Prof ROCHDI Mohamed Economie Générale et Statistique

Partie III : TD / Les échanges extérieurs

EXERCICE 1 :

Document 1 : Structure géographique des échanges extérieurs marocains-2008

Continents Importations en Exportations en Soldes en Millions de Taux de couverture
% % DH en %
Europe 61,2 64,3 -99 576,7 50,1
Asie 22,8 16,3 - 48 881,1 34,2
Amérique 10,4 10,5 -17 407,2 48,5
Afrique 5,3 5,1 - 9 489,9 45,4
Océanie et autres 0,3 3,8 + 5062,6 -
100 % 100 % - 170 302,3 47,8
Rapport de l’office des changes, 2008
Document 2 : Quelques indicateurs des échanges extérieurs du Maroc
Indicateurs 2003 2004 2005 2006 2007 2008
Taux de couverture de la balance commerciale 61,7 55,7 52,2 52,1 46,6 47,8
Importations des produits énergétiques en % des 25,2 29,8 41,6 42,0 43,0 46,7
exportations
Facture énergétique en % du PIB - - 7,5 7,8 8,8 10,4
Importations des biens d’équipement en % du PIB 7,1 7,9 8,1 8,6 8,9 10,3
Taux de croissance des importations des produits alimentaires 4,3 16,1 15,2 61,9 65,0 + 19,2
Rapport économique et financier -2009 et 2010, Ministère d’Economie et des finances
Travail à faire
1- Lisez les pourcentages soulignés dans le document 1.
2- Commentez la structure géographique des échanges extérieurs marocains pour 2008. (Document 2).
3- Citez les raisons de la concentration des échanges extérieurs du Maroc sur l’Europe.
4- a- Lisez les nombres soulignés dans le document 2.
b- Appréciez la situation du commerce extérieur marocain (aidez-vous des documents 1 et 2).
5- Interprétez l’évolution du taux de couverture des importations par des exportations.
EXERCICE 2 :
Document 1: Extrait de la balance marocaine des paiements (en millions de DH)
Compte de transactions courantes -571,0 -35 539,0
 Biens -118 436,1 -148 345,5
 Services 57 570,3 + 48 783,4
 Revenus -3 368,6 - 4 004,0
 Transferts courants 63 426,7 + 68 027,1
* chiffres actualisés ** Chiffres provisoires Rapport de Bank Al Maghrib, 2008
Document 2 : Balance commerciale : Le taux de couverture chute de 6 points à fin juillet
A fin juillet, les importations de marchandises (CAF) ont chuté de 21,2%, par rapport à la même période de l’année 2008, à 151
milliards DH. Les exportations (FOB), elles, ont fondu de 32,2%, passant de 100,5 milliards DH à 68 milliards DH. Le déficit
commercial s’élève à 8,4 milliards DH, selon les indicateurs mensuels des échanges extérieurs, publiés récemment par l’Office
des Changes. Quant au taux de couverture, il s’est déprécié de 7,2 points à 45%.
Même constat pour les services qui ont réalisé un solde de 23,59 milliards de DH, mais en baisse de 24,6 % par rapport à la
même période de 2008. Les importations ont progressé de 6,7% à 29,98 milliards de DH, alors que les exportations ont chuté
de 9,8 % à 53,57 milliards. En définitive, la balance commerciale des biens et services accuse un déficit de 50,88 milliards DH,
soit un taux de couverture de 70,5%.Par ailleurs, les transferts MRE ont fléchi de 12,1% à 28,3 milliards DH.
www.lavieeco.com, Mise en ligne le : 02/09/2009

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Document 3 : Evolution des indicateurs du commerce extérieur marocain

Années 2004 2005 2006 2007 2008 2009*

Déficit commercial en milliards de DH 70 85 98 135 170 152
Taux de couverture 55,7 53,8 53,2 48,0 47,8 42,3
Taux d’ouverture 48,7 53,8 55,9 62,4 69,9 50,9

