Tle Spé Maths - Chap 5

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Chapitre 5

Combinatoire & Dénombrement

Sommaire
I. Factorielle d’un entier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
II. Les principes du dénombrement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1. Le principe additif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2. Le principe multiplicatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
III. Dénombrement des p-listes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
IV. Dénombrement des arrangements et permutations . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
V. Dénombrement des Combinaisons . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
VI. Propriétés des coefficients binomiaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

Non
Capacités : Exercices : Acquis
Acquis

Utiliser les principes additif et multiplicatif 3, 4, 5 & 8 p. 292/293


Dénombrer avec des listes, arrangements ou
14, 15, 21, 25 et 26 p. 293/294
permutations
Dénombrer avec des combinaisons 34, 41 et 42 p. 295

Introduction

Blaise PASCAL (de 1623 à 1662) mathématicien français, s’intéresse à la concep-


tion et la fabrication d’une machine à calculer, et se tourne très jeune vers la
géométrie avant de se détourner des sciences et de se consacrer à la religion.
Il revient aux mathématiques dans les 10 dernières années de sa vie et s’intéresse
au  Triangle arithmétique .
Une anecdote :
Le 20 novembre 1654, tombe en extase pour la théologie et abandonne
totalement les sciences.
Un soir de l’année 1658, pris par un mal de tête, il se met à réfléchir
à la cycloide. Ses souffrances disparaissant aussitôt, il en conclut que
Dieu lui indiquait que les mathématiques faisait partie de sa vie.

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CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT Tle Générale

I. Factorielle d’un entier

Définition 5.1 : Factorielle n


On appelle factorielle n, pour n ∈ N, le nombre noté n! tel que :

n! = 1 × 2 × 3 × . . . × (n − 1) × n.

Par convention, 0! = 1.

Exemple 5.2 :
Calculer 3! et 5!.

Exemple 5.3 :
Ecrire une fonction python factorielle qui prend en argument un entier n et qui renvoie n!.

Propriété 5.4 :
On considère un entier naturel n.
On a alors :
(n + 1)! = n! × (n + 1).

Exemple 5.5 :
Connaissant 5!, calculer 7!.

Propriété 5.6 :
Pour tout n ∈ N, on a :
(n + 1)!
= n + 1.
n!

. Exercice(s) :
Exercices 28 et 30 p. 294.

II. Les principes du dénombrement

Définition 5.7 : Cardinal d’un ensemble


On considère un ensemble fini E.
On appelle cardinal de E, noté Card(E), le nombre d’éléments de cet ensemble.

Exemple 5.8 :
On note E l’ensemble des nombres entiers présents sur un dé cubique.
Déterminer l’ensemble E et donner son cardinal.

Spécialité Mathématiques 2 Thomas VISCARRO


Tle Générale CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT

1. Le principe additif

Définition 5.9 : Partition d’un ensemble



On considère A1 , A2 , ..., An (n ∈ N ) des ensembles vérifiant les conditions suivantes :
• ils sont non vide :
pour tout 1 ≤ i ≤ n, Card(Ai ) 6= ∅;
• ils sont deux à deux disjoints :

pour tout 1 ≤ i ≤ n et pour tout 1 ≤ j ≤ n, i 6= j, Ai ∩ Aj = ∅;

• leur réunion est égale à E :


A1 ∪ A2 ∪ · · · ∪ An = E.
On a alors le schéma suivant :

E
A1 A2 ··· An−1 An

On dit alors que A1 , A2 , ..., An forment une partition de E.

Propriété 5.10 : Principe additif


On considère une partition A1 , A2 , ..., Ap d’un ensemble fini E.
On a alors :
Card(A1 ) + Card(A2 ) + ... + Card(Ap ) = Card(E).

Exemple 5.11 :
On considère une grille carrée de 4 sur 4.
Déterminer à l’aide de ce principe additif le nombre de carrés formés par cette grille.

Propriété 5.12 :
On considère deux sous-ensembles A et B d’un ensemble fini E.
• On a :
Card(A ∪ B) = Card(A) + Card(B) − Card(A ∩ B).
• Si A et B sont disjoints (c’est-à-dire A ∩ B = ∅), alors on a :

Card(A ∪ B) = Card(A) + Card(B).

• On a :
Card(E) = Card(A) + Card(A)

Thomas VISCARRO 3 Spécialité Mathématiques


CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT Tle Générale

Exemple 5.13 :
Dans le lycée comptant 137 Terminales Générales, 34 élèves suivent la spécialité Mathématiques et 45
élèves suivent la spécialité SES et 66 élèves ne suivent aucune de ces deux spécialités. Combien d’élèves de
Terminales Générales suivent à la fois la spécialité Mathématiques et la spécialité SES ?

