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ppt explicatif du cours rédigé par
M, BOUNAZEF
Systèmes et dispositifs
hydrauliques
et pneumatiques
1ère partie
Usine Pétrochimique
M, BOUNAZEF
Systèmes et dispositifs hydrauliques et pneumatiques
M, BOUNAZEF
La pneumatique et l’hydraulique industrielles sont des domaines technologiques qui utilisent les gaz
sous pression et les liquides pour créer un mouvement mécanique grâce à une la force de pression qui
s'exerce sur un actionneur final qui peut être un vérin ou un système plus complexe, spécifiquement conçus
pour différents types d'applications comme par exemple, des ressorts pneumatiques, des systèmes à
dépression, des pinces et bien d'autres.
La différence réside dans le fluide utilisé et sa pression ; pour l’air on utilise 150 Psi (10 bars) alors
que pour les huiles hydrauliques on va jusqu’à 10000 Psi (700 bars).
Les applications de la pneumatique et de l’hydraulique industrielles sont maintenant de plus en plus
nombreuses et les dispositifs sont présents presque partout. Cette technologie est utile dans les domaines
de la manutention, de la robotique, des sciences médicales, du divertissement, des freins des bus des
camions et des voitures, les équipements de musculation, les capteurs et régulateurs de pression, les
orgues, les pompes à dépression, le roues pneumatiques, les outils électriques, et bien d'autres.
Différents systèmes, dispositifs, éléments, composants utilisés dans une installation industrielle :
* Actionneurs électriques * Outils hydrauliques et pneumatiques * Coupleurs, raccords et adaptateurs hydrauliques

* Unités d'alimentation, vérins, pompes hydrauliques * Filtration et fluides hydrauliques * Équipements et interrupteurs
hydrauliques * Tubes et tuyaux hydrauliques * Distributeurs et vannes hydrauliques * Manomètres hydrauliques et
pneumatiques * Coupleurs, raccords et adaptateurs pneumatiques * Compresseurs d'air, amplificateurs et pompes à vide
* Traitement de l'air * Temporisateurs, modules logiques et compteurs pneumatiques * Actionneurs et vérins pneumatiques
* Équipements et interrupteurs pneumatiques * Tubes et tuyaux pneumatiques * Distributeurs et vannes pneumatiques
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Rappels sur les fluides
Débit :
C’est la quantité de fluide fournie par un appareil ou une machine qui traverse une conduite donnée, il
caractérise la rapidité du mouvement du gaz ou du liquide, il est exprimé par Q (mètres cubes par seconde) ou par q
(litres par tours, litres par minute, kg par heure, etc).
Pression :
C’est le rapport de l’intensité de la force s’exerçant uniformément et perpendiculairement sur une aire d’une
surface donnée.
Dans le système international d'unités (SI), l'unité de pression est le pascal (Pa) ; on utilise aussi le bar, qui vaut 105 Pa,
et, parfois encore, l'atmosphère (atm), valeur moyenne de la pression atmosphérique normale
(1 atm = 1,013 25·105 Pa). Une ancienne unité de pression est le « centimètre de mercure » (1 atm = 76 cm de mercure).
Force :
C’est une grandeur capable, soit de déformer un corps, soit de provoquer ou de modifier un mouvement, c’est
donc un concept traduisant quantitativement les interactions entre objets et permettant d'expliquer leurs déformations
ou les modifications de leurs mouvements. Elle est exprimée en SI en Newton (N) ou en Kgf
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Travail :
Quantité d'énergie reçue par un système matériel se déplaçant sous l'effet d'une force, et est égal au produit
scalaire de la force par le vecteur déplacement.
Q=F.l.cos α
avec α l'angle entre la direction de la force et celle du déplacement. Selon la valeur de l’angle α, le travail peut être positif
(moteur), négatif (résistant) ou nul :
• si 0 ≤ α < 90°, alors 0 < cos α ≤ 1 et WAB > 0 : le travail est moteur ;
• si α = 90°, alors cos α = 0 et WAB = 0 : le travail est nul ;
• si 90 ≤ α < 180°, alors – 1 ≤ cos α < 0 et WAB < 0 : le travail est résistant.
Ainsi, les forces agissant perpendiculairement au déplacement (cos 90 = 0) ne « travaillent » pas, comme la force centrifuge,
par exemple.
Le travail c’est le produit d’une force motrice d’un Newton par la distance parcourue d’un mètre, cela étant un Joule égale à
N.m=1Kg.m²/s²
Puissance :
La puissance étant la rapidité d’exécution d’un travail donné (quantité de travail par seconde), elle correspond à la
quantité d’énergie fournie ou absorbée par un système par unité de temps.
P=E/t autrement P=F.V en translation et P=M.ω en rotation (Puis méc) ; P=p.q (Puis Hyd) ; P=U.I (Puis Elect)
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Définition d’un fluide :

