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Nouvelles Technologies de L'information Et de Communication

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CHAP I DEFINITIONS CONCEPTUELLES DES MOTS UTILISENT


DANS LE TRAVAIL

I.0. Introduction

Les règlent scientifique nous obliquent à clarifier les termes usés dans
ce travail de fin d'étude dans le but de lever les équivoques que peuvent avoir les
concepts dont nous avons fait usage. C’est ainsi que dans ce chapitre nous
sommes appelés à définir tous les concepts relatifs au sujet sous examen et
ensuite nous parlerons de concepts y afférents.

I.1 APPORT1

1. Action d'apporter, de procurer quelque chose ; ce qui est apporté :


L'apport de capitaux dans une entreprise.

Synonymes : appoint - concours - participation

2. Part, contribution, participation à une œuvre, à une action : L'apport de


la civilisation grecque à l'art.

3. Biens que chaque époux possède au jour du mariage ou qui leur sont
échus depuis par succession ou libéralité.

4. Bien mis à la disposition de la société par l'associé, consistant en une


somme d'argent, en meuble, en immeuble ou en activité (dit apport en industrie),
et qui permet l'exploitation de l'objet social. (L'associé reçoit en contrepartie le
droit au bénéfice et celui d'intervenir dans la gestion de la société.)

I.2. NTIC2

I.2.1 Définition

L'acronyme NTIC (ou « TIC » équivalent de l'anglais ICT : «


information and communication technologies ») désigne l'ensemble des
technologies permettant de traiter des informations numériques et de les
transmettre. L'expression « nouvelles technologies de l'information et de la
communication » désigne donc une combinaison d'informatique et de
télécommunications, mais elle s'est plus spécialement répandue dans le contexte
du réseau Internet et du multimédia, c'est-à-dire de l'information audiovisuelle
1
Https://www.Larousse.fr/Dictionnaire/français/apport
2
Https://www.Larousse.fr/Dictionnaire/français/NTIC
Page |2

numérisée (images et sons, par opposition aux données de type texte et chiffres,
moins volumineuses, qui constituaient l'essentiel des données transitant par les
réseaux jusqu'au développement du web et du protocole http).

I.3 ENSEIGNEMENT3

Etymologie : dérivé du verbe enseigner, du latin populaire insignare, du


latin classique signare, imprimer un signe, une trace, mettre une marque,
signaler une chose.

L'enseignement est : l'action ou la manière d'enseigner, de transmettre


des connaissances ou des savoirs nouveaux. Elles sont mises en pratique par
l'enseignant.

Exemples : son enseignement est de grande qualité, l'enseignement


assisté par ordinateur (EAO).

Synonymes : instruction, éducation, pédagogie.

L'enseignement se distingue de : l'apprentissage qui est l'activité de


l'élève lorsqu'il s'approprie des connaissances.

L’éducation dont le but est l'acquisition globale des connaissances d'un


individu à différents niveaux (intellectuel, moral, social, scientifique, etc.).
L'enseignement est l'une des composantes de l'éducation.

La profession, la carrière de ceux qui enseignent.

Exemple : il est entré dans l'enseignement.

Synonyme : professorat.

Souvent au pluriel, les connaissances nouvelles, les savoirs ou les leçons


que l'on retire d'une expérience ou d'un exemple.

Exemples : cette aventure est riche d'enseignements, un échec est souvent


source d'enseignements.

Synonymes : leçon, morale de l'histoire.

Synonymes : précepte, leçon, règle, prescription, principe, morale.

3
Https://www.Dictionnaire-juridique.com/Définition/Ensegneiment.Php
Page |3

Par extension, le savoir qui est transmis.

Exemple : l'enseignement de l'Histoire.

Exemples : L'enseignement primaire, l'enseignement supérieur,


l'enseignement public.

Le télé-enseignement (ou téléenseignement) est un enseignement qui


s'opère à distance en utilisant des moyens de transmission : correspondance,
audiovisuel, Internet, etc.).

I.4. COURS4

I.4.1 Définitions

1. Ensemble de leçons, de conférences données par un professeur et


formant un enseignement : Le cours d'histoire, de dessin.

2. Enseignement donné suivant un horaire déterminé à l'intérieur de


l'institution scolaire ou universitaire ; contenu de cet enseignement : Le cours de
français porte sur le XVIIe et le XVIIIe s.

3. Chacune des leçons, des conférences dont l'ensemble représente un


enseignement : Le cours avait lieu à dix heures.

4. Enseignement donné dans un domaine d'activité quelconque ; leçon :


Cours de ski.

5. Manuel traitant d'une matière déterminée : Acheter un cours


polycopié.

Synonyme : traité

6. Division correspondant à un degré déterminé d'enseignement : Cours


préparatoire. Cours élémentaire. Cours moyen.

