0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
28 vues33 pages

Promesse de Vente M. Lleu - Bourlet

Télécharger au format doc, pdf ou txt
Télécharger au format doc, pdf ou txt
Télécharger au format doc, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1/ 33

100378501

OD/AR/NS

L'AN DEUX MILLE VINGT-TROIS,


Le
A SIX-FOURS-LES-PLAGES (Var), 111 Chemin des Négadoux, au siège
de l’Office Notarial, ci-après nommé,
Maître Olivier DAGEVILLE, Notaire associé de la Société « BODIN
CELMA NOTAIRES », société à responsabilité limitée titulaire d’un Office
Notarial à SIX-FOURS-LES-PLAGES (Var), 111 Chemin des Négadoux, Espace
Mirabeau, et titulaire d’un Office Notarial à SAINT-CYR-SUR-MER (Var), 192
Contre-Allée du Rigaudon, Espace Triangle,

A RECU le présent acte contenant PROMESSE DE VENTE à la requête


de :

PROMETTANT
Monsieur Laurent LLEU, Retraité, époux de Madame +++++ ,
demeurant à SIX-FOURS-LES-PLAGES (83140) 82 rue de Gabois.
Né à ORAN (ALGERIE) le 27 juillet 1959.
Divorcé en premières noces de Madame Ruth Andrée Sophie WEBER,
suivant jugement rendu par le tribunal de grande instance de STRASBOURG (Bas-
Rhin) en date du 24 mai 1994.
Marié à la mairie de le sous le régime de la communauté
d’acquêts à défaut de contrat de mariage préalable.
De nationalité française.
Résident au sens de la réglementation fiscale.

Monsieur Alexandre LLEU, Commercial, demeurant à AIX-EN-PROVENCE


(13100) 440 chemin de Fignons.
Né à STRASBOURG (67000) le 26 janvier 1986.
Célibataire.
Non lié par un pacte civil de solidarité.
De nationalité française.
Résident au sens de la réglementation fiscale.

Monsieur Arthur LLEU, Ingénieur, demeurant à AIX-EN-PROVENCE (13100)


440 chemin de Fignons.

1
Né à STRASBOURG (67000) le 11 décembre 1988.
Célibataire.
Non lié par un pacte civil de solidarité.
De nationalité française.
Résident au sens de la réglementation fiscale.

Monsieur Antoine LLEU, Enseignant indépendant, demeurant à TOULON


(83000) 7 rue de la Fraternité.
Né à LA SEYNE-SUR-MER (83500) le 21 mars 1991.
Célibataire.
Non lié par un pacte civil de solidarité.
De nationalité française.
Résident au sens de la réglementation fiscale.

BENEFICIAIRE
Madame Véronique Anne Nathalie BOURLET, Retraitée, demeurant à
MARCQ-EN-BAROEUL (59700) 170 rue de Bondues.
Née à LILLE (59000) le 14 juin 1958.
Divorcée de Monsieur François Jacques Marie BULCKE suivant jugement
rendu par le tribunal judiciaire de LILLE (59000) le 3 décembre 2020, et non remariée.
Non liée par un pacte civil de solidarité.
De nationalité française.
Résidente au sens de la réglementation fiscale.

QUOTITÉS ACQUISES
Madame Véronique BOURLET fera l'acquisition de la pleine propriété.

DECLARATIONS DES PARTIES


Le PROMETTANT et le BENEFICIAIRE déclarent :
Que leur état civil et leurs qualités indiqués en tête des présentes sont exacts.
Qu'ils ne sont pas en état de cessation de paiement, redressement ou
liquidation judiciaire.
Et n'être concernés :
 Par aucune mesure de protection.
 Par aucune des dispositions du Code de la consommation sur le règlement
des situations de surendettement.
Le tout sauf ce qui peut être spécifié aux présentes.

Le BENEFICIAIRE déclare ne pas être, soit à titre personnel, soit en tant


qu'associé ou mandataire social, soumis à l'interdiction d'acquérir prévue par l’article
225-26 du Code pénal.

PRÉSENCE - REPRÉSENTATION
- Monsieur Laurent LLEU est présent à l’acte.

- Monsieur Alexandre LLEU est présent à l’acte.

- Monsieur Arthur LLEU est présent à l’acte.

- Monsieur Antoine LLEU est présent à l’acte.

- Madame Véronique BOURLET est présente à l’acte.

2
CONCLUSION DU CONTRAT
Les parties déclarent que les dispositions de ce contrat ont été, en respect
des règles impératives de l'article 1104 du Code civil, négociées de bonne foi. Elles
affirment qu'il reflète l'équilibre voulu par chacune d'elles.

DEVOIR D'INFORMATION RECIPROQUE


En application de l'article 1112-1 du Code civil qui impose aux parties un
devoir précontractuel d’information, qui ne saurait toutefois porter sur le prix, le
PROMETTANT déclare avoir porté à la connaissance du BENEFICIAIRE l'ensemble
des informations dont il dispose ayant un lien direct et nécessaire avec le contenu du
présent contrat et dont l'importance pourrait être déterminante de son consentement.
Ce devoir s’applique à toute information sur les caractéristiques juridiques,
matérielles et environnementales relatives au bien, ainsi qu’à son usage, dont il a
personnellement connaissance par lui-même et par des tiers, sans que ces
informations puissent être limitées dans le temps.
Le PROMETTANT reconnaît être informé qu'un manquement à ce devoir
serait sanctionné par la mise en œuvre de sa responsabilité, avec possibilité
d'annulation du contrat s'il a vicié le consentement du BENEFICIAIRE.
Pareillement, le BENEFICIAIRE déclare avoir rempli les mêmes
engagements, tout manquement pouvant être sanctionné comme indiqué ci-dessus.
Le devoir d'information est donc réciproque.
En outre, conformément aux dispositions de l'article 1602 du Code civil, le
PROMETTANT est tenu d'expliquer clairement ce à quoi il s'oblige, tout pacte obscur
ou ambigu s'interprétant contre lui.
Les PARTIES attestent que les informations déterminantes connues d’elles,
données et reçues, sont rapportées aux présentes.

PACTE DE PREFERENCE - ACTION INTERROGATOIRE


Le PROMETTANT déclare qu'il n'existe aucun pacte de préférence.
Si malgré cette déclaration, il est révélé l'existence d'un pacte de préférence,
les parties sont informées qu'en vertu de l'ordonnance 2016-131 du 10 février 2016,
un tiers, et notamment le BENEFICIAIRE, pourra demander au bénéficiaire du pacte
de préférence de confirmer l'existence de ce pacte et s'il entend s'en prévaloir.
Cette demande doit être effectuée par écrit et le tiers doit fixer un délai
raisonnable au bénéficiaire du pacte pour répondre à sa demande. Cet écrit doit en
outre mentionner qu'à défaut de réponse dans ce délai, le bénéficiaire ne pourra plus
solliciter du juge sa substitution dans le contrat conclu avec le tiers ou agir en nullité.
Le tout ainsi qu'il résulte des dispositions de l'article 1123 alinéas 3 et 4 du
Code civil.

GESTION DES CONFLITS ENTRE ACQUÉREURS SUCCESSIFS


Il résulte des dispositions de l’article 1198, alinéa 2 du Code civil, que :
"Lorsque deux acquéreurs successifs de droits portant sur un même
immeuble tiennent leur droit d’une même personne, celui qui a, le premier, publié son
titre d’acquisition passé en la forme authentique au fichier immobilier est préféré,
même si son droit est postérieur, à condition qu’il soit de bonne foi."
A ce sujet le PROMETTANT déclare n’avoir cédé ou concédé aucun droit de
propriété, ni régularisé aucun autre avant-contrat portant sur le bien faisant l’objet de
la présente promesse de vente.

3
PROMESSE DE VENTE
OBJET DU CONTRAT
PROMESSE UNILATERALE DE VENTE
Le PROMETTANT confère au BENEFICIAIRE la faculté d'acquérir, le BIEN
ci-dessous identifié.
Le PROMETTANT prend cet engagement pour lui-même ou ses ayants droit
même protégés.
Le BENEFICIAIRE accepte la présente promesse de vente en tant que
promesse, mais se réserve la faculté d'en demander ou non la réalisation.

TERMINOLOGIE
Pour la compréhension de certains termes aux présentes, il est préalablement
expliqué ce qui suit :
- Le "PROMETTANT" et le "BENEFICIAIRE" désigneront respectivement le
ou les promettants et le ou les bénéficiaires, qui, en cas de pluralité, contracteront les
obligations respectivement mises à leur charge solidairement entre eux, sans que
cette solidarité soit rappelée chaque fois,
- Le "BIEN" désignera l’immeuble objet de la présente promesse de vente.
- Les "MEUBLES" désigneront les meubles et objets mobiliers, s'il en existe.

IDENTIFICATION DU BIEN
DÉSIGNATION
A SIX-FOURS-LES-PLAGES (VAR) 83140 82 Rue des Gabois,
Une parcelle de terrain sur laquelle est édifiée une MAISON d'habitation,
élevée d'un étage sur rez-de-chaussée et comprenant :
- Au rez-de-chaussée : une cuisine, une arrière cuisine, un dressing, une salle
d'eau, un W.C., une chambre, une salle à manger, un bureau et une cave ;
A l'étage : trois chambres, deux salles de bains, et un W.C. ;
Le tout avec une piscine, un abri de voitures et un garage.
Figurant ainsi au cadastre :

Section N° Lieudit Surface


AM 715 00 ha 07 a 67 ca

Tel que le BIEN existe, avec tous droits y attachés, sans aucune exception ni
réserve.

Un extrait de plan cadastral est annexé.

IDENTIFICATION DES MEUBLES


La promesse de vente comprend les meubles dont la liste détaillée est
annexée.

USAGE DU BIEN
Le PROMETTANT déclare que le BIEN est actuellement à usage d’habitation.
Le BENEFICIAIRE entend conserver cet usage.

EFFET RELATIF
Acquisition suivant acte reçu par Maître Bernard MUGARRA notaire à SIX-
FOURS-LES-PLAGES le 31 octobre 1997 , publié au service de la publicité
foncière de TOULON 1 le 1er novembre 1997, volume 1997¨P, numéro 9938.

4
Donation-partage suivant acte reçu par Maître Alexandra MIGNON-
GUZMANN notaire à TOULON le 4 juin 2012 , publié au service de la publicité
foncière de TOULON 1 le 4 juillet 2012, volume 2012P, numéro 7153.

CARACTÉRISTIQUES
Les parties conviennent entre elles d’établir les présentes sous la forme d’une
promesse unilatérale dans les termes du second alinéa de l'article 1106 du Code civil.
Dans la commune intention des parties, et pendant toute la durée du contrat, celle-ci
obéira aux dispositions qui suivent.

INFORMATION PRÉALABLE
Les parties ont été informées par le rédacteur des présentes que la forme
sous signature privée ne leur permet pas de faire publier un acte au service de la
publicité foncière.
En conséquence, et dans cette hypothèse, si l’une d’entre elles refusait ou
devenait incapable de réaliser ou de réitérer la convention par acte authentique,
l’autre partie ne pourrait pas faire inscrire les présentes directement au fichier
immobilier afin de conserver son droit et de le rendre opposable aux tiers,
préalablement à toute décision de justice.
Les parties ainsi averties de cette situation déclarent vouloir opter
expressément pour la conclusion entre elles d’un acte authentique.

DÉLAI
La promesse de vente est consentie pour une durée expirant le 5 janvier
2024, à seize heures.
En cas de carence du PROMETTANT pour la réalisation de la vente, ce
dernier ne saurait se prévaloir à l’encontre du BENEFICIAIRE de l’expiration du délai
ci-dessus fixé.

