Chougrane-El Had Bohsoussène
Chougrane-El Had Bohsoussène
Chougrane-El Had Bohsoussène
1. La boussole ; pour s’orienter sur le terrain, calcule le pendage et la direction des structures étudiées (faille, plis,
diaclases ……).
2. Le marteau ; pour casser et arracher des échantillons de roches et de fossiles.
3. Appareil photo ; pour prendre des photos sur terrain.
4. La loupe ; pour faire des observations de détails sur terrain.
5. Le carnet de terrain ; pour prendre des notes (dates, arrêt, schémas……).
6. Test HCL ; réalisé sur place, permet d’identifier la nature calcaire des roches.
7. Test de dureté ; c’est une méthode utilisé pour déterminer la nature des roches comme, le verre, l’acier, l’ongle qui d
8. ont des informations sur la dureté relative des roches.
Le bassin d’étudiée est formé par deux parties qui sont géographiquement isolée ;
Bassin de chougrane (20* 7,5 km), et les affleurements restreints d’EL HAD Bouhsoussène (5*1,5 km), dans sa partie
nous intéresse à des études sur le bassin de chougran, qui est formé par des successions lithologique différents, qui
sont géographiquement isolée. La premier constituent correspond deux génération de conglomérats et trois venues
éruptions (les laves sont essentiellement des basaltes), les conglomérats inférieurs, épais d’une dizaine de mètres ne
contiennent pas des galets, de grès et de quartzites du socle.
Alors que les conglomérâtes supérieur renferment autre des clastes du matériel éruptif sous-jacent, des éléments
viséens.Au. Au sommet on note l’abondance de niveau (marnes rouge, et grès fins à ciment argilo-calcareux ou
carbonatés). L’attribution de l’âge permien aux formation de chougrane et fondée sur la datation géochronologique
obtenue sur les formations volcaniques de BIR EL GASSAA (270 + ou – 17 Ma, VAN HOUTEN EN 1976).
URL:httP://dx.doi.org/10.19044/esg.2016.v12n27p81
Le 17/12/2023 à 07 :45 du matin, nous avons fait en première sortie au terrain, lieu visite bassin de chougran, ceci
afin d’appliquer ce qui a été discuté lors des conférences, le module de géodynamique des bassins phosphatés avec
Pr. Mohammed el fartati et Pr. Dresse yaagoub.
Ce bassin appartient à la région BénMellal-khnifra province de khribga, avec des cordonnée géographique ;
L’altitude 32°,8994, longitude 6°,3825 // 32°53’58’’ NORD, 6°22’57’’OUEST, avec un climat méditerranéen et été
chaud.
Le terrain visité, est un rocheux de phosphates, structure tabulaire d’âge crétacée (figure 1 et 2).
STAION 1
س
Après l’observation, on y remarque que, au nord, le bassin formé par deux terrains différents ;
Le premier terrain, c’est de carbonifère « namurien, viséen », avec une couleur verdâtre.
Le deuxième terrain, c’est de permien avec une couleur rougeâtre surmonté par des formations de crétacé.
Mais il y a quand même une contrainte à ne pas oublier, que les deux terrains sont juxtaposés, normalement ils
doivent se chevaucher, mais dans ce cas est non, alors on explique ça par le jeu d’une faille inverse synsédimentairde direction
N40°et d’âge permien. Entre les deux terrains on trouve également une lacune sédimentaire, il s’agit d’une discordance
angulaire c’est-à-dire les couches faits un angle par apport à l’horizontale.
La partie sud représente le terrain crétacé avec une couleur blanchâtre qui repose sur le permien, et entre aux on a une
discontinuité de mayen durée, c’est-à-dire un intervalle de temps non matérialisé par les dépôts.
STATION 2 ; FIGUR 1
Cet arrêt montre que la partie bas formée par des marnes, avec un niveau intermédiaire constitué par des calcaires
blanchâtres, ceci qui indique le passage d’un milieu moyennement profond (dépôts des marnes vers un milieu
profond dépôts des calcaires).
Calcaire est une roche carbonatés chimique, constitué par majoritairement par la calcite(CaCO3). De
nombreux variété de calcaire existent nommée en référence à leur texture.
Les marnes sont des roches détritiques et carbonatée, à texture fine et souvent faible, composée
d’un mélange d’argile et de carbonates.