Les fluides sont des corps dont les molécules sont très mobiles les unes par rapport aux autres. Un fluide prend
automatiquement la forme du récipient qui le contient. On peut classer les fluides en deux groupes : des liquides et des
gaz. Les liquides ont un volume propre tant disque les gaz occupent tout le volume qui lui sont offert.
Compressibilité des fluides :

Soit ρ la masse volumique d’un fluide. D’une façon générale, ρ varie avec la pression et la température. On appelle un
fluide incompressible lorsque ρ est indépendante de P et T. Les liquides sont très peu compressibles.
Pratiquement : on considère que les liquides sont incompressibles et les gaz sont compressibles.
Viscosité :
Les forces de cohésion intermoléculaire ont tendance à freiner l’écoulement d’un fluide. Cette propriété est appelée
viscosité : c’est la capacité d’écoulement d’un fluide.
• Coefficient de viscosité dynamique « μ » : exprimé dans le système international en Poiseuille (Pl) ou en Pascal seconde
(Pa.s)
• Coefficient de viscosité cinématique « ν » : exprimé dans le système international en mètre carré par seconde (m²/s). on
utilise souvent le stokes (st) dont : 1st = 10-4m²/s.
ν=μρ
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Fluide parfait – fluide réel :

Un fluide parfait est un fluide dont les molécules se déplacent sans aucun frottement les uns par rapport aux autres ; donc
sans viscosité μ = 0. (C’est théorique)Un fluide est réel lorsque μ ≠ 0
Les régimes d’écoulement :

Soit un courant d’eau qui circule dans une conduite à section circulaire. On introduit un filet de colorant dans l’axe de cette
conduite. Suivant la vitesse d’écoulement de l’eau, on peut observer les phénomènes suivants :
a) Vitesse faible b) Vitesse plus élevée c) Vitesse très élevée
- Pour des vitesses faibles, le filet colorant traverse le long de la conduite en position centrale.
- Pour des vitesses plus élevées, le filet colorant se mélange brusquement dans l’eau après avoir parcouru une distance.
- Pour des vitesses très élevées, le colorant se mélange immédiatement dans l’eau.
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a. Régime laminaire : (cas a) le fluide s’écoule en couches cylindriques coaxiales ayant pour axe le centre de la conduite.
B. Régime transitoire : (cas b) c’est une transition entre le régime laminaire et ce lui turbulent.
c. Régime turbulent : (cas c) formation de mouvement tourbillonnant dans le fluide.
Cette expérience est faite par Reynolds en faisant varier le diamètre de la conduite, la température, le débit, etc.…, pour des
divers fluides.
La détermination du régime d’écoulement est par le calcul d’un nombre sans dimension appelé nombre de Reynolds (Re).
Re = d. V. ρ /μ
Avec :
d : diamètre de la conduite (en m)
v : vitesse moyenne d’écoulement (en m/s)
ρ : masse volumique du fluide (en kg/m3)
μ : coefficient de viscosité dynamique (en Pa.s)
ν : coefficient de viscosité cinématique (en m²/s)
Si Re< 2000 le régime est laminaire

Si Re> 3000 le régime est turbulent
Si 2000 <Re< 3000 le régime est transitoire
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Pertes de charge :
Les pertes de charge sont à l’origine :
• Des frottements entre les différentes couches de liquide et des frottements entre le liquide et la paroi interne de la
conduite le long de l’écoulement : ce sont les pertes de charge régulières.
• De la résistance à l’écoulement provoqués par les accidents de parcours (vannes, coudes, etc.…) ; ce sont les pertes de
charge singulières ou localisés.
La formule générale de pertes de charge dans une conduite est de la forme suivante :
Δp=λ.L. ρ.(v2 /D2)