7. Appellation de certains établissements privés d'enseignement.

Synonymes : académie - conservatoire - institut - institution

I.5. INFORMATIQUE5

4
Https://www.wikipédia/définition/Cours.html
5
Https://www.wikipédia/définition/informatique.html
Page |4

L’informatique est le domaine d’activité scientifique, technique et


industriel du traitement automatique de l’information par des automates. Plus
concrètement, ces automates peuvent être des calculateurs, des systèmes
embarqués, des ordinateurs, des robots, etc.

I.5.1. Origine du mot Informatique

Le terme « Informatik » est créé en 1957 par un ingénieur allemand du


nom de Karl Steinbusch dans son essai intitulé «Informatik : Automatisés
informations verabeitung », pouvant être traduit en français par le titre «
Informatique : traitement automatique de l’information » En Mars 1962, le
terme « Informatique », est utilisé pour la première fois en France par Philippe
Dreyfus, ancien directeur du Centre

National de Calcul Electronique de Bull (CNCEB), pour son entreprise


« Société d’Informatique Appliquée » (SIA). Ce néologisme est formé par la
contraction de deux mots : « Information et Automatique ».

I.5.2. Domaines d’application de l’informatique

Ainsi, on distingue quatre grands domaines d’application de


l’informatique à savoir : l’informatique scientifique, l’informatique de gestion,
l’informatique industrielle et l’informatique technique.

I.5.2.1. Informatique scientifique

Elle consiste à aider les ingénieurs de conception dans les domaines de


l’ingénierie industrielle à concevoir et dimensionner des équipements à l’aide de
programmes de calcul : réacteurs nucléaires, avion automobiles.

I.5.2.2. Informatique de gestion

L’informatique de gestion est l’ensemble des connaissances, des


technologies, et des outils en rapport avec la gestion de données, c’est-à-dire la
collecte la vérification et l’organisation de grandes quantités d’informations.

L’informatique de gestion est le domaine de l’informatique se


concentrant sur la programmation de logiciels tournés vers la gestion :
comptabilité, facturation, finances, ressources humaines, gestion des stocks,
logistique, gestion de la production, suivi clients…
Page |5

Elle se caractérise par la conception, le développement et la mise en


œuvre d’application informatique dédiée au management (gestion
administrative, commerciales, RH) de l’entreprise, au suivi des clients et aux
relations avec les fournisseurs (facturations, comptabilité).

I.5.2.3. Informatique industrielle

L’informatique industrielle couvre l’ensemble des techniques de


conception d’analyse et de programmation de système à base d’interfaçage de
l’informatique avec de l’électronique, électrotechnique, mécanique, robotique,
etc., à vocation industrielle.

I.5.2.4. Informatique technique

Le programme d’études Techniques de l’informatique vise à former des


techniciennes ou techniciens en informatique qui exercera leur profession dans
les domaines du développement d’application et de l’administration des réseaux
informatiques.

Le technicien informatique s’occupe de l’installation et du branchement


des différents périphériques qui constituent un réseau informatique. Il est
habilité à définir les composants de ce réseau et à les lier l’un à l’autre.

I.5.3. Différentes branches de l’informatique

Les cinq grandes disciplines de l’informatique sont les suivantes :

 Sciences informatiques
 Génie informatique
 Système d’information
 Technologie de l’information
 Génie logiciel

I.5.4. Informatique et société 6

L'étude des interactions entre l'informatique et la société offre un intérêt


tout particulier. En effet, l'informatique, science du traitement automatique de
l'information, voit son champ s'élargir sans cesse. Grâce au développement des
recherches (systèmes experts, reconnaissance des formes, représentation des
connaissances, logiciels interactifs et communication homme-machine...) un
6
Https://www.wikipédia/informatique et société.com
Page |6

nombre de plus en plus grand d'activités humaines peuvent être complètement


ou partiellement formalisées et automatisées.

Ainsi, l'informatique est aujourd'hui au cour des technologies de


l'information et de la communication.

Or, ces technologies se différencient des autres techniques dans la


mesure où elles présentent un triple aspect : « universel », « intellectuel » et «
opérationnel ». L'universalité de ces technologies est liée à leur caractère
transversal. Elles pénètrent progressivement l'ensemble du tissu social et sont
virtuellement utilisables dans tous les secteurs d'activité et pour toutes les
fonctions, dans les usines et les bureaux comme dans les foyers.

L'aspect intellectuel de ces technologies réside dans le fait que tout


utilisateur d'un système informatique ou informatisé doit développer une activité
intellectuelle ; il doit faire appel à des processus cognitifs (représentation,
abstraction, mémorisation, raisonnement, prise de décision...).

Enfin, par l'intermédiaire du système informatique l'homme a prise sur le


réel : concevoir et produire des biens et des services, faire de la recherche,
communiquer, s'informer, se faire aider dans les prises de décision, etc. Cette
possibilité de modifier le réel confère bien à l'informatique un caractère
opérationnel.

