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TD N°4

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TD N°4 : Erquy LE val André Lamballe

Sujet d’étude principal des systèmes d’élevage

Carte Top 25
Fonction touristique présente, car série top 25
Territoire breton, on a à faire à une situation littorale
Dans la baie de St-Brieuc
Littoral orienté vers la Manche
GRP de Penthièvre permet de nommer le petit pays où on est, ici dans la Penthièvre.
Dans l’armor ici (opp. A l’argoat) mais aperçu de l’argoat
L’espace littoral : def restr : le littoral est la zone de contact entre la mer et la terre, une bande
comprise entre le niveau des basses mers maximal et la plus grande transgression aux marées les plus
hautes différent d’une ligne = espace.
Ligne bleue sur la carte = zéro latitude maritime, laisse de basse mer, ligne orange = zéro terrestre =
ligne moyenne d’atteinte des eaux à marée haute. (Mesure basée sur marégraphe de Marseille)
l’estran s’étend au-delà. => ligne de l’espace
L’espace littoral inclut des formes originales, logiques d’érosion, d’ablation = travail de la mer
provoque des caract. érosifs pour falaises (diff d’accumulation) ici côte rocheuse.
Littoral = influence importante sur le climat. Brutalité des changements des systèmes climatiques
littoraux. Niveau d’ensoleillement plus élevé sur les côtes, exposition aux vents. Présence d’éoliennes
marines, etc.
Espace inégalement large, balancement des marées.
Géographie humaine : def littoral = zone interface entre s maritime et littoral qui amène à réfléchir le
littoral sur un espace beaucoup plus important (10-20km dans les terres) : bande de contact terre-
mer + bande d’avant-pays maritime (en mer) + arrière-pays terrestre parfois qualifié de rétro-littoral
pour qualifier les communes en relations avec la mer mais pas directement en contact avec celle-ci
(aspect résidentiel, etc.). => épaisseur de l’espace
Littoral = étendu en France mais reste espace limité en superficie, considéré comme un bien rare,
attractif.
Prise en compte spécifique par la loi littoral des 1986 : prends en considération les spécificités du
milieu littoral : institution d’une bande de 100m aux abords du littoral pour préserver cet espace
fragile. En lien avec le PLU = obligation de former PLU pour les communes littorales.
Espace d’étude reprend les caractéristiques générales de la Bretagne, une côte rocheuse,
extrêmement découpée, voc spécifique : pointe, cap, anse, plage, grève (accumulation de sédiments
grossiers). Terme de falaise, commandement de 40m. Petits récifs (rochers).
Zone intertidale plutôt large + /- importante, + secteur de rentrant + intertidale épais
Sur parties saillantes, on a des platiers rocheux d’abrasion. Attention : en Bretagne des côtes à ria, liés
aux petits fleuves côtiers.
Slikke (dépôt vaseux souvent sour l’eau) et schorre (vie végétale svt émergé, pré salés, toponyme de
Bretagne/ Normandie herbus, en Picardie : Moliaire, en Camarguee : sansouir) dans estran.
Zone littoral = peuplement plutôt dense avec plusieurs villes, avec villages avec gros bourgs.

I. Une région orientée vers un système agricole productiviste


II. Un système agricole aux lourds effets environnementaux et paysagers
a. Elevage intensif et débocagisation, un cocktail explosif

Valorisation des effluents par épandage.


Sur production => pollution
Dégradation de la qualité des eaux des rivières = disparition des salmonidés, problème de captage
d’eau pour utilisation humaine.
Débocagisation a tendance à accentuer les effets des effluents. En Bretagne, bas plateaux avec
variation de pentes assez importantes => favorise le ruissellement suite à la dégradation du bocage.
Accumulation au fonds des baies (ex : Saint-Brieuc)
Dégradation des haies peut avoir des effets sur des processus d’envasement = augmentation du flux
d’eau = augmentation de la quantité de sédiments transporté ce qui favorise l’envasement
Débocagisation en lien avec augmentation des risques d’inondation (ex : Morlaix, Quimperle)
Dégradation des biotopes des haies
Effets en terme paysager = dégradation = banalisation des paysages
! On dit bocage dégradé et non « Open-field »

b. Des conséquences largement délocalisées sur un littoral touristique.

La question des algues vertes se manifeste sur la zone côtière.