Avec :
v : vitesse moyenne du fluide
λ : coefficient de perte de charge régulière.
Pour déterminer le coefficient de perte de charge régulière λ, on fait souvent appel à des formules empiriques tel que :
• Si l’écoulement est laminaire, nous avons la loi de Poiseuille :
λ=64/Re
• Si l’écoulement est turbulent, on a on a la loi de Blasius:
λ=0.316.Re−0.25
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Symbolisation et Schématisation
La schématisation consiste à expliquer par un dessin, un concept, un
symbole un objet, ou un signe un système complexe afin de le rendre simple à
comprendre et à expliquer par rapport à la réalité ; il s’agit d’une illustration
simplifiée d’une chose afin de saisir le sens de son fonctionnement et de
réduire sa taille réelle.
Par exemple, on symbolise :
* La paix : Par une colombe et un rameau d’olivier

* La victoire : Par la lettre V
* L’amour : Par le cœur
* La mécanique : Par des engrenages
Passage d’une installation industrielle réelle à un circuit

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hydraulique schématisé
Installation hydraulique réelle Circuit hydraulique schématisé par des symboles

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Description et fonctionnement des différents éléments

dispositifs et systèmes d’un circuit hydraulique
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Détendeur
Définition :
C’est un dispositif de régulation utilisé dans de nombreux domaines de l’industrie
permettant de limiter la pression interne dans un circuit hydraulique ou pneumatique en
dérivant l’excès du fluide vers le circuit de basse pression ; il évite donc les surpressions.
Il est indispensable à la sortie d’une pompe pour protéger les éléments et
récepteurs surtout s’ils sont soumis aux pressions contrôlées.
Un limiteur de pression de base est constitué de différents composants :
* le corps ;
* le clapet anti-retour conique ;
* le ressort.
* Si c'est un limiteur de pression réglable, on trouve de plus une vis de réglage.
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Détendeur
M, BOUNAZEF
Détendeur
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Définition :
La soupape de sécurité ou de sureté est un dispositif destiné à réguler et
décharger la pression afin d’empêcher l’explosion de certains appareils tels les
réservoirs, les chaudières et autres, d’une autre façon permet d’évacuer le fluide.
Elles se composent de :
* Du corps
* Du clapet
* D’une membrane
* D’une vis de réglage
Lorsqu’une soupape se décharge, il faut la tarer.

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Soupapes de décharge
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Définition :
C’est un dispositif qui permet d’obtenir 2 actions différentes successives dans
un ordre donné afin d’alimenter 2 circuits différents pour des opérations différentes.
Elles se composent de :
A) Dispositif de réglage
B) Corps
C) Ressort
D) Assiette
E) Elément obturateur
F) Piston anti-retour
G) Ressort
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Soupapes de séquences
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Définition :
C’est un appareil qui permet de réduire la pression du circuit en pression
d’utilisation réglée et constante, il protège donc les installations contre les coups de
béliers, les bruits, les éclaboussures, l’usure etc.
Il se compose :
* D’un corps
* D’un ressort taré
* D’une vis de réglage
* D’une membrane
* D’un clapet
* D’un manomètre
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Réducteur de pression
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Définition :
Un récepteur hydraulique ou pneumatique ou vérin sert à créer un
mouvement de translation mécanique grâce à la pression du fluide qui s’applique sur
le piston qui coulisse dans le cylindre.
Il peut être à simple effet, à double effets, avec amortissement, à double
tiges, télescopique etc…
Il se compose de :
* Corps avec un flasque arrière
* Piston avec tige muni de joints toriques
* De plusieurs tampons d’amortissent
* Bagues de guidage.
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Vérins
M, BOUNAZEF
Un vérin est l’élément récepteur de l’énergie dans un circuit hydraulique. Il permet de développer un effort très important
avec une vitesse très précise.
Leur classification tient compte de la nature du fluide, pneumatique ou hydraulique, et du mode d’action de la tige : simple
effet (air comprimé admis sur une seule face du piston), double effet (air comprimé admis sur les deux faces du piston)…
Vérins simple effet (VSE)

L’ensemble tige-piston se déplace dans un seul sens sous l’action du fluide sous pression. Le retour est effectué par un autre
moyen que l’air comprimé : ressort, charge, …Pendant le retour, l’orifice d’admission de l’air comprimé est mis à
l’échappement.
Vérins double effet (VDE)

L’ensemble tige-piston peut se déplacer dans les deux sens sous l’action du fluide sous pression.
L’effort en poussant (sortie de la tige) est légèrement plus grand que l’effort en tirant (entrée de la tige) car la pression n’agit
pas sur la partie de surface occupée par la tige.
Vérins rotatifs (VR)

