Fac S4 Les Insruments de Paiement 2014 1
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LES INSTRUMENTS DE
PAIEMENT ET DE CREDIT
PROFESSEUR Chakib EL OUFIR
SEMESTRE 4 DROIT
1
Les instruments de paiement et de crédit-S4- Droit- 2014- Professeur Chakib EL OUFIR
INTRODUCTION
Dans leurs transactions commerciales les commerçants ont
besoin d'instruments de paiement et de crédit capables d'assurer
leur bonne exécution.
Les instruments de paiement et de crédit sont des moyens par
lesquels les créanciers recouvrent leurs créances. Ce sont
généralement la lettre de change, le billet à ordre et le chèque qu'on
appelle classiquement les effets de commerce. Aujourd'hui d'autres
instruments modernes s'imposent avec puissance dans ce domaine
comme les cartes bancaires…
La doctrine tend généralement à exclure le chèque des effets
de commerce parce que le chèque n'est pas un instrument de crédit,
mais ce dernier s'impose de plus en plus de nos jours parmi les
effets de commerce. D'ailleurs, le législateur marocain a fini par
intégrer la législation du chèque dans le code de commerce de 1996
parmi les effets de commerce.
Bien que le chèque soit le seul moyen tiré obligatoirement sur
une banque, actuellement tous les effets de commerce sont
généralement encaissés sur les banques.
Les instruments de crédit sont des titres payables à
échéance1, mais ils peuvent être mobilisés, c'est-à-dire que le
créancier peut obtenir, avant l'échéance, une somme égale à la
valeur de l'effet (moins les agios) en procédant à l'escompte de
l'effet au près de sa banque; celle-ci peut également le réescompter
au près de Banque Al Maghrib.
Les instruments qu'on appelle effets de commerce sont des
titres abstraits et négociables:
1
Mais l'échéance est à court terme (3 mois).
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Signification de la cession au débiteur ou l'acceptation de ce dernier dans un acte
ayant date certaine (article 195 DOC)
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§ 1 - LA CAPACITÉ
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SECTION 2 - L’ACCEPTATION
L’acceptation est l’engagement du tiré donné sur la lettre par
signature de payer son montant à l’échéance à la personne qui en
sera le porteur légitime auquel il ne pourra opposer aucune
exception (par exemple défaut de provision, compensation4 à
l’égard du tireur ou d’un précédent porteur, etc.).
§ 1 - FORMES ET MODALITES
L’acceptation est exprimée par le mot « acceptée » et la
signature du tiré au recto, mais souvent elle résulte de sa simple
signature.
En principe, la présentation de la lettre de change à
l’acceptation n’est pas obligatoire sauf lorsqu’elle est tirée à un
certain délai de vue ; cependant, une lettre sans acceptation est
difficilement négociable car le tiré pourrait refuser de payer.
Le plus souvent, elle est présentée à l’acceptation par le tireur
lui-même pour pouvoir la négocier facilement puisque, à l’égard du
porteur, elle constitue une garantie d’être payé à l’échéance.
Le tiré peut refuser d’accepter en dépit de la provision
présumée exister. Dans ce cas, le porteur peut faire dresser un
protêt faute d’acceptation. Il doit alors en aviser dans les 6 jours son
endosseur, lequel avise son propre endosseur, et ainsi de suite
jusqu’au tireur. Le protêt faute d’acceptation permet au porteur qui
l’a fait dresser d’exercer un recours contre chacun des signataires
avant l’échéance de la lettre de change.
Cependant, l’acceptation est obligatoire entre commerçants,
c'est-à-dire que le tiré, commerçant, ne peut refuser de donner son
acceptation à condition :
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- La compensation est l’extinction réciproque de deux dettes.
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c - La valeur fournie
Si le tireur a émis la traite au profit du bénéficiaire, c’est que
ce dernier a une créance chez le premier ; autrement dit, le tireur est
débiteur du bénéficiaire, celui-ci a du lui fournir une valeur en
échange de laquelle le tireur lui a remis la traite. Cette créance
s’appelle « la valeur fournie ».
B - Inopposabilité des exceptions du tiré au porteur
Le tiré accepteur ne peut pas opposer au porteur les
exceptions que lui-même aurait pu opposer au tireur ou aux porteurs
précédents (article 171). Exemples :
- l’exception de compensation à l’égard du tireur ou d’un
porteur antérieur,
- l’exception basée sur le dol du tireur ou sur une cause illicite
(exception de jeu),
- l’exception basée sur l’absence de cause (inexécution de
l’obligation du tireur), etc.
Dans tous les cas, le porteur ne peut se prévaloir de
l’inopposabilité des exceptions que si le tiré a accepté la traite.
C - Les exceptions opposables au porteur
Cette règle de l’inopposabilité des exceptions n’est cependant
pas absolue ; autrement dit, il existe bien des exceptions que le tiré
peut opposer au porteur. Tels sont les cas lorsque :
- le tiré a une exception personnelle contre le porteur
(compensation par exemple) ;
- le tiré prouve que le porteur « a agi sciemment » à son
détriment ; par exemple, sachant que le tiré lui opposerait une
exception de compensation, le tireur, en connivence avec un tiers,
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- Rappelons que s’il est possible d’endosser une lettre de change au porteur, il est
interdit de l’émettre au porteur.
