Etude, Conception Et Simulation D'une Pompe Centrifuge
Etude, Conception Et Simulation D'une Pompe Centrifuge
Etude, Conception Et Simulation D'une Pompe Centrifuge
-THÈME-
Soud Atmane
2023/2024
Remerciements
Je remercie ALLAH tout puissant
de nous avoir beaucoup aidés pour
élaborer ce travail. Toutes nos
infinies gratitudes à notre
promoteur, Monsieur ABIDI SAAD
Aissa pour son encadrement et
ses aides précieuses.
Noustenons aussi à
remercier tous les enseignants
qui n'ont préservés aucun effort à
fin de transmettre leur savoir et
leurs expériences aux étudiants.
Nous tenons à remercier nos
amis qui nous ont toujours
soutenus et qui sans eux ce
mémoire n'aura pas eu lieu.
Dédicace
L : l’échelle intégrale.
N : le nombre de nœuds.
Cμ; Cε1; Cε2; σk; σε; :Ces constantes sont obtenues empiriquement.
P : pression [Pa].
V : vitesse [m/s].
ﻳﺄﺗﻲ ﻫﺬا اﻟﻌﻤﻞ ﺿﻤﻦ إﻃﺎر اﻟﺪراﺳﺔ واﻟﻤﺤﺎﻛﺎة وﺗﺼﻤﻴﻢ ﻣﻀﺨﺔ دواﻣﻴﺔ وﻳﺘﻤﺜﻞ ﻓﻲ ﺗﻄﻮﻳﺮ:ﻣﻠﺨﺺ
ﻳﻌﺘﺒﺮ ﻫﺬا اﻟﻨﻬﺞ ﻧﻤﻮذج ﺛﻼ. "ﻧﻬﺞ ﻣﺘﻜﺎﻣﻞ" ﻟﺘﺼﻤﻴﻢ وﺗﺤﺴﻴﻦ آﻟﺔ اﻟﻤﻀﺨﺔ اﻟﺪواﻣﻴﺔ اﻟﻤﺠﻬﺰة ﺑﺸﻔﺮات
اﻟﻬﺪف ﻫﻮ ﺗﺤﻠﻴﻞ. ﺛﻲ اﻷﺑﻌﺎد ﻟﻠﺴﻠﻮك اﻟﺪﻳﻨﺎﻣﻴﻜﻲ ﻟﺴﺎﺋﻞ ﻻ ﻳﻤﻜﻦ ﺿﻐﻄﻪ وﻟﺰج وﻣﻀﻄﺮب وﻏﻴﺮ ﻣﺴﺘﻘﺮ
وﻗﺪ اﺗﺒﻌﻨﺎ اﻟﻨﻬﺞ ﺛﻼﺛﻲ اﻷﺑﻌﺎد ﺣﻴﺚ ﻗﺪﻣﻨﺎ ﺗﻮزﻳﻌﺎت،وﻓﻬﻢ ﺳﻠﻮك اﻟﺴﺎﺋﻞ اﻟﻤﺘﺪاول داﺧﻞ اﻵﻟﺔ اﻟﺪوارة
ﺗﻢ ﺣﻞ ﻣﻌﺎدﻻت اﻟﺤﻔﺎظ ﻋﻦ ﻃﺮﻳﻖ اﻟﺨﻮارزﻣﻴﺎت اﻟﻮراﺛﻴﺔ اﻟﻤﻀﻤﻨﺔ ﻓﻲ. ﻟﺤﻘﻮل اﻟﻀﻐﻂ واﻟﺴﺮﻋﺔ
وﺗﻢ اﻟﺘﻌﺒﻴﺮ ﻋﻦ اﻟﻘﻴﻮد اﻟﺮﻳﻨﻮﻟﺪز،" ﺑﺎﺳﺘﺨﺪام ﻃﺮﻳﻘﺔ اﻟﺤﺠﻢ اﻟﻤﺤﺪودFLUENT" ﺑﺮﻧﺎﻣﺞ اﻟﺤﺴﺎب
واﻟﻨﺘﺎﺋﺞ اﻟﻤﺤﺼﻠﺔ ﻻ ﺗﻘﺪم ﻓﻘﻂ اﺳﺘﻌﺮاﺿﺎ، (k-ε)ﺑﻮاﺳﻄﺔ ﻧﻤﻮذج اﻟﻨﻘﻞ ﻟﻺﺟﻬﺎدات اﻟﻠﺰﺟﺔ اﻟﻤﻀﻄﺮﺑﺔ
وﻟﻜﻦ أﻳﻀﺎ ﻟﺘﻨﺒﺆ اﻷداء،ﺟﺎدا ﻟﻠﺘﻨﺒﺆ وﻓﻬﻢ اﻟﻈﻮاﻫﺮ اﻟﻤﺮﺗﺒﻄﺔ ﺑﻌﻤﻞ اﻵﻻت اﻟﺪوارة..
