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I

EPIGRAPHE

«Grâce à la science, l’homme à l’instar de


Dieu continue l’œuvre de la création ; Les
machines finiront par tout faire, l’homme se
reposera.»

Pierre THEILLARD DE CHARDINTIEMAN


II

DEDICACE

A toi l’Eternel Dieu tout puissant, créateur du ciel et


de la terre, maitre des temps et des circonstances ; toi la source
de notre vie et la solution à tous nos problèmes pour ta grâce
envers nous jusqu’à cette période.

A vous mes très chers parents, Matthieu MUKENGE


BADIBANGA et Luvic BAKAMBAMBA KABONGO pour les
efforts, le soutien moral que financier et la bonne volonté dont
vous avez manifestés durant ce moment difficile à supporter ;
voici donc le fruit de votre travail.

Je dédie ce travail.

PASUA MUKENGE Jean-Patient.


III

AVANT PROPOS

Nous voici aujourd’hui à la fin de notre


premier cycle d’Etudes universitaires en sciences
informatiques à l’Université de Kananga « UNIKAN ».
Le mérite de ces trois années d’études supérieures est une
expression de divers efforts physiques et intellectuels.

Ainsi, nous serons ingrat si nous ne


remercions pas tout celui qui a contribué avec sa pierre si
petite soit-elle à la construction de cette édifice.

Notre gratitude s’adresse spécialement au


chef de travaux Freddy KATAYI NTUMBA, doyen de la
faculté d’informatique qui, malgré ses multiples
occupations, a accepté de nous orienter à l’élaboration de
ce travail ; qu’il reçoive ainsi l’hommage de notre
profonde reconnaissance.

Nos remerciements s’adressent aux autorités


académiques de l’Université de Kananga « UNIKAN »,
nous citons : le recteur Professeur Joseph NSABWA
TSHIABUKOLE, le secrétaire générale académique
professeur Bertin BEYA MALENGU, le secrétaire
générale administratif professeur Augustin LOKO
MFWAMBA et l’’administrateur de budget Chef des
travaux Jacques NTUMBA.

Nous ne pouvons pas oublier de remercier


aussi tous les enseignants qui nous ont donné cours tout
au long de ce parcourt, notamment l’’assistant Augustin
KALALA, l’’assistant Christian KAPUKU, l’’assistant
Jean-Jacques ODIA, l’’assistant Jean-Claude BUKASA, le
chef de travaux Nobla TSHILUMBA…pour leur bonne
volonté de nous encadrer.
IV

Que tous nos frères et sœurs qui ont senti


ensemble avec nous les mêmes douleurs de fraternité,
reçoivent ainsi notre profonde gratitude. Il s’agit de
Grâce NDEKENYA, Levi MAMBU, Dieudonné
BADIBANGA et Joseph KATOLA.

Que tous les membres de notre famille qui ont


contribué à la construction de cette étape de notre vie
d’étude sur cette terre, reçoivent ainsi nos sincères
remerciements ; nous citons : Théthté MBUYI, Mado
MALU, Ruphain KABUNDI, Prince KABAMBA et les
autres.

De leurs petits moyens matériels, financiers et


moraux, certaines personnes ont contribué sans s’y
attendre à notre lutte. Notre sympathie leur est
acquise : maman Marie-Louise BAMANAKUAMBA,
papa Pierre KASONGA etc.

Nous félicitons nos ami(e)s étudiant(e)s et


compagnons de lutte notamment Pascal KANKU, Astrid
MULEMBA, Boniface MULAMBA, Peter MUTEBA,
André MUTOMBO et les autres dont les noms ne figurent
pas sur cette liste.
1

O. INTRODUCTION

A l’heure actuelle, l’informatique est devenue une science au


carrefour de toutes les autres et synonyme des plusieurs vocabulaires
hermétiques dans la vie courante.

Les nouvelles technologies de l’information et de la


communication, illustrent ce phénomène; aujourd’hui, vu l’intérêt de
conserver les données, de limiter le nombre d’employés et pas mal, d’autres
raisons ont poussés les petites, moyennes et grandes entreprises à chercher
des solutions informatiques capables de répondre à leurs besoins.

Ainsi l’informatique apparait sans nulle doute comme étant


un nouveau monde d’organisation du travail, puisqu’elle répond
généralement le mieux aux exigences de l’homme dans son ressort grâce à
l’internet qui est un réseau informatique mondial accessible au public, un
réseau des réseaux, sans un centre névralgique, composé de millions des
réseaux aussi bien publiques que privés, universitaires, commerciaux, etc.

L’informatisation au sein des entreprises, peut conduire


d’important gains de productivité, mais aussi à une amélioration de la
qualité, éventuellement après une dématérialisation des documents. En
fonction des modèles employés, l’informatisation peut conduire à certains
dérivés productivistes, mais elle peut aussi être un bon outil de gestion de la
qualité.
Conscient de cette lourde tâche (celle de l’informatisation
d’un système), nous allons mener nos recherches sur le
thème : « Conception et réalisation d’une application informatique pour
la gestion des écoles. Cas de la coordination diocésaine des écoles
conventionnées catholique de Kananga ».

0.1. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Vu l’importance de doter à la coordination diocésaine des


écoles conventionnées catholique de Kananga d’un outil, qui lui permettra
de gérer automatiquement ses écoles, dont elle dispose d’un volume des
informations à traiter et surtout la quintessence du problème à résoudre, qui
est d’augmenter la rapidité, la fiabilité et la précision dans l’exécution des
taches, nous avons opté ce sujet.
2

Ainsi l’intérêt de ce sujet peut se dégager à trois niveaux :


 Sur le plan individuel, ce travail nous permet de mettre en pratique
toute la théorie acquise dans notre parcourt de ce premier cycle
d’études universitaires en informatique de gestion ;

 Sur le plan scientifique, cette étude aura à apporter une connaissance


supplémentaire dans la gestion des écoles en automatisant cette dite
gestion, qui, à la longue servira aussi aux futurs chercheurs comme
source de données fiables de référence à approfondir ;

 Sur le plan social, cette étude apportera un raisonnement de plus,


permettant au gestionnaire de cette coordination de gérer en toute
sécurité, rapidité et fiabilité les écoles.

0.2. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE

A. Problématique

La problématique est l’expression de la préoccupation


majeure qui circonscrit de façon précise et détermine avec l’absolue clarté
les dimensions essentielles de l’objet de l’étude que les chercheurs se
proposent de mener1.

La problématique appréhendée comme un cadre de la


réflexion est l’art d’élaborer et de poser directement des questions en vue de
les résoudre suivant un plan précis d’approches scientifique ou
philosophique. Elle est l’approche ou la perspective théorique que l’on
décide d’adopter pour traiter les problèmes posés par la question du départ.

Elle constitue une composante essentielle dans la préparation


d’un travail scientifique. Ce travail serait sans effet s’il ne fixe pas l’objectif
afin de répondre à un ensemble des questions que peut se poser tout
chercheur averti sur un sujet donné.

Ainsi par le concept « problématique » on entend


l’interrogation que pose une discipline ou que se pose un chercheur autour
d’un problème. Il s’agit pour le chercheur d’une solution à un problème.

1
WENU BECCKER, Méthode de Recherche Scientifique : Théorie et pratique, Lubumbashi, PUL, 2024, P.14.
3

Dans tout le cas, la problématique demeure une inquiétude qui provoque la


curiosité du chercheur à un dessein de comprendre, d’expliquer ou
d’interpréter les faits qui se présentent comme un problème à résoudre. C’est
l’art de poser les bonnes questions.

En effet, la majeure préoccupation du siècle en court semble


être le développement. Ainsi donc, de par ses connaissances et son
évolution, l’homme conçoit souvent l’idée d’améliorer ses conditions de vie
par rapport au passé. Ceci fait que différents auteurs économistes et hommes
politiques, ne parlent que du développement. De ce fait, les tendances sont
divergentes selon que l’on se retrouve dans un domaine plutôt que dans un
autre, politique, sociologique, économique, national, régional, etc. mais pour
y parvenir ? C’est la question importante que le chercheur se pose.