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§2 - LA PRESENTATION AU PAIEMENT
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- Il s’agit d’une ordonnance sur requête rendue par le président du tribunal de
première instance, faisant droit à la demande du créancier et condamnant le débiteur
au paiement et aux frais.
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§3 - RÉGIME CAMBIAIRE
La plupart des règles de la lettre de change sont applicables
au billet à ordre, notamment en ce qui concerne l’endossement, le
paiement, le recours faute de paiement, le protêt, les prescriptions,
etc. C’est pourquoi le billet à ordre, régi par les articles 232 à 238 du
nouveau code de commerce, ne comporte que peu de dispositions
qui lui sont propres. Le code, en ses articles 234 à 236, renvoie pour
les règles communes aux dispositions de la lettre de change.
SECTION 2 - CONDITIONS DE VALIDITE
Elles sont pratiquement les mêmes que celles de la lettre de
change, sauf pour quelques originalités qu’il convient de signaler.
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Tell
es sont les mentions spécifiques au chèque, quant aux autres
mentions facultatives comme l’aval (inconnu dans la pratique du
chèque) et la clause retour sans protêt, elles obéissent aux mêmes
règles que celles de la lettre de change.
La création du chèque, comme tout autre effet de commerce,
doit respecter non seulement des conditions de forme, mais aussi
des conditions de fond.
§ II- LA PROVISION DU CHÈQUE
La provision est une somme d’argent mise à la disposition du
tireur chez le tiré au moment de la création du chèque.
Cette définition qui résulte de l’esprit de l’art 241 mérite des
observations relatives au contenu de la provision, au moment de
son existence et à la question de son transfert.
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A- LE CONTENU DE LA PROVISION :
La provision du chèque peut être constituée par :
* Le dépôt de fonds chez la banque, c'est-à-dire par le
versement de sommes d’argent dans le compte du client de la
banque (le tireur).
* La remise d’effets de commerce à l’encaissement par la
banque pour le compte de son client (des lettres de change, des
billets à ordre ou des chèques). Mais il est important de noter que la
simple remise de ces effets au banquier ne constitue pas la
provision et ne donne pas droit d’émettre des chèques sous peine
d’émission de chèque sans provision. Celle-ci n’existera en effet
qu’après l’encaissement de ces effets par la banque (Art.502 c.
com.). Cependant, en cas de besoin urgent de fonds par le client
remetteur, la banque peut procéder :
- soit à l’escompte des effets : moyennant des agios, la
banque acquiert alors la propriété des effets (par la voie de
l’endossement translatif) et devient redevable de leur montant
qu’elle doit inscrire aussitôt sur le compte du client-remetteur ;
- soit à l’avance sur recouvrement en créditant
immédiatement le compte du client-remetteur du montant des effets
remis à l’encaissement ; la banque n’acquiert pas la propriété des
effets, elle reste un simple mandataire (endossement par
procuration) et octroie seulement une avance (un crédit) à son client
en attendant l’encaissement des effets.
* La provision peut aussi résulter d’une ouverture de crédit.
Mais il convient de distinguer entre une ouverture de crédit qui
résulte d’une convention écrite entre le banquier et le client et les
simples facilités de caisse qui ne sont que des tolérances bancaires
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Il reste quand même au porteur une solution judiciaire. Au cas où la banque refuse de
payer un chèque pour provision insuffisante, sans motif légal, le porteur peut saisir le
président du tribunal qui peut ordonner le constat de la situation, ou adresser une
injonction à la banque ou tout autre mesure urgente, pour pouvoir exercer ensuite ses
droits et réclamer dédommagement.
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B – LA RÉPARATION DE L'INCIDENT
La loi permet au titulaire du compte qui reçoit l’injonction de
retrouver la faculté d’émission des chèques à condition de
régulariser l’incident et de payer une amende forfaitaire.
a - La régularisation
Pour recouvrer sa faculté d’émission, le tireur a le choix entre
deux procédés de régularisation :
- soit la régularisation directe : c’est à dire le règlement du
montant du chèque impayé entre les mains du porteur, il doit alors
présenter le chèque acquitté au tiré ;
- soit la régularisation indirecte : en constituant une provision
suffisante et disponible pour le règlement du chèque par les soins
du tiré. On remarquera que si le texte exige une provision
disponible, c’est pour indiquer au titulaire du compte de ne pas en
disposer (notamment par l’émission d’un autre chèque) et la laisser
à la disposition du porteur du chèque objet de l’incident. Autrement,
le banquier n’a pas l’obligation de bloquer cette provision au profit
de ce porteur et si un autre chèque est présenté au paiement, le tiré
ne peut refuser de le payer.
b - L’amende forfaitaire
Après la régularisation, le tireur doit s’acquitter d’une amende
forfaitaire dont le taux dépend du nombre de répétition des incidents
de paiement : (art.314)
- A la 1ère injonction, le taux de l’amende est de 5 % du
montant du chèque impayé.