Abstract: The present work comes within the framework of the study, simulation, and
the design of a centrifugal pump and consists in developing an "integral approach"
for the dimensioning and the optimization of the centrifugal pump machine equipped
with blades. It is a three-dimensional modeling of the dynamic behavior of an
incompressible, viscous, turbulent and unsteady fluid. The aim is to analyze, and to
understand the behavior of the circulating fluid inside the turbomachine, we followed
the three-dimensional approach where we presented the distributions of the pressure
and velocity fields. The conservation equations are solved by genetic algorithms
included in the calculation code "FLUENT" using the finite volume method, the Reynolds
constraints were expressed by the transport model of turbulent shear stresses (k-ε), the
results obtained do not only present a serious review of prediction and understanding of
the phenomena associated with the operation of the turbomachines, but also for the
prediction of the performances.
Keywords: centrifugal pump design, finite volume, modeling.
Sommaire
Liste des
symboles. Liste
des figures. Liste
des tableaux.
Résumé
INTRODUCTION GENERALE 1
10
20
II. 6. 2.2. Hauteur réelle : Hmt – Débit. 22
II. 6. 3. Cavitation.
24 II. 6. 4. Point de fonctionnement.
25
35 III. 6 Maillage.
36
37
39
IV.3. Géométrie. 43
IV.4. Le maillage. 44
54 V. 3. 2. Evolution de Pression.
56
CONCLUSION GENERALE 61
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 63
Introduction générale
Introduction générale
Dans une grande mesure, ces réussites sont dues aux échanges étroits entre
la théorie et l’expérience en dynamique des fluides. D’une part, l’expérience
est indispensable pour vérifier les hypothèses et les résultats qui ressortent de la
théorie ; et d’autre part, la théorie est nécessaire pour expliquer les résultats
obtenus par l’expérience, et pour faciliter le travail à l’avenir. La simulation
numérique est née pour ce faire.
1
Introduction générale
les pompes centrifuges, les caractéristiques géométriques, et toutes les
courbes qui les caractérisent. Après, dans le deuxième chapitre est purement
consacré à la mécanique des
fluides, les équations qui gouvernent les écoulements ont été définies, qui sont les
fameuses
équations : de conservation de masse, et l’équation de la quantité de mouvement
dite aussi de Navier-Stokes. Dans ce cas précis, l’écoulement est turbulent ce qui
a conduit a consacré une partie sur la turbulence, particulièrement le modèle k
-ω ou transport des contraintes de cisaillement turbulentes.
Le dernier chapitre est réalisé dans le cadre de ce mémoire, où une étude a été
menée
dans le cadre de simulations numériques traitant du cas de l’écoulement
instationnaire et turbulent d’un fluide incompressible, visqueux à travers la
géométrie de la pompe. Les résultats sont présentés sur des figures qui
reflètent les distributions des vitesses et des pressions en différentes
localisations de notre modèle géométrique de la pompe centrifuge.
2
Introduction générale
3
Chapitre I
Généralités sur les pompes
I. 1. Introduction
Les pompes sont des machines servant à élever les liquides ou les mélanges
de liquides d'un niveau inférieur à un niveau supérieur, ou refouler les liquides
d'une région à faible pression vers une région à haute pression. Le fonctionnement
d'une pompe consiste à produire une différence de pression entre la région
d'aspiration et la région de refoulement au moyen de l'organe actif (piston,
roue,…etc.) de la pompe.
L’augmentation de la pression du liquide véhiculé par la pompe a lieu à la
suite de la transformation de l’énergie mécanique fournie par un moteur entrainant
cette pompe en une augmentation de l’énergie hydraulique qui est acquise par le
liquide entre l’entrée et la sortie de la pompe.
Du point de vue physique, la pompe transforme l'énergie mécanique de son
moteur d'entrainement en énergie hydraulique.
I. 2. Historique:
Lorsque nous considérons les pompes et leur histoire, nous pouvons nous
rappeler que,
depuis les tous premiers temps, les hommes ont recherché des moyens
techniques pour amener les fluides (notamment l’eau) à un niveau plus élevé.
Cette opération était utilisée pour irriguer les champs et remplir les fossés qui
entouraient les villes et les châteaux fortifiés. L’outil de bol le plus simple est la
main humaine. Avec deux mains, c’est encore mieux.