Eu égard à ce qui précède, quelques questions ont bien


attirées notre attention à savoir :
 L’ancien système présente-t-il des faiblesses ?
 Quels sont les critères pour identifier une école catholique dans la
société ?
 Que faut-il pour garantir la sécurité, la fiabilité et la rapidité dans la
gestion des écoles à la coordination diocésaine des écoles
conventionnées catholique de Kananga ?
 Comment déterminer avec exactitude et dans peu de temps le nombre
total des écoles catholiques et évaluer les activités mensuelles,
trimestrielles ou annuelles réalisées par chaque école et encore éviter
la perte de données ?

B. Hypothèse

Selon ALBARELO, l’hypothèse est une proposition de


réponse à la question posée. L’hypothèse tend généralement à formuler une
relation entre les faits. Elle est précise et constitue véritablement le fil
conducteur de la recherche puisque c’est également l’hypothèse qui suggère
les techniques de recherche à mettre en œuvre ultérieurement2.

D’âpres nous, une hypothèse est une proposition des réponses


aux questions que l’on se pose à propos de l’objet de la recherche,

2
ALBARELO, cité par prof Joseph NSABWA dans le cours de Méthode de Recherche Scientifique, G2 INFO,
UNIKAN 2020.
4

propositions formulées de telle sorte que l’observation et l’analyse puisse


fournir une réponse.

Dans l’hypothèse, le chercheur essaie de répondre d’une


façon anticipative aux différentes questions posées dans la problématique, en
lui servant ainsi de fil conducteur dans la recherche. Alors, nous allons tenter
de donner des réponses provisoires aux questions posées dans la
problématique :

 La gestion de ces écoles étant manuelle, il se pose des sérieux


problèmes d’efficacité et de la précision dans la manipulation des
informations concernant cette gestion. Ainsi il sera nécessaire de
mettre en place une application informatique qui permettra au
gestionnaire de cette coordination de gérer automatiquement leurs
écoles. Ce système pourra garantir la sécurité, la fiabilité et la rapidité
dans la gestion ;

 Une enquête sur terrain par les agents et une notification pourront
aider à l’identification des écoles catholique ;

 Le lancement de quelques requêtes dans la base de données pourra


nous informer sur le total des écoles conventionnées catholique et
leurs activités mensuelles, trimestrielles ou annuelles.

0.3. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHE

Au court de notre travail et dans le souci de bien conduire


notre recherche, nous avons fait recours aux certaines méthodes et
techniques.

A. Méthodes

La méthode est une marche rationnelle de l’esprit pour


arriver à la connaissance ou à la démonstration de la vérité. C’est un
ensemble des procédés et des moyens pour arriver à un but. C’est encore un
ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche
à étudier les vérités qu’elle poursuit, les démontrer et les vérifier3.

Ainsi pour l’élaboration de ce travail, nous avons opté pour


les méthodes suivantes :

3
KAFUNDA Pierre, Méthode de Recherche Scientifique, cours G2 INFO, UKA 2008.
5

 Méthode structuro-fonctionnelle : qui nous a inspiré le chemin à


suivre pour la conception d’une application informatique en vue de la
production d’un logiciel ;

 Méthode MERISE : nous a aidés à la conception d’un système


informatique par son approche Entité-Association, et à faire une
séparation entre les données et les traitements à travers : le modèle
conceptuel des données, le modèle logique des données et le modèle
physique des données ;

 Méthode analytique : qui nous a permis d’analyser chaque étape du


travail afin d’en sortir un jugement nous permettant de comprendre le
système et nous faciliter la tâche d’automatisation.

B. Techniques
Selon Pinto Roger et Grawitz M, les techniques sont des
outils mis à la disposition de la recherche et organisés par la méthode dans
un but bien déterminé. Elles sont limitées en nombre et commune à la
plupart des sciences4.
Pour enrichir notre travail scientifiquement, voici alors les
techniques que nous avons utilisées :

 Technique documentaire : nous a permis de parcourir un certain


nombre important des documents ayant trait à notre objectif
poursuivi ;
 Technique d’observation : indirectement, nous avons observé la
façon dont travailler les agents aux services ciblés par notre travail
dans le but de comprendre la coordination diocésaine des écoles
conventionnées catholique de Kananga ;
 Technique d’interview : celle-ci nous a servi à acquérir les
informations sur le système existant auprès des agents et cadres de la
coordination en vue de réaliser un système informatisé futur pour la
gestion des écoles.

4
PINTO R et GRAWITZ M, cités par WENU BECKER, op.cit.
6

0.4. DELIMITATION DU SUJET

Bien qu’ayant tiré la plus grande partie d’informations de la


coordination diocésaine des écoles conventionnées catholique de Kananga,
notre travail concerne spécifiquement la gestion des écoles catholiques de la
ville de Kananga, milieu que nous connaissons bien et dont les réalités
sociales ne nous sont pas étrangères.

Dans le temps, nous avons considéré la période de ces six


dernières années allant de 2015 à maintenant et cela compte tenu de la
disponibilité des données.

0.5. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l’introduction et la conclusion générales, notre travail


est subdivisé en trois chapitres :

Le premier chapitre définit les concepts de base ;


Le deuxième est consacré à l’analyse préalable ;
Le troisième concerne la conception et l’implémentation de
l’application informatique.
7

CHAPITRE I. DEFINITION DES CONCEPTS

I. Système d’information

Le vocabulaire système d’information est composé de deux


mots à savoir : système et information. Voilà pourquoi il est utile de
commencer par définir ces derniers dans le but de faciliter la compréhension
de ce dit concept.

A. Information

Une information est un message ou un ensemble des


messages naturels ou conventuellement pour exprimer ou communiquer
des idées et des faits ou traduire des événements5.

C’est un élément de connaissance, renseignements


élémentaires susceptibles d’être transmis et conservé grâce à un support et
un code.

B. Système

Un système est un ensemble d’éléments matériels ou


immatériels (ordinateurs, méthodes, règle, etc.)en interaction transformant
un processus des éléments (les entées et les sorties)6.

Un système est un ensemble d’éléments en interaction


dynamique poursuivant un but commun7.

Du point de vue structurel, le système comme entreprise ou


institution est organisé comme suit :

Sous-système de
pilotage ou décisionnel

Sous-système d’information

Sous-système opérant
Fig.1 : Sous-systèmes.

5
DELANETIE M, Informatique, méthode et technique numérique, PARIS, Delagrave, 1967, P.135.
6
MATHERON Jean Patrick, Comprendre MERISE, Outil conceptuel et organisation, éd.1994, P.8.
7
Joël de ROSNAY, cité par prof Jean Didier BATUBENGA dans le cours de MERISE, G3 INFO, UNIKAN 2021.
8

 Le système de pilotage : il est composé des dirigeants (responsables)


qui définissent les missions et objectifs (à court, moyen ou long
terme) de l’entreprise, organise l’emploi et des moyens, contrôle
l’exécution des travaux. Il assigne des objectifs à l’organisation,
analyse l’environnement et le fonctionnement interne à l’organisation,
contrôle le système opérant. Il est relié aux autres systèmes par des
flux d’informations internes ;

 Le système opérant : il a pour rôle d’exécuter les tâches, les


opérations selon les ordres du système de pilotage. Il est composé des
exécutants ;

 Le système d’information : il est l’ensemble d’informations et des


matériels pour traiter les informations au sein de l’entreprise
(système). C’est le trait d’union entre le système de pilotage et le
système opérant ; son rôle est de faciliter la prise des décisions.

Bref, le système d’information est l’ensemble des ressources


humaines, techniques et financières qui fournissent, utilisent, compilent,
traitent et distribuent l’information de l’organisation. Il alimente
l’organisation en informations d’origines diverses (internes ou externes). Il
est la passerelle obligatoire pour toutes les informations de l’entreprise.

I.2. Rôles d’un système d’information

Nous pouvons attribuer quatre rôles principaux à un système


d’information dans une organisation :

 Produire des informations légales ou quasi légales réclamées par


l’environnement socio-économique : les factures, les bulletins de
salaire,… sont quelques exemples de ce type d’informations ;

 Aider à la prise de décisions non programmables en fournissant aux


décideurs de l’organisation un ensemble d’informations brutes ou
modélisées ;

 Assurer la coordination de tâches en permettant les communications


entre les individus du système organisationnel ;

 Déclencher les décisions programmées.


