement le
ou les promettants et le ou les bénéficiaires, qui, en cas de pluralité, contracteront les
obligations respectivement mises à leur charge solidairement entre eux, sans que
cette solidarité soit rappelée chaque fois,
- Le "BIEN" désignera l’immeuble objet de la présente promesse de vente.
- Les "MEUBLES" désigneront les meubles et objets mobiliers, s'il en existe.
IDENTIFICATION DU BIEN
DÉSIGNATION
A SIX-FOURS-LES-PLAGES (VAR) 83140 82 Rue des Gabois,
Une parcelle de terrain sur laquelle est édifiée une MAISON d'habitation,
élevée d'un étage sur rez-de-chaussée et comprenant :
- Au rez-de-chaussée : une cuisine, une arrière cuisine, un dressing, une salle
d'eau, un W.C., une chambre, une salle à manger, un bureau et une cave ;
A l'étage : trois chambres, deux salles de bains, et un W.C. ;
Le tout avec une piscine, un abri de voitures et un garage.
Figurant ainsi au cadastre :
Tel que le BIEN existe, avec tous droits y attachés, sans aucune exception ni
réserve.
USAGE DU BIEN
Le PROMETTANT déclare que le BIEN est actuellement à usage d’habitation.
Le BENEFICIAIRE entend conserver cet usage.
EFFET RELATIF
Acquisition suivant acte reçu par Maître Bernard MUGARRA notaire à SIX-
FOURS-LES-PLAGES le 31 octobre 1997 , publié au service de la publicité
foncière de TOULON 1 le 1er novembre 1997, volume 1997¨P, numéro 9938.
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Donation-partage suivant acte reçu par Maître Alexandra MIGNON-
GUZMANN notaire à TOULON le 4 juin 2012 , publié au service de la publicité
foncière de TOULON 1 le 4 juillet 2012, volume 2012P, numéro 7153.
CARACTÉRISTIQUES
Les parties conviennent entre elles d’établir les présentes sous la forme d’une
promesse unilatérale dans les termes du second alinéa de l'article 1106 du Code civil.
Dans la commune intention des parties, et pendant toute la durée du contrat, celle-ci
obéira aux dispositions qui suivent.
INFORMATION PRÉALABLE
Les parties ont été informées par le rédacteur des présentes que la forme
sous signature privée ne leur permet pas de faire publier un acte au service de la
publicité foncière.
En conséquence, et dans cette hypothèse, si l’une d’entre elles refusait ou
devenait incapable de réaliser ou de réitérer la convention par acte authentique,
l’autre partie ne pourrait pas faire inscrire les présentes directement au fichier
immobilier afin de conserver son droit et de le rendre opposable aux tiers,
préalablement à toute décision de justice.
Les parties ainsi averties de cette situation déclarent vouloir opter
expressément pour la conclusion entre elles d’un acte authentique.
DÉLAI
La promesse de vente est consentie pour une durée expirant le 5 janvier
2024, à seize heures.
En cas de carence du PROMETTANT pour la réalisation de la vente, ce
dernier ne saurait se prévaloir à l’encontre du BENEFICIAIRE de l’expiration du délai
ci-dessus fixé.
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à l’éventuelle commission d’intermédiaire,
et de manière générale de tous comptes et proratas.
Soit par la levée d'option faite par le BENEFICIAIRE à l'intérieur de ce délai,
suivie de la signature de l’acte authentique de vente dans le délai visé ci-
dessus. Si la levée d’option a lieu alors que des conditions suspensives sont
encore pendantes, elle n’impliquera pas renonciation à celles-ci, sauf volonté
contraire exprimée par le BENEFICIAIRE. Cette levée d'option sera effectuée
par le BENEFICIAIRE auprès du notaire rédacteur de l’acte de vente par tous
moyens et toutes formes ; elle devra être accompagnée, pour être recevable,
du versement par virement sur le compte dudit notaire d’une somme
correspondant :
au montant de l’apport personnel déduction faite de l’indemnité
d’immobilisation éventuellement versée en exécution des présentes
(étant précisé que, pour la partie du prix payé au moyen d'un
emprunt, il convient de justifier de la disponibilité des fonds ou d’une
offre de prêt acceptée),
à la provision sur frais d’acte de vente et de prêt éventuel,
à l’éventuelle commission d’intermédiaire.
CARENCE
La carence s'entend ici du manquement fautif par l'une des parties, du fait de
sa volonté ou de sa négligence, à une ou plusieurs de ses obligations aux présentes,
ce manquement empêchant l'exécution de la vente.
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Si le BENEFICIAIRE a valablement levé l’option dans le délai de réalisation
ci-dessus, accompagné du paiement du prix et des frais, mais que l’acte de vente
n’est pas intervenu dans les quinze jours de celle-ci, alors la partie la plus diligente
mettra l'autre partie en demeure, par acte d'huissier, d'avoir à comparaître en l'étude
du notaire chargé de recevoir l'acte de vente à l'effet de signer cet acte.