Tout au long des années soixante-dix il est apparu que le développement


de l'informatique et l'informatisation multiforme de la société posaient avec de
plus en plus d'acuité tout un ensemble de problèmes d'ordre juridique (protection
de la vie privée et des libertés, sécurité des systèmes informatiques et propriété
des logiciels...), d'ordre économique (productivité des entreprises, indépendance
industrielle...), d'ordre social (organisation et conditions de travail, emploi,
qualifications, formation...), d'ordre culturel (accès au savoir, communication,
création...). L'analyse et l'étude de ces enjeux permettent de sensibiliser les
élèves à ces problèmes, de développer leur réflexion et leur esprit critique.

Le thème « Informatique et Société » est devenu aujourd'hui une


composante importante de la culture générale.

II.6.Degré élémentaire 7eme et 8eme

Le système éducatif congolais est organisé en deux structures :


Page |7

o L'enseignement formel;
o L'éducation non formelle.

L'enseignement formel est dispensé sous forme d'enseignement


clasisique et spécial7.

L'enseignement classique est organisé en quatre structures :


maternelle, primaire, secondaire, supérieur et universitaire. Le niveau maternel
est organisé en cycle unique de trois ans. Le primaire obligatoire et
complètement gratuit dure six ans et est organisé en deux cycles de trois
années chacun.

Le niveau secondaire comprend le secondaire général, les humanités


générales, les humanités techniques et professionnelles. Le secondaire général
est organisé en cycle de deux ans (7 ème et 8 ème).

A la fin du secondaire général, le ministère de l'enseignement primaire


secondaire et technique organise le Test National de Sélection, d’Orientation
Scolaire et Professionnelle "TENASOSP" qui sanctionne la fin du cycle terminal
de l'enseignement de base en vue de dégager le profil psychologique de
chaque élève qui y participe, d'orienter ce dernier selon ses aptitudes, ses
goûts ses intérêt vers le type d'enseignement organisé aux humanités ou au
cycle court moyen.

II.7.Conclusion

Nous voici à la fin de ce premier chapitre, qui plante les décors d’une
belle aventure scientifique en définissant les concepts, expressions de base et
connexes liées au sujet qui fait l’objet de notre étude.

Cette façon de procéder témoigne la volonté de se soumettre aux


exigences de la science pour qu’après nous, tous ceux qui nous lirons dans
l’objectif de savoir comment l’on a mené ce travail qui marque la fin de notre
cycle de licence.

7
Loi cadre de l'enseignement national-RDC n°14/004 du 11 février 2014
Page |8

CHAP II FONDAMENTALITES DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE


L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION

II.0. Introduction

Dans ce deuxième chapitre, nous définissions les techniques ou les


technologies de l'information et de la communication, l'importance des TIC dans
la vie quotidienne et surtout dans le domaine de l'enseignement du cours de
l'informatique.

II.1. Concepts et définitions8

8
Techniques de l'information et de la communication par Dr MOHAHED Nadjib Kouhla pg 10-11 Dec
2020
Page |9

Selon Larousse, les TIC sont "un" ensemble des techniques et des équipements
permettant de communiquer à distance par voie électronique (câble, téléphone,
internet... dans le grand dictionnaire terminologique de l'OQLF, TIC sont définit comme
étant un "ensemble de techniques issues de la convergence de l'informatique et de
techniques évoluent du multimédia et de télécommunication, qui ont permis l'émergence
de moyen de communication plus efficace, en améliorant le traitement, la mise en
mémoire, la diffusion et l'échange de l'information ".

Les techniques ou les technologies de l'information et de la communication et une


expression composée de trois mots signifiants :

o Technique/technologie : Ce sont les outils, support ou moyen


permettant le traitement de l'information ;
o Information : C'est tout renseignement ou donnée sous différent
formats (écris, sonore, visuel ou audiovisuel) codés capable d'être stockée et
transmis, permettant de prendre de décision (déclencher, modifier ou arrêter
un processus).
o Communication : C'est l'échange et le partage des informations à
travers les moyens d'échanges tels que les câbles et les satellites.
Généralement, TIC ou ICT en anglais désigne les domaines de : l'informatique,
l'audiovisuel, multimédias, internet et télécommunications afin de permettre
aux utilisateurs d’accéder aux différentes sources d’informations, de manipuler,
de stocker et de transmettre l’information.

Yannick Chatelain9 :

Les technologies de l’information et de la communication (TIC) regroupent


l’ensemble des techniques qui contribuent à numériser et à digitaliser
l’information, à la traiter, à la stocker et à la mettre à la disposition d’un ou
plusieurs utilisateurs

Wikipedia10 :

C’est une expression, principalement utilisée dans le monde universitaire, pour


désigner le domaine de la télématique, c'est-à-dire les techniques de
l'informatique, de l'audiovisuel, des multimédias, d'Internet et des
télécommunications qui permettent aux utilisateurs de communiquer,
9
Yannick Chatelain et loick Roche, Cybergagnant, Maxima, Paris, 2000, P. 31.
10
https://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_de_l%27information_et_de_la_communication.
P a g e | 10

d'accéder aux sources d'information, de stocker, de manipuler, de produire et


de transmettre l'information sous différentes formes : texte, musique, son,
image, vidéo et interface graphique interactive (IHM). Les textes juridiques et
réglementaires utilisent la locution communications électroniques.3