4
Chapitre I
Généralités sur les pompes
roue à godets chinoise. Il s’agit d’une roue reliée à des godets en argile qui
versent l’eau lorsqu’ils atteignent le sommet.
Les pompes sont des appareils permettant un transfert d’énergie entre le fluide
et un
dispositif mécanique convenable. Suivant les conditions d’utilisation, ces
machines communiquent au fluide soit principalement de l’énergie potentielle par
accroissement de la pression en aval, soit principalement de l’énergie cinétique
par la mise en mouvement du fluide.
L’énergie requise pour faire fonctionner ces machines dépend donc des
nombreux
facteurs rencontrés dans l’étude des écoulements :
5
Chapitre I
Généralités sur les pompes
6
Chapitre I
Généralités sur les pompes
(Turbopompes
ou Roto-
dynamique)
7
Chapitre I
Généralités sur les pompes
8
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Ces pompes sont caractérisées par des débits de quelques dizaines de m3/h, des
vitesses de rotation de quelques dizaines de tours à 1 500 tr/min et des
pressions au refoulement de quelques bars (sauf pour les pompes hydrauliques
pour lesquelles la pression peut atteindre 150 à 200 bar). Elles conviennent aux
liquides peu visqueux et sont de maintenance aisée.
9
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Fig. I.4: Pompe à palettes flexibles. [1]
10
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Ce type de pompe comporte un grand nombre de variantes qui diffèrent entre elles
soit par
la disposition, soit par la forme des engrenages. Dans tous les cas, le principe
consiste à aspirer le liquide dans l’espace compris entre deux dents consécutives et
à le faire passer vers la section de refoulement. Les pompes à engrenages
peuvent avoir une denture droite, hélicoïdale, ou encore à chevrons. Cette
dernière solution présente l’avantage de rendre le mouvement plus uniforme.
Ces pompes peuvent tourner vite (2 000 à 3 000 tr/min), elles sont
relativement silencieuses et permettent d’atteindre des pressions moyennes au
refoulement de l’ordre de 20 à 50 bars. Par contre, elles nécessitent d’avoir quatre
coussinets, et deux ou quatre boîtiers d’étanchéité suivant le principe
d’entraînement des engrenages.
Elles sont formées de deux ou trois vis suivant les modèles. Dans le cas d’une
pompe à trois vis, la vis centrale seule est motrice, les deux autres sont entraînées
par la première.
Dans le cas d’une pompe à deux vis, celles-ci sont souvent toutes deux
entraînées par un jeu de pignons extérieurs. Ces pompes peuvent tourner vite (3
000 tr/min). Elles sont silencieuses et permettent d’atteindre des pressions assez
élevées (100 bar). Par contre, elles n’admettent pas de particules solides
11
Chapitre I
Généralités sur les pompes
12
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Ces pompes sont caractérisées par le fait que la pièce mobile est animée d’un
mouvement
alternatif. Les principaux types de pompes sont les suivants : à membrane ou à piston.
14
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Elles peuvent être à simple effet et, dans ce cas, le piston n’a qu’une seule phase
active
(premier temps : aspiration, deuxième temps : refoulement) sur les deux que
comporte le cycle. Elles peuvent être à double effet et, dans ce cas, le piston est actif
dans les deux phases, celles-ci étant à la fois phase d’aspiration et phase de
refoulement. Cela permet un débit deux fois plus important et une régularité plus
grande dans le débit.
Cette famille de pompes est capable d’atteindre des débits Q très élevés, allant
jusqu’à 105 m3/h. Encore convient-il de remarquer que cette limite n’est pas de
caractère technologique, et que des débits sensiblement plus grands seraient
réalisables, s’il y avait un appel du marché dans ce sens.
15
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Une turbo pompe est constituée d’une partie tournante et d’une autre partie fixe :
16
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Une bonne capacité d’aspiration, permettant une installation facile, ainsi qu’une
courbe caractéristique toujours descendante, assurant un fonctionnement stable
quel que soit le débit. Dans ces conditions, la hauteur de refoulement se trouve
limitée à une valeur de 11 m environ. Les pompes hélices ne sont jamais
réalisées avec deux ouïes pour des raisons de construction qui sont évidentes.
Elles sont rarement utilisées en version multi étage (pour H > 11 m, on leur préfère
d’autres types de pompes). Les pompes hélices ne sont pas employées pour les
faibles débits, car elles nécessiteraient des vitesses de rotation élevées ou très
élevées que les utilisateurs préfèrent éviter.