9

I.3. Qualités d’un système d’information

Un système d’information doit couvrir quatre qualités


suivantes :

 La fiabilité : c'est-à-dire mettre à la disposition des utilisateurs les


résultats contenant moins d’anomalies et d’erreurs ;

 La rapidité : ici le système donne aux utilisateurs des informations en


temps réels ;

 La sécurité : les informations doivent être sécurisées, c’est-à-dire ne


doivent pas être à la portée de tout le monde ;

 La pertinence : le système d’information doit être capable de trier les


informations utiles.

I.4. système d’information automatisé

C’est un sous-système d’information dans lequel toutes les


transformations significatives d’informations sont effectuées par des
machines de traitement automatique des informations8.

Nous tenons à signaler qu’il y a deux raisons qui justifient


l’automatisation d’un système d’information :

 Simplification et amélioration du travail administratif (comptabilité,


facturation, paye etc.) par l’automatisation des procédures répétitives
et fastidieuses de simple exécution ;

 Aide à la décision : si la décision appartient à l’homme et non à


l’ordinateur, celui-ci peut fournir à celui-là des éléments qui lui
permettront de faire ses choix en disposant du maximum
d’informations possibles ; l’ordinateur pouvant sélectionner à grande
vitesse parmi sa grande masse de données mémorisées, les
informations utiles à la prise de décisions (aide au pilotage).

8
CHRISTOPHE NICOLE, cité par l’assistant Cédrick MUAMBA MUYA dans le cours de Méthode d’Analyse
Informatique, G2 INFO, UNIKAN 2020.
10

I.5. Base de données

I.5.1. définition

Une base de données est un ensemble structuré de données,


enregistrées sur des supports, accessibles par l’ordinateur, représentant les
informations du monde réel et pouvant être interrogées à four par une
communauté d’utilisateurs9.

I.5.2. qualités d’une base de données

Une base de données doit répondre aux qualités suivantes :

 L’exhaustivité : elle doit contenir l’ensemble des informations


nécessaires, sans exception ;

 La cohérence : lorsque les informations ne sont pas fraiches (mise à


jour), elles ne coulent plus à la réalité ; pour qu’une réponse à une
question soit de bonne qualité lorsqu’on consulte une base de données,
il faut plus précisément qu’elle soit à jour ou arrêtée à une date récente
connue et qu’elle soit non contradictoire. Ce qui veut dire que s’il
existe plusieurs questions dont les résultats peuvent se recouper ou
être identiques, qu’aucune des réponses ne soit en contradictoire avec
une autre ;

 La base de données doit être structurée pour faciliter les accès directs
et les accès par relations ;

 Le non redondance : l’information doit être unique dans la base de


données (éviter la duplication). Le non redondance est indispensable à
la cohérence.

I.5.3. utilité et rôle d’une base de données

Les bases de données jouent un rôle central et croissant dans


le développement des technologies de l’informatique. Leur rôle principal est
de servir à un système d’information décisionnel dans des entreprises.

C’est grâce à certains facteurs techniques et économiques que


cette progression géante dans ce domaine mystérieux se fait sentir.

9
KAFUNDA Pierre, Base de données à objet, L1 INFO, UKA 2015.
11

I.5.4. différents types des bases de données

Il existe actuellement quatre grands types des bases de


données à savoir :

 Les bases de données hiérarchiques : les données y sont décrites


sous formes d’arborescence ;

 Les bases de données réseaux : les données y sont décrites sous


forme des graphiques (segments pouvant être reliés avec d’autres
segments) ;

 Les bases de données déductives ou orientés-objet : les données y


sont décrites sous forme d’objets encapsulant les données et leurs
traitements ;

 Les bases de données relationnelles : les données y sont décrites


sous forme des lignes et des colonnes.

C’est ce dernier type des bases de données qui sera d’usage


dans ce travail.

Généralement, une base de données doit être contrôlé par un


système de gestion permettant d’effectuer la recherche, le tri ou la fusion de
données ainsi que toute autre requête relative à ces données.

L’étude détaillée de ce système de gestion sort du cadre de


cette section, et nous nous contenterons d’indiquer brièvement les
principales théories qui doivent être prises en charge par les bases de
données.

I.5.5. Manipulation d’une base de données

La manipulation d’une base de données concerne les outils et


les mécanismes qui permettent la communication entre une base de données
et les utilisateurs. Les systèmes de gestion de base de données offrent,
souvent sous diverses formes, des capacités de recherche, de création, de
modification et de suppression d’information. Une de ces formes est le
langage de manipulation de données (LMD) qui permet de manipuler les
données de la base de manière interactive. L’action à effectuer sur la base est
exprimée comme une phrase de ce langage (requête) qui est analysée et
exécutée par le système de gestion de base de données (SGBD).
12

Il faut souligner que ces derniers moyens de manipulations de


données d’une base cachent totalement à un utilisateur naïf, tous les aspects
relatifs à l’organisation physique de données sur le support de stockage. La
gestion physique de l’espace occupé par des données est assurée par le
système de gestion de base de données, assurant ainsi ce que l’on appelle
l’indépendance des données et des programmes.

I.6. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES (SGBD)

I.6.1. Définition

Un système de gestion de base de données est un logiciel de


haut niveau permettant aux utilisateurs de structurer, d’insérer, de modifier,
de rechercher de manière efficace les données spécifiques au sein d’une
grande quantité d’informations stockées sur mémoire secondaire, partagées
de manière transparente par plusieurs utilisateurs10.

Il est définit aussi comme un ensemble des programmes


permettant de créer, de modifier et de retrouver des enregistrements des
données à l’intérieur de la base de données.

I.6.2. Importance d’un SGBD

Un SGBD permet de décrire les données de base, de les


interroger et de les mettre à jour.

I.6.3. Caractéristiques d’un SGBD

 L’indépendance physique : il s’agit d’une structure transparente de


représentation des informations, c’est-à-dire que tous les aspects
matériels de la base de données n’apparaissent pas pour l’utilisateur.

 L’indépendance logique : une base de données doit évoluer sans


pour autant gêner l’utilisateur ;

 La manipulabilité : les utilisateurs qui ne connaissent pas la base de


données doivent décrire leurs requêtes sans se référer aux éléments
techniques de la base de données ;
 La rapidité des accès : grâce aux algorithmes des recherches rapides,
le système doit pouvoir donner des réponses aux requêtes des
utilisateurs le plus vite possible ;

10
GARDARIN Georges, Maitriser les bases de données, édition Eyrolles, PARIS 1993.
13

 L’administration centralisée : un SGBD doit permettre à son


administrateur de pouvoir manipuler les données, insérer des
éléments, vérifier son intégrité de façon centralisée ;

 La limitation de la redondance : afin d’éviter de gaspillage de


l’espace mémoire et les erreurs, une même donnée ne peut pas être
répétée autant de fois dans une base de données ;

 La vérification des intégrités : les données d’une base doivent être


accédées par plusieurs utilisateurs.

 La sécurité de données : un SGBD doit permettre de gérer les droits


d’accès de chacun des utilisateurs qui accèdent à ses informations.

I.6.4. Modèles d’un SGBD

Nous distinguons les modèles de SGBD suivants :


 Le modèle hiérarchique ;
 Le modèle réseau ;
 Le modèle relationnel ;
 Le modèle objet ;
 Le modèle déductif.

a. Le modèle hiérarchique

Dans ce modèle, les informations sont classées


hiérarchiquement selon une arborescence descendante.
Le schéma de ce modèle est donné par l’exemple de la
description d’un étudiant dans une université.
Etudiant

Nom Postnom Prenom Sexe Faculté

Promotion Département
Fig.2 : Schéma du modèle hiérarchique
14

b. Le modèle réseau

Ce modèle est conçu grâce au modèle hiérarchique, mais la


différence entre ces deux modèles est que le modèle réseau est le graphe
dont la structure n’est pas forcement arborescente dans le sens descendant.

