Biomateriaux Roneo Empreinte
Biomateriaux Roneo Empreinte
Biomateriaux Roneo Empreinte
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Les formules chimiques ne sont pas à apprendre, en revanche classification et normes +++
Spoil de notre vie professionnelle : On va de moins en moins utiliser les matériaux car on utilise de plus en
plus l’empreinte optique Mais ceci ne fera pas l’objet du cours
Définition générales:
« Marque pratiquée en creux ou en relief par l'objet que l'on presse sur une surface »
« Trace naturelle laissée par un contact, par la pression d’un corps sur une surface »
« Relevé de la forme de quelque chose avec un matériau plastique; le moulage ainsi obtenu »
En odontologie:
« Moule d'un maxillaire permettant un moulage qui servira à la confection des travaux de prothèses »
L’empreinte dentaire est une technique très ancienne car dès l’antiquité on a retrouvé des traces de prothèses
dentaires mais le travail était directement réalisé dans la bouche des patients alors qu’aujourd’hui les prothèses
sont faites en laboratoire grâce aux empreintes.
Plus tard, des patrons ont été utilisé pour limiter le travail sur le patient et c’est au 18ème siècle que la première
description de la technique d’empreinte a été réalisé par Philippe Pfaff avec les différentes étapes de
d’empreintes en cire puis la coulée et la réalisation de la prothèse.
Depuis, grâce à la découverte et l’utilisation de nouveaux matériaux, les techniques d’empreintes ont évolué et
on tend maintenant vers ‘utilisation de l’empreinte optique (CFAO = conception et fabrication assistée par
ordinateur)
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Qu’est-ce qu’un matériau à empreinte?
Doit permettre de reproduire la situation clinique, afin de transmettre les informations nécessaires au
prothésiste dentaire, pour la réalisation d’un élément prothétique. Les matériaux sont différents selon
le type d’empreinte.
Ici ne sont présentés que les plus importants mais il en existe d’autres. Ils ont des propriétés différentes
et vont permettre d’enregistrer différentes structures selon le matériau.
Il faut bien respecter les temps de prise des matériaux à empreinte indiqués par les fabricants. On peut
vérifier nos zones de préparations, nos limites de préparation et éventuellement la présence de bulles
etc. mais nous ne serons pas capables de savoir si notre matériaux à entièrement réalisé sa prise.
S’il n’a pas réalisé sa prise correctement, peut-être que nous aurons un décalage important entre notre
situation clinique et ce que nous allons transmettre au prothésiste.
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Donc, d’une manière générale, les matériaux doivent être capables :
• d’enregistrer la forme des tissus que ce soit des tissus mou ou des tissus dentaire sains ou
même des préparations.
• De conserver la valeur des volumes qui sont enregistrés malgré la désinsertion du porte
empreinte (PE) et donc les contraintes qui vont être appliquées au niveau du matériau
lorsqu’on désinsère le PE et ce jusqu’au traitement de l’empreinte. Les matériaux n’ont
pas les mêmes caractéristiques certains durent plus que d’autres et sont réutilisables.
Notions à savoir sur quand et comment on doit traiter l’empreinte, est-ce que cette empreinte est
réutilisable ? Est-ce que je peux faire plusieurs modèles à l’aide de la même empreinte ? Est-ce que je
peux utiliser directement mon empreinte et mettre le matériau de réplique à l’intérieur ? Est-ce qu’il
faut attendre ou est-ce que au contraire j’ai des matériaux qui me permettent de conserver
l’empreinte fidèle pendant un temps important ?
Donc pour que le prothésiste soit capable de réaliser une pièce prothétique parfaitement adaptée à
son moulage mais aussi à la situation clinique, il faut que le matériau réponde à toutes ces
caractéristiques.
2 principales caractéristiques :
• Précision d’enregistrement : tout ce qui vas être lié au matériau en lui-même (Jusqu’où il est
capable d’aller au niveau de l’enregistrement des détail. )
• Précision dimensionnelle : variation éventuelle du volume de matériaux après qu’il ait fait sa prise.