17
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Fig. I.10 : Pompe hélices. [1]
18
Chapitre I
Généralités sur les pompes
Ce type est intermédiaire entre les deux précédentes, le flux résulte de la composition
des
flux axial et radial.
Elles peuvent être utilisées en variante multi étage, mais conduisent, dans ce cas, à
un pas
d’étage élevé qui limite le nombre d’étages à 5 ou 6. On obtient le domaine
global des pompes hélico-centrifuges en multipliant par 5 les hauteurs
manométriques. Comme les pompes hélices, les pompes hélico-centrifuges ne sont
pas utilisées pour de faibles débits, car elles conduisent dans ce cas à des vitesses
de rotation élevées ou très élevées
19
Chapitre I
Généralités sur les pompes
20
Chapitre I Généralités
sur les pompes
Le rotor entraine dans son mouvement un liquide qui est rejeté à la périphérie par la
force
centrifuge. Une particule de liquide prise en isolement suit une trajectoire
constamment située dans un plan perpendiculaire à l’axe de rotation.
Collecteur (volute): Cet organe fixe a pour rôle de conduite le liquide depuis la
section d'entrée de la machine jusqu'à l'entrée du rotor, en lui assurant une
vitesse de grandeur et de direction convenable.
Dans les pompes monocellulaires, le collecteur est en général réduit à une
simple tuyauterie, coudée ou non.
Dans les pompes multicellulaire, les collecteurs sont inexistants sauf
pour le premier étage ou l'on trouve un collecteur d'entrée formé souvent
par un coude plat, le passage de la sortie d'un étage à l'entrée du rotor
suivant s'effectue au travers d'éléments fixe ailettes, les canaux de roue.
21
Chapitre I Généralités
sur les pompes
22
Chapitre I Généralités
sur les pompes
23
Chapitre I Généralités
sur les pompes
24
Chapitre II Les
pompes centrifuges
II. 1. Introduction
C’est le type que nous allons étudier dans cet mémoire, les pompes
centrifuges sont composées d'une roue à aubes qui tourne autour de son axe, d'un
stator constitué au centre d'un distributeur qui dirige le fluide de manière
adéquate à l'entrée de la roue, et d'un collecteur en forme de spirale disposé en
sortie de la roue appelé volute. A la sortie et à l’aide d’un divergent, une grande partie
de l’énergie cinétique se transforme en pression motrice.
25
Chapitre II Les
pompes centrifuges
admettent les suspensions chargées de solides.
26
Chapitre II Les
pompes centrifuges
Nombre de roues :
Monocellulaire. (Pompe centrifuge à une roue).
Biétage. (Pompe centrifuge à deux roues).
Multicéllulaire. (Pompe centrifuge à plusieurs
roues).
Importance de la pression
engendrée : Basse pression.
Moyenne
pression. Haute
pression.
Disposition de l’axe :
Horizontal.
Vertical.
Incliné.
Forme de la roue:
Roue à simple
aspiration. Roue à
double aspiration.
Moyens d’entraînement :
Entraînement par courroie.
Entraînement par engrenage.
Entraînement par
accouplement.
Force motrice utilisée :
Moteur électrique.
Moteur diesel ou
essence.
Turbine à vapeur, turbine à
gaz. Destination :
Usage
ordinaire.
Liquide chargé.
Acide.
Matériaux de construction :
Acier spécial ou bronze. (Selon le liquide pompé).
27
Chapitre II Les
pompes centrifuges
II. 4. Description d’une pompe centrifuge :
Les pompes centrifuges comprennent les éléments suivants:
15
28
Chapitre II Les
pompes centrifuges
Une roue: qui est l'élément essentiel de la pompe. La totalité de l'énergie est apportée
au
fluide sous deux formes distinctes:
d'autre part, sous la forme d'un accroissement d'énergie cinétique, qui est
lui-même transformé en pression dans les organes situés en aval de la roue
une volute: qui a le rôle de recueillir le fluide sortant à grande vitesse de la roue,
de le canaliser, puis de le ralentir, transformant ainsi en pression une part
importante de son énergie cinétique.[4]
Carter des paliers: Il est maintenant nécessaire d’avoir une pièce qui supporte l’arbre
et
empêche la roue de toucher dans sa rotation.
29
Chapitre II Les
pompes centrifuges
30
Chapitre II Les
pompes centrifuges
Chemises de l’arbre: la chemise est fixée sur l’arbre en interposant une garniture et
est
maintenue en position au moyen de l’impulseur est insérée dans un logement de
chemise et l’empêche de tourner sur l’arbre.