L’ensemble de piston-tige sous forme de crémaillère peut se déplacer dans les 2 sens entrainant un engrenage dans son
déplacement, Pendant le retour du piston vers un sens, l’autre orifice est mis à l’échappement. Il doit être toujours muni
d’un distributeur.
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Vérins rotatif
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hydrauliques
et pneumatiques
2éme partie
M, BOUNAZEF
Définition :
Un échangeur de pression est un dispositif utilisé comme un lien commande
hydropneumatique entre un système à air comprimé et un système hydraulique.
L’énergie de pression de l’air comprimé est alors transféré au système hydraulique.
Si c’ est un échangeur tout court, la pression est conservée d’un fluide à l’autre, si c’ est
un multiplicateur, la pression est multipliée en fonction du rapport des 2 cylindres.
Composition :
Echangeurs et multiplicateurs de pression
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
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Accumulateurs hydropneumatiques
Définition :
C’est un appareil qui accumule l’énergie pneumatique sous forme de pression et qui le restitue au moment
opportun en cas de besoin. Un accumulateur hydropneumatique est un appareil capable d’emmagasiner sur les circuits
hydrauliques une grande quantité d’énergie sous un faible volume.
Un principe simple Si la très faible compressibilité des fluides rend difficile le stockage de leur énergie dans des volumes
restreints, elle leur permet en revanche de transmettre des efforts importants. A l’inverse, le taux de compressibilité
élevé des gaz permet de stocker une énergie considérable sous un faible volume. L’accumulateur hydropneumatique
réalise l’association de ces deux propriétés.
Les principales fonctions et caractéristiques des accumulateurs sont :
* Un réservoir d’énergie
* Anti-bélier
* Dilatation thermique
* Amortissement de chocs – Suspension
* Récupération et restitution d’énergie
* Compensation de fuites
* Amortissement de pulsations
* Transfert
* Réserve d’énergie
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
Sources d’énergie (moteurs)
M, BOUNAZEF
Définition :
Une source d'énergie est un phénomène physique ou un phénomène chimique dont il est possible
d'exploiter l'énergie à des fins industrielles. Une source d'énergie est dite « primaire » si elle est issue d'un
phénomène naturel et n'a pas été transformée ; elle est dite « secondaire » si elle est le résultat d'une
transformation volontaire.
Pour ce qui concerne les dispositifs hydrauliques et pneumatiques, il s’agit d’un équipement ou d’une machine
qui produit une énergie (transformée donc secondaire) afin d’être utilisée comme énergie capable de faire
fonctionner les dispositifs qui assurent un fonctionnement automatique et une régulation tels que :
* Moteurs électriques
* Pompes hydrauliques volumétriques
* Compresseurs d’air
* Turbines hydrauliques et pneumatiques
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Sources d’énergie (pompes)
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF Calcul des pompes volumétriques
(Pompes à engrenages, à palettes, à vis, à pistons etc.)
Paramètres et unités :
• V (cm3 /U) volume refoulé (Cylindrée)
• Q (L/min) débit
• p (bar) pression
• M (NM) couple
• N (U/min) vitesse de rotation
• P (KW) puissance
• ηv Rendement volumétrique (ca. 90 – 95%)
• ηt Rendement total (ca. 85 – 90%)
Formulaire :
• Q = V . N . ηv /10E5 [L/min]
• V = Q . 10E5/ N . ηv [cm3]
• N = Q .10E5/ v . ηv [trs/min]
• P = p . Q/ 6 . ηt [KW]
• Q = 6.P . ηt/ p [L/min]
• p = 6 .P . ηt/ Q [bar]
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Distributeurs
Définition :
Dans les systèmes automatisés, le distributeur est l'élément de la chaîne de transmission d'énergie utilisé pour
commuter et contrôler la circulation des fluides sous pression.
Généralement constitué d'un tiroir qui coulisse dans un corps, il met en communication des orifices (connectables
ou non) suivant plusieurs associations. Le tiroir peut être actionné par un levier, une bobine, un piston, ou un ressort de
rappel (pour ceux disposant d'une position neutre ou stable).
On distingue les distributeurs d'abord par le nombre d'orifices et le nombre de positions, puis la nature des
commandes, la gestion du flux de puissance ("tout ou rien" ou progressif).
Le nombre d'orifices est le nombre de conduites (connectables ou non) sortant du corps du distributeur. Il y en a
donc au moins deux.
Le nombre de positions correspond au nombre de situations du composant. Pour chaque position, les conduites
sont associées suivant une combinaison différente. Certains composants passifs (comme les clapets anti-
retour ou pressostat) sont considérés, du point de vue de la représentation comme des distributeurs à une position. Les cas
courants comportent deux ou trois cases.
La désignation d'un distributeur se présente comme une fraction donnant le nombre d'orifices puis le nombre de
positions.
La représentation schématique des distributeurs est une juxtaposition de cases carrées:
* Il y a autant de cases que de positions.
* Pour chaque position les flèches représentent les connexions internes reliant les orifices. La flèche donne le sens
d'écoulement. On retrouve dans chaque case un même emplacement pour chaque orifice. Un orifice orphelin est marqué
par un bouchon en forme de T.
M, BOUNAZEF
Distributeurs
M, BOUNAZEF
Distributeur à tiroir
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M, BOUNAZEF
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Commandes
M, BOUNAZEF
Régulateurs et réducteurs de débit