Toutefois, si, à cette date, les divers documents nécessaires à la


régularisation de l'acte n'étaient pas encore portés à la connaissance du notaire
chargé de sa rédaction, le délai de réalisation serait automatiquement prorogé aux
huit jours calendaires qui suivront la date à laquelle le notaire recevra la dernière des
pièces indispensables, sans que cette prorogation puisse excéder trente jours.

INFORMATION DES PARTIES SUR LE RENDEZ-VOUS DE SIGNATURE


Le rédacteur des présentes précise, à toutes fins utiles, que la date ci-dessus
mentionnée au paragraphe "Délai" ne constitue pas la date précise du rendez-
vous de signature de l'acte de vente. Il appartiendra aux parties de
préalablement se rapprocher de leur notaire afin de fixer une date de signature.
Par conséquent, leur attention est attirée sur les risques encourus en
prenant des engagements personnels tels que donner congé à son bailleur,
réserver définitivement un déménageur, commander des travaux, commander et
faire livrer du mobilier, réinvestir le prix de vente et dont l’exécution serait
basée sur la signature de l'acte de vente à cette date précise.
RÉALISATION
La réalisation de la promesse aura lieu :
 Soit par la signature de l'acte authentique constatant le caractère définitif de la
vente, accompagnée du versement par virement sur le compte du notaire
chargé de recevoir l’acte authentique de vente d’une somme correspondant :
 au prix stipulé payable comptant déduction faite de l’indemnité
d’immobilisation éventuellement versée en exécution des présentes,
 à la provision sur frais d’acte de vente et de prêt éventuel,

5
 à l’éventuelle commission d’intermédiaire,
 et de manière générale de tous comptes et proratas.
 Soit par la levée d'option faite par le BENEFICIAIRE à l'intérieur de ce délai,
suivie de la signature de l’acte authentique de vente dans le délai visé ci-
dessus. Si la levée d’option a lieu alors que des conditions suspensives sont
encore pendantes, elle n’impliquera pas renonciation à celles-ci, sauf volonté
contraire exprimée par le BENEFICIAIRE. Cette levée d'option sera effectuée
par le BENEFICIAIRE auprès du notaire rédacteur de l’acte de vente par tous
moyens et toutes formes ; elle devra être accompagnée, pour être recevable,
du versement par virement sur le compte dudit notaire d’une somme
correspondant :
 au montant de l’apport personnel déduction faite de l’indemnité
d’immobilisation éventuellement versée en exécution des présentes
(étant précisé que, pour la partie du prix payé au moyen d'un
emprunt, il convient de justifier de la disponibilité des fonds ou d’une
offre de prêt acceptée),
 à la provision sur frais d’acte de vente et de prêt éventuel,
 à l’éventuelle commission d’intermédiaire.

L’attention du BENEFICIAIRE est particulièrement attirée sur les points


suivants :
 L'obligation de paiement par virement et non par chèque même s'il est de
banque résulte des dispositions de l’article L 112-6-1 du Code monétaire et
financier.
 Il lui sera imposé de fournir une attestation émanant de la banque qui aura
émis le virement et justifiant de l’origine des fonds sauf si ces fonds résultent
d'un ou plusieurs prêts constatés dans l'acte authentique de vente ou dans un
acte authentique séparé.

RÉDACTEUR DE L'ACTE AUTHENTIQUE DE VENTE


L’acte authentique constatant la réalisation de la vente sera reçu par Maître
Olivier DAGEVILLE, notaire soussigné assistant le PROMETTANT avec la
participation de Maître Grégoire LEMAIRE, notaire à COMINES assistant le
BENEFICIAIRE.
En toute hypothèse, le transfert de propriété est reporté au jour de la
constatation de la vente en la forme authentique et du paiement du prix tel que
convenu et des frais, même si l'échange de consentement nécessaire à la formation
de la convention est antérieur.

CARENCE
La carence s'entend ici du manquement fautif par l'une des parties, du fait de
sa volonté ou de sa négligence, à une ou plusieurs de ses obligations aux présentes,
ce manquement empêchant l'exécution de la vente.

En l’absence de levée d’option ou de signature de l'acte de vente dans le


délai
Au cas où le BENEFICIAIRE n'aurait ni levé l'option ni signé l'acte de vente à
l'intérieur du délai de réalisation, il sera de plein droit déchu du bénéfice de la
promesse au terme dudit délai de réalisation sans qu’il soit besoin d’une mise en
demeure de la part du PROMETTANT, qui disposera alors librement du BIEN
nonobstant toute manifestation ultérieure de la volonté du BENEFICIAIRE de
l’acquérir.

En cas de levée d’option dans le délai

6
Si le BENEFICIAIRE a valablement levé l’option dans le délai de réalisation
ci-dessus, accompagné du paiement du prix et des frais, mais que l’acte de vente
n’est pas intervenu dans les quinze jours de celle-ci, alors la partie la plus diligente
mettra l'autre partie en demeure, par acte d'huissier, d'avoir à comparaître en l'étude
du notaire chargé de recevoir l'acte de vente à l'effet de signer cet acte.

Si, malgré la mise en demeure effectuée dans les conditions ci-dessus


indiquées, l'une des parties refusait ou s'abstenait de régulariser l'acte de vente le jour
indiqué dans la mise en demeure, il sera procédé à ladite date à l’établissement d’un
procès-verbal, dans les termes duquel il sera constaté le défaut du PROMETTANT ou
du BENEFICIAIRE. Ce procès-verbal devra être établi, si chacune des parties a son
propre notaire, par le notaire du PROMETTANT en cas de défaut du BENEFICIAIRE
et par le notaire du BENEFICIAIRE en cas de défaut du PROMETTANT.

En cas de défaut du PROMETTANT, le BENEFICIAIRE pourra à son choix


dans le procès-verbal :
 Soit faire part de son intention de poursuivre l'exécution de la vente,
indépendamment de son droit de réclamer une juste indemnisation.
 Soit encore faire constater que la vente n'est pas exécutée, cette constatation
résultant du défaut prononcé contre le PROMETTANT dans le procès-verbal,
et déclarer sa volonté de considérer la vente comme résolue de plein droit. Le
BENEFICIAIRE reprendra alors purement et simplement sa liberté
indépendamment de son droit de réclamer une juste indemnisation de son
préjudice.

En cas de défaut du BENEFICIAIRE qui ne viendrait ou ne voudrait pas


signer la vente malgré la levée d'option, le PROMETTANT pourra à son choix dans le
procès-verbal :
 Soit faire part de son intention de poursuivre l'exécution de la vente.
 Soit encore faire constater que la vente n'est pas exécutée, cette constatation
résultant du défaut prononcé contre le BENEFICIAIRE dans le procès-verbal,
et déclarer sa volonté de considérer la vente comme résolue de plein droit. Le
PROMETTANT reprendra alors purement et simplement sa liberté
indépendamment de son droit de réclamer le versement de l’indemnité
d’immobilisation au titre de l’indemnisation de son préjudice.

FORCE EXÉCUTOIRE DE LA PROMESSE


Il est entendu entre les parties qu’en raison de l’acceptation par le
BENEFICIAIRE de la promesse faite par le PROMETTANT, en tant que simple
promesse, il s’est formé entre elles un contrat dans les termes de l'article 1124 du
Code civil. En conséquence, et pendant toute la durée du contrat, celui-ci ne pourra
être révoqué que par leur consentement mutuel. Il en résulte notamment que :
 Le PROMETTANT a, pour sa part, définitivement consenti à la vente et qu’il
est d’ores et déjà débiteur de l’obligation de transférer la propriété au profit du
BENEFICIAIRE aux conditions des présentes. Le PROMETTANT ne peut
plus, par suite, pendant toute la durée de la présente promesse, conférer une
autre promesse à un tiers ni aucun droit réel ni charge quelconque sur le
BIEN, consentir aucun bail, location ou prorogation de bail. Il ne pourra non
plus apporter aucune modification matérielle, si ce n'est avec le consentement
du BENEFICIAIRE, ni détérioration au BIEN. Il en ira de même si la charge
ou la détérioration n'était pas le fait direct du PROMETTANT. Le non-respect
de cette obligation entraînera l'extinction des présentes si bon semble au
BENEFICIAIRE.

7
 Par le présent contrat de promesse, les parties conviennent que la formation
du contrat de vente est exclusivement subordonnée au consentement du
BENEFICIAIRE, indépendamment du comportement du PROMETTANT.
 Toute révocation ou rétractation unilatérale de la volonté du PROMETTANT
sera de plein droit dépourvue de tout effet sur le contrat promis du fait de
l'acceptation de la présente promesse en tant que telle par le BENEFICIAIRE.
En outre, le PROMETTANT ne pourra pas se prévaloir des dispositions de
l’article 1590 du Code civil en offrant de restituer le double de la somme le cas
échéant versée au titre de l’indemnité d’immobilisation.
 En tant que de besoin, le PROMETTANT se soumet à l'exécution en nature
prévue par l'article 1221 du Code civil si le BENEFICIAIRE venait à la
demander. Le tout sauf si ce mode d’exécution est soit devenu impossible soit
d’une disproportion manifeste entre son coût pour le débiteur de bonne foi et
son intérêt pour le créancier.

PRISE EN COMPTE D'UN ÉVÈNEMENT SANITAIRE


Les parties attestent être instruites de l'impact d'une crise sanitaire à l’image
de celle de la Covid-19 en ce qui concerne les effets potentiels sur les délais
d’exécution d’un contrat.
Si une telle crise venait à se reproduire pendant le délai de réalisation des
présentes, et que des dispositions d’origine légale ou réglementaire prises en
conséquence reportaient les délais d’instruction de certains documents nécessaires à
la perfection des présentes, ce délai de réalisation serait automatiquement prorogé
d’un temps égal, aucun acte instrumentaire de prorogation n’étant alors nécessaire
entre les parties.

PROPRIETE JOUISSANCE
Le BENEFICIAIRE sera propriétaire du BIEN objet de la promesse le jour de
la constatation de la vente en la forme authentique et il en aura la jouissance à
compter du même jour par la prise de possession réelle, le BIEN devant être
impérativement, à cette même date, libre de toute location ou occupation.
Le PROMETTANT déclare que le BIEN n’a pas, avant ce jour, fait l’objet d’un
congé pouvant donner lieu à l’exercice d’un droit de préemption.

PRIX - CONDITIONS FINANCIERES


PRIX
La vente, en cas de réalisation, aura lieu moyennant le prix SEPT CENT
SOIXANTE-SEIZE MILLE SIX CENT QUATRE-VINGT-DIX-NEUF EUROS
(776 699,00 EUR), s'appliquant :
- Aux MEUBLES à concurrence de TRENTE-HUIT MILLE DEUX CENT
CINQUANTE EUROS (38 250,00 EUR).
- Au BIEN à concurrence de SEPT CENT TRENTE-HUIT MILLE QUATRE
CENT QUARANTE-NEUF EUROS (738 449,00 EUR).
Ce prix sera payable comptant le jour de la constatation authentique de la
réalisation des présentes.

CONSÉQUENCES DE LA VENTILATION DU PRIX


Le présent acte portant tant sur un bien immobilier que sur divers éléments
mobiliers, ces derniers ont été listés et valorisés, article par article, de manière que le
prix soit ventilé entre le bien immobilier et les biens mobiliers et que les droits
d’enregistrement, qui seront supportés par le BENEFICIAIRE, ne portent que sur la

8
partie immobilière conformément aux dispositions de l’article 735 du Code général des
impôts.
Le PROMETTANT reconnaît avoir été informé par le notaire soussigné que,
dans le cadre de la notification de droits de préemption, cette ventilation du prix sera
reportée et que, dans l’hypothèse de l’exercice d’un droit de préemption, ce dernier ne
porterait que sur le bien immobilier, au prix indiqué pour l’article immobilier seulement.
Informé des conséquences en découlant sur le prix lui revenant, le
PROMETTANT requiert le notaire soussigné de maintenir la ventilation de prix
stipulée.

