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00 - Système de Numération

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S1 : Architecture des systèmes d’information

S1.2 : Structure et fonctionnement des


ordinateurs
Partie 0 : Systèmes de numération

Sommaire
I. Introduction -------------------------------------------------------------------------------------------------------- 2
1. Définition -------------------------------------------------------------------------------------------------------- 2
2. Système de numération à base quelconque------------------------------------------------------------ 2
II. Différents systèmes de numération ------------------------------------------------------------------------- 2
1. système décimal ou à base 10 ----------------------------------------------------------------------------- 2
2. Système binaire ou à base 2 -------------------------------------------------------------------------------- 2
3. Système octal ou à base 8 ----------------------------------------------------------------------------------- 3
4. Système hexadécimal, b = 16------------------------------------------------------------------------------- 3
III. Passage d’une base à une autre ------------------------------------------------------------------------------ 3
1. Conversion décimal – binaire------------------------------------------------------------------------------- 3
2. Conversion binaire – décimal------------------------------------------------------------------------------- 5
3. Conversion décimal – octal --------------------------------------------------------------------------------- 6
4. conversion octal – décimal ---------------------------------------------------------------------------------- 6
5. Conversion décimal – hexadécimal ----------------------------------------------------------------------- 6
6. Conversion hexadécimal – décimal ----------------------------------------------------------------------- 7
7. Conversion octal – binaire et inversement-------------------------------------------------------------- 7
8. Conversion hexadécimal – binaire et inversement --------------------------------------------------- 7
9. Conversion d’un nombre de base 2k en base 2p ------------------------------------------------------- 8
IV. Opérations sur les nombres binaires ------------------------------------------------------------------------ 8
1. Addition ---------------------------------------------------------------------------------------------------------- 8
2. Soustraction ---------------------------------------------------------------------------------------------------- 9
3. Multiplication -------------------------------------------------------------------------------------------------- 9
4. division -------------------------------------------------------------------------- Erreur ! Signet non défini.

Références : www.editions-ellipses.fr
www .commentcamarche.com
Cours_S1_S1.2_P0
Etablissement Lycée technique - Settat
Filière BTS
Semestre Développement des Systèmes d’Informations
Partie 0 : Systèmes de numération

I. Introduction
Définition
Un système de numération est un ensemble de règles d’utilisation des signes, des mots ou des gestes
permettant d’écrire, d’énoncer ou de mimer les nombres, ces derniers étant nés, sous leur forme écrite,
en même temps que l’écriture, de la nécessité d’organiser les récoltes, le commerce et la datation.
Il existe de nombreux systèmes de numération tels que, le décimal, le binaire, l’octal, l’hexadécimal, le
romain etc. Tous ces systèmes reposent sur l’utilisation d’un nombre de symboles dit de base et de leur
règle d’utilisation. Leur appellation est généralement liée au nombre de symboles de base ; dix (0, 1, 2,
3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) pour le décimal, deux (0,1) pour le binaire, huit (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7) pour l’octal,
seize (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F) pour l’hexadécimale.

Exemple : Soit le nombre décimal 396,


3.102 + 9.101 + 6.100 = 300 + 90 + 6 = 396.

Système de numération à base quelconque


De façon générale, un nombre N exprimé à l’aide d’une base b et des symboles ai représentant les
chiffres de la base peut être considéré comme un polynôme en puissance de b :
(N)b =an×bn + an-1×bn-1 + . . . + a1×b1 + a0 × b0 + a-1×b-1 + . . . + a-m × b-m
0 −m

= 
i =n
ai bi + 
i = −1
ai bi b>1 et 0 ≤ ai ≤ b-1

N s’écrit sous la forme : an . . . ai . . . a0, a-1 . . . a-m


a-m s’appelle le chiffre de poids le plus faible. an s’appelle le chiffre de poids le plus fort. L’élément ai
est le chiffre (digit) de rang i.
an . . . ai. . . a0 , appelée partie entière, et a-1 . . . a-m, la partie fractionnaire.
Quatre systèmes de numération sont fréquemment utilisés.

II. Différents systèmes de numération


système décimal ou à base 10
C’est le système de numération que nous utilisons habituellement. Il est appelé ainsi car il utilise 10
symboles différents: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9.
Exemple : (N)10 = 2008,65 = 2  103+ 0  102 + 0  101 + 8  100 + 6  10-1 +5  10-2.