32
Chapitre II Les
pompes centrifuges
fait une, la vitesse du fluide qui entre dans la roue augmente et par conséquent
la
pression dans l’ouïe diminue et engendre ainsi une aspiration , c’est à
dire une dépression est créée à l’entrée de la pompe, alors, le maintient de
l’amorçage.
L’accélération: Le rotor transforme l’énergie mécanique appliquée à l’arbre
de la machine en énergie cinétique. A la sortie du rotor, le fluide se trouve
projeté dans la volute dont le but est de collecter le fluide et de le ramener
dans la section de sortie. La section offerte au liquide étant de plus en plus
grande, son énergie cinétique se transforme en énergie de pression.
Le refoulement: Dans l’élargissement en sortie, qui se comporte comme un
divergent, le liquide perd de la vitesse au profit de l’accroissement de pression :
l’énergie cinétique est convertie en énergie de pression au niveau de diffuseur.
33
Chapitre II Les
pompes centrifuges
deux forces :
34
Chapitre II Les
pompes centrifuges
⃗
Action de l'aube, génère une vitesse tangentielle de rotation
⃗
Action de la force centrifuge, donneune vitesse tangentielle à l’aube .
⃗ : c’est la vitesse relative liée aux parties tournantes de la machine (axe, roue).
⃗
Désignons l’angle formé par les vecteurs de vitesse d’entraînement ⃗
et absolue par
⃗ et à la circonférence correspondante
« » et l’angle constitué par les tangentes à l’aube
⃗
de la roue par « ». Ce dernier est déterminé par l’inclinaison des aubes et par
conséquent ne dépend pas du régime de fonctionnement parce qu’il dépend de la
vitesse U ou du nombre de tours de la roue.
35
Chapitre II Les
pompes centrifuges
= ∙ sin = ∙ cos
36
Chapitre II Les
pompes centrifuges
é! : est le débit théorique, "# ! $ est la section de la sortie, &’ est le diamètre extérieur de
Fig. II. 5 : Triangles des vitesses à l’entrée (a) et à la sortie (b) de la roue.
1. 6. 2. Caractéristiques et
performances 1. 6. 2.1. Hauteur
théorique
L'énergie que fournit la pompe au liquide se présente sous deux formes :
de l'énergie de pression, correspondant à l'augmentation de pression dans la
pompe. de l'énergie cinétique, correspondant à l'augmentation de vitesse
du liquide entre
l'aspiration et le refoulement.
La courbe représentant la variation de hauteur en fonction du débit
s’appelle la caractéristique "hauteur d'élévation" H(Qv) de la pompe. Elle a été
établie par un essai de la pompe sur un banc d’essai.
L’application du théorème de quantité de mouvement sous forme de moment
par rapport à l’axe de la roue, permet d’écrire le couple des forces « ) » exercées
par la roue sur le liquide sous la forme suivante :
) = * ∙ +, ∙ - –/ ∙ -/ 0 Par
38
Chapitre II Les
pompes centrifuges
1234 = ∙ ) ,40
et puisque = ∙ , donc :
1234 = * ∙ + , ∙ - – / ∙ -/ 0
et dans la majorité des cas l’angle = (le fluide rentre dans la roue axialement)
donc - / = ,
∙ -
@-AB
2 =
C
2@-AB = + I DE
C J ∙ C ∙ ∙ GK ∙ LMN
39
Chapitre II Les
pompes centrifuges
2RL 2 @-AB
41
Chapitre II Les
pompes centrifuges
on obtient,
* ∙=∙ ∙ 6gh
+
Y Z8![\89 =
: \[ #
= Y > ! 8 ié $f j 9 I Y k ; < \ 8 f j 9 I Y i é l \ e f j 9
42
Chapitre II Les
pompes centrifuges
43
Chapitre II Les
pompes centrifuges
Fig. II. 10 : Courbes caractéristiques de NPSH requis & disp en fonction de débit.
II. 6. 3. Cavitation
La cavitation est un terme employé pour décrire le phénomène qui se produit
dans une pompe quand le NPSH est, insuffisamment, disponible. La pression du
liquide est réduite à une valeur égale ou inférieure à sa pression de vapeur là où
44
Chapitre II Les
pompes centrifuges
les petites bulles ou poches de vapeur commencent à se former [6].
45
Chapitre II Les
pompes centrifuges
Fig. II. 11 : Dégâts de Cavitation sur les éléments d’une pompe centrifuge.
2
2 énBM-
Point de
Hmt fonctionnement
46
Chapitre II Les
pompes centrifuges
parabolique ascendante.