Dictionnaire Larousse11 :

NTIC : Ensemble des techniques utilisées pour le traitement et la


transmission des informations (câble, téléphone, Internet, etc.) 4

L’internaute.fr12 :

Ce terme désigne tous les outils modernes qui facilitent la communication et


l'échange d'informations, comme l'informatique ou Internet. 5

Serge Braudo13 :

NTIC : L'acronyme NTIC (ou « TIC » équivalent de l'anglais ICT : «


information and communication technologies ») désigne l'ensemble des
technologies permettant de traiter des informations numériques et de les
transmettre. L'expression « nouvelles technologies de l'information et de la
communication » désigne donc une combinaison d'informatique et de
télécommunications, mais elle s'est plus spécialement répandue dans le
contexte du réseau Internet et du multimédia, c'est-à-dire de l'information
audiovisuelle numérisée (images et sons, par opposition aux données de type
texte et chiffres, moins volumineuses, qui constituaient l'essentiel des données
transitant par les réseaux jusqu'au développement du web et du protocole
http). 6

Universalis Junior14 :

11
Dictionnaire Larousse : https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/NTIC/186559.
12
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/ntic/
13
Dictionnaire juridique de Serge Braudo:
https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/ntic-nouvelles-technologies- de-l-information-et-de-la-
communication.php
14
https://junior.universalis.fr/encyclopedie/technologies-de-l-information-et-de-la-communication-t-i-c/
P a g e | 11

On parle de NTIC pour désigner les outils nés du rapprochement de


l’informatique, des télécommunications et de l’audiovisuel, tels que les
smartphones, le micro-ordinateur, les tablettes, le Cloud, etc. 7

TIC ou NTIC15 ?

Le terme NTIC a souvent été utilisé dans la littérature francophone au


cours des années 1990 et au début des années 2000 pour caractériser certaines
technologies dites « nouvelles ». Mais les définitions fournies sont
généralement floues ou équivalentes à celles des TIC. La qualification de «
nouvelles » est ambigu, car le périmètre des technologies dites nouvelles n'est
pas précisé et varie d'une source à l'autre. En raison de l'évolution rapide des
technologies et du marché, des innovations déclarées « nouvelles » se
retrouvent obsolètes une décennie plus tard.

Le sigle NTIC est source de confusion car il ne fait l'objet d'aucune


définition officielle par les institutions internationales responsables de ce
domaine alors que le terme de TIC y est défini comme étant l'intégration des
technologies des télécommunications, de l'informatique et des multimédias.
L'utilisation des moteurs de recherche montre que le sigle NICT, traduction de
NTIC en anglais, est très rarement utilisé (en dehors de la traduction de
documents d'origine francophone) et qu'il est plutôt fait mention de l'évolution
rapide de ce domaine en permanence. Cela montre qu'il n'est pas utile d'établir
des catégories rigides pour distinguer ce qui est nouveau de ce qui ne l'est pas.

II.2. Rôle des TIC16

Les techniques de l’information et de la communication (TIC)


recouvrent tous les nouveaux moyens et outils permettant :

o Le traitement de l’information, en utilisant les différents techniques


et matériels du traitement
o La transmission de l’information à l’aide des réseaux et les moyens
d’échange,

https://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_de_l
15

%27information_et_de_la_communication#TIC_ou_NTIC
16
Dr.Mohamed Nadjib KOUAHLA « «Techniques de l’information et de la communication » Ed 2020. Pg
12
P a g e | 12

o La sauvegarde de l’information dans les supports de stockage.

II.3. Services des TIC17

Les TICs offrent aux utilisateurs plusieurs services comme :

o La téléphonie vocale ;
o La transmission de données informatiques ;
o La communication par internet ;
o Diffusion multimédia et audiovisuel.

II.4. Différents types des TIC18

Les TIC regroupent un ensemble de ressources nécessaires pour


manipuler de l'information et particulièrement les ordinateurs, programmes et
réseaux nécessaires pour la convertir, la stocker, la gérer, la transmettre et la
retrouver.

Selon l’OCDE (Organisation de coopération et de développement


économiques), le secteur des TIC est la somme de trois secteurs : le secteur
informatique, le secteur électronique et le secteur des télécommunications. On
distingue donc les catégories suivantes relatives au secteur des TIC:

▪ Le secteur informatique dans lequel on a : l'équipement informatique,


machines de bureau,ordinateurs personnels, grands ordinateurs, serveurs,
matériels de réseaux, périphériques, cartes etc.

▪ Le secteur électronique (la microélectronique) dans lequel on a : composants


électroniques, semi-conducteurs, circuits imprimés, équipements de
l’électronique grand public (téléviseurs, récepteurs radio, lecteurs de disques,
magnétoscopes), instruments de mesure, instruments de navigation, computeurs,
productique etc.