2. Le principe multiplicatif

Remarque 5.14 :
Dans une situation comportant p étapes offrant respectivement n1 , n2 , ..., np possibilités, le nombre total
d’issues est donné par :
n1 × n2 × ... × np .

Exemple 5.15 :
Combien y-a-t’il de codes possibles dans un code comportant deux lettres distinctes puis un chiffre ?

Définition 5.16 : Produit cartésien


Le produit cartésien de p ensemble E1 , E2 , ..., Ep est noté E1 × E2 × ... × Ep représente l’ensemble des
p-uplets (e1 ; e2 ; ...; ep ) où e1 ∈ E1 , e2 ∈ E2 , ..., ep ∈ Ep .

Remarque 5.17 :
Un 2-uplet est appelé couple et un 3-uplet est appelé triplet.

Complément(s) :
Méthode 2 p. 277 :  Déterminer des produits cartésiens .

Propriété 5.18 : Principe multiplicatif


On considère p ensembles finis E1 , E2 , ..., Ep .
On a alors :
Card(E1 × E2 × .... × Ep ) = Card(E1 ) × Card(E2 ) × ... × Card(Ep ).

Exemple 5.19 :
Pour les véhicules français, une plaque d’immatriculation est composée d’un mot de deux lettres suivi d’un
nombre compris entre 0 et 999 puis d’un mot de deux lettres.
Combien peut-on immatriculer de véhicules en utilisant ce système de numérotation ?

Complément(s) :
Méthode 1 p. 277 :  Utiliser les principes additif et multiplicatif .

. Exercice(s) :
Exercices 3, 4, 5, 8 et 13 p. 292/293

Spécialité Mathématiques 4 Thomas VISCARRO


Tle Générale CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT

Complément(s) :
La vidéo  Appliquer le principe multiplicatif pour dénombrer .

III. Dénombrement des p-listes

Définition 5.21 : p-liste



On considère un nombre n ∈ N et E un ensemble fini de cardinal n.
Une p-liste (ou liste de longueur p) de E est un p-uplet d’éléments de E.

Remarque 5.22 :
une p-liste est donc un élément du produit cartésien E p = E
| × E {z
× ... × E}.
p fois

Exemple 5.23 :
• Soit E = J0; 20K = {0; 1; 2; ...; 20}.
Par exemple, une 3-liste est (1; 20; 12) et une 5-liste est (0; 1; 0; 20; 10).
• Soit E l’ensemble des lettres de l’alphabet, i.e. E = {a; b; ...; z}.
Un 4-liste est par exemple (p; a; p; e) ou (p; r; o; f ).

Remarque 5.24 :
Une 0-liste existe : il s’agit de la liste qui ne comporte aucun élément.

Théorème 5.25 :
On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E) = n).
Le cardinal de l’ensemble E p des p-listes de E est np , c’est-à-dire :

Card (E p ) = np .

Exemple 5.26 :
Combien y-a-t’il de numéros de téléphones portables commençant par 06 ?

Complément(s) :
Méthode 1 p. 279 :  Dénombrer des k-uplets d’un ensemble fini .

. Exercice(s) :
Exercices 14, 15, 21, 25 et 26 p. 293/294.

Complément(s) :
La vidéo  Dénombrer le nombre de p-uplets d’un ensemble .

Thomas VISCARRO 5 Spécialité Mathématiques


CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT Tle Générale

IV. Dénombrement des arrangements et permutations

Définition 5.28 : Arrangement


On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E) = n) et p un entier tel que 0 6 p 6 n.
Un p-arrangement (ou arrangement de p éléments) est une p-liste d’éléments distincts de E.

Exemple 5.29 :
Soit E l’ensemble des lettres de l’alphabet, i.e. E = {a; b; ...; z}.
(p; a; p; e) n’est pas un 4-arrangement de E alors que (p; r; o; f ) est un 4-arrangement de E.

Théorème 5.30 :
On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E) = n) et p un entier tel que 0 6 p 6 n.
Le nombre d’arrangements de p éléments de E, noté Apn , est :

n!
Apn = n(n − 1)...(n − p) = .
(n − p)!

Remarque 5.31 :
Par convention, on a :
A0n = 1.