Bonne retranscription dans le temps etc.
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Classification +++ (risque de QCM) :
Les matériaux à empreintes peuvent être élastiques ou rigides selon leur comportement mécanique :
• Les matériaux élastiques vont être adaptés à l’enregistrement de structures dentaires et/ou
prothétiques ainsi que des tissus muqueux. —> prothèse fixée donc sur des surfaces
préparées
• Les matériaux rigides permettront l’enregistrement de tissus muqueux (avec pas ou peu de contre-
dépouilles). Selon les étapes on utilise différents matériaux
Vu en TP: élastomères
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Ils peuvent présenter une prise réversible ou irréversible:
• Réversibles : Agar (hydrocolloïde réversible), Cires, pâtes thermoplastiques.
• Irréversibles: Elastomères, Alginate (hydrocolloïde irréversible), plâtres à empreinte, pâtes oxyde de
zinc/eugénol (ciments).
• Les matériaux présentent une prise réversible si celle-ci est due à des changements de température
(lampe, eau chaude…)
• Les matériaux présentent une prise irréversible si celle-ci est de type réaction chimique (addition/
condensation par exemple ou oxyde de zinc/eugénol (système tube/tube), polymérisation,
hydratation, sol/gel).
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I. Les matériaux rigides
• Sulfate de calcium déshydraté (phase de fabrication) par cuisson (+adjuvants temps de prise et expansion)
• Puis réaction d’hydratation (phase d’utilisation)
Indication :
Enregistrement STATIQUE des surfaces muqueuses en cas d’édentement total (+/- implantologie)
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2. PÂTE ZNO-EUGENOL (oxyde de zinc-eugenol)
Indication :
Enregistrement DYNAMIQUE en périphérie des surfaces muqueuses en prothèse partielle
(hydrophilie, étalement).
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3. MATÉRIAUX THERMOPLASTIQUES (souvent pour les empreintes secondaires)
• Mélange de résines (copal, colophane), de plastifiants (acide stéarique, acide oléique, cires...)
• pâtes de kerr, stents (sur port empreinte métallique)
• Ramollissement et fluidification lors de l’augmentation de température purement physique (soit
par la chaleur de l’eau soit à la flamme par exemple)
• Importantes variations de viscosité avec la T°.
• Risque de brûlures du patient si matériau trop chauffé
Indications :
Adaptation porte-empreinte , première étape avec l’alginate dans un porte empreinte du
commerce puis le labo crée un nouveau prote empreinte d’où le nom de secondaire
Enregistrement DYNAMIQUE lors de l’empreinte secondaire en prothèse totale (joint
périphérique)
Ce sont des matériaux réutilisables (d’où « réversible »). De base, rigides puis quand on chauffe
deviennent plus ou moins fluides : permettent l’adaptation au porte empreinte.
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II. Les matériaux élastiques
A) Comportement
Ces propriétés sont caractérisées par deux tests que sont les tests de fluage ( vu en TP: avec le temps
n’importe quel matériau s’allonge) et de relaxation (on tire et on calcule la contrainte nécessaire à
garder ce même niveau de déformation).
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La déformation permanente va se voir sur le modèle de boltzman ( explique la déformation permanente) . qui est issu du
modèle de Maxwell ( 1 piston et 1 ressort ) additionné au modèle de Voigt ( modèle en série ou en dérivation avec un
ressort et un piston) . Sur le schéma, 𝝶 est la viscosité et G la conductance ( l’inverse de la résistance) . On a donc dans le
modèle de boltzman un ressort suivi d’un piston et ensuite on a associé entre eux un ressort et un piston. Sur ça on va
appliquer une contrainte ( étirement par exemple) . On va pouvoir observer la déformation du premier ressort puis du
premier ressort et du deuxième ressort qui va entrainer le second piston. L’idée est que le deuxième ressort est lié au 2ème
piston.