Définition :
Un régulateur de débit massique (appelé mass flow controller en anglais et abrégé en MFC) est un appareil qui permet
de mesurer et de réguler le débit de liquides ou de gaz. Il est conçu et calibré pour réguler un liquide ou un gaz spécifique à une
certaine gamme de débit.
Le régulateur peut être paramétré sur toute l'étendue de sa pleine échelle mais il est préférable de placer la consigne entre 10%
et 90% de sa pleine échelle où la précision est la meilleure. La consigne ordonnée, l'appareil peut ensuite amener le débit à la
valeur consigne. Un régulateur peut être analogique ou numérique. Quand numérique, un régulateur de débit massique est
souvent capable de contrôler le débit de plusieurs types de fluides alors que s'il est numérique il ne sera limité au fluide avec
lequel il aura été calibré.
Tous les régulateurs de débit massique ont un port entrant et un port sortant, un capteur de débit massique et une soupape de
contrôle proportionnel. Il comprend un système à boucle fermée qui se voit donner un signal de consigne par l'opérateur (ou un
ordinateur, un circuit externe, ...). Cette consigne est ensuite comparée avec la valeur mesurée par le capteur de débit massique
et la soupape sera ajustée en conséquence pour obtenir le débit voulu. La valeur du débit est donnée en pourcentage par
rapport à la valeur calibrée de sa pleine échelle et elle est parvenue au régulateur sous forme de tension.
Les régulateurs de débit massique nécessitent que l'approvisionnement en fluide soit à une certaine pression. Une trop basse
pression affamera le régulateur en fluide et ce dernier ne sera pas capable d'atteindre la consigne. Une trop forte pression risque
également de donner des valeurs mesurées de débits faussées.
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M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF Clapets anti-retour
Définition :
Un clapet antiretour est un dispositif installé sur une tuyauterie qui permet de contrôler le sens de circulation
d'un fluide quelconque. Le liquide, le gaz, l'air comprimé, ... peut passer dans un sens mais le flux est bloqué si celui-ci vient à
s'inverser.
Il existe différents types de clapets antiretour :

1) Clapet antiretour à battant
Le battant en position levée permet un débit important. Un mécanisme de contre-poids ou de ressorts permet la fermeture
régulée. Il est employé pour une faible fréquence de manœuvre. Clapet antiretour appelé swing-check valve en anglais.
2) Antiretour à clapet guidé
Il assure une bonne étanchéité même à faible pression. La rapidité de la fermeture du clapet est fonction du ressort. Il est
employé sur une conduite horizontale et verticale.
3) Clapet antiretour à bille
Une bille libre assure la fermeture par contact sur un siège conique. Système simple, idéal pour les fluides agressifs ou
chargés.
4) Clapet antiretour à double battant
Il permet d'éviter les coups de bélier.
5) Clapet à disques concentriques
Très bonne limitation des coups de bélier du fait de l'amplitude faible des disques. Adapté pour les cadences élevées.
Employé par exemple sur le système de compression du dispositif de climatisation d'automobile.
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Clapets anti-retour
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M, BOUNAZEF
Fin 2è partie du cours