Le schéma de ce modèle nous le représentons par l’exemple


de la description d’un agent dans une entreprise.

Agent

Nom Postnom Prénom Adresse Enfant

Commune Quartier Avenue Nom Age

Fig.3 : Schéma du modèle réseau

c. Le modèle relationnel

Dans ce modèle, les données sont stockées dans une table


composée des lignes et des colonnes, chaque ligne est un enregistrement
appelée « tuple ».

Nous utilisons notre exemple de la description d’un étudiant


dans une université pour représenter de ce modèle.

Matricule Nom Post nom Prénom Sexe Faculté Promotion


001GI KANKU TSHITALA Pascal M Droit G2
002GE NTUMBA PANU Justine F Economie L1
003LA MAMBU MUKENGE Levi M Agronomie L2
004LD PASUA NZAMBI Jean- M Informatique G3
Patient
15

d. Le modèle objet

Ici, les données sont stockées sous formes des classes ou


objet, chaque champ est une instance de la classe. Nous le représentons par
l’exemple de la description d’un agent.

Prénom
Nom Enfant
Adresse

Nom
Commune Age
Post nom
Quartier Avenue Prénom

Fig.4 : Schéma du modèle objet

e. Le modèle déductif

Dans ce modèle, les données sont stockées dans des tables


comme dans le modèle relationnel, mais la manipulation se fait par calcul de
prédicat.

Conclusion partielle

Dans ce chapitre, nous avons présenté les concepts de base


d’un système d’information, de la base de données ainsi que d’autres. C’est
ainsi que notre deuxième chapitre parlera sur l’analyse de la structure qui fait
l’objet de notre travail.
16

CHAPITRE II. ANALYSE PREALABLE

Introduction

L’étude préalable est un terme propre aux producteurs des


ouvrages ou des logiciels. Elle comprend plusieurs points à savoir :
diagnostic, opportunité sommaire et analyse détaillée. L’analyse préalable
est présentée sous forme de rapport et comporte les études, les relevés, les
diagnostics et les investigations qui ont été jugées nécessaires à l’élaboration
des propositions de mise en œuvre de la solution informatique. Elle
comprend aussi le descriptif, l’explicatif et le justificatif précisant les
dispositions de la conception architecturale et technique ; et des différentes
solutions envisageables qui sont nécessaires aux choix de principe, à la
conception du système.

Ce chapitre concerne précisément la présentation de


l’organisation de l’étude menée au sein de la coordination diocésaine des
écoles conventionnées catholique de Kananga. Le but de cette étude est de
recueillir les données qui vont servir à l’élaboration de diagnostic en vue de
la recherche et de choix de solution pour améliorer le système de gestion des
écoles dans cette dite coordination.

II.1. Présentation de l’entreprise

II.1.1. Historique

Ouvert dès les premiers instants qui avaient suivi la signature


de la convention de gestion scolaire, le 26 février 1977, le bureau de la
coordination diocésaine des écoles conventionnées catholique de Kananga
totalise aujourd’hui trente-huit ans d’existence.

Depuis sa création jusqu’à ce jour, ce bureau a connu six


animateurs que voici :

 De 1977 à 1988 : révérend père Joseph VAN KEERBERGHEN ;


 De 1988 à 2001 : Monsieur Constantin TSHIPAMBA KATALAYI ;
 De 2001 à 2003 : Révérend Abbé Augustin LOKO ;
 De 2003 à 2007 : Révérend Abbé Emmanuel MULOWAYI ;
 De 2007 à 2009 : Révérend Abbé Wylli NDAYE BITEKU ;
 De 2009 à ce jours : Monsieur Sylvain KASONGANGANDU.

Toutefois, par le souci évident de faciliter une gestion de


proximité eu égard à l’étendue de l’Archidiocèse et au nombre de ses écoles
17

(459 écoles, tous les niveaux confondus dont 341 mécanisées, 77 agréées et
non budgétisées et 41 opérationnelles), il a plu à Mgr l’Archevêque et
représentant légal de créer à partir de l’année 2014, des sous-coordinations
diocésaines dépendant entièrement de la coordination diocésaine de Kananga
dans les secteurs Pastoraux de Demba, Dibaya et Dimbelenge.

En revanche, vu leur nombre réduit, la gestion des écoles du


secteur Pastoral de Kazumba relève directement de la coordination
diocésaine de Kananga.

Et depuis le 18 avril 2015, une lettre de demande


d’agrégation de ces nouvelles structures a été adressée au Ministère de
tutelle.

II.1.2. Situation géographique

Le siège administratif de la coordination diocésaine des


écoles conventionnées catholique de Kananga est situé dans la paroisse
Notre Dame de sept douleurs, au quartier Kele Kele, localité NganduMayi à
l’angle des avenues Kinshasa et de la Révolution, dans la commune de
Katoka, ville de Kananga, province du Kasaï central en République
Démocratique du Congo.

II.1.3. Mission

La coordination diocésaine des écoles conventionnées


catholiques de Kananga est une structure d’enseignement du secteur
catholique, qui a pour but de coordonner et de superviser les activités des
écoles relevant de ce secteur afin de faire rapport à la coordination
provinciale.
18

II.1.4. Organigramme général


COORDINATION

SECRETARIAT

CELLULE CELLULE PEDAGOGIQUE


CELLULE DU PERSONNEL
ADMINISTRATION ET
FINANCES
COORDINATION
CHARGE DE
CONSEIL PEDAGOGIQUE
PLANIFICATION ET
COMPTABILITE
STATISTIQUES
CONSEIL DU
SECONDAIRE CHAUFFEURS

INFORMATIQUE CONSEIL DU
SENTINELLES
PRIMAIRE

Fig.5 : Organigramme général de la coordination


19

II.2. Etude de l’existant

II.2.1. Analyse structuro-fonctionnelle

Cette section présente les services opérationnels de la


coordination diocésaine des écoles conventionnées catholique de Kananga et
identifie tous les services concernés et leurs tâches principales par rapport à
la narration de circulation des informations.

A. Organigramme du domaine d’étude

COORDINATION

SECRETARIAT

CELLULE
CELLULE PEDAGOGIQUE
ADMINISTRATION ET
FINANCES
COORDINATION

CONSEIL PEDAGOGIQUE

INFORMATIQUE

CONSEIL DU
SECONDAIRE

CONSEIL DU
PRIMAIRE

Fig.6 : Organigramme spécifique de la coordination


20

B. Narration de circulation des informations

La coordination diocésaine des écoles conventionnées


catholique de Kananga compte 459 écoles dans tous les niveaux confondus.
Mais pour arriver à gérer toutes ces écoles, elle procède de la manière
suivante :

Chaque école (primaire ou secondaire) par l’intermédiaire de


son dirigeant (directeur ou préfet) rassemble tous les dossiers de ses
personnels enseignants et la liste de tous les élèves par option et par classe,
les amène à la coordination dans le service conseil pédagogique. Pour les
écoles primaires, les dossiers sont déposés du côté conseil du primaire tandis
que pour les écoles secondaires, les dossiers sont déposés du côté conseil du
secondaire. Une fois les dossiers déposés, les membres du service conseil
passent à l’étude de tous les dossiers déposés.

Après l’étude des dossiers, les membres du service conseil les


amènent dans l’administration. S’il y a des dossiers déclassés,
l’administrateur fait rapport aux dirigeants des écoles concernées pour leur
chercher les enseignant qui sont en ordre avec les conditions de l’église, de
l’Etat et de leur propre niveau professionnel c’est-à-dire être catholique, être
en ordre avec les sacrements et avoir un titre scolaire ou académique. Pour
les dossiers retenus, l’administrateur fait alors un autre rapport au
coordinateur pour son information. Le coordinateur ayant reçu le rapport, il
donne maintenant l’autorisation à l’administration pour l’élaboration de la
commission d’affectation en trois exemplaires pour chaque enseignant ;
l’administrateur aussi à son tour donne l’ordre au service informatique pour
saisir les commissions d’affectation.