FRAIS
Les frais, droits et émoluments de la vente seront à la charge du
BENEFICIAIRE.

NÉGOCIATION
Les parties reconnaissent que le prix a été négocié par l'agence
HOMEBOOKIMMO titulaire d’un mandat donné par le PROMETTANT encore expiré,
ainsi déclaré.
En conséquence, le BENEFICIAIRE qui en a seul la charge aux termes du
mandat, doit à l’agence une rémunération de VINGT-TROIS MILLE TROIS CENT UN
EUROS (23 301,00 EUR), taxe sur la valeur ajoutée incluse.
Cette rémunération sera payée le jour de la constatation authentique de la
réalisation des présentes.

Etant ici précisé que le montant de la négociation est en sus du prix indiqué
ci-dessus.

COUT DE L’OPERATION
A titre indicatif, le coût et le financement de l’opération sont les suivants :

Prix 776 699,00 EUR


Frais de la vente à la charge du bénéficiaire 53 300,00 EUR
Frais de négociation à la charge du bénéficiaire 23 301,00 EUR
Ensemble ZÉRO EURO (0,00 EUR) 853 300,00 EUR

Tous les versements doivent être effectués par virement sur le compte de
l'Office Notarial (cf. RIB ci-après).

Relevé d’identité Bancaire


Domiciliation : CDC
DDFIP VAR
Code Code
Place Besagne BP 1409 N° de compte Clé RIB
Banque Guichet
83056 TOULON CEDEX
40031 00830 0000449840F 21

Cadre réservé au destinataire du relevé Identifiant Norme Internationale Bancaire (IBAN)

FR94 4003 1008 3000 0044 9840 F21

SARL BODIN CELMA NOTAIRES Identifiant International de la Banque (BIC)


111 chemin des Négadoux
83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES CDCG FR PPXXX

9
INDEMNITE D'IMMOBILISATION
Le montant de l'indemnité d'immobilisation est fixé à la somme forfaitaire de
DIX (10) POUR CENT du montant du prix de vente, soit la somme de SOIXANTE DIX
SEPT MILLE SIX CENT SOIXANTE NEUF EUROS et QUATRE VINGT DIX
CENTIMES (77 669,90 euros).

Sur laquelle somme le BENEFICIAIRE versera en la comptabilité de l’Office


notarial de Maître Bertrand CELMA, notaire à SIX FOURS LES PLAGES (VAR), celle
de VINGT QUATRE MILLE EUROS (24 000,00 euros), représentant partie de
l'indemnité d'immobilisation ci-dessus conventionnellement fixée entre les parties aux
présentes.

Cette somme sera versée par le BENEFICIAIRE, qui s'y oblige, au plus tard
dans les QUINZE (15) JOURS suivant la signature des présentes.

Dans l’hypothèse où le virement de ladite somme ne serait pas exécuté en la


comptabilité de l’Office Notarial de Maitre Bertrand CELMA, notaire à SIX FOURS
LES PLAGES (VAR), en qualité de dépositaire, dans le délai imparti, les présentes
seraient considérées comme nulles et non avenues, si bon semble au
PROMETTANT, et le BENEFICIAIRE déchu de tout droit d’exiger la réalisation des
présentes.
Ces fonds seront indisponibles, incessibles et insaisissables jusqu’à la
conclusion du contrat de vente.
Le sort de cette somme, en ce compris celui des intérêts produits par elle le
cas échéant, sera le suivant, selon les hypothèses ci-après envisagées :
a) Elle s'imputera purement et simplement et à due concurrence sur le prix en
cas de réalisation de la vente promise.
b) Elle sera restituée purement et simplement au BENEFICIAIRE dans tous
les cas où la non réalisation de la vente ou la non levée de l'option résulterait de la
défaillance de l'une quelconque des conditions suspensives énoncées aux présentes.
c) Elle sera versée au PROMETTANT, et lui restera acquise à titre
d'indemnité forfaitaire et non réductible faute par le BENEFICIAIRE ou ses substitués
d'avoir réalisé l'acquisition ou levé l'option dans les délais et conditions ci-dessus,
toutes les conditions suspensives ayant été réalisées.

Le dépositaire conservera cette somme pour la remettre soit au


PROMETTANT soit au BENEFICIAIRE selon les hypothèses ci-dessus définies.

En cas de difficulté entre les parties sur le sort de l'indemnité d'immobilisation,


il appartiendra à la plus diligente d'entre elles de se pourvoir en justice afin qu'il soit
statué sur le sort de la somme détenue par le dépositaire.
Le dépositaire est dès à présent autorisé par les cocontractants à consigner
l’indemnité d’immobilisation à la Caisse des Dépôts et Consignations en cas de
difficultés.
Le dépositaire sera déchargé de plein droit de sa mission par la remise des
fonds dans les conditions sus-indiquées.

Le PROMETTANT se reconnaît parfaitement informé du fait que l’absence de


paiement de la totalité de l’indemnité d’immobilisation, rendra plus difficile le
recouvrement de la partie de l’indemnité non versée, pour le cas où le BENEFICIAIRE
ne donnerait pas suite à la présente promesse.
Le PROMETTANT déclare vouloir faire son affaire personnelle de cette
situation et dispense le Notaire soussigné d’obtenir de la part du BENEFICIAIRE
quelque garantie que ce soit.

Le PROMETTANT reconnaît avoir été informé à ses seuls risques et périls


que le notaire soussigné ne lui adressera aucune information automatique quant au
versement ou à l’absence de versement de cette indemnité par le BENEFICIAIRE s’il
n’en fait pas la demande expresse.

10
À cet égard, les PARTIES reconnaissent avoir été informé par le notaire
soussigné que la responsabilité de l’office notarial destinataire du virement ne pourra
en aucun cas être engagée en cas de non-respect par le BENEFICIAIRE de son
obligation, et que passé le délai limite octroyé au BENEFICIAIRE pour effectuer le
virement de l’indemnité d’immobilisation, le PROMETTANT devra s’assurer de la
confirmation que celui-ci a bien été effectué auprès de l’office notarial susnommé.

RÉSERVES ET CONDITIONS SUSPENSIVES


Les effets des présentes sont soumis à la levée des réserves et à
l’accomplissement des conditions suspensives suivantes.

RÉSERVES
Réserve du droit de préemption
La promesse sera notifiée à tous les titulaires d'un droit de préemption institué
en vertu de l’article L211-1 du Code de l’urbanisme ou de tout autre Code.
L'exercice de ce droit par son titulaire obligera le PROMETTANT aux mêmes
charges et conditions convenues aux présentes.
Par cet exercice les présentes ne produiront pas leurs effets entre les parties
et ce même en cas d'annulation de la préemption ou de renonciation ultérieure à
l’exercice de ce droit de la part de son bénéficiaire.

CONDITIONS SUSPENSIVES
La promesse est soumise à l’accomplissement de conditions suspensives
telles qu’indiquées ci-après.
Conformément aux dispositions de l’article 1304-6 du Code civil, à partir
de cet accomplissement les obligations contractées produisent leurs effets.
Toute condition suspensive est réputée accomplie, lorsque sa réalisation est
empêchée par la partie qui y avait intérêt et ce aux termes du premier alinéa de
l’article 1304-3 du Code civil.
La partie en faveur de laquelle est stipulée exclusivement une condition
suspensive est libre d’y renoncer tant que celle-ci n'est pas accomplie ou n'a
pas défailli. Dans ce cas, cette renonciation doit intervenir par courrier
recommandé, électronique ou non, adressé au notaire qui la représente dans le
délai prévu pour sa réalisation.

En toutes hypothèses, jusqu’à la réitération authentique des présentes, le


PROMETTANT conserve l’administration, les revenus et la gestion des risques
portant sur le BIEN.

Conditions suspensives de droit commun


Les présentes sont soumises à l’accomplissement des conditions suspensives
de droit commun stipulées en la faveur du BENEFICIAIRE, qui sera seul à pouvoir
s’en prévaloir.
Les titres de propriété antérieurs, les pièces d'urbanisme ou autres, ne doivent
pas révéler de servitudes, de charges, ni de vices non indiqués aux présentes
pouvant grever l'immeuble et en diminuer sensiblement la valeur ou le rendre
impropre à la destination que le BENEFICIAIRE entend donner. Le PROMETTANT
devra justifier d’une origine de propriété régulière remontant à un titre translatif d'au
moins trente ans.
L’état hypothécaire ne doit pas révéler de saisies ou d'inscriptions dont le
solde des créances inscrites augmenté du coût des radiations à effectuer serait
supérieur au prix disponible.

11
Conditions suspensives particulières
Vente par le bénéficiaire d’un bien immobilier lui appartenant
La réalisation des présentes est soumise à la vente par le BENEFICIAIRE
d’un bien immobilier lui appartenant sis à .
Cette vente est indispensable à le BENEFICIAIRE à l’effet de constituer son
apport personnel dans le cadre des présentes.
Le BENEFICIAIRE déclare :
 avoir conclu sous diverses conditions suspensives non encore accomplies un
avant-contrat en date du dont une copie a été remise au
PROMETTANT ce jour,
 que le prix de vente s’élève à la somme de payable comptant,
 avoir la libre-disposition de ce prix dès la réalisation de cette vente, sous
réserve de s’acquitter du ou des prêts pouvant exister le cas échéant sur le
bien et dont le montant exigible est en toute hypothèse inférieur au prix,
 que son apport personnel aux présentes est conditionné par la perception du
disponible de ce prix,
 que la date de réalisation convenue de cet avant contrat est antérieure à celle
des présentes comme étant fixée au ,
 que les dispositions de l’article L 271-1 du Code de la construction et de
l'habitation, dans la mesure où elles s’appliquent à cet avant-contrat, ont été
purgées.
Il est convenu entre les PARTIES que si la vente du bien n’est pas conclue
dans le délai sus-indiqué, et sauf renonciation du BENEFICIAIRE à se prévaloir de
cette condition, les présentes seront considérées comme caduques.

Absence de prêt
Le BENEFICIAIRE déclare qu'il n'entend pas contracter d'emprunt pour le
financement de l'acquisition envisagée, le financement devant être assuré en totalité
par ses deniers personnels.
Si, contrairement à cette déclaration, il avait néanmoins recours à un tel prêt,
il reconnaît avoir été informé qu'il ne pourrait, en aucun cas, se prévaloir de la
condition suspensive prévue à l’article L 313-41 du Code de la consommation.

CONDITIONS ET DÉCLARATIONS GÉNÉRALES


GARANTIE CONTRE LE RISQUE D’ÉVICTION
Le PROMETTANT garantira le BENEFICIAIRE contre le risque d’éviction
conformément aux dispositions de l’article 1626 du Code civil.

A ce sujet le PROMETTANT déclare :


 qu'il n'existe à ce jour aucune action ou litige en cours pouvant porter atteinte
au droit de propriété,
 qu'il n'y a eu aucun empiètement sur le fonds voisin,
 que le BIEN ne fait l'objet d'aucune injonction de travaux,
 qu'il n'a conféré à personne d'autre que le BENEFICIAIRE un droit
quelconque sur le BIEN pouvant empêcher la vente,
 subroger le BENEFICIAIRE dans tous ses droits et actions relatifs au BIEN.

12
GARANTIE DE JOUISSANCE
Le PROMETTANT déclare qu’il n’a pas délivré de congé à un ancien locataire
lui permettant d’exercer un droit de préemption.

GARANTIE HYPOTHECAIRE
Le PROMETTANT s’obligera, s’il existe un ou plusieurs créanciers
hypothécaires inscrits, à régler l’intégralité des sommes pouvant leur être encore
dues, à rapporter à ses frais les certificats de radiation des inscriptions.

SERVITUDES
Le BENEFICIAIRE profitera ou supportera les servitudes ou les droits de
jouissance spéciale, s’il en existe.