Les effets de ces mesures sur la modification de la courbe caractéristique ne
peuvent être prévus que pour un fonctionnement sans cavitation.
47
Chapitre II Les
pompes centrifuges
Inconvénients:
Diminution de rendement à faible débit ou à grande hauteur.
Apparition du phénomène de cavitation en cas d’insuffisance de
pression à
l’aspiration.
Diminution de la hauteur de refoulement en cas de fuite dans la conduite.
48
Chapitre II Les
pompes centrifuges
49
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
III. 1. Introduction:
Dans ce chapitre la démarche de la modélisation des écoulements dans les
pompes centrifuges a été présentée. Après un bref aperçu des équations
générales qui régissent les écoulements internes, les différents types de solutions
et leurs hypothèses simplificatrices ont été exposés.
En vue par un physicien, la mécanique des fluides constitue une branche de
physique. En revanche, pour un mathématicien il s’agit d’une branche de
mathématiques appliquées. Par ailleurs, vu les soucis d’applications d’ingénierie,
l’ingénieur la voit comme une science qui s’appuie, en grande partie sur l’expérience.
En effet, l’étude de la mécanique des fluides ne peut être effectuée en profondeur
qu’avec une maitrise considérable de mathématiques. En présentent, dans ce qui suit,
les équations qui décrivent un fluide dans son mouvement, et qui régissent les
problèmes de mécanique des fluides, mais il faut bien noter que résoudre ces
équations nécessite généralement une puissance informatique colossale. Pour cela
en présenteront en parallèle dans le même chapitre les approches
mathématiques résolvant l’équation de quantité de mouvement et l’équation de
continuité
50
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
+ . = (III.1) ⃗ ⃗
51
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
(III .2)
(III.3)
(III.4)
52
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
(III.5)
53
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
54
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
55
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
ui = Ui + u,i (III.8)
56
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
= = ′ (III.9)
La moyenne de cette décomposition permet donc de supprimer les variables
fluctuantes.
On va donc appliquer cette moyenne aux équations fondamentales de la
dynamique des fluides en décomposant les variables u et p. Sans rentrer dans le
détail des calculs, en faisant l’hypothèse d’un écoulement incompressible et en
l’absence de forces volumiques, ces
équations deviennent :
= (III.10)
+ =-1/ρ + −
/∂ (III.11)
′ ′
On fait donc apparaître un terme supplémentaire, à savoir− On peut l’exprimer
58
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
Les modèles de cette dernière famille reposent sur l’hypothèse de Boussinesq qui
exprime les contraintes de Reynolds, ! i j , comme le taux moyen de déformation du
champ des vitesses moyennes :
, $
=-υ
,
t" + # + & (III.12)
%
l’énergie cinétique turbulente massique (donc homogène à des m2.s−2). En injectant l’Eq
au
dessus on obtient :
’ $+ $
+ Uj =− − + , +, (III.14)
%
=
Ce terme de dissipation turbulente correspond à la puissance massique convertie
sous forme de chaleur par les plus petits tourbillons (- est homogène à des
m2.s−3). L’ensemble du système à résoudre devient alors :
(III.16)
’ $+ $
+ Uj =− − + , +,
%
(III.17)
,
+Uj = ", + #+ ,4 ϵ
3
+ 5- (III.18)
7 7 , 7 2 7$
+Uj = ", + # + 89 : , 4 C<2
37 0 +
+ 5- (III.19)
avec: Cμ = 0.09, Cε1= 1.44, Cε2= 1.92, σk = 1, σε= 1.3, Ces constantes sont
obtenues empiriquement. Sous des hypothèses très fortes, et par calage de
constantes sur des expériences de référence, on a aboutit à la fermeture du
59
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
système.
60
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
61
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
adaptée à la résolution de lois de conservation. Plus de 90% des codes de
calculs en dynamique des fluides numérique utilisent cette méthode.
62
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
63
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
64
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
III .6 Maillage :
La génération du maillage (2D ou 3D) est une phase très importante dans une
analyse dynamique des fluides numérique, vu son influence sur la solution
calculée. Un maillage de très bonne qualité est essentiel pour l’obtention d’un
résultat de calcul précis, robuste et signifiant. La qualité du maillage a un sérieux
impact sur la convergence, la précision de la solution et surtout sur le temps de
calcul.
Une bonne qualité de maillage repose sur la minimisation des éléments
présentant des « distorsions » (skewness en anglais), et sur une bonne «
résolution » dans les régions présentant un fort gradient (couches limites, ondes
de choc,. . . ). Un bon maillage doit également être suffisamment « lisse ».