Exemple 5.32 :
Ecrire une fonction python Arrangement qui prend en arguments n et p et qui renvoie la valeur de
l’arrangement Apn .

Complément(s) :
Méthode 2 p. 279 :  Dénombrer des k-uplets d’éléments distincts .

Complément(s) :
La vidéo  Dénombrer en utilisant les arrangements .

Définition 5.34 : Permutation


On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E) = n).
Une permutation de E est un arrangement de n éléments de E (c’est-à-dire une n-liste d’éléments distincts
de E).

Exemple 5.35 :
On considère l’ensemble E = {p; r; o; f }.
Les anagrammes (ayant un sens ou non) du mot  prof sont les permutations de E.
Les lister !

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Tle Générale CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT

. Exercice(s) :
TP 1 p. 288

Théorème 5.36 :
On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E) = n).
Le nombre de permutation de E est :
Ann = n!.

Complément(s) :
Méthode 3 p. 279 :  Dénombrer et utiliser des permutations .

Complément(s) :
La vidéo  Dénombrer en utilisant les permutations .

V. Dénombrement des Combinaisons

Définition 5.38 : Combinaison


On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E) = n) et p un entier tel que 0 6 p 6 n.
Une p-combinaison (ou combinaison de p éléments) est une partie de E ayant p éléments.

Exemple 5.39 :
On considère l’ensemble E = {a; b; c}.
• p = 1. Lister les combinaisons de 1 élément.
• p = 2. Lister les combinaisons de 2 éléments.

Remarque 5.40 :
Il est important de retenir que, dans une partie :
• les éléments sont deux à deux distincts ;
• l’ordre dans lequel on écrit les éléments n’a pas d’importance {a; b} = {b; a}.

Théorème 5.41 :
On considère un ensemble E de cardinal fini n (Card(E)
  = n) et p un entier tel que 0 6 p 6 n.
n
Le nombre de combinaisons de p éléments de E, noté et se lisant  p parmi n , est :
p

Anp
 
n n!
= = .
p p! p!(n − p)!

Thomas VISCARRO 7 Spécialité Mathématiques


CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT Tle Générale

Exemple 5.42 :
Ecrire une
 fonction python CoefficientBinomial qui prend en arguments deux entiers n et p et qui
n
renvoie .
p

Remarque 5.43 :
 
n
est appelé coefficient binomial. Nous verrons pourquoi dans un chapitre de probabilités.
p
De plus, ces coefficients sont des entiers, on le démontrera plus tard dans ce chapitre.

Exemple 5.44 :
     
4 6 12
Calculer, à l’aide de la calculatrice, , et .
2 5 8

Complément(s) :
Méthode 2 p. 281 :  Calculer et interpréter des combinaisons .

. Exercice(s) :
Exercices 34, 41 et 42 p. 295.

Complément(s) :
La vidéo  Démontrer en utilisant les combinaisons .

VI. Propriétés des coefficients binomiaux

Propriété 5.46 : Symétrie des coefficients binomiaux


On considère un entier n ∈ N et p un entier tel que 0 6 p 6 n.
On a alors :    
n n
= .
p n−p
Autrement dit, dans un ensemble à n éléments, il y a autant de parties à p éléments que de parties à n − p
éléments (ces deux parties sont complémentaires).

Spécialité Mathématiques 8 Thomas VISCARRO


Tle Générale CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT

Propriété 5.47 :
On considère un entier n ∈ N.
On a alors :        
n n n n
= =1 et = = n.
0 n 1 n−1
Autrement dit, dans un ensemble à n éléments,
• il y a une seule partie à 0 élément : la partie vide.
• il y a une seule partie à n élément : l’ensemble lui-même.
• il y a n parties à un seul élément.

Propriété 5.48 :
Pour tout n ∈ N, on a :
n        
X n n n n
= + + ... + = 2n .
k 0 1 n
k=0

Démonstration exemplaire 5.49 :


On considère l’ensemble E = {1; 2; 3; ...; n}.
L’objectif ici est de dénombrer toute les parties de E. On va procéder de deux manières différentes :
• On va dénombrer toutes les parties deE selon sa cardinalité. On décompose alors le problème
n
— Les parties à 0 élément : il y en a = 1 : c’est l’ensemble vide.
0
n
— Les parties à 1 élément : il y en a
1
— ...  
n
— Les parties à n éléments : il y en a = 1 : c’est l’ensemble E
n      
n n n
D’après le principe d’additivité, le nombre de parties de l’ensemble E est + + ... + .
0 1 n
• Pour écrire une partie de E ou un sous ensemble de E, il suffit de se demander, pour chaque élément
de E, si on l’écrit ou pas. Ainsi, on a :
— Pour 1 : on a 2 choix : soit on l’écrit dans le sous-ensemble ou pas.
— Pour 2 : on a 2 choix : soit on l’écrit dans le sous-ensemble ou pas.
— ...
— Pour n : on a 2 choix : soit on l’écrit dans le sous-ensemble ou pas.
D’après le principe multiplicatif, e nombre de parties de l’ensemble E est 2n .
Finalement, on a :
n        
X n n n n
= + + ... + = 2n .
k 0 1 n 
k=0