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Par le présent contrat de promesse, les parties conviennent que la formation
du contrat de vente est exclusivement subordonnée au consentement du
BENEFICIAIRE, indépendamment du comportement du PROMETTANT.
Toute révocation ou rétractation unilatérale de la volonté du PROMETTANT
sera de plein droit dépourvue de tout effet sur le contrat promis du fait de
l'acceptation de la présente promesse en tant que telle par le BENEFICIAIRE.
En outre, le PROMETTANT ne pourra pas se prévaloir des dispositions de
l’article 1590 du Code civil en offrant de restituer le double de la somme le cas
échéant versée au titre de l’indemnité d’immobilisation.
En tant que de besoin, le PROMETTANT se soumet à l'exécution en nature
prévue par l'article 1221 du Code civil si le BENEFICIAIRE venait à la
demander. Le tout sauf si ce mode d’exécution est soit devenu impossible soit
d’une disproportion manifeste entre son coût pour le débiteur de bonne foi et
son intérêt pour le créancier.
PROPRIETE JOUISSANCE
Le BENEFICIAIRE sera propriétaire du BIEN objet de la promesse le jour de
la constatation de la vente en la forme authentique et il en aura la jouissance à
compter du même jour par la prise de possession réelle, le BIEN devant être
impérativement, à cette même date, libre de toute location ou occupation.
Le PROMETTANT déclare que le BIEN n’a pas, avant ce jour, fait l’objet d’un
congé pouvant donner lieu à l’exercice d’un droit de préemption.
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partie immobilière conformément aux dispositions de l’article 735 du Code général des
impôts.
Le PROMETTANT reconnaît avoir été informé par le notaire soussigné que,
dans le cadre de la notification de droits de préemption, cette ventilation du prix sera
reportée et que, dans l’hypothèse de l’exercice d’un droit de préemption, ce dernier ne
porterait que sur le bien immobilier, au prix indiqué pour l’article immobilier seulement.
Informé des conséquences en découlant sur le prix lui revenant, le
PROMETTANT requiert le notaire soussigné de maintenir la ventilation de prix
stipulée.
FRAIS
Les frais, droits et émoluments de la vente seront à la charge du
BENEFICIAIRE.
NÉGOCIATION
Les parties reconnaissent que le prix a été négocié par l'agence
HOMEBOOKIMMO titulaire d’un mandat donné par le PROMETTANT encore expiré,
ainsi déclaré.
En conséquence, le BENEFICIAIRE qui en a seul la charge aux termes du
mandat, doit à l’agence une rémunération de VINGT-TROIS MILLE TROIS CENT UN
EUROS (23 301,00 EUR), taxe sur la valeur ajoutée incluse.
Cette rémunération sera payée le jour de la constatation authentique de la
réalisation des présentes.
Etant ici précisé que le montant de la négociation est en sus du prix indiqué
ci-dessus.
COUT DE L’OPERATION
A titre indicatif, le coût et le financement de l’opération sont les suivants :
Tous les versements doivent être effectués par virement sur le compte de
l'Office Notarial (cf. RIB ci-après).
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INDEMNITE D'IMMOBILISATION
Le montant de l'indemnité d'immobilisation est fixé à la somme forfaitaire de
DIX (10) POUR CENT du montant du prix de vente, soit la somme de SOIXANTE DIX
SEPT MILLE SIX CENT SOIXANTE NEUF EUROS et QUATRE VINGT DIX
CENTIMES (77 669,90 euros).
Cette somme sera versée par le BENEFICIAIRE, qui s'y oblige, au plus tard
dans les QUINZE (15) JOURS suivant la signature des présentes.
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À cet égard, les PARTIES reconnaissent avoir été informé par le notaire
soussigné que la responsabilité de l’office notarial destinataire du virement ne pourra
en aucun cas être engagée en cas de non-respect par le BENEFICIAIRE de son
obligation, et que passé le délai limite octroyé au BENEFICIAIRE pour effectuer le
virement de l’indemnité d’immobilisation, le PROMETTANT devra s’assurer de la
confirmation que celui-ci a bien été effectué auprès de l’office notarial susnommé.
RÉSERVES
Réserve du droit de préemption
La promesse sera notifiée à tous les titulaires d'un droit de préemption institué
en vertu de l’article L211-1 du Code de l’urbanisme ou de tout autre Code.
L'exercice de ce droit par son titulaire obligera le PROMETTANT aux mêmes
charges et conditions convenues aux présentes.
Par cet exercice les présentes ne produiront pas leurs effets entre les parties
et ce même en cas d'annulation de la préemption ou de renonciation ultérieure à
l’exercice de ce droit de la part de son bénéficiaire.
CONDITIONS SUSPENSIVES
La promesse est soumise à l’accomplissement de conditions suspensives
telles qu’indiquées ci-après.