On voir qu’au début on a une déformation parfaitement linéaire (OA) même si le matériau n’est pas purement élastique
dû au ressort , puis une déformation de A vers B qui n’est plus linéaire liée au reste du modèle donc le piston et le
second ressort conjoint au second piston. Quand on arrête la contrainte, on a une récupération élastique instantanée
de B vers C qui est liée à la première déformation linéaire et ensuite on a récupération élastique retardée , en revanche
le premier piston ne revient jamais à son état initial (axe des abscisses) pour un matériau viscoélastique . Donc
pour une déformation élastique on a toujours une déformation permanente et donc pas de retour à l’état initial.
Cette déformation permanente est simplement liée au comportement visco-élastique (il n’ y a plus de sollicitation),
elle doit être caractérisée et doit être la plus petite possible.
• Polymérisation incomplète
• Hétérogénéité de phase (amorphe et cristallin)
• Chaînes en pelote (enroulées)
• Glissement des chaînes
• Rupture de chaînes
Ainsi, sur un plan clinique, les polymères, matériaux imparfaitement élastiques, ne récupèrent jamais
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totalement les déformations induites.
Les contraintes sont essentiellement des contraintes de désinsertion liées au retrait de l’empreinte,
force exercée par le praticien pour vaincre les zones de contre-dépouille.
La déformation irréversible croît avec l’intensité et le temps d’application (amortisseur).
Pour la réduire, il faut diminuer les contraintes de désinsertion du porte empreinte et leur temps
d’application en comblant les contre-dépouilles trop importantes et en pratiquant une désinsertion rapide
uni axiale parallèle à l’axe de la dent.
La mouillabilité:
La condition du mouillage total implique une énergie de surface du substrat supérieure à celle du
matériau.
- Les substrats dentaires (40 à 50 mJ/m2)
- Les élastomères (22 à 25 mJ/m2)
La viscosité: vu en TP
Elle n’intervient pas sur l’aptitude à la mouillabilité mais sur la cinétique d’étalement.
Ex : élastomères en silicone : suivant si c’est un silicone fluide ou lourd on aura un enregistrement plus ou
moins précis.
L’hydrophilie
Aptitude d’un matériau à posséder une affinité pour l’eau.
En fonction de sa structure chimique, un corps repousse (hydrophobe) ou absorbe les liquides
(hydrophile).
La thixotropie:
Aptitude d’un matériau à se fluidifier sous l’application d’une contrainte sans s’affaisser lorsque la
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contrainte cesse.
Elle permet d’éviter les manques de matériau et diminue l’effet de tirage
La contrainte provient de l’enfoncement du porte-empreinte pour le matériau de haute viscosité et de
la seringue pour le matériau de plus basse-viscosité.
La thixotropie permet au matériau à empreinte de ne pas couler en bouche après injection, tout en
permettant sa pénétration dans le sulcus ouvert lors de la pression apportée par le porte-empreinte.
Précision dimensionnelle:
Le coefficient de dilatation thermique est important pour les élastomères. Cette dilatométrie élevée
donne une rétraction volumique de 0,3% lors du passage de la température buccale à l’ambiante.
Celle-ci est potentiellement compensée par une conductivité thermique faible et l’exothermie des
plâtres de réplique.
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III. LES HYDROCOLLOÏDES
Liquide qui passe dans porte empreinte qui va permettre de faire varier la température du porte
empreinte
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B ) LES HYDROCOLLOÏDES IRRÉVERSIBLES : ALGINATE
Il existe de nombreuses classes d’alginate. Après réaction on ne peut plus refaire d’empreintes avec —>
irréversible.
• La base est un alginate de potassium (15 à 21%) en raison de sa solubilité dans l’eau
• Le réactif est un sulfate de calcium (14 à 25%)
• Le retardateur est un phosphate de sodium (2%)
• Les charges (48 à 66%), oxyde de zinc et terres de diatomées, contrôlent la consistance de l’alginate
pendant son malaxage et augmentent la rigidité du gel.