65
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
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Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
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Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
68
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
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Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
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Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
71
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
compte ou non de la pression hydrostatique dans la pression utilisée.
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Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
73
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
la sortie. On suppose qu’on a atteint un régime établi où les gradients de
vitesse et de température normaux à la sortie sont nuls.
74
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
75
Chapitre III Simulation numérique d’un
écoulement dans une pompe
76
Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
IV.1 Introduction:
ANSYS Fluent est le logiciel de dynamique des fluides (CFD) le plus puissant du
marché
pour aller plus vite et plus loin dans l’optimisation de la performance. ANSYS
Fluent offre des fonctionnalités éprouvées de modélisation physique d’écoulement
fluide, de turbulence, de transfert de chaleur et de réaction chimique, et fournit des
résultats rapides et précis pour une très large gamme d’applications CFD et
multiphysiques.
ANSYS permet de prédire avec confiance le succès des produits dans le monde
réel. Les entreprises utilisent ANSYS pour créer des prototypes virtuels complets
de produits et de systèmes complexes de mécanique, d'électronique, de
composants électroniques et de logiciel mettant en jeu tous les phénomènes
physiques qui existent dans la réalité.[10]
Fluent est un solveur très utilisé dans l'industrie à travers le monde. Il est souvent
considéré comme une référence dans le domaine de la modélisation fluide. Le
paramétrage du modèle se fait par une interface graphique, il dispose d'une
interface de scripts pour automatiser les processus de calcul. L'un des intérêts de
ce logiciel de simulation généraliste, est qu'il dispose d'un nombre relativement
important de modèles, pouvant faire face à divers aspects de la mécanique des
fluides, Fluent contient également un outil de visualisation des résultats qui permet
d’afficher les champs de pression, vitesse , surface…etc.
La résolution numérique par Fluent d’une manière générale, suit les étapes suivantes :
77
Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
3. Définition des conditions aux limites sous Fluent;
78
Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
IV.3. Géométrie :
79
Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
IV.4. Le maillage :
Prisme/wedge
Pyramide Triangle
Figure IV.2 : les différents types de mailles utilisées en volumes finis par Fluent
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Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
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Chapitre IV Simulation numérique
par un logiciel
La méthode de résolution adaptée par ANSYS Fluent est la méthode des volumes
finis.
C’est une technique de discrétisation, elle insiste de faire une :
(Maillage) ;
2. Intégration des équations de conservation aux dérivées partielles sur les volumes
de contrôle individuels (figure IV.5), et les convertir en équations algébriques,
ce qui donne une équation discrète des inconnus telles que les vitesses, la
pression sont conservés scalaires.
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Chapitre IV Simulation numérique
par un logiciel
P : le nœud principale ;
(E, W) et (N, S) présentent respectivement les volumes de contrôle voisins dans les
directions x et y ;
(e, w) et (n, s) : les faces de volume de contrôle respectivement dans les direction x et y.
Avec :
1: représente le terme
transitoire ; 2: transport par
convection ;
ГΦ : coefficient de diffusion.
Φ Φ
Φ + Φ + Φ = ΓΦ + ΓΦ + Φ (IV. 2)
Φ Φ
− ΓΦ + Φ − Γ Φ = Φ (IV. 3)
Φ
" = Φ − ΓΦ
On pose : !
Φ
"# Φ − ΓΦ
Où jx, jy sont respectivement les flux totaux (par convection et diffusion) par
unité de surface suivant les directions x et y.
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Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
$ % $ &
+ = Φ (IV. 4)
- + $ $ & - +
’. ’, + %( ) ( * = .
’ ’, Φ ()(* (IV. 5)
- +$ % - +$ & - +
’. ’, ()(* + .
’ ’, ()(* = .
’ ’, Φ ()(* (IV. 6)
- + - +
/"+ − ", 0 .
( * +’ 1"2 − 1"2 ,
() = .
3 ’, Φ () 4(*’ ’ (IV. 7)
- .
Avec:
Φ: La valeur moyenne du terme source sur le volume de contrôle, qui est linéarité de
Φ = 8 + 9 Φ9 (IV. 9)
Où :
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Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
Avec:
"+ , " , , " - , " . ∶ sont les flux totaux intégrés sur chaque face de volume de contrôle, ils
sont
composés de deux parties : flux convectif et
diffusif.
Φ
(IV. 11)
"+ = Φ − ΓΦ Δ*
+
Φ
(IV. 12)
" , = Φ − ΓΦ Δ*
,
Φ
(IV. 13)
" - = Φ − ΓΦ Δ)
-
Φ
(IV. 14)
" . = Φ − ΓΦ Δ)
.