Conformément aux dispositions de l’article 1304-6 du Code civil, à partir
de cet accomplissement les obligations contractées produisent leurs effets.
Toute condition suspensive est réputée accomplie, lorsque sa réalisation est
empêchée par la partie qui y avait intérêt et ce aux termes du premier alinéa de
l’article 1304-3 du Code civil.
La partie en faveur de laquelle est stipulée exclusivement une condition
suspensive est libre d’y renoncer tant que celle-ci n'est pas accomplie ou n'a
pas défailli. Dans ce cas, cette renonciation doit intervenir par courrier
recommandé, électronique ou non, adressé au notaire qui la représente dans le
délai prévu pour sa réalisation.
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Conditions suspensives particulières
Vente par le bénéficiaire d’un bien immobilier lui appartenant
La réalisation des présentes est soumise à la vente par le BENEFICIAIRE
d’un bien immobilier lui appartenant sis à .
Cette vente est indispensable à le BENEFICIAIRE à l’effet de constituer son
apport personnel dans le cadre des présentes.
Le BENEFICIAIRE déclare :
avoir conclu sous diverses conditions suspensives non encore accomplies un
avant-contrat en date du dont une copie a été remise au
PROMETTANT ce jour,
que le prix de vente s’élève à la somme de payable comptant,
avoir la libre-disposition de ce prix dès la réalisation de cette vente, sous
réserve de s’acquitter du ou des prêts pouvant exister le cas échéant sur le
bien et dont le montant exigible est en toute hypothèse inférieur au prix,
que son apport personnel aux présentes est conditionné par la perception du
disponible de ce prix,
que la date de réalisation convenue de cet avant contrat est antérieure à celle
des présentes comme étant fixée au ,
que les dispositions de l’article L 271-1 du Code de la construction et de
l'habitation, dans la mesure où elles s’appliquent à cet avant-contrat, ont été
purgées.
Il est convenu entre les PARTIES que si la vente du bien n’est pas conclue
dans le délai sus-indiqué, et sauf renonciation du BENEFICIAIRE à se prévaloir de
cette condition, les présentes seront considérées comme caduques.
Absence de prêt
Le BENEFICIAIRE déclare qu'il n'entend pas contracter d'emprunt pour le
financement de l'acquisition envisagée, le financement devant être assuré en totalité
par ses deniers personnels.
Si, contrairement à cette déclaration, il avait néanmoins recours à un tel prêt,
il reconnaît avoir été informé qu'il ne pourrait, en aucun cas, se prévaloir de la
condition suspensive prévue à l’article L 313-41 du Code de la consommation.
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GARANTIE DE JOUISSANCE
Le PROMETTANT déclare qu’il n’a pas délivré de congé à un ancien locataire
lui permettant d’exercer un droit de préemption.
GARANTIE HYPOTHECAIRE
Le PROMETTANT s’obligera, s’il existe un ou plusieurs créanciers
hypothécaires inscrits, à régler l’intégralité des sommes pouvant leur être encore
dues, à rapporter à ses frais les certificats de radiation des inscriptions.
SERVITUDES
Le BENEFICIAIRE profitera ou supportera les servitudes ou les droits de
jouissance spéciale, s’il en existe.
Le PROMETTANT déclare :
ne pas avoir créé ou laissé créer de servitude ou de droit de jouissance
spéciale qui ne seraient pas relatés aux présentes,
qu'à sa connaissance, il n'existe pas d'autres servitudes ou droits de
jouissance spéciale que celles ou ceux résultant, le cas échéant, de l’acte, de
la situation naturelle et environnementale des lieux et de l'urbanisme.
ETAT DU BIEN
Le BENEFICIAIRE prendra le BIEN dans l’état où il se trouve à ce
jour, tel qu’il l’a vu et visité, le PROMETTANT s’interdisant formellement d’y apporter
des modifications matérielles ou juridiques.
Il déclare que la désignation du BIEN figurant aux présentes correspond à ce qu'il a
pu constater lors de ses visites.
S’agissant des vices cachés, il est précisé que cette exonération de garantie
ne s’applique pas :
si le PROMETTANT a la qualité de professionnel de l'immobilier ou de la
construction, sauf si le BENEFICIAIRE a également cette qualité,
ou s’il est prouvé par le BENEFICIAIRE, dans le délai légal, que les vices
cachés étaient en réalité connus du PROMETTANT.
Toutefois, le PROMETTANT est avisé que, s’agissant des travaux qu’il a pu
exécuter par lui-même, la jurisprudence tend à écarter toute efficacité de la clause
d’exonération de garantie des vices cachés.
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Etant ici également précisé que le PROMETTANT déclare, au titre de son
devoir d’information :
*Qu’il n’a pas réalisé de travaux d’aménagement intérieur autres que ceux
intégrés le cas échéant à la désignation actualisée du BIEN objet des présentes ;
IMPÔTS ET TAXES
Impôts locaux
Le PROMETTANT déclare être à jour des mises en recouvrement des impôts
locaux.