- A la 2nde injonction, ce taux est de 10 %.
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Suivant les cas relatifs à l’ouverture du compte, ou à la délivrance des formules de
chèques, ou à l’injonction de restituer ces formules, ou aux déclarations qui doivent
être faites à B.M.
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L’Economiste Edition N° 3636 du 13/10/2011
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L'économiste Édition N° 3674 du 2011/12/09
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http://www.cmi.co.ma/ Crée par les banques marocaines sous forme de Société
Anonyme en 2001, le Centre monétique interbancaire (CMI) a pour rôle de gérer les
relations monétiques de paiement avec les commerçants marocains et de traiter les
retraits interbancaires marocains.
16
http://www.cmi.co.ma
17
L'économiste Édition N° 4149 du 12/11/2013
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18
L'économiste Édition N° 4166 du 2013/12/06
19
L'économiste Edition N° 4192 du 16/01/2014
20
Articles 329 à 333.
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§ I - ASPECTS CONVENTIONNELS
En effet, l’article 329 du code de commerce s’est contenté de
laisser aux parties (les établissements émetteurs, les commerçants
adhérents et les titulaires des moyens de paiement) la « liberté » de
déterminer dans leurs conventions les conditions et les modalités
d’utilisation des moyens de paiement.
Il faut reconnaître que cette liberté reste limitée dans son
champ dans la mesure où ces conventions demeurent l’œuvre
exclusive des établissements émetteurs qui en délimitent les
conditions et les modalités :
- Du côté des titulaires, ces cartes sont d’une part, et
contrairement au chèque, payantes puisque les banques prélèvent
périodiquement le montant de leur cotisation ; d’autre part, leur
usage reste limité, pour la procuration de biens et services, aux
seuls commerçants agrées et dans la limite du plafond garanti.
- De leur côté, les commerçants agréés se plaignent des
charges financières que le CMI retient sur le montant des factures
qui varient en pourcentage de 1 à 3 %22 pour couvrir les coûts de la
garantie attachée aux cartes.
C'est la raison pour laquelle beaucoup de commerçants
hésitent à s’équiper de terminaux en raison de la commission qu’ils
estiment trop élevée, prélevée sur chaque transaction. Et plusieurs
parmi ceux qui en sont équipés refusent le paiement par carte pour
21
Il s'agit des conventions entre établissements bancaires (établissements émetteurs)
et la clientèle (titulaires de moyens de paiement) et des conventions entre le CMI et les
commerçants adhérents.
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BIBLIOGRAPHIE
A – DROIT MAROCAIN
- CHAFII (M), Les effets de commerce à la lumière du nouveau code
de commerce, Marrakech, Walili, 1998, (en arabe).
- CHOUKRI SOUBAI (A), Traité des effets de commerce – TI : La
lettre de change et le billet à ordre, Rabat, Imprimerie Al Maarif Al
Jadida, 1998, en arabe.
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a- Constitution de la provision..............................................9
b - Propriété de la provision.................................................9
c - La valeur fournie...........................................................10
B - Inopposabilité des exceptions du tiré au porteur..............10
C - Les exceptions opposables au porteur.............................10
D - Les effets de complaisance et de cavalerie......................11
Section 3 - LES GARANTIES DE PAIEMENT DE LA LC...............12
§ 1 - LE TRANSFERT DE LA PROPIETE DE LA PROVISION. 13
§ 2 - LA SOLIDARITE................................................................13
§3 - L’AVAL................................................................................14
Section 4 - LA CIRCULATION DE LA LETTRE DE CHANGE.......14
§1- L’ENDOSSEMENT TRANSLATIF DE PRORIETE..............14
§2 - L’ENDOSSEMENT PAR PROCURATION..........................15
§3 - L’ENDOSSEMENT PIGNORATIF.......................................16
Section 5 – PAIEMENT DE LA LETTRE DE CHANGE..................16
§1- L’ECHEANCE......................................................................16
§2 - LA PRESENTATION AU PAIEMENT.................................17
Section 6 - LES OBSTACLES AU PAIEMENT DE LA LC..............18
§1 - L’OPPOSITION AU PAIEMENT..........................................18
§2 - LE REFUS DE PAIEMENT.................................................18
A - Le protêt...........................................................................18
B - Le cas de dispense du protêt...........................................19
Section 7 - LES RECOURS............................................................20
§1 - LES RECOURS DU PORTEUR DILIGENT........................20
§2 - LES DECHEANCES DU PORTEUR NEGLIGENT.............20
§3 - LES PRESCRIPTIONS DES RECOURS............................21
CHAPITRE 2 - LE BILLET A ORDRE.................................................22
Section 1 - SPECIFICITES.............................................................22
§1 - DÉFINITION........................................................................22
§2 - NATURE DU BILLET À ORDRE.........................................22
§3 - RÉGIME CAMBIAIRE.........................................................23
Section 2 - CONDITIONS DE VALIDITE........................................23
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