M, BOUNAZEF
hydrauliques
et pneumatiques
3è partie
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Définition :
Un échangeur de pression est un dispositif utilisé comme un lien commande
hydropneumatique entre un système à air comprimé et un système hydraulique.
L’énergie de pression de l’air comprimé est alors transféré au système hydraulique.
Si c’ est un échangeur tout court, la pression est conservée d’un fluide à l’autre, si c’ est
un multiplicateur, la pression est multipliée en fonction du rapport des 2 cylindres.
Composition :
Echangeurs et multiplicateurs de pression
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Définition :
C’est un appareil qui accumule l’énergie pneumatique sous forme de pression et qui le restitue au moment
opportun en cas de besoin. Un accumulateur hydropneumatique est un appareil capable d’emmagasiner sur les circuits
hydrauliques une grande quantité d’énergie sous un faible volume.
Un principe simple Si la très faible compressibilité des fluides rend difficile le stockage de leur énergie dans des volumes
restreints, elle leur permet en revanche de transmettre des efforts importants. A l’inverse, le taux de compressibilité
élevé des gaz permet de stocker une énergie considérable sous un faible volume. L’accumulateur hydropneumatique
réalise l’association de ces deux propriétés.
Les principales fonctions et caractéristiques des accumulateurs sont :
* Un réservoir d’énergie
* Anti-bélier
* Dilatation thermique
* Amortissement de chocs – Suspension
* Récupération et restitution d’énergie
* Compensation de fuites
* Amortissement de pulsations
* Transfert
* Réserve d’énergie
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Définition :
Une source d'énergie est un phénomène physique ou un phénomène chimique dont il est possible
d'exploiter l'énergie à des fins industrielles. Une source d'énergie est dite « primaire » si elle est issue d'un
phénomène naturel et n'a pas été transformée ; elle est dite « secondaire » si elle est le résultat d'une
transformation volontaire.
Pour ce qui concerne les dispositifs hydrauliques et pneumatiques, il s’agit d’un équipement ou d’une machine
qui produit une énergie (transformée donc secondaire) afin d’être utilisée comme énergie capable de faire
fonctionner les dispositifs qui assurent un fonctionnement automatique et une régulation tels que :
* Moteurs électriques
* Pompes hydrauliques volumétriques
* Compresseurs d’air
* Turbines hydrauliques et pneumatiques

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Sources d’énergie (pompes)

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M, BOUNAZEF Calcul des pompes volumétriques
(Pompes à engrenages, à palettes, à vis, à pistons etc.)
Paramètres et unités :
• V (cm3 /U) volume refoulé (Cylindrée)
• Q (L/min) débit
• p (bar) pression
• M (NM) couple
• N (U/min) vitesse de rotation
• P (KW) puissance
• ηv Rendement volumétrique (ca. 90 – 95%)
• ηt Rendement total (ca. 85 – 90%)
Formulaire :
• Q = V . N . ηv /10E5 [L/min]
• V = Q . 10E5/ N . ηv [cm3]
• N = Q .10E5/ v . ηv [trs/min]
• P = p . Q/ 6 . ηt [KW]
• Q = 6.P . ηt/ p [L/min]
• p = 6 .P . ηt/ Q [bar]
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Distributeurs
Définition :
Dans les systèmes automatisés, le distributeur est l'élément de la chaîne de transmission d'énergie utilisé pour
commuter et contrôler la circulation des fluides sous pression.
Généralement constitué d'un tiroir qui coulisse dans un corps, il met en communication des orifices (connectables
ou non) suivant plusieurs associations. Le tiroir peut être actionné par un levier, une bobine, un piston, ou un ressort de
rappel (pour ceux disposant d'une position neutre ou stable).
On distingue les distributeurs d'abord par le nombre d'orifices et le nombre de positions, puis la nature des
commandes, la gestion du flux de puissance ("tout ou rien" ou progressif).
Le nombre d'orifices est le nombre de conduites (connectables ou non) sortant du corps du distributeur. Il y en a
donc au moins deux.
Le nombre de positions correspond au nombre de situations du composant. Pour chaque position, les conduites
sont associées suivant une combinaison différente. Certains composants passifs (comme les clapets anti-
retour ou pressostat) sont considérés, du point de vue de la représentation comme des distributeurs à une position. Les cas
courants comportent deux ou trois cases.
La désignation d'un distributeur se présente comme une fraction donnant le nombre d'orifices puis le nombre de
positions.
La représentation schématique des distributeurs est une juxtaposition de cases carrées:
* Il y a autant de cases que de positions.
* Pour chaque position les flèches représentent les connexions internes reliant les orifices. La flèche donne le sens
d'écoulement. On retrouve dans chaque case un même emplacement pour chaque orifice. Un orifice orphelin est marqué
par un bouchon en forme de T.
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Distributeurs
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Distributeur à tiroir
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M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
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Commandes
M, BOUNAZEF
Fin 3è partie du cours