• La réaction sol-gel est une réaction des sols solubles d’alginates de potassium avec le sulfate de
calcium qui libère des cations Ca++ et la formation d’un gel insoluble d’alginates de calcium.
• Cette réaction chimique excessivement rapide (temps de travail trop court) est retardée par le
phosphate de sodium qui agit comme un inhibiteur momentané de prise en fixant dès le malaxage
les ions calcium
• La transformation sol-gel débute lorsque les ions calcium sont disponibles.
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Il est recommandé de mettre l’empreinte dans un sachet fermé contenant un chiffon imbibé d’eau mais
SANS CONTACT direct avec l’empreinte !! + jamais au frigo (souvent vu en clinique).
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« Matériau, d’origine naturelle ou synthétique, doué d’élasticité caoutchoutique »
Ce sont des matériaux possédant des propriétés élastiques après réticulation, capable de
supporter de grandes déformations avant rupture
Elastomères
Silicones Polyéthers Polysulfures
vinyl-polysiloxanes
diméthyl-polysiloxanes
• Leurs modes de réticulation est soit par polycondensation (type C) , soit par polyaddition (type A).
Les élastomères sont au repos des macromolécules constituées de chaînes linéaires, enchevêtrées et
repliés, maintenues par de faibles forces intermoléculaires.
Durant cet état de pré-polymère, les chaînes sont ainsi reliées par de faibles interactions du type
Van der Waals et s‘apparentent à des liquides très visqueux et manipulables.
A l’état d’élastomère (état réticulé), des liaisons covalentes ou ioniques relient les chaînes avec une
fréquence d’un site de pontage pour cent motifs. Entre 2 sites de pontage, les forces de Van der Waals
unissent les chaînes. Cette structure confère à ces matériaux un état caoutchouteux.
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rapport avec la viscosité mais avec les charges) .
Cette norme ISO 4823 est une norme spécifique aux élastomères qui rejoint les propretés permettant d’avoir
une empreinte fiable.
On retrouve dans cette norme, la consistance, le temps de travail, la reproduction des détails , la variation
dimensionnelle linéaire , la recouvrance élastique et la déformation en compression
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Pour la consistance, on pose un échantillon d’un matériau sur un support et on dépose un chargement. On
mesure le diamètre après étalement de notre matériau grâce au poids du chargement. Plus le matériau s’étire,
plus il est fluide .
En fonction des valeurs retrouvées, le matériau sera classé selon un des 4 types. En fonction de cette
classification, les valeurs requises pour les autres propriétés encadrées par la norme sont définies.
La reproduction des détails est importante on utilise un matériau lourd pour soutenir du fluide qui enregistre
les détails. Plus on est lourd moins on est précis. Pour nos TP de PF pour la précision occlusale on utilise des
élastomères fins et non de l’alginate.
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On a différent type d’empreintes :
Après mélange, la réaction de condensation s’effectue par liaison entre les groupes hydroxyles et les
groupes éthyles-oxygène. L’éthanol est le produit de condensation qui est libéré.
Le mélange est souvent difficile du fait du différentiel de viscosité (putty-activateur liquide).
Les formules ne sont pas à connaitre
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Le temps de travail et de prise :
2 minutes de temps de travail très court.
3 minutes de Temps de prise en bouche.
Précision d’enregistrement
Limitée à cause de
L’hydrophobie des
silicones
Elasticité
La déformation permanente est minime. La récupération de la déformation élastique est rapide.
Ce sont des matériaux plus rigides que les polysulfures. La résistance au déchirement est faible.
Contraction de polymérisation = 0,7% linéaire pour une basse viscosité, 0,4% pour un putty. La
polymérisation continue après la prise du matériau.
Du fait de cette rétraction de polymérisation, une wash-technique (putty rebasé) est conseillée.
L’instabilité dimensionnelle est encore accentuée par la libération du produit volatil l’éthanol, plus large
molécule que l’eau des polysulfures
La coulée du fait de cette instabilité dimensionnelle doit se faire dans les 30 minutes.