Système binaire ou à base 2


Le système de numération binaire a été introduit par LEIBNIZ au 17ème siècle. Il s’applique à tout
dispositif (mécanique, électrique, électronique etc.) ayant deux états d’équilibres stables (interrupteur
ouvert ou fermé, courant passe ou ne passe pas, Lampe allumée ou éteinte, Transistor bloqué ou
saturé…). Ceci est appelé par convention état 1 et état 0. On dispose donc de deux symboles {0, 1}
encore appelés éléments binaires (bits), par contraction de l’expression anglaise Binary digit (chiffre
binaire).
L’expression générale de l’équivalence binaire d’un nombre (N)10 est de la forme :

2
Partie 0 : Systèmes de numération

(N)2 = an × 2n + an-1 × 2n-1 + . . . + a1 × 21+ a0 × 20+ a-1 × 2-1 + . . . + a-m × 2-m


Exemple:
(11010,01)2 = 1×24+1×23+0×22+1×21+0×20+0×2-1+1×2-2
= 16 + 8 + 0 + 2 + 0 + 0 + 0, 25
= (26, 25)10

1 1 0 0 1 1 0 1
MSB : Most Significant Bit LSB : Least Significant Bit
Bit de poids le plus fort Bit de poids le plus faible

Système octal ou à base 8


Ce système est dérivé du binaire, mais dont la base comporte 8 chiffres, 0 1 2 3 4 5 6 7. L’intérêt de ce
système est lié au fait que sa base est une puissance de 2 (8 = 2 3), cette particularité lui confère des
propriétés particulière de relation avec le système binaire1. On peut dire que c’est une manière
contractée d’exprimer le binaire puisque le passage entre l’octal est le binaire est facile (voir plus loin)
Exemple:
(256,1)8 = 2 × 8² + 5 × 81 + 6 × 8° + 1 × 8-1
= 2 × 64 + 5 × 8 + 6 × 1 + 1× 0,125
= (147, 125)10

Système hexadécimal, b = 16
C’est également un système de numération dérivé du binaire mais dont la base comporte 16 symboles.
Puisqu’on n’a l’habitude que des dix chiffres décimaux, ceux qui manquent seront indiqués par les
premières lettres de l’alphabet : A, B, C, D, E, F
A = 10 B = 11 C = 12 D = 13 E = 14 F = 15
L’ensemble des chiffres de la base 16 est donc :
{0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F}
On emploie le système hexadécimal dans le traitement de l’information car les nombres qu’ils utilise
sont plus courts et plus lisibles que les nombres binaires
Exemple :
(3D1, E)16 = 3 × 16² + 13 × 161 + 1 × 16° + 14 × 16-1 = 3 ×256 + 13 × 16 + 1 × 1 + 14 × 0,0625
= 768 + 208 + 1 + 0,875
= (977,875)10

III. Passage d’une base à une autre


Il s’agit d’exprimer le même nombre N dans des bases différentes tel que : N = (an…,….a-m) b1 =
(cp…....c-k) b2.

Conversion décimal – binaire

1 Le système octal est quelquefois utilisé en calcul à la place de l'hexadécimal. Il possède le double avantage de ne pas requérir de
symbole supplémentaire pour ses chiffres et d'être une puissance de deux pour pouvoir grouper les chiffres.

3
Partie 0 : Systèmes de numération

a. Conversion de la partie entière


i.Par division successives
Pour passer du décimal au binaire Il suffit de faire une suite de divisions euclidiennes par 2. Le
résultat sera la juxtaposition des restes. Le reste de la dernière division sera le chiffre de poids le plus
fort.
Le schéma ci-dessous explique la méthode

Exemple : (77)10 = ?? en binaire


77 2
1 38 2
0 19 2
1 9 2
1 4 2
0 2 2
0 1 2

(77)10 = (1001101)2 MSB 1 0 Arrêt

ii.Par décomposition en puissance de 2


Dans cette méthode on décompose le nombre décimal à une suite de puissance de 2
n 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
2n 1 2 4 8 16 32 64 128 256 512 1024 2048

Pour décomposer : On retranche du nombre la plus grande puissance de 2 qui lui sera inférieure, on
refait la même opération pour les résultats des soustractions jusqu’on aura 0. Le nombre sera égal à la
somme des puissances de 2 soustraites
77 - 64 = 13 64 est la plus grande puissance de 2 qui est inférieure à 77
13 - 8 =5 8 est la plus grande puissance de 2 qui est inférieure à 13
5 - 4 =1
1 - 1 =0 Arrêt

77 = 64 + 8 + 4 + 1
= 64 + 0 + 0 + 8 + 4 + 0 + 1
6 5 4 3 2 1
= 1.2 + 0.2 + 0.2 + 1.2 + 1.2 + 0.2 + 1.20
= (1 0 0 1 1 0 1)2
= (1001101)2
Cette méthode peut être rapide si on connait les puissances de 2

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Partie 0 : Systèmes de numération

b. Conversion de la partie fractionnaire :


Le passage se fait par des multiplications successives de la fraction décimale par 2 :
Exemple : (77,90625)10 = ?? en binaire