Le PROMETTANT déclare :
 ne pas avoir créé ou laissé créer de servitude ou de droit de jouissance
spéciale qui ne seraient pas relatés aux présentes,
 qu'à sa connaissance, il n'existe pas d'autres servitudes ou droits de
jouissance spéciale que celles ou ceux résultant, le cas échéant, de l’acte, de
la situation naturelle et environnementale des lieux et de l'urbanisme.

ETAT DU BIEN
Le BENEFICIAIRE prendra le BIEN dans l’état où il se trouve à ce
jour, tel qu’il l’a vu et visité, le PROMETTANT s’interdisant formellement d’y apporter
des modifications matérielles ou juridiques.
Il déclare que la désignation du BIEN figurant aux présentes correspond à ce qu'il a
pu constater lors de ses visites.

II n'aura aucun recours contre le PROMETTANT pour quelque cause que ce


soit notamment en raison :
 des vices apparents,
 des vices cachés.

S’agissant des vices cachés, il est précisé que cette exonération de garantie
ne s’applique pas :
 si le PROMETTANT a la qualité de professionnel de l'immobilier ou de la
construction, sauf si le BENEFICIAIRE a également cette qualité,
 ou s’il est prouvé par le BENEFICIAIRE, dans le délai légal, que les vices
cachés étaient en réalité connus du PROMETTANT.
Toutefois, le PROMETTANT est avisé que, s’agissant des travaux qu’il a pu
exécuter par lui-même, la jurisprudence tend à écarter toute efficacité de la clause
d’exonération de garantie des vices cachés.

En outre, concernant les travaux réalisés par le PROMETTANT lui-même, le


PROMETTANT reconnaît que son attention a été attirée sur la jurisprudence de la
troisième chambre civile de la Cour de cassation en date du 10 juillet 2013 qui conclut
que le vendeur « bricoleur » ne peut plus s'exonérer de la garantie des vices cachés
pour les travaux qu'il aurait réalisés.

L’attention du vendeur particulier est particulièrement attirée sur le fait que


s’il s’est comporté comme un professionnel de l’immobilier, il ne pourra invoquer la
clause des vices cachés élusive de responsabilité.

13
Etant ici également précisé que le PROMETTANT déclare, au titre de son
devoir d’information :

*Qu’il n’a pas réalisé de travaux d’aménagement intérieur autres que ceux
intégrés le cas échéant à la désignation actualisée du BIEN objet des présentes ;

*Qu’il n’a jamais constaté, ni subi, ni n’a connaissance :

- D’aucun dégât des eaux, d’aucune fuite, d’aucun défaut d’étanchéité ni


d’aucune humidité anormale ;

- D’aucune odeur ou refoulement relatifs au système d’assainissement ;

- D’aucun désagrément relatif au système de chauffage, ou de climatisation le


cas échéant ;

- D’aucune insalubrité, interdiction d’habiter, arrêté de péril, mesure de


séquestre ou injonction de travaux.

Le BENEFICIAIRE déclare parfaitement connaître le BIEN objet des


présentes pour l’avoir visité et s’être entouré de tous les éléments d’information
nécessaires à tous les égards.

SITUATION PARCELLES VOISINES ET ENVIRONNEMENT


Le rédacteur des présentes attire l'attention du BENEFICIAIRE / de
l’ACQUEREUR sur l'intérêt qu'il a de se rapprocher des services compétents afin de
connaître les projets éventuels de construction, agrandissement ou surélévation,
pouvant concerner les parcelles environnantes et pour lesquels une demande
d'autorisation d'urbanisme
aurait été déposée.
Le notaire soussigné rappelle notamment au BENEFICIAIRE / à
l’ACQUEREUR que de tels projets pourraient modifier l'environnement immédiat du
bien acquis aux présentes, et en conséquence déprécier de manière significative la
valeur du bien vendu ou ses conditions de jouissance.
Le BENEFICIAIRE / l’ACQUEREUR déclare faire son affaire personnelle de
l'obtention de plus amples renseignements sur ce point, et requiert le Notaire
soussigné d'avoir à régulariser les présentes en l'état des informations portées à sa
connaissance.

CONTENANCE DU TERRAIN ET DES CONSTRUCTIONS


Le PROMETTANT ne confère aucune garantie de contenance du terrain ni de
superficie des constructions.

ETAT DES MEUBLES


Le BENEFICIAIRE prendra les meubles, sans pouvoir exercer de recours
contre le PROMETTANT, en raison de mauvais fonctionnement, de mauvais état,
défaut d’entretien ou de vétusté.

IMPÔTS ET TAXES
Impôts locaux
Le PROMETTANT déclare être à jour des mises en recouvrement des impôts
locaux.
Le BENEFICIAIRE sera redevable à compter du jour de la signature de l'acte
authentique des impôts et contributions.

14
La taxe d’habitation, si elle est exigible, est due pour l’année entière par
l’occupant au premier jour du mois de janvier.
La taxe foncière, ainsi que la taxe d’enlèvement des ordures ménagères si
elle est due, seront réparties entre le PROMETTANT et le BENEFICIAIRE en fonction
du temps pendant lequel chacun aura été propriétaire au cours de l'année de la
constatation de la réalisation des présentes.

Le BENEFICIAIRE règlera directement au PROMETTANT, le jour de la


signature de l'acte authentique de vente, le prorata de taxe foncière et, le cas échéant,
de taxe d’enlèvement des ordures ménagères, déterminé par convention entre les
parties sur le montant de la dernière imposition.
Ce règlement sera définitif entre les parties, éteignant toute créance ou dette
l’une vis-à-vis de l’autre à ce sujet, quelle que soit la modification éventuelle de la taxe
foncière pour l’année en cours.

Avantage fiscal lié à un engagement de location


Le PROMETTANT déclare ne pas souscrire actuellement à l’un des régimes
fiscaux lui permettant de bénéficier de la déduction des amortissements en échange
de l'obligation de louer à certaines conditions.

Obligation déclarative du propriétaire de bien à usage d’habitation


Conformément à la loi de finances n° 2019-1479 du 28 décembre 2019, une
nouvelle obligation déclarative, en vigueur à partir du 1 er janvier 2023, a été mise en
place à l’égard des propriétaires de biens immobiliers à usage d’habitation, afin de
pouvoir déterminer ceux qui sont encore redevables de la taxe d’habitation (pour les
résidences secondaires ou logements locatifs) ou de la taxe sur les logements
vacants.
Ainsi, à compter du 1er janvier et jusqu’au 30 juin inclus de chaque année,
tous les propriétaires, particuliers ou personnes morales, d’une résidence principale
ou secondaire ou d’un bien locatif ou vacant, doivent impérativement déclarer à
l’administration fiscale :
 s’ils occupent leur logement à titre de résidence principale ou secondaire, ou
s’il est vacant,
 lorsque le BIEN est occupé par un tiers, l’identité des occupants et la période
d’occupation.
Cette obligation déclarative concerne aussi bien les propriétaires indivis, que
les usufruitiers ou les sociétés civiles immobilières, et son non-respect est passible de
l’octroi d’une amende d’un montant forfaitaire de 150 euros.
Cette déclaration peut s’opérer :
 via le service en ligne "Gérer mes biens immobiliers", accessible depuis le
portail impots.gouv.fr,
 ou via les autres moyens mis à disposition par l’administration.

CONTRATS DE DISTRIBUTION ET DE FOURNITURE


Le BENEFICIAIRE fera son affaire personnelle, dès son entrée en jouissance,
de la continuation ou de la résiliation de tous contrats de distribution et de fourniture
souscrits par le PROMETTANT.
Les parties déclarent avoir été averties de la nécessité d'établir entre elles un
relevé des compteurs faisant l'objet d'un comptage individuel.
Le PROMETTANT déclare être à jour des factures mises en recouvrement
liées à ses contrats de distribution et de fourniture.

15
ASSURANCE
Le BENEFICIAIRE, tout en étant informé de l'obligation immédiate de
souscription, ne continuera pas les polices d'assurance actuelles garantissant le BIEN
et confèrera à cet effet mandat au PROMETTANT, qui accepte, de résilier les contrats
lorsqu’il avertira son assureur de la signature de l'acte authentique.

CONTRAT D’AFFICHAGE
Le PROMETTANT déclare qu'il n'a pas été conclu de contrat d'affichage.

DISPOSITIONS RELATIVES A L’URBANISME


DISPOSITIONS RELATIVES À LA CONSTRUCTION
ABSENCE D’OPÉRATION DE CONSTRUCTION OU DE RÉNOVATION DEPUIS DIX ANS
Le PROMETTANT déclare qu'à sa connaissance :
 aucune construction ou rénovation n'a été effectuée dans les dix dernières
années,
 aucun élément constitutif d’ouvrage ou équipement indissociable de l’ouvrage
au sens de l’article 1792 du Code civil n’a été réalisé dans ce délai.

DIAGNOSTICS
DOSSIER DE DIAGNOSTICS TECHNIQUES
Pour l’information des parties a été dressé ci-après le tableau du dossier de
diagnostics techniques tel que prévu par les articles L 271-4 à L 271-6 du Code de la
construction et de l’habitation, qui regroupe les différents diagnostics techniques
immobiliers obligatoires en cas de vente selon le type d’immeuble en cause, selon sa
destination ou sa nature, bâti ou non bâti.

Objet Bien concerné Elément à contrôler Validité


Plomb Si immeuble Peintures Illimitée ou un an
d’habitation (permis de si constat positif
construire antérieur au
1er janvier 1949)
Amiante Si immeuble (permis de Parois verticales Illimitée sauf si
construire antérieur au intérieures, enduits, présence
1er juillet 1997) planchers, plafonds, d'amiante
faux-plafonds, détectée
conduits, nouveau contrôle
canalisations, dans les 3 ans
toiture, bardage,
façade en plaques
ou ardoises
Termites Si immeuble situé dans Immeuble bâti ou 6 mois
une zone délimitée par non mais
le préfet constructible
Gaz Si immeuble Etat des appareils 3 ans
d’habitation ayant une fixes et des
installation de plus de tuyauteries
15 ans
Risques Si immeuble situé dans Immeuble bâti ou 6 mois
une zone couverte par non
un plan de prévention
des risques
Performance Si immeuble équipé Consommation et 10 ans

16
énergétique d’une installation de émission de gaz à
chauffage effet de serre
Audit Si logements Etat des lieux des 5 ans
énergétique individuels ou performances
immeubles collectifs énergétiques
d'habitation initiales du logement
appartenant à un seul (déperditions
et même propriétaire thermiques,
relevant des classes F pathologies du
ou G du DPE (sauf bâtiment)
Guadeloupe,
Martinique, Réunion,
Guyane, Mayotte)
Electricité Si immeuble Installation 3 ans
d’habitation ayant une intérieure : de
installation de plus de l’appareil de
15 ans commande aux
bornes
d’alimentation
Assainissement Si immeuble Contrôle de 3 ans
d’habitation non l’installation
raccordé au réseau existante
public de collecte des
eaux usées
Mérules Si immeuble bâti dans Immeuble bâti 6 mois
une zone prévue par
l’article L 131-3 du
Code de la construction
et de l’habitation
ERP Immeuble situé dans Immeuble bâti ou 6 mois
une zone couverte par non
un plan de prévention
des risques –
Information relative à la
pollution des sols
Bruit Si immeuble Immeuble bâti La durée du plan
d’habitation ou
professionnel et
d’habitation dans une
zone prévue par l’article
L 112-6 du Code de
l’urbanisme

Il est fait observer :


- que les diagnostics "plomb", "gaz", "audit énergétique" et "électricité" ne sont
requis que pour les immeubles ou parties d'immeubles à usage d'habitation, et l’"audit
énergétique" hors copropriété ;
- que le propriétaire des lieux, ou l'occupant s'il ne s'agit pas de la même
personne, doit permettre au diagnostiqueur d'accéder à tous les endroits nécessaires
au bon accomplissement de sa mission, à défaut le propriétaire des lieux pourra être
considéré comme responsable des conséquences dommageables dues au non
respect de cette obligation ;
- qu'en l'absence de l'un de ces diagnostics en cours de validité au jour de la
signature de l'acte authentique de vente, et dans la mesure où ils sont exigés par
leurs réglementations particulières, le vendeur ne pourra s'exonérer de la garantie des
vices cachés correspondante.