* Chiffres provisoires
www.mce.gov.ma
Document 4 : Taux de croissance du PIB et des importations (en %)

Eléments 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008

Taux de croissance des importations 4,6 4,3 16,1 16,7 14,2 24,1 24,8
(xi)
Taux de croissance du PIB (yi) 4,5 7,1 5,9 4,5 9,4 6,6 11,8

www.co.gov.ma , Rapport 2008

Document 5 : Taux de croissance du commerce mondial en volume, en %

Alternatives Economiques - Hors-série n°80 - Février 2009

Travail à faire :
1- Calculez le taux de variation en %, entre 2007 et 2008, du solde de la balance commerciale, celui de la balance des
transactions courantes et le solde de la balance des invisibles. (document 1)
2- Interprétez la variation du solde commercial.
3- Comparez l’évolution du taux de couverture et du taux d’ouverture (document 3)
4- A partir des documents 2 et 3, présentez les handicaps du commerce extérieur marocain.
5- Proposez quelques solutions permettant de les dépasser.
6- En utilisant la méthode de l’ajustement linéaire par la méthode des moindres carrés, calculez le déficit
commercial prévu pour l’année 2010. (document 3).
7- a- Déterminez, à partir du document 4, l’équation de la droite de la forme y = ax + b selon la méthode des
moindres carrés, sachant que ∑xiyi= 806,55 ; ∑xi² = 1975,24 Arrondir au centième près.
b- Caractérisez la relation entre l’évolution du PIB et celle des importations.
8- Commentez le schéma du document 5.
EXERCICE 3:
Document 1 :
L’ouverture des échanges internationaux et la part prise dans le commerce international peuvent refléter une plus grande aptitude à répondre à
une demande internationale, condition de la croissance et du développement pour les défenseurs du libre échange. L’évolution du commerce
mondiale ne plaide, cependant, pas en faveur d’une intégration profitable pour tous.
Hormis les Etats d’Asie, le reste des pays en développement a plutôt vu sa part dans le commerce international se marginalise r. La
libéralisation des échanges sous la conduite du GATT, puis l’OMC ne s’est pas traduite par une convergence d’intérêt entre chacun des acteurs
de l’économie mondiale. L’intégration s’est, en général, faite sur la base de spécialisations peu avantageuses pour les pays en développement
(PED). En 1960 et 2000, les PED non exportateurs de pétrole ont vu leurs termes de l’échange diminuer d’environ 25 %, et parmi eux les pays
les moins avancés (PMA) on subi une perte de 50 %.

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Sciences Economiques et sociales, Terminale ES ; BORDAS-2003

Document 2 : Etude sur les Accords de Libre Echange

D’emblée, les axes stratégiques retenus par le cabinet en charge de l’étude s’articulent autour de trois priorités. L’étude
recommande d’abord le développement des flux existants aussi bien en volume qu’en valeur avec comme objectif le
positionnement sur le haut de gamme. C’est incontournable pour compenser le manque à gagner résultant du
coût/compétitivité. Les produits ciblés ne sont autres que ceux de l’alimentaire, textiles et cuir…
La diversification des exportations par produits constitue ensuite le deuxième axe. Il s’agit de développer l’offre exportable
en orientant les produits qui se sont bien positionnés sur l’Europe vers le marché américain. Mais encore faut-il aplanir
les difficultés rencontrées par les opérateurs marocains sur ce marché. Pas moins de sept sont recensées. A commencer
par les capacités limitées de servir les grosses commandes. La mauvaise connaissance du système américain et le manque
de promotion et déficit d’image du Maroc se rangent aussi parmi les entraves.
Sans oublier la non maîtrise des normes et la faiblesse de la logistique pour desservir un pays à la dimension d’un
continent. Reste enfin l’aspect compétitivité/prix.
S’agissant de l’accord d’Agadir, la mission du cabinet s’est limitée à déceler les entraves qui handicapent le développement
des exportations du Maroc vers les pays signataires. Quatre types de facteurs de blocage ont été mis en évidence.
Notamment, l’absence de complémentarité entre les économies des pays partenaires. De sorte que tous les pays produisent
les mêmes produits échangés. Cette situation concurrentielle amène certains à multiplier les barrières. De fait, le Maroc
exporte 15 produits sur un seul pays: la Jordanie. Et l’Egypte détient les 2/3 du volume des échanges. Les pays signataires
se trouvent par ailleurs tous liés dans d’autres accords. Seulement, leurs relations commerciales se distinguent par la
faiblesse des échanges et la multiplicité de problèmes.
L’économiste, Edition n° 2989 du 25 mars 2009