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Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
Φ et Φi.
Fluide.
Solide.
Volute (Casing).
Zone de roue (impeller zone), vitesse de rotation est 1500 rpm, tourne
suivant l’axe (OX).
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Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
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Chapitre IV Simulation
numérique par un logiciel
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
V.1. Introduction
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances d’une
pompe centrifuge
D’après l’analyse des résultats obtenus par le logiciel, on a constaté que la vitesse de
fluide
(eau) est nulle sur les parois de la volute, et l’entrée de casing (Casing Inlet).
Par contre, on a constaté que la vitesse de fluide est supérieure au niveau de la roue à
aubes
(Impeller).
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Chapitre V Etude des performances d’une
pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
La figure (V.3) présente les tubes de courants, autrement dit la trajectoire suivie
par les particules fluides, dans l’espace entre aubages.
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
Coefficient
17436.8 (w)
manométrique (µ)
Puissance absorbée
par la pompe (Pa)
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
= , µ= , = Avec :
..
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
Le tableau ci-dessus présente quelques paramètres, qui portent des informations sur
les
valeurs des différentes vitesses, densité, ainsi l’angle α formé entre la vitesse absolue et
la
⃗
vitesse tangentielle à la roue à aube (et !⃗ ), et sur l’angle β formé entre la vitesse
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Chapitre V Etude des performances
d’une pompe centrifuge
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Conclusion générale
Conclusion générale :
Notre étude a été réalisé dans le but de simuler l’écoulement turbulent complexe
à
l’intérieur d’une pompe centrifuge munie de six aubes. Cette simulation a été conçue à
l’aide d’un programme nommé ANSYS 19.3 ; ce dernier utilise comme programme
de maillage « Meshing Académique » et comme solveur (outil de simulation) le Fluent
19.3.
[13]
Plusieurs configurations de distributions de vitesse et de pression ont été étudiées
et discutées. De plus, des phénomènes très intéressants ont été observés et les
résultats de cette étude révèlent que :
106
107
1. Thienot, S., Généralisation de la résolution des équations de Navier-Stokes en trois
dimensions par la méthode des volumes finis utilisant un environnement orienté objet.
1998: École Polytechnique de Montréal.
2. Ouazani, Y. and Y. Smail, Etude de la Maintenance d’une Pompe Centrifuge Verticale par la
méthode AMDEC. 2017, Université Mouloud Mammeri Tizi-Ouzou.
3. Blard, F., Conception et réalisation de références de tensions alternatives à base de MEMS.
2011, Université Paul Sabatier-Toulouse III.
4. Djerroud, M., Identification numérique des paramètres d'amélioration des performances
d'une pompe centrifuge: roue, roue-volute et roue-diffuseur. 2011, Université du Québec en
Abitibi-Témiscamingue.
5. Jacob, T., Evaluation sur modèle réduit et prédiction de la stabilité de fonctionnement des
turbines Francis. 1993, EPFL.
6. Amezcua, R.C., Analyse des écoulements cavitants stationnaires et instationnaires dans les
turbomachines. 2009, Arts et Métiers ParisTech.
7. Dubos, S., Simulation des grandes échelles d'écoulements turbulents supersoniques. 2005,
INSA de Rouen.
8. Chandesris, M., Modeling of turbulent flows in porous media and at the interface with a free
fluid medium; Modelisation des ecoulements turbulents dans les milieux poreux et a
l'interface avec un milieu libre. 2006.
9. FORCEE, S.N.D.L.C., Thème. 2018, Université de Tlemcen.
10. Rezgui, A., Interopérabilité de modèles dans le cycle de conception des systèmes
électromagnétiques via des supports complémentaires: Langage VHDL-AMS et
composants logiciels ICAr. 2012, Université de Grenoble.
11. Boman, R., Méthodes itératives pour la résolution de grands systèmes non linéaires. 1997.
12. Lefeuve-Mesgouez, G., Propagation d'ondes dans un massif soumis à des charges se
déplaçant à vitesse constante. 1999, Nantes.
13. Dauby, D., A. Leroyer, and M. Visonneau. SIMULATION D’ÉCOULEMENTS CAVITANTS 2D ET
D’ÉCOULEMENTS DE TOURBILLONS D’EXTRÉMITÉ AVEC UN SOLVEUR RANSE VOLUME
FINIS NON STRUCTURÉ COMPUTATION OF 2D CAVITATING FLOWS AND TIP-VORTEX
FLOWS WITH AN UNSTRUCTURED RANSE SOLVER. in Paper presented at: 11ème journée
de l'hydrodynamique. 2007.
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