L’opérateur de saisie ayant saisie toutes les commissions


d’affectation, il les donne à l’administration et cette dernière les envois aussi
chez le coordinateur pour la mise de la signature. Le coordinateur une fois
signé les commissions d’affectation, il les retourne dans l’administration et
l’administrateur archive une commission pour chaque enseignant dans son
bureau et les deux autres les donne aux dirigeants des écoles pour les
remettre à leurs enseignants chacun. Les dirigeants aussi à leur tour
archivent une copie et donnent une autre à l’enseignant

A la fin de chaque trimestre, les écoles sont obligées chacune


de déposer un rapport trimestriel à la coordination pour l’évaluation des
activités réalisées par trimestre.
21

Et enfin, à la fin de l’année, chaque école fait alors


maintenant un rapport annuel qu’elle déposera à la coordination et tous les
palmarès des lèves.

II.2.2. Analyse de postes de travail

Application : Gestion des écoles Analyste : Jean-Patient PASUA


Domaine : Informatique Date : le 14/07.2021

Fiche descriptive de postes de travail


N° Poste Tâches Moyen de Nombre Observation
effectuées traitement agents

Amener les - Traitement


01 Ecole dossiers, la liste 1 manuel rapide
des élèves, les
rapports
trimestriels et les
palmarès des
élèves au sein du
service conseil
- Réception des
02 Conseil dossiers ; - Stylo Traitement
pédagogique - Etude des - Papiers 6 manuel lent
dossiers ; - Registre.
- Envoi des
dossiers à
l’administration
.
- Réception des
dossiers de la
part du service - Stylo ;
03 Administration conseil ; - Papiers ; Traitement
- Elaboration des
- Ordinateur. 1 manuel rapide
rapports ;
- L’envoi de
l’ordre pour la
saisie de
commissions
d’affectation.
22

- Réception du
rapport de la Traitement
04 Coordinateur part de - Stylo ; 1 manuel rapide
l’administration - Papiers.
;
- La mise de la
signature sur
les
commissions
d’affectation.
Saisie de
05 Service commissions - Ordinateur ; Traitement
informatique d’affectation et - Imprimante ; 2 semi-
leur envoi dans - Scanner. informatique
l’administration lent

II.2.3. Analyse de moyens de traitement

Les moyens de traitement constituent les outils à évaluer dont


dispose la coordination diocésaine des écoles conventionnées catholique de
Kananga pour le traitement des informations et de la conduite de
l’informatisation de ses services.

A. Moyens matériels

Les moyens matériels utilisés dans cette coordination pour le


traitement des informations restent manuels et informatiques. Donc la
coordination utilise les papiers, les stylos ainsi que quelques ordinateurs,
imprimante et scanner.

Application : Gestion des écoles Analyste : Jean-Patient PAUA


Domaine : Informatique Date : le 14/07.2021

Fiche d’analyse de moyens matériels


N Matériel Marqu CP RA HDD OS Nbre Eta Date d’acquit
° e U M t
1 Ordinateur HP Intel 2Gb 500G Win 5 Bon 05/01/2015
b 10
2 Imprimant Laser - - - - 1 Bon 05/01/2015
e
23

3 Scanner HP - - - - 1 Bon 05/01/2015

B. Moyens humains

Application : Gestion des écoles Analyste : Jean-Patient PASUA


Domaine : Informatique Date : le 14/07.2021

Fiche d’analyse de moyens humains


Cod Nom, Post nom et Fonction Niveau Ancienneté
e Prénom d’étude
001 KASONGA NGANDU Coordinateur L2 12 ans
Sylvain
002 NTUMBA KALONGA Administrateur L2 -
Omer
003 MUJINGA KAMBA Opératrice de G3 -
Régine saisie
004 NTUMBA KAPUKU Opérateur de G3 -
Jonas saisie
005 KANKU MUTOMBO Membre du G3 -
François conseil
006 KAPUKU LUKUNA Membre du D6 -
David conseil
007 MULUMBA NTUMBA Membre du D6 -
Simon conseil
008 KAZADI KALUME Membre du G3 -
Jean conseil
009 BIJANU BUABUA Membre du D6 -
Justine conseil
010 KANKU KASONGA Membre du L2 -
Pierre conseil

II.2.4. Analyse de flux d’information

A. Schéma de circulation des informations


24

Ecole Conseil Administration Coordinateur Service


pédagogique informatique

Dos DOS.T
L.E RAP 2
TTT 02
TTT 03
TTT 01 RAP 1
RAP 2
DOS.T RAP. V

RAP 1 RAP. V

TTT O4

RAP. V

RAP. V

TTT 05

C.A

C.A

TTT 06

C.A

C.A

TTT 07
C.A. S
C.A. S

TTT 08

C.A. S

C.A. S

Fig.7 : Schéma de circulation des


informations
25

B. Les documents internes

Application : Gestion des écoles Analyste : Jean-Patient PASUA


Domaine : Informatique Date : le 14/07.2021

Fiche d’analyse des documents


N° Code Documen Infos Source Destination Observati
ts véhiculées on
- Les Plusieurs
01 DOS Dossiers identités Ecole Conseil exemplair
des pédagogique es
enseignants
02 L.E Liste des - Les noms Ecole Conseil 1
élèves des élèves pédagogique exemplair
e
- Les Plusieurs
03 DOS. Dossiers identités Conseil Administrati exemplair
T traités des pédagogique on es
enseignants
- L’évaluati -Ecole ; 2
04 RAP Rapport on de Administrati - exemplair
l’étude de on Coordinateu es
dossiers r
- Les
identités
des
Commissi enseignant 3
05 C.A on s; Administrati Ecole exemplair
d’affectati - La date on es
on d’embauch
e;
- L’école
d’embauch
e
26

C. Le flux d’information

1. Schéma de flux d’information

Conseil Service
pédagogique informatique
01
Ecole
02 05 06

07
03
Administration Coordinateur
04

Fig.8 : Schéma de flux d’informations

2. Matrice de flux

Vers Conseil Service


De Ecole pédago Administrati Coordinat informa
gique on eur tique
Ecole - Dossier - - -
s
Conseil - - Dossiers - -
pédagogique traités
- Rapport 1 ;
Administrati - Commissio - - Rapport 2 -
on n
d’affectati
on
Commissions
Coordinateu - - d’affectation - -
r signées
Service Commissions -
informatique - d’affectations -
saisies
27

II.3. Diagnostic du système existant

Cette étape a pour objectif de faire l’étude du système


existant afin de relever les défauts et proposer les pistes de solution
permettant l’amélioration du système.

II.3.1. Aspect positifs

 Une bonne collaboration avec ses écoles dont elle gère ;

 Le respect de l’heure du travail par les agents qui y œuvrent ;

 Cette coordination lutte contre l’analphabétisme sur la ville de


Kananga car elle est parmi les coordinations qui comptent beaucoup
d’écoles sur l’étendue la ville de Kananga.

II.3.2. Aspects négatifs

 Lenteur dans l’étude de dossiers des enseignants par les membres du


service conseil et dans la remise de commissions d’affectation ;

 La me gestion de données due au traitement manuel des informations


qui provoque la perte des données.

II.3.3. Solutions proposées

a. Solution de réaménagement

La coordination diocésaine des écoles conventionnées


catholique de Kananga doit ajouter un certain nombre des agents dans le
service conseil pour faciliter l’étude rapide de dossiers des enseignant ; et
dans le service de saisie pour la livraison rapide de commissions
d’affectation.

b. Solution informatique

En termes de solution informatique, nous suggérons ce qui


suit à la coordination diocésaine des écoles conventionnées de Kananga :

 L’achat d’équipements informatiques pour ainsi changer la façon de


travailler au sein de cette coordination ;

 La mise en place d’un système informatique automatisé pour la


gestion des écoles qui offrira :
28

La fiabilité et sécurité des informations ;


L’automatisation de l’opération d’enregistrement et
d’archivage des listes des enseignants et des élèves de
chaque école catholique de la ville de Kananga ;
L’obtention de résultats dans un bref délai ;
L’accès rapide aux données.

II.4. Modélisation conceptuelle

Nous nous intéresserons dans cette partie au côté conceptuel


de la spécification des besoins, nous mènerons une présentation de la
conception des différentes parties du système menant à la réalisation du
projet suivant la méthode MERISE.