Le BENEFICIAIRE sera redevable à compter du jour de la signature de l'acte
authentique des impôts et contributions.
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La taxe d’habitation, si elle est exigible, est due pour l’année entière par
l’occupant au premier jour du mois de janvier.
La taxe foncière, ainsi que la taxe d’enlèvement des ordures ménagères si
elle est due, seront réparties entre le PROMETTANT et le BENEFICIAIRE en fonction
du temps pendant lequel chacun aura été propriétaire au cours de l'année de la
constatation de la réalisation des présentes.
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ASSURANCE
Le BENEFICIAIRE, tout en étant informé de l'obligation immédiate de
souscription, ne continuera pas les polices d'assurance actuelles garantissant le BIEN
et confèrera à cet effet mandat au PROMETTANT, qui accepte, de résilier les contrats
lorsqu’il avertira son assureur de la signature de l'acte authentique.
CONTRAT D’AFFICHAGE
Le PROMETTANT déclare qu'il n'a pas été conclu de contrat d'affichage.
DIAGNOSTICS
DOSSIER DE DIAGNOSTICS TECHNIQUES
Pour l’information des parties a été dressé ci-après le tableau du dossier de
diagnostics techniques tel que prévu par les articles L 271-4 à L 271-6 du Code de la
construction et de l’habitation, qui regroupe les différents diagnostics techniques
immobiliers obligatoires en cas de vente selon le type d’immeuble en cause, selon sa
destination ou sa nature, bâti ou non bâti.
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énergétique d’une installation de émission de gaz à
chauffage effet de serre
Audit Si logements Etat des lieux des 5 ans
énergétique individuels ou performances
immeubles collectifs énergétiques
d'habitation initiales du logement
appartenant à un seul (déperditions
et même propriétaire thermiques,
relevant des classes F pathologies du
ou G du DPE (sauf bâtiment)
Guadeloupe,
Martinique, Réunion,
Guyane, Mayotte)
Electricité Si immeuble Installation 3 ans
d’habitation ayant une intérieure : de
installation de plus de l’appareil de
15 ans commande aux
bornes
d’alimentation
Assainissement Si immeuble Contrôle de 3 ans
d’habitation non l’installation
raccordé au réseau existante
public de collecte des
eaux usées
Mérules Si immeuble bâti dans Immeuble bâti 6 mois
une zone prévue par
l’article L 131-3 du
Code de la construction
et de l’habitation
ERP Immeuble situé dans Immeuble bâti ou 6 mois
une zone couverte par non
un plan de prévention
des risques –
Information relative à la
pollution des sols
Bruit Si immeuble Immeuble bâti La durée du plan
d’habitation ou
professionnel et
d’habitation dans une
zone prévue par l’article
L 112-6 du Code de
l’urbanisme
17
concernant ces diagnostics seront dans un ordre différent, afin de distinguer la fiche
technique de l'immeuble en tant que telle et ce qui concerne la protection de
l'environnement tels que l'état des risques et le diagnostic de performance
énergétique qui renseigne sur la performance énergétique d'un logement ou d'un
bâtiment, en évaluant sa consommation d'énergie et son impact en terme d'émission
de gaz à effet de serre.
DIAGNOSTICS TECHNIQUES
Plomb
L'immeuble ayant été construit avant le 1er janvier 1949, et étant affecté, en
tout ou partie, à un usage d’habitation, entre dans le champ d’application des
dispositions de l’article L 1334-5 du Code de la santé publique pour lequel un constat
de risque d’exposition au plomb doit être établi.
Il est précisé que les eaux destinées à la consommation humaine doivent être
conformes à des références de qualité et ne pas excéder le seuil de 10
microgrammes de plomb par litre d’eau potable, et ce conformément aux dispositions
des articles R.1321-2 et R.1321-3 du Code de la santé publique.
L'arrêté du 19 août 2011 identifiant la mission du diagnostiqueur exclut du
constat de risque d'exposition au plomb la recherche de plomb dans les canalisations.
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Amiante
L’article L 1334-13 premier alinéa du Code de la santé publique commande
au PROMETTANT de faire établir un état constatant la présence ou l’absence de
matériaux ou produits de la construction contenant de l’amiante.
Cet état s’impose à tous les bâtiments dont le permis de construire a été
délivré avant le 1er juillet 1997.
Termites
L'immeuble se trouve dans une zone délimitée par arrêté préfectoral comme
étant contaminée par les termites ou susceptible de l’être.
Mérules
Les parties ont été informées des dégâts pouvant être occasionnés par la
présence de mérules dans un bâtiment, la mérule étant un champignon qui se
développe dans l'obscurité, en espace non ventilé et en présence de bois humide.