La liste portée ci-dessus l'est dans l'ordre de l’article L 271-4 du Code de la


construction et de l’habitation. Toutefois, les développements qui vont suivre

17
concernant ces diagnostics seront dans un ordre différent, afin de distinguer la fiche
technique de l'immeuble en tant que telle et ce qui concerne la protection de
l'environnement tels que l'état des risques et le diagnostic de performance
énergétique qui renseigne sur la performance énergétique d'un logement ou d'un
bâtiment, en évaluant sa consommation d'énergie et son impact en terme d'émission
de gaz à effet de serre.

DIAGNOSTICS TECHNIQUES
Plomb
L'immeuble ayant été construit avant le 1er janvier 1949, et étant affecté, en
tout ou partie, à un usage d’habitation, entre dans le champ d’application des
dispositions de l’article L 1334-5 du Code de la santé publique pour lequel un constat
de risque d’exposition au plomb doit être établi.

Le but de ce diagnostic est de mesurer à l'aide d'un appareil spécialisé le


degré de concentration de plomb dans un revêtement exprimé en mg/cm2, et le risque
d'exposition en fonction de la dégradation du revêtement.
Ces mesures sont réalisées par unité de diagnostic : une unité de diagnostic
est définie comme étant un élément de construction, ou un ensemble d'éléments de
construction, présentant a priori un recouvrement homogène.
Chaque mesure précise la concentration en plomb dont le seuil réglementaire
maximal est fixé à 1mg/cm2, si la mesure est supérieure ou égale à ce seuil alors le
diagnostic est positif.
Ces éléments permettent de classifier les différentes unités de diagnostic en
catégories qui pour certaines entraînent des obligations réglementaires auxquelles le
propriétaire du bien doit se soumettre.

Concentration de Etat de Catégorie Avertissement


plomb conservation réglementaire
Mesure de plomb
0
inférieure au seuil
Veiller à l’entretien des
Mesure de plomb
Non Visible ou Non revêtements les recouvrant
supérieure ou égale 1
Dégradé pour éviter leur dégradation
au seuil
future
Veiller à l’entretien des
Mesure de plomb
revêtements les recouvrant
supérieure ou égale Etat d'usage 2
pour éviter leur dégradation
au seuil
future
Obligation d’effectuer des
travaux pour supprimer
Etat Dégradé l’exposition au plomb et
Mesure de plomb
(risque pour la obligation de transmettre
supérieure ou égale 3
santé des une copie complète du
au seuil
occupants) rapport aux occupants et aux
personnes effectuant des
travaux dans le bien.

Il est précisé que les eaux destinées à la consommation humaine doivent être
conformes à des références de qualité et ne pas excéder le seuil de 10
microgrammes de plomb par litre d’eau potable, et ce conformément aux dispositions
des articles R.1321-2 et R.1321-3 du Code de la santé publique.
L'arrêté du 19 août 2011 identifiant la mission du diagnostiqueur exclut du
constat de risque d'exposition au plomb la recherche de plomb dans les canalisations.

Un constat de risque d'exposition au plomb effectué par la société AEB


EXPERTIES le 4 mai 2023 n’a pas révélé de risque d’exposition au plomb. Ce
constat est annexé.

18
Amiante
L’article L 1334-13 premier alinéa du Code de la santé publique commande
au PROMETTANT de faire établir un état constatant la présence ou l’absence de
matériaux ou produits de la construction contenant de l’amiante.
Cet état s’impose à tous les bâtiments dont le permis de construire a été
délivré avant le 1er juillet 1997.

Il a pour objet de repérer l'ensemble des matériaux et produits des listes A et


B de l'annexe 13-9 du Code de la santé publique, pour ensuite identifier et localiser
par zones de similitude d'ouvrage ceux contenant de l'amiante et ceux n'en contenant
pas.
Les matériaux et produits de la liste A sont ceux dits matériaux friables
(flocages, calorifugeages et faux-plafonds), ceux de la liste B sont dits matériaux non
friables y compris les produits situés en extérieur (les matériaux de couverture, les
bardages, les conduits de fumée…).
Il est rappelé qu’aux termes des dispositions législatives et réglementaires en
la matière, dès lors que le rapport révèle que des matériaux et produits des listes A ou
B contiennent de l'amiante, le propriétaire devra, en fonction des recommandations
contenues dans le rapport :
 soit faire contrôler ou évaluer périodiquement l’état de conservation des
matériaux et produits identifiés,
 soit faire surveiller le niveau d’empoussièrement dans l’atmosphère par un
organisme agréé en microscopie électronique à transmission,
 soit faire procéder à des travaux de confinement, de protection, de
remplacement ou de retrait.
Le tout par une entreprise spécialisée à cet effet.

Un état établi par la société AEB EXPERTISES le 4 mai 2023, accompagné


de la certification de compétence, est annexé.
Les conclusions sont les suivantes :
Il a été repéré des matériaux et produits contenant de l'amiante situé sur
la toiture du garage amiante ciment -tuiles.
Le BENEFICIAIRE déclare :
 être informé de la réglementation en vigueur ainsi que des sanctions
attachées à son non respect,
 avoir été averti qu’il devra transmettre ce résultat à tout occupant ou locataire
éventuel ainsi qu’à toutes personnes devant effectuer des travaux sur les
lieux.

Termites
L'immeuble se trouve dans une zone délimitée par arrêté préfectoral comme
étant contaminée par les termites ou susceptible de l’être.

Un état relatif à la présence de termites délivré par la société AEB


EXPERTISES le 4 mai 2023 est annexé.
Les conclusions sont les suivantes : Absence de termites le jour de la
visite.

Mérules
Les parties ont été informées des dégâts pouvant être occasionnés par la
présence de mérules dans un bâtiment, la mérule étant un champignon qui se
développe dans l'obscurité, en espace non ventilé et en présence de bois humide.

19
L'immeuble ne se trouve pas actuellement dans une zone de présence d'un
risque de mérule délimitée par un arrêté préfectoral.
Le PROMETTANT déclare ne pas avoir constaté l'existence de zones de
condensation interne, de moisissures ou encore de présence d'effritements ou de
déformation dans le bois ou l'existence de filaments blancs à l'aspect cotonneux, tous
des éléments parmi les plus révélateurs de la potentialité de la présence de ce
champignon.

Contrôle de l’installation de gaz


Conformément aux dispositions de l’article L 134-9 du Code de la construction
et de l'habitation, la vente d’un bien immobilier à usage d’habitation comportant une
installation intérieure de gaz réalisée depuis plus de quinze ans doit être précédée
d’un diagnostic de celle-ci.

Les parties déclarent que le BIEN ne possède pas d'installation intérieure de


gaz.

Contrôle de l’installation intérieure d’électricité


Conformément aux dispositions de l’article L 134-7 du Code de la construction
et de l'habitation, la vente d’un bien immobilier à usage d’habitation comportant une
installation intérieure d'électricité réalisée en tout ou partie depuis plus de quinze ans
doit être précédée d’un diagnostic de celle-ci.

Le BIEN dispose d’une installation intérieure électrique au moins pour partie


de plus de quinze ans.
Le PROMETTANT a fait établir un état de celle-ci par la société AEB
EXPERTISES répondant aux critères de l’article L 271-6 du Code de la construction et
de l'habitation, le 4 mai 2023, annexé.
Les conclusions sont les suivantes : L'installation intérieure d'électricité
comporte une ou des anomalies.
Les anomalies avérées selon les domaines suivants:
- Dispositif de protection différentiel à l'origine de l'installation / prise de
terre et installation de mise à la terre.
Il est rappelé au BENEFICIAIRE qu’en cas d’accidents électriques consécutifs
aux anomalies pouvant être révélées par l’état annexé, sa responsabilité pourrait être
engagée tant civilement que pénalement, de la même façon que la compagnie
d'assurances pourrait invoquer le défaut d'aléa afin de refuser de garantir le sinistre
électrique. D’une manière générale, le propriétaire au jour du sinistre est seul
responsable de l’état du système électrique.

Diagnostic de performance énergétique


Conformément aux dispositions des articles L 126-26 et suivants du Code de
la construction et de l’habitation, un diagnostic de performance énergétique doit être
établi.
Ce diagnostic doit notamment permettre d'évaluer :
 Les caractéristiques du logement ainsi que le descriptif des équipements.
 Le descriptif des équipements de chauffage, d'eau chaude sanitaire, de
refroidissement, et indication des conditions d’utilisation et de gestion.
 La valeur isolante du BIEN immobilier.
 La consommation d'énergie et l'émission de gaz à effet de serre.
L’étiquette mentionnée dans le rapport d’expertise n’est autre que le rapport
de la quantité d’énergie primaire consommée du BIEN à vendre ou à louer sur la

20
surface totale du logement. Il existe 7 classes d’énergie (A, B, C, D, E, F, G), de "A"
(BIEN économe) à "G" (BIEN énergivore).

En l’état de la réglementation actuelle, et ce à compter du 1 er janvier 2025, la


location des logements d'habitation avec un DPE de classe G sera interdite comme
étant des logements indécents, interdiction avancée au 1er janvier 2023 si la
consommation est supérieure à 450kwh/m2/an en énergie finale, soit la
consommation réelle à demeure (l’étiquette du diagnostic indique une consommation
en énergie primaire, c’est-à-dire l’énergie finale plus la perte à fabrication plus la perte
du réseau de distribution).
En 2028, cette interdiction s'étendra aux logements de classe F, et en 2034
aux logements de classe E. A partir du 24 août 2022, aucune révision, majoration ou
réévaluation du loyer ne sera possible pour les logements d’habitation classés F ou G.
En Guadeloupe, en Martinique, en Guyane, à La Réunion et à Mayotte, pour
être décent, le logement devra être compris : à compter du 1 er janvier 2028, entre les
classes A et F et à compter du 1er janvier 2031, entre les classes A et E.
Au 25 août 2022, les logements vides ou meublés dans le cadre de la loi du 6
juillet 1989 - classés F ou G - ne peuvent plus faire l’objet d’une augmentation de
loyer en cas de relocation, de renouvellement, ni même d’une indexation annuelle
(article 159 loi Climat du 22 août 2021), quand bien même le logement en question ne
serait pas situé en zone tendue. En outre-mer, l’entrée en vigueur de cette disposition
est repoussée au 1er juillet 2024.

Un diagnostic établi par la société AEB EXPERTISES le 9 mai 2023, est


annexé.
Les conclusions sont les suivantes :
 Consommation énergétique : 136 kWhep/m².an (C)
 Émissions de gaz à effet de serre : 4 kg éqCO2/m².an (A)
 Numéro d’enregistrement ADEME : 2383E1520774P
Zone de bruit - Plan d’exposition au bruit des aérodromes
L’immeuble ne se trouve pas dans une zone de bruit définie par un plan
d’exposition au bruit des aérodromes, prévu par l’article L 112-6 du Code de
l’urbanisme.

Radon
Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle qui représente le tiers de
l'exposition moyenne de la population française aux rayonnements ionisants.
Il est issu de la désintégration de l’uranium et du radium présents dans la
croûte terrestre.
Il est présent partout à la surface de la planète et provient surtout des sous-
sols granitiques et volcaniques ainsi que de certains matériaux de construction.
Le radon peut s’accumuler dans les espaces clos, notamment dans les
maisons. Les moyens pour diminuer les concentrations en radon dans les maisons
sont simples :
 aérer et ventiler les bâtiments, les sous-sols et les vides sanitaires,
 améliorer l’étanchéité des murs et planchers.
L’activité volumique du radon (ou concentration de radon) à l’intérieur des
habitations s’exprime en becquerel par mètre cube (Bq/m3).