On convertit d’abord la partie fractionnaire : 0,90625

0,90625 × 2= 1 ,8125 1
0,8125 × 2= 1,625 1
0,625 × 2= 1,25 1
0,25 × 2= 0,5 0
0,5 × 2= 1, 0 arrêt 1

Alors (0,90625)10 = (0,11101)2 d’où (77,90625)10 = (1001101,11101)2

0,24 × 2 = ,48 0
0,48 × 2 = ,96 0
0,96 × 2 = ,92 1
0,92 × 2 = ,84 1
0,84 × 2 = ,68 1
0,68 × 2 = ,36 1
0,36 × 2 = ,72 0
0,72 × 2 = ,44 1
0,44 × 2 = ,88 0
0,88 × 2 = ,76 1
0,76 × 2 = ,52 1
0,52 × 2 = ,04 1
etc.
Dans ce cas la partie fractionnaire ne s’annule jamais
(0, 24)10 = (0, 001111010111…)2

Conversion binaire – décimal

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Partie 0 : Systèmes de numération

La conversion binaire – décimal est très simple, il suffit de multiplier chaque bit par la puissance de 2
correspondante.
Exemple :
(1001010)2 = 1 0 0 1 0 1 0
× × × × × × ×
6 5 4 3 2 1
2 + 2 + 2 + 2 + 2 + 2 + 20
= 1×26 + 0×25 + 0×24 + 1×23 + 0×22 + 1×21 + 0×20
= 64 + 0 + 0 + 8 + 0 + 2 + 0
= (74)10
Pour la partie fractionnaire :
(0,1001)2 = 1 0 0 1
× × × ×
-1 -2 -3
2 + 2 + 2 + 2-4
= 1×0,5 + 0×0,25 + 0×0,125 + 1×0,0625
= 0,5 + 0 + 0 + 0,0625
= (0,5625)10

Conversion décimal – octal


La division se fait par 8
77 8
5 9 8
1 1 8
1 0 arrêt
Alors (77)10 = (115)8

conversion octal – décimal


On utilise la formule polynomiale :

(1435)8 = 1 4 3 5
× × × ×
83 + 82 + 81 + 80
3
= 1.8 + 4.82 + 3.81 + 5.80
= 512 + 256 + 24 + 5
= (797)10

Conversion décimal – hexadécimal


La division se fait par 16, mais il faut faire attention au nombre supérieur à dix
444 16
C = 12 27 16
B = 11 1 16
1 0 arrêt
(444)10 = (1BC)16

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Partie 0 : Systèmes de numération

Conversion hexadécimal – décimal


(1BC)8 = 1 B C
× × ×
162 + 161 + 160
2
= 1. 16 + 11. 161 + 12. 160
= 256 + 176 + 12
= (444)10

Conversion octal – binaire et inversement


Pour convertir un nombre octal A2 A1 A0 en binaire, il suffit donc de remplacer chaque chiffre Ai par
son équivalent à base 2, exprimé sur 3 bits.

( A2 A1 A0 )8
↓ ↓ ↓
( a8 a7 a6 a5 a4 a3 a2 a1 a0 )2

Exemple :
( 7 2 4 1 )8
↓ ↓ ↓ ↓
( 111 010 100 001 )2
Pour passer du binaire à l’octal, il faut subdiviser le nombre binaire à des groupes de 3 bits, et donner
l’équivalent de chacun en octal sur 3 bits.
Exemple :
( 10 101 000 010 )2
↓ ↓ ↓ ↓
( 2 5 0 2 )8
Le tableau ci-dessous présente les valeurs octales et leurs équivalents en binaire
octal 0 1 2 3 4 5 6 7
binaire 000 001 010 011 100 101 110 111

Conversion hexadécimal – binaire et inversement


Pour convertir un nombre hexadécimal A2 A1 A0 en binaire, il suffit donc de remplacer chaque chiffre
Ai par son équivalent à base 2, exprimé sur 4 bits (puisque 16 = 24 / 4 = nombre de bits dans chaque
groupe)

( A2 A1 A0 )16
↓ ↓ ↓
( a10 a9 a8 a11 a7 a6 a5 a4 a3 a2 a1 a0 )2

Exemple :
( F 1 4 A )16
↓ ↓ ↓ ↓

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Partie 0 : Systèmes de numération

( 1111 0001 0100 1010 )2

Pour passer du binaire à l’hexadécimal, il faut subdiviser le nombre binaire à des groupes de 4 bits, et
donner l’équivalent de chacun en hexadécimal sur 4 bits.
Exemple :
( 101 1011 1000 0010 )2
↓ ↓ ↓ ↓
( 3 B 8 2 )16