Espace à valeur écologique importante (visible par la présence de protections environnementales)
Baie de Saint-Brieuc dans réserve naturelle or accumulation d’algues vertes dans ces espaces.
Effets sanitaires sur les personnes (décomposition)
Région a des activités conchylicole (conchyliculture = élevage des mollusques)
 Branche Mytiliculture (Moule)
 Branche Ostréiculture (Huitre)
Demande bonne qualité des eaux face aux bactéries ou algues vertes
Terme de bouchot : poteau sur lequel les moules se développent
Parcs sur le domaine public = licence pour culture
Disposés sur le littoral dans les estrans
Zone méditerranéenne : Etang de Thau à Sète
Pollution influe sur activités littorales
Fermeture de plages

Parenthèse :
Tourisme : Un ensemble spécifique relativement autonome
Analyse des aménités : facteurs d’attraction qui amène à choisir un lieu plutôt qu’un autre
Il est remarquable que le regard sur des lieux peut avoir évoluer : mutation des représentations,
devenir quelque chose de favorable (ex de la mer qui a été historiquement répulsif, autour de
l’imaginaire religieux, du naufrage)
Tourisme : né en Angleterre au 18ème siècle.
Tourisme : se déplacer pendant une période plutôt longue (excursionniste : se déplacer moins de
24H)
Attraits d’un lieu : dimension climatique (soleil, température) = héliotropisme (attrait pour les climats
sains = vocation thérapeutique, air considéré + sain pour soigner des maladies comme la
tuberculose ; quand on voit des instituts médicaux sur les côtes), dimension paysagère,
environnementale = dimension spectaculaire (littoraux, montagnes) comme les côtes escarpées, le
paysage marin également = haliotropisme, sentiment de sublime, belle campagne, forêt d’île de
France ; Possibilité de la baignade = Balnéotropisme, dimension thérapeutique, les littoraux qui s’y
prêtent le plus (côtes sableuses) on peut voir la différence sur la carte = dissymétrie ; la présence du
thermalisme = présence de villes d’eaux, sources spécifiques (cure = dimension thérapeutique) ;
Patrimoine culturel, historique (cités médiévales) important. Terme de « petit patrimoine ».
Aménités ont favorisé processus de mise en tourisme : transformation d’un lieu en milieu
touristique : se traduit par une offre de loisir, identifié à partir d’infrastructures (parking, table
d’orientation, promenade), identification des pratiques de plages : baignade (surveillée ou non) =
activité dominante, activités dites ludosportives parfois visibles sur les cartes (spot de surf par ex),
conflits d’usages sur la plage = gestion de l’espace de la plage ; pratique de la plaisance (ports de
plaisance) Marina = port conçu avec l’habitat.
Qualité du plan d’eau pour la pratique de la plaisance
Activités greffées au tourisme : parc d’attraction, aquarium, zoo, accrobranche
Offre d’hébergement importante : apprécier la part de l’hébergement non-marchand (résidence
secondaire) rapport nombre de pavillons / rapport à la population ; et la part d’hébergements
marchands : Hôtel, camping, centres de vacances, colonies de vacances. (Tourisme social)
Côte aquitaine : mission d’aménagement de la côte (MIACA), mise en place de station balnéaires et
de campings entre les stations
Camping naturiste
Aménagement de Perpignan, le long de la côte, organisé autour de marina
Volonté de l’Etat de développé ce tourisme = évite processus de mitage du au phénomène
touristiques.
Aider à la massification du tourisme, capter la clientèle touristique française et internationale (limiter
le flux vers l’Espagne).
Identifier si le tourisme joue un rôle prépondérant dans l’économie locale
Tenter d’utiliser la typologie
Tourisme de masse répond. À sea, sand and sun (ex : côte d’azur), tourisme ouvert, concerne tous les
publics, en opposition à des tourismes à l’intensité + faible = tourisme vert, formes de pratiques
touristiques diffuses, faible densité.

III. Des tentatives de régulation difficiles à mettre en œuvre

Ensemble d’action des pouvoirs publics qui tentent de réguler ces actions.
Création d’un centre d’étude et de valorisation des algues.
 Améliorer la connaissance
Volonté des acteurs locaux à participer à une restauration du bocage cf.Doc
Région Bretagne à l’origine d’un programme Breizh bocage.
Porter la restauration d’un bocage stratégique = restaurer des haies ayant un fort intérêt b != de
recomposer le bocage ancien = ingénierie bocagère
Depuis 1991, l’UE a pris une directive nitrate qui désigne des espaces dans lesquels il y a un excès
d’effluents et qui oblige à mettre en place des plans d’épandages pour répartir les effets de
l’épandage. Se pose la question d’autres usages des effluents au travers de méthaniseurs.

Pour conclure, prendre en considération la difficulté des pouvoirs publics à mettre des régulations en
place avec des conflits d’intérêt. Agriculteurs pris au piège dans le système productiviste.
Conflits d’usage avec les associations environnementales.