▪ Le secteur des télécommunications dans lequel on a : équipements


professionnels de transmission, commutateurs, relais, terminaux (fixes ou
mobiles) destinés aux usagers, câbles, fibres optiques etc.

D’autres domaines sont étroitement liés aux TIC :

17
Alouis.S « NTIC : Outils et application » Ed 2004-2005. Pg 5
18
Https://www.wikipédia/NTIC-Différence types.com
P a g e | 13

 Les réseaux informatiques ;


 Le multimédia ;
 Les réseaux de diffusion de la radiodiffusion et de la télévision (par voie
hertzienne, par satellite, par réseau câblé) ;
 Les postes récepteurs de radio et de télévision. ;
 Les services informatiques et les logiciels ;
 Le commerce électronique (e-commerce) qui désigne l'échange de biens
et de services entre deux entités sur Internet;
 Les médias électroniques.

II.5. Avantages des TIC19 :

Les TIC permettent de :

o Accéder souplement aux informations (l’Intranet permet de récupérer les


informations de tous le postes de travail, quelle que soit l’heure),
o Faciliter le partage de l’information (Internet, Intranet),
o Favoriser le travail en groupe (groupware, workflow , les plateformes
collaboratives),
o Simplifier les échanges de données entre entreprises ou entre sites (EDI),
o Faciliter la communication et la coopération entre les membres d’une
équipe (liste de diffusion, blog, wiki),
o Mettre en place une mémoire collective.

On peut résumer l’apport immédiat des TIC en quatre points essentiels :

1. compression de temps ;
2. compression de l’espace ;
3. compression de l’information stockée ;
4. flexibilité d’usage.

Les TIC sont un atout irremplaçable dans :

 la circulation rapide de l'information,


 l'élaboration collective de plans d'action et de nouvelles façons de faire,
 la coordination de l'action, la mémorisation et la capitalisation des
expériences,
 'accès rapide à des connaissances très diverses,
19
Https:/www.wikipédia/NTIC(Avantages.com
P a g e | 14

 l'ouverture de nouveaux services à la clientèle.

II.7. Les outils des TIC20

Les outils TIC sont l'ensemble des technologies actuellement


développées qui permettent une communication plus efficace de l'information,
qui ont modifié la manière d'accéder à la connaissance et, par conséquent les
relations humaines.

Les outils issus des NTIC visent essentiellement les ordinateurs,


progiciels, logiciels, forfaits internet, téléphones mobiles...

II.7.1. Les ordinateurs

II.7.1.1. Automatisation des calculs

L’histoire des ordinateurs est étroitement liée aux découvertes


théoriques dans le domaine des mathématiques et de la logique et aux
développements technologiques comme la carte perforée, le système binaire
etc.

Le système binaire est un système de numération utilisant la base 2. On


nomme couramment bit (de l’anglais binary digit, soit « chiffre binaire ») les
chiffres de la numération binaire. Ceux-ci ne peuvent prendre que deux valeurs,
notées par convention 0 et 1.

C’est un concept essentiel de l’informatique. En effet, les processeurs


des ordinateurs sont composés de millions de transistors (imprimés sur un circuit
électronique) qui chacun ne gère que des bits 0 (« le courant ne passe pas ») et 1
(« le courant passe »).

Un calcul informatique n’est donc qu’une suite d’opérations sur des


paquets de 0 et de 1, appelés octets lorsqu’ils sont regroupés par 8.

La carte perforée (parfois appelée carte Herman Hollerith) et le ruban


perforé ont été les premiers supports d’entrée-sortie et les premières mémoires
de masse utilisés dans les débuts de l’informatique.

20
Alouis.S « NTIC : Outils et application » Ed 2004-2005. Pg 6
P a g e | 15

L’histoire de l’ordinateur est également marquée par la volonté de


l’homme d’automatiser les calculs afin de les rendre plus précis tout en
accélérant cette tâche fastidieuse. Cette volonté va de pair avec celle de traiter
l’information pour la communiquer et la contrôler.

D’ailleurs, plus on progressera dans l’automatisation des opérations


arithmétiques et logiques, plus grande sera la nécessité de trouver des moyens
sophistiqués pour communiquer avec la machine, afin de lui donner les
instructions nécessaires pour qu’elle effectue ces opérations.

Alors que les premières machines à calculer pouvaient tenir dans la main
de l’homme, les premiers ordinateurs étaient des monstres mécaniques et
électriques qui occupaient des pièces entières d’un immeuble.

On assiste aujourd’hui à un retour à l’échelle humaine avec les petits


ordinateurs personnels, grâce au développement technologique qui est allé dans
le sens de la miniaturisation et de la plus grande puissance de calcul.

Première génération d’ordinateurs : le passage à l’électronique21

Le passage à l’électronique, dans la mise au point d’ordinateurs, s’est fait


grâce à l’invention du tube à vide en 1906, par l’Américain Lee De Forest.