II.4.1. Présentation de la méthode MERISE

La conception d’un système d’information n’est pas évidente


car il faut réfléchir à l’ensemble de l’organisation que l’on doit mettre en
place. La phase de la conception nécessite des méthodes permettant de
mettre en place un modèle sur lequel on va s’appuyer.

La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle


d’une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels on s’intéresse.
Ce type de méthode est appelée analyse. Il existe plusieurs méthodes
d’analyse, mais dans ce travail, nous avons préféré utiliser la méthode
MERISE.

Le but de cette méthode est de nous faire arriver à concevoir


un système d’information. Elle est basée sur la séparation des données et des
traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques. La
séparation des données et des traitements assure une longévité au modèle.

II.4.2. modèle conceptuel de données MCD

Le MCD est un modèle abstrait de la méthode MERISE


permettant de représenter l’information d’une manière compréhensible aux
différents services de l ‘entreprise. Il permet une description d’entités et
d’association11.

Ce modèle met en évidence les entités, leurs attributs, les


associations et les contraintes entre ces entités pour un domaine donné.

11
Jean-Luc BAPTISTE, Merise, Guide pratique (nouvelle édition),Eni éditions.
29

a. Entité est la représentation d’un élément matériel ou immatériel ayant


un rôle dans le système que l’on désir décrire. On appelle classe
d’entités ou type d’entités un ensemble composé d’entités de même
type, c’est-à-dire dont la définition est la même.

b. Une association ou relation est une représentation d’un lien entre


plusieurs entités, lien sémantique où chaque entité liée joue un rôle
déterminé.

c. Un attribut ou propriété est une donnée élémentaire qui qualifie


l’entité ou l’association à laquelle elle se rapporte.

d. Un identifiant est une propriété particulière qui permet d’identifier de


façon unique une occurrence de l’entité.
30

II.4.2.1. Présentation du modèle conceptuel de données

PERSONNELS
matricule_pers
nom
postnom
prenom
sexe
lieu_naissance
date_naissance
etat_civil
(1,1) nationalite
nbr_enfants
profession
qualification
date_embauche

Engager

ELEVES
ECOLES
Ecole
matricule
code_ecole nom
nom_ecole postnom
Adresse_ecole prenom
(1,n) sexe
nbr_eleve
nbr_personnels lieu_naissance
(1,n) Frequenter (1,1)
filieres date_naissance
nbr_classes etat_civil
date_enregistrement nationalite
responsable
promotion
filiere

Fig. 9 : Schéma du modèle conceptuel de données


31

II.4.3. Le modèle conceptuel de traitement MCT

Le MCT décrit les traitements effectués sur les données et


plus précisément toutes les activités découlant des échanges entre le domaine
étudié et le monde extérieur (son environnement). Il exprime donc ce que
fait le domaine sans se poser le problème de savoir qui le fait, quand et
comment (abstraction faite sur l’organisation et le choix technologiques)12.

Dans ce modèle, nous allons représenter comment un acteur


de l’organisation réagit quand il reçoit le message et quelle opération il
effectue. Un modèle conceptuel de traitement comprend les messages et
leurs informations, les opérations conceptuelles et leurs intervenants de
l’entreprise. Celui-ci reflète le quoi de l’activité de l’entreprise et le
comment spécifique

II.4.3.1. Présentation du modèle conceptuel de traitement


Dossiers et listes des élèves

Réception de dossiers et listes des élèves

Dossiers et listes reçus

Traitement des dossiers

Dossiers déclassés Dossiers retenus

Rapport donné aux écoles Rapport donné à l’administration

Saisie des commissions d’affectation

Toujours

Commissions d’affectation
saisie et signées
Fig.10 : Schéma du modèle conceptuel de traitement
12
Michel DIVINE, Parlez-vous MERISE, les éditions du phénomène, 2008.
32

Conclusion partielle

Dans ce chapitre nous avons présenté les différents points


nécessaires de la structure et les différents tableaux ainsi que leurs structures
de fonctionnements. Pour finir nous avons montré les points forts et
faiblesses de système existant qui est manuel.

Notre proposition de solution s’approche à mettre en place un


système qui est informatique ; par-là, une étude est menée pour la bonne
amélioration de la structure. Et elle sera plus fondée sur les méthodes de
modélisations et implantation de l’application.
33

CHAPITRE III. CONCEPTION ET IMPLEMENTATION

Introduction

Dans le but de réaliser notre application, nous devons


concevoir un système d’organisation pour gérer les écoles catholiques de la
ville de Kananga.

La mise en place d’une application informatique est le fait de


la traduire et de l’intégrer dans un système par un langage compréhensible et
facilement manipulable par ses utilisateurs.

III.1. Présentation du modèle logique de données MLD

Le modèle logique de données est la traduction du schéma


conceptuel en un schéma propre à une base de données. Ainsi pour le faire
on doit respecter certaines règles à savoir :

 Toute entité devient table dans laquelle les attributs deviennent des
colonnes. L’identifiants de l’entité constitue alors la clé primaire de
la table ;

 Dans le cas de deux entités reliées par une association de type (1,n)
la relation reliant ces deux entités devient une table, tandis que dans
le cas de deux entités reliées par une association de type (1,n) et (1,1)
on ajoute une clé étrangère dans la table coté (1,n) ou (0,n).
34

PERSONNELS
matricule_pers
nom
postnom
prenom
sexe
lieu_naissance
date_naissance
etat_civil
nationalite
nbr_enfants
profession
qualification
date_embauche
∞ code_ecole

ELEVES
ECOLES
1
matricule
code_ecole nom
nom_ecole 1 postnom
Adresse_ecole prenom
nbr_eleve sexe
nbr_personnels lieu_naissance
filieres date_naissance
nbr_classes etat_civil
date_enregistrement nationalite
responsable
promotion
filiere
∞ code_ecole

Fig.11 : Schéma du modèle logique de données


35

III.2. Présentation du modèle physique de données MPD

Le MPD décrit comment les données sont stockées sur la


mémoire de la machine. Il est directement conditionné par les
caractéristiques du SGBD (type de données et domaines des attributs) et du
matériel utilisé13.

Dans le MPD, les relations deviennent des fichiers des


données, les attributs deviennent des champs, les clés deviennent des clés
primaires, clés secondaires, clés étrangère. Le domaine de chaque champ, et
éventuellement la taille du champ, devront être déterminées.

PERSONNELS
Champs Type Taille Observation
matricule_pers Numérique 5 Clé primaire
om Texte 20
ost nom Texte 20
Renom Texte 20
Sexe Caractère 1
lieu_naissance Texte 12
date_naissance Date 30
etat_civil Texte 10
Nationalite Texte 20
nbre_enfant Numérique 2
Profession Texte 15
Qualification Texte 6
Date_embauche Date 30
Code_ecole Numérique 15 Clé secondaire

13
Michel DIVINE, op.cit.
36

ELEVES
Champs Type Taille Observation
Matricule Numérique 5 Clé primaire
nom Texte 20
post nom Texte 20
Prenom Texte 20
Sexe Texte 10
Lieu_naissance Texte 20
Date_naissance Date 12
Etat_civil Texte 10
Nationalité Texte 30
Responsable Texte 20
Promotion Numérique 1
Filiere Texte 15
Code_ecole Numerique 15 Clé secondaire

ECOLES
Champs Types Taille Observation
Code_ecole Numérique 5 Clé primaire
nom Texte 30
Adresse_ecole Texte 80
nbr_eleve Numérique 6
nbr_personnels Numérique 6
Filieres Texte 20
Nbr_classes Numérique 5
Date_enregistrement Date 30

III.3. Présentation de l’application

Pour implémenter notre application, nous nous sommes


servis du langage de programmation C-sharp dans Visual studio2010 et du
logiciel d’application Access 2010 comme système de gestion de base de
données.

a. Présentation de la base de données

A ce qui concerne notre base de données, nous avons créé les


différentes tables qui permettront le stockage des informations nécessaires.
37

Ainsi, voici le modelé de données que nous avons obtenues à


l’aide de ce dernier.