Propriété 5.50 : Formule de Pascal


On considère un entier n ∈ N et un entier k tel que 0 6 k 6 n − 1.
On a alors : ! ! !
n n n+1
+ = .
k k+1 k+1

Thomas VISCARRO 9 Spécialité Mathématiques


CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT Tle Générale

Démonstration exemplaire 5.51 :


On démontrera ce résultat de deux manières différentes.

Méthode 1 : Par dénombrement


!
n+1
correspond au nombre de p + 1-combinaisons d’un ensemble E à n + 1 éléments.
p+1
Soit a un élément de E (a est fixé). Il existe alors deux types de sous-ensembles à p + 1 éléments : les
sous-ensembles qui contiennent a et les sous-ensembles qui ne contiennent pas a.
• Si a est l’un des éléments de la p + 1-combinaison,
  il me reste à choisir p éléments parmi les n
n
éléments restants dans E : il y a donc combinaisons.
p
• Si a n’est pas l’un des éléments de la p + 1-combinaison, il me reste
 à choisir p + 1 éléments parmi
n
les n éléments restants dans E (tous sauf a) : il y a donc combinaisons.
p+1
Donc on a bien :      
n n n+1
+ = .
p p+1 p+1
Méthode 2 : Par les calculs
    
n n n+1
1. Exprimer, en fonction de n et p, les coefficients binomiaux et .
p p+1 p+1
     
n n n+1
2. En déduire le résultat : + = . 
p p+1 p+1

Remarque 5.52 :
Pour déterminer les coefficients binomiaux, on peut k ... k k+1
utiliser  le triangle de Pascal . n
Pour cela, on utilise un tableau à double entrée, dans ..
.
lequel :  
n

n

n ...
• chaque colonne représente une valeur de k ; k
• chaque ligne représente une valeur de n . k + 1 
n+1 ... n+1
On résume ce procédé par ce qui suit : k+1

On obtient alors le tableau suivant pour les premières valeurs de n et k inférieures à 5 :


k 0 1 2 3 4 5
n
0 1
1 1 1
2 1 2 1
3 1 3 3 1
4 1 4 6 4 1
5 1 5 10 10 5 1

Complément(s) :
Méthode 2 p. 283 :  Utiliser les coefficients du triangle de Pascal .

Spécialité Mathématiques 10 Thomas VISCARRO


Tle Générale CHAPITRE 5. COMBINATOIRE & DÉNOMBREMENT

. Exercice(s) :
Exercice 47 p. 295.

Complément(s) :
La vidéo  Utiliser le triangle de Pascal .

. Exercice(s) :
Exercice 94 p. 302.

Résumé

Complément(s) :
La vidéo  Arrangement, permutation, combinaison, ... : lequel choisir ? - Terminale .

Méthodologie 5.55 : p-listes ? Arrangements ? Combinaisons ?


Pour savoir si on doit utiliser des p-listes, des arrangements ou des combinaisons, on doit se poser les
questions suivantes :
• les éléments sont-ils répétés ?
• L’ordre des éléments est-il à prendre en considération ?
On résume alors ces critères dans le tableau suivant :
Les éléments peuvent Les éléments sont tous
Critères
être répétés distincts
L’ordre a son On utilise les
On utilise les p-listes
importance arrangements
L’ordre n’a pas On utilise les
d’importance combinaisons

Exemple 5.56 : Euromillion


Sans tenir compte des étoiles, on tire au hasard 5 boules parmi 49.
Combien de tirages possible est-il possible d’effectuer ?

Exemple 5.57 : Podium


10 participants courent un 200 m. Il y aura un podium constitué de trois médaillés : or, argent et bronze.
Combien y a-t-il de podiums possibles ?

Exemple 5.58 : Codes CB


Combien y-a-t’il de codes possibles pour les cartes bleues ?

Thomas VISCARRO 11 Spécialité Mathématiques

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