Le tube à vide permettait de produire un courant direct d’électrons dans


un tube sous vide capable de générer deux états : ONOFF.

Le tube à vide était donc prédestiné au calcul binaire. On peut se


demander pourquoi il a fallu attendre plus de 30 ans avant que cette invention
soit appliquée aux premiers ordinateurs. En 1907, exilé au Canada, De Forest
invente la triode.

Le premier ordinateur électronique programmable, le Colossus est mis


au point en Angleterre, durant la Deuxième guerre mondiale en 1943.

La deuxième génération d’ordinateurs : l’ère du transistor22

John Bardeen, Walter Brattain et William Shockley inventent le


transistor aux Bell Laboratoires du New Jersey, en 1947. Le transistor fait le

21
Https://wikimémoires.net/2011/02/Types-Tic-Historiques-Tic/
22
Https://wikimémoires.net/2011/02/Types-Tic-Historiques-Tic/
P a g e | 16

même travail que la lampe à vide des premiers ordinateurs mais il est infiniment
plus petit, moins cher à fabriquer et beaucoup plus fiable.

Cependant, en raison de problèmes de production, ce n’est qu’à la fin des


années 1950 que le transistor s’est répandu.

Le premier ordinateur à base de transistors, le Leprechaun, a été construit


dans les laboratoires Bell en 1956.

La troisième génération d’ordinateurs : l’ère des circuits intégrés23

L’invention du transistor va vite appeler le développement d’une


technologie qui permettra de rapetisser les autres composants de l’ordinateur et
surtout de les intégrer, car les liaisons électriques multiples qui doivent se faire
entre chaque transistor sont complexes, coûteuses à réaliser, pas assez rapides et
peu fiables, en tout cas pas assez pour les militaires qui intègrent les composants
électroniques dans le guidage des avions.

Le circuit imprimé va résoudre ce problème puis le circuit intégré. Dans


les premiers ordinateurs, les éléments des circuits, tels les lampes, étaient reliées
entre eux par des réseaux extrêmement complexes de fils.

Le premier développement important avec l’apparition du transistor a été


de monter les transistors sur une même plaque de circuits et de graver les fils qui
les reliaient dans la plaque; on a appelé cela des circuits imprimés.

Par la suite, grâce d’abord aux travaux d’un ingénieur de la Texas


Instruments, Jack Kilby, et ensuite, d’un ingénieur de Fairchild Semi-
conducteurs, Robert Noyce, en 1959, on a été capable de relier entre eux tous les
éléments du circuit, transistors, diodes, condensateurs, fils, etc. dans des circuits
dits complètement intégrés, manufacturés en une seule opération.

Les années 1964 à 1975 ont vu l’arrivée de plusieurs mini-ordinateurs de


différentes grandes compagnies. Ces ordinateurs dits de troisième génération
sont caractérisés par l’utilisation massive de circuits intégrés.

C’est aussi l’époque des mini-ordinateurs dont l’unité centrale de


traitement manipule des mots de 16 ou de 32 bits.

23
Https://wikimémoires.net/2011/02/Types-Tic-Historiques-Tic/
P a g e | 17

La quatrième génération d’ordinateurs : l’ère des microprocesseurs24

La mise au point des microprocesseurs va entraîner la miniaturisation


des composants d’ordinateurs et partant, l’apparition de deux nouveaux types
d’ordinateurs : le super ordinateur et le micro-ordinateur ou ordinateur
personnel.

La miniaturisation va aussi permettre l’invention des calculatrices de


poches, des montres à affichage numérique, des contrôles numériques
d’appareils domestiques comme le four à micro-ondes, la machine à laver, etc.

La cinquième génération d’ordinateurs : l’ère de l'intelligence artificielle 25

La cinquième génération d’ordinateurs est un exploit remarquable de


l’ingéniosité humaine. Grâce à l’IA et au traitement du langage naturel, ces
ordinateurs peuvent accomplir des tâches autrefois considérées comme
impossibles. De la machine analytique de Charles Babbage à l’ENIAC et au-delà,
l’évolution des ordinateurs a été un voyage fascinant. Alors que nous nous
tournons vers l’avenir, il est passionnant de penser à ce que la prochaine
génération d’ordinateurs apportera.

En savoir plus sur www.persee.fr

II.7.1.1. Les composants d’un ordinateur sont26 :

L’ordinateur est composé de deux parties principales :

1. Hardware (Matériel)

Elle représente la partie physique qui comporte les différents composants


constituant un ordinateur comme :

o Les unités d’entrée : clavier, souris, scanner, webcam;


o Les unités de sortie : écran, imprimante, hautparleur;
o Les unités de communication : modem;
o Les unités de stockage : disque dur, flash disque, carte mémoire,
carte SSD;

24
Https://wikimémoires.net/2011/02/Types-Tic-Historiques-Tic/
25
Https://www.wikipédia/ordinateur de cinquième génération/
26
Https://www.crucial.fr/Articles/Pc-builders/whats-is-computer-hardware
P a g e | 18

o L’unité centrale : elle contient carte mère (processeur, mémoire),


les disques durs, les lecteurs CD, DVD, disquettes, lecteurs
amovibles.