Fig.12 : Schéma de la base de données


38

b. Quelques interfaces de l’application


 L’interface du lancement de l’application

Cette interface apparait lors du chargement de l’application,


avec une barre de progression pour montrer à l’utilisateur que l’ouverture de
l’application est en court.

 L’interface d’accueil

Elle permet de se connecter à l’application. Dans cette


interface, l’utilisateur peut aussi avoir l’accès à la modification du mot de
passe. Lorsqu’il clique sur le bouton « modifier le mot de passe », on lui
présente l’interface qui suit :
39

En cliquant sur le bouton « modifier», le mot de passe sera


modifié dans la base de données.

 L’interface des menus

Elle permet à l’utilisateur de parcourir différents menus de


l’application, tels que, lorsqu’il clique sur « Mise à jours», il a la possibilité
de faire les opérations de mise à jour pour certains fichiers mentionnés dans
l’interface.
40

 L’interface de mise à jour de l’école

Elle permet de faire la mise à jour des écoles.

 L’interface de mise à jour du personnel

Elle permet de mettre à jour les personnels des écoles.


41

 L’interface de mise à jour de l’élève

Elle permet de mettre à jour les élèves des écoles.

c. Quelques codes sources


using System;
usingSystem.Collections.Generic;
usingSystem.ComponentModel;
usingSystem.Data;
usingSystem.Data.OleDb;
usingSystem.Drawing;
usingSystem.Linq;
usingSystem.Text;
usingSystem.Windows.Forms;

namespace GESTION_ECOLES
{
publicpartialclassConnexion : Form
{
publicConnexion()
{
InitializeComponent();
}

privatevoid button1_Click(objectsender, EventArgs e)


{
{
DialogResult A = MessageBox.Show("Voulez-vous vraiment vous connectez à cette
application?", "CONNEXION", MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Question);
if (A == DialogResult.Yes)
42

{
stringch = @"Provider=Microsoft.ACE.OLEDB.12.0; Data
Source=C:\GESTION_ECOLES\BDDGESTION_ECOLES.accdb";
OleDbConnection con = newOleDbConnection(ch);
con.Open();
if (textBox1.Text != ""&& textBox2.Text != "")
{

OleDbDataAdapter da = newOleDbDataAdapter("select *from ADMINISTRATEUR where


Utilisateur='" + textBox1.Text + "' AND NouveauMotdePasse='" + textBox2.Text + "'", con);

DataTable Table = newDataTable();

da.Fill(Table);

if (Table.Rows.Count> 0)
{
Menus f = newMenus();
f.Show();
this.Hide();
}
else
{
MessageBox.Show("Mot de passe incorrect! Veuillez verifier l'utilisateur ou le mot de passe
SVP!", "CONNEXION", MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Error);
}

}
else
{
MessageBox.Show("Veuillez saisir le mot de passe et mentionner l'utilisateur SVP!",
"CONNEXION", MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Exclamation);

}
con.Close();

}
if (A == DialogResult.No)
{
Connexion con = newConnexion();
con.Show();
this.Hide();
}

}
}

privatevoid button2_Click(objectsender, EventArgs e)


{

DialogResult a = MessageBox.Show("Voulez-vous vraiment Quitter cette application?",


"QUITTER", MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Question);
if (a == DialogResult.Yes)
{
Application.Exit();
}
43

if (a == DialogResult.No)
{
Connexion c = newConnexion();
c.Show();
this.Hide();
}
}

privatevoid checkBox1_CheckStateChanged(objectsender, EventArgs e)


{
if (checkBox1.Checked == true)
{
textBox2.UseSystemPasswordChar = false;
}
if (checkBox1.Checked == false)
{
textBox2.UseSystemPasswordChar = true;
}
}

privatevoid textBox1_TextChanged(objectsender, EventArgs e)


{

privatevoid checkBox1_CheckedChanged(objectsender, EventArgs e)


{

privatevoidConnexion_Load(objectsender, EventArgs e)
{
checkBox1.Checked = false;
}

privatevoid button3_Click(objectsender, EventArgs e)


{
MODIFICATION_MOT_DE_PASSE M = newMODIFICATION_MOT_DE_PASSE();
M.Show();
this.Hide();
}
}
}
privatevoidbtn_modifier_Click(objectsender, EventArgs e)
{
try
{
DialogResult a = MessageBox.Show("Voulez-vous vraiment modifier ces données?",
"MODIFICATION", MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Question);
if (a == DialogResult.Yes)
{
if (textBox1.Text != ""&& textBox2.Text != ""&& textBox3.Text != ""&& textBox4.Text !=
""&& textBox5.Text != ""&& textBox6.Text != ""&& textBox7.Text != ""&& comboBox1.Text
!= ""&& textBox10.Text != ""&& textBox8.Text != ""&& textBox9.Text != ""&&
comboBox2.Text != "")
{
string sexe = "";
44

if (radioButton1.Checked == true)
{
sexe = radioButton1.Text;
}
if (radioButton2.Checked == true)
{
sexe = radioButton2.Text;
}
Stringch = @"Provider=Microsoft.ACE.OLEDB.12.0; Data
Source=C:\GESTION_ECOLES\BDDGESTION_ECOLES.accdb";
OleDbConnection con = newOleDbConnection(ch);
OleDbCommand cmd = newOleDbCommand("update ELEVES set matricule='" + textBox1.Text
+ "',nom='" + textBox2.Text + "',postnom='" + textBox3.Text + "',prenom='" + textBox4.Text +
"',sexe='" + sexe + "',lieu_naissance='" + textBox5.Text + "',date_naissance='" + textBox6.Text +
"',etat_civil='" + comboBox1.Text + "',nationalite='" + textBox7.Text + "',responsable='" +
textBox8.Text + "',promotion='" + comboBox2.Text + "',filiere='" + textBox9.Text +
"',code_ecole='"+textBox10.Text+"' Where matricule='" + textBox1.Text + "'", con);

con.Open();
OleDbDataReaderdr = cmd.ExecuteReader();
con.Close();
MessageBox.Show("Modification effectuée avec succès ", "MODIFICATION",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Information);
textBox1.Text = "";
textBox2.Text = "";
textBox3.Text = "";
textBox4.Text = "";
textBox5.Text = "";
textBox6.Text = "";
textBox7.Text = "";
comboBox1.Text = "";
comboBox2.Text = "";
textBox8.Text = "";
textBox9.Text = "";
textBox10.Text = "";

textBox1.Focus();

}
else
{
MessageBox.Show("Veuillez remplir tous les champs SVP!", "ERREUR",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Error);
}

if (a == DialogResult.No)
{
ELEVE E = newELEVE();
E.Show();
this.Hide();
}

dataGridView1.DataSource = liste_Eleve();
45

}
catch (Exception)
{
MessageBox.Show("Matricule non retrouvé!", "ERREUR", MessageBoxButtons.OK,
MessageBoxIcon.Error);
}

}
privatevoidbtn_enregistrer_Click(objectsender, EventArgs e)
{
try
{
DialogResult a = MessageBox.Show("Voulez-vous vraiment enregistrer ces informations?",
"ENREGISTREMENT", MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Question);
if (a == DialogResult.Yes)
{
if (textBox1.Text != ""&& textBox2.Text != ""&& textBox3.Text != ""&& textBox4.Text !=
""&& textBox5.Text != ""&& textBox6.Text != ""&& textBox7.Text != ""&& comboBox1.Text
!= ""&& textBox10.Text != ""&& textBox8.Text != ""&& textBox9.Text != ""&&
comboBox2.Text != "")
{
string sexe = "";
if (radioButton1.Checked == true)
{
sexe = radioButton1.Text;
}
if (radioButton2.Checked == true)
{
sexe = radioButton2.Text;
}

Stringch = @"Provider=Microsoft.ACE.OLEDB.12.0; Data


Source=C:\GESTION_ECOLES\BDDGESTION_ECOLES.accdb";
OleDbConnection con = newOleDbConnection(ch);

OleDbCommand cmd = newOleDbCommand("insert into ELEVES values('" + textBox1.Text +