M, BOUNAZEF
hydrauliques
et pneumatiques
4è partie
M, BOUNAZEF

Définition :
Un régulateur de débit massique (appelé mass flow controller en anglais et abrégé en MFC) est un appareil qui permet
de mesurer et de réguler le débit de liquides ou de gaz. Il est conçu et calibré pour réguler un liquide ou un gaz spécifique à une
certaine gamme de débit.
Le régulateur peut être paramétré sur toute l'étendue de sa pleine échelle mais il est préférable de placer la consigne entre 10%
et 90% de sa pleine échelle où la précision est la meilleure. La consigne ordonnée, l'appareil peut ensuite amener le débit à la
valeur consigne. Un régulateur peut être analogique ou numérique. Quand numérique, un régulateur de débit massique est
souvent capable de contrôler le débit de plusieurs types de fluides alors que s'il est numérique il ne sera limité au fluide avec
lequel il aura été calibré.
Tous les régulateurs de débit massique ont un port entrant et un port sortant, un capteur de débit massique et une soupape de
contrôle proportionnel. Il comprend un système à boucle fermée qui se voit donner un signal de consigne par l'opérateur (ou un
ordinateur, un circuit externe, ...). Cette consigne est ensuite comparée avec la valeur mesurée par le capteur de débit massique
et la soupape sera ajustée en conséquence pour obtenir le débit voulu. La valeur du débit est donnée en pourcentage par
rapport à la valeur calibrée de sa pleine échelle et elle est parvenue au régulateur sous forme de tension.
Les régulateurs de débit massique nécessitent que l'approvisionnement en fluide soit à une certaine pression. Une trop basse
pression affamera le régulateur en fluide et ce dernier ne sera pas capable d'atteindre la consigne. Une trop forte pression risque
également de donner des valeurs mesurées de débits faussées.
M, BOUNAZEF

M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF
M, BOUNAZEF Clapets anti-retour
Définition :
Un clapet antiretour est un dispositif installé sur une tuyauterie qui permet de contrôler le sens de circulation
d'un fluide quelconque. Le liquide, le gaz, l'air comprimé, ... peut passer dans un sens mais le flux est bloqué si celui-ci vient à
s'inverser.
Il existe différents types de clapets antiretour :

1) Clapet antiretour à battant
Le battant en position levée permet un débit important. Un mécanisme de contre-poids ou de ressorts permet la fermeture
régulée. Il est employé pour une faible fréquence de manœuvre. Clapet antiretour appelé swing-check valve en anglais.
2) Antiretour à clapet guidé
Il assure une bonne étanchéité même à faible pression. La rapidité de la fermeture du clapet est fonction du ressort. Il est
employé sur une conduite horizontale et verticale.
3) Clapet antiretour à bille
Une bille libre assure la fermeture par contact sur un siège conique. Système simple, idéal pour les fluides agressifs ou
chargés.
4) Clapet antiretour à double battant
Il permet d'éviter les coups de bélier.
5) Clapet à disques concentriques
Très bonne limitation des coups de bélier du fait de l'amplitude faible des disques. Adapté pour les cadences élevées.
Employé par exemple sur le système de compression du dispositif de climatisation d'automobile.
Clapets anti-retour
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Réservoirs de fluides liquides

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Définition :
Les réservoirs de liquide assurent le stockage et la compensation des variations de
volume des fluides liquides servant à alimenter des installations industrielles.
• Ces variations de volume sont dues aux fluctuations générées par les différentes
consommations par les équipements et aux séquences d’ouverture et de fermeture des vannes
et robinets.
• Les réservoirs de liquide permettent également de stocker tout le fluide frigorigène de

l’installation, pour des opérations d’entretien ou de dépannage.
Réservoirs de fluides liquides