2. Software (Logiciel)

Un ordinateur sans programme n’est pas utilisable. Il est nécessaire de


lui donner des informations pour qu’il collabore. Il faut d’abord lui expliquer ce
qu’on attend de lui et ensuite lui donner les instructions pour agir. L’ensemble
de ces instructions s’appelle programme, et l’ensemble des programmes dont on
dispose sur un ordinateur s’appelle logiciel. Le programme doit être écrit dans
un langage que l’ordinateur peut comprendre.

Le software se compose de deux parties principales :

• Logiciel d’application : ce sont les programmes développés afin de répondre à


un besoin spécifique. Les logiciels d'application sont des programmes élaborés
en vue d'une application qui peut être soit générale soit spécialisée. Il existe des
logiciels traitant des problèmes standards tels que les langages de
programmation (langage C, visuel Basic, etc.) et les outils de la Bureautique
(Microsoft Word, PowerPoint, etc.)

• Logiciel de système : Tout ordina teur est constitué d’un ensemble de


programmes qu’on appelle système d’exploitation ou logiciel de base. Ce
système d’exploitation est livré avec l’ordinateur par le constructeur. Abrégé
parfois SE, (ou Operating System en anglais, abrégé OS) un système
d'exploitation est un ensemble de programmes qui gère l'utilisation des
ressources d'un ordinateur par des logiciels applicatifs. Il reçoit des demandes
d'utilisation des ressources de l’ordinateur : de stockage (mémoires), de calcul
(processeur). On retrouve un système d’exploitation préinstallé sur tout type
d’appareil informatique: ordinateurpersonnel, smartphone, tablette tactile,
liseuse, console de jeu, etc. Dans le marché informatique, plusieurs entreprises
(Microsoft, Apple, Sun, IBM, ….) ont participé au développement des systèmes
d’exploitation destinés aux différents appareils : ordinateur personnel, serveur,
tablelette, smartphone,….

Il y a aussi des systèmes d'exploitation pour TV comme:

 Android TV, développé par Google


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 Tizen, développé par Samsung


 tvOS, développé par Apple
 Firefox OS, développé par la Mozilla Foundation, choisi par Panasonic
 WebOS, repris par LG (anciennement par Palm)

Il y a aussi :

 Des systèmes développés par des organismes de normalisation ou des


consortiums industriels
 Des systèmes développés par des compagnies ou fondations seules
 Les systèmes d'exploitation fictifs
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II.7.2. Les réseaux de télécommunications27

II.7.2.1. Définition

Un réseau informatique est un ensemble d'équipements reliés entre eux


pour échanger des informations sous forme de données numériques (valeurs
binaires). On parle aussi de réseau téléphonique, réseau de transport, réseau de
neurones, aussi bien que de réseau d’ordinateurs et de périphériques.

II.7.2.2. Classification des réseaux

Les réseaux peuvent être classés selon plusieurs critères :

o Taille (Portée géographique) : LAN, MAN, WAN, Internet


o Topologie : en étoile, en bus, etc.
o Type : poste à poste ou client-serveur, etc.
o Support de transmission : filaire, optique ou sans fil

II.7.2.2.1. Classification selon la taille (ou portée géographique)

Supprimant la notion d’espace et du temps, les réseaux de télécommunication


ont couvert le monde par des moyens filaires, fibres optiques, hertziens, etc.
Suivant leurs tailles et leurs couvertures (portée géographique), ils seront
appelés :

1. Le réseau local LAN (Local Area Network) qui correspond par sa taille à un
réseau intra entreprise. La distance de câblage est de quelques centaines de
mètres. Il relie les ordinateurs ou postes téléphoniques situés dans la même pièce
ou dans le même bâtiment (usine, campus universitaire).

2. Le réseau local sans fil WLAN (Wireless Local Area Network) est un réseau
LAN utilisant la technologie WIFI.

3. Le réseau métropolitain MAN (Metropolitan Area Network) qui correspond à


une interconnexion de quelques bâtiments se trouvant dans une ville. Ces
réseaux utilisent la fibre optique pour l’interconnexion des postes.

4. Le réseau étendu ou distant WAN (Wide Area Network) est destiné à


transporter des données à l’échelle d’un pays, ou à grande échelle reliant
plusieurs sites ou des ordinateurs du monde entier. Ces réseaux peuvent être

27
Https://www.techniques-ingenieurs.fr/définition/reseau-télécommunication/11697.html
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terrestres (câble, fibre, etc.) ou satellitaires (Mise en place d’engins spatiaux


pour retransmettre les signaux vers la terre). Internet est le plus connu des WAN
et les modems sont leurs éléments de base.