Indications :
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B) VINYLPOLYSILOXANE ( 2ème génération)
Le mélange de deux pâtes permet une copolymérisation d’un vinylsiloxane et d’un hydrogènesiloxane
(même structure macromoléculaire).
Le catalyseur (sel de platine) qui permet la réaction de réticulation par amorçage ionique.
Il n’y a pas de produits de réaction libérés tant que le rapport silicone vinyle/silicone
hydrogéné est maintenu et qu’il n’y a pas d’impuretés.
Sinon, la réaction de polyaddition entraîne la formation d’hydrogène gazeux qui lors de son
élimination peut induire une porosité superficielle du matériau de réplique. Il est préférable
d’attendre au moins une heure avant de traiter l’empreinte.
Mais un champ opératoire sec est nécessaire, l’impression des tissus mous est améliorée et la coulée
est plus facile.
Les gants en latex inhibent la prise par la contamination sulfurée.
Certains gants en vinyle peuvent avoir le même effet du fait de stabilisateur contenant du soufre.
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La contamination est tellement forte que le seul fait de toucher la dent avec le gant peut inhiber la
prise de la zone critique proche de la dent.
Précision d’enregistrement :
Moyenne mais améliorée par hydro compatibilité
Elasticité :
La récupération de la déformation élastique est rapide
La rigidité est proportionnelle à la consistance du matériau, le putty est rigide, le light est flexible.
Le matériau répond de façon élastique s’il est sollicité rapidement, donc retrait rapide.
La résistance au déchirement est faible.
Stabilité dimensionnelle :
Contraction de polymérisation plus faible = 0,15% linéaire.
La meilleure stabilité dimensionnelle des élastomères
et permet de faire des empreintes double mélange
La déformation permanente est faible = 0,3%.
Un modèle coulé à une semaine à la même précision qu’un modèle coulé à 1h.
Des coulées successives seront similaires.
Indications :
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C) LES ÉLASTOMÈRES POLYSULFURÉS (empreinte secondaire à l’alginate)
Ce sont des matériaux qui ont un goût et une odeur très désagréable pour le patient.
• Le polymère de polysulfure linéaire (base) présente des groupes thiols (=SH) terminaux
(=extension de chaîne) et intermédiaires (=enchevêtrement).
• Le nombre de groupes pendants est limité par rapport aux groupes terminaux.
• La réaction de polymérisation résulte préférentiellement en un allongement.
• Le mélange conduit à une structure tridimensionnelle réticulée par créations de liaisons
covalentes S-S au niveau des groupes SH terminaux ou pendants, par l’intermédiaire du
dioxyde de plomb.
• Il s’agit donc d’une réaction de condensation
car on a une libération d’eau.
Précision d’enregistrement :
Limitée et variable en fonction de la viscosité
Elasticité :
La récupération de la déformation élastique après contrainte est la moins rapide et la déformation
permanente est la plus importante des élastomères.
Précision dimensionnelle :
Contraction de polymérisation = 0,35 à 0,45 % linéaire, du fait du rapprochement des chaînes après
vulcanisation et de la perte en eau libérée lors de la prise.
Déformation permanente = 1,3 à 2,8 %. (+++)
La résistance au déchirement est très élevée, car le matériau se déforme (inconvénient).
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patient, le tout au profit de la précision des détails recueillis, du confort du patient et de la réduction du
gaspillage de matériau. » HC ajouté pour la compréhension ; )
C'est le premier élastomère mis au point spécifiquement pour l'usage de matériaux à empreinte. Il a
initialement été développé pour la prothèse conjointe.
Il existe différentes viscosités disponibles mais il est possible de l‘utiliser en mono phase
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La résistance au déchirement est élevée.
Précision dimensionnelle :
La coulée peut être différée en gardant l’empreinte au sec (hydrophilie du matériau) et des coulées
successives garderont la même précision.
Indications :
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