L'article L 1333-22 du Code de la santé publique dispose que les propriétaires


ou exploitants d'immeubles bâtis situés dans les zones à potentiel radon où
l'exposition au radon est susceptible de porter atteinte à la santé sont tenus de mettre
en œuvre les mesures nécessaires pour réduire cette exposition et préserver la santé
des personnes.

21
Aux termes des dispositions de l'article R 1333-29 de ce Code le territoire
national est divisé en trois zones à potentiel radon définies en fonction des flux
d’exhalation du radon des sols :
 Zone 1 : zones à potentiel radon faible.
 Zone 2 : zones à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs
géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les
bâtiments.
 Zone 3 : zones à potentiel radon significatif.

L'article R 125-23 5° du Code de l'environnement dispose que l'obligation


d'information s'impose dans les zones à potentiel radon de niveau 3.

La liste des communes réparties entre ces trois zones est fixée par un arrêté
du 27 juin 2018.

La commune se trouvant en zone 3, ainsi révélé par l'état des risques ci-
après.

DISPOSITIFS PARTICULIERS
Détecteur de fumée
L’article R 142-2 du Code de la construction et de l'habitation prescrit
d'équiper chaque logement, qu'il se situe dans une habitation individuelle ou dans une
habitation collective, d'au moins un détecteur de fumée muni du marquage CE et
conforme à la norme européenne harmonisée NF EN 14604.
L’article R 142-3 du même Code précise que la responsabilité de l'installation
de ce détecteur de fumée normalisé incombe par principe au propriétaire et la
responsabilité de son entretien incombe à l'occupant du logement.

Le BENEFICIAIRE a constaté que le logement est équipé d'un dispositif de


détection de fumée.

Information du bénéficiaire sur les éléments d'équipement


Le BENEFICIAIRE est informé que les désordres affectant les éléments
d'équipement qu'ils soient indissociables ou non, d'origine ou installés sur l'existant,
relèvent de la garantie décennale lorsqu'ils rendent le BIEN dans son ensemble
impropre à sa destination ou affectent sa solidité.
Toutefois, s'agissant des éléments adjoints à l'existant, cette garantie ne
s’applique que lorsque les désordres trouvent leur siège dans un élément
d'équipement destiné à fonctionner.
La garantie décennale s’applique au professionnel qui a réalisé les travaux
d’installation, lequel engage sa responsabilité pendant dix ans à l'égard du propriétaire
mais aussi à l'égard des acquéreurs successifs. Il doit obligatoirement remettre à son
client, le maître d'ouvrage, un justificatif du contrat d'assurance en responsabilité civile
décennale.
En l'espèce, le PROMETTANT déclare ne pas avoir fait installer d'éléments
d'équipement depuis dix ans.

DIAGNOSTICS ENVIRONNEMENTAUX
Assainissement
Le PROMETTANT déclare que l’immeuble est raccordé à un réseau
d’assainissement collectif des eaux usées domestiques conformément aux
dispositions de l’article L 1331-1 du Code de la santé publique.

22
Aux termes des dispositions des articles L 1331-4 et L 1331-6 de ce Code, les
parties sont informées que l’entretien et le bon fonctionnement des ouvrages
permettant d’amener les eaux usées domestiques de l'immeuble à la partie publique
sont soumis au contrôle de la commune ou de la communauté de communes, qui peut
procéder, sous astreinte et aux frais du propriétaire, aux travaux indispensables à ces
effets.
Ces travaux sont à la charge du propriétaire de l’immeuble. Le service public
compétent en matière d'assainissement collectif peut astreindre le propriétaire au
versement d’une participation pour le financement de cet assainissement collectif (L
1331-7 du Code de la santé publique). Ce paiement a pour but de tenir compte de
l'économie réalisée par eux en évitant une installation d'évacuation ou d'épuration
individuelle réglementaire ou la mise aux normes d'une telle installation.
Il est ici précisé que tout déversement d’eaux usées autres que domestiques
dans le réseau collectif nécessite préalablement une autorisation de la mairie ou du
service compétent. À compter de quatre mois après la date de réception de cette
demande d’autorisation, l’absence de réponse vaut refus. Toute acceptation de ce
déversement peut être subordonnée à une participation à la charge de l’auteur du
déversement (L 1331-10 du Code de la santé publique).

Le PROMETTANT atteste qu'aucun contrôle n'a été effectué par le service


public compétent, qu’il n’a reçu de ce dernier aucune mise en demeure, qu’il ne peut
donc garantir la conformité de l’installation aux normes actuellement en vigueur.
Le BENEFICIAIRE déclare avoir été informé de la possibilité de faire établir
un diagnostic de l'installation et ne pas vouloir en faire une condition suspensive des
présentes.

Le PROMETTANT informe le BENEFICIAIRE, qu'à sa connaissance, les


ouvrages permettant d’amener les eaux usées domestiques de l'immeuble à la partie
publique ne présentent pas d’anomalie ni aucune difficulté particulière d’utilisation.

Etat des risques


Un état des risques est annexé.
Celui-ci comportait notamment un extrait du document graphique situant le
BIEN au regard du zonage réglementaire et l’extrait du règlement le concernant, ainsi
qu’une information indiquant si des travaux ont été prescrits par ce règlement et s’ils
ont été réalisés au regard de chacun des plans de prévention des risques visé du 1°
au 4° de l’article R 123-23 du Code de l’environnement.

Absence de sinistres avec indemnisation


Le PROMETTANT déclare qu'à sa connaissance l'immeuble n’a pas subi de
sinistres ayant donné lieu au versement d’une indemnité en application de l’article L
125-2 ou de l’article L 128-2 du Code des assurances.

SITUATION ENVIRONNEMENTALE
ACTIVITÉS DANS L’ENVIRONNEMENT PROCHE DE L’IMMEUBLE
Préalablement à la signature des présentes, le BENEFICIAIRE déclare s’être
assuré par lui-même, des activités, professionnelles ou non, de toute nature, exercées
dans l’environnement proche de l’immeuble, susceptibles d’occasionner des
nuisances, sonores, olfactives, visuelles ou autres.
Le rédacteur des présentes a spécialement informé le BENEFICIAIRE savoir :
 Des dispositions de l’article L 113-8 du Code de la construction et de
l’habitation :

23
"Les dommages causés aux occupants d'un bâtiment par des nuisances dues
à des activités agricoles, industrielles, artisanales, commerciales, touristiques,
culturelles ou aéronautiques, n'entraînent pas droit à réparation lorsque le permis de
construire afférent au bâtiment exposé à ces nuisances a été demandé ou l'acte
authentique constatant l'aliénation ou la prise de bail établi postérieurement à
l'existence des activités les occasionnant dès lors que ces activités s'exercent en
conformité avec les dispositions législatives ou réglementaires en vigueur et qu'elles
se sont poursuivies dans les mêmes conditions."
 Qu’outre les dispositions législatives ou réglementaires spéciales dont
relèvent certaines activités, la législation, relative aux troubles anormaux du
voisinage, se fonde sur les articles 1240 et 1241 du Code civil selon lesquels :
"Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige
celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer" et "Chacun est responsable du
dommage qu'il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou
par son imprudence."
 L'article 544 du Code Civil ajoute que :
"La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus
absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les
règlements."
 De plus, l'article R 1334-31 du Code de la santé publique dispose que :
"Aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité,
porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l'homme, dans un lieu
public ou privé, qu'une personne en soit elle-même à l'origine ou que ce soit par
l'intermédiaire d'une personne, d'une chose dont elle a la garde ou d'un animal placé
sous sa responsabilité."
Chaque rapport de voisinage peut susciter des désagréments, il n'en reste
pas moins qu'il ne caractérise pas nécessairement un trouble "anormal". Serait
considéré, par le Tribunal Judiciaire, comme anormal, un trouble répétitif, intensif, ou
un trouble qui outrepasse les activités normales attendues de la part du voisinage.

FISCALITE
RÉGIME FISCAL DE LA VENTE
Le PROMETTANT et le BENEFICIAIRE indiquent ne pas agir aux présentes
en qualité d'assujettis en tant que tels à la taxe sur la valeur ajoutée au sens de
l’article 256 du Code général des impôts.

Les présentes seront soumises au tarif de droit commun en matière


immobilière tel que prévu par l’article 1594D du Code général des impôts.

PLUS-VALUES

Monsieur Laurent LLEU


L’immeuble est entré dans le patrimoine du PROMETTANT :
Acquisition suivant acte reçu par Maître Bernard MUGARRA, notaire à SIX-
FOURS-LES-PLAGES le 31 octobre 1997 pour une valeur de un million quatre cent
mille francs (1 400 000,00 frs).
Cet acte a été publié au service de la publicité foncière de TOULON 1, le 1er
novembre 1997 volume 1997¨P, numéro 9938.

Donation-partage suivant acte reçu par Maître Alexandra MIGNON-


GUZMANN, notaire à TOULON le 4 juin 2012 pour une valeur de sept cent quatre-
vingt mille euros (780 000,00 eur).
Cet acte a été publié au service de la publicité foncière de TOULON 1, le 4
juillet 2012 volume 2012P, numéro 7153.

24
Le PROMETTANT déclare que les présentes portent sur sa résidence
principale, c'est-à-dire sa résidence effective et habituelle.
Il s’engage à produire tout élément précis et circonstancié quant à l’effectivité
de l’utilisation du BIEN comme résidence principale, et ce si l’administration venait à
lui demander des éléments de preuve.
Par suite, il bénéficiera de l’exonération de l'impôt sur les plus-values
conformément aux dispositions de l’article 150 U II 1° du Code général des impôts.

Monsieur Alexandre LLEU


Donation-partage suivant acte reçu par Maître Alexandra MIGNON-
GUZMANN, notaire à TOULON le 4 juin 2012 pour une valeur de sept cent quatre-
vingt mille euros (780 000,00 eur).
Cet acte a été publié au service de la publicité foncière de TOULON 1, le 4
juillet 2012 volume 2012P, numéro 7153.

La vente, si elle se réalise, génèrera un impôt sur la plus-value qui sera


prélevé sur le disponible du prix lors de la publication de celle-ci au service de la
publicité foncière, montant porté à la connaissance du PROMETTANT qui le
reconnaît.

Monsieur Arthur LLEU


Donation-partage suivant acte reçu par Maître Alexandra MIGNON-
GUZMANN, notaire à TOULON le 4 juin 2012 pour une valeur de sept cent quatre-
vingt mille euros (780 000,00 eur).
Cet acte a été publié au service de la publicité foncière de TOULON 1, le 4
juillet 2012 volume 2012P, numéro 7153.

La vente, si elle se réalise, génèrera un impôt sur la plus-value qui sera


prélevé sur le disponible du prix lors de la publication de celle-ci au service de la
publicité foncière, montant porté à la connaissance du PROMETTANT qui le
reconnaît.

Monsieur Antoine LLEU


Donation-partage suivant acte reçu par Maître Alexandra MIGNON-
GUZMANN, notaire à TOULON le 4 juin 2012 pour une valeur de sept cent quatre-
vingt mille euros (780 000,00 eur).
Cet acte a été publié au service de la publicité foncière de TOULON 1, le 4
juillet 2012 volume 2012P, numéro 7153.

La vente, si elle se réalise, génèrera un impôt sur la plus-value qui sera


prélevé sur le disponible du prix lors de la publication de celle-ci au service de la
publicité foncière, montant porté à la connaissance du PROMETTANT qui le
reconnaît.