II.7.3.Web28

Le World Wide Web (/ˌwɜːld waɪd ˈweb/a ; littéralement la « toile


(d’araignée) mondiale », abrégé WWW ou le Web), la toile mondiale ou la toile,
est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet. Le Web permet de
consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites. L’image de la
toile d’araignée vient des hyperliens qui lient les pages web entre elles.

Le Web est une des applications d’Internet, qui est distincte d’autres
applications comme le courrier électronique, la visioconférence et le partage de
fichiers en pair à pair. Inventé en 1989-1990 par Tim Berners-Lee suivi de
Robert Cailliau, c'est le Web qui a rendu les médias grand public attentifs à
Internet. Depuis, le Web est fréquemment confondu avec Internet ; en
particulier, le mot toile est souvent utilisé dans les textes non techniques sans
qu'il soit clair si l'auteur désigne le Web ou Internet.

On ne peut accéder à une ressource distante qu’en respectant un


protocole de communication. Les fonctionnalités de chaque protocole varient :
réception, envoi, voire échange continu d’informations. HTTP (pour HyperText
Transfer Protocol) est le protocole de communication communément utilisé pour
transférer les ressources du Web. HTTPS est la variante sécurisée de ce
protocole.

Une URL (pour Uniform Resource Locator) pointe sur une ressource.
C’est une chaîne de caractères permettant d’indiquer un protocole de
communication et un emplacement pour toute ressource du Web. (exemple :
http://www.univ-chlef.dz).

Un hyperlien (ou lien) est un élément dans une ressource associé à une
URL. Les hyperliens du Web sont orientés : ils permettent d’aller d’une source à
une destination.

HTML (pour HyperText Markup Language) et XHTML (Extensible


HyperText Markup Language ) sont les langages informatiques permettant de
décrire le contenu d’un document (titres, paragraphes, disposition des images,
28
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etc.) et d’y inclure des hyperliens. Un document HTML est un document décrit
avec le langage HTML. Les documents HTML sont les ressources les plus
consultées du Web.

Dans un mode de communication client-serveur, un serveur est un hôte


sur lequel fonctionne un logiciel serveur auquel peuvent se connecter des
logiciels clients fonctionnant sur des hôtes clients.

Un serveur Web est un hôte sur lequel fonctionne un serveur HTTP (ou
serveur Web). Un serveur Web héberge les ressources qu’il dessert.

Un navigateur Web est un logiciel client HTTP conçu pour accéder aux
ressources du Web. Sa fonction de base est de permettre la consultation des
documents HTML disponibles sur les serveurs

HTTP. Le support d’autres types de ressource et d’autres protocoles de


communication dépend du navigateur considéré.

Une page Web (ou page) est un document destiné à être consulté avec
un navigateur Web. Une page Web est toujours constituée d’une ressource
centrale (généralement un document HTML) et d’éventuelles ressources liées
automatiquement accédées (typiquement des images).

Un éditeur HTML (ou éditeur Web) est un logiciel conçu pour faciliter
l’écriture de documents HTML et de pages Web en général.

Un site Web (ou site) est un ensemble de pages Web et d’éventuelles


autres ressources, liées dans une structure cohérente, publiées par un propriétaire
(une entreprise, une administration, une association, un particulier, etc.) et
hébergées sur un ou plusieurs serveurs Web.

Une adresse Web est une URL de page Web, généralement écrite sous
une forme simplifiée limitée à un nom d’hôte. Une adresse de site Web est en
fait l’adresse d’une page du site prévue pour accueillir les visiteurs.

Un hébergeur Web est une entreprise de services informatiques


hébergeant (mettant en ligne) sur ses serveurs Web les ressources constituant les
sites Web de ses clients.

Une agence Web est une entreprise de services informatiques réalisant


des sites Web pour ses clients.
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Un annuaire Web est un site Web répertoriant des sites Web.

Un portail Web est un site Web tentant de regrouper la plus large


palette d’informations et de services possibles dans un site Web. Certains
portails sont thématiques.

Un service Web est une technologie client-serveur basée sur les


protocoles du Web.

II.7.3.1. ARCHITECTURE DU WEB

L’architecture du web se base sur les modèles de Serveur/Client. Le


client envoie des requêtes au serveur, comme :

 Transfert de fichiers
 Exécution de programmes sur le serveur
 Mise à jour de fichiers

Les objets manipulés sont repérés par leur URL.

Le transfert se fait en utilisant le protocole http. Il définit le langage


utilisé pour les échanges entre client et serveur Web. Ce protocole n’exige pas
de session permanente entre client/serveur.

II.8.Conclusion

A l'ère du numérique, les nouvelles technologies bouleversent le


quotidien des entreprises et des particuliers. Toutes les industries embrassent
désormais le Big Data, l'internet des objets, la robotique ou le e-commerce. En
réalité, toutes ces innovations reposent sur le NTIC29.

C'est pour cette raison que, dans ce chapitre intitulé fondamentalistes des
Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, on a parlés
des outils qui sert de fondement, de base aux notions des NTIC sur lesquelles se
base l'informatique moderne.

29
Https://www.cyberuniverty.com
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