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L'immeuble ne se trouve pas actuellement dans une zone de présence d'un
risque de mérule délimitée par un arrêté préfectoral.
Le PROMETTANT déclare ne pas avoir constaté l'existence de zones de
condensation interne, de moisissures ou encore de présence d'effritements ou de
déformation dans le bois ou l'existence de filaments blancs à l'aspect cotonneux, tous
des éléments parmi les plus révélateurs de la potentialité de la présence de ce
champignon.
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surface totale du logement. Il existe 7 classes d’énergie (A, B, C, D, E, F, G), de "A"
(BIEN économe) à "G" (BIEN énergivore).
Radon
Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle qui représente le tiers de
l'exposition moyenne de la population française aux rayonnements ionisants.
Il est issu de la désintégration de l’uranium et du radium présents dans la
croûte terrestre.
Il est présent partout à la surface de la planète et provient surtout des sous-
sols granitiques et volcaniques ainsi que de certains matériaux de construction.
Le radon peut s’accumuler dans les espaces clos, notamment dans les
maisons. Les moyens pour diminuer les concentrations en radon dans les maisons
sont simples :
aérer et ventiler les bâtiments, les sous-sols et les vides sanitaires,
améliorer l’étanchéité des murs et planchers.
L’activité volumique du radon (ou concentration de radon) à l’intérieur des
habitations s’exprime en becquerel par mètre cube (Bq/m3).
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Aux termes des dispositions de l'article R 1333-29 de ce Code le territoire
national est divisé en trois zones à potentiel radon définies en fonction des flux
d’exhalation du radon des sols :
Zone 1 : zones à potentiel radon faible.
Zone 2 : zones à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs
géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les
bâtiments.
Zone 3 : zones à potentiel radon significatif.
La liste des communes réparties entre ces trois zones est fixée par un arrêté
du 27 juin 2018.
La commune se trouvant en zone 3, ainsi révélé par l'état des risques ci-
après.
DISPOSITIFS PARTICULIERS
Détecteur de fumée
L’article R 142-2 du Code de la construction et de l'habitation prescrit
d'équiper chaque logement, qu'il se situe dans une habitation individuelle ou dans une
habitation collective, d'au moins un détecteur de fumée muni du marquage CE et
conforme à la norme européenne harmonisée NF EN 14604.
L’article R 142-3 du même Code précise que la responsabilité de l'installation
de ce détecteur de fumée normalisé incombe par principe au propriétaire et la
responsabilité de son entretien incombe à l'occupant du logement.
DIAGNOSTICS ENVIRONNEMENTAUX
Assainissement
Le PROMETTANT déclare que l’immeuble est raccordé à un réseau
d’assainissement collectif des eaux usées domestiques conformément aux
dispositions de l’article L 1331-1 du Code de la santé publique.
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Aux termes des dispositions des articles L 1331-4 et L 1331-6 de ce Code, les
parties sont informées que l’entretien et le bon fonctionnement des ouvrages
permettant d’amener les eaux usées domestiques de l'immeuble à la partie publique
sont soumis au contrôle de la commune ou de la communauté de communes, qui peut
procéder, sous astreinte et aux frais du propriétaire, aux travaux indispensables à ces
effets.
Ces travaux sont à la charge du propriétaire de l’immeuble. Le service public
compétent en matière d'assainissement collectif peut astreindre le propriétaire au
versement d’une participation pour le financement de cet assainissement collectif (L
1331-7 du Code de la santé publique). Ce paiement a pour but de tenir compte de
l'économie réalisée par eux en évitant une installation d'évacuation ou d'épuration
individuelle réglementaire ou la mise aux normes d'une telle installation.
Il est ici précisé que tout déversement d’eaux usées autres que domestiques
dans le réseau collectif nécessite préalablement une autorisation de la mairie ou du
service compétent. À compter de quatre mois après la date de réception de cette
demande d’autorisation, l’absence de réponse vaut refus. Toute acceptation de ce
déversement peut être subordonnée à une participation à la charge de l’auteur du
déversement (L 1331-10 du Code de la santé publique).
SITUATION ENVIRONNEMENTALE
ACTIVITÉS DANS L’ENVIRONNEMENT PROCHE DE L’IMMEUBLE
Préalablement à la signature des présentes, le BENEFICIAIRE déclare s’être
assuré par lui-même, des activités, professionnelles ou non, de toute nature, exercées
dans l’environnement proche de l’immeuble, susceptibles d’occasionner des
nuisances, sonores, olfactives, visuelles ou autres.