FIGURE 1 : le gypse
Dans cet arrêt, on a l’apparition d’un nouveau type de roche ce qu’on appelle, le gypse se sont des roches
d’origine sédimentaire, des roches saline de la famille des évaporites qui forment dans un milieu hydrothermal ou
comme produit d’oxydation de sulfate, ce sont des roches incompétent, friable, raye par l’ongle dont les dépôts se
fait dans un milieu fermé avec grand profondeur et calme.
Il s’agit de gypse claire, avec des calcaires et la couleur blanchâtre de gypse due à se pureté, c’est-à-dire constitué
d’un seul élément.
STATION 3 :
FIGURE 1 : L’alternance de calcaire et de gypse
Cet arrêt montre une alternance de calcaire et de gypse, qui sont due à une variation de niveau marin. En l’hiver la
précipitation de calcaire est important et le dépôt de gypse est presque nul, mais que la couleur blanc-gris indique la
présence des impuretés de gypse, dont la composition chimique est combinée d’autres éléments. La couche qui
contient par celle-ci marquer par l’apparition de couleur rougeâtre qui indique la présence d’oxyde de fer, la bande
gypseuse est supérieur à celle de calcaire, dont l’épaisseur de la couche mère à peu près 15 mètres.
STATION 4
F
Cet arrêt caractérisée par l’alternance de trois factices, calcaire, marnes, et le gypse, affectée par une faille
synsédimentaire de jeu inverse, avec une fin pellicule des argiles au niveau de cette formation.
STATION 5
Dans ce stade-là, depuis le stade 3 jusqu’au le stade 5, ce passage est marqué par affleurement de ferreux
magnétique de différent couleur ce sont des moyennement dure. La couleur rougeâtre du fer qu’il oxydé dans un
milieu peu profond et couleur verdâtre indique aussi que le fer est réduit dans un milieu fermé et an oxydé.
STATION 6 :
FIGURE 1 : la dolérit (ou micro-gabbro)
Dans ce stade, marqué par des roches dure, d’origine magmatique dense et massive, avec une texture grenue, les cristaux
observables à l’œil nu, de teint vert-noirâtre, brunâtre par altération qui est formé en profondeur, donc il s’agit d’une roche
plutonique, constitué par des minéraux ferreux magnésien sombre tels que pyroxène, olivine avec un système cristallin
monoclinique, appel aussi diabase.
STATION 7
FIGURE 1 : des schistes
FIGURE 2 : passage anormale entre les dolérites et schistes avec début de schistosité
La figure 1, montre un passage anormal entre la formation doléritique et la formation schisteuse contacté par la
faille. Les schistes se sont des roches métamorphique d’origine argilite, issu d’une métamorphisme régionale, conduit
à la formation des schistes, dont le plan de schistosité de direction N80 et un pendage 70°.
La figure 2, correspond des schistes avec des plans de schistosité parfait, mais dans ce cas ont un changement de
direction et de pendage (N40°, P65°). Le terrain est affecté par la faille normale, de régime tectonique extensive.
STATION 8
Dans ce stade-là, la formation schisteuse subie le plissement dont trois types de plis qui sont :
1. Plie anguleuse : c’est une suit de plie, à charnière anguleuse, avec un flanc plat, ce style de plissement est observé
lorsque les plis changent de style d’une couche lithologique à l’autre, créant ainsi des disharmonies.
2. Plie isoclinale : c’est-à-dire l’angle d’ouverture inférieur à 45°, en ajoute le terme anisopaque lorsque l’épaisseur
des couches variées d’un flanc à l’autre.
3. Plie déversé : l’un des flancs à un pendage à 90°, alors que l’autre supérieure à pendage 90°.
STATION 9 :
STATION 10
STATION 11 :
FIGURE 1 : différent conglomérâtes
Dans cette figure, on y remarque la présence des conglomérâtes avec des formes et de taille différent, des brèches
composées de bloc anguleuse, les poudingues composés de galets de forme arrondi et des tillites qui contiennent à la
fois cailloux anguleuse et des galets arrondi. Cette différents entre aux due au facteur de transporte, ce sont des
roches détritique, hétérométrique polygénique, forment les conglomérats dont les éléments sont soudés par une
matrice sableuses. Avec un granoclassement qui indique que celle-ci se déposée dans le chenal d’étiage et la vitesse
de courant fluviatile très important, donc il s’agit de bordure de bassin.
Résume et conclusion