Document 3 : L’Accord de Libre Echange entre le Maroc et les Etats-Unis (ALEMEU)

L’ALEMEU signé en 2004, entré en vigueur en 2006, est un accord qui s’inscrit dans un contexte particulièrement marqué
par une multiplication de signatures de contrats libre-échangistes engagés par le Maroc (UE, la Turquie, la Tunisie,la
Jordanie)….
c’est surtout le volet agricole qui fut sujet des débats. En fait, ce secteur économique marocain est déjà très vulnérable à
l’exportation internationale envers ses voisins européens. De plus, vu que l’agriculture fait vivre pratiquement 50% de la
population marocaine on peut imaginer la grande dépendance des marchands locaux ne pouvant concurrencer avec les
grands distributeurs américains, souvent bénéficiaires de subventions substantielles dans le domaine agricole
….À ce jour, deux années après l’entrée en vigueur de l’ALEMEU, les statistiques démontrent de manière évidente que les
exportateurs marocains n’arrivent pas à s’intégrer au marché américain. Malgré qu’il y a eu quelques avancés, plusieurs
facteurs servent à expliquer ce retard de progrès/réussites prévus de prendre effet dès la signature de cet accord.
Premièrement, faute de distance, il semble la majorité des exportations marocaines se concentrent encore vers les
échanges dirigés vers leurs partenaires traditionnels, les européens. Deuxièmement, il semble que les partenaires
américains ne font pas preuve de rechercher activement de nouveaux partenaires marocains. Vu que cet accord est encore
très jeune, il reste à espérer que les déréglementations progressives encourageront de meilleures relations économiques
entre ces deux pays.
Source : e- joussour Dim 02/01/2008

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Document 4 : Echanges commerciaux du Maroc réalisés dans le cadre des Accords d’Association ou de Libre- Echange

Partenaires Importations Exportations Soldes Taux de

En MDH En MDH En MDH couverture
2007 2008 08/07 2007 2008 08/07 2007 2008 08/07 2007 2008