M, BOUNAZEF
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Les Filtres
Définition :
Un filtre est un système servant à séparer des éléments dans un flux. L'action du filtre consiste à retenir, supprimer, rediriger
ou modifier les éléments indésirables du flux, et à en laisser passer librement les éléments utiles. Les filtres sont utilisés dans
différents domaines.
Le filtre à air
permet de supprimer de l'air aspiré les plus grosses particules telles que les pollens qui risqueraient d'endommager le
moteur. Pour conserver ses propriétés, il doit être remplacé régulièrement et d'autant plus fréquemment que l'air où circule
le véhicule est poussiéreux (exemple : véhicule tout-terrain sur piste) ;
le filtre à huile
souvent placé sur le carter moteur ; il permet d'éliminer les particules contenues dans l'huile du moteur et qui proviennent,
pour l'essentiel, de l'usure des pièces moteurs lubrifiées. Il doit être remplacé à chaque vidange afin de ne pas polluer l'huile
neuve ;
le filtre à carburant
permet de ne pas faire circuler de particules dans le circuit d'alimentation de carburant, qui risqueraient de boucher les
injecteurs de carburant. Il doit être remplacé d'autant plus fréquemment que le carburant risque d'être pollué par des
matières solides (poussière, sable, etc.) ;
le filtre à particules
utilisé pour réduire la quantité de particules générées par la combustion du gazole dans le moteur et rejeté dans les gaz
d'échappement des moteurs Diesel. Ce filtre doit être changé régulièrement pour éviter qu'il ne rejette les particules qu'il
avait retenues.
Les Filtres
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Echangeurs de chaleur
Définition :
Un échangeur de chaleur est un dispositif permettant de transférer de l'énergie thermique d'un fluide vers un
autre sans les mélanger. Le flux thermique traverse la surface d'échange qui sépare les fluides1.
L'intérêt du dispositif réside dans la séparation des deux circuits et dans l'absence d'autres échanges que la
chaleur, gardant à chaque fluide ses caractéristiques physico-chimiques inchangées (pression, concentration en éléments
chimiques, ...) hormis bien sûr leur température et/ou leur état.
Un échangeur se caractérise par les fluides en présence, le but recherché et la puissance à mettre en œuvre ; ces
critères déterminent sa forme et ses dimensions optimales.
Types d’échangeurs :
Échangeur à tubes en U
Échangeur à faisceau tubulaire horizontal
Echangeur à faisceau tubulaire vertical
Echangeur à spirales
Echangeur à plaques
Échangeur de chaleur rotatif
Échangeur à ailettes
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Echangeurs de chaleur
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Appareils de mesure
• Définition :
• Un instrument de mesure (ou appareil de mesure) est un dispositif
destiné à obtenir expérimentalement des valeurs qu'on puisse
attribuer à une grandeur.
• En physique et en sciences de l’ingénieur, mesurer consiste à
comparer une grandeur physique qui caractérise un objet ou un
phénomène avec celle de même nature choisie comme unité de
mesure.
• La mesure est le nombre qui fixe la relation entre la grandeur
mesurée et l’unité choisie.
M, BOUNAZEF
Appareils de mesure
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ppt explicatif du cours rédigé par

* Actionneurs électriques * Outils hydrauliques et pneumatiques * Coupleurs, raccords et adaptateurs hydrauliques

Définition d’un fluide :

Compressibilité des fluides :

Fluide parfait – fluide réel :

Les régimes d’écoulement :

a) Vitesse faible b) Vitesse plus élevée c) Vitesse très élevée

Si Re< 2000 le régime est laminaire

Δp=λ.L. ρ.(v2 /D2)

* La paix : Par une colombe et un rameau d’olivier

Passage d’une installation industrielle réelle à un circuit

Installation hydraulique réelle Circuit hydraulique schématisé par des symboles

Description et fonctionnement des différents éléments

Lorsqu’une soupape se décharge, il faut la tarer.

Vérins simple effet (VSE)

Vérins double effet (VDE)

Vérins rotatifs (VR)

Régulateurs et réducteurs de débit

Régulateurs et réducteurs de débit

Il existe différents types de clapets antiretour :

Fin 2è partie du cours

Sources d’énergie (moteurs)

Sources d’énergie (moteurs)

Sources d’énergie (pompes)

Fin 3è partie du cours

Régulateurs et réducteurs de débit

Régulateurs et réducteurs de débit

Il existe différents types de clapets antiretour :

Réservoirs de fluides liquides

• Les réservoirs de liquide permettent également de stocker tout le fluide frigorigène de

Réservoirs de fluides liquides

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