Le rédacteur des présentes a spécialement informé le BENEFICIAIRE savoir :
Des dispositions de l’article L 113-8 du Code de la construction et de
l’habitation :
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"Les dommages causés aux occupants d'un bâtiment par des nuisances dues
à des activités agricoles, industrielles, artisanales, commerciales, touristiques,
culturelles ou aéronautiques, n'entraînent pas droit à réparation lorsque le permis de
construire afférent au bâtiment exposé à ces nuisances a été demandé ou l'acte
authentique constatant l'aliénation ou la prise de bail établi postérieurement à
l'existence des activités les occasionnant dès lors que ces activités s'exercent en
conformité avec les dispositions législatives ou réglementaires en vigueur et qu'elles
se sont poursuivies dans les mêmes conditions."
Qu’outre les dispositions législatives ou réglementaires spéciales dont
relèvent certaines activités, la législation, relative aux troubles anormaux du
voisinage, se fonde sur les articles 1240 et 1241 du Code civil selon lesquels :
"Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige
celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer" et "Chacun est responsable du
dommage qu'il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou
par son imprudence."
L'article 544 du Code Civil ajoute que :
"La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus
absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les
règlements."
De plus, l'article R 1334-31 du Code de la santé publique dispose que :
"Aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité,
porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l'homme, dans un lieu
public ou privé, qu'une personne en soit elle-même à l'origine ou que ce soit par
l'intermédiaire d'une personne, d'une chose dont elle a la garde ou d'un animal placé
sous sa responsabilité."
Chaque rapport de voisinage peut susciter des désagréments, il n'en reste
pas moins qu'il ne caractérise pas nécessairement un trouble "anormal". Serait
considéré, par le Tribunal Judiciaire, comme anormal, un trouble répétitif, intensif, ou
un trouble qui outrepasse les activités normales attendues de la part du voisinage.
FISCALITE
RÉGIME FISCAL DE LA VENTE
Le PROMETTANT et le BENEFICIAIRE indiquent ne pas agir aux présentes
en qualité d'assujettis en tant que tels à la taxe sur la valeur ajoutée au sens de
l’article 256 du Code général des impôts.
PLUS-VALUES
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Le PROMETTANT déclare que les présentes portent sur sa résidence
principale, c'est-à-dire sa résidence effective et habituelle.
Il s’engage à produire tout élément précis et circonstancié quant à l’effectivité
de l’utilisation du BIEN comme résidence principale, et ce si l’administration venait à
lui demander des éléments de preuve.
Par suite, il bénéficiera de l’exonération de l'impôt sur les plus-values
conformément aux dispositions de l’article 150 U II 1° du Code général des impôts.
DISPOSITIONS TRANSITOIRES
OBLIGATION DE GARDE DU PROMETTANT
Entre la date des présentes et la date d’entrée en jouissance du
BENEFICIAIRE, le BIEN, et le cas échéant les MEUBLES, tels qu’ils sont sus-
désignés demeureront sous la garde et possession du PROMETTANT qui s’y oblige.
En conséquence, il est convenu ce qui suit :
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Eléments d’équipement
Le PROMETTANT s’engage à laisser dans le BIEN tout ce qui est immeuble
par destination ainsi que, sans que cette liste soit limitative et sous la seule réserve
que les éléments ci-après désignés existent :
les plaques de cheminées scellées, les inserts ;
les supports de tringles à rideau, s’ils sont scellés dans le mur ;
les trumeaux scellés, les dessus de radiateurs scellés, les moquettes ;
les poignées de porte telles qu’elles existaient lors de la visite ;
les pommeaux ou boules d'escalier ;
les portes, planches et équipements de rangement des placards ;
les arbres, arbustes, rosiers, plantes et fleurs en terre si jardin privatif ;
l’équipement sanitaire et l’équipement de chauffage et de conditionnement
d’air ;
les éléments d’éclairage fixés au mur et/ou plafonds, à l'exception des
appliques et luminaires ;
l’équipement électrique ;
les convecteurs électriques ;
le câblage et les prises informatiques ;
tous les carreaux et vitrages sans cassures ni fêlures ;
les volets, persiennes, stores-bannes et leurs motorisations.
Le BENEFICIAIRE pourra visiter les lieux juste avant la prise de jouissance
du BIEN, et s’assurer du respect de l’engagement qui précède.
Entretien, réparation
Jusqu'à l’entrée en jouissance du BENEFICIAIRE, le PROMETTANT
s’engage à :
ne pas apporter de modification quelconque ;
délivrer le BIEN dans son état actuel ;
conserver ses assurances ;
maintenir en bon état de fonctionnement les équipements du BIEN : chauffe-
eau, électricité, climatisation, VMC, sanitaire ;
laisser les fils électriques d’éclairage suffisamment longs et équipés de leurs
douilles et ampoules ou spots ou néons ;
entretenir le BIEN et ses abords ;
mettre hors-gel les installations en saison froide ;
réparer les dégâts survenus depuis la visite.
26
SINISTRE PENDANT LA DURÉE DE VALIDITÉ DE LA PROMESSE
Si un sinistre quelconque frappait le BIEN durant la durée de validité des
présentes, les parties conviennent que le BENEFICIAIRE aura la faculté :
Soit de renoncer purement et simplement à la vente et de se voir
immédiatement remboursé de toute somme avancée par lui le cas échéant.