UE 54 961,5 65 808,9 …….. 8 310,2 12 021,8 …….. ……….. ………. ……… …… …….
AELE 1 069,5 1 235,5 …….. 327,5 665,8 …….. ……..… ………. ……… ……. ……
USA 8 075,5 8 273,6 …..…. 124,8 2 795,4 …….. ……….. ……….. ……… …… ……..
Turquie 4 623,6 5 692,8 …..…. 255,2 689,9 …….. ……….. ………… ……… …… …….
Accord d'Agadir 560,2 1 895,0 ……... 6,5 20,4 …….. ………. ………… ……… ……. …….
www.oc.gov.ma, Balance commerciale 2008
Travail à faire :
1- En vous référant au Document 1, relevez puis expliquez :
a) les arguments en faveur du libre- échange ;
b) critiquant le libre -échange.
2- Relevez, du document 2, les conclusions du diagnostic des accords de libre- échange signés par le Maroc.
3- Citez et commentez, en vous référant au document 2, les solutions présentées pour stimuler les exportations
marocaines.
4- Commentez la phrase soulignée (document 2).
5- A l’aide du document 3 et de vos connaissances, citez les handicaps liés à l’accord d’association avec les Etats-Unis ;
6- Complétez le tableau du document 4.
7- Quelles conclusions tirez-vous de l’analyse du tableau du document 4.
8- Déduire des documents ci-dessus, les effets bénéfiques d’une intégration économique sur l’économie nationale.
EXERCICE 4:
Document 1 :
L'inquiétude des partisans du libre-échange s'est nourrie ces tout derniers mois de quelques signes semblant indiquer une
montée des tensions commerciales. L'Inde a par exemple annoncé une augmentation de ses droits de douane consolidés
(les droits de douane maximaux qu'un pays peut imposer). La Russie a déclaré qu'elle allait protéger son secteur
automobile. Les Etats-Unis ont fait savoir qu'à partir du 23 mars prochain, ils imposeront des droits de douane de 300%
sur le roquefort français, ainsi que des augmentations de tarifs sur d'autres produits, en rétorsion au refus des Européens
d'importer du boeuf aux hormones américain. Signe supplémentaire, l'OMC notait à la fin 2008 une poussée des pratiques
d'anti-dumping - l'imposition de droits de douane temporaires pour répondre à ce qui est perçu comme une vente à perte
de la part des entreprises étrangères -, principalement à l'égard de la Chine. A tout cela s'ajoute une montée des politiques
de patriotisme économique, visant à préserver certaines entreprises jugées stratégiques d'une prise de contrôle étrangère.
Alternatives Economiques - Hors-série n°80 - Février 2009
Document 2 :
La panique financière, la récession et les fortes pertes d'emplois subies par la plupart des économies ont fait craindre que les Etats ne
soient tentés par des politiques protectionnistes, afin de reporter leurs problèmes sur les autres. A ces craintes sont venus s'ajouter les
échecs répétés des tentatives pour conclure le cycle de négociations de Doha, censé faire avancer la libéralisation du commerce mondial.
Ainsi, de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) à l'OCDE, en passant par la Banque mondiale, les grandes institutions
internationales n'ont eu de cesse d'attirer l'attention sur ce risque protectionniste au cours de l'année passée….
Les Etats n'ont pas non plus multiplié les politiques de change agressives visant à déprécier leur monnaie pour gagner en compétitivité,
même si la stabilité du taux de change yuan -dollar qu'impose la Chine n'est pas sans poser problème, notamment aux Européens. La
crise s'est surtout traduite par une plus grande volatilité des changes, en particulier pour les devises des pays émergents dont
l'effondrement a tenu à la violence des retraits de capitaux (en particulier en Corée du Sud, en Inde, en Indonésie et en Europe de l'Est).
Alternatives Economiques Hors- série n° 084 - février 2010