"','" + textBox2.Text + "','" + textBox3.Text + "','" + textBox4.Text + "','" + sexe + "','" +
textBox5.Text + "','" + textBox6.Text + "','" + comboBox1.Text + "','" + textBox7.Text + "','" +
textBox8.Text + "','" + comboBox2.Text + "','" + textBox9.Text + "', '" + textBox10.Text + "') ",
con);

con.Open();
OleDbDataReaderdr = cmd.ExecuteReader();

con.Close();
MessageBox.Show("Elève enregistré avec succès ", "ENREGISTREMENT",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Information);
textBox1.Text = "";
textBox2.Text = "";
textBox3.Text = "";
textBox4.Text = "";
textBox5.Text = "";
textBox6.Text = "";
textBox7.Text = "";
comboBox1.Text = "";
comboBox2.Text = "";
textBox8.Text = "";
46

textBox9.Text = "";
textBox10.Text = "";

textBox1.Focus();

}
else
{
MessageBox.Show("Veuillez remplir tous les champs SVP!", "ERREUR",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Error);
}
}

dataGridView1.DataSource = liste_Eleve();

if (a == DialogResult.No)
{
ELEVE E = newELEVE();
E.Show();
this.Hide();
}
}
catch (Exception)
{
MessageBox.Show("Ce matricule est déjà attribué à un autre enregistrement SVP!", "ERREUR",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Error);
}
}

privatevoidELEVE_Load(objectsender, EventArgs e)
{

}
// création de la table Data gridView
publicDataTableliste()
{
stringch = @"Provider=Microsoft.ACE.OLEDB.12.0; Data
Source=C:\GESTION_ECOLES\BDDGESTION_ECOLES.accdb";
OleDbConnection con = newOleDbConnection(ch);
con.Open();
OleDbDataAdapter da = newOleDbDataAdapter("select *from ELEVES ", con);

DataTable Table = newDataTable();

da.Fill(Table);
con.Close();
return Table;
}

privatevoid btn_supprimer_Click_1(objectsender, EventArgs e)


{
try
{
47

DialogResult a = MessageBox.Show("Voulez-vous vraiment supprimer cet enregistrement?",


"SUPPRESSION", MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Question);
if (a == DialogResult.Yes)
{
if (textBox1.Text != "")
{
stringrech = textBox1.Text;

Stringch = @"Provider=Microsoft.ACE.OLEDB.12.0; Data


Source=C:\GESTION_ECOLES\BDDGESTION_ECOLES.accdb";
OleDbConnection con = newOleDbConnection(ch);
OleDbCommand cmd = newOleDbCommand("deletefrom ELEVES Where matricule='" + rech +
"'", con);

con.Open();
OleDbDataReaderdr = cmd.ExecuteReader();
con.Close();
MessageBox.Show("Enregistrement supprimé avec succès ", "SUPPRESSION",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Information);
textBox1.Text = "";

else
{
MessageBox.Show("Veuillez inserer le matricule pour supprimer SVP!", "ERREUR",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Error);
}
}
if (a == DialogResult.No)
{
ELEVE E = newELEVE();
E.Show();
this.Hide();
}
dataGridView1.DataSource = liste_Eleve();
}
catch(Exception)
{

MessageBox.Show("Matricule non retrouvé!", "ERREUR", MessageBoxButtons.OK,


MessageBoxIcon.Error);
}
}

privatevoid label14_Click(objectsender, EventArgs e)


{

privatevoid button4_Click(objectsender, EventArgs e)


{
try
{
DialogResult a = MessageBox.Show("Voulez-vous vraiment rechercher cette information?",
"RECHERCHE", MessageBoxButtons.YesNo, MessageBoxIcon.Question);
48

if (a == DialogResult.Yes)
{
if (textBox1.Text != "")
{

dataGridView1.DataSource = Recherche_Eleve();
textBox1.Text = "";
}
else
{
MessageBox.Show("Veuillez inserer le matricule pour rechercher SVP!", "ERREUR",
MessageBoxButtons.OK, MessageBoxIcon.Error);
}
}
if (a == DialogResult.No)
{
ELEVE E = newELEVE();
E.Show();
this.Hide();
}
}
catch(Exception)
{
MessageBox.Show("Matricule non retrouvé!", "ERREUR", MessageBoxButtons.OK,
MessageBoxIcon.Error);
}
}
//Creation de la table de recherche de l'enseignant
publicDataTableRecherche()
{
stringch = @"Provider=Microsoft.ACE.OLEDB.12.0; Data
Source=C:\GESTION_ECOLES\BDDGESTION_ECOLES.accdb";
OleDbConnection con = newOleDbConnection(ch);
con.Open();
OleDbDataAdapter da = newOleDbDataAdapter("select *from ELEVES where matricule='" +
textBox1.Text + "' ", con);

DataTable Table = newDataTable();

da.Fill(Table);
con.Close();
return Table;

privatevoidbtn_rechercher_Click(objectsender, EventArgs e)
{
Menus M = newMenus();
M.Show();
this.Hide();
}
}
}
49

Conclusion partielle

Dans ce chapitre nous avons présenté les différentes


interfaces de notre application ainsi que les codes sources qui ont fait à ce
que cette application puisse fonctionner normalement et aussi l’interface de
la base de données relationnelle sous Access pour la gestion des écoles
conventionnées catholique dans la coordination diocésaine de Kananga.
50

CONCLUSION GENERALE

En guise de conclusion, nous voici arrivé au terme de notre


travail dont l’objectif était de concevoir et réaliser une application
informatique pour la gestion des écoles conventionnées catholiques de la
ville de Kananga.

Ce travail a été mis sur pied par le biais des différentes


méthodes et techniques de recherche et de conception informatique étudiées
au court de notre formation de ce premier cycle en sciences informatiques.

Il a été question dans ce travail, de présenter les différentes


étapes de la conception et celles de la réalisation d’une application
informatique. Pour ce faire, nous avons procédé en premier lieu, par
l’explication des concepts des bases, deuxièmement par l’étude préalable,
troisièmement nous avons ainsi conçu notre application grâce au langage de
programmation C-Charp dans Visual Studio 2010 ; et notre base de données
nous l’avons conçue au moyen du SGBD Access 2010.

A travers cette œuvre scientifique, nous espérons avoir atteint


l’objectif de notre formation académique de ce premier cycle en sciences
informatiques.

Eu égard à ce qui précède, bien que toute œuvre scientifique


ne manque pas d’erreurs, nous espérons que la démarche poursuivie pour
l’élaboration du présent travail apportera un plus à la coordination
diocésaine des écoles conventionnées catholique de Kananga dans la gestion
de ces écoles, et nous croyons aussi que cette dernière exploitera cette
application pour l’amélioration de la qualité de ses services.
51

BIBLIOGRAPHIE

a. Ouvrages

1. DELANETIE M, Informatique, méthode et technique numérique,


PARIS, Delagrave, 1967, P.135.

2. GARDARIN Georges, Maitriser les bases de données, édition


Eyrolles, PARIS 1993.

3. Jean-Luc BAPTISTE, Merise, Guide pratique (nouvelle


édition),Eni éditions.

4. MATHERON Jean Patrick, Comprendre MERISE, Outil


conceptuel et organisation, éd.1994, P.8.

b. Notes des cours

1. Prof. BATUBENGA Jean Didier, cours de MERISE, G3 INFO,


UNIKAN 2021.

2. Prof. KAFUNDA Pierre, Méthode de Recherche Scientifique,


cours G2 INFO, UKA 2008.

3. Prof. KAFUNDA Pierre, Base de données à objet, L1 INFO, UKA


2015.

4. MUAMBA MUYA Cédrick, cours de Méthode d’Analyse


Informatique, G2 INFO, UNIKAN 2020.

5. Prof. NSABWA Joseph, cours de Méthode de Recherche


Scientifique, G2 INFO, UNIKAN 2020.

6. WENU BECCKER, cours de Méthode de Recherche Scientifique :


Théorie et pratique, G2 Droit, UNILU 2024.

c. Sites internet

1. www.memoireonline.com: consulté le 10/03/2021 à 19h00’.

2. www.commentçamarche.com: consulteé le 02/05/2020 à 20h10’.

3. www.laurent-audibent.developpez.com:consulté le 29/07/2020 à
21h30’.

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