Convertis ce nombre en hexadécimal : 110111000,110111

( 0001 1011 1000 , 1101 1100 )2


↓ ↓ ↓
( 1 B 8 , D C )16
Les bits soulignés ont été ajouté pour compléter le groupe de 4 bits.
Alors (110111000,110111)2= (1B8,DC)16

Le tableau ci-dessous présente les valeurs hexadécimales et leurs équivalents en binaire


hexa 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 A B C D E F
binaire 0000 0001 0010 0011 0100 0101 0110 0111 1000 1001 1010 1011 1100 1101 1110 1111

Conversion d’un nombre de base 2k en base 2p


De façon générale, pour convertir un nombre binaire en un nombre à base 2p, on découpe ce nombre en
groupe de p bits et on transcrit directement celui-ci en base 2p. Les conversions 2k à 2p sont obtenues
en passant tout d’abord par la base 2. (N)2k → (N)2 → (N)2p

Exemple : conversion entre la base 8 et la base 16

( 7 1 4 6 )8
↓ ↓ ↓ ↓
( 111 001 100 110 )2
( 1110 0110 0110 )2
↓ ↓ ↓
( E 6 6 )16

IV. Opérations sur les nombres binaires


Les opérations arithmétiques simples telles que l'addition, la soustraction et la multiplication sont
faciles à effectuer en binaire.

Addition
L'addition en binaire se fait avec les mêmes règles qu'en décimale : On commence à additionner les
bits de poids faibles (les bits de droite) jusqu’au bit de poids le plus fort (celui tout à gauche). Lorsque

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Partie 0 : Systèmes de numération

la somme de deux bits de poids égaux dépasse la valeur la plus grande (1 dans le cas du binaire), on
reporte la retenue 1 au bit suivant (à gauche) et on inscrit 0 pour la somme des deux bits égaux.

Principes de base : Exemple :


1+0=1 Retenues 1 1 1 1 1

0+1=1 1 0 0 0 1 1 0 1 1
0+0=0 + 1 1 1 1 0 1 0
1 + 1 = 0 avec retenue 1 1 1 0 0 1 0 1 0 1
1 + 1 + 1 = 1 avec retenue 1

Soustraction
Dans la soustraction binaire, on procède comme en décimal.
Quand la quantité à soustraire est supérieure à la quantité dont on soustrait, on emprunte 1 au voisin de
gauche. En binaire, ce 1 ajoute 2 à la quantité dont on soustrait, tandis qu'en décimal, il ajoute 10.
Dans l'exemple suivant, on doit soustraire 0 - 1 pour le bit de droite. On emprunte 1 au bit de gauche et
on a maintenant 10 – 1 (2 - 1 = 1 en décimal). Ensuite on retranche cet emprunt du bit de gauche, et on
a 1 - 0 - 1 = 0.

1
1 0
- 0 1
emprunt 1

0 1

Principes de base : Exemple :


1 1 1
1-0=1 1 0 1 1 1 0
0 - 1 = 1 avec emprunt 1 - 1 1 0 1 1
0-0=0 1 1 1
1-1=0 0 1 0 0 1 1

Multiplication
Dans la multiplication binaire, on procède comme en décimal.
Principes de base : Exemple :
1×0=0 1 1 1 0
0×1=0 × 1 0 1
0×0=0 1 1 1 1 0
1×1=1 + 1 0 0 0 0
1 1 1 0
1 0 0 0 1 1 0

Division
La division binaire s'effectue à l'aide de soustractions et de décalages, comme la division décimale,
sauf que les digits du quotient ne peuvent être que 1 ou 0. Le bit du quotient est 1 si on peut soustraire
le diviseur, sinon il est égal à 0.

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Partie 0 : Systèmes de numération

Exemple :

Complément à 1
Le complément à 1 d'un nombre binaire s'obtient en changeant chaque 0 par un 1 et chaque 1 par un 0.
Voici une illustration de cette marche à suivre:
1 0 1 1 0 1 nombre binaire initial
0 1 0 0 1 0 complément de chaque bit pour obtenir le complément à 1
On dit que le complément à 1 de 101101 sur 6 bits est 010010. (il ne faut négliger le bit à gauche)
Le complément à 1 d’un nombre est donc l’inversion de chaque bit à l’aide de la fonction logique
NON. Complément à 1 de N : C1(N) = not (N)

Complément à 2
Le complément à 2 d'un nombre binaire s'obtient simplement en prenant le complément à 1 de ce
nombre et en ajoutant 1 au bit de son rang de poids le plus faible. Voici une illustration de cette
conversion pour le cas 1011012 = 4510.
1 0 1 1 0 1
C1 0 1 0 0 1 0
+ 1
0 1 0 0 1 1
Alors C2(101101) = 010011
Remarque le complément à 2 de 101101 est 010011, pas 10011
D’une manière générale C2(N) = C1(N) + 1

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