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Document 3 : Un accord UE- pays d'Amérique latine met fin à la guerre de la banane
La guerre de la banane oppose depuis des décennies Bruxelles aux grands producteurs d'Amérique latine auxquels se sont
joints les Etats-Unis. Elle s'est attisée en 1993 quand l'UE a décidé d'accorder un régime douanier préférentiel aux pays
ACP (Afrique- Caraïbes -Pacifique), pour la plupart d'anciennes colonies européennes, leur permettant d'exporter des
bananes sans droit de douane vers l'Europe.
L'UE a été plusieurs fois condamnée par l'Organisation mondiale du commerce sur cette question, intégrée dans les
négociations du cycle de Doha sur le commerce mondial. Selon un document de la mission de l'Equateur, les droits de
douane imposés par Bruxelles sur la banane hors ACP vont passer graduellement de 176 euros la tonne actuellement à
114 euros en 2017 avec une première coupe à 148 euros dès le 15 décembre.
Lemonde.fr, Edition du 18/12/2009
Document 4 : Aubaine et revers de l’économie marocaine
Un dollar faible ou plutôt un euro fort est une aubaine pour l’économie marocaine, compte tenu de la structure des
échanges commerciaux du pays marquée par une grande concentration en zone euro.
L’appréciation de l’euro contre le dirham confère un léger avantage compétitif aux exportations marocaines. Aussi un
dirham faible par rapport à l’euro pourrait rendre le Maroc plus attractif pour les touristes européens qui vont bénéficier
d’un effet de change favorable.
En revanche, le revers de la médaille sera le renchérissement des importations des produits en provenance d’Europe. Pour
l’énergie le risque demeure contenu en raison de la faiblesse des cours actuels comparés à la même période de l’année
précédente. La facture pétrolière a baissé de 60% en rythme annuel.
Sur le plan des avoirs extérieurs et en l’absence de chiffres sur la composition des réserves marocaines, nous estimons que
la part du dollar dans les réserves de changes est comprise entre 15 et 20%.
La baisse du dollar aura un impact limité sur la valeur des réserves, dans l’hypothèse où la majeure partie des réserves
est composée d’euros. Les réserves de Bank Al-Maghrib sont passées de 21,6 milliards de dollars à fin juin à 22,3 milliards
à fin octobre de dollars (8 mois d’importations) soit une hausse de 3% alors que dans le même temps les principales
sources de devises du pays continuaient à baisser sous l’effet de la crise mondiale. Cette hausse des réserves de Bank Al-
Maghrib est largement imputée à un effet de change favorable.
www.leconomiste.com, Edition du 22/12/2009
Travail à faire
1- Définir les termes soulignés (document 1).
2- Expliquez les raisons du recours aux mesures protectionnistes par certains pays. (Document 2 et 3).
3- Relevez puis expliquez les instruments du protectionnisme indiqués dans les documents 2 et 3.
4- L’OMC est une instance de régulation du commerce mondial. Expliquez.
5- Citez deux principes de l’Organisation Mondiale du Commerce.
6- Relevez du document 3, le passage qui montre la violation de l’un des principes de l’OMC.
7- Le recours à des mesures protectionnistes par certains pays ne remet-il pas en cause le rôle de l’OMC ?
8- Commentez le passage souligné du document 4.
9- Enumérez les effets d’une appréciation de l’euro sur :
a) La balance commerciale ;
b) Le compte des transactions courantes.

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EXERCICE 4:
Document 1 : Importations et exportations de produits alimentaires, boissons et tabac

Importations Exportations
2007 2008 2007 2008
1000T MDH 1000T MDH 1000T MDH 1000T MDH
Alimentation, boissons et
tabac 8 578,0 26 726,4 8 477,8 31 863,6 2 184,5 24 161,7 2 175,0 26 197,7
TOTAL - 261 287,5 - 326 042,2 - 125 516,9 - 155 739,9
www.oc.gov.ma , rapport annuel 2008

Document 2 : Evolution des prix des exportations et des importations des produits bruts

Prix 2004 2005 2006 2007 2008

Prix moyen d’une tonne exportée en 576 639 715 740 1 629
DH
Prix moyen d’une tonne importée en 2052 2 701 2 022 2 584 4 591
DH
Indice prix d’une tonne exporté 100 ………… ……... ………… ………..
Indice prix d’une tonne importée 100 …….…. ………. …….. ….
Termes de l’échange net (TEN) 100 ……….. ………. ……… ……….
www.oc.gov.ma , Rapports annuels, 2005, 2006, 2007 et2008

Travail à faire :
1- Calculez les termes de l’échange réels (TER) pour l’alimentation, boissons et tabac pour l’année 200 7 et 2008
2- Comparez les résultats obtenus. Conclure.
3- Complétez le tableau du document 2.
4- Interprétez les résultas obtenus.
5- Sachant que le PIB en 2007 est de 616 254 MDH et celui de 2008 : 688 843 MDH, Calculez pour les deux années :
a) Le taux d’ouverture ;
b) Le taux de pénétration ;
c) L’effort d’exportation.
6- Interprétez les résultats obtenus.
7- Rédigez une note dans laquelle vous apportez une appréciation globale des indicateurs du commerce extérieur
marocain.

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