Soit de maintenir l’acquisition du BIEN alors sinistré totalement ou
partiellement et de se voir attribuer les indemnités susceptibles d’être versées
par la ou les compagnies d’assurances concernées, sans limitation de ces
indemnités fussent-elles supérieures au prix convenu aux présentes. Le
PROMETTANT entend que dans cette hypothèse le BENEFICIAIRE soit
purement subrogé dans tous ses droits à l’égard desdites compagnies
d’assurances.
Il est précisé que l’existence des présentes ne pourrait alors être remise en
cause que par un sinistre de nature à rendre le BIEN inhabitable ou impropre à son
exploitation.
Le PROMETTANT indique que le BIEN est assuré qu’il est à jour du paiement
des primes et qu’il n’existe aucun contentieux en cours entre lui et la compagnie
assurant le BIEN.
27
Le délai de deux mois tel que défini par l’article L 213-2 du Code de
l'urbanisme pour exercer le droit de préemption est alors suspendu jusqu'à la visite
(ou au refus d'accorder une visite) ou la production des documents. Si le délai restant
est inférieur à un mois, le titulaire dispose d'un délai d'un mois pour prendre sa
décision. Par suite le délai de régularisation authentique de la constatation du transfert
de propriété est prolongé d'autant.
28
Il est précisé que les présentes n'opèrent pas de transfert de propriété au
sens de l’article 28 du décret numéro 55-22 du 4 janvier 1955, leur publication n'est
donc pas obligatoire.
En outre, les parties entendent utiliser la possibilité qui est réservée par
l’alinéa deux de l’article 1196 du Code civil pour différer le transfert de propriété à la
date de la signature de l’acte authentique de vente.
POUVOIRS
Les parties confèrent à tout clerc ou collaborateur de l’office notarial
dénommé en tête des présentes, ainsi qu'à ceux le cas échéant du notaire en
participation ou en concours, avec faculté d'agir ensemble ou séparément, tous
pouvoirs nécessaires à l’effet :
de signer toutes demandes de pièces, demandes de renseignements, et
lettres de purge de droit de préemption préalables à la vente ;
de dresser et signer tous actes qui se révéleraient nécessaires en vue de
l’accomplissement des formalités de publicité foncière des présentes dans
l’éventualité où l’une des parties demanderait la publication du présent acte
au service de la publicité foncière, d’effectuer toutes précisions pour mettre
les présentes en conformité avec la réglementation sur la publicité foncière.
ELECTION DE DOMICILE
Pour l'exécution des présentes, les parties font élection de domicile en leur
demeure ou siège social respectif.
En outre, et à défaut d'accord amiable entre les parties, toutes les
contestations qui pourront résulter des présentes seront soumises au tribunal
judiciaire de la situation du BIEN.
FACULTE DE RETRACTATION
En vertu des dispositions de l’article L 271-1 du Code de la construction et de
l’habitation, le BIEN étant à usage d’habitation et le BENEFICIAIRE étant un non-
professionnel de l’immobilier, ce dernier bénéficie de la faculté de se rétracter.
A cet effet, une copie du présent acte avec ses annexes lui sera notifiée par
lettre recommandée avec accusé de réception. Dans un délai de dix jours à compter
du lendemain de la première présentation de la lettre de notification, le
BENEFICIAIRE pourra exercer la faculté de rétractation, et ce par lettre
recommandée avec accusé de réception ou exploit d'huissier, à son choix exclusif.
A cet égard, le PROMETTANT constitue pour son mandataire Office Notarial
111, Chemin des Négadoux à SIX-FOURS-LES-PLAGES aux fins de recevoir la
notification de l’exercice éventuel de cette faculté.
Il est ici précisé au BENEFICIAIRE que :
Dans l’hypothèse où il exercerait cette faculté de rétractation, celle-ci serait
considérée comme définitive.
Le délai de dix jours pour l’envoi de ce courrier se compte de la manière
suivante :
29
Le premier jour commence le lendemain de la première présentation
du courrier recommandé.
Le dernier jour est le dixième jour suivant.
Un jour commence à zéro heure et se termine à vingt-quatre heures.
Le courrier recommandé de rétraction ou l’acte d’huissier doit être
envoyé au plus tard le dernier jour du délai.
En vertu de l'article 642 du Code de procédure civile, le délai expirant un
samedi, un dimanche, un jour férié ou chômé, est prorogé jusqu'au premier
jour ouvrable suivant.
En cas de pluralité de bénéficiaires, il est expressément convenu que la
rétractation d'un seul d'entre eux emportera automatiquement résolution des
présentes.