Complément sur les questions littorales : Carte le Tréport

Côtes d’érosion à falaises non sinueuses mais linéaires, côtes à falaises très rectilignes
Falaise à craie, question de l’érosion
Apprécier le phénomène d’érosion : si les roches sont plus ou moins cohérentes
Signes d’érosion : largeur du plateau rocheux : plus plateaux rocheux large, plus érosion rapide depuis
la transgression flandrienne ; Dimension aérienne de l’érosion par le relief, eau, etc. ; signes
d’éboulement
Présence de corridors où l’érosion de la falaise plus rapide que le creusement de la falaise par des
cours d’eau. => Valleuses
Repérer sur la côte atlantique = aller chercher les blockhaus et leur géolocalisation, présence de
bâtiments sur le bord des côtes

Risque = aléa + vulnérabilité


Equipements ayant pour but de ralentir les phénomènes d’érosion. (Ex : enrochement)
Brise lame // à la côte
Des épis perpendiculaires à la côte = phénomène important dérive littoral = permet de briser énergie
de la houle et maintient le sable sur la plage = accumulation sédimentaire

Côtes d’accumulation vaseuse ou sableuse = mettre en regard avec l’énergie de la houle


Rivière = capacité de charge faible en littoral = dépôt vaseux
Figurés sur cartes : dans l’eau permet de rendre compte des zone vaseuses, etc. (Shlik/ shore) nommé
différemment selon les localités (ex : Mont St Michel = herbus ; Molière en Picardie ; Sansouires =
camargue)
Existence de vastes marais maritimes anciens = souvent modifier pour les rendre cultivables = Polder
mis en place à partir de digues
Présence étalée sur le territoire Français : Nord : Flandres littoral, Baie de somme, Picardie, Baie de
Seine, Marais du cotentin, Baie du Mont St-Michel, Marais de la brière, Marais Breton, Marais
Poitevin, Marais charentais
Présence d’institutions monastiques (Abbaye, etc.) = rôle important des religieux dans la
polderisation.
! Aux termes Hollandais
Présence de digues : à la mer = la dernière réalisée et des digues mortes = ne servent plus pour le
barrage à l’eau mais peut servir à la mobilité
Un réseau hiérarchise d’étiers, c’est-à-dire de fossés de drainage car eau s’écoule mal. = Soulage la
zone marécageuse. Evite inondation + empêche animaux de divaguer.
Noms très variables des étiers
Importance des écluses à la mer = permet l’évacuation maximale des eaux.
! Nom Marais salent = plus de marais à ces endroits là
En arrière de la côte marécageuse = Falaise morte = ancienne limite du littoral, maintenant en retrait
du littoral.
Marais salent Atlantique : Repérer les cristallisoirs = œillet
Entreprise : Saline du midi = Sel la Baleine
 Faillite des marais du littoral atlantique
 Reste sel de Noirmoutier et sel de Guérande
Espaces de marais salent reconvertis sous la forme de pâtures
Bassin d’affinage pour les huîtres : claires, remplace les anciens marais
Importance des usages agricoles spécialement de la grande culture dans les polders
Cynégétique = chasse avec gibier d’eau (trou d’eau dans marais maritimes)
Dispositifs de protection de la nature = considération de ces zones humides = convention de RAMSAR
Richesse biologique des lieux, lieux de nidification
 Développement du tourisme vert
Accumulation des secteurs sableux : accumulation
Situations différentes : grands linéaires sableux = cordon littoral = rectiligne, certains sont très long
Certaines situations originales : Flèche littorale = Poulier = processus d’engraissement fait parfois face
à un musoir = zone d’érosion
Flèche perpendiculaire au rivage = Tombolo (ex : Quiberon, Hyère)
Fermer en arrière une lagune = (ex : Palavais les flots près de montpellier) Lac en communication avec
la mer, connecté par des grau
Dune parabolique, Barkhanes(voutées vers la mer)
Lette = espace déprimé en arrière-dune = parfois accès à l’eau douce
Distinction nette entre forêt de protection et de production.
Evolution du style végétal = dune blanche (peu de végétaux, quelques plantes)
Dune grise (1er sol formé, couvert végétal plus important)
Dune verte (couvert végétal important) stabilisation du cordon dunaire en France / plantation
d’arbres sur dunes littoral. Protection des plantations en // = protection du littoral et maintient de la
bande littorale. != de forêts naturelles
Il est remarquable sur ces forêts de protection (habitation ou espace agricoles) = forêts domaniales
géré par l’état dont une partie a été rétrocédé pour construire des stations balnéaires

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