ABSENCE DE FACULTE DE SUBSTITUTION


Le BENEFICIAIRE ne pourra substituer aucune personne physique ou morale
dans le bénéfice de la présente promesse.

DISPOSITIONS TRANSITOIRES
OBLIGATION DE GARDE DU PROMETTANT
Entre la date des présentes et la date d’entrée en jouissance du
BENEFICIAIRE, le BIEN, et le cas échéant les MEUBLES, tels qu’ils sont sus-
désignés demeureront sous la garde et possession du PROMETTANT qui s’y oblige.
En conséquence, il est convenu ce qui suit :

25
Eléments d’équipement
Le PROMETTANT s’engage à laisser dans le BIEN tout ce qui est immeuble
par destination ainsi que, sans que cette liste soit limitative et sous la seule réserve
que les éléments ci-après désignés existent :
 les plaques de cheminées scellées, les inserts ;
 les supports de tringles à rideau, s’ils sont scellés dans le mur ;
 les trumeaux scellés, les dessus de radiateurs scellés, les moquettes ;
 les poignées de porte telles qu’elles existaient lors de la visite ;
 les pommeaux ou boules d'escalier ;
 les portes, planches et équipements de rangement des placards ;
 les arbres, arbustes, rosiers, plantes et fleurs en terre si jardin privatif ;
 l’équipement sanitaire et l’équipement de chauffage et de conditionnement
d’air ;
 les éléments d’éclairage fixés au mur et/ou plafonds, à l'exception des
appliques et luminaires ;
 l’équipement électrique ;
 les convecteurs électriques ;
 le câblage et les prises informatiques ;
 tous les carreaux et vitrages sans cassures ni fêlures ;
 les volets, persiennes, stores-bannes et leurs motorisations.
Le BENEFICIAIRE pourra visiter les lieux juste avant la prise de jouissance
du BIEN, et s’assurer du respect de l’engagement qui précède.

Entretien, réparation
Jusqu'à l’entrée en jouissance du BENEFICIAIRE, le PROMETTANT
s’engage à :
 ne pas apporter de modification quelconque ;
 délivrer le BIEN dans son état actuel ;
 conserver ses assurances ;
 maintenir en bon état de fonctionnement les équipements du BIEN : chauffe-
eau, électricité, climatisation, VMC, sanitaire ;
 laisser les fils électriques d’éclairage suffisamment longs et équipés de leurs
douilles et ampoules ou spots ou néons ;
 entretenir le BIEN et ses abords ;
 mettre hors-gel les installations en saison froide ;
 réparer les dégâts survenus depuis la visite.

Les PARTIES se rapprocheront directement entre elles afin d'effectuer une


visite préalablement à la signature de l'acte authentique de vente dans le but de
vérifier l'état général par rapport à ce qu'il est à ce jour et de procéder au relevé des
compteurs.

26
SINISTRE PENDANT LA DURÉE DE VALIDITÉ DE LA PROMESSE
Si un sinistre quelconque frappait le BIEN durant la durée de validité des
présentes, les parties conviennent que le BENEFICIAIRE aura la faculté :
 Soit de renoncer purement et simplement à la vente et de se voir
immédiatement remboursé de toute somme avancée par lui le cas échéant.
 Soit de maintenir l’acquisition du BIEN alors sinistré totalement ou
partiellement et de se voir attribuer les indemnités susceptibles d’être versées
par la ou les compagnies d’assurances concernées, sans limitation de ces
indemnités fussent-elles supérieures au prix convenu aux présentes. Le
PROMETTANT entend que dans cette hypothèse le BENEFICIAIRE soit
purement subrogé dans tous ses droits à l’égard desdites compagnies
d’assurances.
Il est précisé que l’existence des présentes ne pourrait alors être remise en
cause que par un sinistre de nature à rendre le BIEN inhabitable ou impropre à son
exploitation.
Le PROMETTANT indique que le BIEN est assuré qu’il est à jour du paiement
des primes et qu’il n’existe aucun contentieux en cours entre lui et la compagnie
assurant le BIEN.

REPRISE D’ENGAGEMENT PAR LES AYANTS DROIT DU PROMETTANT


En cas de décès du PROMETTANT s’il s’agit d’une personne physique, ou de
dissolution volontaire dudit PROMETTANT s’il s’agit d’une personne morale, avant la
constatation authentique de la réalisation des présentes, ses ayants droit, fussent-ils
protégés, seront tenus à la réalisation des présentes dans les mêmes conditions que
leur auteur.
Le BENEFICIAIRE pourra demander, dans le délai de quinze jours du
moment où il a eu connaissance du décès ou de la dissolution, à être dégagé des
présentes en raison du risque d’allongement du délai de leur réalisation par suite de la
survenance de cet événement.
En cas de pluralité de promettants personnes physiques, cette clause
s’appliquera indifféremment en cas de décès d’un seul ou de tous les promettants.

CONDITION DE SURVIE DU BÉNÉFICIAIRE


En cas de décès du BENEFICIAIRE s’il s’agit d’une personne physique, ou de
dissolution judiciaire dudit BENEFICIAIRE s’il s’agit d’une personne morale, avant la
constatation authentique de la réalisation des présentes, les présentes seront
caduques.
Pour ce qui concerne l’indemnité d’immobilisation, elle ne sera pas due et
celle versée devra être restituée, et ce même si le décès ou la dissolution judiciaire
survient après la réalisation des conditions suspensives.

DROIT DE PRÉEMPTION PUBLIC


Une déclaration d'intention d'aliéner sera déposée auprès de la mairie par le
notaire en qualité de mandataire des parties, avec les indications suivantes qui ont été
fournies par le PROMETTANT :
 surface utile ou habitable 190 M²,
Le PROMETTANT déclare savoir que cette déclaration constitue une offre de
vente avec toutes les conséquences qui y sont attachées.

Le titulaire du droit de préemption peut, dans un délai de deux mois à partir de


la réception de la déclaration d'intention d'aliéner, demander au propriétaire de lui
communiquer différents documents dont la liste est fixée limitativement par décret en
Conseil d'Etat, il peut également demander à effectuer une visite des lieux.

27
Le délai de deux mois tel que défini par l’article L 213-2 du Code de
l'urbanisme pour exercer le droit de préemption est alors suspendu jusqu'à la visite
(ou au refus d'accorder une visite) ou la production des documents. Si le délai restant
est inférieur à un mois, le titulaire dispose d'un délai d'un mois pour prendre sa
décision. Par suite le délai de régularisation authentique de la constatation du transfert
de propriété est prolongé d'autant.

FRAIS - PROVISION SUR LES FRAIS DE LA VENTE


Frais :
Le BENEFICIAIRE paiera tous les frais, droits et émoluments de l'acte
authentique à régulariser et de ses suites, ainsi que le coût des procurations à son
profit.
Le PROMETTANT supportera les frais des diagnostics, constats et états
obligatoires, de fourniture de titres, procuration à son profit.

Provision sur frais – coût de la promesse :


Le BENEFICIAIRE verse ce jour en la comptabilité du notaire soussigné la
somme de six cents euros (600,00 euros), s’appliquant :

1°) Au coût de la présente promesse de vente, à raison de la somme de trois


cent soixante-cinq euros (365,00 euros) correspondant :
- au droit fixe d’enregistrement pour 125,00 euros, dû au Trésor Public
- aux honoraires de rédaction, pour la somme de 240,00 euros TTC (soit un
montant de 200,00 euros hors taxe et 40,00 euros de TVA au taux de 20%) en vertu
des dispositions de l’article annexe 4-9 du décret 2016-230 du 26 février 2016, tel qu’il
résulte de la convention d’honoraire signée ce jour par le BENEFICIAIRE.
Cette somme de trois cent soixante-cinq euros (365,00 euros) demeurera
intégralement et forfaitairement acquise à l’office notarial dans tous les cas, même en
cas d’exercice de son droit de rétractation par le BENEFICIAIRE, s’il en bénéficie.

2°) A la provision sur frais de l’acte authentique de réitération des présentes, à


raison de deux cent trente-cinq euros (235,00 euros). Le BENEFICIAIRE autorise
d'ores et déjà l'office notarial à effectuer sur cette somme tous prélèvements rendus
nécessaires pour les frais de recherche, correspondance, demande pièces,
documents divers et accomplissement de toute formalité en vue de l'établissement de
l'acte authentique de vente, dans les conditions et délais prévus aux présentes. Cette
somme viendra en compte sur les frais attachés à la réalisation de cet acte.
Les parties requièrent le notaire rédacteur des présentes de constituer dès à
présent le dossier d’usage, sans attendre la levée des conditions suspensives et
l’expiration du délai de rétractation, dont peut bénéficier le BENEFICIAIRE. Toutes les
sommes engagées par l’office pour cette constitution ne feront l’objet d’aucune
restitution, même en cas d’exercice de la faculté de rétractation.

PAIEMENT SUR ÉTAT - PUBLICITÉ FONCIÈRE - INFORMATION


L'acte est soumis au droit d'enregistrement sur état de CENT VINGT-CINQ
EUROS (125,00 EUR).
Le BENEFICIAIRE dispense le notaire soussigné de faire publier l'acte au
service de la publicité foncière, se contentant de requérir ultérieurement à cette
publication, s’il le juge utile, à ses frais. Il déclare avoir été informé par le notaire
soussigné que la publication d'une promesse de vente au service de la publicité
foncière a pour effet de la rendre opposable aux tiers que s'il s'agit d'une promesse de
vente synallagmatique, la publication d'une promesse unilatérale n'a que pour effet
d'informer les tiers de l'existence de la promesse sans pour autant rendre l'acte
opposable. En conséquence, seule la publication d'une promesse synallagmatique
s'oppose à la régularisation de la vente au profit d'un autre acquéreur.

28
Il est précisé que les présentes n'opèrent pas de transfert de propriété au
sens de l’article 28 du décret numéro 55-22 du 4 janvier 1955, leur publication n'est
donc pas obligatoire.
En outre, les parties entendent utiliser la possibilité qui est réservée par
l’alinéa deux de l’article 1196 du Code civil pour différer le transfert de propriété à la
date de la signature de l’acte authentique de vente.

POUVOIRS
Les parties confèrent à tout clerc ou collaborateur de l’office notarial
dénommé en tête des présentes, ainsi qu'à ceux le cas échéant du notaire en
participation ou en concours, avec faculté d'agir ensemble ou séparément, tous
pouvoirs nécessaires à l’effet :
 de signer toutes demandes de pièces, demandes de renseignements, et
lettres de purge de droit de préemption préalables à la vente ;
 de dresser et signer tous actes qui se révéleraient nécessaires en vue de
l’accomplissement des formalités de publicité foncière des présentes dans
l’éventualité où l’une des parties demanderait la publication du présent acte
au service de la publicité foncière, d’effectuer toutes précisions pour mettre
les présentes en conformité avec la réglementation sur la publicité foncière.

ELECTION DE DOMICILE
Pour l'exécution des présentes, les parties font élection de domicile en leur
demeure ou siège social respectif.
En outre, et à défaut d'accord amiable entre les parties, toutes les
contestations qui pourront résulter des présentes seront soumises au tribunal
judiciaire de la situation du BIEN.

COMMUNICATION DES PIECES ET DOCUMENTS


Le BENEFICIAIRE pourra prendre connaissance de toutes les pièces et
documents ci-dessus mentionnés directement en l’office notarial dénommé en tête
des présentes, sans que ce dernier ait l’obligation de les lui adresser à mesure de leur
réception, sauf avis contraire écrit de sa part ou nécessité de l’informer de sujétions
particulières révélées par ces pièces et documents.