30
ENVOI ELECTRONIQUE
Chacune des parties donne son accord pour que l'envoi d'une lettre
recommandée, lorsque la loi permet cette forme de notification, soit effectué, pour les
besoins du dossier, par courrier recommandé avec accusé de réception électronique
à l'adresse courriel indiquée dans l'acte, et ce conformément aux dispositions de
l'article L 100 du Code des postes et des communications électroniques.
Elle reconnait et garantit qu'elle dispose de la maîtrise exclusive du compte e-
mail qu'elle a indiqué, notamment pour son accès régulier, la confidentialité des
identifiants qui lui permettent d'y accéder, et la gestion des paramètres de réception et
de filtrage de courriers rentrants. Le cas échant, elle garantit que tout tiers accédant
au compte e-mail est autorisé par elle à le représenter et agir en son nom. Elle
s'engage à maintenir son adresse en fonctionnement, et à avertir, par tous moyens
compatibles avec la procédure écrite, sans délai, son ou ses cocontractants et l'office
notarial de tout changement, de tout usage abusif, ou de toute interruption de celle-ci
(à l'exclusion des interruptions momentanées). Jusqu'à la réception d'une telle
notification, toute action effectuée par elle au travers de son compte e-mail sera
réputée effectuée par elle et relèvera de la responsabilité exclusive de cette dernière.
Il est précisé que le prestataire chargé de la remise est AR 24. Ce prestataire
est soumis aux dispositions du décret numéro 2018-347 du 9 mai 2018 qui précise les
conditions d'application visant à garantir l'équivalence de l'envoi d'une lettre
recommandée électronique avec l'envoi d'une lettre recommandée.
En application des dispositions de l'article R 53-3 du Code des postes et des
communications électroniques, le prestataire doit informer le destinataire, par voie
électronique, qu'une lettre recommandée lui est destinée et qu'il a la possibilité,
pendant un délai de quinze jours à compter du lendemain de l'envoi de cette
information, d'accepter ou non sa réception.
ADRESSES ÉLECTRONIQUES
Afin de procéder à l'envoi de documents par lettre recommandée électronique,
les adresses électroniques des parties sont les suivantes :
Madame Véronique BOURLET :
MÉDIATION
Les parties sont informées qu’en cas de litige entre elles ou avec un tiers,
elles pourront, préalablement à toute instance judiciaire, le soumettre à un médiateur
qui sera désigné et missionné par le Centre de médiation notariale dont elles
trouveront toutes les coordonnées et renseignements utiles sur le site :
https://www.mediation.notaires.fr.
AFFIRMATION DE SINCÉRITÉ
Les parties affirment, sous les peines édictées par l’article 1837 du Code
général des impôts, que le présent acte exprime l'intégralité du prix ; elles
reconnaissent avoir été informées par le rédacteur des présentes des sanctions
fiscales et des peines correctionnelles encourues en cas d’inexactitude de cette
affirmation ainsi que des conséquences civiles édictées par l’article 1202 du Code
civil.
31
Ces données seront susceptibles d’être transférées aux destinataires
suivants :
les administrations ou partenaires légalement habilités tels que la Direction
Générale des Finances Publiques, ou, le cas échéant, le livre foncier, les
instances notariales, les organismes du notariat, les fichiers centraux de la
profession notariale (Fichier Central Des Dernières Volontés, Minutier Central
Électronique des Notaires, registre du PACS, etc.),
les offices notariaux participant ou concourant à l’acte,
les établissements financiers concernés,
les organismes de conseils spécialisés pour la gestion des activités
notariales,
le Conseil supérieur du notariat ou son délégataire, pour la production des
statistiques permettant l’évaluation des biens immobiliers, en application du
décret n° 2013-803 du 3 septembre 2013,
les organismes publics ou privés pour des opérations de vérification dans le
cadre de la recherche de personnalités politiquement exposées ou ayant fait
l'objet de gel des avoirs ou sanctions, de la lutte contre le blanchiment des
capitaux et le financement du terrorisme. Ces vérifications font l'objet d'un
transfert de données dans un pays situé hors de l'Union Européenne et
encadré par la signature de clauses contractuelles types de la Commission
européenne, visant à assurer un niveau de protection des données
substantiellement équivalent à celui garanti dans l’Union Européenne.
La communication de ces données à ces destinataires peut être indispensable
pour l’accomplissement des activités notariales.
CERTIFICATION D'IDENTITÉ
Le notaire soussigné certifie que l’identité complète des parties dénommées
dans le présent document telle qu'elle est indiquée en tête des présentes à la suite de
leur nom ou dénomination lui a été régulièrement justifiée.
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Lorsque l'acte est établi sur support papier les pièces annexées à l'acte sont
revêtues d'une mention constatant cette annexe et signée du notaire, sauf si les
feuilles de l'acte et des annexes sont réunies par un procédé empêchant toute
substitution ou addition.
Si l’acte est établi sur support électronique, la signature du notaire en fin
d’acte vaut également pour ses annexes.
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