FACULTE DE RETRACTATION
En vertu des dispositions de l’article L 271-1 du Code de la construction et de
l’habitation, le BIEN étant à usage d’habitation et le BENEFICIAIRE étant un non-
professionnel de l’immobilier, ce dernier bénéficie de la faculté de se rétracter.
A cet effet, une copie du présent acte avec ses annexes lui sera notifiée par
lettre recommandée avec accusé de réception. Dans un délai de dix jours à compter
du lendemain de la première présentation de la lettre de notification, le
BENEFICIAIRE pourra exercer la faculté de rétractation, et ce par lettre
recommandée avec accusé de réception ou exploit d'huissier, à son choix exclusif.
A cet égard, le PROMETTANT constitue pour son mandataire Office Notarial
111, Chemin des Négadoux à SIX-FOURS-LES-PLAGES aux fins de recevoir la
notification de l’exercice éventuel de cette faculté.
Il est ici précisé au BENEFICIAIRE que :
 Dans l’hypothèse où il exercerait cette faculté de rétractation, celle-ci serait
considérée comme définitive.
 Le délai de dix jours pour l’envoi de ce courrier se compte de la manière
suivante :

29
 Le premier jour commence le lendemain de la première présentation
du courrier recommandé.
 Le dernier jour est le dixième jour suivant.
 Un jour commence à zéro heure et se termine à vingt-quatre heures.
 Le courrier recommandé de rétraction ou l’acte d’huissier doit être
envoyé au plus tard le dernier jour du délai.
 En vertu de l'article 642 du Code de procédure civile, le délai expirant un
samedi, un dimanche, un jour férié ou chômé, est prorogé jusqu'au premier
jour ouvrable suivant.
 En cas de pluralité de bénéficiaires, il est expressément convenu que la
rétractation d'un seul d'entre eux emportera automatiquement résolution des
présentes.

Les dispositions de l’article L 271-2 du Code de la construction et de


l’habitation sont rapportées :
"Lors de la conclusion d'un acte mentionné à l’article L. 271-1, nul ne peut
recevoir de l'acquéreur non professionnel, directement ou indirectement, aucun
versement à quelque titre ou sous quelque forme que ce soit avant l'expiration du
délai de rétractation, sauf dispositions législatives expresses contraires prévues
notamment pour les contrats ayant pour objet l'acquisition ou la construction d'un
immeuble neuf d'habitation, la souscription de parts donnant vocation à l'attribution en
jouissance ou en propriété d'immeubles d'habitation et les contrats préliminaires de
vente d'immeubles à construire ou de location-accession à la propriété immobilière. Si
les parties conviennent d'un versement à une date postérieure à l'expiration de ce
délai et dont elles fixent le montant, l'acte est conclu sous la condition suspensive de
la remise desdites sommes à la date convenue.
Toutefois, lorsque l'un des actes mentionnés à l'alinéa précédent est conclu
par l'intermédiaire d'un professionnel ayant reçu mandat pour prêter son concours à la
vente, un versement peut être reçu de l'acquéreur s'il est effectué entre les mains d'un
professionnel disposant d'une garantie financière affectée au remboursement des
fonds déposés. Si l'acquéreur exerce sa faculté de rétractation, le professionnel
dépositaire des fonds les lui restitue dans un délai de vingt et un jours à compter du
lendemain de la date de cette rétractation.
Lorsque l'acte est dressé en la forme authentique, aucune somme ne peut
être versée pendant le délai de réflexion de dix jours.
Est puni de 30 000 euros d'amende le fait d'exiger ou de recevoir un
versement ou un engagement de versement en méconnaissance des alinéas ci-
dessus."

NOTIFICATION PAR ENVOI ÉLECTRONIQUE


Le BENEFICIAIRE donne son accord pour que toute notification lui soit faite
par lettre recommandée par courrier électronique à l'adresse indiquée dans l'acte, et
ce conformément aux dispositions de l'article 1126 du Code civil.
Il bénéficie en contrepartie de la faculté d’effectuer, dans le cadre des
présentes, toute notification dans la même forme au notaire qui le représente.
Le BENEFICIAIRE reconnait et garantit qu'il dispose de la maîtrise exclusive
du compte e-mail qu'il a lui-même indiqué, tant pour son accès régulier et sa gestion
que pour la confidentialité des identifiants qui lui permettent d'y accéder.
Il s'engage à signaler immédiatement toute perte ou usage abusif de son
compte e-mail, ainsi qu’à surveiller le classement éventuel en SPAM par son serveur
de tout message.
Toute action effectuée par le BENEFICIAIRE au travers de son compte e-mail
sera réputée effectuée par lui et relèvera de la responsabilité exclusive de ce dernier.
En cas de pluralité de bénéficiaires, les dispositions ci-dessus ont vocation à
s'appliquer à chacun d'eux.

30
ENVOI ELECTRONIQUE
Chacune des parties donne son accord pour que l'envoi d'une lettre
recommandée, lorsque la loi permet cette forme de notification, soit effectué, pour les
besoins du dossier, par courrier recommandé avec accusé de réception électronique
à l'adresse courriel indiquée dans l'acte, et ce conformément aux dispositions de
l'article L 100 du Code des postes et des communications électroniques.
Elle reconnait et garantit qu'elle dispose de la maîtrise exclusive du compte e-
mail qu'elle a indiqué, notamment pour son accès régulier, la confidentialité des
identifiants qui lui permettent d'y accéder, et la gestion des paramètres de réception et
de filtrage de courriers rentrants. Le cas échant, elle garantit que tout tiers accédant
au compte e-mail est autorisé par elle à le représenter et agir en son nom. Elle
s'engage à maintenir son adresse en fonctionnement, et à avertir, par tous moyens
compatibles avec la procédure écrite, sans délai, son ou ses cocontractants et l'office
notarial de tout changement, de tout usage abusif, ou de toute interruption de celle-ci
(à l'exclusion des interruptions momentanées). Jusqu'à la réception d'une telle
notification, toute action effectuée par elle au travers de son compte e-mail sera
réputée effectuée par elle et relèvera de la responsabilité exclusive de cette dernière.
Il est précisé que le prestataire chargé de la remise est AR 24. Ce prestataire
est soumis aux dispositions du décret numéro 2018-347 du 9 mai 2018 qui précise les
conditions d'application visant à garantir l'équivalence de l'envoi d'une lettre
recommandée électronique avec l'envoi d'une lettre recommandée.
En application des dispositions de l'article R 53-3 du Code des postes et des
communications électroniques, le prestataire doit informer le destinataire, par voie
électronique, qu'une lettre recommandée lui est destinée et qu'il a la possibilité,
pendant un délai de quinze jours à compter du lendemain de l'envoi de cette
information, d'accepter ou non sa réception.

ADRESSES ÉLECTRONIQUES
Afin de procéder à l'envoi de documents par lettre recommandée électronique,
les adresses électroniques des parties sont les suivantes :
Madame Véronique BOURLET :

MÉDIATION
Les parties sont informées qu’en cas de litige entre elles ou avec un tiers,
elles pourront, préalablement à toute instance judiciaire, le soumettre à un médiateur
qui sera désigné et missionné par le Centre de médiation notariale dont elles
trouveront toutes les coordonnées et renseignements utiles sur le site :
https://www.mediation.notaires.fr.

AFFIRMATION DE SINCÉRITÉ
Les parties affirment, sous les peines édictées par l’article 1837 du Code
général des impôts, que le présent acte exprime l'intégralité du prix ; elles
reconnaissent avoir été informées par le rédacteur des présentes des sanctions
fiscales et des peines correctionnelles encourues en cas d’inexactitude de cette
affirmation ainsi que des conséquences civiles édictées par l’article 1202 du Code
civil.

MENTION SUR LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES


L’Office notarial traite des données personnelles concernant les personnes
mentionnées aux présentes, pour l’accomplissement des activités notariales,
notamment de formalités d’actes.
Ce traitement est fondé sur le respect d’une obligation légale et l’exécution
d’une mission relevant de l’exercice de l’autorité publique déléguée par l’Etat dont
sont investis les notaires, officiers publics, conformément à l’ordonnance n° 45-2590
du 2 novembre 1945.

31
Ces données seront susceptibles d’être transférées aux destinataires
suivants :
 les administrations ou partenaires légalement habilités tels que la Direction
Générale des Finances Publiques, ou, le cas échéant, le livre foncier, les
instances notariales, les organismes du notariat, les fichiers centraux de la
profession notariale (Fichier Central Des Dernières Volontés, Minutier Central
Électronique des Notaires, registre du PACS, etc.),
 les offices notariaux participant ou concourant à l’acte,
 les établissements financiers concernés,
 les organismes de conseils spécialisés pour la gestion des activités
notariales,
 le Conseil supérieur du notariat ou son délégataire, pour la production des
statistiques permettant l’évaluation des biens immobiliers, en application du
décret n° 2013-803 du 3 septembre 2013,
 les organismes publics ou privés pour des opérations de vérification dans le
cadre de la recherche de personnalités politiquement exposées ou ayant fait
l'objet de gel des avoirs ou sanctions, de la lutte contre le blanchiment des
capitaux et le financement du terrorisme. Ces vérifications font l'objet d'un
transfert de données dans un pays situé hors de l'Union Européenne et
encadré par la signature de clauses contractuelles types de la Commission
européenne, visant à assurer un niveau de protection des données
substantiellement équivalent à celui garanti dans l’Union Européenne.
La communication de ces données à ces destinataires peut être indispensable
pour l’accomplissement des activités notariales.

Les documents permettant d’établir, d’enregistrer et de publier les actes sont


conservés 30 ans à compter de la réalisation de l’ensemble des formalités. L’acte
authentique et ses annexes sont conservés 75 ans et 100 ans lorsque l’acte porte sur
des personnes mineures ou majeures protégées. Les vérifications liées aux
personnalités politiquement exposées, au blanchiment des capitaux et au financement
du terrorisme sont conservées 5 ans après la fin de la relation d’affaires.

Conformément à la réglementation en vigueur relative à la protection des


données personnelles, les personnes peuvent demander l’accès aux données les
concernant. Le cas échéant, elles peuvent demander la rectification ou l’effacement
de celles-ci, obtenir la limitation du traitement de ces données ou s'y opposer pour des
raisons tenant à leur situation particulière. Elles peuvent également définir des
directives relatives à la conservation, à l’effacement et à la communication de leurs
données personnelles après leur décès.
L’Office notarial a désigné un Délégué à la protection des données que les
personnes peuvent contacter à l’adresse suivante : cil@notaires.fr.
Si les personnes estiment, après avoir contacté l’Office notarial, que leurs
droits ne sont pas respectés, elles peuvent introduire une réclamation auprès d’une
autorité européenne de contrôle, la Commission Nationale de l’Informatique et des
Libertés pour la France.

CERTIFICATION D'IDENTITÉ
Le notaire soussigné certifie que l’identité complète des parties dénommées
dans le présent document telle qu'elle est indiquée en tête des présentes à la suite de
leur nom ou dénomination lui a été régulièrement justifiée.

FORMALISME LIÉ AUX ANNEXES


Les annexes, s'il en existe, font partie intégrante de la minute.

32
Lorsque l'acte est établi sur support papier les pièces annexées à l'acte sont
revêtues d'une mention constatant cette annexe et signée du notaire, sauf si les
feuilles de l'acte et des annexes sont réunies par un procédé empêchant toute
substitution ou addition.
Si l’acte est établi sur support électronique, la signature du notaire en fin
d’acte vaut également pour ses annexes.

DONT ACTE sans renvoi


Généré en l’office notarial et visualisé sur support électronique aux lieu, jour,
mois et an indiqués en en-tête du présent acte.
Et lecture faite, les parties ont certifié exactes les déclarations les concernant,
avant d'apposer leur signature manuscrite sur tablette numérique.

Le notaire, qui a recueilli l'image de leur signature, a lui-même apposé sa


signature manuscrite, puis signé l'acte au moyen d'un procédé de signature
électronique qualifié.

33

Vous aimerez peut-être aussi